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ESPRITS DE LA NATURE Ici et là dans ses écrits Max Heindel nous donne quelques informations sur les esprits de la nature, les petits êtres avec lesquels il a eu des expériences intéressantes. Les esprits de la nature incluent les êtres éthériques reliés aux quatre éléments. Les Gnomes et les Elfes, ou Fées, sont les esprits de la terre. Les Ondines, qui habitent les ruisseaux, les rivières, les lacs et les océans, sont les esprits de l’eau. Les Sylphes, qui résident dans les brumes des fossés et des marais et généralement dans l’atmosphère, sont les esprits de l’air. On ne dit pas grand chose au sujet des Salamandres, esprits de feu, en grande parie parce qu’ils se voient moins facilement par les gens qui ont la « seconde vue ». Au bas de certaines cheminées en Europe, on peut voir une salamandre gravée sur une plaque de fer. La plupart des gens considèrent maintenant les histoires populaires comme des superstitions, mais en fait, celui qui est doté de la vision éthérique peut voir des gnomes fabriquer la verte chlorophylle dans les feuilles des plantes et donner aux fleurs la multiplicité de teintes délicates qui ravissent nos yeux. 1

Les Esprits de La Nature

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ESPRITS DE LA NATURE

Ici et là dans ses écrits Max Heindel nous donne quelques informations sur les esprits de la nature, les petits êtres avec lesquels il a eu des expériences intéressantes. Les esprits de la nature incluent les êtres éthériques reliés aux quatre éléments. Les Gnomes et les Elfes, ou Fées, sont les esprits de la terre. Les Ondines, qui habitent les ruisseaux, les rivières, les lacs et les océans, sont les esprits de l’eau. Les Sylphes, qui résident dans les brumes des fossés et des marais et généralement dans l’atmosphère, sont les esprits de l’air. On ne dit pas grand chose au sujet des Salamandres, esprits de feu, en grande parie parce qu’ils se voient moins facilement par les gens qui ont la « seconde vue ». Au bas de certaines cheminées en Europe, on peut voir une salamandre gravée sur une plaque de fer. La plupart des gens considèrent maintenant les histoires populaires comme des superstitions, mais en fait, celui qui est doté de la vision éthérique peut voir des gnomes fabriquer la verte chlorophylle dans les feuilles des plantes et donner aux fleurs la multiplicité de teintes délicates qui ravissent nos yeux. Les gnomes également coupent les cristaux en minéraux et en font les gemmes précieuses qui scintillent dans les colliers et les diadèmes dorés. Sans ces lapidaires et métallurgistes, il n’y aurait pas de fer pour nos machines ni or pour les parures et le travail de l’art.

Les gnomes sont partout et l’abeille proverbiale n’est pas plus occupée. A l’abeille, cependant est donné crédit au travail qu’elle accomplit, alors que les petits esprits de la nature qui jouent un rôle si immensément important dans l’œuvre du monde sont inconnus sauf pour quelques soi-disant rêveurs. Au solstice d’été les activités physiques de la nature sont à leur zénith. Par conséquent « La Nuit du Solstice » est le grand festival des Fées qui ont forgé l’univers matériel, nourri le bétail, entretenu le grain et acclamé avec joie et gratitude l’apogée de la force qui est leur outil dans la formation des fleurs en une étonnante variété de formes délicates venues de leurs archétypes et en les colorant d’innombrables nuances, qui sont le délice et le désespoir de l’artiste. Lors de cette nuit la plus grande de toutes les nuits de cette heureuse saison d’été

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ils viennent en masse des marais et des forêts, des vallées et des collines, au Festival des Fées. Ils fabriquent et cuisent vraiment leurs nourritures éthériques et ensuite dansent dans des tumultes de joie, la joie d’avoir accompli et servi leur dessein important dans l’économie de la nature.

Au moment du Solstice d’Hiver, l’Esprit Christ naît à la terre et commence à fertiliser les millions de germes que les Fées entretiennent pour que nous puissions avoir de la nourriture physique. Mais l’homme ne vivra pas seulement de pain. Le travail des Fées est important, mais il devient plus insignifiant comparé à la mission de Christ qui annuellement fournit la nourriture spirituelle nécessaire pour nous faire avancer sur le sentier du progrès. La Nature a un travail à faire et requiert le travail de tous ceux qui justifient leur existence et continuent en tant que partie d’elle-même. Ceci s’applique à la plante et à la planète, à l’homme et à l’animal, aussi bien qu’aux Fées. Ce sont des gens occupés et leurs activités sont la solution à de nombreux mystères multiformes de la nature.

