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Pays de l'Ourcq Communauté de communes Avec le soutien de la DRAC d’Ile-de-France - Ministère de la Culture et de la Communication Projets culturels et artistiques à destination du public scolaire 2016-2017

Les politiques d’éducation - paysdelourcq.fr · niques, géographiques - et d’un lexique spécifique simple permettant d’exprimer ses émotions esthé- tiques, de porter un

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Pays de

l'OurcqCommunauté de communes

Avec le soutien de la DRACd’Ile-de-France - Ministère de laCulture et de la Communication

Projets culturelset artistiques

à destination dupublic scolaire

2016-2017

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Les politiques d’éducationartistique et culturelleSouhaitant affirmer sa politique culturelle, le Pays de l’Ourcq, en partenariat avec l’Education Nationale et le Ministère de la Culture, entend développer de nombreuses actions pour permettre à l’enfant de se forger une culture artistique, d’accéder à la pratique et d’être sensibilisé aux ressources culturelles locales.C’est avec plaisir que nous vous proposons ce livret dans lequel vous pourrez dé-couvrir les ateliers, les spectacles et les expositions qui ponctueront cette année scolaire 2016-2017.

L’éducation artistique et culturelle à l’écoleÀ l’école, l’éducation artistique et culturelle est à la fois :• une éducation à l’art, qui vise l’acquisition par l’élève d’une véritable culture artistique, riche, diversifiée, équilibrée : cette culture repose sur la fréquentation des oeuvres et du patrimoine, le développement de la créativité et des pratiques artistiques ainsi que sur la connaissance du patri-moine culturel et de la création contemporaine. Elle couvre les grands domaines des arts, sans s’arrêter aux frontières traditionnelles des Beaux-Arts, de la musique, du théâtre, de la danse, de la littérature et du cinéma et en intégrant autant que possible l’ensemble des expressions artis-tiques du passé et du présent, savantes et popu-laires, occidentales et extra-occidentales ; elle s’appuie sur le patrimoine, tant local que national et international.• et une éducation par l’art, qui permet une forma-tion de la personne et du citoyen : cette forma-tion nécessite le développement de la sensibilité, de la créativité, des capacités d’expression et de la faculté de juger. Elle encourage l’autonomie et le sens de l’initiative et passe par la participation à des expériences et des pratiques artistiques et culturelles collectives et partagées.

L’éducation artistique et culturelle se déploie dans trois champs d’action indissociables, qui consti-tuent ses trois piliers :• des rencontres : rencontres, directes et indi-rectes (via différents médias, numériques notam-ment), avec des oeuvres artistiques et des objets patrimoniaux ; avec des artistes, des artisans des métiers d’art, des professionnels des arts et de la culture... ; avec des lieux d’enseignement, de créa-tion, de conservation, de diffusion... ; • des pratiques, individuelles et collectives, dans des domaines artistiques diversifiés ; • des connaissances : appropriation de repères culturels - formels, historiques, esthétiques, tech-niques, géographiques - et d’un lexique spécifique simple permettant d’exprimer ses émotions esthé-tiques, de porter un jugement construit et étayé en matière d’art et de contextualiser, décrire et analyser une oeuvre ; développement de la faculté de juger et de l’esprit critique.

Ces trois champs doivent être investis complémen-tairement et concomitamment du plus jeune âge à l’âge adulte, sans hiérarchie ni prévalence de l’un ou l’autre de ces champs, afin que chacun puisse se constituer progressivement une culture artistique équilibrée.

Pierre Eelbode et Yves Parigi.

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CLEA #4Arts de la marionnette et Théâtre d’objets

• Catégorie : Pratique artistique• Dates : Du 19 septembre 2016 au 18 janvier 2017• Lieu : Itinérant• Volume horaire : Selon le projet de l’enseignant• Cycles : 1-2-3-4• Compétences développées : Créativité, écoute,expression, ouverture à l’art, capacité à échangeravec un artiste• Intervenant : Stéphanie Leigniel, Collectif RAS de Dijon• Contact : Tél. 01 60 61 55 00 - [email protected]

Le collectif Recherche et Action Scénique pro-pose, dans le cadre de l’appel à projet d’une rési-dence mission en Pays de l’Ourcq, d’entraîner le plus grand nombre de personnes du territoire à vivre une œuvre collective et participative.

