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PORTRAIT DE MAITRE Arts Martiaux Self Défense Police Training www.academielevinet.com AJL MIDI PYRENEES AJL LORRAINE ECOLE HARAGEI TROPHEE COUP DE COEUR MAG AJL AJL ALLEMAGNE

MAG AJL OCTOBRE 2015

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Magazine d'Arts Martiaux, de Self Défense, de Combat et de Police Training de l'Académie Internationale Jacques Levinet. - Numéro 1 Octobre 2015

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UN PARCOURS EXEMPLAIRE

Après avoir mené de front une carrière de capitaine de police et de professeur diplômé d’état de karaté, le parcours de plus de 40 années de pratique et d’enseignement d’arts martiaux de cet expert international, s’est construit et s’est jalonné autour d’expériences aux quatre coins du monde qui l’on amené à l’obtention des plus hautes distinctions et titres d’arts martiaux de Maître en Espagne, puis de Grand Maître à New York et enfin dernièrement à Londres de pionnier des arts martiaux.

Un parcours atypique pour cet inventeur dans l’âme dont les méthodes, à l’attention des civils et des professionnels, ont été reconnues et plébiscitées sur le plan international par les plus grands maîtres et experts toutes disciplines confondues.Une unanimité hors du commun dans le monde des arts martiaux qui a été saluée, lors de ses séminaires, dans de très nombreux pays comme les USA, le Canada, l’Australie, la Russie, le Japon, l’Allemagne, l’Angleterre, le Danemark, la Belgique, la Bulgarie, la Hongrie, l’Italie, Israël, l’Espagne, le Portugal, l’Argentine et le Luxembourg. Ce n’est donc pas un hasard si ce montpelliérain de souche est désormais le président de la Fédération Internationale de Self Défense et de Police Training qui porte son nom, à savoir l’Académie Jacques Levinet ou l’AJL, forte d’une cinquantaine de représentations en France et à l’étranger.

Nous avons voulu en savoir plus sur l’épopée et la personnalité de ce fondateur hors pair.

MAITRES ET EXPERTS• Photos - Edith LEVINET

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UN PARCOURS EXEMPLAIRE

Après avoir mené de front une carrière de capitaine de police et de professeur diplômé d’état de karaté, le parcours de plus de 40 années de pratique et d’enseignement d’arts martiaux de cet expert international, s’est construit et s’est jalonné autour d’expériences aux quatre coins du monde qui l’on amené à l’obtention des plus hautes distinctions et titres d’arts martiaux de Maître en Espagne, puis de Grand Maître à New York et enfin dernièrement à Londres de pionnier des arts martiaux.

Un parcours atypique pour cet inventeur dans l’âme dont les méthodes, à l’attention des civils et des professionnels, ont été reconnues et plébiscitées sur le plan international par les plus grands maîtres et experts toutes disciplines confondues.Une unanimité hors du commun dans le monde des arts martiaux qui a été saluée, lors de ses séminaires, dans de très nombreux pays comme les USA, le Canada, l’Australie, la Russie, le Japon, l’Allemagne, l’Angleterre, le Danemark, la Belgique, la Bulgarie, la Hongrie, l’Italie, Israël, l’Espagne, le Portugal, l’Argentine et le Luxembourg. Ce n’est donc pas un hasard si ce montpelliérain de souche est désormais le président de la Fédération Internationale de Self Défense et de Police Training qui porte son nom, à savoir l’Académie Jacques Levinet ou l’AJL, forte d’une cinquantaine de représentations en France et à l’étranger.

Nous avons voulu en savoir plus sur l’épopée et la personnalité de ce fondateur hors pair.

MAITRES ET EXPERTS

• Question : « Quand et comment êtes-vous venu aux arts mar-tiaux ?

• Jacques Levinet : « Je me souviens de la réponse d’un Maître d’arts martiaux qui m’a dit un jour que j’avais du tomber dans la marmite de la potion magique des sports de combat.Plus sérieusement j’ai commencé à l’heure des barricades en 1968, non pas pour en découdre, mais pour le mystère sous-jacent de la force des arts martiaux. J’ai donc débuté par le karaté à l’adolescence car j’étais plus attiré par un sport de percussion que de préhension. Puis deuxpersonnages ont scellé ma motivation dans cette quête. Le mythique Bruce Lee et mon premier professeur, le DocteurBernard Michel, alors international de karaté et fondateur du 1er club régional, le KCM ou Karaté Club Montpelliérain, m’ont inoculé le virus de l’art martial. J’ai donc été touché par la fièvre des arts martiaux grâce à la venue, dans ce dojo phare en France, de très grands maîtres japonais qui se déplaçaient pour la 1ère fois en France et hors de Paris.

• J.L : « Au prix de beaucoup de travail car il n’existait pas à cette époque de facilités pour mener de pair ces deux orientations.

Une motivation sans relâche, le plai-sir de se parfaire sans oublier les encouragements de ses proches ont été les moteurs de ce combat sur plusieurs fronts. Encore fallait-il que les deux carrières ne soient pas antagonistes et, en la matière lekaraté et ma profession d’inspecteur de Police ont été complémentaires en raison de leur interaction dans ledomaine du sang froid, de la confiance et de l’assurance

• Question :

« Comment avez-vous pu conju-guer votre carrière professionnelle et

sportive ?

• Question : « Comment avez-vous pu conjuguer votre carrière professionnelle et sportive ?

• J.L : « Au prix de beaucoup de travail car il n’exis-tait pas à cette époque de facilités pour mener de pair ces deux orientations. Une motivation sans relâche, le plaisir de se parfaire sans oublier les encouragements de ses proches ont été les moteurs de ce combat sur plusieurs fronts.