Certaines personnes qui peuvent voir les Fées disent qu’elles font environ un pied de haut. Elles semblent être jeunes (15 ans) et elles sont évidemment adorables. Elles sont en général plusieurs ensemble. Lorsqu’elles ne peignent pas les fleurs et les rendent toutes choses aussi belles que possible, elles peuvent être vues riant et parlant joyeusement, s’enlaçant le cou les unes les autres. Elles aiment glisser le long des feuilles ou des branches d’arbre plus que des enfants en train de jouer. Elles peuvent sembler être à la fois des filles ou des garçons. Elles semblent être revêtues de draperies brillantes qui les habillent de façon plus attractive. Leurs corps paraissent délicats, gracieux, et presque transparents. Les Fées travaillent sous la direction des Grandes Intelligences. Certaines personnes se réfèrent aux esprits de la Nature en tant que Devas mais Max Heindel évite cette terminologie Orientale.

Les Fées demeurent dans les régions chaudes en hiver parce que la croissance de la plante est lente ou freinée sous les climats froids à cette époque, aussi n’ont-elles pas de travail. Il y a quelques années, une femme demanda à Elizabeth Kübler Ross de venir voir son jardin. Elizabeth fit des remarques sur les merveilleuses roses. La femme demanda, « Est ce tout ce que vous voyez » ? Sur quoi elle prit une photo d’une fleur choisie par sa visiteuse qui fut surprise d’y voir une gracieuse Fée. Corinne Héline, en conversation avec une Fée, dit ceci à propos des ailes d’ange :« Les photos de Fées que j’ai vues montrent des Fées avec des ailes, et vous n’en avez pas ».« Il n’y en a aucune dans notre Royaume qui en ait », répondit la Fée.« Qu’est ce qui donne aux artistes l’impression que les Fées ont des ailes », demanda l’auteur.« C’est notre de voir de purifier l’air pour l’homme lorsque nous accomplissons notre travail », répliqua la Fée, « et lorsque nous bougeons et respirons, nous envoyons un air sucré qui s’échappe de notre dos sur nos épaules, et cette force venant de nous à l’apparence des ailes ».

Certaines personnes ont vu des Fées avec des enfants malades. Environ vingt Fées de toutes tailles entourent le lit. Elles peuvent grimper sur l’enfant, ou s’asseoir sur ses épaules sachant qu’il a du plaisir à les voir.

Un de mes amis me dit avoir été à moitié endormi lorsqu’il vit un petit gnome sur une étagère de livres, à Toulouse, en France. Le gnome portait des sandales. Ses yeux brillaient comme des diamants. Il avait des joues roses, une petite bouche et un petit corps bien fait. Puis il se leva et glissa des étagères.

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Un autre jour une de mes amies revenait du travail. Elle était très fatiguée. Elle quitta l’autoroute et conduisait sur une route étroite dans la campagne. Après être passée sur un petit pont, elle sentit le besoin de s’arrêter et prit un peu de repos. Elle s’assit sur l’herbe à côté du pont, et à sa grande surprise, elle vit une Femme Gnome. La créature semblait haute de deux pieds. Elle avait de larges traits, et un long nez. Elle semblait très âgée et sérieuse. Elle ressemblait beaucoup aux nombreuses illustrations de gnomes que des artistes ont peintes pour illustrer les livres d’enfants. Mon amie dit, « Je décidai de ne pas bouger pour rester aussi longtemps qu’elle demeurait là ». Mais la Femme Gnome répondit comme si elle pouvait lire ses pensées : « N’ayez crainte, revenez demain après le travail. Je serai encore ici ». Le jour suivant mon amie vit la Femme Gnome au même endroit et se sentit très heureuse de penser que la Femme Gnome l’appréciait.Comment pouvons nous devenir amis avec les Fées ? D’abord, on doit développer se véhicules supérieurs car les Fées vivent et ne peuvent seulement être vues que dans la partie éthérique du monde physique. On doit être sans préjugés. Il ne doit y avoir aucune haine, malice ou envie dans le cœur. On doit avoir la volonté de traiter chacun comme on souhaite qu’il nous traite Ceci est la chose la plus importante.Max Heindel avait une merveilleuse histoire à propos d’une petite fille très malade qui vint à Mount Ecclesia avec sa mère. Durant la nuit il emmena la fillette vers le Monde des Fées où elle vit la Reine des Fées. Nous savons qu’il y a des agents invisibles derrière toutes les manifestations de la nature—intelligences de différents degrés de conscience, constructeurs et destructeurs—qui jouent des rôles importants dans l’économie de la nature. Jusqu’à ce que ces intermédiaires soient reconnus et leurs fonctions étudiées, nous ne pourront jamais avoir une conception adéquate de la manière dont les forces de la nature oeuvrent, dont nous appelons les effets extérieurs chaleur, électricité, gravité, action chimique etc.

