n u m é r o 1 2 _ 0 6

[ S O M M A I R E ]

Comme le maçon utilise un niveau pour constater si son mur est droit, la Bible pose des jalons. Elle nous donne une indication invariable de ce que Dieu attend des hom-mes. «Moi, je suis l’Éternel et je n’ai pas changé 3 ». Ce que Dieu a déclaré «bien», il y a 6000 ans l’est toujours aujourd’hui. Pa-reillement ce qu’il a déclaré «mal» le reste !Comme Dieu ne change pas, ses exigences n’ont pas besoin d’être adaptées pour être ac-tuelles au 21e siècle ! Ceci n’est pas un mes-sage rétrograde ou passéiste, réactionnaire ou démodé : c’est au contraire une sécurité, l’assurance de ne pas être influencé par l’époque dans laquelle on vit ou par l’opi-nion publique fluctuante et manipulable.

Attention !

Certes l’ensemble des valeurs qui plaisent à Dieu est bon, mais elles ne sauvent pas. C’est-à-dire qu’une personne aura beau, sa vie durant, s’efforcer de respecter tout ce que Dieu demande, cela ne lui vaudra pas d’être juste à ses yeux. Dieu ne donne qu’une seule manière d’être sauvé et déclaré juste : «Crois au Seigneur Jésus et tu seras sauvé 4 ». Cela signifie que chaque être hu-

main est au même niveau devant Dieu. Il n’y a pas d’un côté ceux qui ont respecté le code et de l’autre côté, les coupables. Tous indi-gnes, mais tous candidats à la grâce ! «Carc’est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi [en l’œuvre rédemptrice de Jésus] 5 ». Lui non plus ne change pas :« Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et pour toujours 6 ». Il sauve à notre époque de la même manière qu’autrefois.Le plus surprenant si vous faites la connais-sance du Christ, c’est que vous aurez envie de respecter ce qu’il demande, de faire ce que la Bible dit… pas pour mériter le salut, mais pour lui faire plaisir, par amour, par re-connaissance.Alors, le code a-t-il réellement changé? Pas pour Dieu ! Pour lui, sa Parole, la Bible est immuable. Lisez-la, prenez-la au mot, et vous verrez que ce qui va changer, ce n’est pas le code, mais… votre vie !

SAndRInE LApORtE

1 Claude Lévi-Strauss, Textes de et sur Lévi-Strauss, coll. Idées, Gallimard, 1979.2 http://www.ined.fr/fr/tout_savoir_population/fiches_pedagogiques/mariage_

famille/, consulté le 19 mars 2009.3 La Bible : livre de Malachie, chapitre 3 verset 6.4 La Bible : livre des Actes, chapitre 16 verset 31.5 La Bible : épître aux Éphésiens, chapitre 2 verset 8.6 La Bible : épître aux Hébreux, chapitre 13 verset 8.

[ L E d O S S I E R d u M O I S _ L A S O C I É t É C H A n G E _ S u I t E ]

Le code a changé !un samedi après-midi d’hiver, le week-end s’annonce froid et pluvieux… Que faire ?M’est avis que c’est le temps idéal pour aller au cinéma ! J’allume mon ordinateur pour regarder les bandes-annonces des films à l’affiche et consulter les horaires. premier film, Le Code a changé, de danièle thomp-son avec Karin Viard et dany Boon. unehistoire de dîner entre « amis » qui tourne au vinaigre : mensonges, tromperies, infidélité conjugale… Bon, quoi d’autre ?LOL, de Lisa Azuelos avec Sophie Marceau : encore un scénario qui tourne autour des mêmes thèmes. Le cinéma est le reflet de son époque : le code a vraiment changé !

SAndRInE LApORtE

Envie de lui plaire…

« J’éprouvais trèsprofondément ce besoin [de remplir mon cœur]. Je voulais l’Absolu, ce qui ne changera jamais, ce qui est immortel ».

Sœur Emmanuelle,J’ai 100 ans et je voudrais

vous dire…, Éditions Plon,p. 32.

