Guide du Module 5 DÉFINIR SON PROJET ALIGNÉ · Un objectif bien défini est à Mon intention ce mois : moitié atteint. Abraham Lincoln 5 min 30 min 10 min 30 min 35 min 20 min

Guide du Module 5

Module 0

DÉFINIR SONPROJET ALIGNÉ

par Mylène Muller- PREMIÈRE PARTIE -

ORGANISATIONDU MODULE

Module 5DÉFINIR SON PROJET ALIGNÉ

Temps nécessaire : 7h

Objectif :

PREMIÈRE PARTIE

DEUXIÈME PARTIE

TROISIÈME PARTIE

À l’issue de ce module, le stagiaire sera capable de développer un projet personnel ou un parcours professionnel viable.

Je m’engage à suivre ce chapitre et fixe mes différents rendez-vous :

Chapitre 1 : Présentation du module

Chapitre 2 : L’état d’esprit d’exploratrice

Chapitres 6 à 11, Guide n°2

Chapitres 12 à 15, Guide n°3

Chapitre 3 : Surmonter la peur de l’échecChapitre 4 : Votre défi « Trouver des solutions »Chapitre 5 : Votre défi « Rédiger sa bucket list »

Signature :

Retrouve sur les pages suivantes ton calendrier d’organisation mensuel pour ce module, ainsi qu’une page pour créer ton planning personnalisé.

MODULE 5

Planning sur un mois

Notes :

Mon intention ce mois :Un objectif bien défini est à moitié atteint.Abraham Lincoln

5 min

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vidéo n°1

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vidéo n°3 vidéo n°4

aux questionsrépondre


aux questionsrépondre Visualisation

de la vidéo n°9


Bucket list à enrichir

Certificat à renvoyer

fiche-défi fiche-défi

fiche-défi fiche-défi

fiche-défi

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fiche-défi

1ère partie

Engage-toi encore plus : partage ton planning avec l’équipe et les autres participantes !

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MODULE 5

Engage-toi encore plus : partage ton planning avec l’équipe et les autres participantes !

Planning personnalisé

Notes :Mon intention pour ce module :

5Module 4 - Chapitre 1 : Présentation du module

Chapitre 1 :Présentation du module

Bienvenue dans ce module n°5, que j’ai intitulé « Définir son projet aligné ». Ce module est véritablement un module de transition, c’est-à-dire qu’on va passer de la partie alignement - trouver sa place, sa voie, ce qui est vraiment essentiel pour soi - à la création, la concrétisation de l’objectif qui accompagne

cette mission.

Ce que j’ai vraiment souhaité faire dans cette méthode, c’est justement allier un petit peu le ciel et la terre, allier quelque part les missions de vie, les idéaux (ce qui nous anime mais n’est pas visible) et ce qui est matériel. Nous sommes incarnés dans le matériel, donc à un moment donné il est nécessaire

de savoir comment se fixer un objectif, comment définir son projet.

Une fois qu’on a identifié ce qui nous anime, comment trouver le temps, comment aller au bout de ce projet ou de cet objectif aligné ? C’est ce que j’avais à cœur de faire dans ce programme : réunir les deux ! Je me suis aperçue que souvent, les méthodes passaient énormément de temps sur cette question de l’alignement, de la mission de vie - ce que j’appelle « identifier si notre échelle est appuyée contre le bon mur ». D’autres méthodes parlent uniquement de l’échelle : comment être plus efficace. Comment être plus motivée. Comment aller au bout de ses projets mais sans se poser les questions

préalables. Ce module va faire la bascule entre les deux.

Dans une première partie du module, on va finaliser ensemble votre boussole de l’alignement et donc identifier comment, à partir des différents

éléments des rayons de la boussole, est-ce qu’on définit ce projet ou cet objectif qui est important pour nous, et au service du bien commun - c’est un élément qui est essentiel. Et puis dans un deuxième temps, on va voir comment partir de cette belle idée qui vous

anime et en faire un projet concret, avec un plan d’actions - comment incarner cela dans le monde matériel.

Alors ce projet aligné pourra être un projet d’ordre global, d’ordre professionnel ou bien personnel par exemple. Cela peut être également un ensemble d’objectifs qui vont impacter les différents domaines de votre vie. Tout dépend de ce que vous avez identifié dans les premiers modules : est-ce que vous vous êtes aperçu(e) qu’il y avait des changements majeurs à faire, ou au contraire plutôt

des ajustements ?

