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vivre match/golf parismatch.com 101 PARIS MATCH DU 12 AU 18 SEPTEMBRE 2013 100 B ien davantage qu’un sport, le golf est une phi- losophie. Un art de vivre. La troisième édi- tion du Master Golfer by Puilaetco Dewaay, qui s’est disputée fin août en région parisienne, l’a une nouvelle fois prouvé. Ce tournoi très exclusif, créé à l’initiative de Paris Match, mélange les plaisirs. La compétition, bien sûr. Mais aussi la découverte de beaux parcours, la convi- vialité, la gastronomie, le networking. « L’idée est de permettre aux passionnés de golf de participer à un tournoi haut de gamme dans un esprit à la fois sportif et épicurien », résume Denis Heskin, organisateur gol- fique de l’événement. Le choix de la région parisienne comme terre d’ac- cueil ne doit rien au hasard. A ses atouts traditionnels, connus de tous, la capitale française ajoute en effet quelques véritables trésors golfiques, souvent mécon- nus. De véritables « perles parisiennes ». Pour ce cru 2013, trois nouveaux parcours étaient ainsi proposés à la cinquantaine de privilégiés engagés dans cette prestigieuse chasse aux birdies. C’est au Golf du Lys, à Chantilly, que fut donné le coup d’envoi. Après la traditionnelle photo de groupe devant le clubhouse, les 24 équipes de deux joueurs (formule du « 4 balles, meilleure balle » en stableford) s’attaquèrent, l’esprit conquérant, aux choses sérieuses. Dessiné par Tom Simpson, également auteur du Ravenstein, du Royal Hainaut, de Morfontaine ou de Fontainebleau, le Lys Chantilly propose un défi gol- fique très classique. A défaut d’être long, le parcours oblige les joueurs à faire preuve d’une belle maîtrise technique pour éviter les nombreux bunkers parfai- tement placés. Le lendemain, c’est au Golf de Saint-Germain qu’avait lieu la mise au vert – pardon, la mise au green ! Chef-d’œuvre de Harry Colt, c’est un des plus pres- tigieux parcours d’Europe, qui a accueilli autrefois de nombreux Opens de France. L’endroit est d’une beauté sans pareil. Manucuré, le « championship course » est un régal pour les yeux, mais aussi un énorme challenge pour le swing. Balisé par les arbres centenaires, maquillé par les bunkers (116 au total), il a, d’apparence, des al- lures de carte postale. Mais la plus grande concentra- tion s’impose, sous peine de colorier sa carte de score de vilains bogeys ! Sous un grand soleil, les participants appré- cièrent en tout cas à sa juste valeur la magie des lieux. A quelques minutes du brouhaha parisien, Saint- Germain dégage un petit parfum de paradis… Enfin, c’est au Golf d’Apremont, près de Chan- tilly, que nos valeureux gladiateurs du swing clôturèrent La troisième édition du Master Golfer by Puilaetco Dewaay occupe une place à part dans le calendrier. Organisé sur de prestigieux parcours de la région parisienne, il symbolise le golf épicurien. Le cru 2013 a été remarquable. Promenade dans les coulisses de ce tournoi exclusif. PAR MIGUEL TASSO MASTER GOLFER BY PUILAETCO DEWAAY UN CERTAIN ART DE VIVRE ET DE SWINGUER leur périple. Ce parkland très bien entretenu gagne à être connu et reconnu. Conçu par John Jacobs, il serpente dans la forêt d’Halatte et propose même, ici ou là, quelques obstacles d’eau certifiés conformes. Là encore, avec les baromètres à la hausse, les joueurs étanchèrent à satiété leur soif de drives et de putts gagnants. Bref, durant trois jours, le programme golfique s’avéra très intense. Mais aussi passionnant. Il suffisait d’écouter les conversations lors du dix-neuvième trou pour comprendre combien cette escapade parisienne avait conquis les cœur les plus blasés. D’autant que les résultats des uns et des autres furent remarquables. Lors de la remise de prix, organisée dans les sa- lons d’Apremont, Denis Heskin était lui-même impres- sionné par la qualité des scores. Au classement global des trois jours, la paire formée par Marc Toledo et Vir- ginie Somer remporta le premier prix avec un total de 129 points stableford, soit une moyenne de 43 points par parcours. Les connaisseurs apprécieront ! Signalons également les magnifiques performances de Valérie Marcolini-Michel Reculez et de Diego Wauters-Pas- cal Gendebien, avec 123 points ! Ceci dit, lors de ce séjour parisien, l’essentiel n’était évidemment pas de gagner, mais de participer. Et, en gourmand des fairways, d’apprécier le moment. En marge de la compétition, l’heure était à la fête, à la bonne humeur et à la convivialité. C’est tout l’esprit de ce « tournoi pas comme les autres », marqué du sceau de l’excellence et de l’art de vivre à la française. Comme chaque année depuis la pendaison de crémaillère, le quartier général avait été installé au Tiara Château Hôtel Mont-Royal, un quatre étoiles plein de charme sis aux confins de la forêt de Chantilly, doté de tout le confort moderne et d’un spa idéal pour se res- sourcer. Havre de paix, idéalement situé – à une demi- heure de l’Arc de Triomphe, mais à des années-lumière de l’effervescence des Champs-Elysées –, le Mont- Royal est un point de chute de rêve pour les golfeurs en goguette. Dans un rayon de quelques kilomètres, ils peuvent swinguer sur quelques-uns des plus beaux parcours de France. Le tout à deux heures à peine de la frontière belge… C’est sur la terrasse du Tiara Mont-Royal que fut d’ailleurs servi, le premier soir, le cocktail d’ouverture au champagne offert par la maison Drappier, chère à Hugues Ducobu. Une belle occasion pour les partici- pants de faire posément connaissance, loin du stress du tee numéro un ! Le lendemain, pour la soirée organisée par Paris Match, c’est au cœur du XIV e arrondissement, près de Montparnasse, que Jean-Pierre Tordeurs avait Pierre Marcolini. Dominique Humblet. Virginie de Somer, Marc Toledo, Giovanni Fulgaro et Pierre Marcolini. Le départ du Shotgun est donné par Denis Heskin. Rudi Peeters. Qui donc disait que le golf était un sport macho ? Les femmes étaient nombreuses à participer au tournoi et, comme il se doit, elles reçurent un cadeau de bienvenue : un superbe coffret de trois produits Bioderma. Olivia et Reynold Jacobs. Bernard Stas et Thierry Groeteclaes. Les participants de la troisième édition du Master Golfer by Puilaetco Dewaay posent pour l’éternité avant d’entamer leur chasse aux birdies dans la bonne humeur et la convivialité. Sylvie d’Archambeau et Mireille Verwilghen.