[Visitez www.unpoissondansle.net]

2. Mes coordonnées :

nom/prénom

Adresse

1. Je souhaite recevoir, gratuitement etsans engagement de ma part* :

un évangile, partie de la Bible

Le livret La Bible, vrai ou faux, collectif dirigé par A. Stamp, Éditions AES

une visite à domicile

La première leçon d’un cours biblique par correspondance à commander directement à MSd – Bp110 19203 uSSEL Cedex France

*offre limitée à une par foyer

… que vous pouvez contacter, si vous voulez en savoir plus.

Cet imprimé vous a été distribué par :

C o u P o n à r E n v o y E rà l ’ a d r E S S E C i - C o n t r E

ou à défaut à association « Publier.» BP 10019 F-67320 drulingen

RÉAGISSEZ… POSEZ VOS

QUESTIONS… ÉCRIVEZ À

publier@blfeurope.com !

La famille… en crise ?Premier exemple des mutations profondes de notre société : la fa-mille. Il semble qu’il y ait un mo-dèle qui ne soit plus d’actualité, celui de la famille traditionnelle telle que l’a définie Claude Lévi-Strauss 1 : un mari, une femme, et des enfants nés de leur union. Se-lon l’Ined, «Le couple et la famille évoluent : les mariages diminuent, les divorces augmentent, les re-mises en couple aussi. De plus en plus d’adultes élèvent des enfants qui ne sont pas les leurs, de plus en plus d’enfants vivent dans des familles monoparentales ou recom-posées, avec des demi-frères et des demi-sœurs 2 ». Ces faits révèlent la mentalité de l’époque. L’idée de passer sa vie entière avec le même partenaire est devenue inconceva-ble. Et lui rester fidèle… cela pa-raît dépassé !Les questions actuelles en matière de bioéthique, de législation sur l’euthanasie, etc. témoignent éga-lement de l’évolution de nos socié-tés. Dans tous ces domaines, ces changements suscitent la réflexion sur la nécessité d’adapter la légis-lation à son époque.Historiquement, l’Europe s’est développée en s’appuyant sur des fondements chrétiens. Mais l’actuel débat – faut-il ou non mentionner dans la constitution européenne ses

valeurs chrétiennes historiques –prouve que ces valeurs ne sont plus la référence. L’opinion couram-ment entendue d’ailleurs est que c’est le christianisme qui devrait s’adapter à son époque, et non l’in-verse. Alors, puisque les mentalités changent, faut-il aussi moderniser le christianisme, le faire évoluer conjointement à l’opinion publi-que ?

Un message immuable

Dans la Bible, Dieu a donné un ensemble de valeurs, des bases so-lides sur lesquelles l’homme peut fonder sa conduite, des indications de ce qui lui plaît, comme la fidé-lité, la pureté, l’honnêteté, l’amour pour son prochain, le partage, le respect de l’autre, le don de soi… Jésus-Christ a développé son en-seignement sur ces valeurs et les a lui-même appliquées, se donnant en exemple. Si chacun les mettait en pratique, ce serait l’assurance de la paix sur la terre. Le texte de la Bible n’a pas changé depuis qu’il a été rédigé et rassemblé – sur une période approximative de 1 500ans – en 66 livres. Ce message de Dieu aux hommes a la particularité d’être universel : valable pour tous les peuples, tous les pays, toutes les cultures et à toutes les époques…

J’ai cru très tôt à l’existence de Dieu. Je le priais, je savais qu’il existait et qu’il entendait mes prières mais je n’avais pas encore compris que j’avais besoin de lui. Il était juste là pour répondre à mes besoins !

Comme j’étais très jeune, je n’avais eu ni la capacité ni le temps de faire beaucoup de mal. pourtant cela ne me permettait pas d’être vu juste par Dieu. À ses yeux j’étais coupable. Mes désobéissances envers mes parents, mon égoïsme – même si cela fait partie du développement « naturel » de l’enfant – et toutes mes autres fautes témoignaient de ma nature mauvaise. J’étais donc condamné à être sé-paré de Dieu pour l’éternité après ma mort. Le fait de croire que Dieu existait et même de m’adresser à lui dans la prière ne suffisait pas à compenser mes fautes. Car comme dit la Bible, qui saurait prétendre être approuvé de Dieu, et accéder à sa glorieuse présence 1 ?

