Les tendances de la supervision - Silicon · 5.1 Le point de vue de l’expert : open source ou solution éditeur, bien savoir où mettre les ... Malgré cela, les outils de supervision

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LES TENDANCES DE LA SUPERVISION IT Résultats et analyse de l’enquête menée par Devoteam et CA Technologies

LIVRE BLANC | JANVIER 2015

LIVRE BLANC LES TENDANCES DE LA SUPERVISION IT

JANVIER 2015

Table des matières

Table des matières ........................................................................................................................................................... 2

1 Introduction ..................................................................................................................................................... 3

1.1 Le contexte de la supervision IT .................................................................................................... 3

1.2 L’enquête menée par Devoteam et CA ........................................................................................ 3

2 La supervision et autres notions à connaître .......................................................................................... 4

3 Les tendances des projets de supervision .............................................................................................. 5

3.1 L’analyse des réponses .................................................................................................................... 5

3.2 Le point de vue de l’expert : Peut-on rationaliser sans changer ? ......................................... 7

4 Les gains des projets liés à la rationalisation .......................................................................................... 9

4.1 L’analyse des réponses .................................................................................................................... 9

4.2 Le point de vue de l’expert : les leviers de la rationalisation ................................................ 10

5 L’open source : solution crédible ou trompe l’œil ? ............................................................................. 12

5.1 Le point de vue de l’expert : open source ou solution éditeur, bien savoir où mettre les pieds… ......................................................................................................................................................... 12

6 A retenir.......................................................................................................................................................... 14

6.1 Aller plus loin ................................................................................................................................... 14

7 L’équipe projet .............................................................................................................................................. 15

Page 2/15 Livre blanc proposé par :


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1 Introduction

1.1 Le contexte de la supervision IT

Depuis le début des années 2000 avec le développement d’internet, et aujourd’hui des services Cloud, les besoins de supervision des infrastructures sont devenus un enjeu majeur pour les Directions des Systèmes d’Information (DSI). En effet, elles ont besoin de gérer un nombre croissant de services IT et par conséquent de superviser le niveau de service interne ou externe.

L’offre d’outils s’est tout naturellement étoffée. Les DSI se sont progressivement équipées de différentes solutions leur permettant de monitorer et superviser les services IT sur leur périmètre de compétence.

Il nous a donc semblé important de faire un état des lieux de ce qu’est aujourd’hui la supervision au sein des directions informatiques.

C’est pourquoi Devoteam et CA technologies ont lancé une grande enquête auprès des responsables IT et acteurs de la supervision afin d’en extraire des enseignements et tendances sur les projets de supervision.

Quels sont les déclencheurs de ces projets ? Quelles sont les problématiques rencontrées par les DSI ? Quelles sont les priorités dans un contexte de rationalisation des coûts ?

Ce document vise à synthétiser et analyser les résultats de cette enquête et d’en faire ressortir des tendances ainsi que notre point de vue d’expert.

1.2 L’enquête menée par Devoteam et CA

En juin 2014, CA Technologies et Devoteam ont lancé une enquête en ligne conjointe auprès des décideurs IT et acteurs de la supervision.

Cette enquête a été publiée de juin à octobre 2014, en France, et relayée sur le site Internet de Devoteam, par un mailing auprès de contacts ciblés ainsi que sur les réseaux sociaux Twitter et LinkedIn (ciblage géographique, par métier en par type de société).

Le ciblage effectué a permis de récupérer des réponses provenant de professionnels réellement en lien avec la supervision des services IT et ainsi obtenir un retour d’expérience de qualité de la part d’utilisateurs ayant eu à traiter de ce type de projets.

Les questions de l’enquête se découpaient en 3 grandes parties :

1. Votre métier / votre société / votre rôle

2. Vos projets de rationalisation des outils IT

3. A propos de vous (coordonnées)

Au final et après un tri qualitatif des réponses (basé sur la 1ère partie du questionnaire), nous avons comptabilisé 73 réponses à l’ensemble des 19 questions.

A propos de l’auteur

Bertrand Robion est consultant depuis une quinzaine d’années dans le domaine de la supervision, de la gestion de performance et de la gestion de la capacité. Il a participé à plusieurs projets de déploiements et d’évolutions de plateformes de supervision de gestion de performances.

Aujourd’hui chez Devoteam il est référent technique pour le groupe sur la gestion de la performance, et plus particulièrement sur les problématiques de Performance Management.



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2 La supervision et autres notions à connaître

Avant d’analyser les résultats de l’enquête, il est nécessaire de rappeler ce qu’est la supervision, et de replacer la supervision dans la chaine du traitement des données du système d’information.