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vivrematch/golf

par i smatch .com 101PARIS MATCH DU 12 AU 18 SePTeMbRe 2013100

Bien davantage qu’un sport, le golf est une phi-losophie. Un art de vivre. La troisième édi-tion du Master Golfer by Puilaetco Dewaay,

qui s’est disputée fin août en région parisienne, l’a une nouvelle fois prouvé.

Ce tournoi très exclusif, créé à l’initiative de Paris Match, mélange les plaisirs. La compétition, bien sûr. Mais aussi la découverte de beaux parcours, la convi-vialité, la gastronomie, le networking. « L’idée est de permettre aux passionnés de golf de participer à un tournoi haut de gamme dans un esprit à la fois sportif et épicurien », résume Denis Heskin, organisateur gol-fique de l’événement.

Le choix de la région parisienne comme terre d’ac-cueil ne doit rien au hasard. A ses atouts traditionnels, connus de tous, la capitale française ajoute en effet quelques véritables trésors golfiques, souvent mécon-nus. De véritables « perles parisiennes ».

Pour ce cru 2013, trois nouveaux parcours étaient ainsi proposés à la cinquantaine de privilégiés engagés dans cette prestigieuse chasse aux birdies.

C’est au Golf du Lys, à Chantilly, que fut donné le coup d’envoi. Après la traditionnelle photo de

groupe devant le clubhouse, les 24 équipes de deux joueurs (formule du « 4 balles, meilleure balle » en stableford) s’attaquèrent, l’esprit

conquérant, aux choses sérieuses. Dessiné par Tom Simpson, également auteur du

Ravenstein, du Royal Hainaut, de Morfontaine ou de Fontainebleau, le Lys Chantilly propose un défi gol-fique très classique. A défaut d’être long, le parcours oblige les joueurs à faire preuve d’une belle maîtrise technique pour éviter les nombreux bunkers parfai-tement placés.

Le lendemain, c’est au Golf de Saint-Germain qu’avait lieu la mise au vert – pardon, la mise au green ! Chef-d’œuvre de Harry Colt, c’est un des plus pres-tigieux parcours d’Europe, qui a accueilli autrefois de nombreux Opens de France. L’endroit est d’une beauté sans pareil. Manucuré, le « championship course » est un régal pour les yeux, mais aussi un énorme challenge pour le swing. Balisé par les arbres centenaires, maquillé par les bunkers (116 au total), il a, d’apparence, des al-lures de carte postale. Mais la plus grande concentra-tion s’impose, sous peine de colorier sa carte de score de vilains bogeys !

