Upload
cherifa-saber
View
13
Download
0
Embed Size (px)
Citation preview
Mthodologie historique
Un article de Wikipdia, l'encyclopdie libre.
Aller : navigation, rechercher
Cet article ou cette section doit tre recycl.
Une rorganisation et une clarification du contenu sont ncessaires. Discutez des points amliorer en page
de discussion.
Cet article ne cite pas suffisamment ses sources (mars 2010).
Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de rfrence ou si vous connaissez des sites web de qualit traitant
du thme abord ici, merci de complter l'article en donnant les rfrences utiles sa vrifiabilit et en les
liant la section Notes et rfrences (modifier l'article).
En pistmologie et en histoire, la mthodologie historique dsigne lensemble des rflexions qui portent sur les procds, les moyens, les rgles suivies et les contextes des travaux des historiens. Elle tend cartographier comment
les historiens produisent des interprtations historiques, voir servir de matriel pour la dfinition des mthodes
considres dontologiques ou tout au moins valides.
La mthodologie historique cherche notamment tablir les causes des vnements historiques, ainsi que leurs
rpercussions sur le devenir historique.
Sommaire
1 La recherche et la critique des matriaux
o 1.1 La recherche des sources
o 1.2 La critique des sources
o 1.3 De nouvelles mthodes pour faire parler les sources
o 1.4 La prise en compte d'autres matriaux que les seuls documents crits
o 1.5 La prise en compte de l'ensemble des disciplines
2 L'criture de l'histoire
o 2.1 La mise en relation des faits historiques
o 2.2 L'intention de vrit
o 2.3 Forme du discours historique
3 Notes
4 Bibliographie
5 Articles connexes
La recherche et la critique des matriaux[modifier | modifier le code]
L'histoire, comme son origine le rappelle, est d'abord une enqute ( [Historai] signifie enqute en grec). Il ne suffit pas de lire les crits laisss par les anciens pour savoir ce qui s'est pass. D'une part parce que ces rcits ne
tmoignent pas de toute la ralit ; d'autre part parce qu'ils peuvent tre constitus partiellement ou entirement
d'informations fausses ou dformes.
D'autre part, la recherche et la critique des matriaux ne devrait pas se limiter aux seuls documents crits, ce qui serait
une heuristique trop simple.
La recherche des sources[modifier | modifier le code]
Elles ne se limitent pas aux sources narratives c'est--dire celles qui rendent compte directement de ce qui s'est pass
(les chroniques mdivales ou un article de journal par exemple). L'historien bnficie aussi d'un rservoir plus
important : les sources documentaires. Celles-ci regroupent l'ensemble des documents dont le but premier n'tait pas
de renseigner sur l'histoire. Ainsi les rles de la taille (liste des habitants soumis l'impt royal avec pour chacun le
montant payer) n'avaient pas d'intention historienne, mais peuvent nous permettre d'approcher la hirarchie des
fortunes sous l'Ancien Rgime.
Avant de se lancer dans la lecture des sources, l'historien rflchit sur les documents qui pourraient rpondre la
question historique qu'il se pose. La question dterminera les sources. Antoine Prost rsume cette ide par une belle
image : L'historien ne lance pas son chalut au hasard, pour voir s'il prendra des poissons, et lesquels (Douze leons
sur l'histoire, 1996).
L'ventail des sources disposition ne cesse de croitre. Si, pendant longtemps, la recherche s'est appuye sur les traces
crites, l'historien fait aujourd'hui feu de tout bois. Lucien Febvre crivait : L'histoire se fait avec des documents
crits, sans doute. Quand il y en a. Mais elle peut se faire, elle doit se faire sans documents crits s'il n'en existe point.
Avec tout ce que l'ingniosit de l'historien peut lui permettre d'utiliser pour fabriquer son miel, dfaut des fleurs
usuelles. [...] Toute une part, et la plus passionnante sans doute de notre travail d'historien, ne consiste-elle pas dans un
effort constant pour faire parler les choses muettes 1. Afin de comprendre l'volution des paysages et des structures
agraires, Marc Bloch a tudi les cadastres du XIXe sicle. De mme, l'archologie fournit des donnes indites par
rapport aux sources traditionnelles.
La critique des sources[modifier | modifier le code]
L'historien ne prend jamais pour argent comptant les sources qu'il a sous les yeux. Il doit conserver une attitude
critique leur gard. C'est ce doute permanent qui fait l'une des spcificits du mtier. Il faut saluer les moines
mauristes et bollandistes d'avoir pos les premiers jalons de la critique historique au XVIIe sicle.
Les historiens de l'cole mthodique, Langlois et Seignobos (d'inspiration positiviste), reprendront ces rgles dont le
dfaut est toutefois de concerner principalement les tmoignages crits2.
