Chaque vendredi, samedi, dimanche dans le 19/20

HISTOIRES 14-18 : IL Y A CENT ANS

France 3 Lorraine vous propose de suivre des récits en vidéo sur l’histoire de la Première Guerre Mondiale, chaque vendredi, samedi et dimanche - et ce jusqu’au 11 novembre 2018 - dans votre 19/20 mais également sur lorraine.france3.fr

11H25 ÇA ROULE EN CUISINE EST DE RETOUR !Faites votre marché gourmand en compagnie de Romain Deplaine, le chef itinérant de « Ça Roule en Cuisine ».Ça Roule en Cuisine, l’émission qui parcourt les marchés du Grand Est vous entraîne chaque dimanche à 11h25 dans une nouvelle aventure culinaire : préparez votre serviette, et attachez votre ceinture !

Cette semaine, Ça Roule en Cuisine se rend à Nancy. Invitée : Laure Arnoux, artiste, auteure de poèmes et passionnée de cuisine.

11H55 SORTIR EN LORRAINE

12H00 12/13 LORRAINEPremier rendez-vous info de la journée.

12H55 POURQUOI CHERCHER PLUS LOIN ?Étangs et marais en ChampagneÀ une soixantaine de kilomètres de Reims et de ses vignes, au contact de la Brie Champenoise et de la Champagne Crayeuse, se trouve une curiosité naturelle où l’eau a la part belle et offre une nature unique : Les marais de Saint-Gond et la Brie des Étangs.

Souvent dompté, canalisé, maîtrisé par l’homme laissant ici et là son empreinte, ce territoire n’en reste pas moins sauvage et unique, et réserve en son sein plus d’un trésor. Il abrite notamment des vestiges archéologiques vieux de 5000 ans. Plus de 120 sépultures datant du néolithique, ont été dénombrées dans ce secteur, avec une particularité unique en France : ce sont des hypogées, c’est à dire qu’elles sont creusées dans le sol.

Terre d’histoire, ce territoire fut souvent le dernier rempart face aux ennemis à la conquête de Paris.

18H55 SORTIR EN LORRAINE suivi du 19/20 LORRAINE

VOTRE WEEK-ENDLE SAMEDI 26 MARS ET LE DIMANCHE 27 MARS 2016

SAMEDI 26 MARS DIMANCHE 27 MARS

11H25 LA VOIX EST LIBREPrésentation : Francine DubailLa Voix est Libre traite les questions de société : environnement, santé, logement, agriculture, éducation...Cette semaine : l’A 31 bis

12H00 12/13 LORRAINEPremier rendez-vous info de la journée.

18H55 SORTIR EN LORRAINE suivi du 19/20 LORRAINE

INÉDIT

08H50 MAGAZINESLundi : FériéMardi : Littoral : Des hiéroglyphes sur le sable et le mystère d’un tableau éclairé et Pourquoi chercher plus loin : Troyes, l’andouillette en son royaumeJeudi : Cap Sud Ouest : Landes-Barthes et Chalosse et Pourquoi chercher plus loin : Le temps des mirabellesVendredi : Chroniques d’en haut : Mezen, l’hiver à l’état brut et Pourquoi chercher plus loin : Les routes du Comté

09H50 LORRAINE MATIN (sauf mercredi)Présentation : Laurence DuvoidAvec Lorraine Matin, chaque jour à 9h50, votre télévision régionale n’a jamais été aussi proche de vous ! Laurence Duvoid vous donne rendez-vous en direct pour discuter ensemble des thèmes qui vous concernent : santé, famille, droits, bons plans. A 10h20, Lorraine Matin vous propose son Edition de l’Emploi quotidienne : Katia Schmitt vous communique offres d’emploi et formation en Lorraine, et aborde toutes les questions de la vie au travail. Lorraine Matin, c’est aussi la découverte de la Lorraine qu’on aime, celle de nos villes et villages, et la rencontre avec celles et ceux qui les animent. C’est enfin votre premier rendez-vous d’information régionale de la journée, avec les premiers titres de l’actualité.

