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Maxim Vengerov / Roustem Saïtkoulov - Lundi 16 janvier 2017

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LUNDI 16 JANVIER 2017 – 20H30

GRANDE SALLE PIERRE BOULEZ – PHILHARMONIE

Franz SchubertSonate pour violon et piano D. 574 « Duo »

Ludwig van BeethovenSonate pour violon et piano n° 7

ENTRACTE

Maurice RavelSonate pour violon et piano

Heinrich Wilhelm ErnstÉtude polyphonique n° 6 « Die letzte Rose »

Niccolò PaganiniCantabile pour violon et piano op. 17I Palpiti – arrangement pour violon et piano de Fritz Kreisler

Maxim Vengerov, violonRoustem Saïtkoulov, piano

Une séance de dédicace aura lieu à l’issue du concert.

FIN DU CONCERT vERS 22H40.

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Franz Schubert (1797-1828)Sonate pour violon et piano en la majeur D. 574 « Duo »

I. Allegro moderato

II. Scherzo. Presto

III. Andantino

Iv. Allegro vivace

Composition : août 1817.

Première exécution : 1864.

Publication : 1851, comme op. 162.

Durée : environ 21 minutes.

La Sonate en la majeur fait partie d’un lot de partitions que Ferdinand Schubert vendit un an après la mort de son jeune frère à l’éditeur viennois Anton Diabelli. Aux côtés de chefs-d’œuvre comme les trois dernières sonates pour piano figuraient trois sonates « faciles » pour violon et piano (éditées comme « sonatines ») et cette Sonate en la majeur, publiée iso-lément en raison de sa difficulté et de son ambition supérieures, sous le titre de « Duo ».

Alors que dès 1814-1815 Schubert avait livré quelques-uns de ses lieder les plus magistraux, tels Marguerite au rouet ou Le Roi des aulnes, en 1817 son écriture pour violon et piano montre encore des traits de juvénilité. Dans les premières mesures, la main gauche du piano, avec son balancement aussi doux qu’obsessionnel, est du pur Schubert ; mais d’autres passages doivent autant à Mozart ou Beethoven qu’à Rossini. Le jeune Schubert se méfie de la virtuosité et privilégie la beauté du chant (mouvements impairs) et l’exubérance du rythme (mouvements pairs). L’impression qui domine est celle d’un charme irrésistible, dont la simplicité apparente recèle de nombreuses trouvailles et une inventivité dans le cheminement tonal qui restera une des marques de fabrique du compositeur.

Claire Delamarche

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Ludwig van Beethoven (1770-1827)Sonate pour violon et piano n° 7 en ut mineur op. 30 n° 2

I. Allegro con brio

II. Adagio cantabile

III. Scherzo. Allegro

Iv. Finale. Allegro – Presto

Composition : octobre 1802.

Durée : environ 27 minutes.

L’année 1802 marque un tournant dans la vie de Beethoven. Les troubles auditifs ressentis depuis 1799 ont pris une telle ampleur que son médecin lui prescrit un été hors de la ville, espérant que le silence calmera le mal. L’expérience est vaine, et la perspective d’une vraisemblable surdité plonge Beethoven dans le désarroi. De retour à vienne en octobre 1802, il rédige un poignant cri de désespoir, le « Testament d’Heiligenstadt ». Comme pressé par l’épée de Damoclès de la surdité, il compose avec frénésie : les cinq années à venir seront d’une extraordinaire fécondité.