Un scénario initial, réalisé par Stéphanie Leigniel, marionnettiste, comédienne, auteur de ses spec-tacles et membre du collectif RAS, servira à impul-ser cette dynamique autour de la thématique « Le monde et moi ».

Ce projet comprendra une approche environne-mentale réflexive en utilisant des matériaux recy-clés pour les réalisations plastiques, il s’appuiera sur le patrimoine et la culture du territoire en réin-vestissant des éléments de son histoire actuelle et passée. Il ouvrira à une communauté créative qui, par ses actions et réalisations, sera amenée à se questionner sur la place que chacun occupe et la richesse de la complémentarité. Le scénario réalisé permettra également d’envisager la solidarité et la

rencontre avec l’étranger, l’autre. La symbolique de ce partage d’expérience fécond sera fondateur d’une communauté qui s’ouvre au monde extérieur.

Aller plus loin

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CLEA #4Les certitudes de Judith

• Catégorie : Sortie culturelle• Date : Le 19 octobre 2016• Lieu : Foyer Polyvalent de Mary-sur-Marne• Volume horaire : 45 minutes• Cycle : 2• Compétences développées : Écoute/observation,ouverture à l’art• Intervenant : Stéphanie Leigniel, Collectif RAS de Dijon• Contact : Tél. 01 60 61 55 00 - [email protected]

L’histoireUne comédienne et un musicien entreprennent de mettre en scène le fameux livre de Judith Roupil-lon, J’endors mon enfant. Ils s’intéressent parti-culièrement au cas de Diego qui rendit célèbre la spécia liste : après avoir appliqué une méthode de Judith Roupillon, la maman de Diego a constaté qu’il n’avait pas dormi. La spécialiste, voulant éluder cet échec, se rendit chez elle accompagnée de l’illustre compositeur, Rémi Sagrouve.

Cette rencontre permit non seulement de com-prendre l’insomnie de Diego mais aussi de dé couvrir une méthode inédite pour endormir les enfants. Les artistes essaient de restituer le plus fidèle-ment possible cette découverte capitale.

Note d’intention« Après avoir fait de la marionnette pendant de nombreuses années, le théâtre d’objets m’a ouvert un mode de jeu beaucoup plus ludique fait d’objets pauvres et de bricoles. Le merveilleux que je convo-que se nourrit du quotidien, il fait réagir le public, le surprend et lui transmet l’énergie créatrice qui

se déploie sous ses yeux. La mise à nue des ficelles du spectacle le rend complice des comédiens.

Dans Les Certitudes de Judith, plusieurs procé-dés me permettront de garder cette distance : des ruptures s’opéreront au niveau dramaturgique et le théâtre d’objets permettra également des coups de théâtre dignes du Grand Guignol. Un travail sur les archétypes populaires (per sonnages de bande dessinée, de série B et de dessins animés), ins-piré par l’approche de Lichtenstein, appuiera cette mise à distance. Ces personnages identifiables par tous et qui feront irruption sur la scène hors de leur contexte initial, désamorceront l’aspect dra-matique de leurs situations. Ce spectacle entraî-nera les spectateurs dans une dynamique drôle et étourdissante. »

Stéphanie Leigniel.

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CLEA #5Arts Plastiques

• Catégorie : Pratique artistique• Dates : Du 6 mars au 5 juillet 2017• Lieu : Itinérant• Volume horaire : Selon le projet de l’enseignant• Cycles : 1-2-3-4• Compétences développées : Créativité, écoute, expression, ouverture à l’art, capacité à échanger avec un artiste• Intervenant : Sélection en décembre 2016 par le Comité de Pilotage (Pays de l’Ourcq, Éducation Nationale et Ministère de la Culture)• Contact : Tél. 01 60 61 55 00 - [email protected]

Plus d’informationsen janvier…

CattelanMark Rothko

Jeff Koons

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Danse contemporaineMémoire du Vertical - Cie TAM

