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LES 3 E 5 ET LES 3 E 8 AU MUSÉE DE LA GRANDE GUERRE DU PAYS DE MEAUX Sortie pédagogique du 19 novembre 2012.

Les 3 e 5 et les 3 e 8 au Musée de la Grande Guerre du Pays de Meaux

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Les 3 e 5 et les 3 e 8 au Musée de la Grande Guerre du Pays de Meaux . Sortie pédagogique du 19 novembre 2012. Le départ des soldats: quitter sa famille . Chez les Français: l’illusion de la guerre courte . Chez les Allemands. L’évolution des uniformes français. - PowerPoint PPT Presentation

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Page 1: Les 3 e 5 et les 3 e 8 au Musée de la Grande Guerre du Pays de Meaux

LES 3E5 ET LES 3E8 AU MUSÉE DE LA GRANDE

GUERRE DU PAYS DE MEAUX

Sortie pédagogique du 19 novembre 2012.

Page 2: Les 3 e 5 et les 3 e 8 au Musée de la Grande Guerre du Pays de Meaux

Le départ des soldats: quitter sa famille

Chez les Français: l’illusion de la guerre courte

Chez les Allemands

Page 3: Les 3 e 5 et les 3 e 8 au Musée de la Grande Guerre du Pays de Meaux

L’évolution des uniformes français

Un pantalon rouge garance et une veste bleu nuit, bien visibles. Des guêtres qui serrent les jambes. Un barda de 30 kg.

Page 4: Les 3 e 5 et les 3 e 8 au Musée de la Grande Guerre du Pays de Meaux

L’uniforme allemandUn soldat reconnaissable à la petite pointe de son casque. Des bottes qui apportent un peu plus de confort lors des longues marches.

Page 5: Les 3 e 5 et les 3 e 8 au Musée de la Grande Guerre du Pays de Meaux

L’uniforme des troupes coloniales

Un spahi (unité de cavalerie de l’armée d’Afrique)

Page 6: Les 3 e 5 et les 3 e 8 au Musée de la Grande Guerre du Pays de Meaux

Chevaux contre chars Le cheval :Jusqu’à la fin du XIXe

siècle, le cheval est essentiel pour la cavalerie, la logistique et le commandement.

La cavalerie française couvre la mobilisation des troupes, éclaire et soutien la marche en avant des armées.

Le char:

Les autorités militaires comprennent que la cavalerie n’est plus adaptée aux nouvelles conditions du conflit (terrains bouleversés, barbelés, mitrailleuses)

Les nouveaux chars d’assaut apparaissent en 1916. En 1918, les Alliés utilisent massivement les chars.

Page 7: Les 3 e 5 et les 3 e 8 au Musée de la Grande Guerre du Pays de Meaux

Le développement du camouflage

Maquette de bateau camouflé

Casques à camouflage

Brassard de la section de camouflage

Page 8: Les 3 e 5 et les 3 e 8 au Musée de la Grande Guerre du Pays de Meaux

Les obus: des armes de destructions massives

L’intérieur des obus

Obus pneumatique (procédé de lancement d’une grande discrétion au moment du tir ) explosif de 60 mm (poids de 650 grammes pour 90 grammes d’explosifs)

Page 9: Les 3 e 5 et les 3 e 8 au Musée de la Grande Guerre du Pays de Meaux

Se protéger des gaz

Page 10: Les 3 e 5 et les 3 e 8 au Musée de la Grande Guerre du Pays de Meaux

Les pigeons Étui porte-pigeon Le colombophile

Page 11: Les 3 e 5 et les 3 e 8 au Musée de la Grande Guerre du Pays de Meaux

Au cœur de la tranchée

Page 12: Les 3 e 5 et les 3 e 8 au Musée de la Grande Guerre du Pays de Meaux

Le « no man’s land »

Page 13: Les 3 e 5 et les 3 e 8 au Musée de la Grande Guerre du Pays de Meaux

Des élèves attentifs regardant un film sur les séquelles et traumas des violences physiques et morales du combat.

Un moment poignant pour la plupart d’entre eux.

Page 14: Les 3 e 5 et les 3 e 8 au Musée de la Grande Guerre du Pays de Meaux

Paroles d’élèves

Christelle : « J’ai été touchée par les conditions de vie des soldats et les traumatismes causés par les obus et les gaz ».

Yohann : « Malgré l’éloignement de leur pays natal, les soldats des colonies conservent leurs traditions et les partagent avec leurs camarades ».

Raphaël : « J’ai apprécié d’essayer le gilet pare balles et le casque car cela m’a permis de prendre conscience du poids de l’équipement des soldats, actuellement ».

Thomas, Louis, Alexis, Amélie et Patricia : « Les maquettes et reconstitutions sont très réalistes, spectaculaires, époustouflantes ».

Walid : « La guide est captivante ». Pauline: « Les traumatismes et les gueules-cassées, les

prothèses, m’ont vraiment impressionnés ». Louis: « J’ai adoré l’atelier sur les images de guerre. Les

explications étaient très claires. La photographie est un domaine qui m’intéresse et l’atelier m’a conforté dans mes choix ».