Lundi : Férié

Mardi : Les frais bancairesInvité : Marc Magimel de l’association Consommation Logement et Cadre de Vie (CLCV)Edition de l’Emploi : L’ Ecole des Mines

Jeudi : Focus sur l’association Les Petits Frères des PauvresInvitée : Dominique Miel, présidente de l’association Les Petits Frères des Pauvres de Meurthe-et-MoselleEdition de l’Emploi : Le technicien en énergie

Vendredi : Non déterminé à ce jourEdition de l’Emploi : Les métiers de la police nationale

10H40 SORTIR EN LORRAINE

12H00 JOURNAL RÉGIONALPremier rendez-vous info de la journée suivi de SORTIR EN LORRAINE.

18H55 SORTIR EN LORRAINE suivi du JOURNAL RÉGIONAL

19H15 C’EST EN LORRAINE ou JOURNAL LOCAL pour les Mosellans.

VOTRE SEMAINEDU LUNDI 28 MARS AU VENDREDI 1ER AVRIL

22H45 SOIR 3 RÉGIONAL

NOUVELLE PROGRAMMATION DE VOTRE DOCUMENTAIRE RÉGIONAL LE LUNDI APRÈS LE SOIR 3

LUNDI 28 MARSNOUS, OUVRIERSEpisode 3 : « Nos coeurs battent encore » 1983 à nos joursUn documentaire réalisé par Claire Feinstein et Gilles PerezUn commentaire de Philippe TorretonUne production par 13 Productions pour France 3 et HistoireOn a peine à l’imaginer. Ils sont pourtant des millions. Un peu plus de sept selon les dernières statistiques. Sept millions de corps qui se plient, de mains qui s’activent, de sueur, de cambouis, de gestes chaque jour mille et mille fois répétés. Les ouvriers représentent encore aujourd’hui un quart de la population active française. La France en bleu de chauffe et chaussures de sécurité travaille toujours. Quand les ouvriers du textile ou de la sidérurgie diminuent, ceux du tri, de l’emballage, de l’expédition ou les conducteurs - livreurs, eux, progressent. Ils sont là et pourtant invisibles. Car ces hommes et ces femmes ont disparu de notre champ visuel. Il faut des fermetures d’usines et des vies qui s’écroulent pour que l’on redécouvre, étonnés, leur existence.Au sortir de la Seconde Guerre Mondiale, ces travailleurs étaient pourtant acclamés comme des héros. « Gueules noires » et métallos étaient alors les figures incontournables de la reconstruction et les fers de lance des plus grandes avancées sociales.Comment une telle mutation a t-elle pu avoir lieu ?

Cette fresque historique en 3 volets revient sur les révolutions, les frustrations, les victoires et les échecs qui ont changé radicalement le visage du travailleur français.

Ils y ont cru : un président de gauche devait forcément les protéger. La désillusion est terrible. Dès 1983, la fermeture des Hauts-Fourneaux, les restructurations dans l’automobile, les délocalisations, l’intérim, le chômage, la précarisation de la vie assomment les ouvriers.Celui qui a un emploi est un chanceux. Pour le conserver, il faut faire profil bas et endurer un rythme toujours plus soutenu. Les ouvriers qui, un temps, avaient espéré accéder aux classes moyennes, se retrouvent une nouvelle fois relégués en bas de l’échelle. La fierté d’appartenance à une classe laborieuse a disparu avec cet espoir déçu. Désormais, on ne se dit plus « ouvrier ». On préfère le nom d’ « opérateur » ou de « technicien ». Sept millions de travailleurs sont ainsi « ouvriers » sans vraiment le savoir eux-mêmes.

