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Saison 2018/19 Dossier d’accompagnement au spectacle L i t t é r a l Compagnie Astrakan

Littéral€¦ · quintet, 30 min ; Karoline Rose, création, quintet, 20 min _ création lumière Marie-Christine Soma _ scéno-graphie Mathieu Lorry-Dupuy ; les balais réalisés

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Page 1: Littéral€¦ · quintet, 30 min ; Karoline Rose, création, quintet, 20 min _ création lumière Marie-Christine Soma _ scéno-graphie Mathieu Lorry-Dupuy ; les balais réalisés

Saison 2018/19

Dossier d’accompagnement au spectacle

LittéralCompagnie Astrakan

Page 2: Littéral€¦ · quintet, 30 min ; Karoline Rose, création, quintet, 20 min _ création lumière Marie-Christine Soma _ scéno-graphie Mathieu Lorry-Dupuy ; les balais réalisés

Littéral

danse _ à partir du CM1 _ durée 1h

avec l’école :

Théâtre d’Alençon mardi 27 novembre, à 14h

en famille :

Théâtre d’Alençon mardi 27 novembre, à 20h30

Les classes sont attendues 15 à 20 minutes avant le début de la représentation, tout simplement pour que le spectacle commence à l’heure !

En cas d’arrivée plus tardive, merci de nous prévenir au 02 33 29 02 29, par respect pour les artistes et les autres classes.

chorégraphie Daniel Larrieu _ interprètes Marie Barbottin, Léa Lansade, Marion Peuta, Jérôme Andrieu, Yan Giraldou, Daniel Larrieu _ musique Jérôme Tuncer, arrangements, solo DL, 10 min ; Quentin Sirjacq, création, quintet, 30 min ; Karoline Rose, création, quintet, 20 min _ création lumière Marie-Christine Soma _ scéno-graphie Mathieu Lorry-Dupuy ; les balais réalisés en paille de sorgho ont été fabriqués à l’ancienne par Didier Dussere à Saint-Chaptes, France _ costumes Clément Vachelard (conception) et Brice Wilsius (réalisation) _ direction technique et régie générale Christophe Poux _ régie son Jérôme Tuncer _ régie plateau Franck Jaminproduction Astrakan recherche chorégraphique _ co-productions Centre Chorégraphique National de Tours/direction Thomas Lebrun, Le Phare, Centre Chorégraphique National du Havre Normandie/direction Emma-nuelle Vo-Dinh, Centre Chorégraphique National de Rillieux-la-Pape/diretion Yuval Pik, Viadanse, Centre Chorégraphique National Bourgogne Franche-Comté à Belfort/direction Héla Fattoumi et Eric Lamoureux, LE VIVAT, Scène conventionnée danse et théâtre d’Armentières, POLE-SUD, Centre de Développement Chorégra-phique de Strasbourg, Centre des arts d’Enghien-les-Bains, scène conventionnée «écritures numériques» _ avec le soutien du conseil départemental du Val-d’Oise, du CDRT/direction Jacques Vincey, dans le cadre d’une rési-dene technique en partenariat ace le CCNT/direction Thomas Lebrun et le soutien du Fonds SACD Musique de Scène _ l’ADAMI gère et fait progresser les droits des artistes-interprètes en France et dans le monde. Elle les soutient également financièrement pour leurs projets de création et de diffusion _ la Compagnie Astrakan est soutenue par la Direction Régionale des Affaires Culturelles d’Île-de-France - Ministère de la culture _ Daniel Larrieu est artiste invité à la Ménagerie de Verre pour l’ensemble de ses projets et artiste associé au Centre des arts d’Enghien-les-Bains

Le spectacle

Joyeux anniversaire !Le chorégraphe Daniel Larrieu a 60 ans. Et cela vaut bien un spectacle ! Dans un jeunisme ambiant au sein du monde de la danse, plus qu’un « senior » il est considéré

comme dinosaure. À cet âge canonique, peut-on encore monter sur scène et créer ? Sa réponse est facétieuse et ludique : il dépoussière son art et nous présente un ballet de 60 minutes pour 6 danseurs et 60 balais, au sens littéral du terme. Posés sur le côté et prêts à l’emploi ou suspendus dans les airs façon Calder, ces accessoires ménagers animent notre imagination. Tout d’abord en solo, le Maître Daniel Larrieu donne le ton et prend la mesure de son corps avant l’apparition de ses cinq apprenti-sorciers. Ensemble ils tracent des lignes précises, ordonnées et épurées. Petit à petit le flambeau est transmis à la nouvelle génération, avec fluidité et légèreté.