Je propose qu’on attaque tout de suite avec le septième rayon de la boussole de l’alignement, qui est le mode action - ou encore l’état d’esprit d’exploratrice.

https://les-ateliers-des-filles-zen.com/module-5-projet/premiere-partie/chapitre-1

6Module 4 - Chapitre 2 : L’état d’esprit d’exploratrice

Chapitre 2 :L’état d’esprit d’exploratrice

Pourquoi vouloir sortir de sa zone de confort ?

Adopter un état d’esprit exploratrice, voilà ce que je vous propose de voir dans ce chapitre. L’idée, c’est que pour définir sa contribution spéciale il faut adopter un état d’esprit qui ouvre votre champ

des possibles, oser expérimenter des choses.

On va bien sûr parler de zone de confort, qui est, comme vous le savez peut-être déjà, l’ensemble des activités, des façons d’agir habituelles que vous avez adoptées au quotidien et qui vous permettent d’être dans un environnement confortable, d’éviter de vous poser 150 questions à la minute. Ces

routines mettent des repères dans votre journée et vous facilitent un petit peu la vie.

Avoir une zone de confort, c’est quelque chose de normal, de naturel. Imaginez si tout était libre à chaque instant : on perdrait une énergie folle à se poser des questions toutes les 2 minutes (« Qu’est

ce que je fais maintenant ? »). Il est quand même bien d’avoir un certain nombre de repères.

Le souci qui va se poser avec cette zone de confort, c’est quand elle devient limitante; c’est-à-dire quand les choses sont tellement ancrées qu’il est difficile de les changer, qu’on n’ose plus les changer. Cela demande même un effort particulier - parce que c’est une zone dans laquelle on est à l’abri de ces questions, de peurs également. On ne se confronte pas à certaines peurs et à court terme., cette zone de confort crée une satisfaction. « Je ne me suis pas posé la question, j’ai fait comme

d’habitude ». Je garde quelque part ma volonté, mon énergie pour autre chose.

Mais à moyen ou long terme, on peut créer une sorte de zone d’enfermement invisible qui nous limite, qui nous enferme. On a le sentiment parfois inconscient d’être prisonnière de son quotidien, d’être enfermé(e) dans des habitudes, de pas avoir d’autres possibilités, de ne pas avoir d’autre choix,

de perdre une partie de sa liberté...

Ce sentiment est souvent inconscient, mais surtout ces barrières sont en réalité simplement internes – elles n’existent pas vraiment. Il n’y a pas de limites en fait : à chaque instant, on a une infinité de choix et en fait on reprend toujours le

même chemin, celui qu’on a tracé et où la route est plus visible.



Pour résumer, la zone de confort, c’est bien d’en avoir une mais il est bon aussi d’en sortir. Il va donc falloir trouver cet équilibre pour se rendre compte que le champ des possibles est en réalité immense, voire infini à chaque instant. Je peux presque tout faire ! Et quand je m’enferme toujours dans les mêmes habitudes, je ne vois plus les autres options. Ces autres options peuvent être simplement des activités qu’on fait autrement, de nouvelles rencontres, de nouvelles activités, des découvertes, des talents qu’on ignore... Il suffit juste d’insuffler un petit vent de nouveauté dans le quotidien, très

régulièrement.

Attention cependant à ne pas être en permanence hors de sa zone de confort non plus, parce que là vous allez avoir l’impression d’être en équilibre sur un fil toute la journée et vous allez vous épuiser – car sortir de sa zone de confort demande quand même des

ressources. Comme écrit plus haut, tout est dans l’équilibre !

C’est hors de la zone de confort que la magie opère !Franklin D. Roosevelt

Comment trouver cet équilibre ?La première chose à faire va être d’identifier ce qui vous limite. Il y a des habitudes qui sont de très bonnes habitudes, qui nous vont bien et pour lesquelles il n’y a pas nécessairement quelque chose à changer. Mais essayez d’identifier les habitudes dans lesquelles vous vous sentez parfois un peu limité(e). « C’est assez dommage », « Ah tiens, eux font comme ça ; je trouve ça vraiment sympa ! ». Identifiez ces petites voix qui vous soufflent qu’autre chose est possible et qui vous donne envie de

faire les choses autrement !

