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1 L’Orage Chapitre 1 Nous sommes le samedi soir. Je suis seul à la maison avec ma petite sœur de 12 ans. Nos parents, ils sont allés souper en ville. Papa est militaire de carrière et il est souvent partit pour plusieurs mois. Demain matin, il doit de nouveau partir pour quelques mois. C’est pourquoi nous avons voulu que Papa et Maman passent la dernière soirée ensemble. Après avoir soupé, nous regardons un film à la télé. Comme nous sommes seuls, nous regardons un film sur canal plus. C’est pour adulte, mais ma sœur aime bien les films où on s’embrasse et où on fait l’amour. Vers 23 heures, nous montons pour aller au lit. La chambre de ma sœur est juste en face de la mienne. Nous avons laissé les portes de nos chambres ouvertes. Comme il fait très chaud et orageux, je reste en slip et je vois que ma sœur met une petite nuisette très courte, puis elle enlève son slip. Nous nous mettons au lit et dormons très vite. Vers minuit, un orage éclate. Les éclairs illuminent toute ma chambre et puis le tonnerre fait presque trembler notre maison. Ma petite sœur arrive dans ma chambre toute tremblante en disant : – J’ai peur toute seule dans ma chambre, est-ce que je peux venir dormir avec toi ? Je ne vois rien de mal là-dedans et réponds : – Bien sûr, tu peux venir dans mon lit. Ma sœur se love contre moi avec petit derrière contre mon ventre et nous nous endormons très vite. Mais c’était compter sans nos corps d’adolescent en pleine puberté. Je me réveille vers 1 heure avec mon sexe en érection. J’ai 14 ans et ce corps de fillette de 12 ans collé contre moi ne me laisse pas indifférent. C’était ma sœur, mais également une petite femelle collée contre moi. Je poussais mon ventre contre le derrière de ma sœur. Je bandais très fort. Ma verge en érection était trop à l’étroit dans mon slip. Je descends mon slip pour libérer mon sexe, puis je me colle avec mon ventre contre le petit cul de ma sœur. La nuisette de Samira s’était relevée et ma bite trouvait tout de suite sa place entre les fesses de ma petite sœur. Oh ! C’était bon ce contact de ma jeune queue et du cul nu de ma sœur. Je commençais à bouger du ventre pour frotter ma verge raide entre les fesses de Samira. Ce doux petit cul de ma sœur m’a fait perdre la tête. Je commençais vraiment d’avoir envie de ma sœur. Je ne l’avais encore jamais touché, à part nos jeux de docteur ou de Papa et Maman lorsque nous avions 5 ou 6 ans. Mais aujourd’hui c’était différent. Je bandais comme je n’avais jamais bandé et j’étais en rut à cause de ce petit corps nu de fillette couchée contre moi. Pendant que je frotte mon sexe tout raide contre ce joli cul bien chaud, je passe un bras au-dessus du corps de ma sœur pour toucher ses petits seins déjà bien développés. Je caresse ses jeunes mamelons qui durcissent très vite par-dessus sa nuisette. Puis, j’ai envie de les toucher vraiment. Je relève sa nuisette par-devant et passe ma main en dessous par caresser les petits seins de Samira. Ils sont doux et les deux mamelons sont dressés. C’est la première fois que je touche les jolis nénés de ma sœur. Tout ça ne fait qu’empirer mon état d’excitation. Automatiquement, ma main descend le long de son petit ventre plat pour arriver entre ses cuisses, à son mont de vénus et sa petite chatte. J’effleure de mes doigts son jeune sexe et son petit trou à pipi. C’est si doux au toucher. Mes doigts n’arrêtent pas de caresser la petite prune de Samira. Ma sœur commence à gémir doucement. Elle n’est pas encore tout à fait réveillée et est déjà emportée dans la volupté du plaisir. Elle écarte un peu ses jambes. J’appuie de plus en plus fort sur la jeune vulve pendant que ma bite se fraye un chemin entre les cuisses de ma petite sœur. Je

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Un adolescent découvre les charmes de sa petite sœur, puis ceux de sa mère, tandis sa petite sœur profite intimement de leur père.

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L’Orage

Chapitre 1

Nous sommes le samedi soir. Je suis seul à la maison avec ma petite sœur de 12 ans. Nos parents, ils sont allés souper en ville. Papa est militaire de carrière et il est souvent partit pour plusieurs mois. Demain matin, il doit de nouveau partir pour quelques mois. C’est pourquoi nous avons voulu que Papa et Maman passent la dernière soirée ensemble.

Après avoir soupé, nous regardons un film à la télé. Comme nous sommes seuls, nous regardons un film sur canal plus. C’est pour adulte, mais ma sœur aime bien les films où on s’embrasse et où on fait l’amour.

Vers 23 heures, nous montons pour aller au lit. La chambre de ma sœur est juste en face de la mienne. Nous avons laissé les portes de nos chambres ouvertes. Comme il fait très chaud et orageux, je reste en slip et je vois que ma sœur met une petite nuisette très courte, puis elle enlève son slip. Nous nous mettons au lit et dormons très vite.

Vers minuit, un orage éclate. Les éclairs illuminent toute ma chambre et puis le tonnerre fait presque trembler notre maison. Ma petite sœur arrive dans ma chambre toute tremblante en disant :

– J’ai peur toute seule dans ma chambre, est-ce que je peux venir dormir avec toi ?

Je ne vois rien de mal là-dedans et réponds :

– Bien sûr, tu peux venir dans mon lit.

Ma sœur se love contre moi avec petit derrière contre mon ventre et nous nous endormons très vite. Mais c’était compter sans nos corps d’adolescent en pleine puberté. Je me réveille vers 1 heure avec mon sexe en érection. J’ai 14 ans et ce corps de fillette de 12 ans collé contre moi ne me laisse pas indifférent. C’était ma sœur, mais également une petite femelle collée contre moi. Je poussais mon ventre contre le derrière de ma sœur. Je bandais très fort. Ma verge en érection était trop à l’étroit dans mon slip. Je descends mon slip pour libérer mon sexe, puis je me colle avec mon ventre contre le petit cul de ma sœur. La nuisette de Samira s’était relevée et ma bite trouvait tout de suite sa place entre les fesses de ma petite sœur. Oh ! C’était bon ce contact de ma jeune queue et du cul nu de ma sœur.

Je commençais à bouger du ventre pour frotter ma verge raide entre les fesses de Samira. Ce doux petit cul de ma sœur m’a fait perdre la tête. Je commençais vraiment d’avoir envie de ma sœur. Je ne l’avais encore jamais touché, à part nos jeux de docteur ou de Papa et Maman lorsque nous avions 5 ou 6 ans. Mais aujourd’hui c’était différent. Je bandais comme je n’avais jamais bandé et j’étais en rut à cause de ce petit corps nu de fillette couchée contre moi.

Pendant que je frotte mon sexe tout raide contre ce joli cul bien chaud, je passe un bras au-dessus du corps de ma sœur pour toucher ses petits seins déjà bien développés. Je caresse ses jeunes mamelons qui durcissent très vite par-dessus sa nuisette. Puis, j’ai envie de les toucher vraiment. Je relève sa nuisette par-devant et passe ma main en dessous par caresser les petits seins de Samira. Ils sont doux et les deux mamelons sont dressés. C’est la première fois que je touche les jolis nénés de ma sœur. Tout ça ne fait qu’empirer mon état d’excitation. Automatiquement, ma main descend le long de son petit ventre plat pour arriver entre ses cuisses, à son mont de vénus et sa petite chatte. J’effleure de mes doigts son jeune sexe et son petit trou à pipi. C’est si doux au toucher. Mes doigts n’arrêtent pas de caresser la petite prune de Samira.

Ma sœur commence à gémir doucement. Elle n’est pas encore tout à fait réveillée et est déjà emportée dans la volupté du plaisir. Elle écarte un peu ses jambes. J’appuie de plus en plus fort sur la jeune vulve pendant que ma bite se fraye un chemin entre les cuisses de ma petite sœur. Je

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commence un va et vient avec ma queue raide. C’est bon de frotter sa bite entre les cuisses chaudes d’une fillette. C’est tout autre chose que de se branler seul, soi-même, le soir dans le lit. Que ce soit ma petite sœur, ne me dérange pas pour le moment. Je suis beaucoup trop excité pour penser à l’inceste. Je n’ai qu’une envie, faire l’amour avec la fillette que j’ai dans mes bras. Je suis pour le moment un jeune mâle en rut qui n’a qu’une idée, saillir cette petite femelle presque toute nue contre moi. Ma sœur se réveille maintenant tout à fait. Elle est prise dans le cercle infernal du plaisir qui monte en elle. Elle pousse son petit sexe vers ma main. D’un doigt, je pénètre un peu dans son intimité à la recherche du petit bouton.

Je connais bien le sexe des filles pour avoir consulté des informations sur Internet. Et je sais qu’il y a un petit bouton appelé clitoris qu’il faut caresser pour rendre les filles toutes molles, pour qu’elles désirent le mâle. Je crois que je l’ai trouvé en haut de sa petite vulve. De l’index, je caresse son jeune clito.

Le vagin de ma petite sœur devient tout humide par le nectar qui coule de sa source intime. Samira me dit :

– Oh Malik ! Que fais-tu avec moi, je deviens tout drôle, mais c’est bon ! Oui, caresse-moi bien. J’aime ça !

Pendant ce temps, je continue à pousser ma jeune queue toute raide entre les cuisses tendres de ma petite sœur. Je sens le plaisir monter dans mon sexe et dans mon ventre. Je ne peux plus m’arrêter de me branler dans l’état où je suis. Et puis, c’est trop bon de se frotter le sexe contre ce petit corps tout frêle. Je jouis entre les cuisses de ma petite sœur de 12 ans. J’éclabousse ses jambes, son sexe et son joli cul de mon foutre. Ma sœur ne sait pas ce qui se passe. Elle me dit :

– Qu’as-tu fais, Malik ? Je suis toute plaquée et collante. C’est quoi ça ?

– Ce n’est pas grave. J’ai juté entre tes jambes, je vais l’essuyer. Je t’expliquerai après.

J’allume la lampe de chevet et je prends des mouchoirs en papier dans le tiroir, puis j’essuie ma petite sœur qui s’est mise debout toute nue devant moi. Je lui enlève sa nuisette. Le spectacle de ma petite sœur toute nue devant moi m’excite toujours. Elle est si belle avec ses petits seins tout mignons et son beau sexe déjà bien formé et couvert d’un léger duvet noir. Après l’avoir bien nettoyée, et caressée en même temps sa jolie prune pour qu’elle reste en chaleur, je lui dis de se recoucher sur le dos. Je lui écarte un peu les jambes et je me mets au milieu. Je regarde bien sa petite fente, son petit trou à pipi. J’écarte un peu les lèvres de son sexe pour voir l’intérieur, qui est tout rose. Je ne peux m’empêcher de poser mes lèvres sur son petit con et de lui donner des bisous. Puis ma langue lèche sa vulve. Je suce le petit liquide qui a mouillé son intimité. J’écarte de nouveau les deux bourrelets de chair et pénètre de ma langue plus en avant dans son intimité. Je lèche ce joli petit trou à pipi de ma sœur. Elle écarte bien ses cuisses pour que j’arrive le plus possible. Samira respire de plus en plus fort, elle gémit et lance des Oh ! Ah ! Oui, c’est bon ! Je continue à lécher sa jeune vulve, puis plus haut le petit clito. Ma langue joue avec son petit bouton.

Tout à coup, ma petite sœur crie plus fort : Ah ! Son petit corps est traversé et secoué par le plaisir qui l’a envahi et ma petite Samira a le premier orgasme de sa vie sous la bouche de son jeune frère. Elle a bien jouie. Puis elle reste étendue sur le lit, sans réaction. Je me couche contre elle et la prends dans mes bras. Nos deux corps nus sont entrelacés et c’est ainsi que nous nous endormons tous nus sur mon lit.

Nos parents sont rentrés vers 4 heures du matin, assez gais. La voiture ma réveillée. Je réveille vite ma sœur. Elle prend sa nuisette et file dans sa chambre. Je remets un peu le lit en ordre et me couche en faisant semblant de dormir. Maman vient jeter un coup d’œil dans nos chambres et va se coucher.

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Nous nous levons vers 10 heures. Je passe d’abord à la salle de bain pour me laver un peu. Puis je descends à la cuisine. Papa et Maman sont en train de déjeuner. Samira arrive quelques minutes après. Nous nous asseyons à la table et commençons aussi à déjeuner. Maman demande :

– Ca été bien hier soir, vous n’aviez pas peur avec l’orage ?