SYLPHES ET ONDINES

Nous expliquons studieusement comment la chaleur du soleil fait évaporer l’eau des rivières et des océans, provoquant son ascension vers les régions plus froides où il condense l’air pour former des nuages qui finalement deviennent si saturés d’humidité qu’ils gravitent vers la terre en pluie pour renouveler la terre et la mer et recommencer le cycle. C’est parfaitement simple, un processus clair en perpétuel mouvement automatique. Mais est ce tout ? N’y a t il pas un bon nombre de lacunes dans cette théorie ? Une explication plus poussée requiert la connaissance de l’action semi-intelligente des sylphes qui élèvent les particules de vapeur d’eau finement divisées préparées par les ondines à la surface de la mer et les portent aussi haut qu’ils le peuvent avant que la condensation partielle n’aie lieu et que les nuages ne soient formés. Ils maintiennent ces particules d’eau jusqu’à ce qu’ils soient forcés par les ondines à les libérer. Lorsque nous disons qu’il fait tempête, des batailles sont menées à la surface de la mer et dans l’air, quelquefois avec l’aide des salamandres pour éclairer le flambeau de l’hydrogène et l’oxygène séparés et envoyer son rayon impressionnant se brisant en zigzag à travers l’obscurité d’encre, suivi par les grondements de tonnerre qui se réverbèrent dans l’atmosphère clarifiée, alors que les ondines triomphantes projettent les gouttes de pluies salvatrices vers la terre afin qu’elles puissent renouveler l’union avec leur élément mère.

Certaines personnes appellent les ondines les Fées de mer et les sylphes Fées de l’air.

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Il est établi dans la littérature Rosicrucienne que la faculté de perception de l’espace est reliée à l’ajustement délicat des trois canaux semi-circulaires dans l’oreille, pointant vers les trois dimensions de l’espace (2Q&RA, p 207). Dans la Cosmogonie, Max Heindel explique la relation entre l’organisation de ces canaux semi-circulaire et le processus qui conduit à la conscience de la quatrième dimension. Alors que la hauteur, la largeur et la profondeur sont les dimensions de l’espace dans le monde physique, il y a dans les éthers ce que nous pouvons appeler « passage à travers ». Il semblerait que les esprits de la nature et les élémentaux aient cette conscience quadridimentionnelle.

Avec la vision éthérique nous pouvoir voir dans et à travers une montagne. Avec un corps éthérique tel que possèdent les esprits de la nature nous pouvons marcher à travers le granit le plus dur. Il offre même moins de résistance que ne le fait l’air pour notre progrès ici.

Les esprits de la nature ont différents grades de conscience, correspondant au type d’éther qu’ils désignent. Les corps des gnomes sont principalement faits d’éther chimique et donc ils sont de la terre ; c’est à dire, qu’on ne peut les voir voler comme le font les sylphes. Ils peuvent brûler dans le feu. Ils vivent vieux d’une manière très peu différente des êtres humains.Les ondines d’eau et les sylphes d’air sont également sujets à la mortalité, mais leurs corps, étant composés respectivement d’éther vital et d’éther lumière, les rendent bien plus endurants, aussi alors que les gnomes ne vivent pas plus d’une centaine d’années, les ondines et les sylphes peuvent vivre un millier d’années ou davantage. Les salamandres, dont les corps sont essentiellement composés du quatrième éther, l’éther réflecteur, sont dits vivre plusieurs milliers d’années.