Encore fallait-il que les deux carrières ne soient pas antagonistes et, en la matière, le karaté et ma pro-fession d’inspecteur de Police ont été complémen-taires en raison de leur interaction dans le domaine du sang froid, de la confiance et de l’assurance.

• Question :

« Comment vous ai venu l’idée de mettre au point de nouvelles disci-

plines ?

de formation rendaient problématique des actions de coercition. D’autre part les arts martiaux devaient être contingentés au respect de la loi et, de ce fait, s’éloi-gnaient du terrain de la réalité de la rue. J’en avais les preuves de par mon métierd’action et des difficultés de certaines interventions.

J’ai donc utilisé mes deuxexpériences de professeur de karaté et decapitaine de police pour trouver une troisième voie d’ouverture. J’ai donc mis au point plusieurs méthodes de self défense tant pour les civils que pour les professionnels sans omettre aucune frange de population, allant des enfants aux seniors.

• J.L : « Parce que je ne me suis jamais contenté de mon acquis et que j’ai cherché ailleurs ce qui me paraissait manquer dans ma pratique. Paradoxalement c’est parce que j’étais policier que je me suis aperçu que cer-taines lacunes en matière de

• Question : « Quel a été le processus de ces innovations ?

• J.L : « L’esprit ouvert et la quête de ce qui se passe hors de nos frontières. Grâce à mes très nombreux déplacements partout dans le monde, sur les cinq continents, auprès des plus grands experts et maîtres, j’ai ébréché le nombrilisme qui guette chacun de nous en particulier en France. C’est donc en toute modestie, avec un grand désir d’apprendre mais aussi de montrer le fruit de mes recherches, que j’ai suivi de nombreux stages à l’étranger, auprès des plus grands, afin deconfronter mon savoir-faire et d’en retirer toujours un plus. J’ai donc bénéficié d’une expérience hors du commun qui est restée intacte et pousse à la modestie. Ainsi le désir permanent d’apprendre est restée en éveil.

Question : « Pouvez-vous nous préciser brièvement le fruit de vos recherches?

• J.L : « Plusieurs méthodes de self défense pour les civils, comme le Self Pro Krav (SPK), le Self Pro Krav Enfants (SPKE), le Self Pro Krav Femme (SPKF), la Canne Défense CDJL, la Canne Défense Théra-peutique, le Bâton Défense BDJL. Mais aussi plusieurs méthodes pour les professionnels de la sécurité et les forces de l’ordre (unités généralistes et spécialisées) comme le Police Training ROS ou Real Operational System comprenant le Tonfa Opérationnel Police (TOP), le Bâton Opérationnel Police (BOP), les Gestes Techniques Opérationnels d’Intervention et de Protection (GTOIP), la PRO (Protection Rapprochée Opérationnelle).

Toutes ces innovations ont été unifiées au sein d’une Académie Internationale (AJL) qui comprend désormais 5 pôles d’activité (arts martiaux, combats, self défense, professionnel, forme) et une vingtaine de disciplines.

L’AJL est structurée à l’exemple d’une Fédération avec une DTN (Direction Technique Nationale), des DTR (Direction Technique Régionale) et des DTD (Direction Technique Départementale). Les mêmes structures AJL existent maintenant également à l’étranger dans de nombreux pays.

Un pôle formation a été mis en place pour perpétuer notre enseignement dans le plus grand respect de déontologie, d’éthique et de sérieux. Plusieurs DVD et livres, en plusieurs langues, sont venus étayer ces nouvelles méthodes.

• Question : « Suffit-il donc d’être relative-ment doué pour fonder de nouvelles mé-thodes au 21 e siècle ?

• J.L : « Certainement pas car donner un nom à une discipline n’est pas suffisant.

Toutes nos méthodes ont un dénominateur commun et les mêmes points clés. De plus il faut mettre en forme des programmescohérents de progression technique et un cursus de finalisation des connaissances pour former les instructeurs.

Notre souci n’est pas seulement la reconnaissance par un titre ou un diplôme mais par un savoir-faire et un savoir-être reconnus dans le monde entier dont il faut être à la hauteur. Viser la pérennisation est un labeur à long terme pour que les élèves deviennent plus forts que le Maître. La boucle sera alors bouclée et mon travail accompli.

Si, comme me disait un autre grand Maître, on ne critique que ce qui est bien, alors je suis servi et suis content de poursuivre mon chemin.

• Question : « Quels sont vos futurs projets ?

• J.L : « Continuer à me rendre partout en France et à l’étranger pour promouvoir notre Académie et ses méthodes. Nous avons de plus en plus de demandes d’affiliation et de représentation à travers le monde et cela nécessite de temps en temps ma venue sur place. Je ne conçois pas l’idée d’un Maître ou d’un expert assis sur une chaise de façon dictatoriale mais plutôt celle d’un éternel

élève car on apprend toujours de ses erreurs et de celles des autres.

Un autre grand projet, qui m’a encore plus rapproché de mon premier professeur de karaté, Bernard Michel, est la continuité de notre partenariat entre notre Académie et la cliniquespécialisée des jardins de Sophia où se déroulent nos cours hebdomadaires de canne défense thérapeutique.

Ce partenariat s’est soldé cette année par la mise en place d’un centre de formation à l’intérieur de la clinique pour les futurs instructeurs de notre méthode. Une initiative unique en France qui a été plébiscitée par le trophée national de l’hospitalisation privée dernièrement au Comité Olympique et Sportif Français à Paris.

• Question : « Quels sont vos futurs projets ?