Ensuite, puisque la zone de confort nous permet d’éviter nos peurs, vous avez un travail sur les peurs à faire - on en a parlé dans le module 4, donc je ne vais pas revenir sur les limitations qui viennent de peurs très ancrées. Si vous êtes concernée, je vous renvoie vraiment au modèle de libération des 9

clés de la peur.

Le défi que je vais vous inviter à relever va être plus léger : il s’agit de changer vos habitudes et de vous obliger à faire des choses nouvelles. C’est simplement pour vous aider à vous rendre compte qu’à chaque instant, vous avez une infinité de choix. Vous pouvez faire énormément de choses, faire différemment : vous pouvez faire des choses plus amusantes, plus reposantes... Vous pouvez faire varier plein de petits éléments dans votre emploi du temps pour vous rendre compte que beaucoup

de vos barrières sont en réalité mentales - et que presque tout est possible !

Une fois que vous aurez identifié ces barrières, ces habitudes qui vous limitent et que vous aimeriez changer, vous pouvez nous les partager pour qu’on vous soutienne. Par exemple lors d’une session d’accompagnement, ou via email, l’espace membre, le

groupe facebook...


FICHE-DÉFI

L’état d’esprit d’exploratrice

Chaque matin, vous allez essayer d’identifier 3 choses que vous aimeriez changer dans votre emploi du temps, pour ensuite ouvrir le champ des possibles, ouvrir votre imagination. Faites-vous confiance. Le but de l’exercice est vraiment de réaliser qu’à chaque instant de votre programme quotidien, vous

pourriez faire autrement.

Simplement briser les codes - casser les barrières - imaginer des choses différentes ! Imaginez 3 petites choses à changer par jour, et bien sûr programmez des petits rappels en cours de journée

pour y penser.

Par exemple au lieu de me lever tous les jours exactement à telle heure, je vais mettre mon réveil 10 minutes plus tôt et je vais faire une activité que je n’ai pas l’habitude

de faire ! Au lieu de manger telle chose au petit-déjeuner, à tel endroit dans ma maison, je vais prendre le petit-déjeuner ailleurs et manger autre chose. Au lieu d’aller au travail de cette façon,

je vais changer de mode de transport.

L’HABITUDE LIMITANTE QUE JE VEUX CHANGER AUJOURD’HUI MON IDÉE DE VARIATION À TESTER !

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L’HABITUDE LIMITANTE QUE JE VEUX CHANGER AUJOURD’HUI MON IDÉE DE VARIATION À TESTER !

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N’hésitez pas à nous faire un petit retour de défi, à nous partager ces petites habitudes que vous avez changées et ce que cela vous a apporté. Votre retour permettra aussi à

chacune d’enrichir sa boîte à idées !

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10Module 4 - Chapitre 3 : Surmonter la peur de l’échec

On dit qu’Edinson, avant de réussir à inventer l’ampoule, s’est trompé 9 999 fois et que ce n’est que la 10 000ème fois qu’il a réussi à concevoir une ampoule qui fonctionne.

Et quand on l’interrogeait sur tous ses échecs, il disait « je ne me suis pas trompé 9 999 fois, j’ai juste trouvé 9 999 façons de créer une ampoule qui ne marche pas. ». Pour lui, cela faisait

partie intégrante du processus de création.

Chapitre 3 :Surmonter la peur de l’échec

Dédramatiser l’échec

Bien souvent, ce qui nous empêche de passer à l’action et d’avoir cet état d’esprit d’aventurier, c’est la peur de l’échec, de se tromper, de faire des erreurs. J’aimerais vraiment revenir sur comment surmonter la peur de l’échec, en vous partageant une façon de voir les choses différemment, et

notamment l’échec.

La première notion que j’aimerais aborder et qu’il faut accepter, c’est la normalité de l’échec. L’échec est normal, il fait même partie du processus de réussite. Il a réellement toute sa place dans un

processus d’atteinte d’un objectif, de réalisation d’un projet.

Il y a un autre exemple que je trouve assez fascinant, c’est combien de fois est-ce qu’un enfant tombe avant de réussir à marcher, et combien de

fois est-ce qu’il se relève pour continuer à essayer. Derrière toute réussite, il y a un ou plusieurs échecs - et donc il y a de la persévérance. Bien souvent on ne voit

que la partie émergée de l’iceberg, que la réussite chez les autres et donc on a l’impression que nous sommes les seuls à expérimenter l’échec.