Sous un grand soleil, les participants appré-cièrent en tout cas à sa juste valeur la magie des lieux. A quelques minutes du brouhaha parisien, Saint- Germain dégage un petit parfum de paradis…

Enfin, c’est au Golf d’Apremont, près de Chan-tilly, que nos valeureux gladiateurs du swing clôturèrent

La troisième édition du Master Golfer by Puilaetco Dewaay occupe une place à part dans le calendrier. Organisé sur de prestigieux parcours de la région parisienne, il symbolise le golf épicurien. Le cru 2013 a été remarquable. Promenade dans les coulisses de ce tournoi exclusif.

P a r M i g u e l T a s s o

MASTER GOLFER BY PUILAETCO DEWAAY

Un certain art de vivre ET DE SWInGUER

leur périple. Ce parkland très bien entretenu gagne à être connu et reconnu. Conçu par John Jacobs, il serpente dans la forêt d’Halatte et propose même, ici ou là, quelques obstacles d’eau certifiés conformes. Là encore, avec les baromètres à la hausse, les joueurs étanchèrent à satiété leur soif de drives et de putts gagnants.

Bref, durant trois jours, le programme golfique s’avéra très intense. Mais aussi passionnant. Il suffisait d’écouter les conversations lors du dix-neuvième trou pour comprendre combien cette escapade parisienne avait conquis les cœur les plus blasés. D’autant que les résultats des uns et des autres furent remarquables.

Lors de la remise de prix, organisée dans les sa-lons d’Apremont, Denis Heskin était lui-même impres-sionné par la qualité des scores. Au classement global des trois jours, la paire formée par Marc Toledo et Vir-ginie Somer remporta le premier prix avec un total de 129 points stableford, soit une moyenne de 43 points par parcours. Les connaisseurs apprécieront ! Signalons également les magnifiques performances de Valérie Marcolini-Michel Reculez et de Diego Wauters-Pas-cal Gendebien, avec 123 points !

Ceci dit, lors de ce séjour parisien, l’essentiel n’était évidemment pas de gagner, mais de participer. Et, en gourmand des fairways, d’apprécier le moment. En

marge de la compétition, l’heure était à la fête, à la bonne humeur et à la convivialité. C’est tout l’esprit de ce « tournoi pas comme les autres », marqué du sceau de l’excellence et de l’art de vivre à la française.

Comme chaque année depuis la pendaison de crémaillère, le quartier général avait été installé au Tiara Château Hôtel Mont-Royal, un quatre étoiles plein de charme sis aux confins de la forêt de Chantilly, doté de tout le confort moderne et d’un spa idéal pour se res-sourcer. Havre de paix, idéalement situé – à une demi-heure de l’Arc de Triomphe, mais à des années-lumière de l’effervescence des Champs-Elysées –, le Mont-Royal est un point de chute de rêve pour les golfeurs en goguette. Dans un rayon de quelques kilomètres, ils peuvent swinguer sur quelques-uns des plus beaux parcours de France. Le tout à deux heures à peine de la frontière belge…

C’est sur la terrasse du Tiara Mont-Royal que fut d’ailleurs servi, le premier soir, le cocktail d’ouverture au champagne offert par la maison Drappier, chère à Hugues Ducobu. Une belle occasion pour les partici-pants de faire posément connaissance, loin du stress du tee numéro un !

Le lendemain, pour la soirée organisée par Paris Match, c’est au cœur du XIV e arrondissement, près de Montparnasse, que Jean-Pierre Tordeurs avait

Pierre Marcolini.

Dominique Humblet.

Virginie de Somer, Marc Toledo, Giovanni Fulgaro et Pierre Marcolini. Le départ du

Shotgun est donné par Denis Heskin.

Rudi Peeters.

Qui donc disait que le golf était un sport macho ? Les femmes étaient nombreuses à participer au tournoi et, comme il se doit, elles reçurent un cadeau de bienvenue : un superbe coffret de trois produits Bioderma.

Olivia et Reynold Jacobs.

Bernard Stas et Thierry Groeteclaes.

Les participants de la troisième édition du Master Golfer by Puilaetco Dewaay posent pour l’éternité avant d’entamer leur chasse aux birdies dans la bonne humeur et la convivialité.

Sylvie d’Archambeau et Mireille Verwilghen.

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vivrematch/golf

par i smatch .com 103PARIS MATCH DU 12 AU 18 SePTeMbRe 2013102

Patricia Lehmann et Hugues Ducobu.

Nos heureux partenaires : Hugues Ducobu (champagne Drappier), Nathalie Cousin et Jean Heinen (Porsche).

Jacques Peters, Donatienne er Roland d’Avernas, Annik Peters.

