L'EVOULTION DU MONDE DU TRAVAIL

Livre blanc numérique

RésuméLe concept de travail flexible ne se limite plus au choix entre bureau et domicile : les professionnels d'aujourd'hui veulent pouvoir travailler où qu'ils se trouvent. Toutefois, la pratique du travail mobile varie énormément selon les pays et les entreprises. Pour mieux comprendre les attentes des travailleurs d'aujourd'hui et savoir ce que leur réserve l'avenir, Polycom a financé une enquête sur les tendances et les comportements liés au travail mobile dans le monde. Ce document résume les principales conclusions de cette étude.

Il ressort de l'enquête qu'à l'heure actuelle, près des deux tiers de la main-d'œuvre mondiale font appel au travail mobile. Parmi les avantages perçus, la contribution du travail mobile à l'équilibre entre vie professionnelle et vie privée et à l'accroissement de la productivité arrive en tête dans les réponses des personnes interrogées.

DU TRAVAIL FLEXIBLE AU TRAVAIL MOBILE

L'ESSOR DU TRAVAIL MOBILE

L'aspect culturel est primordial

L'âge a son importance

Préoccupations liées au travail mobile

Vaincre les inquiétudes des salariés

Technologies = travail d'équipe

COMMENT TRANSFORMER LES MODES DETRAVAIL A L'ECHELLE MONDIALE ?

METHODOLOGIE

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Le sondage révèle également certaines préoccupations, par exemple la crainte d'être considéré comme moins travailleur si l'on opte pour la mobilité. Il met également en lumière les différences d'approche entre les salariés plus expérimentés (de 45 à 60 ans) et leurs collègues plus jeunes (de 18 à 30 ans).

Pour que le travail mobile fonctionne, il est indispensable de disposer de technologies adaptées, notamment pour la collaboration vidéo. L'un des avantages du travail mobile est sa capacité d'adaptation aux individus et à leurs besoins. Si cette souplesse contribue bel et bien à son efficacité et à son attractivité, il faut également que certaines technologies de base soient mises en place pour concrétiser sur le long terme ce qui n'est encore qu'une ambition.

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Le débat sur le rôle de la flexibilité dans « l'avenir du travail » a évolué : avoir le choix entre travailler de son domicile ou de son bureau n'est plus suffisant. Désormais, nous voulons pouvoir travailler n'importe où. Bien que cette attente en matière de mobilité émane principalement de la génération Y (les 18-34 ans), qui a grandi avec les périphériques mobiles, les attitudes sont en train de changer dans tous les groupes d'âge. Voilà plus de vingt ans que la plupart d'entre nous utilisent au quotidien ordinateurs portables, tablettes ou smartphones. Il est donc bien naturel que nous recherchions la même mobilité dans notre activité professionnelle.

DU TRAVAIL FLEXIBLE AU TRAVAIL MOBILE

Etant donné le développement

rapide de l'économie des

applications, les entreprises

qui souhaitent attirer et retenir

les professionnels les plus

talentueux doivent adapter

leur culture d'entreprise et

leurs technologies à l'évolution

des comportements¹.

Etant donné le développement rapide de l'économie des applications, les entreprises qui souhaitent attirer et retenir les professionnels les plus talentueux doivent adapter leur culture d'entreprise et leurs technologies à l'évolution des comportements¹. Pour mieux comprendre les attentes des professionnels d'aujourd'hui, Polycom a financé une enquête sur les tendances et les comportements relatifs au travail mobile dans le monde. Ce document résume les principales conclusions de cette étude².

1. Flexible Working: Goodbye 9 to 5 (Travail flexible : fini les horaires de bureau classiques), Institute of Leadership and Management. 2013.

2. Work Anywhere Global Survey (Enquête mondiale sur le travail mobile), Morar Consulting. 2017

L'ESSOR DU TRAVAIL MOBILE

Oui, et je travaille souvent de cette façon

Oui, et je travaille de cette façon de temps en temps

Oui, mais je ne peux pas car ma demande a été refusée

Oui, mais je n'en profite pas parce que je préfère travailler au bureau

Oui, mais cela ne m'est pas applicable car mon poste m'oblige à être sur site en permanence

Oui, mais je ne le fais pas car je pense que travailler à distance nuirait à mes perspectives de carrière

Oui, mais je ne le fais pas parce que l'entreprise ne fournit pas les technologies adaptées pour travailler e�cacement de n'importe où

Non

Allemagne

USA

UK

Canada

France

Chine

Russie

Singapour

Japon

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Brésil

Inde

Australie

43%

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32%

8%

VOTRE ENTREPRISE PROPOSE-T-ELLE UNE MODALITE DE TRAVAIL FLEXIBLE*  ?

