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n°12 décembre 2010 La lettre BCE > Mercredi 2 février 2011 : Soirée thématique > Vendredi 4 mars 2011 : Déplacement à Bordeaux (Matcth NM1 JSA Bordeaux-ADA Basket) >Mercredi 6 avril 2011 : Visite d’entreprise - St-Michel Biscuits à Contres > Vendredi 27 mai 2011 : Soirée Festive Sommaire > Interview de… - Olivier KOLB > Rencontre avec… - Sébastien Poussard - Alizéa - Olivier Cobos - Com’Une > Soirée BCE… - Assemblée générale Interview de Olivier KOLB Nouvellement arrivé à l’ADA, nos lec- teurs sont curieux d’en savoir un peu plus sur toi ? Peux-tu te présenter et nous retracer brièvement ta carrière de basketteur ? J’ai 23 ans. J’ai commencé le basket à l’âge de 12 ans en Alsace, région dont je suis originaire. Après ma première année cadet, j’ai été recruté pour jouer en cadet France et espoir PRO B à Mulhouse (ville où j’ai rencontré Johan Blot). Puis, la ligue ayant supprimé les espoirs PRO B, Dijon m’a recruté pour intégrer le centre de formation cadet France et espoir PRO A. J’y suis resté quatre années, puis un an à Prissé Macon en N1 et un autre à Châ- lons-en-Champagne toujours en N1. Et me voici à Blois. Pourquoi as-tu décidé de rejoindre l’équipe de Blois ? Blois m’a contacté très rapidement après la fin du championnat et m’a proposé un bon projet sportif. J’attendais également une réponse de l’Union entre Reims et Châlons-en-Champagne qui montait en PRO B mais cela ne s’est pas fait, c’est donc naturellement que j’ai signé avec l’ADA Blois Basket. Comment s’est passée ton intégration à l’ADA ? Très bien, cela a été plutôt facile de m’intégrer. Je connaissais déjà Johan. Les autres anciens sont cool. J’ai aussi sympa- thisé très vite avec les nouvelles recrues car on est de la même génération. La vie de famille et celle d’un sportif professionnel est-elle conciliable ? Comment gères-tu tes déménage- ments fréquents ? Je ne sais pas, je ne suis pas marié et je n’ai pas d’enfant mais c’est vrai que cela fait trois ans que je déménage chaque été et c’est un peu pesant. On fait de nouvelles rencontres puis l’année sui- vante, on change de ville et on doit tout recommencer. Mais bon, il faut s’adapter comme tout salarié qui peut être amené à être muté. Suite >

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n°12 décembre 2010 Comment s’est passée ton intégration à l’ADA ? Très bien, cela a été plutôt facile de m’intégrer. Je connaissais déjà Johan. Les Suite > > Vendredi 4 mars 2011 : Déplacement à Bordeaux (Matcth NM1 JSA Bordeaux-ADA Basket) > Vendredi 27 mai 2011 : Soirée Festive autres anciens sont cool. J’ai aussi sympa- thisé très vite avec les nouvelles recrues car on est de la même génération. > Mercredi 2 février 2011 : Soirée thématique

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n°12 décembre 2010

La lettre BCE

> Mercredi 2 février 2011 : Soirée thématique

> Vendredi 4 mars 2011 : Déplacement à Bordeaux (Matcth NM1 JSA Bordeaux-ADA Basket)

> Mercredi 6 avril 2011 : Visite d’entreprise - St-Michel Biscuits à Contres

> Vendredi 27 mai 2011 : Soirée Festive

Sommaire> Interview de…

- Olivier KOLB

> Rencontre avec… - Sébastien Poussard - Alizéa

- Olivier Cobos - Com’Une

> Soirée BCE… - Assemblée générale

Interview de Olivier KOLBNouvellement arrivé à l’ADA, nos lec-

teurs sont curieux d’en savoir un peu

plus sur toi ? Peux-tu te présenter et

nous retracer brièvement ta carrière de

basketteur ?J’ai 23 ans. J’ai commencé le basket à

l’âge de 12 ans en Alsace, région dont je

suis originaire. Après ma première année

cadet, j’ai été recruté pour jouer en cadet

France et espoir PRO B à Mulhouse (ville

où j’ai rencontré Johan Blot). Puis, la ligue

ayant supprimé les espoirs PRO B, Dijon

m’a recruté pour intégrer le centre de

formation cadet France et espoir PRO A.