Amélie Pirmez, Joëlle Wauters, Etienne et Monique Pirmez.

Benoît Verwilghen, Carole et Marc Verbruggen et Alain Van Campenhoudt.

Philippe d’Archambeau.

Carine Delacroix et Olivia Jacobs.

Mr et Mme Auguste Verheecke, Miguel Tasso, Philippe Lacouert, M. et Mme Freddy Verbrugge.

Carole Verbruggen, Philippe et Sylvie d’Archambeau, Benoît Verwilghen, Alain Van Campenhoudt, Mireille Verwilghen, Yves Baekelandt, Marc Verbruggen et Denis Heskin.

Marie-Claire Dengis.

Les partenaires du tournoi devant le clubhouse d’Apremont. Leur fidélité participe grandement au succès de cet événement très exclusif : Alain Van Campenhoudt (CitizenGuard), Jean Heinen (Porsche), Jean-Pierre Tordeurs (Paris Match), Michel Reculez (Eagle Travel), Denis Heskin (Golfstar Europe), Hugues Ducobu (champagne Drappier) et Jacques Peters (Puilaetco Dewaay).

Le prix de l’élégance a été attribué à Donatienne d’Avernas. Et pas de souci pour poser un sac de golf dans le coffre du Porsche Cayman !

Yves Baekelandt, Valérie Marcolini et Michel Reculez.

Michaël et Quentin Rouyer.

Thierry Paquit, Jean Heinen et Emmanuel Brasseur.

Philippe Lehmann et Philippe Cuylits.

Philippe d’Archambeau et Hugues Ducobu.

Pierre Dengis, Yves Baekelandt et Luc Partoune.

Myriam Kessler et Jean-Pierre Tordeurs.

Valérie Marcolini, Virginie de Somer et Mme Fulgaro.

Carine Delacroix, Jacques Peters et Bruno Delacroix.

Pascal Gendebien et Diego Wauters. Mmes Fulgaro et Reculez.

Luc Partoune, Alain Van Campenhoudt et Pierre Dengis.

Marc Toledo et Virginie de Somer, les lauréats du Master Golfer 2013, aux côtés de Jacques Peters.

Irène Abel et Olivier de Moor.

Jacques et Carine Schuermans,  Monique et Etienne Pirmez.

donné rendez-vous à ses convives. Le restaurant- bistrot « Les Petites Sorcières » de Ghislaine Arabian reste, il est vrai, une valeur sûre des connaisseurs. Révé-lée par l’émission « Top Chef », la maîtresse de maison, d’origine flamande, se devait donc d’être aux fourneaux pour accueillir ses compatriotes, ravis d’échanger, l’es-pace d’une halte gastronomique, la carte de score contre celle du menu. Rien que du bonheur dans l’as-siette et, accessoirement, dans le verre ! Inutile de pré-ciser que dans cette atmosphère si particulière, chacun refit le monde à sa façon !

Au fil des ans, le Master Golfer a clairement gagné ses lettres de noblesse. Sans jouer des épaules, en s’ap-puyant sur des valeurs de tradition et de discrétion, il s’érige désormais en vrai classique pour le golfeur épicurien.

Ce n’est évidemment pas un hasard si, depuis sa création, la prestigieuse banque privée Puilaetco Dewaay a prêté son nom à l’événement. « Nous sommes très heureux et très fiers de participer à son succès », rappelait d’ailleurs Jacques Peters, président du conseil d’administration.

Ce n’est pas un hasard non plus si le tournoi compte de nombreux partenaires fidèles et prestigieux parmi lesquels Porsche, Drappier, CitizenGuard, Eagle Travel, Pierre Marcolini, Cuberdons Léopold et, bien sûr, La Libre Belgique et Paris Match.

Dans ce contexte, la table de prix dégageait un petit parfum de caverne d’Ali Baba pour les lauréats, avec notamment de magnifiques séjours offerts par le groupe Lucien Barrière. Patron de Bristol Food & Wine, Alain Van Campenhoudt démontra une nouvelle fois son amour de la haute gastronomie en offrant un dîner pour quatre personnes dans les cuisines du Sea Grill d’Yves Mattagne !

« Le Master Golfer est, certes, un tournoi de golf. Mais c’est aussi un événement festif, exclusif, B to B, à la fois chic et décontracté », résume Jean-Pierre Tordeurs, maître de cérémonie. C’est ce qui fait son charme et son succès.

Rendez-vous donc en 2014 pour de nouvelles aventures parisiennes avec, bien sûr, de belles surprises. Ça swingue vraiment pas mal à Paris… n

Joëlle Wauters, Pierre Marcolini et Amélie Pirmez.

Philippe Cuylits et Philippe Lehmann.