progressivement, j’ai commencé à comprendre qui est Dieu. J’ai compris que je ne pourrais jamais arriver à lui plaire même si je faisais tout mon pos-sible. J’ai pris conscience de tout ce qui était mau-vais en moi. Dieu est juste, comment prétendre racheter mes fautes par mes bonnes actions ? Alors j’ai cru que lui-même a payé à ma place. J’ai accepté personnellement d’être rendu juste par la mort de Jésus-Christ sur la croix. Lui qui était innocent a pris la condam-nation que je méritais. Ainsi, Dieu a pardonné mes fautes sans bafouer sa justice. pour prendre une image concrète, c’est comme si j’avais obtenu l’acquittement à mon propre procès.

Dieu m’a fait une grande faveur, alors j’essaie de lui plaire. Certes, je suis toujours un homme pécheur et j’ai encore beaucoup de défauts. Et plus je connais Dieu, plus je réalise tout ce qui ne va pas dans ma vie. Mais il m’accepte tel que je suis, son amour pour moi ne dépend pas de ce que je fais. Si je me rends compte que j’ai mal agi, je reconnais ma faute et je lui demande pardon. Mon amour pour Dieu est bien imparfait, infiniment plus petit que celui qu’il me manifeste. Mais Dieu travaille quotidienne-ment en moi pour que je lui ressemble. Et… il y a du boulot !

JEAn-CHRIStOpHE t. – AnALyStE-pROGRAMMEuR

1 Voir dans la Bible : épître aux Romains, chapitre 3 verset 23.

Envie de lui plaire…

(SUITE EN PAGE 4)

La Bible,vrai ou fauxLa Bible appartientà notre culture. Sa lecture est indispensable pour expliquer l’histoire, comprendre notre société et découvrir le sens et la valeur de la vie. Best-seller mondial, elle est pourtant peu lue par les Français. Par méconnaissance et certainement à cause de nombreux préjugés.11 auteurs qualifiés répondent à 71 affirmations et démêlent le vrai du faux à propos de la Bible. Toutes les questions que vous vous posez. Laissez-vous emporter par cette enquête. Assurément, vous voudrez en savoir plus.

Collectif dirigépar A. Stamp

nul besoin d’effectuer de lon-gues recherches sociologiques pour découvrir que les mœurs des sociétés occidentales ont évolué !Durant les 50 dernières années, beaucoup de domaines ont été rattrapés par la modernité.

Livre du Deutéronome, chapitre 6 versets 1 à 19. Épître de Jacques, chapitre 2 versets 10 à 14. Épître aux Éphésiens, chapitre 2 versets 1 à 18.

Lisez lespassages bibliques

suivants :

Suivez

gratuitement u

n

cours biblique

par

correspondance

!

La première le

çon d’un

cours biblique

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correspondance

à commander

directement à:

MSD – BP 110 –

19203 Ussel

Cedex France

La famille… en crise ?Premier exemple des mutations profondes de notre société : la fa-mille. Il semble qu’il y ait un mo-dèle qui ne soit plus d’actualité, celui de la famille traditionnelle telle que l’a définie Claude Lévi-Strauss 1 : un mari, une femme, et des enfants nés de leur union. Se-lon l’Ined, « Le couple et la famille évoluent : les mariages diminuent, les divorces augmentent, les re-mises en couple aussi. De plus en plus d’adultes élèvent des enfants qui ne sont pas les leurs, de plus en plus d’enfants vivent dans des familles monoparentales ou recom-posées, avec des demi-frères et des demi-sœurs 2 ». Ces faits révèlent la mentalité de l’époque. L’idée de passer sa vie entière avec le même partenaire est devenue inconceva-ble. Et lui rester fidèle… cela pa-raît dépassé !Les questions actuelles en matière de bioéthique, de législation sur l’euthanasie, etc. témoignent éga-lement de l’évolution de nos socié-tés. Dans tous ces domaines, ces changements suscitent la réflexion sur la nécessité d’adapter la légis-lation à son époque.Historiquement, l’Europe s’est développée en s’appuyant sur des fondements chrétiens. Mais l’actuel débat – faut-il ou non mentionner dans la constitution européenne ses

valeurs chrétiennes historiques –prouve que ces valeurs ne sont plus la référence. L’opinion couram-ment entendue d’ailleurs est que c’est le christianisme qui devrait s’adapter à son époque, et non l’in-verse. Alors, puisque les mentalités changent, faut-il aussi moderniser le christianisme, le faire évoluer conjointement à l’opinion publi-que ?