Voici donc quelques définitions qui aideront à mieux comprendre ce que l’on entend par supervision IT, mais aussi quelles sont les notions à connaître dans ce contexte.

Supervision : Il s’agit de la fonction de surveillance du système d’information (SI), composée d’un outil ou d’un ensemble d’outils, qui permet d’avoir une vue technique en temps réel de l’état du SI.

Gestion de performance : Il s’agit de la fonction d’analyse du SI, composée d’un outil ou d’un ensemble d’outils, qui permet d’avoir une vue différée et agrégée fonctionnellement (agrégation d’objets dans un groupe), ou temporellement du système d’information

Hypervision : Il s’agit de la fonction de surveillance du SI, composée généralement d’un outil unique, qui permet de fédérer les alarmes et alertes provenant des différents systèmes de supervision. L’hyperviseur va donc corréler et enrichir ces évènements pour fournir des alarmes pertinentes plus simples à exploiter.

Gestion de la capacité : Il s’agit de la fonction d’analyse du SI, généralement composée d’un outil unique qui permet de fournir les prévisions de l’utilisation du SI par des fonctions de dépassement de seuil, de valeur à une date, ou par scenario de prévision.

Les résultats de l’enquête se concentrent uniquement sur les tendances et enjeux de la supervision. Notre réflexion sur la rationalisation des outils va au-delà et intègre également les notions citées ci-dessus.



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3 Les tendances des projets de supervision

Ce chapitre est consacré à l’analyse des tendances des projets de supervision. Il se réfère à l’analyse des 4 premières questions sur les projets de supervision IT réalisés par les personnes sondées.

3.1 L’analyse des réponses

Q1 : Avez-vous mené des initiatives au sein de votre entreprise, pour améliorer la qualité de service dans les

disciplines de supervision IT ?

Un service de supervision IT à améliorer…

Au vu des résultats, et ce, quelle que soit la taille de l’entreprise, un travail de fond a été entrepris afin d’améliorer la qualité du service rendu par les plateformes de supervision puisque 72% des sondés mettent en place ou ont mis en place un projet ou des actions d’amélioration de leurs services de supervision.

Q2 : Avez-vous mené au sein de votre entreprise, un projet de remplacement de solutions de supervision ?

… sans remplacement des solutions

Comme le montre les résultats ci-contre, le besoin d’amélioration de la supervision n’a pas forcément entrainé un remplacement des outils.

Les équipes de supervision IT ont une tendance à consolider et à rester avec leurs outils actuels pour 52% d’entre elles.

Oui, il y a longtemps



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Q3 : Quels sont les freins potentiels au remplacement d’une solution de supervision dans votre entreprise ?

Des projets perçus comme chers et risqués

77% des acteurs de la supervision ne peuvent ou n’osent pas remplacer leur outil de supervision. La doxa de l’organisation IT fait ressortir :

un manque de moyen malgré l’intérêt du projet ;

des risques importants liés au changement d’outils pour les organisations et les utilisateurs.

Q4 : Avez-vous mené au sein de votre entreprise, un projet de rationalisation d’outils de

supervision IT ?

Oui à la rationalisation

Le résultat est intéressant à plusieurs points de vue. 62% des sondés ont ou ont eu un projet de rationalisation de leurs services de supervision.

Ce chiffre monte à plus de 73% lorsque l’on inclut les démarches qui ont été entreprise il y a plus de 3 ans et ce, quelle que soit la taille des entreprises.

Les freins identifiés concernant le remplacement des outils de supervision ne s’appliquent dont plus de la même manière dès lors qu’il s’agit de rationaliser.



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3.2 Le point de vue de l’expert : Peut-on rationaliser sans changer ?

Cette première partie de l’enquête nous offre de nombreux enseignements sur l’état des lieux de la supervision IT dans les entreprises et organisations.

Tout d’abord, on constate que les entreprises sont généralement équipées. Malgré cela, les outils de supervision en place sont souvent mal perçus par les utilisateurs.

Plusieurs facteurs peuvent entrer en jeu pour expliquer ce phénomène :

La perte de données ou d’alarmes ;

L’indisponibilité des plateformes ;

La difficulté à intégrer de nouveaux éléments et des évolutions souvent complexes à mettre en œuvre ;

Une exploitation difficile et un manque de clarté de l’information.

Pourtant généralement considérées comme matures, les solutions de supervision souffrent d’un déficit de satisfaction. Toutefois, et cela peut paraître paradoxal, cette insatisfaction n’engendre pas forcément un changement d’outils.

En fait, il s’agit assez souvent d’une inadaptation des outils en place vis-à-vis :

De l’environnement dans lequel ils sont utilisés ;

Des besoins de l’entité métier.