• J.L : « Continuer à me rendre partout en France et à l’étranger pour promouvoir notre Académie et ses méthodes. Nous avons de plus en plus de demandes d’affiliation et de représentation à travers le monde et cela nécessite de temps en temps ma venue sur place. Je ne conçois pas l’idée d’un Maître ou d’un expert assis sur une chaise de façon dictatoriale mais plutôt celle d’un éternel

élève car on apprend toujours de ses erreurs et de celles des autres.

Un autre grand projet, qui m’a encore plus rapproché de mon premier professeur de karaté, Bernard Michel, est la continuité de notre partenariat entre notre Académie et la cliniquespécialisée des jardins de Sophia où se déroulent nos cours hebdomadaires de canne défense thérapeutique.

Ce partenariat s’est soldé cette année par la mise en place d’un centre de formation à l’intérieur de la clinique pour les futurs instructeurs de notre méthode. Une initiative unique en France qui a été plébiscitée par le trophée national de l’hospitalisation privée dernièrement au Comité Olympique et Sportif Français à Paris.

Sensei Francis De HEBLES

Passeur de memoire

HARAGEI RYUTechnique de Kenjutsu

L'Art du Centre

Sensei Francis De HEBLES

Passeur de memoire

Sensei Francis De HEBLES

Sensei Francis De HEBLES J’ai appris cette école de KENJUTSU dans les années 1964 avec deux maîtres japonais qui étaient venus en France après le guerre du Pacifique.J’ai appris avec eux pendant plus de dix ans.Après plus de 50 ans de pratique, l’âge venant, il me semble qu’il est temps de faire connaître cette école à un plus grand nombre de pratiquants.Avec l’impulsion de Jacques LEVINET, Philippe CONTAL (photoreporter) et Sarah MUTTONI (plongeuse), je me per-mets de vous présenter 1 Kata (un contre sept). Les maîtres mots : espace-temps.

CONTEXTE HISTORIQUE DU JAPON

1568-1600 Période Momoyama

Le Japon de cette époque était dirigé par Oda Nobunaga originaire d’Owari. Il nomma un shogun à la cité de

Momoyama, au Sud de Tokyo, d’où le nom de cette ère. En 1575, une bataille l’oppose à son ennemi Takeda Katsuyori. Il l’écrase notamment grâce à l’utilisation

d’arquebuses.

Cela va entraîner la modification et l’alourdissement des armures. A cette époque les armuriers raccourcirent les tachis en les remontant en Katana. Ils étaient donc plus courts et leur courbure plus régulière ce qui favorisait un

mouvement unique dégainé-trancher.

Toyotomi Hideyoshi, menant une politique d’unification du Japon, fit passer en 1588 une loi n’autorisant le port d’une

arme qu’à la classe des samouraïs.Certains se mirent à la recherche d’un nouveau seigneur, mais beaucoup se « reconvertirent » dans des activités

moins honorifiques.

En 1600, Tokugawa Leyasu fit passer des lois très strictes concernant l’activité des Samouraïs. Il établit une tenue

spécifique pour les samouraïs en service : Habits, coiffure, armures, mon

(logo) pour identifier le seigneur servi.

http://haragei-ryu.e-monsite.com

www.academielevinet.com

600-1868 Période Edo

Cette période s’ouvre avec la bataille de Sekigahara en 1600, qui voit s’opposer les deux grands courants politiques du Japon. C’est Tokugawa Ieyasu qui en sortira vainqueur. Il établit son pouvoir dans la ville de

Edo (future Tokyo). Cette famille gardera le shogunat jusqu’en 1867.

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Pour solidifier son pouvoir, Ieyasu fit passer des lois très strictes concernant l’activité des samouraïs et les

déplacements dans les provinces. Il établit aussi la tenue des samouraïs en service : habits, coiffure et « mon » pour

identifier le seigneur servi.Les Samouraïs restaient les seuls à pouvoir porter le daisho

(les deux sabres).

Le Japon connaissait une période de paix et les samouraïs étaient priés de continuer à s’entrainer à l’art de la guerre.

Ils ouvrirent les premiers dojos. Le combat au sabre se formalisa petit à petit. Le Kenjutsu de ces écoles est basé sur le postulat d’un duel à un contre un, qui se réfère au

code d’honneur des castes nobles. Mais cette méthode est inopérante lors de vrais combats de rue.

HARAGEÏ RYU (l’art du centre)

L a conséquence directe de ces entrainements est une défaite cuisante lors de la bataille de Sekigahara, et les seigneurs vaincus ont vu leur clan dissout. De fait un grand nombre de samouraïs sont devenus des «rônins» en perdant leur maître.

C’est très probablement dans ce contexte de fort mélange, puisque des samouraïs de tout le pays étaient présents, que quatre rônins d’horizons différents se sont rencontré et ont échangé diverses formes de combat au sabre. Ils se groupèrent pour obtenir des contrats et augmenter leurs chances d’être victo-rieux. Chacun apporta aux autres ses connaissances et ses astuces martiales. Leurs pratique des armes fut d’abord conventionnelle en utilisant les armes de leur rang et d’une manière convenue. Mais rapide-ment, les méthodes des voyous n’étant pas celles des combattants de haut rang, nos quatre rônins firent évoluer leur pratique.