Un message immuable

Dans la Bible, Dieu a donné un ensemble de valeurs, des bases so-lides sur lesquelles l’homme peut fonder sa conduite, des indications de ce qui lui plaît, comme la fidé-lité, la pureté, l’honnêteté, l’amour pour son prochain, le partage, le respect de l’autre, le don de soi… Jésus-Christ a développé son en-seignement sur ces valeurs et les a lui-même appliquées, se donnant en exemple. Si chacun les mettait en pratique, ce serait l’assurance de la paix sur la terre. Le texte de la Bible n’a pas changé depuis qu’il a été rédigé et rassemblé – sur une période approximative de 1 500ans – en 66 livres. Ce message de Dieu aux hommes a la particularité d’être universel : valable pour tous les peuples, tous les pays, toutes les cultures et à toutes les époques…

J’ai cru très tôt à l’existence de Dieu. Je le priais, je savais qu’il existait et qu’il entendait mes prières mais je n’avais pas encore compris que j’avais besoin de lui. Il était juste là pour répondre à mes besoins !

Comme j’étais très jeune, je n’avais eu ni la capacité ni le temps de faire beaucoup de mal. pourtant cela ne me permettait pas d’être vu juste par Dieu. À ses yeux j’étais coupable. Mes désobéissances envers mes parents, mon égoïsme – même si cela fait partie du développement « naturel » de l’enfant – et toutes mes autres fautes témoignaient de ma nature mauvaise. J’étais donc condamné à être sé-paré de Dieu pour l’éternité après ma mort. Le fait de croire que Dieu existait et même de m’adresser à lui dans la prière ne suffisait pas à compenser mes fautes. Car comme dit la Bible, qui saurait prétendre être approuvé de Dieu, et accéder à sa glorieuse présence 1 ?

progressivement, j’ai commencé à comprendre qui est Dieu. J’ai compris que je ne pourrais jamais arriver à lui plaire même si je faisais tout mon pos-sible. J’ai pris conscience de tout ce qui était mau-vais en moi. Dieu est juste, comment prétendre racheter mes fautes par mes bonnes actions ? Alors j’ai cru que lui-même a payé à ma place. J’ai accepté personnellement d’être rendu juste par la mort de Jésus-Christ sur la croix. Lui qui était innocent a pris la condam-nation que je méritais. Ainsi, Dieu a pardonné mes fautes sans bafouer sa justice. pour prendre une image concrète, c’est comme si j’avais obtenu l’acquittement à mon propre procès.

Dieu m’a fait une grande faveur, alors j’essaie de lui plaire. Certes, je suis toujours un homme pécheur et j’ai encore beaucoup de défauts. Et plus je connais Dieu, plus je réalise tout ce qui ne va pas dans ma vie. Mais il m’accepte tel que je suis, son amour pour moi ne dépend pas de ce que je fais. Si je me rends compte que j’ai mal agi, je reconnais ma faute et je lui demande pardon. Mon amour pour Dieu est bien imparfait, infiniment plus petit que celui qu’il me manifeste. Mais Dieu travaille quotidienne-ment en moi pour que je lui ressemble. Et… il y a du boulot !

JEAn-CHRIStOpHE t. – AnALyStE-pROGRAMMEuR

1 Voir dans la Bible : épître aux Romains, chapitre 3 verset 23.

Envie de lui plaire…

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La Bible,vrai ou fauxLa Bible appartientà notre culture. Sa lecture est indispensable pour expliquer l’histoire, comprendre notre société et découvrir le sens et la valeur de la vie. Best-seller mondial, elle est pourtant peu lue par les Français. Par méconnaissance et certainement à cause de nombreux préjugés.11 auteurs qualifiés répondent à 71 affirmations et démêlent le vrai du faux à propos de la Bible. Toutes les questions que vous vous posez. Laissez-vous emporter par cette enquête. Assurément, vous voudrez en savoir plus.