LA GUERRE DES ELEMENTS

La conscience qui construit et donne âme à ces corps élémentaux appartient à un nombre de hiérarchies divines qui par là même acquièrent une expérience supplémentaire. Les formes qui sont construites de matière et ainsi animées ont atteint un degré de conscience de soi. Durant leur vie elles ont le sentiment de leur propre existence transitoire et c’est à la rébellion contre cet état de choses que la guerre des éléments, notamment, le feu, l’air et l’eau, est due. S’imaginant qu’elles sont maintenues en esclavage, elles cherchent la libération de la bride par la force, et n’ayant aucun sens pour les guider elles-mêmes, elles se déchaînent de manière destructive, qui de temps en temps amène de grandes catastrophes. La conscience des gnomes est trop lourde pour prendre une initiative, mais il n’est pas rare qu’ils deviennent complices des autres esprits de la nature en ouvrant des passages, ce qui favorisent les explosions de roche.

Bacon remarquait que la nature et Dieu diffèrent seulement comme l’empreinte et le sceau. La nature est le symbole visible de Dieu, bien qu’aujourd’hui nous soyons aussi capables de penser à la nature en tant qu’auto génération et auto existence. Derrière chaque force (électricité, magnétisme, et expansion en vapeur) et forme (minéral, plant, et animal) réorganisée par les sciences physiques, se trouve l’activité des Intelligences. Les esprits de la Nature construisent les plantes, forment les cristaux de la roche, et avec de nombreuses autres hiérarchies, créent et maintiennent ce que nous appelons nature.

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L ‘ESPRIT DE LA TERRE ET LES FORCES DE LA TERRE

Que nous dit la Cosmogonie sur la constitution de la Terre ? Pour l’occultiste le monde est loin d’être « mort ». Au contraire, chacun de ses recoins et crevasse est pénétré par l’esprit, qui est le levain causant les changements dans et sur la planète. A la vision clairvoyante entraînée de l’Initié avancé, la terre apparaît être construite en strates, un peu comme un oignon, une couche ou strate sur une autre, comme illustré par le diagramme 18 de la Cosmo. Les propriétés des 6ème et 7ème strates, telles que décrites par Max Heindel, relèvent de notre sujet.

La sixième strate ou strate ardente est possédée de sensation. Plaisir et chagrin, sympathie et antipathie ont ici leur effet sur la terre. Le scientifique occulte, lorsqu’il observe la moisson du grain mûr et la récolte des fruits des arbres à l’automne, ou la cueillette des fleurs, connaît le plaisir expérimenté par la terre elle-même. Il est similaire au plaisir ressenti par la vache lorsque ses mamelles pleines doivent être libérées par le veau tétant. La terre ressent le délice d’avoir procuré nourriture à sa progéniture de formes, ce délice atteignant son point culminant au moment des récoltes.D’un autre côté, lorsque les plantes sont tordues aux racines, il est connu du scientifique occulte que la terre sent le dard du chagrin. Pour cette raison il ne mange pas les plantes qui poussent sous la terre. En premier lieu elles sont pleines des forces de la terre et déficientes en forces solaires, et sont en outre empoisonnées en étant poussées par les racines. La seule exception à cette règle est qu’il peut utiliser modérément la pomme de terre, qui originellement poussait à la surface de la terre, et pousse seulement depuis des temps comparativement récents sous le sol. Les occultistes s’efforcent de nourrir leurs corps avec des fruits qui poussent sous le soleil, parce qu’ils contiennent davantage de force solaire supérieure, et n’ont pas causé de douleur à la terre.