• Catégorie : Sortie culturelle et pratique artistique• Date : Le 21 avril 2017• Lieu : Foyer Polyvalent de Mary-sur-Marne• Volume horaire : 50 minutes• Cycles : 1-2• Compétences développées : Écoute/observation, ouverture à l’art, créativité, expression• Intervenant : Claire Gérald, Cie TAM (présente dans le cadre du CLEA #3 Danse)• Contact : Tél. 01 60 61 55 00 - [email protected]

Mémoire du Vertical questionne la transformation du corps et la mémoire de sa mutation.Ce corps éperdument amoureux de sa verticalité.Qu’il est bon le souvenir d’être debout, ancré dans une verticale vertigineuse.Qu’il est fort, ce corps qui cherche, s’équilibre, s’intègre, enveloppe, se transforme.Qu’il est fragile ce corps qui hésite, se perd, chute.Mémoire du Vertical se construit pas à pas en im-briquant simultanément toutes ses composantes : chorégraphie, mise en scène, composition sonore, scénographie et création lumière.

VerticalitéUne fois sorti des profondeurs,Chercher une verticalité,C’est commencer par ramper, en appui sur tout le corps comme toutes les larves ;C’est s’élever en utilisant ses membres comme ces animaux invertébrés articulés ;C’est profiter d’un rythme collectif pour avancer comme grand nombre d’insectes ;C’est jaillir pour considérer la hauteur avec la pos-sibilité de revenir au sol ;C’est se dérouler avec précipitation ou indolenceC’est trouver un équilibre ;C’est rester debout, tenir encore, subsister, vivre.

Priorité aux enseignants ayant travaillé sur le

CLEA #3 Danse avec la Cie TAM entre mars et

juillet 2016.

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Exposition Street artDéfense d’effacer

• Catégorie : Sortie culturelle• Dates : Du 16 janvier au 23 février 2017• Lieu : La Pyramide, Mary-sur-Marne• Volume horaire : 1 h• Cycles : 2-3-4• Compétences développées : Écoute/observation, ouverture à l’art• Partenariat : Act’Art, opérateur culturel du Département de Seine-et-Marne, Association D2O dans le cadre de la Battle 2017• Contact : Tél. 01 60 61 55 00 - [email protected]

Ils ont quinze ans dans les années 80 et n’ima-ginent pas que ce qu’ils fabriquent est de « la bombe » ! L’exposition qui retrace 20 ans d’his-toire du collectif de grapheurs de Seine-et-Marne OBKOS DC est de retour…

Vandalisme pour certains, expression artistique pour d’autres, le graffiti a toujours connu cette ambivalence. Mais à l’évidence, il s’agit d’un phé-nomène de démocratisation artistique, à l’impact inégalé dans notre société. Pour autant, si tout le monde connaît le graffiti, peu nombreux sont ceux qui en connaissent ou en comprennent les codes…Grâce à des témoignages inédits, l’exposition Défense d’effacer, produite par Act’art, permet d’éclairer la genèse, le développement et la matu-rité de ce collectif exemplaire du mouvement, en-core actif aujourd’hui, OBLOS DC.

Elle met aussi en lumière toutes les pratiques du graffiti : illégal, les « terrains », les plans légaux.On y retrouve la chronologie d’une aventure pic-turale chaotique, très simplement humaine, avec ses hésitations et ses retours, ses coups d’éclat et ses victoires. L’influence de la bande dessinée, du

cinéma, de la musique et celle incontournable des graffeurs américains, de New York à Los Angeles, reste décisive pour le mouvement… L’exposition donne à (re)vivre vingt ans d’activisme et révèle les riches développements du mouvement depuis les années 80.