Ils distinguent ainsi diffrents types de critique :
La critique externe porte sur les caractres matriels du document tels son papier, son encre, son criture, les
sceaux qui l'accompagnent. Ainsi, une lettre crite sur papier, dite du XIIe sicle, est certainement fausse car
on crivait sur du parchemin cette poque. Ce type de critique ncessite des connaissances en palographie,
en sigillographie, en diplomatique et en pigraphie.
La critique interne repose sur la cohrence du texte. Il est vident qu'une charte de Philippe Auguste date au
bas de 1225 est un faux car ce roi de France est mort en 1223.
La critique de provenance touche l'origine de la source. L'historien en tirera des conclusions sur la sincrit
et l'exactitude du tmoignage. On comprend bien que le rcit d'un historiographe officiel tend magnifier le
rle et les qualits de son prince. D'o un certain doute par rapport ce qu'il raconte. De mme, on accordera
plus de poids au rcit d'une bataille crit par un des protagonistes que par un homme n cinquante ans plus
tard.
La critique de porte s'intresse aux destinataires du texte. Un prfet aura par exemple tendance dans son
rapport au ministre de l'Intrieur minimiser les troubles frappant son dpartement de peur que son suprieur
le prenne pour un incapable.
La mthode critique se fonde galement sur la comparaison des tmoignages. Quand ils concordent, c'est signe de la
vracit des faits. Par contre, quand un tmoin est contredit par plusieurs autres, cela ne signifie pas automatiquement
qu'il ment. Ces autres tmoins s'appuient peut-tre sur la mme source errone.
Une fois les tmoignages passs au crible de cet arsenal mthodique, l'historien s'attache bien interprter le sens du
texte. Une solide connaissance historique s'avre encore ncessaire. Si des sans-culottes rclament la taxation du
bl dans une ptition, il ne faut pas entendre qu'ils demandent l'tablissement d'une taxe mais plutt l'imposition d'un
prix maximum. Chez l'amateur, le sens de certains mots peut aboutir des mprises.
L'historiographie anglo-saxonne a davantage pouss les historiens se mfier des conclusions qu'on peut tirer de la
lecture d'un texte (New Historicism, tournant linguistique).
De nouvelles mthodes pour faire parler les sources[modifier | modifier le code]
Ces diffrentes tapes de la critique inviteraient croire que le travail des historiens consisterait en fait lire les textes,
liminer les faux, chasser les erreurs et les inexactitudes afin de dcouvrir ce qui s'est rellement droul. C'est un
raccourci qui cache la richesse de la mthodologie historique.
La recherche sait maintenant tirer parti de tout document, mme les faux. Un texte en dit parfois plus par ses non-dits
que par son contenu effectif. Un tmoignage trs subjectif et orient donnera des informations sur le systme de
reprsentation du tmoin. L'historien ne vise donc pas toujours tablir la vracit des faits.
Les changes avec d'autres disciplines ont enrichi la mthodologie des historiens. La sociologie ou l'conomie ont jou
un grand rle en rpandant l'usage des statistiques. Sous leur impulsion, les historiens dressent depuis les annes 1930
des courbes de prix (travaux de Labrousse), de mortalit (travaux de Dupquier), de production... C'est une rvolution
dans leur travail car ces mthodes srielles (ou quantitatives) dmontrent que, contrairement ce que croit l'opinion
publique, les faits historiques ne sont pas tout faits, il s'agit parfois de les construire. Autre apport, celui de la
linguistique, qui a permis de relire les discours en recherchant les mots-cls contenus l'intrieur. travers cette
analyse du vocabulaire, l'idologie de certains groupes (communistes, francs-maons...) et l'volution de leurs ides
ont davantage t mis en vidence.
La prise en compte d'autres matriaux que les seuls documents crits[modifier | modifier le code]
Cette section est vide, insuffisamment dtaille ou incomplte. Votre aide est la bienvenue !
L'historien Marc Bloch, de l'cole des Annales, suggra de prendre en compte d'autres matriaux que les seuls
documents crits3.
La prise en compte de l'ensemble des disciplines[modifier | modifier le code]
Cette section est vide, insuffisamment dtaille ou incomplte. Votre aide est la bienvenue !
L'historien Marc Bloch suggrait de ne pas restreindre les sources historiques certaines disciplines. Il pensait qu'il
tait galement ncessaire de prendre en compte les faits conomiques3.
L'criture de l'histoire[modifier | modifier le code]
C'est la deuxime tape du travail de l'historien.
La mise en relation des faits historiques[modifier | modifier le code]
Article dtaill : Causalit (histoire).
partir de ses sources, l'historien dgage des faits. Puis il essaie de regrouper ceux qui lui semblent parents, ou qui
relvent du mme thme.