Ma sœur veut répondre. Je cogne son genou avec le mien, puis je dis :

– Ca été très bien, nous avons bien dormi. Je n’ai rien entendu de l’orage. Et toi Samira, tu as entendu quelque chose ?

– Moi ! Non, je n’ai rien entendu non plus.

Répond ma sœur en n’osant pas lever son regard pour ne pas croiser le mien.

– Vous devez avoir le sommeil profond. Cela a pourtant bien tonné, dit ma mère.

Puis ils nous donnent des nouvelles de leur soirée. La journée se passe normalement jusqu’à 16 heures, moment où Maman conduit Papa à l’aéroport. Après les adieux, nos parents partent et je vais m’asseoir dans le divan du salon et allume la télé. Ma sœur vient s’asseoir à côté de moi. Je lui demande :

– Alors, t’as bien dormi cette nuit ? Comment t’as trouvé ça ?

– C’est la première fois que j’ai éprouvé ça ! Je n’étais plus sur terre je crois. Mais j’ai aimé quand tu m’as léché la fente.

– Et tu recommencerais encore une fois ?

– Tu veux dire maintenant ?

– Pourquoi pas ! Comme nous sommes seuls et avons le temps !

Et je mets mon bras autour de la taille de Samira pour toucher ses nénés et de la main libre, je caresse ses genoux, puis entre ses genoux en remontant lentement sous sa jupe. Ma sœur me laisse faire et je sens qu’elle en demande davantage en écartant lentement ses cuisses pour que ma main puisse avancer jusqu’à sa fourche, son petit slip. L’autre main caresse la pointe de ses jolis petits seins sur son t-shirt. Les mamelons durcissent et se dressent. Ma petite sœur devient toute chaude toute molle. Je passe ma main sous son t-shirt, sur sa douce peau et reprends mes caresses de ses jolis petits seins. Je prends les petits mamelons entre deux doigts et pince un peu les bouts pendant que l’autre main s’active entre ses cuisses, sur son petit slip. Ma petite sœur ouvre largement ses cuisses sous l’effet de mes caresses. Je passe ma main dans son slip et descends vers son petit trou à pipi. Je caresse sa petite vulve d’un doigt. Ma petite Samira commence à mouiller. Je crois que c’est le moment de nous mettre à l’aise. Je prends la fillette et je la porte sur mon lit. Je déshabille ma petite sœur en commençant par le t-shirt, puis sa jupe et enfin son joli slip bleu ciel.

Elle est magnifique, ma petite Samira, étendue toute nue sur mon lit, les jambes écartées. Je n’ai encore jamais pu la voir ainsi à mon aise, offerte à mon regard concupiscent et avide. Oui, elle est vraiment jolie, couchée ainsi toute nue sur mon lit, cuisses ouvertes, offerte pour ainsi dire à son frère en rut. Son petit sexe légèrement ouvert entre les deux bourrelets de chair tendre me fait baver d’envie. Je sens mon sexe durcir de plus en plus dans mon slip trop étroit pour une jeune bite bandante et en rut devant cette petite femelle en chaleur. Je me débarrasse rapidement de mes vêtements et me voilà aussi tout nu devant ma petite sœur. Ma jeune bite bandante est dressée et prête à entrer en action.

Je me couche à côté de ma sœur et je commence par caresser ses jolis petits nénés. Les petits mamelons se durcissent et se dressent. Mes doigts parcourent ce magnifique corps de fillette. Samira a la bouche légèrement ouverte et gémit doucement. Je me couche tout nu sur la fillette toute nue. Je pose mes lèvres sur les siennes et je l’embrasse pour la première fois. Sa bouche s’ouvre et ma langue pénètre dans sa cavité buccale à la recherche de la sienne. Nos deux langues se rencontrent,

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se touchent et s’entrelacent. Je suce la sienne, reçoit sa langue dans ma bouche. Nos baisers deviennent de plus en plus ardents et passionnés. C’est la première fois de ma vie que j’embrasse ainsi ma petite sœur de 12 ans. Mais elle répond avec ardeur à mes baisers. Puis, ma bouche descend le long de son magnifique corps d’enfant. Le cou, la poitrine, son nombril où je m’attarde un peu, je continue sur son ventre bien ferme et plat pour arriver enfin à son pubis. Je lèche ce joli mont de vénus et descends vers son petit sexe impatient qui n’attend que ma bouche. Cette jolie petite fleur attend avec impatience ma langue pour s’éclore. Je me mets en 69 à côté de ma sœur pour lui offrir ma jeune bite toute raide. Je pose ma bouche sur la petite vulve de Samira et commence à la sucer. Ma sœur n’attend pas longtemps pour prendre mon sexe dressé entre ses mains pour le caresser. Je crois que c’est la première fois de sa vie qu’elle tient une bite en main. Elle joue avec ma jeune queue raide et dressée. Ma petite sœur tire la peau en arrière, puis en avant. Passa ses doigts sur le gland découvert, branle très vite, ensuite plus lentement, met une main sous mes couilles et les caresses, tâte mes testicules. J’aime bien les petites mains de la fillette de 12 ans sur ma bite et mes couilles. Elle est si douce, ma petite chérie ! Je lui dis :

– Tu peux la lécher et la mettre en bouche.

Dans l’état d’excitation où elle est, ma sœur ne peut résister et elle prend ma jeune queue dans sa petite bouche de fillette et commence à la sucer. Oh ! C’est bon, cette petite bouche qui me suce la quéquette. Cela m’excite encore plus et j’écarte encore plus les deux bourrelets de chair pour ouvrir son petit vagin au maximum et y introduire ma langue et lécher tout l’intérieur de l’intimité de ma petite sœur. Ma petite sœur est en chaleur. Sa source intime distille abondamment son nectar délicieux que je lèche avidement. C’est un délice pour moi, son jeune frère, de se régaler de son suc intime pendant qu’elle suce ma queue et lèche le petit liquide qui en sort. Je ne savais pas que ma sœur avait une petite chatte si délicieuse à grignoter et à lécher. Nous sommes tous les deux très excités. Ma petite sœur est devenue une petite femelle en chaleur et moi, un jeune mâle en rut. Nous ne savons plus nous arrêter. Nous nous mangeons nos sexes mutuellement, avidement. Ma sœur gémit, râle doucement.

Je remonte un peu pour découvrir son petit bouton, son mini clito. Je le lèche du bout de la langue, puis le suce. Ma petite sœur souffle de plus en plus fort avec des ah ! Oh ! Oui ! Oh Malik ! Chez moi aussi le plaisir monte dans mes couilles et ma bite et dans tout mon corps. Ma sœur arrête de me branler, mais garde ma queue dans sa bouche. Elle commence à jouir. Moi aussi. Je sens le jus monter. Ma petite Samira n’en peut plus. Elle crie : Ah ! Oh ! Oui, ça vient !

Elle abandonne ma verge mais reçoit la première giclée de mon sperme en pleine figure. Nous jouissons tous les deux très fort. J’abandonne aussi le sexe de ma sœur et me couche contre elle. Je prends Samira dans mes bras. Nous restons un moment collé, tout nu, l’un contre l’autre sur mon lit et savourons encore notre plaisir. C’était bon de se branler et de se sucer l’un et l’autre avec ma petite sœur de 12 ans. Nous recommencerons sûrement. Ma jeune queue se ramollit lentement. Puis, j’embrasse ma petite sœur chérie doucement sur sa bouche. Bientôt, nos deux langues s’entremêlent. Mais je vois sur mon réveil que c’est l’heure de nous rhabiller. Je dis à Samira :

– Nous devons nous quitter ma petite chérie, et nous habiller. Maman va bientôt rentrer.

Samira prend ses vêtements et retourne dans sa chambre pour s’habiller. Et moi aussi, je me rhabille. Nous avons passé un merveilleux moment ensemble, ma sœur et moi.

Je pourrais moi aussi raconter quelque chose à mes copains à l’école. Le petit Kamel, un vrai petit cochon qui a toujours quelque chose à dire. Il a 14 ans, comme moi. Jeudi passé, il nous a raconté avec beaucoup de détails, comment il avait baisé sa sœur de 13 ans. Ses parents ne reviennent qu’à 6 heures du soir de leur travail. Il est toujours tout seul avec elle pendant une heure à une heure et demie. Au début, il alla toujours pisser quand sa sœur était dans la salle de bain. Ils n’ont qu’une toilette. Alors il se branlait devant elle. Et cette quéquette toute dure et dressée intéressait sa sœur Maryem. Il lui demandait de la prendre en main, puis de la caresser jusqu’à ce qu’il jute. Et régulièrement, il se faisait branler par sa jeune sœur.

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Alors, un jour il lui dit qu’il voulait aussi voir sa prune. Et elle a enlevé sa jupe et baissé son slip pour lui montrer son sexe. Kamel lui a demandé de se coucher sur le lit et d’écarter les jambes pour mieux voir sa chatte. Il a écarté les deux bourrelets de chair pour mieux voir l’intérieur du vagin de sa sœur. Puis, il a commencé à la caresser. Et cela faisait plaisir à sa sœur Maryem. Et maintenant, il était obligé de caresser le petit con de sa sœur, chaque fois qu’il voulait être branlé. Puis, elle mettait sa bite en bouche pour la sucer et lui, lui suçait son jeune con de fillette. Et mardi passé, les parents revenaient plus tard. Alors, ils se sont de nouveau couchés sur le lit pour se lécher et se branler. Puis Kamel a déshabillé sa sœur complètement avant d’enlever aussi ses habits. Il était vraiment en rut et sa petite sœur en chaleur. Il s’est couché entre les cuisses de sa sœur Maryem et a poussé sa jeune bite toute raide et dressée dans le petit con tout suintant de sa sœur. Tout est allé très vite et avant que sa sœur ne se rende bien compte de ce qui se passait, son grand frère avait sa jeune queue raide dans son petit sexe. Oui, son frère la violait carrément. Mais elle ne savait pas quoi dire. C’est seulement quand Kamel a poussé très fort, parce qu’il sentait une résistance et qu’il a déchiré l’hymen, qu’elle a lancé un cri :

– Aïe ! Tu me fais mal !

Quelques larmes lui coulent sur les joues. Mais bientôt le plaisir revient et la bite de Kamel s’enfonce de nouveau à un rythme régulier dans le petit con saignant de sa sœur. Et le plaisir inonde sa sœur, surtout quand son frère lui caresse le clito. Et très vite, ils jouissent tous les deux et Kamel projette sa semence tiède dans le ventre de sa jeune sœur de 13 ans.

Il a bien saillit sa petite sœur qui n’oubliera jamais la première fois avec son frère. C’est seulement après que Kamel voit sur le drap de lit une flaque de sang rouge. Alors il se rend compte de ce qu’il a fait et qu’il a défloré sa jeune sœur. Il prend sa sœur dans ses bras et l’embrasse doucement sur ses joues puis sur la bouche. Ensuite, il lui dit :

– Pardon petite sœur, je ne voulais pas te faire mal. Je n’avais pas pensé que tu étais encore vierge. Tu me pardonnes ?

– Oui, je te pardonne. Je n’y ai pas pensé non plus. Maintenant c’est trop tard et puis, tant pis !

Et Tarek 15 ans, nous a raconté qu’il se branlait souvent entre les cuisses de sa jeune sœur de 11 ans. Après l’école, ils sont aussi seuls jusqu’à 18 heures. Alors, un jour qu’il était dans sa chambre en train de se branler la bite, sa sœur entre sans frapper. Il a une revue porno devant lui sur le bureau, son short ouvert et sa queue toute raide en main. La fillette toute innocente demande :

– Que fais-tu là ?

Tarek arrête de se branler et regarde sa sœur, tout rouge dans la figure.

– Tu ne diras rien à Papa et Maman ?

– Non, je ne dirai rien. Mais que fais-tu donc ? Et le livre cochon devant toi, pourquoi ?

Tarek lâche sa bite, prend sa sœur par la main et l’attire vers lui.

– Écoute ma chérie, tu es une fille et tu n’as pas de bite. Mais les garçons ont une bite et de temps en temps elle devient tout raide comme ça, comme tu vois la mienne. Alors, ils ont une drôle de sensation dans leur zizi. Ca les excite et ils ont besoin de le frotter pour que ça arrête. Et quand on voit des filles toutes nues, c’est encore plus excitant et c’est bon.

Alors, ma petite sœur m’a répondu :

– Et si je me mets toute nue, ça t’exciterait aussi ?

– Écoute Nadia, tu es ma sœur et normalement on ne fait pas ça avec sa sœur. Mais si tu veux, on peut toujours essayer.

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Et aussitôt dit, aussitôt fait. Ma petite Nadia se déshabille devant moi. Elle enlève sa jupe, son t-shirt, et son joli slip bleu. Elle se met devant moi, les jambes écartées et disant :

– Que dis-tu frangin de ta frangine ?