C’est ainsi que les Rônins établirent des spécificités dont la principale consiste à pratiquer des enchaîne-ments de coups sur plusieurs attaques simultanées.L’enseignement de l’école comprend donc la pratique des armes comme dans tous les autres ryus, mais en plus, une part importante est consacrée à la stratégie. En effet, le pratiquant doit prendre et conserver l’initiative sur ses adversaires. Il y trois grandes phases.L’ouverture qui crée l’assaut, la rencontre qui est l’opposition pure des deux mouvements de sabre visant à détruire l’adversaire et la sortie, qui est une phase transitoire destinée à la fois à maintenir le pratiquant en sécurité, et à créer l’ouverture suivante pour motiver l’assaut par réaction de l’adversaire suivant.

On peut considérer le pratiquant « type » de l’époque des fondateurs de l’école comme étant un samou-raï avec des connaissances martiales assez complètes et un vécu déjà bien fourni qui lui a occasionné quelques blessures au physique comme au mental. Il a le goût pour une certaine forme de convivialité qui l’amène à se coucher fort tard et se lever fort fatigué, ce qui n’est pas vraiment idéal pour un duel au petit matin. Pour palier à ce manque de souplesse et de vivacité ; il utilise tous les subterfuges et tous les recours à sa portée. Il utilise donc son sabre tout autant que celui de ses adversaires, mais aussi ses poings, ses pieds, son couteau et même le corps d’un premier ennemi comme bouclier ou en projection.

Les rônins lui donnèrent le nom de Harageï.

HARA est le centre de la vie. Le centre de gravité humain.GEÏ est la notion d’art, d’activité.HARAGEÏ est donc l’art du centre.

ACADÉMIE D’ARTS MARTIAUX HARAGEÏ RYU L’ÉCOLE DES SAMOURAÏS

L e KENJUTSU (littéralement « technique du sabre ») est l’art du sabre du samouraïs.Il appartient aux anciens arts martiaux japonais et entre dans la catégorie des bujutsu, techniques guerrières du Japon féodal, et il est seulement enseigné dans les anciennes écoles.Le Kenjutsu est l’ancêtre du Kendo et il a également été d’une importance fondamentale dans la genèse de l’AïkidoLa pratique du Kenjutsu permet également d’appréhender différentes distances face à un ou plusieurs adversaires (maai), de travailler une posture correcte (shisei) et de vaincre l’appréhension des armes. L’étude du kenjutsu dans notre ryu se fait alternativement entre des techniques avec le bokken ou le sabre et des techniques à mains nues, les deux étant indissociables l’une de l’autre.L’école est devenue une des plus efficaces au sabre et très redoutable à mains nues. C’est un des derniers Ryu (école) qui pratique des techniques de sabre sur 7 guerriers qui l’attaquent en même temps.

On étudie la pratique du YARI, du NAGINATA, le IAI JUTSU et le BATTODO.On utilise le BOKKEN et le KATANA.

DIRECTEURS TECHNIQUES DEPARTEMENTAUX

DIRECTEURS TECHNIQUES REGIONAUX

DIRECTEUR TECHNIQUE NATIONAL

ORGANIGRAMME

CONSEILLERS TECHNIQUES NATIONAUX

www.academielevinet.com

DIRECTEURS TECHNIQUES DEPARTEMENTAUX

DIRECTEURS TECHNIQUES REGIONAUX

CONSEILLERS TECHNIQUES NATIONAUX

DIRECTEUR TECHNIQUE NATIONAL ADJOINT

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AJL FRANCE

DIRECTION REGIONALE AJL LORRAINE

Club Self Défense 54

Instructeur Dominique QUENNEC

L’objectif principal du club est d’arriver à former des instructeurs afin de développer

notre discipline en Lorraine

DIRECTION REGIONALE AJL LORRAINE

Club Self Défense 54 CLIN D’OEIL

L’objectif principal du club est d’arriver à former des instructeurs afin de développer

notre discipline en Lorraine

Une équipe soudéeLa section SELF PRO KRAV (SPK) a démarré au sein d’un club de Boxe Thai et de MMA à Neuves-Maisons.

Cela fera la 3eme saison que la section SPK a créé son club :

Club Self Défense 54Les cours sont dispensés dans 3 communes :

• pont st vincent Les lundis de 20h30 à 22h au gymnase municipal et les vendredis de 18h30 à 21h salle du petit bois

• RICHARDMENIL Les mercredis de 18h30 à 20h15

• pont a moussonLes mardis et jeudis de 19h30 à 21h

à l’espace forme salle de musculation et de fitness de la communauté de communes de Pont à Mousson

Du nouveau au Décathlon de Nancy

Le nombre de licenciés est d’un peu plus 50 personnes

Tous les ans nous faisons plusieurs démonstrations :

• en SEPTEMBREA pont a mousson à l’occasion de la fête du sport organisée par la mairie et au décathlon de NANCY

• EN JANVIERDe nouveau au Décathlon de NANCY

• EN MAILors de la fête du village de la mairie de MAIZIERES

Pour la première fois nous avons organisés le 25 avril 2015 un stage régional sous la direction de Jacques LEVINET , que nous allons rééditer cette saison.

L’objectif principal du club est d’arriver à former des instructeurs afin de développer notre discipline en Lorraine

www.academielevinet.com

LA CANNE DEFENSE THERAPEUTIQUE ET LA CLINIQUE LES JARDINS DE SOPHIA

PRIX NATIONAL COUP DE COEUR 2015Prochain examen d’instructeur de Canne Défense Thérapeutique

Mercredi 4 novembre 2015 à la clinique

www.jardinsdesophia.com

LA CANNE DEFENSE THERAPEUTIQUE ET LA CLINIQUE LES JARDINS DE SOPHIA

PRIX NATIONAL COUP DE COEUR 2015Prochain examen d’instructeur de Canne Défense Thérapeutique

Mercredi 4 novembre 2015 à la clinique

LA CANNE DEFENSE THERAPEUTIQUE ET LA CLINIQUE LES JARDINS DE SOPHIA

PRIX NATIONAL COUP DE COEUR 2015www.academielevinet.com

La 8ème cérémonie de remise des Trophées de l’Hospitalisation privée 2015 s’est déroulée mercredi 17

juin 2015 dans le cadre prestigieux du Comité National Olympique Sportif Français à Paris.