A l'heure actuelle, près des deux tiers de la main-d'œuvre mondiale font appel au travail mobile. Par rapport aux 14% enregistrés en mai 2012, il s'agit d'une évolution remarquable et relativement rapide des modes de travail. L'enquête menée auprès de plus de 24 000 personnes de 12 pays différents montre que cette tendance est une réalité à l'échelle mondiale. Elle est également révélatrice de la façon dont différentes cultures et différents groupes d'âge appréhendent la notion de travail mobile.

L'ASPECT CULTUREL EST PRIMORDIAL

Toutes les cultures n'ont pas forcément le même rapport au travail ; il est donc inévitable que les préférences varient d'un pays à l'autre. L'enquête montre que le Brésil est à l'avant-garde : sur l'ensemble des pays étudiés, c'est là que l'on trouve la plus forte proportion (80%) de salariés pratiquant le travail mobile.

Le Japon se situe à l'autre extrême, puisque 35% seulement des entreprises japonaises offrent la possibilité de travailler de façon flexible ou mobile. Ce contraste culturel n'est pas totalement inattendu. Dans les entreprises japonaises, les longues journées de travail et le « présentéisme » (ou présence au bureau quoi qu'il arrive) ont toujours été bien vus. En 2014, le gouvernement japonais a même mis en place des mesures pour empêcher le « karoshi », ou mort par surmenage4. Cela montre qu'heureusement, le rapport au travail est en train d'évoluer,

même si, comparé au reste du monde, ce changement est beaucoup plus lent au Japon5.

L'enquête commanditée par Polycom s'est également intéressée aux principaux avantages du travail mobile tels qu'ils sont perçus dans différentes cultures. L'avantage le plus fréquemment cité est la contribution du travail mobile à l'équilibre entre vie professionnelle et vie privée. Des pays comme la Chine (72%), le Canada (70%) et l'Australie (68%) s'accordent à considérer ce rôle comme le plus gros atout du travail mobile. Autre avantage clé : la productivité, qui arrive en tête de liste pour les personnes interrogées au Brésil (75%). Les réponses à l'enquête ont également révélé certaines préoccupations autour du travail mobile. Plus de la moitié (62%) des personnes interrogées (et plus de deux tiers pour la Russie et l'Inde) craignent avant tout d'être considérées comme moins travailleuses si elles adoptent cette pratique.

Il existe cependant, hormis l'aspect culturel, d'autres facteurs qui influent sur les attitudes par rapport au travail mobile, par exemple les différences d'âge.

3. Flexible Working Provision and Uptake Survey Report (Rapport d'étude sur l'offre de travail flexible et son adoption), CIPD. 2012.

4. Japan: one fifth of employees at risk of death from overwork (Japon : un cinquième des employés risquent la mort par surmenage) – article du Guardian. 2016. Japanese still suffer ‘death by overwork’ as long hours persist (Les Japonais continuent de beaucoup travailler et risquent la « mort par surmenage »), FT.com. 2016.

5. Is Japan’s culture of overwork finally changing? (La culture japonaise du surmenage est-elle enfin en train de changer ?), BBC News Online, 2016.

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On peut travailler n'importe où et

être plus productif

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Cela permet d'économiser sur les

déplacements

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On a plus de temps pour faire de l'exercice/

se consacrer à ses loisirs

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On évite le stress des allers-retours

domicile-bureau

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C'est l'employé qui décide de l'équilibre entre sa vie professionnelle

et sa vie privée

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SELON VOUS, QUEL EST LE PLUS GROS AVANTAGE DU TRAVAIL FLEXIBLE ?

L'AGE A SON IMPORTANCE

Le sondage souligne tout particulièrement la différence entre l'approche du travail mobile adoptée par les 45-60 ans et celle de la génération Y (18-30 ans).

Un peu plus de la moitié (51%) des 45-60 ans déclarent profiter régulièrement de la possibilité de travailler n'importe où, contre 70% des membres de la génération Y. Il se peut que cet écart soit dû aux différences d'opportunités offertes par les entreprises en matière de travail mobile. En effet, 15% seulement des 18-30 ans déclarent travailler pour un employeur qui ne propose pas le travail mobile, contre 36% pour la génération précédente.

Qui plus est, le fait que le secteur qui emploie le plus de 18-30 ans soit celui des technologies n'est peut-être pas une coïncidence. Pour les 45-60 ans, le secteur le plus fréquemment cité est la fabrication, qui, de par la nature même du travail, est plus susceptible d'exiger la présence des salariés sur site que le secteur des technologies, où les outils de communication modernes sont plus largement adoptés.