Les Sonates pour violon et piano op. 30 sont les premiers rejetons de cette fièvre créatrice ; elles inaugurent la période médiane de Beethoven, où les partitions se déploient avec une ampleur nouvelle. Dans ce triptyque, le deuxième volet (celui qui nous intéresse) est le plus représentatif de cette manière qui culminera dès l’année suivante dans la Symphonie « Eroica » : une écriture conquérante, un sens aigu du drame, du contraste, de la grande architecture. La tonalité d’ut mineur, si lourde de sens chez Beethoven (c’est celle de la Sonate « Pathétique », du Troisième Concerto pour piano, de la Cinquième Symphonie ou de la « Marche funèbre » de l’Eroica), inscrit l’œuvre dans un climat tourmenté qui ne s’apaise que dans le mouvement lent. Mais c’est aussi par son ambition formelle que la Septième Sonate marque son époque. Elle est pourvue d’un scherzo et compte donc quatre mouvements comme une symphonie (à l’exception de la cinquième, « Le Printemps » [1801], les précédentes sonates n’en comptaient que trois). Par ailleurs, c’est la première œuvre de chambre dont l’exposition du premier mouvement n’est pas reprise : désormais, Beethoven a pour priorité d’aller de l’avant.

Claire Delamarche

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Maurice Ravel (1875-1937)Sonate pour violon et piano en sol majeur

I. Allegretto

II. Blues

III. Perpetuum mobile

Composition : 1922-1927.

Dédicace : à Hélène Jourdan-Morhange.

Création : le 30 mai 1972 à Paris, Salle Érard, avec Georges Enesco au violon et

le compositeur au piano.

Durée : environ 20 minutes.

Presque contemporaine des Cinq Mélodies de Prokofiev et de la Sonate de Janáek, la Sonate pour violon et piano de Ravel lui coûta quelques années d’effort. Commencée en 1922, elle devait être achevée au début de l’année 1924, mais les problèmes de santé de sa dédicataire, l’amie intime Hélène Jourdan-Morhange, comme les épisodes dépressifs du compositeur en repoussèrent l’achèvement à 1927. Bien qu’on la nomme généralement « la » Sonate pour violon et piano, de n’est pas le premier essai du compositeur pour cette formation ; il existe une œuvre de 1897 consacrée aux deux instruments, qui précède donc le Quatuor à cordes et inaugure le corpus des œuvres de musique de chambre (elle ne fut publiée qu’en 1975, sous le titre de Sonate posthume). Au cours de ces presque trente ans, durant lesquels prennent place les autres ouvrages chambristes comme le Trio avec piano (1914) ou la Sonate pour violon et violoncelle (1922), Ravel a cultivé son sens profond de l’économie : la partie de piano, considérablement allégée par rapport à celle de la Sonate antérieure (mais aussi par rapport au Trio), en témoigne.

Pour preuve, les premières mesures de la sonate : une seule main, et plus encore, un seul doigt à la fois. Le piano conserve tout au long du mouvement cette légèreté des textures, volontiers homophoniques ou diphoniques, et cette relative sécheresse, en opposition avec le violon à qui sont réservés quelques passages plus lyriques. Un travail très libre de la forme sonate permet une véritable richesse thématique et une pensée harmonique nova-trice. Le Blues suivant s’amuse de « notes bleues » (et fait parfois semblant d’aller jusqu’à la polytonalité), d’éléments courts et typés, d’un rythme lent

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de ragtime, de pizzicati qui évoquent les pizz. arrachés d’un Bartók (dont les sonates pour violon et piano de 1921-1922 ont pu nourrir chez Ravel le désir d’une telle œuvre) et convoquent des images de banjo ou de ukulélé. Ravel l’élégant se délecte à friser (mais à peine ! ) la vulgarité avec un jeu arco (avec l’archet) noté « nostalgico », émaillé de petits glissandi. Quant au Perpetuum mobile final, il louche vers la musique « mécanique », comme le fera peu après le Boléro avec ses courts thèmes sans cesse répétés ; ici, c’est le violon qui se lance à la quinzième mesure dans une ribambelle de doubles croches qu’il n’abandonnera pas jusqu’à la fin. Pendant ce temps, le piano retravaille le matériau thématique des mouvements précédents, ne présentant qu’un thème nouveau, un peu hispanisant, construit sur des accords parallèles.

Angèle Leroy

Heinrich Wilhelm Ernst (1814-1865)Étude polyphonique n° 6 « Die letzte Rose »

Introduction (Moderato) – Tema (Andante non troppo) – variation I – variation II –

variation III – variation Iv (Poco più vivo) – Finale

Composition : vers 1864.