Chaque fait historique a une ou plusieurs causes ; l'historien de les dcouvrir. Cette tche prsente plusieurs
difficults mme si certaines branches de l'histoire y sont moins confrontes : l'histoire culturelle ou les sujets-tableaux
notamment ncessitent davantage un travail de description que la recherche des causes. Dans les autres cas, la
dtermination des facteurs a une grande importance. L'historien utilise alors son jugement, son imagination ou son
exprience. Cette faon de procder, somme toute peu scientifique (mais l'histoire n'est pas une science exacte mais
une science humaine), ncessite de prendre quelques prcautions et de se rappeler quelques mises en garde.
En premier lieu, il est dlicat de se mettre la place des hommes d'autrefois, car ceux-ci ne vivaient pas dans le mme
environnement culturel et social que nous et ne pensaient pas comme nous. ce propos, Lucien Febvre recommandait
aux historiens de se mfier de l' anachronisme psychologique . Des comportements qui semblent nos yeux
irrationnels pouvaient paratre justifis pour des contemporains. D'o la ncessit d'une bonne connaissance des
systmes de reprsentation des gens de l'poque.
Deuxime prcaution prendre : dgager toute la complexit des causes. Il n'y a jamais une seule cause un
vnement mais une multitude, certaines tant les dclencheurs (l'assassinat de l'archiduc d'Autriche qui est le
dtonateur de la Premire Guerre mondiale) et d'autres des antcdents plus gnraux (la pousse des nationalismes au
dbut du XXe sicle, le climat diplomatique lectrique), certaines tant dterminantes, d'autres anecdotiques. Avouons
qu'aucun historien ne peut prtendre cerner l'ensemble des facteurs historiques d'un fait et peser avec certitude
l'importance de chacun.
Troisimement, l'histoire ne doit pas glisser dans une histoire tlologique. En effet, l'historien se trouve dans une
situation particulire par rapport aux contemporains des vnements : il sait ce qui adviendra. D'o le risque de lire
l'histoire d'une manire oriente. Prenons l'exemple d'un chercheur qui retrace la campagne de France (1940) face
l'Allemagne. Il insistera forcment dans son rcit sur le recul et les points faibles de l'Arme franaise sachant la
droute finale. Pourtant, n'est-ce pas une lecture biaise ? L'Arme franaise n'avait-elle aucun atout, aucune chance ?
C'est occulter une partie de la ralit historique.
Enfin, Marc Bloch donnait cette leon : les causes en histoire, pas plus qu'ailleurs, ne se postulent. Elles se
cherchent 4. En effet, l'historien tombe parfois dans la facilit. Combien de fois a-t-on lu qu'un roi fit la guerre puis
fut vaincu parce que son arme tait moins nombreuse ? C'est vraisemblable mais on a bien vu dans l'histoire, des
souverains remporter des batailles malgr une infriorit numrique. Si le roi a perdu pour cette raison, l'historien de
le dmontrer et non le postuler.
L'intention de vrit[modifier | modifier le code]
Au XIXe sicle, l'Allemand Leopold von Ranke explique que l'histoire a pour mission de dire les choses telles
qu'elles se sont passes . En d'autres termes, la rgle de tous travaux historique est de respecter la vrit des faits.
Pour cela, l'historien habille son texte d'un apparat de preuves. En gnral, un article ou thse d'histoire comporte des
notes de bas de page, l'intrieur desquelles l'auteur donne les rfrences de sa source (cote d'archives ou titre d'un
livre ancien) ou renvoie vers l'ouvrage d'un de ses collgues. Le lecteur doit donc trouver les moyens de vrifier les
thses de l'historien. Au mieux, on trouve la source cite dans la note ou recopie dans les annexes de l'ouvrage.
Consquence de cette exigence de vrit, on demande l'historien d'tre objectif. Reconnaissons-le : c'est un vu pieux. Dans tous travaux de sciences humaines, le chercheur transmet une part de lui-mme, volontairement ou
inconsciemment. Henri-Irne Marrou cite tous les lments subjectifs d'une uvre historique : le choix et le dcoupage du sujet, les questions poses, les concepts mis en uvre, les types de relations, les systmes d'interprtation, la valeur relative attache chacun. Hayden White prolonge cette ide d'une impossible objectivit du
chercheur : comme le romancier, chaque historien a sa propre vision du monde, son type d'intrigue et son mode
privilgi d'explication5.