Tout un symboleLes soixante balais (en paille de sorgho, fabriqués à l’ancienne) tourbillonnent dans un feu d’artifice visuel. Ils font écho à des souvenirs d’enfance du chorégraphe, dans

le sud de la France : « Le balai de paille s’utilisait pour la terrasse. Son usage était obli-gatoirement sonore et régulier pour ne rien laisser derrière, aucune feuille, fleur ou pous-sière ; il annonçait les beaux jours et les vacances. » . Évocateurs du printemps (faut-il voir ici un sacre ?), de son grand ménage, mais surtout du temps qui passe, le balai est également le moyen de locomotion des sorcières et sorciers. Un ingrédient de choix pour concocter un ballet aérien plein d’humour et de saveurs.

Ce dossier comprend de nombreux liens. Pour les suivre, repérez ce pictogramme !

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L’équipe artistiqueDaniel Larrieu, chorégraphe et interprèteArtiste hyperactif, Daniel Larrieu fait ses débuts de danseur professionnel en 1980. Il multiplie les expériences dans des rencontres chorégraphiques, plastiques, scénographiques et musicales. Entre deux créations, il assure la programmation danse au festival d’Avignon en 1989, il dirige le Centre cho-régraphique national de Tours de 1994 à 2002, expose ses photos (sous le pseudonyme de Daan Larjew) et reçoit de nombreux prix nationaux et inter-nationaux. Au début des années 2010, il participe en collaboration avec l’as-sociation Robinson des Glaces à une expédition où il danse sur des plaques de glace à la dérive pour attirer artistiquement l’opinion publique sur les changements climatiques (projet IceDream avec le cinéaste Christian Merlhiot). Officier des arts et des lettres, il est élevé au grade de chevalier de la Légion d’honneur.

Marion Peuta, interprèteCommence la danse classique et contemporaine à 15 ans dans une associa-tion près de Bayonne, après avoir pratiqué dix ans de gymnastique sportive. Elle intègre la Manufacture de Vendetta Mathea à Aurillac de 2009 à 2012 puis la formation du danseur interprète Coline à Istres de 2012 à 2014, où elle a pu découvrir le travail des chorégraphes Emanuel Gat, Georges Appaix, Thomas Lebrun, Fabrice Ramalingom, Dominique Bagouet – Sylvie Giron et Quan Bui Gnoc. Depuis, elle a notamment travaillé avec Gaëlle Bourges – A mon seul désir, les Gens d’Uterpan Uchronie et Mélanie Mesager Ernesto Processus. En 2016, elle commence une collaboration avec Christian Ubl sur la création Stil et avec Daniel Larrieu pour Littéral et travaille étroitement sur différents projets avec Fabrice Ramalingom et le CCN de Belfort dirigé par Hela Fattoumi et Éric Lamoureux.

Léa Lansade, interprèteLéa Lansade commence la danse et la gymnastique en Bretagne. Elle intègre ensuite le CNSMD de Paris d’où elle sort diplômée en 2006. Après ces années riches en aventures chorégraphiques, allant du répertoire à la création, elle rejoint le Groupe Urbain d’Inter-

vention Dansée du Ballet Preljocaj, Centre Chorégraphique National d’Aix-en-Provence et poursuit sa carrière d’interprète auprès des chorégraphes Jean-Christophe Boclé, Emilio Calcagno et du metteur en scène Pierre Longuenesse.Ses intérêts pour la musique et le théâtre la mènent à échanger avec différents artistes lui permettant d’expérimenter diverses formes de représentation, entre composition, écriture instantanée et improvisation, ainsi que différents espaces de jeu. Titulaire du Diplôme d’État de professeur en danse contem-poraine, elle enseigne parallèlement en conservatoire à de jeunes danseurs, des groupes d’amateurs et est également artiste associée au dispositif Danse à l’École du théâtre La Faïencerie de Creil depuis 2010.

Jérôme Andrieu, interprèteAprès une année passée aux Etats-Unis et l’obtention d’un DUT en commerce, Jérôme Andrieu s’est dirigé vers la danse contemporaine en suivant le cursus du CNSMD de Paris. Interprète régulier de Daniel Larrieu, il a participé entre 1997 et 2010 à toutes les créations du chorégraphe. Jérôme travaille autant avec des chorégraphes « du mouvement » que sur des projets plus « performatifs ».Une longue collaboration le lie à la chorégraphe Mié Coquempot dont l’écriture entretient

un rapport étroit avec la musique contemporaine. Cette démarche vise aussi les arts plastiques comme en témoigne la pièce Trace inspirée du mouve-ment Gutaï qu’ils créèrent au Japon lors d’une résidence à la Villa Kujoyama de Kyoto. Amateur de montage vidéo, Jérôme a réalisé Rewind, duo avec un cube de terre glaise animé, et des films-collage. En 2014, il a participé à une rétrospective orchestrée par Xavier Leroy, retrouve Emmanuelle Huynh pour une pièce aux couleurs japonaises et parcouru le désert californien avec Mié Coquempot pour créer avec elle Rhythm, un « roadance movie » mis en musique par le compositeur Pierre Henry. En 2015, il a rejoint les projets de Sylvain Prunenec et de Fabrice Lambert.