Chaque année, les Trophées de l’Hospitalisation privée, dans plusieurs catégories, récompensent les initiatives innovantes et remarquables des cliniques et hôpitaux

privés.

Les candidatures nominées, pour la Cérémonie de la remise des Trophées ont été sélectionnées, parmi plus de 130 dossiers, par un Jury composé d’experts et des

plus hautes personnalités indépendantes du secteur de la santé.

La région Languedoc Roussillon, et la ville de Castelnau le lez en particulier, s’est particulièrement distinguée avec

l’attribution du trophée du coup de cœur par le jury de spécialistes.

Cette distinction a honoré la canne défense thérapeutique et la clinique des Jardins de Sophia pour combattre les maladies neurodégénératives en général

et la maladie d’Alzheimer en particulier.

RECONNAISSANCE NATIONALE FRANCAISELe Docteur Bernard Michel, médecin directeur de

la clinique et ancien champion de France de karaté, a créé un partenariat novateur avec le Maître Jacques Levinet, expert international en arts martiaux et self défense, créateur de la canne défense. Cette discipline martiale a été adaptée comme méthode de rééducation et de stimulation chez les patients

présentant un déficit cognitif neurodégénératif.

Salué comme un succès par tous les partenaires, des malades aux familles en passant par le corps médical, le projet a été présenté au congrès national de la maladie d’Alzheimer, ainsi

qu’au congrès de médecine physique et de réadaptation.

Cette reconnaissance nationale n’aurait jamais vu le jour sans l’amitié qui lie les deux initiateurs du projet,

le Docteur Bernard Michel et le Maître Jacques Levinet.

Cette récompense va renforcer la création du centre unique en France de formation des futurs instructeurs de canne défense thérapeutique dans les nouvelles installations de

la clinique des Jardins de Sophia

LA CANNE DEFENSE THERAPEUTIQUE ET LA CLINIQUE LES JARDINS DE SOPHIA

PRIX NATIONAL COUP DE COEUR 2015www.jardinsdesophia.com

La 8ème cérémonie de remise des Trophées de l’Hospitalisation privée 2015 s’est déroulée mercredi 17

juin 2015 dans le cadre prestigieux du Comité National Olympique Sportif Français à Paris.

Chaque année, les Trophées de l’Hospitalisation privée, dans plusieurs catégories, récompensent les initiatives innovantes et remarquables des cliniques et hôpitaux

privés.

Les candidatures nominées, pour la Cérémonie de la remise des Trophées ont été sélectionnées, parmi plus de 130 dossiers, par un Jury composé d’experts et des

plus hautes personnalités indépendantes du secteur de la santé.

La région Languedoc Roussillon, et la ville de Castelnau le lez en particulier, s’est particulièrement distinguée avec

l’attribution du trophée du coup de cœur par le jury de spécialistes.

Cette distinction a honoré la canne défense thérapeutique et la clinique des Jardins de Sophia pour combattre les maladies neurodégénératives en général

et la maladie d’Alzheimer en particulier.

RECONNAISSANCE NATIONALE FRANCAISE Dans le but de ralentir le déclin cognitif, de diminuer les symptômes psycho-comportementaux et de préserver

l’autonomie, la clinique des Jardins de Sophia de Castelnau le lez a décidé, depuis des années, d’introduire un art martial dans les

activités de soins : la Canne Défense Thérapeutique.

En complément des thérapies pharmacologiques, cette activité psychomotrice participe donc à la diminution du déclin objectivé

en sollicitant l’attention du patient, ses capacités d’apprentissage et d’autonomie.

Cette reconnaissance nationale n’aurait jamais vu le jour sans l’amitié qui lie les deux initiateurs du projet, le Docteur

Bernard MICHEL, Directeur de la clinique des Jardins de Sophia et le Maitre Jacques Levinet, fondateur de la canne défense thérapeutique, méthode adaptée de la discipline de la canne

défense que cet expert international a mis au point pour le tout public.

C’est donc ensemble que ce dua de choc, déjà bien connue dans le milieu du Karaté après leur victoire ensemble au championnat de France il y a de nombreuses années, est venu à Paris entouré de

leur équipe respective pour recevoir ce trophée très prisé.

Notre partenaireMatériel AJL

MAIL

AJL SAINT SULPICE - MIDI PYRENEES

Notre devise : Patere aut Abstine (Endures ou t’abstiens)

L’AJL ST SULPICE, Direction Technique Régionale de l’Académie Jacques Levinet sur Midi Pyrénées, développe le Self Pro Krav sur plusieurs lieux d’entrainements (2 sur St Sulpice, 1 sur ASBAM Briatexte et 1 sur Toulouse SNCF).

Outre les cours de SPK et SPKE que nous donnons à un public civil (adultes et enfants), nous développons aussi les cours de ROS (Police municipales de ST Sulpice et de Buzet sur Tarn et Agents pénitenciers de St Sulpice).

www.ajl-midipyrenees.fr

AJL SAINT SULPICE - MIDI PYRENEES

Notre devise : Patere aut Abstine (Endures ou t’abstiens)

L’AJL ST SULPICE, Direction Technique Régionale de l’Académie Jacques Levinet sur Midi Pyrénées, développe le Self Pro Krav sur plusieurs lieux d’entrainements (2 sur St Sulpice, 1 sur ASBAM Briatexte et 1 sur Toulouse SNCF).