Cela explique en partie donc le « status quo » constaté.

Mais d’autres facteurs tout aussi importants entrent en jeu :

La maîtrise du budget ;

La peur de la prise de risques.

La peur d’une augmentation du budget de la supervision est un frein important aux initiatives de changement d’outils, et les entreprises interrogées ne considèrent pas la nécessité d’améliorer la qualité de service comme facteur déclencheur de projet.

Pour elles, amélioration de la qualité et maîtrise des coûts sont 2 démarches clairement distinctes qui ne sont pas obligatoirement résolues par un changement d’outils.

Si les sondés ont peu foi en un changement d’outils, ils sont en revanche beaucoup plus enclins à mettre en place des projets de rationalisation.

Cela s’explique notamment par le fait d’obtenir un ROI plus rapidement tout en ayant comme autre avantage de subir moins de freins de la part du management.



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A ce stade, des premières tendances se font donc ressentir : non au remplacement des outils, mais quid des projets de rationalisation ?

Et peut-on réellement rationaliser sans changement ?



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4 Les gains des projets liés à la rationalisation

Il apparaît, d’après l’analyse des résultats précédents, que la rationalisation des plateformes de supervision semble être au cœur des initiatives des entreprises sondées.

Mais quels en sont les gains attendus ? Est-ce que ces gains sont bien réels ?

Ce chapitre va à présent s’intéresser aux attentes des entreprises en matière de rationalisation des outils de supervision.

4.1 L’analyse des réponses

Q5 : Qu’attendez-vous d’un projet de rationalisation des outils de supervision

Pourquoi rationaliser ?

De manière flagrante, 70% des sondés attendent une amélioration de la qualité lorsqu’un projet de rationalisation est engagé, et ce devant la baisse des coûts (50%) et la simplification de mise en œuvre et d’usage (45%).

Q6 : Si vous avez mené un projet de rationalisation de vos outils, quels gains avez-vous constaté ?

Pour les sondés, le message est clair : la rationalisation a amené une diminution des coûts pour 60% d’entre eux, en plus d’une amélioration de la qualité.

Lorsque l’on analyse plus finement ces résultats, on constate que ce ne sont pas forcément les coûts de licences qui représentent une possibilité d’économie mais bien la diminution des charges opérationnelles.

Diminution des charges opérationnelles



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Q7 : Considérez-vous payer le juste prix pour vos outils de supervision ?

Le prix de la supervision

A la question est ce que vous payez le juste prix pour votre supervision, 3/4 des sondés répondent non.

Cependant, il considère à 70% que leur service de supervision rempli correctement son rôle.

Ce que l’on peut résumer par : oui, nos plateformes fonctionnent et remplissent le service, mais ces plateformes ne valent pas le prix qu’elles nous coûtent. Nous parlons bien de plateforme et de services, pas de produit.

4.2 Le point de vue de l’expert : les leviers de la rationalisation

Dès lors que l’on parle de rationaliser, 2 grands objectifs ressortent clairement :

Amélioration de la qualité du service

Réduction des coûts liés à la supervision des services IT

Si aujourd’hui les plateformes de supervision sont considérées comme matures, on constate malgré tout que les utilisateurs attendent toujours une amélioration de la qualité de service.

La rationalisation impacte donc d’une part les outils, mais il est également fondamental de :

Repenser les compétences au sein des équipes IT ;

Redéfinir les processus ;

Revoir les périmètres supportés par ces outils.

Ce sont ces initiatives qui peuvent permettre d’apporter une amélioration de la qualité de service.

Autre point remarquable : si les projets de rationalisation sont initiés dans un but d’amélioration de la qualité de service, c’est finalement au niveau de la diminution des coûts que les résultats se font principalement ressentir.

En effet, les projets de rationalisation permettent finalement de réduire le TCO (Total Cost of Ownership) du service de supervision.

Les freins identifiés précédemment liés au remplacement des outils sont levés puisque d’un côté on constate une diminution claire du TCO, et de l’autre, on peut rendre compte d’une maîtrise des risques puisque ces projets de rationalisation aboutissent.



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Ceci va bien dans le sens des initiatives de rationalisation IT : limiter les coûts en réduisant le nombre de produits tout en capitalisant sur des solutions capables de couvrir plusieurs domaines.

Pour aller plus loin dans cette démonstration, voyons comment un service IT peut rationaliser ses coûts.

Un service IT peut être représenté par un radar composé de la supervision bien sûr, mais aussi de l’hypervision et l’hypervision des services, la gestion de performance et la gestion de la capacité.