Il peut être supposé que les opérations de minage seraient très douloureuses pour la terre, mais c’est le cas inverse. Chaque désintégration de la dure croûte provoque une sensation de délivrance et chaque solidification est une source de douleur. Là où un torrent de montagne brasse le sol et l’emporte vers les plaines, la terre se sent plus libre. Là où la matière désintégrée est à nouveau déposée, comme un barrage à l’extérieur de l’embouchure d’une grande rivière, il y a un sentiment correspondant de désagrément. Comme la sensation chez les animaux et les hommes est due à leurs corps vitaux séparés, ainsi le sentiment de la terre est particulièrement actif dans la sixième strate, qui correspond au Monde de l’Esprit de Vie. Pour comprendre le plaisir ressenti lorsque des opérations de minage désintègrent la roche dure, et la douleur lorsque les dépôts sont rassemblés, nous devons nous rappeler que la terre est le corps dense d’un Grand Esprit, et pour nous fournir un environnement dans lequel nous pouvons vivre et accumuler de l’expérience, elle a du cristalliser ce corps dans sa condition solide actuelle.

Comme l’évolution suit son processus, cependant, et l’homme apprend les leçons appartenant à cet apogée de concrétion, alors la terre deviendra plus tendre et son Esprit de plus en plus libéré. C’est ce que Paul voulait dire lorsqu’il parlait de la création entière gémissant et en travail, attendant le jour de sa libération.

La septième strate ou strate de réfraction de la terre correspond au Monde de l’Esprit Divin. Il y a en science occulte ce que nous appelons Les Sept Secrets Indicibles. Pour ceux qui ne sont pas familiers avec ces secrets, ou n’ont pas au moins une vague idée de leur signification les propriétés de cette strate doivent sembler particulièrement absurdes et grotesques. En elle

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toutes les forces, qui sont connues de nous en tant que Lois de la Nature, existent en tant que forces morales, ou plutôt immorales. Dans les commencements de la course consciente de l’homme elles étaient plus mauvaises qu’à présent. Alors que l’humanité fait des efforts vers des idéaux plus élevés et évolue moralement, ces forces deviennent de façon correspondante moins amicales à l’homme, puisque chaque erreur dans la morale a une tendance à libérer ces Forces de la Nature et de faire qu’elles entraînent des ravages sur la terre.

Les forces dans cette strate sont ainsi, de tout temps, un reflet exact de l’état moral existant dans l’humanité. Du point de vue occulte, la « main de Dieu » qui frappe Sodome et Gomorrhe n’est pas folle superstition, car aussi sûrement qu’il y a une responsabilité individuelle à la Loi de Conséquence, qui apporte à chaque personne les justes résultats de ses actes, qu’ils soient bons ou mauvais, ainsi il y a également une communauté et une responsabilité nationale, qui apportent aux groupes d’hommes correspondant les résultats de leurs actes collectifs. Les Forces de la Nature sont les agents généraux d’une telle justice rétributive, causant des inondations, des tremblements de terre, ou la formation bienfaisante de pétrole ou de charbon pour des groupes divers, selon le type de désert. Les Manichéens, un Ordre encore plus élevé spirituellement que les Rosicruciens, étudient à présent le problème du bien et du mal. Une idée de la condition anticipée lorsque l’humanité sera dans la Période de Jupiter peut être acquise d’un court résumé de la légende des Manichéens : Il y a deux royaumes, celui des Elfes de Lumières, et celui des Elfes des Ténèbres. Les derniers attaquent les premiers, sont vaincus et doivent être punis. Mais comme les Elfes de Lumière sont totalement aussi bons que les Elfes des Ténèbres sont mauvais, ils ne peuvent infliger de mal sur leurs ennemis, aussi ils doivent être punis avec le bien. Par conséquent, une partie du royaume des Elfes de Lumière est incorporée à celui des Elfes des Ténèbres et de cette manière le mal est au moment voulu maîtrisé. La haine, qui ne sera pas soumise à la haine, doit succomber à l’Amour !Nous approchons à présent de l’Equinoxe d’Automne et la lumière Christ commence à nouveau à pénétrer la Terre. En outre, nous sommes à la cime d’une nouvelle vague millénaire de lumière et de vie spirituelle. Nous savons que ceux qui souhaitent marcher dans la lumière de Christ doivent aussi apprendre à générer cette lumière. Nous devons remercier pour ceci Celui qui est notre Esprit de la Terre, dont la vie en tant qu’humain fut donnée pour que tous les humains et leur planète puissent avoir la vie en abondance.

RAYS SEPTEMBRE/OCTOBRE 2002 DANIELLE CHAVALARIAS

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