– Tu es belle toute nue ma petite Nadia ! Et tu as un beau petit sexe. Et tu sais, tu m’excites encore plus que les filles du livre. Viens plus près.

Ma sœur approche et je me déshabille très vite et nous voilà tous les deux tout nu l’un devant l’autre. J’ai envie de toucher ce joli petit trou à pipi de ma petite sœur. Je pose une main entre ses jambes sur son petit con de fillette et la caresse doucement pendant que je branle ma bite toute raide de l’autre main. Nadia me dit :

– Il est bien dur et long ton zizi ? Tu sais qu’il est beau aussi. C’est la première fois que je vois le zizi d’un garçon aussi raide et long.

Puis je dis à Nadia :

– Viens avec moi sur mon lit, ce sera encore meilleur.

Nous nous couchons sur le lit. Nadia me tourne le dos et je me mets contre elle mon ventre bien serré contre son petit cul tout nu. Puis je pousse mon sexe bandant et en rut entre ses petites cuisses. Je commence mon va-et-vient entre les cuisses de ma petite sœur de 11 ans. C’est vachement bon et bien, meilleur que de se branler tout seul. Ici, c’est comme si je baisais ma petite sœur. Nadia me dit :

– Alors, comment c’est ? Tu aimes ?

– Oh oui ! Ma petite sœur chérie. C’est bien meilleur que tout seul devant les images de filles nues. Tu es formidable ma petite Nadia. J’aime ça être couché tout nu contre toi. C’est un peu comme si nous faisions l’amour tous les deux ensembles.

– Et toi, tu aimes aussi ?

– Oui, c’est pas mal de sentir que j’ai la bite de mon frère entre mes cuisses et qu’il se branle.

Voilà comment c’est arrivé et nous le faisons souvent. Et maintenant je caresse aussi la fente de ma petite sœur pour qu’elle jouisse aussi. Je mets une serviette de papier prête pour essuyer tout de suite lorsque je jouis entre les cuisses de ma petite sœur. Ainsi je peux rester avec ma queue entre ses douces cuisses tièdes pendant que j’éjacule.

Lorsque Maman revient, nous sommes tous les deux sagement dans notre chambre en train de travailler pour l’école ou nous faisons plutôt semblant de travailler. Parce qu’avec ce qui vient de se passer, notre esprit n’est pas capable de se concentrer. Nous repensons tous les deux à notre expérience sexuelle. Nous descendons pour le souper. Je demande à Samira :

– Alors, ça va ? Tu n’es pas trop fatiguée ?

– Non, ça va. J’ai seulement les jambes un peu tremblantes.

– Tu sais, ça te prend dans tout le corps. Je n’aurais jamais cru que cela t’accaparerait si fort.

– On se tait, Maman pourrait nous entendre.

Après le souper, nous regardons encore un peu la télé puis nous montons nous coucher. Je laisse ma porte ouverte et ma sœur aussi. Je suis vite tout nu et montre à Samira qui regarde ma verge toute molle. Je la caresse un peu et très vite, je bande. Ma verge se redresse et devient toute raide. Je fais signe à Samira de venir me branler, mais elle me répond par signe :

– Non. Maman est en bas, une autre fois.

Elle se met aussi toute nue et me montre son joli petit con puis elle met sa chemise de nuit, ferme sa porte et se met au lit. Je me mets tout nu dans mon lit et je m’endors vite.

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Le lendemain matin, c’est lundi. Tout doit aller plus vite, il y a classe. Je vais dans la salle de bain tout nu pour me laver. C’est la première fois. Voilà que Samira entre et me dit :

– C’est nouveau ça ! Mais ça ne me gêne pas. Tu sais, t’es beau comme ça avec ta jolie bite et tes couilles entre les jambes. Tu me donnes des envies.

Je lui réponds :

– Tu n’as qu’à faire la même chose.

– Et Maman, que va-t-elle dire ?

– Je m’en fous. Je fais maintenant ce que je veux.

Et Samira va sur le pot et fais pipi pendant que je me lave. Lorsque nous sommes prêts, nous descendons à la cuisine pour le déjeuner. Pour prendre le bus, nous avons un quart d’heure à pied. En chemin, nous parlons de notre soirée. Je lui dis :

– Écoute ma petite chérie, n’en parle à personne de ce que nous avons fait hier soir. C’est un secret pour nous deux. Il ne faudrait pas que Maman l’apprenne.

– Bon, motus et bouche cousue.

– Tu as envie de recommencer ?

– Moi, bien sûr. C’était bon quand tu me léchais le minou. Ce sont des sensations que je n’avais jamais éprouvées auparavant.

– T’es une gentille petite sœur, je te ferais encore jouir souvent.

D’autres nous rejoignent et nous arrêtons notre conversation sur ce thème.

Le reste de la journée se passe plutôt bien. Mais en classe, je pense quand même souvent à la journée d’hier. Je n’aurais jamais cru que je brouterai un jour le petit minou de ma sœur. Juste à y penser me fait bander. Mon voisin de classe, un bon copain, me dit :

– Hé ! Tu vois comme tu bandes ? À quoi penses-tu ?

Je ne sais pas quoi répondre, alors je dis :

– J’ai fait un drôle de rêve. Je léchais la prune de ma sœur.

– Tu l’as déjà fait ?

– T’es fou ! C’est quand même ma sœur !

Le retour à la maison se passe dans le calme. Après notre goûter, nous allons dans notre chambre pour étudier. Le reste de la semaine est calme également. Le samedi après-midi, Maman doit aller chez la coiffeuse et après, elle fait encore des courses. Là, c’est une aubaine pour nous. Nous avons au moins trois heures devant nous. Le matin, je suis dans ma chambre et Samira vient près de moi pour me demander quelque chose. Je lui dis :

– T’es prête pour l’après-midi ? Tu sais, Maman est partie pour au moins trois heures.

– Ouais ! Quelle chose ? Je suis tout de suite d’accord. Tu sais, quand je pense à ce qu’on a fait ensemble, ma fente devient tout humide et même un peu mon slip. C’est comme si je bavais d’envie. Il paraît que c’est normal. C’est Maryem qui m’a dit ça. Elle a ça aussi.

J’ai envie de posséder ma sœur, de saillir ma petite femelle et ma sœur est devenue une femelle en chaleur qui ne désire qu’une chose. Être saillie par ce jeune mâle qui l’a mis dans cet état. Je me couche entre les jambes de ma petite sœur et mets ma jeune bite contre son petit trou à pipi et pousse tout doucement ma queue dans son sexe tout mouillé. J’avance par petit coup à l’intérieur de l’intimité de ma sœur. Je donne un petit coup plus violent, ma sœur lance un petit cri et je suis tout à

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fait à l’intérieur du jeune vagin encore innocent de ma petite Samira. Je caresse son petit clito et commence le va et viens avec ma bite dans son intimité. Bientôt ma sœur gémit et râle doucement :

– Oui, c’est bon Malik. Continue, j’aime ta queue dans ma chatte. Ah ! Oh !

Je pousse ma jeune queue de plus en plus vite dans le petit con de ma sœur de 12 ans. Je saillis ma jeune femelle comme un vrai mâle. Mes petites couilles cognent contre le jeune cul de ma sœur. J’ai presque oublié que c’est ma sœur que je suis en train de sauter. Maintenant, cela me revient doucement. Je lui dis :

– Je ne te fais pas trop mal ma chérie ?

– Non, ça va maintenant. Tu peux continuer à pousser.

– Oh ! C’est bon maintenant, j’aime sentir ta bite dans mon trou à pipi. Oui, continue à pousser ta bite en moi. Je commence à sentir que çà vient.

C’est bon de pousser ma jeune bite dans le vagin tout chaud de ma petite sœur. Oui, c’est bon de faire l’amour, même avec sa petite sœur. Ma jeune verge en érection est en fête. Ma jeune bite bandante aime entrer et ressortir du vagin de Samira. Je n’aurais jamais pensé que je pourrais baiser ma sœur un jour. Être couché tout nu sur ma sœur toute nue, ma queue toute dure dans le trou à pipi de ma jeune sœur de 12 ans, cela était encore impensable hier.

Mais cette nuit, tout a basculé et nous sommes devenus des enfants amants. Je fais l’amour avec ma sœur. Chez moi aussi, je sens que ça vient. Et bientôt nous jouissons tous les deux ensembles et je projette ma semence dans le jeune con de ma petite sœur. Je reste encore couché entre les cuisses de ma sœur avec ma queue dans son jeune con. Puis ma bite se dégonfle et sort d’elle-même de la chatte de Samira.

Lorsque Maman revient, nous sommes tous les deux sagement dans notre chambre en train d’étudier. Le reste de la journée se passe calmement. Le soir, nous regardons un peu la télé avec Maman. Et puis vers 21h30 nous allons nous coucher. Nous dormons très bien tous les deux jusqu’à dix heures du matin.

Je me lève et je vais dans la salle de bain pour prendre ma douche. Je suis tout nu. Voilà que ma sœur arrive aussi en robe de nuit. Elle doit faire pipi. Je me mets devant elle et lui montre ma verge qui est au repos. Samira relève sa chemise de nuit et se met sur le pot. Je me mets devant elle et lui demande de caresser un peu ma quéquette. Ma petite sœur prend ma verge en main et fait un va et vient. Très vite, je bande et ma verge se redresse devant les yeux de la fillette. Je passe ma main entre ses jambes dans le pot pour toucher sa fente humide de la pisse.

– Hé dit Malik ! T’es un vrai petit cochon. Tu ne me laisse même pas pisser en paix. Et puis, je ne veux pas le faire maintenant ici, si Maman venait.

Je vais prendre ma douche, puis je sors pour m’essuyer. Ma sœur est toujours là et me regarde.

– Enlève ta chemise de nuit et montre-toi ! J’ai envie de te voir à poil. Si Maman vient, tu files vite sous la douche.

Ma sœur se met tout nu devant moi et je peux la regarder à mon aise. Ma bite grossit vite à la vue de Samira toute nue. Elle a envie de cette jolie petite femelle à poil. Ses petits seins et sa jolie fente entre ses cuisses la font baver d’envie. Maman appelle pour le déjeuner. Je retourne dans ma chambre et je m’habille et je descends. Cinq minutes plus tard, ma sœur arrive aussi.

Nous déjeunons puis nous sortons un peu dehors. Il fait très beau. Après le dîner, nous allons dans la piscine tandis que Maman fait la vaisselle. Ma sœur ne met que la culotte de son bikini, je peux ainsi voir ses jolis petits seins. Nous nageons dans un coin où Maman ne peut pas nous voir de la maison. Ma sœur se laisse prendre dans mes bras. Je la serre contre moi. Ses petits seins s’écrasent contre ma poitrine. Je l’embrasse sur la bouche tandis que mes mains descendent le long de son dos tout en

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empoignent ses fesses bien fermes. J’attire son ventre contre le mien. J’attrape une bonne érection. Je pousse mon ventre et ma bite contre sa petite chatte. Je suis très excité.

J’embrasse Samira sur la bouche. Ma langue pénètre dans sa cavité buccale à la rechercha de la sienne. Nos deux langues se trouvent et c’est le méli-mélo, l’enchevêtrement des deux langues. Nous nous suçons mutuellement notre salive. C’est bon ce contact buccal entre frère et sœur. Je sors ma bite raide du maillot et je la pousse entre les cuisses de ma petite Samira en écartant son slip de bain pour que je puisse toucher sa petite vulve avec mon sexe. Je frottais ma verge raide contre sa petite fente dans un mouvement régulier de va et viens. Je suis en rut.

Soudainement, Maman nous appelle et cela me fait revenir sur terre. Je m’écarte rapidement de ma sœur pour lui prendre les mains en faisant semblant de jouer avec elle. Puis ma sœur sort de la piscine pendant que je traîne encore un peu pour que ma bite dégonfle. Nous rentrons à la cuisine pour manger une pâtisserie préparée par Maman. Le reste de l’après-midi se passe à la piscine. Nous jouons dans l’eau pendant que Maman se repose dans un transat. Bien sûr, nos jeux ne sont plus innocents. Nous nous touchons de temps en temps un peu. Mais comme Maman est là, nous devons faire attention pour qu’elle ne remarque rien.

Après le souper, nous regardons un peu la télé puis nous allons dans nos chambres pour nous préparer à aller au lit.

Chapitre 2

Quand ma sœur est partie, Maman m’apporte une tartine et un peu de café. Elle me dit de rester dans le lit aujourd’hui. Puis elle me donne quelque chose contre la fièvre et du sirop contre le mal de gorge. Je m’endors jusqu’à 10 heures.