Aller plus loin…Spectacle « Hybride »,présenté dans le cadre

de la Battle 2017organisée par D2O, le

4 février 2017, 20 h 30 Salle Maison Rougeà Lizy-sur-Ourcq

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ThéâtreIliade d’après Homère, Cie À tire d’ailes

• Catégorie : Sortie culturelle• Dates : Les 11 et 12 janvier 2017 à 20 h 30• Lieu : Lycée du Gué-à-Tresmes• Volume horaire : 1 h 15• Cycles : Collèges et Lycées• Compétences développées : Écoute/observation, ouverture à l’art, sensibilisation aux ressources culturelles locales• Tarif : 5 € / élève (à partir de 10 inscrits)• Contact : Tél. 01 60 61 55 00 - [email protected]

Dans un élan commun, cinq acteurs mêlent leurs voix pour raconter les histoires d’Achille, Hélène, Andromaque, Hector et Agamemnon. Sur scène, tous s’affranchissent des clichés opposant hommes et femmes, lâches et braves, pour venir s’accomplir dans un geste bouleversant d’humanité.

D’un côté les Grecs, de l’autre les Troyens et, entre les deux une guerre qui dure depuis neuf ans. Parce qu’Agamemnon l’a humilié devant tous ses compa-gnons, Achille décide de se retirer du combat. Privés de leur meilleur guerrier, les Grecs vacillent tandis que les Troyens gagnent du terrain... Comment faire pour gagner la guerre sans Achille ?

Aller plus loin…

• Possibilité de rencontrer

l’équipe artistique en amont de la représentation.

• Dossier pédagogique disponible sur demande.

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ThéâtreRuy Blas d’aprèsVictor Hugo,Cie les Moutons noirs

• Catégorie : Sortie culturelle• Date : Le 3 mars 2017 à 20 h 30• Lieu : Salle des Fêtes de Crouy-sur-Ourcq• Volume horaire : 1 h 20• Cycles : Collèges et Lycées• Compétences développées : Écoute/observation, ouverture à l’art, sensibilisation aux ressources culturelles locales• Tarif : 5 € / élève (à partir de 10 inscrits)• Contact : Tél. 01 60 61 55 00 - [email protected]

Les Moutons Noirs nous racontent l’histoire de Ruy Blas, ce « ver de terre amoureux d’une étoile », avec fantaisie, humour, modernité et nous offrent un vrai divertissement au rythme haletant. Une co-médie populaire, généreuse et enlevée

Ruy Blas, un simple valet, est utilisé par son maître Don Salluste, un Grand d’Espagne déchu de ses titres. Pour se venger de la reine d’Espagne, Don Salluste invite son laquais Ruy Blas, à se faire pas-ser pour Don César, dans le but de séduire la Reine et ainsi la confondre. Ruy Blas, secrètement amou-reux de la Reine, se prête volontiers au jeu. Les premiers jalons du piège machiavélique de Salluste sont posés.

Intrigues, pouvoir, vengeance, amour impossible. Tous les éléments du drame romantique sont pré-sents. Que fera Don Salluste pour assouvir sa ven-geance ? Que deviendront les deux amants ?

Aller plus loin…

• Possibilité de rencontrer

l’équipe artistique en amont de la représentation.

• Dossier artistique disponible sur demande.

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Guide d’accueil aux spectaclesà destination des enseignantsLa Communauté de communes du Pays de l’Ourcq propose chaque année des spec-tacles adaptés aux différentes tranches d’âges (maternelles, élémentaires et col-lèges). Les réservations sont priorisées selon la cohérence avec le projet d’établis-sement, le niveau des classes et l’absence d’actions culturelles.

Afin que le spectacle soit agréable et bénéfique pour tous, il est important de res-pecter les conditions ci-dessous. Si vous rencontrez une difficulté, le service cultu-rel se tient à votre disposition pour en parler.

Avant le spectacle• La plupart du temps, vous recevez des dossiers pédagogiques. Vous pouvez choisir de les exploiter avant ou après le spectacle. Dans tous les cas, il est important de préciser aux enfants ce qu’ils vont voir sans leur dévoiler les surprises du spectacle.

• Dans certains cas, il est possible de rencontrer les artistes avant le spectacle. Si vous souhaitez qu’ils interviennent dans votre classe, vous pouvez contacter le service culturel de la Communauté de Com-munes.