La première chose à faire, c’est donc de dédramatiser l’échec - parce qu’en réalité il n’y a que les personnes qui n’essaient pas qui ne font pas d’erreurs. Mais le problème quand on n’essaie pas, c’est

qu’on apprend pas.



Cultiver sa voix positive

Retenir la leçon

La deuxième chose que je voulais vous partager par rapport à la notion d’échec, c’est l’idée de cultiver constamment votre petite voix positive. On en a parlé dans le module 3 : être guidé(e) par l’amour, prendre l’habitude simplement de s’aimer, de s’entourer de beaucoup d’amour, va beaucoup vous

aider dans cette acceptation de l’échec.

Être moins dur(e) avec soi, moins exigeant(e), mettre l’accent sur les bonnes choses plutôt que sur ce qu’on n’a pas réussi à faire, tout cela va vraiment vous aider à surmonter votre peur de l’échec.

Et puis il y a une troisième piste que je souhaitais vous partager également, c’est de remplacer la notion d’échec par la notion de leçon ou de feedback. Quand vous vous fixez quelque chose et que vous n’arrivez pas à l’atteindre, plutôt que de mettre le doigt sur le problème, l’échec, l’erreur, essayez

de tourner les choses en apprentissage.

Qu’est ce que je peux apprendre de ce qui s’est passé ? Quelles leçons est ce que je peux en tirer pour la prochaine fois ? Réalisez que votre échec n’est pas inutile. Il n’est pas tabou, puisque c’est en fait une étape, un

palier qu’il fallait franchir pour apprendre quelque chose d’important qui va vous permettre d’aller plus haut. Et on n’apprend pas en ne faisant rien ; on apprend

en essayant les choses, en faisant, en se trompant...

En psychologie a été créée la boucle T.O.T.E. Il s’agit d’une modélisation de la réussite, un schéma qui va illustrer le processus de réussite. Elle comprend 4 étapes (en anglais) :

Test

TestOperation

Exit

L’idée, c’est celle-ci : quand on se fixe un objectif, on va faire un test, on va essayer quelque chose. Si ça ne fonctionne pas, on va faire un ajustement (c’est le O de Operation), on change quelque chose

dans notre comportement et on refait un test.

Cela ne marche pas ? Je réfléchis. Qu’est ce qui n’a pas fonctionné, qu’est ce que je peux faire autrement ? Je fais un nouveau test, et ainsi de suite jusqu’à arriver au E, exit, c’est-à-dire l’atteinte de l’objectif. Vous voyez, c’est un modèle de représentation de la réussite où l’échec a toute sa place. Il

est très rare qu’on fasse juste Test puis Exit, qu’on réussisse du premier coup.

En réalité, je fais une petite erreur ou quelque chose ne fonctionne pas. Je me demande ce que j’en apprends pour ne pas la refaire la prochaine fois.


Questions d’auto-coaching

FICHE-DÉFI

Quel est le dernier objectif que vous vous êtes fixé(e) ?

Dans votre test, dans la manière dont vous vous y êtes prise ; qu’est ce qui a marché ?

Qu’est ce qui n’a pas marché ?

Surmonter la peur de l’échec


Cet ensemble de pistes va vous permettre de dédramatiser la notion d’échec et donc d’avoir moins peur si cette peur est très présente pour vous. N’hésitez pas à revenir au module 4

qui traite spécifiquement de la peur.

N’hésitez pas, surtout, à nous poser toutes vos questions relatives à ce sentiment d’échec, et ne restez pas seul(e) avec cette difficulté – contactez-nous si vous êtes

bloqué(e) à ce stade-là.

La question clé : qu’est ce que vous pourriez faire autrement, qu’est ce que vous allez faire autrement pour que ça marche la prochaine fois ?

14Module 4 - Chapitre 4 : Votre défi « Trouver des solutions »

Chapitre 4 :Votre défi « Trouver des solutions »

Comment trouver vos propres solutions ?D’après moi il y a 2 choses que vous pouvez mettre en place. La première, c’est de prendre l’habitude de vous poser des questions, de vous poser des bonnes questions. Vous l’avez sûrement déjà constaté, je glisse des questions clés un peu partout dans ce programme car il est essentiel que vous

preniez l’habitude de vous les poser. J’adore par exemple cette série-là :

Quel est le problème n°1 que vous rencontrez aujourd’hui ?Quelles sont les solutions que vous pourriez mettre en place pour le résoudre ? Trouvez-en 10 (et pas une de moins)Quelles sont les solutions qui vous semblent un peu trop folles pour le résoudre ? Trouvez-en 10 aussi.