Outre les cours de SPK et SPKE que nous donnons à un public civil (adultes et enfants), nous développons aussi les cours de ROS (Police municipales de ST Sulpice et de Buzet sur Tarn et Agents pénitenciers de St Sulpice).

GSM. 06 66 71 30 29

Nous intervenons une fois par an dans les milieux scolaires, lors de la journée des parcours des cœurs (300 enfants environs sont initiés au SPKE lors de cette journée),

ainsi qu’au centre culturel et sportif de St Sulpice où nous initions une trentaine d’ados au SPK.

En juillet de cette année, Alexandre Baptista président de l’ASBAM, enseignant et compétiteur au niveau international de Ju Jutsu Fighting trouvant très intéressant

notre discipline de Self Pro Krav, m’a contacté, puis proposé de donner des cours à Briatexte. Ce que je fais depuis Septembre 2015.

Début septembre 2015, nous avons initié au SPK une douzaine de cadres Sncf, pour présenter un projet d’amélioration des conditions de travail aux agents travaillant en relation avec la clientèle (gestion des conflits). D’autres cadres de services différents

m’ont demandé si je pouvais intervenir aussi pour eux.

Nos entraînements sont intensifs pour ceux qui le peuvent, et moins soutenus pour les autres. Chacun peut travailler à son rythme, mais toujours en s’améliorant

continuellement, tant au niveau physique qu’au niveau technique.

Outre l’étude des techniques de SPK, nous étudions aussi les points de pression (comment les localiser et les activer) notamment lors d’entrainement de grappeling.

Nos cours sont proches de la réalité (Gradés batte et bâton alu ou bois, couteau Alu et acier, Push Dagger etc.), pour travailler sous tension et gérer au mieux la montée de l’adrénaline et ce qu’elle entraîne (rétrécissement de la vision, souffle court etc…) et

cette année, plusieurs Drill d’entrainements vont être remis dans les cours, notamment dans les voitures, en tenue de tous les jours, dehors,

sur un parking, dans un bar etc…

www.ajl-midipyrenees.fr

Nous intervenons une fois par an dans les milieux scolaires, lors de la journée des parcours des cœurs (300 enfants environs sont initiés au SPKE lors de cette journée),

ainsi qu’au centre culturel et sportif de St Sulpice où nous initions une trentaine d’ados au SPK.

En juillet de cette année, Alexandre Baptista président de l’ASBAM, enseignant et compétiteur au niveau international de Ju Jutsu Fighting trouvant très intéressant

notre discipline de Self Pro Krav, m’a contacté, puis proposé de donner des cours à Briatexte. Ce que je fais depuis Septembre 2015.

Début septembre 2015, nous avons initié au SPK une douzaine de cadres Sncf, pour présenter un projet d’amélioration des conditions de travail aux agents travaillant en relation avec la clientèle (gestion des conflits). D’autres cadres de services différents

m’ont demandé si je pouvais intervenir aussi pour eux.

Nos entraînements sont intensifs pour ceux qui le peuvent, et moins soutenus pour les autres. Chacun peut travailler à son rythme, mais toujours en s’améliorant

continuellement, tant au niveau physique qu’au niveau technique.

Outre l’étude des techniques de SPK, nous étudions aussi les points de pression (comment les localiser et les activer) notamment lors d’entrainement de grappeling.

Nos cours sont proches de la réalité (Gradés batte et bâton alu ou bois, couteau Alu et acier, Push Dagger etc.), pour travailler sous tension et gérer au mieux la montée de l’adrénaline et ce qu’elle entraîne (rétrécissement de la vision, souffle court etc…) et

cette année, plusieurs Drill d’entrainements vont être remis dans les cours, notamment dans les voitures, en tenue de tous les jours, dehors,

sur un parking, dans un bar etc…

www.ajl-midipyrenees.fr

Une section SPK Cheminots est créée à Toulouse depuis 2014, où les cheminots de tous services peuvent venir

suivre les cours de SPK entre 12h et 13h15

AJL allemagne - sensei frank weber

ART MARTIAL - QUELLE VOIE?

Beaucoup de questions au sujet du choix d’un “ART“. Quel est celui qui suscite mon intérêt ?

Dans les années 80 j’étais surpris de voir que les salles étaient remplies de gens qui débutaient et pratiquaient la voie du Budo. Sûrement le mythe de Bruce Lee et la masse des films de l’ouest au cinéma. Chaque garçon voulait devenir un combattant de ce type, sauter haut et loin, être fort et capable de défaire plus d’un adversaire sans aucune douleur.Taekwondo, Karaté-Do, Judo…etc. en avait déjà fourni. La course était immense et parfois impossible. Je me souviens de cours avec plus d’une centaine de pratiquants. Durant ces années il y avait beaucoup de cours pour améliorer ses connaissances.

Les Maîtres de l’Est venaient en Europe pour enseigner et étendre leur savoir. Les Maîtres se succédaient. La popularité était sans fin. Les clubs grossissaient partout avec un grand engouement pour l’Art Martial. Quel Art pratiquer était la question en ce temps-là, ce qui est moins le cas de nos jours. L’Art en poupe était le Judo dans ces années, plus connu dans les médias que les autres, comme le Karaté, le Taekwondo ou même l‘Aïkido.