• L’horaire des bus est très important, si votre classe est en retard, elle pénalise d’autres écoles en déca-lant le spectacle et en pénalisant le retour de ceux qui sont tributaires d’un transport scolaire. Soyez donc prêts devant l’école à l’horaire qui vous est communiqué. Si malgré nos précautions, l’horaire de départ vous semble difficilement tenable, contactez le service culturel.

• On prépare les enfants en leur rappelant les règles simples et en leur expliquant. Attention cependant, cela reste une sortie, ils ne sont plus à l’école, ils doivent pouvoir profiter du spectacle sans qu’il y ait un règlement strict et trouver le savant mélange entre une attention silencieuse et une participation trop vive.

Pendant le spectacle• Un spectacle est vivant, on peut participer quand les artistes le demandent, on peut applaudir, rigoler… on peut réagir tant que ça reste en rapport avec le spectacle.

• Au spectacle on n’est pas tout seul, on ne peut pas se lever car celui derrière ne verra plus et se lèvera à son tour et ainsi de suite, on doit garder les bavardages pour la récréation et le trajet en bus, on doit garder ses questions sur le spectacle pour la fin, en les posant directement aux artistes plutôt qu’à son camarade qui ne pourra y répondre.

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• On s’installe au dernier moment, lorsque toutes les classes sont arrivées. Si votre classe arrive avec beaucoup d’avance, il est préférable de laisser les enfants jouer (la plupart des salles ont un parc fermé qui peut faire office de cour de récréation).

• On entre calmement dans la salle de spectacle. Chaque classe attend que l’organisateur vienne la cher-cher dans le hall.

• Les accompagnateurs doivent se séparer et se disperser au milieu des enfants pour éviter tout débor-dement. Ils sont un exemple pour les enfants, ils doivent donc éviter tout bavardage, jeu sur téléphone portable…

• Les enseignants sont responsables des accompagnateurs et doivent donc les informer de cette fiche d’accueil.

• Il est interdit de prendre des photos pendant le spectacle. Les flashs sont très dégréables pour les artistes, l’écran peut gêner les personnes derrière vous et vous-même profitez moins bien du spectacle. Souvent, l’organisateur s’en charge et peut vous envoyer à votre demande ses propres photos. Les artistes ont aussi des sites internet où il est possible de retrouver des extraits vidéos des spectacles.

• À la fin du spectacle, on ne se lève pas avant que les artistes aient fini de saluer et que la lumière soit revenue dans la salle.

• On évite la cohue et on prend le temps de se lever. Lorsqu’on voit un spectacle, on est dans une bulle, le retour à la réalité doit se faire progressivement. Le bus attendra, les horaires sont prévus pour que vous ayez le temps.

• Si les enfants ont des questions ou souhaitent voir certains éléments de plus près, restez assis. Les artistes vont revenir pour un échange avec votre classe. Sinon, vous pouvez quitter la salle.

Après le spectacle• De retour à l’école, l’idéal est de faire deux discussions avec les enfants. Une première directement après le spectacle pour recueillir leurs réactions « à chaud » et une seconde la semaine suivante pour voir ce qu’ils en ont retenu.

• Évitez de demander aux enfants s’ils ont aimé ou pas. Leur expérience de spectateur est encore limitée et ils n’ont pas assez de moyens de comparaison pour vous expliquer pourquoi.

• Demandez leur plutôt ce qu’ils ont vu, entendu, ce qu’ils ont retenu… Souvent ils ont vu un détail intéressant que personne d’autre n’a remarqué. Un spectacle, c’est un moment unique pour chacun, même si les enfants n’ont pas compris ce qui vous paraît évident, ils ont ressenti des émotions, essayez de les lister.

• Un questionnaire de satisfaction vous est remis (téléchargeable également sur le site internet du Pays de l’Ourcq), prenez le temps d’y répondre, cela nous permettra de mieux accueillir vos classes la prochaine fois et d’avoir un retour des enfants.

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Communauté de communes du Pays de l’Ourcq2, avenue Louis Delahaye - 77440 OCQUERRETél. 01 60 61 55 00 - [email protected]

www.paysdelourcq.fr

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