N’oubliez pas que dans les dernières idées que vous allez trouver, il y a la magie !

Ce que je voudrais vous partager dans ce chapitre, c’est que vous avez en vous les solutions à vos problèmes. Vous avez en vous les réponses aux questions cruciales que vous vous posez, ou que

vous ne vous posez pas d’ailleurs.

Bien souvent - je le constate dans mon accompagnement, dans les conférences que j’anime - on cherche des réponses ailleurs, on se déresponsabilise un petit peu de son propre cheminement. Et ce que j’aime dans le coaching, c’est qu’il n’est pas déresponsabilisant - au contraire ! Il a vraiment

comme philosophie d’aider la personne à trouver en elle-même ses ressources, ses solutions.

Je vous invite donc à vous poser ce genre de questions régulièrement, et surtout lorsque vous êtes confronté(e) à une difficulté ; et de vous obliger à trouver 10 solutions

normales et 10 solutions folles pour les résoudre. Je mets ces 3 questions-clés sur votre fiche-défi si vous souhaitez y répondre dès à présent.



La deuxième piste que je vous invite à explorer, est en fait un défi que je vous propose de relever : stimuler votre créativité. Il y a un constat derrière ça, c’est que quand nous sommes enfants, nous sommes en mode « créativité absolue » à peu près 100 % du temps. Et quand on devient adulte - sauf si on est artiste et qu’on reste dans cette libre expression - on ne crée plus beaucoup, on se censure

énormément.

Il y a la peur du jugement, le besoin de faire des choses « utiles ». On court beaucoup, on remplit notre emploi du temps de beaucoup d’autres activités et obligations, on ne prend pas le temps pour créer. Et quand je parle de stimuler sa créativité, je ne parle pas que d’art, loin de là. Il s’agit plutôt d’ouvrir votre imagination à ce qui est déjà. De vous faire confiance. Vous avez en vous plein d’idées, vous fourmillez d’idées, mais bien souvent on ne se laisse pas exprimer ces idées-là. Donc faites-vous

confiance, ouvrez votre imagination à ce qui est.

Stimuler votre créativité va vous aider à trouver des réponses à vos questions, des solutions à vos problèmes, à rebondir également, par exemple quand il se passe quelque chose d’imprévu. A ouvrir

votre champ des possibles.

Je vous propose plusieurs pistes pour stimuler votre créativité sur votre fiche-défi.


Une fois par semaine, ou une fois tous les quinze jours par exemple, accordez-vous 2 heures pour être dans l’exploration artistique : visiter un musée, aller à un concert de musique (pas forcément votre musique), renseignez-vous sur Internet, aller à la rencontre

d’artistes, voir une exposition sur un domaine qui vous est totalement inconnu...

Imaginez d’autres manières d’utiliser des objets du quotidien, par exemple 5 idées farfelues à partir d’un trombone.

Je programme ce rendez-vous de l’art avec moi-même :

L’objet choisi :

Piste 1 : Les rendez-vous de l’art.

Piste 2 : Détourner des objets du quotidien.

FICHE-DÉFI

Mes 5 idées farfelues :

Trouver vos solutionsStimuler votre créativité


Prenez quelques pages ou un carnet le matin et écrivez. Ne vous arrêtez pas tant que vous n’avez pas rempli 1 ou 2 pages de votre cahier par exemple. Laissez libre cours à

votre imagination : zéro censure !

Accordez-vous des temps pour ne rien faire : c’est là qu’on est extrêmement créatif ! On dit souvent que l’ennui chez les enfants est quelque chose d’important, parce que quand les enfants s’ennuient, c’est comme si ils ouvraient leurs écoutilles : ils ouvrent vraiment

leur imagination et se mettent à créer des choses incroyables.

Faites pareil. Essayez de vous imposer des temps où vous n’avez pas le droit de faire quelque chose d’utile pour la maison ou pour vous ; mais vraiment d’être dans cette créativité pure. Si vous avez des enfants, accordez-vous des temps créatifs avec eux.