Dédicace : à Antonio Bazzini.

Durée : environ 8 minutes.

Poème de Thomas Moore sur un air populaire irlandais, The Last Rose of Summer (1805) connut une gloire européenne dès sa publication en 1813. De Beethoven à Britten, nombreux furent les compositeurs à tirer variations et arrangements de cette mélodie à la mélancolie prenante. James Joyce la cite dans son roman Ulysse et Flotow l’intègre à son opéra Martha. Parmi les musiciens qui s’emparèrent de cette chanson figure en outre un violoniste morave, Heinrich Wilhelm Ernst. Salué par ses contemporains comme le plus grand virtuose après Paganini (qu’il avait pris tout jeune comme modèle et stupéfia à plusieurs reprises), admiré par Berlioz ou Liszt, il laisse une poignée de compositions dont les six Études polyphoniques pour violon seul sont les dernières. Chacune est

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dédiée à une star contemporaine du violon, et la dernière rend hommage à Antonio Bazzini, l’auteur de la Ronde des lutins. Après l’introduction, le thème de The Last Rose of Summer est décliné en quatre variations et un finale où se combinent les difficultés les plus diaboliques – notamment dans la quatrième variation, où le thème alternativement en pizzicatos de la main gauche et en harmoniques couronne des arpèges joués avec l’archet.

Claire Delamarche

Nicolò Paganini (1782-1840)Cantabile en ré majeur pour violon et piano op. 17

Composition : 1822-1824.

Durée : environ 3 minutes.

I Palpiti, thème et variations sur un air de « Tancredi » de Rossini op. 13 – Arrangement pour violon et piano de Fritz Kreisler (1875-1962)

Adagio – Tema. Allegretto grazioso – variation I – variation II (Adagio) – Allegretto

Composition : 1819. Arrangement de Kreisler : 1906.

Durée : environ 11 minutes.

De 1810 à 1828, Nicolò Paganini fit carrière essentiellement dans son Italie natale, y composant une bonne partie de son œuvre. Cette période coïn-cida avec la carrière lyrique de Rossini, et les deux hommes nouèrent des liens amicaux – Paganini tira même Rossini de l’embarras en dirigeant au pied levé la création de Matilde de Sabran, en 1821, à Rome. Le violoniste s’empara par trois fois des opéras de son ami ; I Palpiti est l’un de ces hommages. Après une introduction lente se déploie un thème et variations sur l’air « Di tanti palpiti » de Tancredi, mélodrame héroïque créé à venise en 1813. Avec cette partition récapitulant toutes les difficultés techniques qui avaient bâti l’aura diabolique de son personnage (doubles cordes, sons harmoniques, pizzicatos de la main gauche), Paganini connut l’un de ses plus grands succès. Un autre virtuose phénoménal du violon, Fritz

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Kreisler, réécrivit totalement l’accompagnement orchestral au piano, non sans ajouter quelques difficultés de son cru, comme les vertigineuses gammes en octaves de la coda.

Le Cantabile montre Paganini sous un jour tout différent ; conçu à l’ori-gine pour être accompagné par l’autre instrument de prédilection du compositeur, la guitare, adapté ensuite au piano, il est pur lyrisme et pure suavité, transposant au violon l’esprit d’un air de bel canto accompagné de simples accords.