Je reste un moment couché sans rien faire. Vite le temps me semble long. Je sens une bonne érection. Ma bite est toute dure. Je glisse ma main dans mon pyjama pour tâter un peu mon sexe et mes couilles. Je pense que j’ai une revue porno cachée dans mon armoire. Je me lève pour la chercher puis je me remets au lit. Je feuillette un peu pour regarder les belles « cochonneries », comme dit notre prof d’islam, et je me masturbe en même temps. Ma main monte et descend sur cette tige raide.

Je suis tellement occupé à me branler que je n’entends pas Maman qui rentre. Elle est là, près de moi. Vite je cache la revue et enlève ma main de mon sexe. Maman soulève ma couverture et voit la revue et ma bite bandante. Elle s’assied près de moi sur le lit et me dit :

– Tu te caches, tu as honte... Tous les garçons se masturbent. Mais regarder des revues pornos n’est pas très beau. Si tu veux savoir quelque chose demande-le à ta Maman. Je suis là pour ça.

Et en même temps Maman met sa main sur ma bite. Je n’en crois pas de mes yeux. Quelle sensation d’avoir la main de Maman sur ma queue en érection. Doucement, Maman caresse mon sexe raide. Je ne sais pas quoi faire. Je reste figé, je n’ose pas bouger. Mais c’est bon, cette main si douce qui vous caresse la bite.

– Tu vois, ta Maman sait très bien ce que tu aimes. Mais il faut le lui demander. C’est quand même meilleur que de le faire tout seul, non ?

– Oh, oui, Maman, c’est bon, j’aime quand tu me frotte ma bite.

Maman caresse lentement ma queue raide et met l’autre main sous mes couilles et les caresse aussi. Je crois que je n’ai jamais bandé aussi fort. C’est merveilleux.

Puis Maman arrête et enlève son peignoir. Elle est en chemise de nuit. Maman se glisse près de moi dans le lit. Elle me prend dans les bras tout contre elle. Je me blottis avec ma tête contre ses seins.

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Maman reprend les caresses de ma verge et de mes couilles. Après un moment, elle ouvre sa chemise de nuit et me dit :

– Regarde mes seins, tu peux les toucher et même les embrasser ; ça fait du bien à ta Maman.

Je touche du bout des doigts les seins de Maman, puis mes doigts avancent vers les tétons qui se redressent sous mes doigts. Je pince un peu les belles pointes que je n’avais jamais vues aussi bien. Elles me fascinent. Ensuite, c’est tout le sein que je caresse, celui de gauche, puis celui de droite. J’approche ma bouche et je commence à sucer les pointes dures des seins de ma mère. Oui, j’aime sucer les seins de Maman comme je l’ai fait en étant bébé.

Je bande très fort, je suis en rut. Maman rejette la couverture en arrière et enlève sa chemise de nuit. Puis elle enlève mon pyjama. Nous sommes tous les deux tout nu sur le lit. Ma bite toute raide pointe vers le ciel. Maman prend ma jeune queue en main et me dit :

– Tu as une bite magnifique, tu es un vrai petit mâle. Viens, tu peux toucher tout mon corps, n’aie pas peur, tu peux faire avec moi ce que tu veux.

Je me redresse un peu et Maman lâche mon sexe. Je laisse les beaux seins de Maman pour regarder ce beau corps de femme tout nu. C’est la première fois de ma vie que je peux observer à mon aise dans tous les détails une femme toute nue.

Elle est toujours belle, ma mère. Elle n’a que 35 ans. Son corps est parfait. Ses seins sont fermes, un peu arrondis mais toujours droits. Mes mains descendent le long de son ventre vers son mont de vénus. Une belle touffe de poils garni le dessus du sexe de ma mère. Je passe avec ma main sur les poils de on mont de Venus; ils sont très doux. Elle les a bien taillés. Juste en dessous, je découvre, entre ses cuisses, son sexe. Maman écarte encore un peu plus ses cuisses pour que j’aie une belle vue de sa fente. Avec un doigt, je caresse un peu le dessus de son joli con.

C’est autre chose que le sexe d’une petite fille. Déjà les poils donnent une autre impression, puis il est plus grand, plus long. Ensuite, j’écarte les grandes lèvres pour voir l’intérieur de l’intimité de Maman. C’est beaucoup plus grand, plutôt rouge et luisant. Au fond du vagin, je peux voir l’entrée de son intimité, de la matrice ; Je connais un peu les noms pour les avoir vus dans un livre de la bibliothèque.

Au-dessus de l’entrée du sexe de ma mère je découvre son clito ; ce joli bouton beaucoup plus gros que celui de Samira. Je le caresse d’un doigt. On dirait qu’il grossit encore. Je pousse un doigt à l’intérieur de sexe de Maman ; c’est un peu gras. Je suppose que la bite de Papa peut y glisser plus facilement.

J’ai envie de lécher cette belle chatte de femme. Aussi, je pose ma bouche sur le con de ma mère et je lèche l’intérieur de son sexe, son clito et tout le reste. C’est gras et tout mouillé. C’est la cyprine, liquide qui provient de l’intimité de ma mère. Pour moi, jeune mâle en rut, c’est un nectar que je lèche avidement. Cela doit faire plaisir à ma mère ; elle dit :

– Oh, oui, lèche la chatte de ta petite Maman, c’est bon, tu es un petit ange ; tu sais ce qui fait plaisir à ta Maman ; retourne-toi et donne-moi ta jolie bite. Ta Maman a aussi envie de sucer ta jeune bite raide.

Je me mets en 69 avec ma mère. Aussitôt, elle prend ma bite et la suce avidement et moi je suce le con de ma mère. Nous avons bon ensemble de nous sucer et manger nos sexes mutuellement. Ma langue fouille tout l’intérieur du trou à pipi de ma mère, ma grosse femelle. Maman lâche encore de ce petit jus que j’avale goulûment. Il y en a beaucoup plus que chez ma sœur.

Pendant ce temps, Maman continue à s’occuper de ma jeune bite. Elle la caresse, descend et remonte la peau, lèche le gland puis le prend en bouche pour me sucer ; sa langue fait le tour de la rainure sous le gland. Et tout çà pendant qu’elle caresse mes couilles, les masse légèrement... Je sens que Maman est experte dans les caresses des bites.

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J’abandonne un peu le con de ma mère pour descendre plus bas dans la rainure et j’arrive à son trou du cul. Il est brun, plissé et assez grand comparé à celui de ma sœur. Je pousse un doigt sur le trou et essaie de le faire rentrer un peu. Puis je le lèche. Le goût est fort âcre. Maman lèche aussi mon petit trou du cul de la pointe de sa langue. Oh, que c’est bon d’être caressé par sa Maman et de s’amuser aussi avec son sexe.

Maman me dit :

– Viens sur moi, mon chéri, et enfonce ta jeune bite dans le con de ta Maman. Oui, enfonce ta jolie queue dans mon sexe. J’ai envie de te sentir en moi. Fais-moi l’amour. Ta Maman est en chaleur ; oui je suis ta femelle, saute-moi, saillis-moi comme un vrai mâle.

Je me retourne et je me couche entre les jambes de ma mère et j’enfonce ma bite raide dans le sexe de Maman. Le trou est beau plus grand que celui de ma sœur. Je pénètre très facilement dans le con de ma mère. Puis je commence un va et vient dans le trou à pipi bien chaud de Maman. Oh, que c’est bon de sauter ma mère, de lui enfoncer ma jeune queue dans son con inondé de cyprine.

Maman dit :

– Oui, cogne fort, pousse ta bite jusqu’au fond de mon con, j’aime te sentir cogner en moi. Oui, c’est bon, mon petit garçon, tu baises bien ta Maman. Maman aime ta jeune queue en elle.

Je cogne de toutes mes forces avec ma bite dans le vagin de Maman. Maman est une vraie femme, c’est autre chose que ma petite sœur. Je suis fier d’être couché entre les cuisses sur le corps nu d’une femme et que je puis la baiser. Oh que c’est bon de rentrer et sortir ma bite de jeune gamin dans con de femme. Que soit ma mère ne me gêne pas pour le moment. Et puis, elle l’a voulue.

Je commence à sentir le plaisir monter en moi. Je lui dis :

– Maman, je viens, je ne peux plus me retenir.

– Oui, mon garçon, jouis en moi, gicle ta jeune semence dans le corps de ta Maman.

Et par secousses répétées, j’envoie mon sperme tiède dans le con, le ventre de ma mère. Je reste encore allongée sur elle un moment. Ma bite se ramollit lentement et sort d’elle-même du sexe de Maman.

Je me couche à côté d’elle, blotti contre son corps nu. Maman me prend dans ses bras et me dit :

– As-tu aimé faire l’amour avec ta Maman, mon chéri, c’était bon ?

– Oh, oui, Maman, c’était bon, j’ai aimé mettre ma bite dans ton trou à pipi et jouir en toi. C’était merveilleux. Tu es ma femelle et je suis ton mâle. Je suis le jeune taureau et tu es la vache en chaleur qui aime être saillie.

– Écoute un peu, mon chéri, me dit Maman, tu peux faire l’amour avec ta Maman quand tu veux, mais promets-moi de laisser ta petite sœur tranquille. Elle n’a que 12 ans et est encore un enfant. Elle est trop jeune pour ces choses-là. Tu me le promets ?

– Oui, Maman, je te le promets, je ne toucherai plus Samira. »

Je reste blotti tout nu contre Maman toute nue, ma tête contre un sein.

Après quelques moments, Maman me caresse la tête, le visage, ensuite ses mains descendent vers mon dos et ma poitrine. Elle s’arrête à mes mamelons. Je sens comme un courant électrique traverser mon jeune corps d’adolescent.

Maman me dit : « Viens sur moi et donne-moi ta bouche. »

Je me couche sur Maman toute nue et pose ma bouche sur la sienne. Maman ouvre sa bouche et m’embrasse avidement. Sa langue pénètre dans ma bouche et recherche la mienne ; nos deux

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langues s’entremêlent, nos salives se mêlent... Nous nous embrassons comme deux amoureux fougueux.

Pendant ce temps, les mains de Maman parcourent mon jeune corps en me procurant mille sensations délicieuses. Les mains de ma mère arrivent à mon ventre, puis entre mes cuisses, pour remonter vers mon sexe. Elle prend ma verge en main et la caresse, puis ce sont mes petites couilles et pour finir ses doigts caressent mon petit trou du cul. Elle mouille un de ses doigts et essaie de pénétrer dans mon anus. Ma jeune verge est tendue au maximum. Je suis de nouveau en rut et je sens que ma mère est aussi en chaleur. Oui, Maman a de nouveau besoin d’un mâle qui la saute, qui la saillie.

Je me retourne et je mets ma tête entre ses cuisses, toujours sur son joli corps nu, et je lui lèche la chatte et surtout le petit clito. D’un doigt, je la pénètre. Maman commence à gémir :

– Oh, oui, mon chéri, c’est bon ! Ah ! Ouii, lèche bien ta petite Maman, elle aime ça ; oui, tu rends ta Maman heureuse.

J’écarte les lèvres de son sexe pour mieux voir l’intérieur. Je n’ai jamais vu ce spectacle ; quel joli trou à pipi ; je lèche le jus qui en sort. Puis, ma bouche descend entre la de ses fesses pour arriver à son trou du cul. Je crache sur l’anus de ma mère et je la pénètre d’un doigt. Il rentre facilement dans son trou à caca.

Et j’ai une idée. Je dis à Maman de se mette sur le ventre et de relever ses fesses, puis je me pose derrière elle et je pousse ma bite dans son anus. Ma queue raide entre facilement dans le cul de ma mère.

Je commence de suite un va et vient avec ma jeune bite dans le trou du cul de Maman. C’est très excitant de savoir que j’encule ma Maman.

Ma mère me dit :

– Oh, le petit vicieux, tu encules ta Maman ! Oui, vas-y, pousse fort, mon petit cochon vicieux. J’aime ta jeune queue dans mon cul. Défonce ta Maman, tu es mon petit taureau, mon petit mâle qui saillit sa grosse femelle. Cela fait du bien à ta Maman quand tu enfonces ta jeune bite dans mon trou à pipi, dans mon con. Je suis une salope, chéri, mais pardonne à ta Maman de t’avoir dévergondé mains je suis vraiment en chaleur. Et de savoir que tu sautais ta petite sœur, je suis devenue jalouse, j’avais besoin de sentir un mâle sur moi, un mâle en rut qui enfonce son dard dans ma chatte et me saute comme une femelle en chaleur. Tu me sautes comme le font les chiens, par derrière ; oui, je suis ta chienne, cogne avec ta jeune bite dans ma chatte, ta Maman aime ça. Je suis une vraie pute, une salope, je dévergondé mon propre fils de 14 ans, un jeune garçon, pour qu’il encule sa Maman.