J’y suis resté quatre années, puis un an

à Prissé Macon en N1 et un autre à Châ-

lons-en-Champagne toujours en N1. Et

me voici à Blois.

Pourquoi as-tu décidé de rejoindre

l’équipe de Blois ?

Blois m’a contacté très rapidement après

la fin du championnat et m’a proposé un

bon projet sportif. J’attendais également

une réponse de l’Union entre Reims et

Châlons-en-Champagne qui montait en

PRO B mais cela ne s’est pas fait, c’est

donc naturellement que j’ai signé avec

l’ADA Blois Basket.

Comment s’est passée ton intégration

à l’ADA ?Très bien, cela a été plutôt facile de

m’intégrer. Je connaissais déjà Johan. Les

autres anciens sont cool. J’ai aussi sympa-

thisé très vite avec les nouvelles recrues

car on est de la même génération.

La vie de famille et celle d’un sportif

professionnel est-elle conciliable ?

Comment gères-tu tes déménage-

ments fréquents ?

Je ne sais pas, je ne suis pas marié et je

n’ai pas d’enfant mais c’est vrai que cela

fait trois ans que je déménage chaque

été et c’est un peu pesant. On fait de

nouvelles rencontres puis l’année sui-

vante, on change de ville et on doit tout

recommencer. Mais bon, il faut s’adapter

comme tout salarié qui peut être amené

à être muté. Suite >

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Pouvez-vous nous présenter votre entreprise ? Votre parcours profes-sionnel ? Vos services et activités ? Vos clients ?Alizéa a été créée en 2004, après un parcours professionnel, en tant que salarié, qui m’a apporté l’expérience nécessaire pour envisager autre chose. Des clients exprimant leur souhait de travailler avec moi, je me suis lancé dans l’entreprenariat. Sept ans après, je ne le regrette pas, d’autant plus que cette clientèle historique me reste fi-dèle.Alizéa se positionne sur deux dépar-tements : l’Internet et la création graphique. De façon générale, Alizéa propose le développement de sites In-ternet vitrines, et particulièrement de sites de vente e-commerce. C’est une spécificité dans laquelle, avec le temps, Alizéa a acquis une certaine légitimité. Tous les services liés à l’Internet (em-ailing, référencement, emarketing…) sont proposés également par l’agence.

En matière de création graphique dite « papier » ou « traditionnelle », Alizéa imagine, conçoit, réalise des logos, des affiches, des plaquettes commerciales, des journaux, des stands… Des projets dont elle peut conserver la maîtrise d’œuvre jusqu’à l’impression de ces supports, dans le souci d’une presta-tion complète apportant un confort ap-préciable et apprécié par la clientèle.Nos clients n’ont pas de « profil type ».Toutes les tailles d’entreprise, tous les secteurs d’activités sont représentés. En revanche, ils présentent un point commun : tous appartiennent au « ré-seau bouche à oreille » par le bais du-quel les plus anciens me font connaître auprès des nouveaux venus !

En un mot, comment définissez-vous votre métier ? Un mot ? … défi ! Le besoin en commu-nication de chaque client relève d’un challenge qui demande le décryptage d’une problématique, l’écriture d’une

idée (la sienne) dont il ne maîtrise pas toujours la traduction. Entendre un client vous dire : « Vous avez su tra-duire ma pensée ! », c’est en cela que ce métier est un défi et une récom-pense. C’est un métier passionnant qui met en œuvre la créativité. Il y a pire, non ?