Essayez de vous mêler à leur jeu.

Je programme un matin pour essayer cette routine :

Je programme ce rendez-vous à ne rien faire :

Piste 3 : Les pages du matin.

Piste 4 : Les temps de vide.

« Qui veut s’engager sur son défi ? »

Remplissez ce cadre si vous souhaitez vous obliger à venir partager votre bilan de ce défi lors de la prochaine session de partage.

Oui, je m’engage à venir partager mon bilan de ce défi avec les autres filles zen lors de la session du .

Signature :

https://les-ateliers-des-filles-zen.com/accueil-programme-mvmr


Les questions clés

Quel est le problème n°1 que vous rencontrez aujourd’hui ?

Quelles sont les solutions que vous pourriez mettre en place pour le résoudre ? Trouvez-en 10 (et pas une de moins)


Quelles sont les solutions qui vous semblent un peu trop folles pour le résoudre ? Trouvez-en 10 aussi.

20Module 4 - Chapitre 5 : Votre défi « Rédiger sa bucket list »

Il faut savoir qu’il y a des sites Internet qui se consacrent aujourd’hui pleinement à ce phénomène : par exemple le site de « the lifelist » où on peut partager ses éléments de Bucket list, ses projets, ses rêves et s’entraider avec les personnes qui ont les mêmes, par exemple en

faisant une sorte de co-coaching.

Chapitre 5 :Votre défi « Rédiger sa bucket list »

Qu’est-ce qu’une bucket list ? C’est la liste de toutes les choses que vous aimeriez accomplir avant de mourir, accomplir au cours de votre vie. Tous les projets que vous aimeriez réaliser, les activités

particulières que vous aimeriez faire...

La bucket list a rencontré beaucoup de succès ces dernières années ; c’est devenu un phénomène. En ce qui me concerne, ça a été vraiment un des points de départ de mon changement, avec le livre de

Lori Nelson Spielman « Demain est un autre jour ».

L’idée de ce livre : une jeune fille est obligée de réaliser toutes les choses qu’elle avait noté sur sa bucket list quand elle avait 15 ans pour percevoir l’héritage de sa maman. Et pour moi ça a été vraiment un électrochoc que de me rendre compte que la vie défilait, et que j’étais moi-même prisonnière de cette

routine.

J’ai adoré cette idée de coucher sur le papier ses projets fous, de passer à l’action, de les rendre réalisables. Cela m’a permis de me rendre compte aussi que la vie est limitée et que si on la laisse filer entre ses doigts sans faire attention, on peut aussi passer à côté de tout un ensemble d’expériences

que l’on aimerait faire. Pour moi ça a été un vrai déclic.



Et puis peut-être que vous allez réaliser à ce stade-là ce que j’ai réalisé quand j’ai relevé ce défi : à savoir que finalement, beaucoup de

choses qui nous paraissent totalement folles ne sont pas si inatteignables que ça. On fait d’autres choses qui sont plus coûteuses, en énergie, en argent. Cela

va vous permettre de donner du concret à ce projet ; à commencer à le faire basculer doucement dans le domaine du visible, du possible, du matérialisé.

Nouer des contacts ; par exemple chanter dans une chorale, retrouver de vieux amis...

Apprivoiser ses peurs ; par exemple sauter en parachute ; animer une conférence TedX...

Dépasser ses limites physiques ; faire un trek, courir un marathon...

Vivre l’émerveillement ; par exemple nager avec des dauphins, assister à une naissance, nourrir un animal sauvage...

Sortir du cadre ; par exemple nager nu(e), faire des free hugs...

Atteindre la sagesse ; faire un pèlerinage, une retraite...

Élargir son monde ; apprendre de nouvelles compétences, une nouvelle aptitude, dans un nouveau domaine...

Yuval Abramovitz a écrit un livre qui s’appelle « La magie de la liste », dans lequel il s’est aperçu en comparant des milliers de bucket lists, qu’en réalité il y a à peu près 7 catégories de thèmes qui

revenaient régulièrement sur les bucket lists :

Ce que je vous invite à faire dans ce défi, cela va bien sûr être de rédiger la vôtre. Cela nécessite d’abord d’accorder du temps à cette réflexion, et si possible de le faire en plusieurs fois. Parce que peut-être que la première fois vous allez avoir un ensemble d’idées, et la deuxième fois vous allez être

dans un autre état d’esprit. Les choses auront mûri et vous aurez de nouvelles idées.