Pendant que j’encule Maman, elle se caresse elle-même le clito. Je cogne de toutes mes forces avec ma jeune queue dans le cul de mère. Mon ventre frappe contre ses fesses. Oh, que c’est bon de saillir ma Maman. Mon sexe dans le sexe de ma mère, c’est fabuleux. A quatorze ans, je saute une vraie femme. C’est Maman qui l’a voulu. Je crois qu’elle était en manque, Papa étant parti, elle n’avait personne pour faire l’amour. Je sens le plaisir monter à nouveau en moi et très vite nous jouissons tous les deux ensemble. Maman dit :

– Oui, vide tes couilles dans mon cul, mon petit chéri ; ta Maman aime bien ton sperme dans son corps.

Je reste collé avec mon ventre contre le beau cul de ma mère jusqu’à ce que tout mon foutre soit sorti par saccade de ma bite et ait rempli le trou du cul de Maman. Mon sexe dégonfle lentement et je me remets à côté de Maman dans le lit. Je suis épuisé par les deux jouissances successives.

Maman remet la couverture sur nous deux et je m’endors dans ses bras, lové tout nu contre son corps nu.

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Quand je me réveille c’est presque midi. Maman me dit :

– Viens on va prendre une douche, nous en avons besoin, nous avons bien transpiré.

Je vais avec Maman sous la douche. C’est nouveau pour moi, être tout nu avec ma mère toute nue sous l’eau. Maman me lave le dos, le ventre, mon sexe qu’elle décalotte, mes couilles. C’est bon de prendre une telle douche. Moi, je lui lave les seins, puis son ventre, son sexe, son cul. Nous nous caressons un peu sous l’eau qui ruisselle sur nos corps. C’est bon.

Après cela, je remets nom pyjama et Maman sa robe de chambre. Nous mangeons un peu. Je fais la vaisselle avec Maman. Puis elle me demande :

– Veux-tu retourner dans le lit ?

– Oh oui, on va encore faire l’amour ?

– Autant que tu en as envie, mon cher petit taureau.

Bien sûr que j’en ai encore envie et surtout de découvrir le corps de ma mère.

Nous nous remettons au lit. Maman veut directement me sucer. Elle dit qu’elle aime ma jeune bite dans sa bouche. Je me couche sur elle en 69 et pendant que Maman me suce, j’inspecte à fond son sexe; j’écarte les grandes lèvres le plus possible. L’intérieur est plus rouge que chez Samira. Je le lèche un peu, puis je fourre mon doigt à l’intérieur, le plus loin possible. Je touche le l’entrée de la matrice. Encore un nom vu dans le dictionnaire et que je vois en nature. Ensuite, je joue avec son clito, je le suce aussi.

Bientôt le plaisir remonte en nous deux. Maman crie presque :

– Oui, suce-moi, suce mon clito, tu fais çà bien, beaucoup mieux que ton Papa. Tu es un bon petit mâle ; tu fais plaisir à ta petite Maman ; oui, mon petit ange, branle bien ta petite Maman en chaleur.

Je mouille un doigt et je le fourre dans le trou du cul de ma mère. Et lui je branle son trou du cul pendant que je suce son clito. Je sens que je vais jouir. Oh voilà que çà vient. J’explose dans la bouche de ma mère et lui envoie mon sperme par jet dans sa cavité buccale.

Maman garde ma jeune queue dans sa bouche et avale tout. Elle jouit en même temps que moi ; elle soulève son sexe pour le presser contre ma bouche. Elle laisse échapper ma bite et gémit :

– Oh, que c’est bon mon petit, oui, fais jouir ta Maman ; continue à me lécher la chatte ; tu es mon petit mâle et tu me fais bien jouir, tu donnes du plaisir à ta Maman ; ah, que c’est bon d’avoir un petit garçon qui sait si bien lécher le sexe en chaleur de sa Maman.

Je me retourne et Maman dit :

– Viens sur ta Maman, couche-toi sur moi, j’aime te sentir tout nu sur mon corps tout nu.

Je me couche donc sur ma mère. Oui, c’est bon d’être couché tout nu l’un sur l’autre. Maman me prend dans ses bras et je pose ma tête entre ses beaux seins. Et bientôt je m’endors ainsi, lové sur Maman.

Lorsque je me réveille, c’est l’heure de nous lever car ma sœur va bientôt revenir de l’école en bus.

Nous nous levons tous les deux et je remets mon pyjama pendant que Maman s’habille.

Je dis à Maman :

– Oh, c’était, bon Maman, je t’aime très fort ma petite Maman chérie.

– Moi aussi, mon chéri, je t’aime très fort. Tu peux faire l’amour avec ta Maman quand tu le veux, mais nous devons être seul et à condition que tu ne le dises à personne. Cela doit rester entre

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nous deux, d’accord ? Tu sais, j’aime aussi quand tu me baises. J’aime sentir ta jeune bite dans mon sexe.

– Oh, oui, Maman, je ne le dirais à personne, c’est un secret entre nous deux.

Je retourne dans mon lit. Bientôt, ma sœur revient de l’école.

Elle demande à Maman :

– Malik est toujours malade ?

– Oui, ma chérie, il est dans son lit.

Ma sœur vient me trouver dans ma chambre et s’assied sur mon le lit à côté de moi. Sa main glisse sous la couverture à la recherche de ma bite. Elle l’a vite trouvée et commence un petit massage. J’aime encore cette petite main qui caresse si gentiment mon zizi qui se réveille à nouveau et qui se redresse très vite. J’aurai voulu la laisser faire mais j’avais promis à Maman.

Je lui dis :

– Écoute Samira, arrête de me caresser ; Maman nous a vus l’autre nuit. Je regrette beaucoup, j’ai dû lui promettre de ne plus te toucher. Maman m’a dit que c’était très grave ce que nous avons fait ensemble et si jamais on le saurait, nous serions placé dans un pensionnat.

Ma sœur retire sa main et sort de ma chambre. Moi aussi, je regrettais un peu nos ébats amoureux nocturnes, mais j’avais une grosse compensation, j’avais Maman pour satisfaire mon appétit sexuel.

Depuis ce jour, les rapports avec ma sœur s’étaient fort refroidis. Nous nous parlons encore, mais ce n’est plus la même chose. Par contre, Maman se montre de plus en plus relaxe et cool. Quand elle prend sa douche, il lui arrive de laisser même la porte de la salle bain ouverte. Le mardi, je reste encore à la maison.

Dès que ma petite sœur est partie au bus, Maman vient dans ma chambre et s’assied sur mon lit. Sa main va directement sous la couverture à la recherche de mon sexe. Elle l’a vite trouvé et commence à me branler. Puis, elle relève la couverture pour faire apparaître ma bite et elle se penche sur mon sexe et le prend en bouche pour me sucer.

C’est génial comme réveil, avoir une Maman qui vous suce la bite le matin. Je commence à respirer plus fort, je pousse ma jeune queue raide vers sa bouche ; je crois que je ne tiens pas longtemps avant de lui envoyer mon sperme dans sa bouche. Je pousse de plus en plus fort avec ma queue.

Maman me dit :

– Laisse-toi aller calmement, et quand tu dois décharger, tu peux m’envoyer tout ton foutre dans la bouche, j’en ai envie ce matin. Oui, mon chéri, ta Maman veut goûter ton sperme.

Et pendant que ma mère me branle d’une main, elle caresse mes couilles et mon trou du cul de l’autre. Je sens le plaisir monter en moi. Je ne sais plus me retenir. Et par saccades, je décharge mon jus intime dans la bouche de Maman. Elle avale tout. Oh, que c’est bon de jouir dans la bouche chaude de sa mère pendant qu’elle vous caresse !

Maman enlève sa chemise de nuit et se couche contre moi dans le lit. J’enlève vite mon pyjama, je veux sentir Maman tout nue contre mon jeune corps tout nu. Je me blottis contre ma mère et reste un moment sans bouger, question de récupérer un peu. Maman me caresse doucement le corps.

Après cinq minutes je commence à nouveau à bander sous les doigts de ma mère. Elle caresse mes couilles et ma bite. Une idée me vient : je m’installe à califourchon sur Maman et je mets ma jeune bite raide entre les nichons de Maman. Je presse les deux seins de ma mère contre mon sexe et je fais un va et vient. Je vois Maman et mon sexe qui voyage entre les seins de Maman, c’est très excitant. Pendant ce temps, je sens un doigt mouillé de ma mère qui me caresse le trou du cul et entre légèrement dans mon anus.

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Il ne faut mas longtemps pour que j’éjacule de nouveau et projette mon sperme en pleine figure de Maman. Maman essaie de lécher un peu de la semence de son jeune fils. Elle est aussi en chaleur. Je lui présente ma jeune queue pour qu’elle puisse lécher le reste du foutre.

Je reste couché sur Maman, et me repose un peu. Maman a écarté ses cuisses et je suis bien installé avec mes jambes entre les siennes et ma verge contre son vagin. Je reste ainsi un petit temps.

Mais bientôt Maman prend de nouveau l’initiative. Elle veut être baisée par son jeune fils de 14ans. Elle veut faire l’amour avec son petit garçon. Oui, Maman est devenue pédophile, qui l’aurait cru. Ses mains voyagent à nouveau sur mon corps ; ses doigts effleurent ma peau à peine. Et très vite, je sens de nouveau l’excitation en moi, ma verge se réveille à nouveau et raidit. Je me laisse descendre et ma bouche s’occupe du sexe de Maman. Je lui donne des baisers, j’écarte les grosses lèvres et pénètre avec ma langue à l’intérieur pour lécher son joli con et collecter son nectar intime. Oui, ma mère a bien mouillé et j’avale goulûment sa cyprine intime. J’enfonce un doigt mouillé dans sons cul pendant que je lui lèche la chatte. Maman respire fort, elle gémit : « Oh, que c’est bon, mon petit Jeje. Je sens que tu aimes beaucoup ta petite Maman. Viens sur moi, et fais-moi l’amour. Enfonce ta belle queue dans mon con en chaleur, saillis ta Maman. »

Je remonte et me couche entre les cuisses de ma mère. Je suis aussi en rut. J’aime enfoncer ma jeune queue raide dans le trou à pipi de ma mère. Ma pine trouve directement la chatte de Maman grande ouverte pour accueillir ma verge bandante. Je l’enfonce d’un coup jusqu’au fond de son vagin. Oui, c’est bon de pouvoir enfoncer sa bite dans le con bien chaud d’une femelle en chaleur.

Ma mère aussi, elle aime sentir ma bite entre ses jambes, dans son trou à pipi. Je commence vite un va et vient dans le con mouillé de Maman. Je suis de nouveau bien en rut et j’aime saillir ma gentille Maman, ma grosse femelle en chaleur. J’aime enfoncer d’un rythme régulier, ma jeune queue dans le vagin de ma mère. Oh, oui, j’aime baiser Maman ; j’aime la saillir comme un vrai taureau sur la vache. Je cogne de toutes mes forces avec ma jeune queue dans le con de Maman : rentrer, sortir, rentrer, sortir... Mon sexe est en fête... C’est ce que rêvent tous les jeunes mâles, pouvoir enfoncer leur bite raide dans une chatte de femme.

Pendant que je laboure le con de Maman, elle se caresse elle-même son clito. Maman sent le plaisir monter comme moi aussi. Elle gémit et dit :

– Oui, mon petit chéri, enfonce bien fort ta belle queue dans le trou de ta Maman ; saillit bien ta petite Maman ; tu peux cogner plus fort avec ta bite dans ma chatte. Oh, oui, j’aime sentir ta jeune verge en moi. Oui, fais bien l’amour à ta Maman. Tu es un vrai petit ange. Tu es un bon petit mâle, un vrai bouc. Ta jeune queue rend ta Maman heureuse. Donne-moi ton sperme. Engrosse ta Maman, ta vieille femelle, mon petit bouc.

Maman a un très grand orgasme et moi aussi, je jouis très fort dans le con de ma mère. Je projette mon sperme dans son vagin par giclées. C’est merveilleux de pouvoir jouir avec ma bite dans le sexe de Maman, avec ma jeune bite enfoncée dans le vagin de Maman. Je reste encore couché un petit temps sur le corps nu de ma mère, ma queue toujours arrimée à fond. Le reste de mon sperme coule dans le trou à pipi de Maman. Puis, ma verge se dégonfle lentement sort d’elle-même du con de Maman. Nous avons bien fait l’amour ensemble, c’était merveilleux et j’ai bien jouis dans le con de Maman. Je me laisse glisser à côté de Maman et je m’endors vite, épuisé et mes petites couilles vidées. Lorsque je me réveille, c’est midi. Maman est déjà levée et a préparé quelque chose à manger.