Graphiste, c’est une passion ou un métier ? Les deux ! J’ai cette chance. Attiré très jeune par les arts plastiques, j’ai voulu en faire un métier. Après un baccalau-réat en arts appliqués, j’ai complété mon cursus par trois années d’études en arts graphiques à l’école des tech-niques de l’image de communication ETIC, à Blois. Pratiquer ensuite ce mé-

Rencontre avec…

Quel regard portes-tu sur le début de saison ? On a très bien commencé la saison avec cinq victoires pour une défaite, chose qui n’était pas acquise au vu des équipes que l’on a rencontrées. Puis on a perdu à Denain alors qu’on menait tout le long du match. Vient ensuite la défaite à domi-cile face à Bordeaux qui affichait ce soir là une bonne dose de talents individuels. Puis l’équipe va perdre à Saint Quentin en produisant un très mauvais basket. C’était une période difficile à gérer men-talement. En plus, pour couronner le tout, nos prestations n’ont pas été à la hauteur

jusqu’au match à Roche-la-Molière qui n’a pas été extraordinaire. Cependant, la victoire a été acquise grâce à l’esprit d’équipe. J’espère que nous confirmerons ce week-end en gagnant à Blois contre Challans.

La blessure de Chris te confère plus de responsabilités dans le secteur intérieur (avec Johan). Tes impres-sions ?Je ne me prends pas la tête avec ça. Ce qui compte c’est de gagner des matchs et de réaliser l’objectif de la saison. Que je joue 10 ou 30 minutes, l’important c’est

la victoire et l’équipe. A noter que je pré-fère jouer 30 minutes !

Comment imagines-tu ta vie dans 10 ans ? As-tu déjà réfléchi à l’après-basket ? Dans 10 ans… je suis très imaginatif d’habitude mais là je ne peux pas me prononcer… L’après-basket, oui j’y pense. J’ai d’abord essayé le coaching d’équipes de jeunes mais ce n’est pas pour moi. Actuellement, je fais une formation de création et gestion d’entreprise en asso-ciation avec la Faculté de Mulhouse. A suivre donc.

Assemblée générale : le BCE atteint les 150 adhésionsLes murs du Novotel étaient tout juste assez larges pour accueillir la tradi-tionnelle assemblée générale du BCE, le 6 octobre dernier. Il faut dire que le BCE vient de passer le cap des 150 adhésions. La soirée a d’ailleurs été l’occasion de présenter les nouveaux membres.Au programme également, le calen-drier des rendez-vous à venir entre vi-sites d’entreprises, soirées thématique,

sportive ou festive et déplacement bordelais en mars pour la rencontre NM1 JSA Bordeaux / ADA Basket 41. L’occasion d’une découverte des crus ? A voir…A l’heure des bilans : une saison ponc-tuée de rendez-vous business ou festifs et un rapport financier positif qui a per-mis un don de 5 500 € à l’ADA.En bref, le BCE se porte bien.

tier à son compte, vous ne pouvez le faire que si vous êtes un passionné pur et dur. C’est un métier qui vous colle à la peau, empiète parfois sur le privé. Il faut donc l’aimer (peut-être de trop !) pour accepter ses contraintes.C’est un métier très varié, dans l’exer-cice duquel chaque graphiste peut apposer sa « patte ». Répondre à l’at-tente d’un client, donner vie à son pro-jet véhicule quelque chose de grisant pour un graphiste. C’est de là que vient d’ailleurs notre slogan : « Donnez vie à vos projets ! »

Quels sont vos projets ou orienta-tions pour les prochaines années ?De nombreux services, tels que la pro-tection antispam (500 000 spams sont bloqués par mois), le SMSmailing… sont apparus au fil des années, afin de répondre plus précisément à la demande des clients. Les orienta-tions sont multiples surtout au contact d’Internet, que ce soit au niveau de la conception, de la rédaction ou de l’image.L’avenir pour Alizéa ? Transposer et mettre en application tout le savoir-faire acquis avec ses clients, sur des projets de e-commerce d’un nouveau genre…

Comment êtes-vous entré au Basket Club Entreprises (BCE) ?Par le biais du club des créateurs et repreneurs d’entreprises de la CCI de Loir-et-Cher. Hugues Chollet (ancien responsable des partenaires du BCE) cherchait un graphiste pour concevoir des supports graphiques pour l’ADA Basket. Cela fait quatre ans que Alizéa est le partenaire graphique de l’ADA Basket.