Quant aux raisons pour lesquelles ils optent pour le travail mobile, si les deux groupes d'âge considèrent l'équilibre entre vie professionnelle et vie privée comme l'avantage majeur, les 45-60 ans sont plus stressés que les 18-30 ans par les déplacements entre leur domicile et leur lieu de travail. Pour 35% environ des travailleurs plus expérimentés, éviter ces déplacements est l'un des côtés positifs du travail mobile, contre 22% seulement des 18-30 ans. La santé est également prise en compte par de nombreuses personnes interrogées : 39% des 18-30 ans estiment qu'avoir plus de temps pour faire de l'exercice est un avantage du travail mobile, contre 30% seulement des 45-60 ans, qui n'en font pas forcément une priorité.

PREOCCUPATIONS LIEES AU TRAVAIL MOBILE

L'enquête a aussi révélé, comme on pouvait s'y attendre, certaines inquiétudes concernant le travail mobile. La première d'entre elles (pour 62% des personnes interrogées) concerne l'opinion des autres salariés, qui peuvent penser qu'un collègue adepte du travail mobile travaille moins s'il n'est pas au bureau.

Cependant, si l'on procède par groupe d'âge et par niveau d'ancienneté, on voit émerger d'autres préoccupations. Plus de la moitié (59%) des 45-60 ans craignent que le travail mobile ne les pousse à faire plus d'heures. La peur de trop travailler ou de ne jamais pouvoir « débrancher » est souvent un obstacle majeur pour ce groupe d'âge. Les responsables d'entreprise doivent en tenir compte s'ils veulent que le travail mobile soit couramment accepté dans l'entreprise.

Même si les hauts responsables craignent souvent, eux aussi, d'être considérés comme moins travailleurs, l'un des résultats les plus intéressants de l'enquête à ce niveau d'ancienneté concerne la peur de se laisser distraire : 40% des personnes occupant des postes à responsabilité déclarent craindre de se laisser distraire. Cette tendance est plus marquée au niveau de la direction (36%) qu'ailleurs.

VAINCRE LES INQUIETUDES DES SALARIES

L'un des leitmotivs qui reviennent souvent lorsqu'on parle de travail mobile est le manque de confiance. Les employeurs doivent faire confiance à leurs employés, ceux-ci doivent faire confiance à leurs collègues... et tous les travailleurs doivent avoir confiance en eux-mêmes. L'une des premières choses à faire pour que cet impératif devienne réalité est de veiller à ce que la valeur des salariés soit mesurée en fonction de leurs résultats et non pas du nombre d'heures de travail ou de présence.

Les enquêteurs ont demandé aux personnes interrogées comment leur entreprise pourrait développer un climat de confiance entre les travailleurs et améliorer l'image du travail mobile afin d'apaiser les inquiétudes relevées. Les solutions les plus fréquemment citées sont les suivantes :

• Equiper les travailleurs de technologies faciles à utiliser pour leur permettre de communiquer avec leurs collègues (62%).

• Veiller à ce que les mêmes politiques soient appliquées à tous les membres de l'entreprise, indépendamment de leur ancienneté ou de leur situation (60%).

• Mettre à la disposition des salariés des directives sur la gestion du travail mobile (53%).

Au niveau mondial, 91% des personnes interrogées déclarent que les technologies ont un rôle essentiel à jouer dans l'amélioration des relations et du travail d'équipe.

Ces réponses montrent que les travailleurs comme les responsables comprennent l'importance des investissements technologiques dans la valorisation des individus et des équipes.

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PDG/Vice-président+DirecteurResponsableResponsable juniorJeune diplômé

Mes collègues penseront que je ne travaille pas autant qu'eux

Au final, je ferai peut-être des journées

plus longues

Je ne sais pas si j'arriverai à me mettre au

travail/rester concentré

VOTRE ENTREPRISE PROPOSE-T-ELLE UNE MODALITE DE TRAVAIL FLEXIBLE*  ?

La communication est considérablement enrichie par l'utilisation de la vidéo. Le contact en face en face, indispensable pour consolider les relations, l'esprit d'équipe et la productivité, est absent des appels téléphoniques classiques, de l'e-mail ou de la messagerie instantanée. La vidéo contribue à combler cette lacune et facilite également d'autres types d'interaction. Par exemple, l'enquête a révélé que, pour poser à leur interlocuteur une question rapide, ceux qui utilisent souvent les outils de collaboration vidéo sont plus susceptibles de prendre le téléphone (46%) que d'envoyer un message instantané (37%). D'autre part, 49% des travailleurs expliquent qu'ils font plus attention au ton qu'ils emploient dans leurs e-mails lorsqu'ils communiquent aussi par vidéo avec le destinataire.