La voie du Budo n’était pas familière pour aucun de nous, mais nous appartenions à cette grande famille. Nous passions notre temps à acquérir nos bases, même si nous n’en comprenions pas le sens. Les gens étaient surpris d’entendre parler de ce genre de sport. L’apparition des passages de grades avec les ceintures de couleur suscitèrent parfois la moquerie. Les coups de pied, de poings et les blocages, le kihon, le kata et le kumité grandissaient notre expérience et encourageaient notre égo pour se sentir fort et plein d’enthousiasme.. Ensuite les bunkais et le kyusho. Cela était un gros avantage de se sentir capable de se défendre face à une agression comme nous le suggéraient nos Maîtres à l’entrainement.

Grâce ou sans les médias…il n’y avait pas de frénésie dans “ L‘Art Martial“Maintenant retour à la réalité. À quoi cela ressemble-t-il de nos jours. Soyons honnête… le temps nous rattrape.

L’Art Martial ne dure pas éternellement

Choix N°1

Frace à la vérité, l’Art Martial ne se résume pas à sauter et à donner un coup de pied etc.La voie du ‘BUDO’ et de tous ses Arts est dure et difficile, pleine de mystère et de déceptions. Le succès au début pour les élèves mais

ensuite la lutte quand ils s’aperçoivent qu’il est plus dur de devenir un soit disant Maitre et de ne jamais être parfait. La voie est une histoire sans fin. A ce stade ils stoppent face à l’ampleur du travail. Rien ne va plus et ils cherchent la facilité dans d’autres activités. Les clubs se

réduisent et les fondements s’affaiblissent. Une nouvelle gageure.Pourquoi, en tant qu’artiste martial, je parle de ce phénomène? A travers les années (près de 40 ans dans les Arts Martiaux) j’ai vu les gens

aller et venir… et pour être honnête plus partir que venir.

AJL allemagne - sensei frank weber

ART MARTIAL - QUELLE VOIE?

Beaucoup de questions au sujet du choix d’un “ART“. Quel est celui qui suscite mon intérêt ?

Dans les années 80 j’étais surpris de voir que les salles étaient remplies de gens qui débutaient et pratiquaient la voie du Budo. Sûrement le mythe de Bruce Lee et la masse des films de l’ouest au cinéma. Chaque garçon voulait devenir un combattant de ce type, sauter haut et loin, être fort et capable de défaire plus d’un adversaire sans aucune douleur.Taekwondo, Karaté-Do, Judo…etc. en avait déjà fourni. La course était immense et parfois impossible. Je me souviens de cours avec plus d’une centaine de pratiquants. Durant ces années il y avait beaucoup de cours pour améliorer ses connaissances.

Les Maîtres de l’Est venaient en Europe pour enseigner et étendre leur savoir. Les Maîtres se succédaient. La popularité était sans fin. Les clubs grossissaient partout avec un grand engouement pour l’Art Martial. Quel Art pratiquer était la question en ce temps-là, ce qui est moins le cas de nos jours. L’Art en poupe était le Judo dans ces années, plus connu dans les médias que les autres, comme le Karaté, le Taekwondo ou même l‘Aïkido.

La voie du Budo n’était pas familière pour aucun de nous, mais nous appartenions à cette grande famille. Nous passions notre temps à acquérir nos bases, même si nous n’en comprenions pas le sens. Les gens étaient surpris d’entendre parler de ce genre de sport. L’apparition des passages de grades avec les ceintures de couleur suscitèrent parfois la moquerie. Les coups de pied, de poings et les blocages, le kihon, le kata et le kumité grandissaient notre expérience et encourageaient notre égo pour se sentir fort et plein d’enthousiasme.. Ensuite les bunkais et le kyusho. Cela était un gros avantage de se sentir capable de se défendre face à une agression comme nous le suggéraient nos Maîtres à l’entrainement.

Grâce ou sans les médias…il n’y avait pas de frénésie dans “ L‘Art Martial“Maintenant retour à la réalité. À quoi cela ressemble-t-il de nos jours. Soyons honnête… le temps nous rattrape.

L’Art Martial ne dure pas éternellement

Choix N°1

Frace à la vérité, l’Art Martial ne se résume pas à sauter et à donner un coup de pied etc.La voie du ‘BUDO’ et de tous ses Arts est dure et difficile, pleine de mystère et de déceptions. Le succès au début pour les élèves mais

ensuite la lutte quand ils s’aperçoivent qu’il est plus dur de devenir un soit disant Maitre et de ne jamais être parfait. La voie est une histoire sans fin. A ce stade ils stoppent face à l’ampleur du travail. Rien ne va plus et ils cherchent la facilité dans d’autres activités. Les clubs se

réduisent et les fondements s’affaiblissent. Une nouvelle gageure.Pourquoi, en tant qu’artiste martial, je parle de ce phénomène? A travers les années (près de 40 ans dans les Arts Martiaux) j’ai vu les gens

aller et venir… et pour être honnête plus partir que venir.

Comment pouvons-nous, en tant qu’instructeur, Maîtres ou autre enseignant, lutter contre ce désintérêt?

Il est temps de trouver une voie et de ramener l’enthousiasme pour “ l‘Art Martial“ et le rendre plus intéressant pour les gens. Ne laissons pas l’Art mourir. Il y a encore beaucoup de personnalités courageuses pour lutter. Comment pouvons-nous trouver la bonne solution et la meilleure méthode?

Une bonne question pour tous les pratiquants. Soyons plus clair

Plus je regarde les systèmes, plus je me sens dans un supermarché (désolé pour la comparaison). Mais c’est plus une braderie de connaissances avec des notices d’emploi. Comment est-ce possible de payer pour si peu d’information avant de l’acquérir. Regardez dans les brochures des fédérations (pas toutes). Devenir un expert dans les Arts Martiaux, un Maître de Budo pour 500€ en quatre semaines etc…! Comment est-ce possible? L’argent le rend possible en apparence.