Le nombre associé au graphique ci-dessous représente le nombre d’outils mis en jeu dans l’obtention du service.

Ce que l’on constate, c’est qu’il est beaucoup plus pertinent d’avoir une démarche globale de Service Assurance en rationalisant sur tous les axes (techniques et fonctionnels).

Le projet de rationalisation va donc jouer sur :

La réduction du nombre des outils

La couverture fonctionnelle

En réduisant le nombre d’outils tout en augmentant la couverture fonctionnelle, les verrous associés aux coûts sautent plus facilement.

Il est tout à fait possible d’envisager un projet de rationalisation en s’appuyant sur des outils déjà existants. Cela dit, pour atteindre un bon niveau de rationalisation, il est préférable de s’appuyer sur l’introduction d’une solution unifiée permettant, nativement, de couvrir un scope fonctionnel plus étendu.

01234567

Supervision

Hypervision

Hypervision des servicesGestion de laperformance

Gestion de la capacité

Conséquence de la rationalisation des outils

Nombre d'outils avant rationalisation Nombre d'outils après rationalisation



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5 L’open source : solution crédible ou trompe l’œil ?

Q8 : Considérez-vous l’open source comme une réponse possible à vos projets de rationalisation d’outils ?

L’open source, oui mais…

Des résultats partagés donc puisque 55% des sondés pensent qu’une rationalisation de leur supervision avec une plateforme open source est possible dans leur contexte quelle que soit la taille de leur entreprise.

5.1 Le point de vue de l’expert : open source ou solution éditeur, bien savoir où mettre les pieds…

Le choix d’un ou plusieurs produits open source pour rationaliser les services de supervision, gestion des performances, hypervision et gestion de la capacité est sans doute structurant et va bien sûr au-delà de la simple comparaison du ratio fonctions/prix.

Examinons certains des critères à prendre en compte.

Les aspects fonctionnels

La solution open source couvre-t-elle tous les aspects attendus ? L’ensemble des silos technologiques constituant le SI est-il couvert par une ou par plusieurs solutions open source ? Les fonctions cibles de la rationalisation sont-elles présentes dans la solution : par exemple, le lien entre alertes techniques et impacts métiers qui est une des cibles type de la rationalisation ?

Sur cet aspect fonctionnel, il nous semble intéressant de rester dans une logique de comparaison open source versus éditeurs. En effet, le paradigme de « Supervision Unifiée » adopté par certains éditeurs nous semble justifier cette approche, ce paradigme s’inscrivant fortement dans la logique de rationalisation des outils de supervision.

Oui, c’est la seule solution



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Les aspects intégration de la solution

Les solutions open source sont issues par définition de différents contributeurs. Par exemple, les fonctions de reporting, clés dans un projet de rationalisation, peuvent avoir été développées sur un socle technologique différent. De ce fait, l’expérience montre que la mise en œuvre de solutions open source est un vrai projet d’intégration dont il convient d’étudier à la fois le coût, mais aussi le résultat en termes de facilité d’utilisation.

La mise en supervision des applications doit également être un point de vigilance. En effet, cette intégration implique une double compétence technique : l’expertise sur le socle open source et l’expertise sur le socle applicatif, par exemple SAP.

De ce point de vue, la solution éditeur peut être un avantage du fait des partenariats technologiques avec les éditeurs des applications. Il convient bien évidemment de vérifier la pertinence des fonctions de supervision qui sont fournies par l’éditeur avec les experts des socles applicatifs dans les organisations.

Les fonctions de support

Le support de la ou des solutions open source implique la mise en place de la bonne organisation interne et/ou externe avec des points de vigilance pour que le support soit bien assuré. Quelles sont les plages horaires souhaitées ? Quelles sont les compétences nécessaires de ces équipes de support pour corriger les incidents et pour faire les analyses des incidents en tant qu’intermédiaires avec la communauté open source ?

Un autre point à prendre en compte est inhérent au fonctionnement même de la communauté open source qui est basé sur le partage des évolutions identifiées et réalisées dans la solution : êtes-vous prêt à partager ces évolutions avec la communauté ?

Sur ce critère, choisir une solution éditeur nous semble donc sans doute plus simple. En effet, la contractualisation des licences et l’utilisation des services de support éditeurs sont connues et maîtrisées dans les organisations : accès à la maintenance évolutive de la solution, service de support organisé en fonction de la criticité des incidents, engagement sur le traitement des incidents.

La pérennité

Cette question est sans doute la plus complexe, les solutions open source et les éditeurs ayant montré par le passé des choix allant à l’encontre de ce besoin important des organisations.