TECHNOLOGIES = TRAVAIL D'EQUIPE

Disposer des technologies adaptées, en particulier pour la collaboration vidéo, est indispensable au succès du travail mobile. 75% des personnes interrogées déclarent se servir régulièrement de technologies de collaboration pour communiquer avec des interlocuteurs travaillant ailleurs. Si les préférences des uns et des autres en matière de communication varient, les participants de tous les pays à part le Japon utilisent régulièrement les technologies de collaboration. Les Brésiliens, par exemple, sont particulièrement enclins à communiquer, puisque 64% des personnes interrogées déclarent faire appel à la vidéo plusieurs fois par jour pour contacter leurs interlocuteurs. Il ne s'agit pas là d'une tendance isolée : au niveau mondial, 37% des participants déclarent utiliser la vidéo plus d'une fois par jour pour collaborer, tandis que 89% y font appel au moins une fois par mois.

En ce qui concerne le travail mobile, la vidéo est là aussi considérée comme importante dans la consolidation des rapports : 64% des personnes interrogées estiment que la technologie de visioconférence facilite l'établissement de relations interpersonnelles. Dans les grands pays comme l'Inde ou la Chine, où les équipes sont plus dispersées, cet aspect est particulièrement important : 64% des travailleurs chinois et 72% de leurs homologues indiens affirment qu'ils ont l'impression de mieux connaître leurs collègues parce qu'ils utilisent régulièrement la technologie vidéo pour leur parler.

Pour poser à leur interlocuteur

une question rapide, ceux qui

utilisent souvent les outils de

collaboration vidéo sont plus

susceptibles de prendre le

téléphone (51%) que d'envoyer

un message instantané (46%).

D'autre part, 49% des

travailleurs expliquent

qu'ils font plus attention

au ton qu'ils emploient

dans leurs e-mails lorsqu'ils

communiquent aussi par

vidéo avec le destinataire.

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L'un des avantages du travail mobile est sa capacité d'adaptation aux individus et à leurs besoins. Cette souplesse contribue bel et bien à son efficacité et à son attractivité, mais il faut également que certains éléments technologiques de base soient mis en place pour concrétiser sur le long terme ce qui n'est encore qu'une ambition.

En déployant un réseau de communications unifiées solide comprenant des solutions de conférence, les entreprises peuvent offrir à leurs salariés la possibilité de travailler vraiment n'importe où. Il est clair que la vidéo est l'une des technologies les plus profitables du point de vue à la fois de la productivité et des rapports humains. D'autre part, avec la mondialisation accélérée de l'économie des applications due à la transformation numérique, les applications sont désormais indispensables aux membres des équipes. Elles leur permettent, où qu'ils se trouvent, de joindre n'importe qui sur n'importe quel périphérique, avec par exemple une application d'accès rapide aux visioconférences ou au couplage intelligent. Les innovations comme le couplage intelligent permettent de poursuivre une conférence téléphonique déjà entamée lorsqu'on entre dans une salle de conférence. Elles jouent également un rôle important dans l'adoption du travail mobile.

Toute technologie de collaboration efficace doit faire du lieu de travail, où qu'il se trouve, une extension du bureau. Si les locaux de l'entreprise sont dotés de systèmes de visioconférence haute définition ou d'un studio immersif, l'application installée sur le smartphone ou la tablette de l'utilisateur doit également prendre en charge la haute définition. Si le partage de contenus peut se faire en temps réel sur les systèmes de l'entreprise, l'ordinateur portable de l'utilisateur doit lui aussi autoriser le partage direct et instantané.

Polycom propose aux entreprises des solutions de collaboration qui permettent aux salariés de travailler n'importe où et n'importe quand, sans manipulations complexes, tout en restant aussi productifs que s'ils étaient au bureau. Cependant, la technologie n'est que la première étape sur le chemin de la véritable « collaboration humaine ». Pour que le travail mobile soit effectivement adopté dans le monde entier, nous devons faire en sorte que les travailleurs sachent utiliser les outils technologiques pour améliorer non seulement leur productivité et leurs résultats, mais aussi la satisfaction que leur procure leur travail et l'équilibre entre leur vie professionnelle et leur vie privée.

COMMENT TRANSFORMER LES MODES DE TRAVAIL A L'ECHELLE MONDIALE ?

MéthodologieCette étude a été commanditée par Polycom Inc. et menée par Morar Consulting. Les données ont été recueillies auprès d'un échantillon de 25 234 consommateurs résidant dans les 12 pays suivants : Etats-unis, Canada, Brésil, Japon, Allemagne, Royaume-Uni, Inde, Singapour, Russie, France, Australie, Chine. 55% des personnes interrogées occupaient au minimum un poste de responsable. 58% d'entre elles étaient responsables d'une ou plusieurs autres personnes et 68% avaient des enfants.

Pour en savoir plus sur les avantages de la collaboration pour vos salariés et sur les solutions adaptées à vos besoins, consultez www.polycom.com/your-workspace.