Je me lève et tout nu, je vais la retrouver dans la cuisine. Maman est en peignoir, elle n’a rien dessous. Je passe derrière elle et me mets contre elle en passant mes deux mains sous son peignoir. Elle n’a rien en dessous. Je soulève son peignoir et je colle mon ventre nu contre son joli cul nu en mettant ma bite à moitié dressée entre ses fesses et mes mains sur son sexe. Maman me dit : « Mon petit taureau a de nouveau envie de sauter sa femelle ? Tu es un amant infatigable. Viens à table, nous devons d’abord prendre quelques forces. »

Après le repas, nous rangeons la cuisine, ensuite nous regardons un peu la TV.

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Je demande à Maman :

– Je peux regarder un film que Papa a caché dans son bureau ?

– Comment sais-tu cela ? Tu l’as déjà vu ?

– Un peu, un jour que vous étiez partis.

– Une fois d’accord, mais pas avec ta sœur, promis ?

– Oui, Maman, je te le promets.

Je vais chercher le film et je le mets dans la vidéo. C’est l’histoire de deux jeunes, un garçon et une fille, qui vont d’abord au bal, puis reviennent chez le garçon à la maison, les parents sont absents. Ils se mettent sur le lit et commencent à se déshabiller. Le garçon caresse les seins de la fille, caresse son sexe et la fille caresse le sexe du garçon. Puis ils se lèchent mutuellement et font l’amour.

Pendant que nous regardons le film, je mets ma main entre les cuisses de Maman et je remonte jusqu’à son sexe. Je sens que Maman mouille déjà un peu. Je commence à lui caresser sa chatte. Maman cherche ma verge et me masturbe lentement. C’est ainsi que nous regardons le film X tout en nous branlant mutuellement. C’est vraiment délicieux. Il ne faut pas longtemps pour que je sois en rut et Maman en chaleur. Mais le temps passe vite et nous n’avons plus le temps de faire l’amour parce que ma sœur va revenir.

J’enlève le film et je vais m’habiller. Le reste de l’après-midi et de la soirée se passe normalement.

Les jours suivants, je vais à l’école et il n’y a rien de spécial. Je fais l’amour avec Maman le samedi, lorsque ma sœur est à la danse. Le reste du temps c’est trop dangereux.

Ma sœur est devenue un peu plus triste. Il lui manque quelque chose. Le seule chose qu’elle peut faire, c’est se masturber pour jouir toute seule. Il m’en est pour elle. Mais elle a remarqué que je suis plus avec Maman, que Maman a plus d’attention pour moi. Une petite caresse de temps en temps en passant. Et elle s’imagine quelque chose.

Aussi, quand Papa revient le samedi, après deux mois d’absence, ma sœur s’attaque à lui.. Le soir, nous regardons tous un film ensemble. Comme d’habitude, nous n’allumons que la petite lampe au-dessus de la TV. Samira va s’asseoir sur les genoux de Papa et se love contre lui. Elle se tourne de telle façon qu’elle arrive à pousser avec un genou entre ses jambes, l’endroit de son sexe. Papa ne dit rien, mas il sent très vite sa verge gonfler sous la poussée du genou de sa petite fille. Ma sœur est contente qu’elle soit parvenue à faire bander Papa. Maintenant, ma sœur se tourne un peu pour pousser son petit cul contre la bite de Papa. Papa est très mal à l’aise avec sa petite gamine qui le met en rut. Mais il ne peut rien faire. Nous n’avons rien remarqué du jeu malicieux de Samira comme il fait assez sombre. C’est elle-même qui me l’a raconté plus tard.

Chapitre 3

Papa revient le samedi matin.

Le soir, après avoir mis mon pyjama et ma sœur sa robe de nuit, nous regardons tous ensemble un film. Maman et moi, nous sommes assis sur le divan. Comme ma sœur est en manque (sexuellement), elle s’attaque aussitôt à Papa. Samira va s’asseoir sur les genoux de Papa et se love contre lui. Après sa longue absence, Papa trouve cela assez normal. Elle a toujours été un peu chouchouté par mon père. Mais je n’avais pas à m’en plaindre. Je savais bien que Papa nous aimait tous les deux.

Mais Samira se tourne de telle façon qu’elle arrive à pousser avec un genou entre ses jambes, sur l’endroit de son sexe. Papa ne dit rien, mas il sent très vite sa verge gonfler sous la poussée du genou de sa petite fille. Ma sœur est contente parce qu’elle sent quelque chose qui durcit contre son genou et qu’elle soit parvenue à faire bander Papa. Maintenant, ma sœur se tourne pour pousser son petit

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cul contre la bite de Papa et bouge lentement pour frotter son derrière contre la tige raide de son père.

Papa est très mal à l’aise avec sa petite gamine qui le fait bander. Mais il ne peut rien faire. Samira continue à se frotter contre lui. Le petit cul de ma sœur finit par avoir raison de la bite de Papa. Mon père ne sait plus se contenir et sent la sève monter de ses grosses couilles vers la sortie. Il se lève en poussant doucement sa petite poupée sur le côté et va se soulager dans la toilette. Deux trois caresses sur sa pine et voilà qu’il a une bonne éjaculation. Ouf, c’était temps.

Cette petite gamine est vraiment perverse, pense-t-il. Elle l’a fait volontairement. Mais au fond de lui-même, il a aimé ce petit jeu auquel s’est livrée sa petite fille.

Sans rien dire, il revient dans le salon et s’assied dans son fauteuil en reprenant ma petite sœur sur ses genoux. Samira laisse aller sa main négligemment sur la braguette de son vieux et remarque que la tension est tombée. Elle est contente en elle-même, elle a réussi à faire jouir son père. Mais son petit jeu n’est pas fini. Elle veut savoir jusqu’où elle peut aller et comment son paternel va réagir.

De la pointe de ses doigts, elle commence à gratter légèrement le tissu à l’endroit du sexe de Papa.

Papa sent bien que Samira veut plus. Il se laisse aller au jeu de sa petite fille. Il ne sait d’ailleurs plus résister. Depuis des semaines il n’a plus fait l’amour avec sa femme. Elle l’évite et il ne sait pas pourquoi. Alors cette petite gamine qui se love contre lui le met dans tous ses états...

Il bouge machinalement sa main pour la laisser glisser entre les jambes de sa fille, sur sa robe de nuit. Légèrement mais régulièrement, il pousse à l’endroit de sa petite prune. Pour Samira, c’est la réponse à son manège de tantôt et en même temps la confirmation que Papa entre dans son jeu. Elle est contente et savoure les petites caresses de son Papa. Comme il n’y avait qu’une petite lampe allumée, nous n’avions rien remarqué du jeu malicieux de Samira et de Papa.

En réponse aux attouchements de Papa, ma sœur frotte carrément avec sa main sur la brayette pour faire raidir la queue de son père. Papa passe une main sous la chemise de nuit, qui n’arrive même pas aux genoux, et remonte vers l’entrejambe de ma sœur. Comme elle n’avait pas mis de culotte ce soir, Papa touchait directement sa petite prune en chaleur. Elle était déjà toute humide. Papa caresse aussitôt la petite vulve de sa gamine. Et bientôt ma sœur sent le plaisir monter en elle. Elle se love encore un peu plus contre son Papa qui lui procure un orgasme qui traverse tout son petit corps. Papa sent aussi le plaisir monter sous la petite main qui caresse sa grosse queue en rut. Il n’a pas eu le temps d’aller à la toilette et gicle son foutre dans son boxer. Ils ont joui tous les deux en regardant la TV. Maman et moi, nous n’avions rien remarqué. C’est ma sœur elle-même qui me l’a raconté plus tard.

Le reste de la soirée se passe normalement.

Le dimanche matin, je me retrouve avec ma sœur dans la salle de bain. Je suis tout nu devant l’évier et Samira est en nuisette sur le pot. Voilà que Papa rentre aussi, tout nu. Nous sommes tous les deux étonnés. Les yeux de ma sœur se fixent directement sur le sexe de Papa. Notre père a une très belle verge à demi dressée et une magnifique paire de couilles. Il est un très bel homme de 45 ans.

Il nous demande : « Je vous dérange ? »

Et presqu’en chœur nous répondons : « Oh non. Nous n’avons pas l’habitude de te voir tout nu, mais on s’habituera. »

Je prends ma douche, ensuite c’est Samira qui enlève sa nuisette pour prendre sa douche. Elle est heureuse de pouvoir se montrer toute nue devant Papa. Et Papa la complimente en plus en lui disant :

– Tu deviens vraiment une jolie fille et avec un petit corps de rêve...

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Lorsque nous avons terminé notre toilette, nous nous habillons er descendons à la cuisine rejoindre Maman.

Samira me chuchote :

– T’as vu comme Papa est beau et fort tout nu. Et quelle belle queue. Je tomberai bien amoureuse de lui.

Bientôt, Papa vient nous rejoindre et nous déjeunons tous les quatre sans dire grand-chose.

À la fin du repas, avant de sortir, Samira dit à Papa :

– Tu peux me conduire chez une copine, je dois lui rendre un livre et lui demander quelque chose pour les devoirs.

– Bien sûr, ma chérie, répond mon père.

Samira remonte vite, se change et redescend avec un livre sous le bras. Elle a mis une mini-jupe et un t-shirt très serrant qui met ses petits seins bien en valeur. Elle va s’asseoir devant dans la voiture de Papa qui suit aussitôt et la voiture démarre.

En chemin, Samira met sa main droite sur le genou de Papa et le caresse légèrement. Puis elle avance sa main pour caresser l’intérieur des cuisses de Papa tout en remontant vers son entre jambe. Arrivée en haut de la fourche, Papa plaque sa main sur la sienne et la presse contre ses couilles et son sexe qui s’est raidit entre temps. Tout en conduisant d’une main, il prend un chemin qui va dans un petit bois et s’arrête sur le côté.

Il dit à sa petite fille :

– Viens avec moi sur le siège arrière.

Voici ce que Samira m’a raconté quelques mois plus tard :

Papa et moi, nous nous installons sur le siège arrière de la voiture. Papa prend directement ma tête entre ses deux mains et m’embrasse sur la bouche. Je sais très bien ce que je dois faire. J’écarte mes petites lèvres et reçois la langue de Papa. Je touche avec ma langue la langue de Papa, au grand étonnement de mon père. Papa fouille ma cavité buccale tandis que je suce la langue de mon père. Puis, ma langue pénètre dans la bouche de Papa. Nos salives se mélangent. Nous aspirons notre mélange de salive réciproquement. Quel un baiser fougueux entre nous deux. Je deviens toute chaude, j’ai des picotements jusque dans mon intimité.

Papa passe ses mains sous mes fesses et m’attire contre lui. Il se laisse aller sur le dos et prend sa fille sur lui entre ses jambes. Il caresse mes cuisses, puis passe ses mains sous la minijupe et remonte avec ses mains pour continuer à caresser mes fesses pardessus le tissu de mon slip. Ensuite, il retire le petit slip pour caresser directement la peau des fesses nues. Je suis ravie. Je n’attendais que cela. Je ne reste pas en retard non plus. J’ouvre la braguette de mon père et extirpe une belle queue raide au gland tout luisant. Mes petites mains caressent cette belle bite dressée. Mes doigts montent et descendent le long de ce beau sexe en rut.

Après un petit moment, Papa dit a sa petite chérie :

– Couche-toi sur la banquette, j’ai envie de manger ton petit con et de boire à ta délicieuse source intime, je raffole du nectar de ma petite chérie.

Je me couche tête bêche contre mon père et écarte bien mes petites cuisses. Papa approche sa tête de mon petit tabernacle sacré et lèche le nectar délicieux qui coule de ma source intime. Il aime lécher cette petite source de sa fillette. Le nectar, que je distille est enivrant. Il n’aurait jamais cru deux jours auparavant qu’il aurait un jour sa tête entre les cuisses de sa petite fille pour la sucer.

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Je continue à caresser la belle queue toute raide de son Papa. Une de mes petites mains monte et redescend le long de cette grosse tige que mon Papa a entre ses jambes. L’autre main caresse son sac avec les grosses couilles. C’est autre chose les couilles d’un homme que les petites billes de mon frère.

Papa écarte bien les deux bourrelets si tendres pour voir l’intérieur de mon petit sexe. Sa langue rugueuse fouille mon intimité. J’aime la langue de Papa sur mon petit minou. Il lèche l’extérieur du petit vagin, puis sa langue s’introduit entre les lèvres de ma petite prune. Quelles sensations merveilleuses que Papa me donne ; c’est un vrai mâle, un homme expert qui sait ce que sa petite femelle aime. En même temps il aspire ma mouille qui continue à couler.