Claire Delamarche

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Maxim VengerovConsidéré comme l’un des meilleurs musiciens actuels, souvent cité comme l’un des plus grands instrumentistes à cordes vivants, lauréat aux Grammy Awards, Maxim vengerov est également applaudi dans le monde entier en tant que chef d’orchestre et est l’un des solistes du monde classique les plus demandés. Né en 1974, il débute sa carrière de violoniste soliste à l’âge de 5 ans. À 10 ans, il remporte le Concours Wieniawski, à 15 ans, le Concours Carl Flesch. Dès lors, il enregistre régulière-ment pour des labels de renom (Melodia, Teldec et EMI), remportant entre autres les Grammy et Gramophone Awards du meilleur artiste de l’année. En 2007, suivant les traces de son mentor Mstislav Rostropovitch, il se tourne vers la direction d’orchestre. Dès lors, il se produit à la tête de grandes forma-tions à travers le monde. En juin 2014, il obtient le diplôme d’excellence de direction d’orchestre de l’Institut d’État Ippolitov-Ivanov de Moscou avec le professeur Yuri Simonov. Depuis, il a été engagé pour un projet d’opéra sur deux ans qui l’amènera à diriger pour la première fois Eugène Onéguine, à Brisbane en novembre et à Moscou en décembre 2017. Au cours de la saison 2016-2017, Maxim vengerov participe à l’ouverture de saison de l’Orchestre Symphonique de Sydney et à la clôture de saison de l’Orchestre Symphonique du Queensland, qu’il retrouve en 2017 en tant qu’artiste en résidence. Il

dirigera également l’Orchestre de la Radiotélévision de Dublin, l’Orchestre Philharmonique de Munich et l’Orchestre Symphonique de Melbourne. La saison à venir le verra également effectuer une tournée européenne avec le Toronto Symphony orchestra et se produire avec le New York Philharmonic à New York et Shanghai dans le cadre des séries « Concerts in the Parks ». En 1997, Maxim vengerov a été le premier musicien clas-sique nommé Ambassadeur de bonne volonté par l’Unicef. Maxim vengerov joue le Stradivarius ex-Kreutzer de 1727.

Roustem Saïtkoulovvainqueur du grand prix du concours international Monte-Carlo Piano Masters de 2003, Roustem Saïtkoulov est issu de la prestigieuse école russe de piano. Il se forme au Conservatoire National de Kazan, sa ville natale, puis au Conservatoire Tchaïkovski de Moscou. Une série de prix internationaux lui ouvre les portes des grandes salles de concert autour du monde : Salle Pleyel, Théâtre du Châtelet, Wigmore Hall à Londres, Accademia Santa Cecilia à Rome, Tonhalle de Zurich, Konzerthaus de Berlin, Philharmonie de Saint-Pétersbourg, Tokyo Metropolitan Art Space, National Center for the Performing Arts à Pékin, Opéra de Sydney, Teatro Colón et Centre Culturel Nestor Kirchner à Buenos Aires, Palacio de Bellas Artes à Mexico, ainsi que les festivals de La Roque-d’Anthéron, de Montreux et d’Édimbourg. Son disque

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Piano Études (Arenski, Chopin, Prokofiev, Scriabine, Stravinski), paru chez EMI Classics, a fait date. En 2012 il enre-gistre à Londres les deux concertos pour piano de Chopin avec le Royal Philharmonic Orchestra. Il enregistre en 2015 le Concerto n° 1 de Chostakovitch ainsi que le Concerto pour trompette, piano et orchestre op. 92 de Jaan Rääts. De grands orchestres l’invitent en soliste : Royal Philharmonic Orchestra de Londres, Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo, Orchestre Symphonique de Prague, Tonhalle de Zurich, Orchestre de la RAI de Turin, Sinfonia varsovia, Orchestre Municipal de São Paulo, Orchestre Symphonique de Pékin ou Tokyo New City Orchestra. Il est le pia-niste de prédilection de Yuri Temirkanov pour de nombreuses tournées de l’Orchestre Philharmonique de Saint-Pétersbourg en Europe et en Asie.

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— LES MEMBRES DU CERCLE D’ENTREPRISES —PRIMA LA MUSICA

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Angeris, À Table, Batyom, Dron Location, Groupe Balas, Groupe Imestia, Linkbynet, UTB Et les réseaux partenaires : le Medef de Paris et le Medef de l’Est parisien

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« SAINTE CÉCILE JOUANT DU VIOLON »

DE W. P. CRABETH —Paris Aéroport

Angeris, Batyom, Groupe Balas, Groupe Imestia

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LA CITÉ DE LA MUSIQUE - PHILHARMONIE DE PARIS REMERCIE

— SON GRAND MÉCÈNE —

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