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Livre du Deutéronome, chapitre 6 versets 1 à 19. Épître de Jacques, chapitre 2 versets 10 à 14. Épître aux Éphésiens, chapitre 2 versets 1 à 18.

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Comme le maçon utilise un niveau pour constater si son mur est droit, la Bible pose des jalons. Elle nous donne une indication invariable de ce que Dieu attend des hom-mes. «Moi, je suis l’Éternel et je n’ai pas changé 3 ». Ce que Dieu a déclaré «bien», il y a 6000 ans l’est toujours aujourd’hui. Pa-reillement ce qu’il a déclaré «mal» le reste !Comme Dieu ne change pas, ses exigences n’ont pas besoin d’être adaptées pour être ac-tuelles au 21e siècle ! Ceci n’est pas un mes-sage rétrograde ou passéiste, réactionnaire ou démodé : c’est au contraire une sécurité, l’assurance de ne pas être influencé par l’époque dans laquelle on vit ou par l’opi-nion publique fluctuante et manipulable.

Attention !

Certes l’ensemble des valeurs qui plaisent à Dieu est bon, mais elles ne sauvent pas. C’est-à-dire qu’une personne aura beau, sa vie durant, s’efforcer de respecter tout ce que Dieu demande, cela ne lui vaudra pas d’être juste à ses yeux. Dieu ne donne qu’une seule manière d’être sauvé et déclaré juste : «Crois au Seigneur Jésus et tu seras sauvé 4 ». Cela signifie que chaque être hu-

main est au même niveau devant Dieu. Il n’y a pas d’un côté ceux qui ont respecté le code et de l’autre côté, les coupables. Tous indi-gnes, mais tous candidats à la grâce ! «Carc’est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi [en l’œuvre rédemptrice de Jésus] 5 ». Lui non plus ne change pas :« Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et pour toujours 6 ». Il sauve à notre époque de la même manière qu’autrefois.Le plus surprenant si vous faites la connais-sance du Christ, c’est que vous aurez envie de respecter ce qu’il demande, de faire ce que la Bible dit… pas pour mériter le salut, mais pour lui faire plaisir, par amour, par re-connaissance.Alors, le code a-t-il réellement changé ? Pas pour Dieu ! Pour lui, sa Parole, la Bible est immuable. Lisez-la, prenez-la au mot, et vous verrez que ce qui va changer, ce n’est pas le code, mais… votre vie !

SAndRInE LApORtE

1 Claude Lévi-Strauss, Textes de et sur Lévi-Strauss, coll. Idées, Gallimard, 1979.2 http://www.ined.fr/fr/tout_savoir_population/fiches_pedagogiques/mariage_

famille/, consulté le 19 mars 2009.3 La Bible : livre de Malachie, chapitre 3 verset 6.4 La Bible : livre des Actes, chapitre 16 verset 31.5 La Bible : épître aux Éphésiens, chapitre 2 verset 8.6 La Bible : épître aux Hébreux, chapitre 13 verset 8.

[ L E d O S S I E R d u M O I S _ L A S O C I É t É C H A n G E _ S u I t E ]

Le code a changé !un samedi après-midi d’hiver, le week-end s’annonce froid et pluvieux… Que faire ?M’est avis que c’est le temps idéal pour aller au cinéma ! J’allume mon ordinateur pour regarder les bandes-annonces des films à l’affiche et consulter les horaires. premier film, Le Code a changé, de danièle thomp-son avec Karin Viard et dany Boon. unehistoire de dîner entre « amis » qui tourne au vinaigre : mensonges, tromperies, infidélité conjugale… Bon, quoi d’autre ?LOL, de Lisa Azuelos avec Sophie Marceau : encore un scénario qui tourne autour des mêmes thèmes. Le cinéma est le reflet de son époque : le code a vraiment changé !

SAndRInE LApORtE

Envie de lui plaire…

« J’éprouvais trèsprofondément ce besoin [de remplir mon cœur]. Je voulais l’Absolu, ce qui ne changera jamais, ce qui est immortel ».

Sœur Emmanuelle,J’ai 100 ans et je voudrais

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2. Mes coordonnées :

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