VOTRE SEMAINEDU LUNDI 28 MARS AU VENDREDI 1ER AVRIL

MERCREDI 30 MARS

23H25 ENQUÊTES DE RÉGIONS Titre : L’automobile trace sa routePrésentation : Laurence GiroultLe secteur automobile domine le paysage industriel français depuis des décennies. Un secteur frappé entre 2008 et 2013 par une crise qui a conduit à des restructurations, suppressions d’emplois et à la fermeture de l’usine PSA d’Aulnay. Aujourd’hui les constructeurs automobiles renouent avec les bénéfices, mais ils doivent faire face à de nouveaux usages (autopartage, covoiturage) qui s’appuient davantage sur l’utilisation que la propriété du véhicule et relever le défi des innovations technologiques liées à la voiture du futur.

Au sommaire de ce magazine consacré à l’automobile :

Gueules d’ouvriersLe photographe Raphael Helle a passé 6 mois dans les ateliers de l’usine Peugeot de Sochaux. Derrière chaque cliché, chaque visage, une histoire, celle des ouvriers de l’automobile et de leur usine.

Pièces et main-d’œuvreGaragistes, mécaniciens, carrossiers, ils entretiennent et réparent nos voitures. L’emploi dans l’automobile ce sont aussi les activités de services. Des métiers qui ont bien changé du fait des évolutions technologiques. Exemples à travers les formations délivrées au lycée Bugatti de Mulhouse.

Des voitures de rêvePlutôt que d’admirer les belles voitures ou les petits bolides, certains rêvent de les concevoir et les fabriquer. De l’école d’ingénieurs de Nevers à l’entreprise de construction de voitures de courses de la technopole de Magny Cours, rencontre avec des jeunes et des entrepreneurs qui font de leur rêve leur métier

Lorraine Dietrich, la marque disparueElles ont gagné deux fois les 24 heures du Mans et leur prestige était associé à la Lorraine. Produites à Lunéville jusqu’en 1935 les Lorraine Dietrich étaient destinées à une clientèle aisée. Il ne reste plus aujourd’hui de cette voiture mythique que quelques modèles dans le monde et des passionnés pour les collectionner.

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00H20 BERNARD THÉVENET, LE TOMBEUR DU CANNIBALEUn documentaire de Laurent CadouxUne coproduction France Télévisions, Zombi Films et Anaïs VitaIl y a quarante ans, la planète vélo a tremblé sur les pentes de Pra-Loup, un après-midi de juillet, quand Eddy Merckx a perdu pour toujours un maillot jaune qu’on croyait éternellement sien.

Bernard Thévenet le dit lui-même, il a emporté d’autres victoires que le Tour de France 1975 et sa fameuse 15ème

étape. Cependant, en France comme ailleurs, ce moment crucial de l’histoire du cyclisme a marqué suffisamment pour que l’on retienne avant tout de notre sympathique Bourguignon, qu’il est le tombeur du Cannibale.

Venu de la terre que ses parents cultivaient avec acharnement et pour un maigre revenu, il a cherché et trouvé dans le cyclisme un ascenseur social, comme un Raymond Poulidor et beaucoup d’autres avant lui.Plus motivé par la passion du vélo que par l’attrait des modestes salaires des coureurs de son temps, il a participé à une époque du sport cycliste qui semble bien loin du sport-business d’aujourd’hui.

En plongeant dans les archives de la télévision et dans la mémoire des acteurs de ce cyclisme devenu mythique, Laurent Cadoux nous offre un film aussi sympathique que Bernard Thévenet peut l’être. Il nous fait revivre une époque autant qu’une carrière, avec les hauts et les bas de celle-ci, servi par l’humour et la chaleur de Bernard comme de ses proches, coéquipiers, mécano, adversaires ou journalistes et finalement tous copains.

De la ferme des origines à la gloire des Champs-Élysées, du laborieux exercice du métier à la joyeuse équipée d’un Thévenet devenu cyclotouriste, il nous raconte avant tout une histoire où s’incarnent la volonté, la passion et l’amitié.

En bleu, une Lorraine Dietrich B3-6 Le Mans Torpedo Sport de 1925. © Eric Feferberg - AFP