Après avoir bien fait le tour de l’intérieur de mon petit con, sa langue remonte vers mon petit bouton. Il joue avec mon petit clito. Je suis aux anges. La langue de mon Papa me transporte au septième ciel. Oh, que c’est bon cette langue de Papa qui chatouille et lèche mon petit clito. Je commence à gémir.

– Oui, Papa, continue à lécher mon petit bouton, oh, que c’est bon. Je suis ta petit femelle, fais-moi jouir. Je t’aime Papa. Continue, je sens le plaisir monter en moi. Je vais jouir.

J’oublie de caresser le sexe de Papa. Je suis prise par ce courant de sensations qui traversent mon jeune corps et dont je raffole. Les caresses de Papa me procurent un très grand orgasme. Tout mon petit corps est traversé par des spasmes. Depuis longtemps je n’avais plus joui. « Oh que c’est merveilleux Papa, tu sais ce qui fait plaisir à ta petite fille.

Après une petite accalmie, je reprends la jolie bite de Papa en bouche et suce mon père de toutes mes forces. Je veux que Papa aie aussi du plaisir. Je veux le faire jouir aussi et avaler son sperme. Je suce bien, pour une petite fillette de 12 ans. Papa est tout étonné d’avoir une vraie petite pute comme progéniture. Mais c’est tellement bon et il ne pense pas du tout de me dire d’arrêter. Ma petite bouche monte et descend le long de sa grosse tige raide pendant qu’une main s’occupe de ses couilles et les caresse légèrement. Oh, que c’est bon. J’aime jouer avec la bite et les couilles de Papa.

– Comme tu fais bien cela, ma petite chérie, je me demande où tu as appris à sucer le sexe des hommes ? Attention ma chérie, je sens que je vais venir !

– C’est pas grave, Papa, je veux goûter la bonne crème de mon Papa, tu veux bien me la donner ?

Voilà que çà vient. Papa envoie sa semence tiède, par saccade, dans la bouche de sa petite fille. Je ne m’attendais pas à recevoir une telle quantité de foutre. Mais j’avale tout.

Après avoir bien fait jouir mon père, je me retourne et me colle contre mon père, mon ventre nu contre le sexe de mon Papa. Nous restons un petit moment ainsi pour récupérer un peu.

Puis je reprends la bite de mon père en main pour la caresser. Très vite, celle-ci reprend de la consistance.

Papa me dit :

– Tu es ma petite pute, chérie ! Veux-tu que nous fassions vraiment l’amour ensemble ?

– Oh oui, Papa chéri, j’aimerais sentir ta grosse bite dans mon petit minou. Tu es gentil, mon petit Papa. Viens vite et enfonce ta belle queue dans le ventre de ta petite fillette. Mon petit con est prêt, il n’attend que cela.

Au moment où Papa veut se mettre entre mes cuisses, on entend des sons de cors de chasse. Ce n’est plus le moment de batifoler. Papa me dit : « Habille-toi vite, nous ne sommes pas tout seul. Il ne faudrait pas qu’on nous voie dans cette position. »

En un clin d’œil, nous sommes habillés et Papa se met au volant tandis que je reste à l’arrière de la voiture. Papa démarre au moment où un groupe de chasseurs passe. C’était temps.

Après la visite chez la copine nous revenons directement à la maison. En chemin, Papa me dit :

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– Ce n’est qu’une partie remise. Demain avant-midi, ta Maman doit partir chez une amie et ne sera pas revenue avant 18 heures. Alors, tu feras la malade. Tu diras que tu as mal au ventre et que tu ne peux pas aller à l’école. Et nous aurons toute l’avant-midi pour nous deux. Tu es d’accord ?

– Oh, oui, Papa chéri, tu sais que je t’aime. Je me réjouis déjà à l’idée de sentir ta grosse queue dans mon petit minou. Tu verras, tu auras bon d’enfoncer ta belle bite dans mon petit con étroit. Ta bite sera bien serré dans ma chatte.

Le reste de la journée se passe normalement. L’après-midi, nous sommes en grande partie autour ou dans la piscine. Maman et moi, nous avons enlevé notre soutien-gorge et nous laissons voir nos beaux seins.

Papa dit seulement :

– Tiens, c’est nouveau ça !

– Écoute, Papa, nous sommes entre nous, alors je ne vois pas ce qu’il y a de mal à voir les seins de Maman et les miens, surtout qu’ils sont très beaux. C’est pas vrai ?

– Si, t’as raison, ma chérie.

Mon frère dit bien fort :

– Alors, tu viens Samira ! Laissons les amoureux.

Mais mon frère sait très bien que Maman n’a aucune envie de batifoler avec Papa. Depuis qu’il fait l’amour avec elle, elle est plutôt distante avec mon père.

Le soir, nous regardons la TV avant d’aller au lit.

Le lendemain matin, mon frère se lève comme d’habitude. Il regarde la porte de chambre de ma chambre, rien ne semble bouger chez moi. Il fait sa toilette dans la salle de bain, bien sûr tout nu maintenant et attend que j’arrive. Mais en vain, je ne viens pas.

Lorsqu’il a fini, il vient frapper à ma porte et rentre. Je suis toujours couchée dans mon lit. Je tourne la tête vers lui en disant :

– Dis à Maman que j’ai mal à la tête et au ventre et que je ne pourrais pas aller à l’école.

– OK petite sœur, dors bien. T’as tes règles ?

– Je n’en sais rien, peut-être que ça va venir. Mais j’ai trop mal pour aller à l’école.

Mon frère s’habille et descend déjeuner. Maman est à la cuisine et a préparé la table et le chocolat chaud. Il lui donne un bisou sur la bouche, comme ils sont seuls. Puis il lui dit en s’asseyant à table :

– Maman, Samira ne peut pas aller à l’école aujourd’hui, elle est malade. Elle dit qu’elle a mal au ventre et à la tête. Ce sont peut-être ses règles ?

– Cela m’étonnerait, il y a à peine trois semaines qu’elle les a eues. Enfin, qu’elle reste au lit aujourd’hui. Je dois partir mais Papa est toujours là.

Comme mon père a congé, il est toujours au lit. Mon frère prend ses affaires et va prendre le bus.

Maman vient me voir. Je joue bien la comédie. Au bord des larmes, je dis à Maman :

– Maman, je ne peux pas aller à l’école, j’ai mal au ventre et ma tête me tourne. Je peux rester ici aujourd’hui ?

– D’accord, si cela ne va pas mieux tantôt, demande une aspirine à Papa. Dors bien, je dois partir aussi. Je reviens vers 2 heures.

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Maman est à peine partie, que je pousse un « Ouf », me lève et me glisse dans le lit de mon père qui dort encore.

Enfin, je suis vraiment seule avec mon père. Je me love contre mon père qui n’a que son boxer. Je presse mon ventre contre le derrière du paternel. C’est bon de sentir la chaleur du corps d’un homme qui traverse mon corps de petite fillette. Je passe une main au-dessus du corps de mon père pour sentir l’entre jambe de Papa. Ouwah... le sexe de mon père fait une grosse bosse dans le boxer. Je caresse légèrement cette énorme bosse sur le tissu et presse mon petit corps plus fortement contre le cul de mon paternel. Ces attouchements répétés ne laissent pas mon géniteur indifférent. Au premier moment, il ne sait pas où il est et ce qui se passe. Bientôt il réalise que c’est la main de sa petite fille qui lui procure ces sensations érotiques qui traversent tout son corps.

Papa se retourne et me prend dans ses bras. Il me presse contre lui et cherche ma bouche. Très vite, nos lèvres s’ouvrent, nos langues se rencontrent, nos salives se mélangent. C’est un baiser ardent, fougueux, langoureux entre le Papa et sa petite fillette. Je suis heureuse dans les bras de mon père, je presse mon petit ventre contre le sien, plus précisément contre la bosse du boxer.

Papa baisse son boxer qui finit au fond du lit, passe ses mains sous ma petite nuisette, les mets sur mes petites fesses et attire mon tendre petit corps contre lui, ma petite chatte contre son gros sexe. Je suis dans les bras de mon Papa, ou plutôt mon corps de petite femelle en chaleur contre le corps d’un gros mâle en rut.

Les mains de Papa caressent lentement mon dos et me donnent mille sensations. Puis ses mains descendent vers mes vers mes fesses et la raie entre mes fesses. Il s’y attarde un peu. C’est délicieux de sentir une main qui vous caresse à cet endroit. Puis, quelques doigts se hasardent vers mon auréole et son petit trou. Papa met mon petit corps en feu. Il mouille un doigt et caresse les plis autour de mon trou du cul avant de l’enfoncer lentement dans mon derrière. Le doigt de mon père dans mon cul fait des mouvements de va et vient.

J’aime toutes ces sensations et m’abandonne à ces mains incestueuses mais combien délicieuses pour moi, sa petite fille.

Après un moment, Papa me dit :

– J’ai envie de boire à ta source, couche toi sur moi, donne-moi ton petit con et prend ma bite.

J’enlève ma nuisette et me couche tête-bêche, toute nue sur mon Papa aussi tout nu. Quelle merveilleuse sensation d’être avec mon petit corps nu sur un vrai homme nu. Cette peau un peu rugueuse, les poils d’homme, tout cela me rend folle. La tête de Papa entre mes petites cuisses, sa bouche sur mon sexe, sa langue qui fouille mon intimité, quelles sensations merveilleuses pour une gamine de 12 ans. Quand c’est un vrai homme, cela fait de l’effet, mais à savoir que c’est mon Papa qui me mange le minou, c’est fantastique.

J’ai rêvé souvent les derniers temps avoir mon Papa sur moi, qui me suce et me fait l’amour, et voilà que cela se réalise pour moi. Toutes sortes de sensations traversent mon petit corps. Sa pointe de sa langue titille mon clito et de nouvelles ondes traversent tout mon corps. Je suis une petite femelle comblée. Aussi, j’empoigne la grosse bite de mon père et je la suce de toutes mes forces. Ma bouche monte et descend le long de cette queue raide. Chaque fois que ma bouche remonte vers le gland décalotté, j’aspire le suc distillé par les couilles.

Papa a pris mon petit bouton entre ses lèvres et suce comme une mamelle. Je n’en peux plus. Mon corps commence à vibrer sous ces caresses intenses. Je crois que je vais perdre la tête. Je commence à gémir de plus en plus fort avec des « Oh !, des Ah... »

– Arrête, Papa ... Je vais venir...Prends moi, enfonce ta bite dans le petit con de ta petite fille... ! Oui, saute-moi, je suis ta petite femelle en chaleur. Tu es mon gros mâle en rut.

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Papa me met sur le dos et j’ouvre très grand mes cuisses. Papa, à genoux sur le lit, avance entre mes jambes écartées. Je vois mon gros mâle avec sa bite luisante avancer vers moi.

Maintenant, il approche sa grosse queue raide de mon petit sexe. Lentement, il pousse sa pine dans la petite ouverture entre mes cuisses. Comme la petite fente est bien mouillée, Papa n’a pas trop de difficulté pour pénétrer sa petite fille tout en étant étonné de ne pas trouver de résistance. Sa petite fille n’est plus vierge... Encore quelques bonnes poussées et voilà est Papa arrimé à fond.

Mon père est un mâle en rut ; dans l’état d’excitation où il se trouve, cela ne le gêne pas que ce soit sa propre fille qu’il est entrain de sauter ; pour lui, je ne suis plus qu’une petite femelle en chaleur qui doit être saillie. Il est en manque Et avoir une toute jeune petite femelle à saillir est une aubaine exceptionnelle pour ce gros mâle en rut. Bien sûr, j’ai fait tout pour avoir ce beau mâle entre mes jambes. La grosse queue de Papa m’a fait fantasmer ces dernier temps, surtout depuis que mon frangin m’a abandonner pour sauter Maman.

Papa commence directement son va et vient dans ma chatte de gamine. Il a bon de baiser cette fillette dévergondée. Aussi il pousse de toutes ses forces sa grosse queue dans la petite fente de cette fillette de 12 ans. Comme je n’ai plus eu de mâle depuis un certain temps, je suis en manque et j’ai besoin de cette grosse bite dans mon petit con en chaleur. J’aime cette grosse bite dans mon petit con. Dans un moment de semi lucidité, mon père me dit :

– Ça va, ma petite puce, tu n’as pas trop mal ? Tu aimes la grosse queue de ton Papa dans ton petit minou ?