Yan Giraldou, interprèteNé à Toulouse en 1984, il commence la danse à Pau, puis au Conservatoire National de Région de Toulouse et traverse la frontière pour poursuivre ses études à la Real Academia de Madrid. À 14 ans, il rejoint l’École Supérieure de Danse de Rosella Hightower à Cannes.Devenu interprète pour le Cannes Jeune Ballet, il aborde les pièces du répertoire contem-

porain français et y crée ses premiers essais chorégraphiques.De 2003 à 2009, il est interprète au Ballet Preljocaj et participe aux créations et au travail de répertoire des différents spectacles. En 2007, il crée avec Amé-lie Port la compagnie La Locomotive pour laquelle il développe une recherche chorégraphique dans l’univers du spectacle jeune public. La compagnie déve-loppe autour de ses pièces, un travail pédagogique basé sur la sensibilisation du regard de spectateur. Parallèlement, il poursuit son chemin d’interprète avec différents chorégraphes aux univers variés : Stéphanie Aubin, Blanca Li, Angelin Preljocaj. Pour la compagnie The Will Corporation d’Hervé Chaussard, il danse et assiste les projets depuis 2010.Aujourd’hui, il rejoint Daniel Larrieu pour la création de Littéral.

Marie Barbottin, interprèteAprès une enfance en terre bretonne, elle entame en 1999 le cursus de danse contemporaine du CNSMD de Paris. En 2005, elle rejoint comme stagiaire la Ririe Woodbury Dance Company à Salt Lake City (USA). De retour en France, elle est interprète pour les chorégraphes Laurence Marthouret, puis Emilio Calcagno. Elle travaille aussi avec le poète Julien Marcland, le pianiste David Greilsammer, les réalisateurs Ludivine Large Bessette et Étienne Aussel, la créatrice de vêtements Marie Labarelle. Elle a collaboré avec les metteurs en scène Hélène Cinque et Alexandre Zloto, et mené auprès d’eux une réflexion sur le travail du corps de l’acteur. En juin 2013, elle s’est frottée au jeu d’auteur en cosi-gnant et co-interprétant avec Pierre Pontvianne un Vif du Sujet commandé par la SACD, Punkt, créé pour le festival June Évents. Elle est aussi interprète dans plusieurs projets avec Johanna Lévy et nouvellement avec Hervé Chaussard ainsi que Daniel Larrieu.Férue de transmission, Marie a à coeur d’explorer des manières de lier ses expériences artistiques et pédagogiques et de diversifier ses collaborations dans le désir sans cesse renouvelé de rencontrer l’altérité.

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Avant le spectaclePour certains de vos élèves, ce sera la première fois qu’ils découvriront l’univers du spec-

tacle vivant. Ce moment particulier mérite donc qu’on lui porte toute votre et notre atten-tion.

En classe, si cela n’a jamais été fait, expliquez à vos élèves ce qu’est le « spectacle vivant » : contrairement au cinéma ou à la télévision, les artistes sont présents physique-ment sur la scène. Ils voient, entendent et ressentent les réactions du public. C’est pour-quoi, pour ne gêner ni les artistes ni les autres spectateurs pendant une représentation, on ne parle pas avec son voisin et on ne commente pas ce que l’on voit. Le spectateur garde tous ses commentaires et ses impressions pour les partager avec les copains ou en classe à la fin du spectacle !

Préparez-les également aux rituels du spectacle : l’attente avant l’entrée dans la salle (cf. page 4 du document « Préparez votre venue au spectacle »), le billet, l’installation en silence, le noir avant et pendant le spectacle, les applaudissements à la fin de la représen-tation, ainsi que les différents espaces (celui de l’artiste / la scène et celui du public / le gradin) ...

Afin de susciter la curiosité de vos élèves, vous pouvez aborder le spec-tacle par :

� le titre : LittéralRechercher la ou les définition(s) de ce mot.

� des photos du spectacle, dans ce dossier ou sur demande auprès de Ghislain Coumes, chargé de la communication web et du multimédia à la Scène nationale 61 : [email protected] De quel genre de spectacle s’agit-il ? (théâtre, cirque, marionnette...) Pourquoi ? À votre avis, pourquoi y a-t-il des balais sur scène ? À quoi vous font-il penser ?