Comment un bon artiste peut-il le permettre?

Je sais que nous vivons dans un monde matériel, mais la connaissance dans l’Art Martial devrait être donnée à toutes les personnes intéressées et non seulement aux privilégiés. Accorder de l’attention devrait être suffisant…pour notre Art et continuer la voie. Viendra un jour le temps ou les vieux Maîtres disparaitront avec leur savoir. Ce sera alors un cadeau que de diffuser leurs techniques avec des gens capables de relever ce challenge. Ce n’est pas mon intention de tout changer mais je souhaite démarrer une réflexion sur la passation des Arts à mes élèves. Trouver et partager une solution et un équilibre.

J’ai été dans beaucoup d’endroits pour m’entrainer dans différentes disciplines du Budo. Et oui il y a encore des Maîtres qui donnent leurs connaissances. Ces Maîtres enseignent quel que soit leur âge et vous comprenez et vous ressentez pourquoi à leur contact. C’est une partie de leur vie qu’ils veulent partager, un état d’esprit que vous appréciez.

La connaissance est un cadeau pour tout le monde. Si nous trouvons un groupe d’hommes et de femmes enthousiastes avec la volonté d’encourager cette voie aux pratiquants, nous aidons les

vieux Maîtres à réaliser leur volonté et protégeons la “VOIE“.

ART MARTIAL - QUELLE VOIE?

« La connaisance est un cadeau pour tout le monde »

Puisse d’autres Maîtres expérimentés agir de même et ainsi travailler ensemble dans cette optique. Plus j’y pense, plus j’ai envie d’encourager ce projet. J’espère que ce petit reportage sera le début d’une discussion sur ce point de vue et que je recevrai des commentaires pour partager.

Sensei Frank WEBERDirecteur Technique National Académie Jacques Levinet ALLEMAGNECeinture noire 7e Dan Karaté, 6e Dan Aïkido, 2e Dan Judo

ART MARTIAL - QUELLE VOIE?

L’Art Martial est une partie de ma vie à jamais

Un grand projet à accomplir.

Ce n’est pas une voie facile que nous devons franchir. Cela suppose beaucoup de mental et d’énergie mais cela vaut la peine!Je ne peux parler que de mon point de vue…seulement…Dans mon Dojo, nous sommes un petit groupe d’artistes martiaux partageant les mêmes valeurs, avec la volonté d’améliorer notre savoir. Le virus est le Karaté-Do, l’Aïkido et autresdisciplines. Nous souhaitons nous rassembler et juste s’entrainer, s’entrainer, s’entrainer. Trouver un lieu pour vivre nos Arts.

Et ce n’est pas facile d’être un enseignant, que l’on soit Maître ou pas. Cela devrait être de notre responsabilité de trouver une voie pratique et théorique pour prendre en main et guider nos élèves avec respect, confiance et loyauté.

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*** ADP (Attitude - Distance - Position) côté fermé

*** Ne pas anticiper l’attaque

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FICHE TECHNIQUE DU MOIS

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SELF PRO KRAVDéfense sur attaque de batte

*** ADP (Attitude - Distance - Position) côté fermé

*** Ne pas anticiper l’attaque

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FICHE TECHNIQUE DU MOIS

Rubrique Juridique

LEGITIME DEFENSE ET FLAGRANT DELIT

Art. 122-5.CP - Légitime Défense

N’est pas pénalement responsable la personne qui, devant une atteinte injustifiée envers elle-même ou au-trui, accomplit dans le même temps, un acte commandé par la nécessité de la légitime défense d’elle-même ou d’autrui, sauf s’il y a disproportion entre les moyens de défense employés et la gravité de l’atteinte.

N’est pas pénalement responsable la personne qui, pour interrompre l’exécution d’un crime ou d’un délit contre un bien, accomplit un acte de défense, autre qu’un homicide volontaire, lorsque cet acte est stric-tement nécessaire au but poursuivi dès lors que les moyens employés sont proportionnés à la gravité de l’infraction.

CAS ASSIMILES DE LEGITIME DEFENSE

Art. 122-6 CP. Est présumé avoir agi en état de légitime celui qui accomplit l’acte :

1°) Pour repousser, de nuit, l’entrée par effraction, violence ou ruse dans un lieu habité. 2°) Pour se défendre contre les auteurs de vols ou de pillages exécutés avec violence.

LE FLAGRANT DELIT

Art. 53 CP

***UN CRIME OU DELIT PUNI D’UNE PEINE D’EMPRISONNEMENT

***UN CRIME OU UN DELIT FLAGRANT

1 – Qui se commet actuellement 2 – Qui vient de se commettre

3 – La personne soupçonner est poursuiviepar la clameur publique

4 – L’auteur présumé est trouvé dans un temps voisin de l’action :

a) En possession d’objetsb) Ou présente des traces ou indices laissant penser qu’il a participé à l’infraction.

Art. 73 CPP

TOUTE PERSONNE PEUT APPREHENDERL’AUTEUR D’UN CRIME OU DELIT FLAGRANT.

L’AUTEUR DOIT ETRE CONDUIT IMMEDIATEMENT DEVANT l’OFFICIER DE POLICE JUDICIAIRE LE PLUS PROCHE.

FLAGRANCE DANS LES CAS SUIVANTS :

***CRIME COMMIS DANS UNE MAISON***REQUISITION DU CHEF DE MAISON OU PRIVE

***OFFICIER POLICE JUDICIAIRE POUR LE CONSTATER

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