En quoi consiste ce partenariat ?Il consiste à concevoir graphiquement tous les supports de communication

En introduction, pouvez-vous nous présenter votre entreprise ? Votre parcours professionnel ? Vos services et activités ? Vos clients ?Com’Une est une société fondée le 24 décembre 2009, nous l’avons trou-vée au pied du sapin. Elle est issue de l’association de deux graphistes Olivier Cobos et Jean-Christophe Bernard.

L’objet de Com’Une est la communi-cation ! Créer et concevoir des cam-pagnes de communication, comme de travailler l’image de l’entreprise (logo, charte graphique…). Notre rôle est d’abord de conseiller nos

de la saison sportive de l’équipe 1 (bil-letterie, affiches, posters, panneaux, calendriers, cartes et présentoirs).

Un souvenir d’un match et/ou d’une soirée du BCE ? Chaque match ou soirée apporte son lot de (vrai) plaisir à partager avec les autres. Ce sont toujours des moments d’échanges rafraîchissants, qui vous extraient de ce quotidien parfois trop intense qui est celui de tout un chacun. Et c’est bien, j’apprécie !

Graphiste et sportif, c’est compatible ? Absolument ! Je pratique le tennis de table en compétition depuis un paquet d’années. Je m’implique aussi dans la vie associative de mon club en qualité de vice-président. Par ailleurs, quand l’occasion se présente, je suis toujours partant pour les sorties sportives du BCE, du genre karting, paint-ball, bas-ket partenaires...

> Soirée BCE…

Sébastien Poussard

Olivier Cobos

Suite >

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clients dans le choix de leurs supports ou de leur stratégie de communication. Une fois que nous nous sommes mis d’accord nous créons et concevons ces supports. Nous intervenons dans tous les secteurs de la communication : imprimé, multi-média, grand format et signalétique. Nos clients sont essentiellement des en-treprises de tailles et de secteurs d‘activi-tés différents ainsi que des collectivités.

En un mot, comment définissez-vous votre métier ? Avant tout du service ! Notre métier est d’écouter les problématiques de nos clients, les comprendre pour bien les analyser. Une fois cela réalisé, nous pou-vons commencer à concevoir, imaginer, créer mais en fonction de données fac-tuelles ou des grilles marketing de plus en plus exigeantes.De la production à la diffusion, comme sur les retours analytiques de la cam-pagne, nous pouvons être présents aux côtés de nos clients.

Quels sont vos projets ou orientations pour les prochaines années ?La société ayant moins d’un an, il nous

faut continuer à renforcer son implanta-tion locale. Notre volonté est véritable-ment de travailler à l’échelle de notre territoire en proximité avec nos clients. Dans le même temps Com’Une em-bauche son premier salarié, c’est aussi une nouvelle aventure pour une petite structure comme la nôtre.

Comment êtes-vous entrés au Basket Club Entreprises ?Par le Club des Créateurs et Repreneurs d’Entreprises. Le BCE étant partenaire, Hugues Chollet (à l’époque en charge des relations avec le club) nous a proposé en 2007 de travailler en partenariat sur la réalisation des éléments de communica-tion du Basket Club Entreprises.

En quoi consiste le partenariat avec l’ADA Basket ?Depuis quelques années nous nous occu-pons de la réalisation des différents sup-ports de communication de L’ADA Bas-ket : plaquette, affiches, lettre du BCE, annonces presse… Cette année nous avons en charge la réalisation des sup-ports adressés aux membres du Basket Club Entreprises.

Un souvenir d’un match et/ou d’une soirée du BCE ? Mon meilleur souvenir de match fût le premier auquel j’ai assisté avec mon épouse dans le cadre du partenariat. C’était la première fois de ma vie que je voyais un match de basket en direct. Nous avons été enthousiasmés par l’am-biance du palais et la rapidité du jeu des joueurs, depuis nous allons régulière-ment aux matchs.

Graphiste et sportif, c’est compatible ? Indubitablement, nous avons un métier plutôt sédentaire qui se pratique essen-tiellement devant nos écrans d’ordina-teurs. Du coup, il nous faut impérative-ment garder une pratique sportive.

Informations et renseignements :

Julien Monclar - Tél. : 06 22 19 85 41

27, rue des Ecoles - 41000 BLOIS

E-mail : [email protected]