L’idée c’est vraiment de vous laisser aller sans censure à tous les projets, toutes les idées que vous avez envie de réaliser ou que vous vouliez réaliser enfant et que vous avez endormi un petit peu. Allez creuser du côté des projets les plus fous, des choses les plus folles que vous pourriez faire ; dont vous

n’osez même pas parler tellement ça vous paraît fou !

Et puis il y a une autre étape dans la conception de cette bucket list, que je trouve très intéressant, c’est là où on passe de l’idée au réel - comme ce qu’on fait dans ce programme. Vous allez chiffrer vos différents projets fous : combien de temps est-ce qu’il vous faudrait ? Combien en ressources financières auriez-vous besoin pour accomplir cela ? Mettre un nombre d’heures par semaine, par exemple de mettre le nombre de mois de formation, de mettre le prix de la formation, du projet ou du

voyage...

Je vous invite ensuite à partager avec la communauté vos différents points de bucket lists. Et puis ensuite, une étape très importante : à passer en mode plan d’actions. Essayez de planifier des actions : quelle est la première petite chose que je pourrais faire pour avancer dans la réalisation de

ce premier point-là de ma liste ?


Questions d’auto-coaching

FICHE-DÉFI

Qu’est ce qui vous donnera l’impression, dans 50 ans, d’avoir vécu une vie fabuleuse ? Qu’est ce qu’il faudrait qu’il y ait eu dans votre vie ?

Quel est le projet le plus fou que vous gardez en vous ?

Qu’est ce qui serait différent si vous réalisiez ?

Surmonter la peur


Etape 1Etape 2

Etape 4Etape 3

Etape 5

Rédaction de ma bucket list

Écrire dans chaque catégorie, toutes les idées folles qui me passent par la tête les prochains jours.

Chiffrer chaque projet (temps, argent, …)

Programmer la première petite action pour 5 des idées.

Indiquer quel est le premier petit pas que je pourrais faire pour chaque idée.

Si je le souhaite, partager mes projets fous avec la communauté !

CATÉGORIES DE BUCKETS LISTS CHIFFRAGE PREMIÈRE PETITE ACTION

NOUER DES CONTACTS



APPRIVOISER SES PEURS

DÉPASSER SES LIMITES PHYSIQUES



VIVRE L’ÉMERVEILLEMENT

SORTIR DU CADRE



ATTEINDRE LA SAGESSE

ÉLARGIR SON MONDE



AUTRES


MES 5 IDÉES À RÉALISER MA PREMIÈRE PETITE ACTION DATE DE LA PREMIÈRE ACTION

Vous voyez l’idée de cette première partie de module : on a parlé de changer ses habitudes, de sortir du cadre, de stimuler sa créativité... On est ici toujours dans le même

principe : cet état d’esprit d’exploratrice, repousser les limites du possible en rendant réelles des choses qui nous paraissent folles. Ce qui vous paraît fou à vous, dites-vous bien que c’est

le quotidien totalement banal d’une autre personne !

J’ai hâte d’avoir vos retours de Bucket list !

« Qui veut s’engager sur son défi ? »

Remplissez ce cadre si vous souhaitez vous obliger à venir partager votre bilan de ce défi lors de la prochaine session de partage.

Oui, je m’engage à venir partager mon bilan de ce défi avec les autres filles zen lors de la session du .

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LES QUESTIONS EXTRAORDINAIRES

Les questions extraordinairesJe vous laisse avec quelques réflexions supplémentaires...

N’hésitez pas à méditer régulièrement sur ces questions.

Quand avez-vous joué pour la dernière fois ?

Que sacrifiez-vous sur l’autel du devoir / des obligations ?

« La roue des mini-défis »

Rendez-vous sur l’espace membre pour recevoir de façon aléatoire un mini-défi à réaliser cette semaine ! Ces courts défis ont pour objectif de vous faire passer à l’action par petits

pas à satisfaction immédiate.

MINI-DÉFIS

Vous avez une question ?Rendez-vous sur votre espace membre pour la poser à l’équipe des filles zen !

https://les-ateliers-des-filles-zen.com/outils/mini-defis

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https://les-ateliers-des-filles-zen.com/aide/questions-reponses

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