Pour ce qui est des solutions open source, la réponse est sans doute plus diffuse et la mesure du risque plus compliquée. Cette mesure implique de s’appuyer sur une expérience forte des solutions envisagées et peut passer par un comparatif des différentes solutions afin de sélectionner la mieux adaptée.

Bien évidemment, il conviendra de s’assurer de cette pérennité auprès de l’éditeur également avec des questions telles que : Quelle est sa base installée et le revenu généré sur la solution ? Quelle est la typologie de ses clients et, en particulier, la présence de clients stratégiques pour l’éditeur ? Quelle est la place de la solution étudiée dans sa stratégie ?



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6 A retenir

L’enquête et son analyse nous amènent finalement à quelques conclusions que nous pourrions résumer dans ces quelques lignes.

Il apparaît aujourd’hui plus simple pour les départements IT d’engager un projet de rationalisation au sein de leur entreprise plutôt qu’un changement des outils de supervision et cela pour deux motifs :

Amélioration de la qualité de service

Réduction des coûts

Cependant, en élargissant le paradigme, on peut se poser la question de la mise en place d’une solution unifiée couvrant un plus large scope fonctionnel (supervision et hypervision). Cela permet d’une part de répondre aux attentes des projets de rationalisation aussi bien sur l’amélioration de la qualité que la réduction des coûts. Et d’autre part réduire le nombre d’outils au sein de l’entreprise.

Par ailleurs, si la question de l’Open Source peut très légitimement se poser, gare aux dogmes ! Il est primordial de se poser les bonnes questions tant sur la structure de son entreprise que sur la pérennité des outils avant de franchir éventuellement le cap.

Enfin, quelle(s) que soi(en)t la ou les solutions choisies, un projet de rationalisation doit impérativement s’accompagner d’une réflexion profonde sur les compétences au sein de l’équipe IT, les processus et les périmètres supportés par les outils sélectionnés.

6.1 Aller plus loin

Si vous souhaitez en savoir plus et découvrir les avantages des solutions de supervision et hypervision unifiées, Devoteam et CA Technologies peuvent vous proposer plusieurs alternatives :

Vous pouvez bénéficier d’un essai gratuit de la solution CA UIM à télécharger à cette adresse : http://www.ca.com/fr/lpg/ca-unified-infrastructure-management-trial.aspx

Par ailleurs, nous pouvons vous offrir une demi-journée d’audit de vos outils de supervision afin de vous proposer la solution la plus adaptée à votre infrastructure et votre environnement.

Enfin, n’hésitez pas à contacter directement Bertrand Robion ([email protected]), l’auteur de ce Livre Blanc afin de définir, avec lui, la meilleure solution pour vous.


http://www.ca.com/fr/lpg/ca-unified-infrastructure-management-trial.aspx

mailto:[email protected]


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7 L’équipe projet

Rédaction de ce Livre Blanc :

Ont contribué à l’élaboration de ce Livre Blanc :

Sophie Martinelli, CA Technologies

Leslie Afflatet, CA Technologies

Roland Bajul, CA Technologies

Romain Mary, Devoteam

Bertrand Robion Solution Leader, Devoteam [email protected] +33 (0)6 60 29 97 40

Patrick Chemel Associate Partner, Devoteam [email protected] +33 (0)6 64 49 25 34

A propos de Devoteam Devoteam est un groupe de conseil en technologies de l’information et de la communication créé en 1995, partenaire de référence de la transformation IT de ses clients. La combinaison d’une offre de conseil et d’une offre de solutions technologiques permet à Devoteam d’accélérer la transition des Services de ses clients vers le Cloud et le Digital. Devoteam a réalisé un chiffre d’affaires de 453 M€ en 2013 et compte actuellement 3 600 collaborateurs dans 20 pays d’Europe, d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient. Pour en savoir plus : www.devoteam.fr

A propos de CA Technologies CA Technologies (NASDAQ: CA) contribue à la réussite de ses clients, dans un monde où tout (de l’habillement à l’énergie éolienne) est réécrit par des logiciels. Nos clients placent les logiciels CA au cœur de leur stratégie informatique car ils leurs permettent de tirer parti de la technologie qui révolutionne notre façon de vivre; du centre de données à l’appareil mobile. Nos logiciels et solutions aident nos clients à prospérer dans la nouvelle économie des applications, en leur offrant les moyens de se déployer, de surveiller et de sécuriser leurs applications et leur infrastructure. Notre objectif est d’aider les entreprises à élaborer des applications et des expériences qui stimulent, suscitent et ouvrent de nouvelles opportunités génératrices de bénéfices pour leurs activités. Pour en savoir plus : www.ca.com/fr




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