– Oh, oui, Papa, j’aime ta belle grosse queue raide dans ma petite prune. C’est cool quand tu fais ton va et vient dans ma petite chatte. Tu sautes bien ta petite fille. Tu peux cogner plus fort, Papa. J’aime sentir ta grosse bite cogner dans mon petit minou.... Oui, comme çà. Oh que c’est bon, mon Papa chéri, comme tu fais bien l’amour à ta petite fille...

– Tu es meilleure que ta Maman, ma petite Samira. Moi aussi, j’aime te baiser. Tu as un petit corps merveilleux. Ton Papa n’a pas pu résister à te faire l’amour. Oui, c’est vrai, j’aime enfoncer ma grosse queue dans ton petit sexe.

Sous les coups de boutoir de mon père, ma petite prune est en en fête. Tout mon jeune corps est en feu. Je sens le plaisir monter en moi de plus en plus fort. L’orgasme arrive. Je sens que je vais jouir.

Mon Papa grogne en poussant de toutes ses forces :

– Ah ! Tu l’as voulu, ma petite pute, tu auras mon foutre dans ton petit con. Tiens voilà le jus de ton Papa.

Je sens les battements de la bite de mon père dans mon vagin. Je suis submergée par un orgasme puissant. Tout mon petit corps vibre sous mon gros mâle. Je gémis, je lance des râlements, je crie même :

– Oh, oui, c’est bon ! Pousse plus fort ! Que c’est merveilleux, Papa ! Tu fais bien jouir ta petite fille. Oui, donne-moi tout ton jus. Vide tes grosses couilles dans le petit con de ta fillette chérie. Oh, je perds la tête...

Et puis, je ne sais plus ce qui s’est passé, je crois que j’étais un moment dans les vapes. Quand je reviens à moi, nous sommes couchés dans le lit et je suis dans les bras de Papa. Nous sommes toujours tout nus, collés l’un contre l’autre. Et je suis bien. Papa ne dit rien, il me serre fort contre lui. Et je suis heureux ainsi, tout nu dans les bras de Papa, tout nu aussi. Nous nous sommes endormis ainsi. Vers 11 heures nous avons été réveillés par la sonnette de la porte. Papa sursaute et va regarder à la fenêtre. C’était un inconnu, un démarcheur surement. Papa est revenu près de moi dans le lit.

J’ai commencé par donner des bisous à mon père sur ses petits nénés, puis je l’ai embrassé sur la bouche. Très vite, nos deux langues se sont entremêlées dans un baiser torride. Je me couche sur

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Papa. J’aime la sensation de nos deux corps nus l’un sur l’autre. Les deux mains de Papa descendent sur mes petites fesses et les malaxent. Puis l’une de ses mains passe dans la raie entre les fesses et s’attarde à mon petit trou pour aller plus loin vers ma chatte. Ces caresses mettent le feu aux poudres.

J’abandonne la bouche de Papa, me retourne, me mets en 69 et empoigne sa queue pour la sucer. Ma bouche monte et descend le long de cette belle tige raide que Papa a entre ses jambes. Je suis toujours fasciner par ce gros sexe dressé. Dès que je le vois, je sens ma petite prune picoter et ma source intime commence à distiller le nectar intime dont Papa raffole. Je sens la langue de père qui lèche mon petit vagin, puis il écarte les lèvres pour ouvrir ma grotte sacrée et introduire sa langue afin de recueillir ma mouille précieuse. Puis sa langue remonte vers mon petit clito. Il commence par titiller avec la point le petit bout qui se redresse un peu, le prend entre ses lèvres et le suce comme une petite mamelle.

Les caresses intimes de Papa m’excitent tellement que j’ai peur de jouir trop tôt. Je me retourne et à califourchon sur mon père, j’empoigne sa bite toute raide et me laisse descendre sur sa queue qui s’enfonce dans mon ventre. Ça rentre tout seul dans ma chatte inondée de cyprine. Mon petit corps, comme dans un galop, monte et descend sur son sexe dressé. Je chevauche mon Papa dont le gros sexe, en cadence régulière, saillit mon petit minou.

J’aime sentir le sexe de Papa en moi. Et je crois que Papa aime aussi faire l’amour à sa petit fille de 12 ans seulement. Il sait bien que c’est de l’inceste. C’est défendu par le Coran et même par la loi. Mais le plaisir que donne l’inceste avec une toute jeune fillette, qui ne demande que cela, est tellement grand qu’il passe outre à tous les tabous. Il ne sait plus renoncer à ce petit corps tendre avec son sexe de petite gamine qui décuple le plaisir. Et moi aussi, j’ai besoin d’avoir, de temps en temps, une belle queue dans mon minou. Je suis devenue, à 12 ans, accroc du sexe. J’aime les bites des garçons et maintenant, encore plus, celle des hommes depuis que j’y ai goûté.

Pendant que je chevauche mon père, il me caresse le clito. C’est merveilleux et je sens le plaisir monter à nouveau en moi. Et lorsque Papa projette sa semence dans mon jeune corps et que les spasmes de sa grosse bite secouent l’intérieur de mon jeune sexe, l’orgasme se déclenche en moi et secoue tout mon petit corps de gamine de 12 ans. Je suis projetée au septième ciel. Le plaisir sexuel que je ressens en moi est indescriptible. Pour moi, c’est la plus belle chose qui existe au monde. Et je ne sais plus m’en passer.

Tout mon petit corps vibre sous les spasmes de l’orgasme. Pris dans l’accès d’excitation, je crie tout haut :

– Oh, merci Papa pour le plaisir que tu donnes à ta petite fille. Je n’oublierai jamais que tu as enfoncé ta grosse bite dans mon petit con, et le plaisir que tu m’as donné.

Je reste encore quelques minutes couchée sur mon gros mâle, sa queue dans mon minou, jusqu’à ce qu’elle dégonfle et sort d’elle-même.

Je suis vraiment crevée maintenant. Je me laisse rouler à côté de Papa et je m’endors.

Lorsque je me réveille, mon père n’y est plus. Je vois sur le réveil que c’est 4 heures de l’après-midi. Je me lève vite, je prends une douche et je descends à la cuisine. Papa, toujours en boxer, m’a préparé une tasse de cacao chaud et petit pain au chocolat. Je saute au coup de mon père pour l’embrasser sur la bouche maintenant et je lui dis un grand merci parce qu’il s’occupe si bien de sa petite fille.

Papa me regarde avec un air grave.

– Qu’y a-t-il, Papa ? Je demande.

– Écoute, ma petite chérie, J’ai reçu tantôt un coup de téléphone que je dois partir demain matin pour 15 jours au Maroc pour mon travail. Je suis désolé, ma petite poupée. Mais je penserai

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beaucoup à toi et à ton petit minou, ma petite chérie. Tu sais, je t’aime vraiment, tu es devenue ma petite femme. Tu fais mieux l’amour que ta Maman.

– Papa chéri, fais encore une dernière fois l’amour à ta petite fille avant de partir, s’il te plaît. Tu as dit toi-même que je suis ta petite femme, alors prends-moi comme tu veux. Je suis toute à toi. Tu peux faire avec moi ce que tu veux. Nous avons encore deux heures avant le retour de Maman.

En disant cela, j’avais une idée en tête.

Je passe ma main entre les jambes de Papa, en insistant un peu. Je sentais que cela bougeait un peu dans son boxer. Sa queue se redressait lentement. Je baisse son boxer et empoigne directement sa belle bite pour le mettre en bouche.

C’est vrai, je n’ai pas encore déjeuné et cette belle bite fera l’affaire. Je la suce de toutes mes forces. Papa ne sais plus dire non. Cela a été un peu rapide pour lui. Et le temps de réagir, c’est l’appel de son sexe qui lui fait oublier tout le reste. Il me prend dans ses bras, sa pine pointée en avant, et me porte sur le divan. Très vite, il me déshabille, puis il enlève ce qui lui reste de vêtement.

– Oh, que tu es jolie, ma petite poupée, et ton petit cul est magnifique ; il ferait damner un Saint.

Papa met sa tête entre mes cuisses et lèche ma petite prune.

– Ton petit abricot est déjà bien juteux, ma chérie. Mais j’aime aussi ta petite auréole avec son joli trou.

Et je sens la langue de Papa sur mon anus. Il lèche mon petit trou du cul et avec la pointe de sa langue essaie d’entrer un peu. Puis il crache sur l’orifice anal et entre avec un doigt. Aussitôt, il commence un va et vient avec son gros doigt dans mon petit cul. C’est bon. J’aime ce doigt qui fouille dans mes boyaux. De l’autre main, il caresse mon clito. Je suis très vite dans une grande excitation. Je deviens une vrai petite femelle en chaleur. Et c’est vrai, je ne désire plus qu’une chose, un gros mâle en rut qui enfonce sa grosse queue dans ma chatte ou, pourquoi pas, dans mon cul. Alors je dis à mon père :

– Papa, prends-moi, saute-moi et enfonce ta bite dans mon petit cul. Je suis ta petite chienne et toi mon gros bouledogue, qui prend sa femelle par derrière. Oui, Papa chéri, enfonce ta grosse queue dans mon trou du cul.

– Oui, ma chérie, j’ai aussi fortement envie de d’enculer, mais tu auras un peu mal.

– C’est pas grave, Papa, encule-moi, j’aime sentir ta pine dans mon anus, c’est tellement excitant.

Et je sens Papa qui pousse sa son gros sexe dans mon rectum. Au départ, c’est difficile et cela fait mal. Mais je ne dis rien. Je mords sur ma langue pour ne pas crier. Mais je le veux. Le souvenir sera d’autant plus fort. Puis, lentement, les sphincters rectaux se relâchent, Papa entre avec sa queue dans mon trou du cul. Je la sens progresser lentement. Puis, un dernier coup et mon père à loger sa fameuse bite dans le cul de sa petite fille de 12 ans. Je m’en souviendrai sûrement. Je n’ai plus mal. Les parois rectales se sont distendues. Et Papa commence son va et vient de plus en plus vite.

– Tu n’as pas trop mal, ma petite chérie ?

– Non, Papa, tu peux y aller. N’aie pas peur de cogner avec ta queue dans mon trou. J’aime sentir ta bite dans mon étroit fourreau. Je crois qu’elle est bien serrée !

Et Papa cogne bien avec son pieu. Ses couilles claquent contre mon petit cul. Il ramone vraiment bien mes boyaux. Maintenant Papa devient vraiment un mâle en rut. Il ramone de plus en plus

Vite en poussant des grognements comme un étalon sur sa jument en chaleur...

– Tu l’as voulu, ma petite pute. Oui, ton Papa te saillit comme un vrai bouc. Tu es ma petite femelle. Enfin, je peux enculer ma fille. Ta mère ne m’a jamais prêté son gros cul pour que je la saute. Tu es vraiment gentille, ma petite chérie. Oh, comme j’aime enfoncer ma queue dans ton

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petit cul. C’est si bon, le petit trou du cul d’une fillette. Comme tu fais plaisir à ton Papa. N’oublie pas ton Papa quand je serai parti.

Dans son ardeur à me saillir, Papa oublie mon petit bouton ; alors je me caresse moi-même pour stimuler le plaisir. Bientôt je sens le plaisir envahir mon corps. Il part de mon sexe et traverse tout mon corps. Papa gicle son sperme dans mon cul pendant que je sens les vibrations de sa bite.

Ceci déclenche l’orgasme chez moi. Je sens le plaisir se répandre à travers mon corps. Oh, que c’est bon. Dommage que cela ne dure pas plus longtemps. Mais trois orgasmes sur une journée c’est quand même beaucoup pour une gamine de 12 ans. Enfin, j’ai bien jouie et j’aime le sexe. Je me demande ce que je ferai lorsque Papa sera parti.

Mon père me donne un kleenex pour m’essuyer le cul et je remets mes vêtements pendant qu’il va laver sa bite maculée de mon caca.

Quand il revient dans le salon, il m’embrasse et me dit :

– Merci ; tu as été formidable. Je n’ai jamais joui aussi fort dans le cul d’une fille. Quand je reviendrai, j’espère qu’on pourra encore faire l’amour, nous deux.

– Oh, oui Papa, j’attends avec impatience ton retour.

Maman est revenue à l’heure prévue. Je lui dis que je me suis levée un peu pour pouvoir dormir la nuit.

Et Papa ajoute :

– Elle a été très sage, elle est restée presque toute la journée au lit.

Après le souper, épuisée par cette dure journée, je vais me coucher en prétextant un mal de tête.

Papa vient me dire au revoir, parce qu’il doit partir tôt le matin. Il me fait un vrai bisou sur la bouche et me dit :

– Je reviendrai le plus vite possible et nous pourrons encore nous aimer, ma petite chérie. À bientôt.

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