� Sachant que la chorégraphe Daniel Larrieu a créé ce spectacle pour ses 60 ans, pourquoi utilise-t-il 60 balais ?Retrouvez toutes les définitions du mot «balai» et de ses homonymes, les expres-sions dans lesquelles il est utilisé :

balai (nom masculin, du breton balazn, genêt) (Larousse) ∂ faisceau de brindilles, brosse, fixé à un long manche et utilisé pour nettoyé le sol. ∂ sert à désigner le dernier véhicule de la journée circulant sur une ligne de transport... ∂ Argot - an, année

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Expressions : ∂ Coup de balai ∂ Familier - Du balai ! ∂ Manche à balai

Homonymes : ∂ balais : rubis balais, rubis de couleur rose pâle ∂ ballet : composition chorégraphique [...] interprétée par un ou plusieurs dan-

seurs / troupe donnant des spectacles chorégraphique.

� le résumé du spectacle (p.3 de ce document).

Ces éléments doivent permettre aux élèves de se faire une première idée du spec-tacle, laisser aller leur imaginaire sur ce qu’ils vont voir, sans pour autant dévoiler la totalité du spectacle !

Le jour du spectacle � Présentez-vous à l’entrée du théâtre muni du billet que vous avez

reçu lors de la confirmation de réservation, 15 à 20 minutes avant le dé-but du spectacle. L’hôtesse d’accueil vous remettra un billet pour chacun de vos élèves et accompagnateurs.

� Il est impératif de distribuer à chaque spectateur son billet !

� Billet en main, vous pourrez alors attendre l’ouverture de la salle de spectacle.

� Une fois les portes ouvertes, tous les spectateurs sont invités à venir à la rencontre de l’ouvreur/se et à lui tendre le billet intact, sésame pour entrer dans la salle.

� Dans les gradins, suivez un/e autre ouvreur/se qui vous indiquera où vous placer. Vous pourrez alors l’aider à installer votre groupe.

� Lorsque tous les spectateurs sont installés, les lumières s’éteignent et le noir se fait : le spectacle va commencer ! Les artistes ont alors besoin de sentir le calme et toute l’attention du public à leur égard. L’extériorisation des émotions générées par le spectacle est vivement conseillée, dans le respect des artistes et des voisins.

� Bon spectacle !

Retrouvez plus de détails et toutes les informations dont vous avez besoin dans le dossier Votre venue au spectacle,

téléchargeable sur notre site, rubrique Espace pro/enseignants.

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Après le spectacle Pour aller plus loin

� Réponse aux questions des élèves par l’enseignant, ou par les ar-tistes lorsqu’une rencontre est organisée (dans ce cas, la préparation des élèves avant le spectacle est indispensable)…

Si vous souhaitez organiser une rencontre avec les artistes, contactez Tiphaine Souron, en charge de l’action culturelle à la Snat61 : [email protected] ou 02 33 29 16 96.

� Dans l’imaginaire collectif, le balai en paille n’est pas seulement un outils pour faire le ménage. Il est souvent associé aux sorciers et aux sor-cières : ∂ comme moyen de transport, à l’instar d’Harry Potter et des fameux

matches de Quidditch, ∂ comme symbole de l’apprenti sorcier, débordé par un ensorcellement

raté, dans le film d’animation Fantasia.

� L’art cinétique : ∂ Sur la scène, certains balais de Daniel Larrieu sont suspendus dans les

airs à la façon d’un mobile de Calder.

� La danse à l’école : ∂ Vous trouverez ici des documents pour vous guider dans la mise en

place d’une unité d’apprentissage en danse (DSDEN61 - EPS - par Jean-Jacques Gagez)

Ce que j’ai observé,ce que j’ai vu,

ce que j’ai entendu...

Ce que j’ai ressenti,je trouve que c’est...

Cela me fait penser à...cela me donne envie de...

� Exprimer par un dessin et/ou une phrase son moment préféré, ou celui qui a marqué. Expliquer pourquoi.

� Revenir sur les hypothèses énoncées avant le spectacle.

� Garder une trace de ce moment passé au spectacle afin de satis-faire à l’enseignement de l’Histoire des arts. Par exemple : recueillir le programme de salle, le billet, et les impressions du jeune spectateur (sous quelque forme que ce soit) sur un support approprié. Nous vous proposons ce tableau, à adapter selon vos élèves :

mobile (1949) mobile sur deux plans (1962)

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� le réseau Canopé :

� la conseillère pédagogique départementale Arts Plastiques et His-toire des Arts : Julie Blouet ([email protected])

Julie Blouet est disponible pour vous accompagner dans vos projets pédagogiques, n’hésitez à prendre contact avec elle.

� le portail de l’Éducation Artistique et Culturelle de l’Orne :

� le portail de l’Histoire des Arts :

� les ateliers numérique du Centre National du Costume de Scène, des quizz interactifs pour tout savoir sur les dessous du spectacle vivant :

Ressources

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