Dans sa rflexion sur l'histoire, Antoine Prost prfre parler de distanciation et d'impartialit plutt que
d'objectivit6. L'historien doit faire preuve d'honntet intellectuelle. Concrtement, cela signifie de mettre entre
parenthses ses propres opinions et ne pas taire les arguments contradictoires. L'historien ne juge pas les phnomnes
et les personnages historiques (ceci est bon, ceci est mauvais) mais essaie de les comprendre. Cette attitude n'est pas
sans crer une certaine incomprhension dans l'opinion publique lorsque le chercheur aborde des sujets condamnables
moralement : le nazisme, l'esclavage, la colonisation. Car tenter de comprendre, c'est, aux yeux de certains, justifier.
Cette qute de la vrit s'avre toujours imparfaite. Comme toutes les sciences dont le rle est d'tablir les faits et de
comprendre le sens des actions humaines (c'est--dire les sciences hermneutiques ou sciences de l'esprit ). D'une
part, parce que l'historien n'a jamais disposition toutes les sources mettant en lumire un vnement. Soit elles
n'existent plus (combien d'archives disparues avec les bombardements de 1944), soit elles n'ont jamais exist. D'autre
part, parce que nul ne peut prtendre saisir tous les ressorts d'une dcision, toutes les motivations, toute la part
d'irrationalit d'un homme. Dans les travaux historiques, les hypothses cohabitent souvent avec les certitudes. En
consquence, le philosophe Paul Ricoeur nuance l'ide que l'historien dit vrai et prfre crire qu'il a l'intention de
vrit . La vrit est plus un objectif qu'un tat du discours historique.
Forme du discours historique[modifier | modifier le code]
Pour Henri-Irne Marrou, il ne fait pas de doute qu'un historien est ncessairement un bon crivain. tel point qu'on
peut considrer l'histoire comme un genre littraire. Il faut savoir raconter mais aussi faire passer les nombreux
lments qui cassent le cours logique de la narration : la prsentation des thses contradictoires, le dveloppement
d'hypothses, l'insertion et l'explication de concepts, le commentaire de statistiques, la reconnaissance de
l'imperfection d'une source, les notes infrapaginales. Reconnaissons que parfois, les historiens ne s'embarrassent pas
de ces lments complexes pour ne pas dgoter leurs lecteurs. Dans ce cas, on ne voit plus bien la diffrence entre un
article de journal et un texte historique.
Le rcit est la forme la plus courante du discours historique. Il a en effet l'avantage d'tre simple suivre, surtout
lorsqu'on veut montrer l'enchanement des vnements. Un enchanement en gnral selon l'ordre chronologique.
Toutefois, l'historien use rarement du rcit dans la totalit de son ouvrage. Il s'arrte souvent pour dresser un tableau
de la socit ou du cadre gographique de son sujet. Parfois, c'est cette forme du tableau que l'historien privilgie pour
prsenter les rsultats de sa recherche. L'organisation du texte historique sera alors plus thmatique que
chronologique. En fait, la forme dpend du sujet abord. Un ouvrage sur l'urbanisme romain adoptera plutt le tableau
et un livre sur saint Louis se prsentera plutt sous la forme d'un rcit. Attention tout de mme aux surprises. Le
Dimanche de Bouvines de Georges Duby, au lieu de se rvler une classique restitution du droulement de la bataille
de Bouvines, s'avre une rflexion sur la signification de la guerre, de la paix et de la victoire en 1214.
Notes[modifier | modifier le code]
1. Lucien Febvre, Combats pour l'histoire, 1959 2. Charles-Victor Langlois et Charles Seignobos, Introduction aux tudes historiques, 1897 ; Charles
Seignobos, la mthode historique applique aux sciences sociales, 1901
3. a et b Grard Noiriel, Le statut de l'histoire dans apologie pour l'histoire , sur le site Marc Bloch 4. Marc Bloch, Apologie pour l'histoire ou mtier d'historien ; rd. 1993, p. 189 5. Hayden White, Metahistory. The Historical Imagination in Nineteenth-century Europe, 1973 6. Antoine Prost, Douze leons sur l'histoire, p. 288
Bibliographie[modifier | modifier le code]
Sur les autres projets Wikimedia :
Mthodologie historique, sur Wikiversity
Francis Bacon, Du Progrs et de la promotion des savoirs, Livre I, d. Gallimard, Paris.
Henri Berr, Histoire traditionnelle et la Synthse historique, d. Flix Alcan, Paris, 1921.
Marc Bloch, Apologie pour l'histoire ou mtier d'historien, 1949 ; rd. Armand Colin, coll. Rfrence
Histoire , 1997, 159 p. (ISBN 2200016948 et 978-2200016944) [prsentation en ligne]
Michel de Certeau, L'criture de l'histoire, d. Gallimard, Paris, 1975.
Lon-E. Halkin, Initiation la critique historique Prface de Lucien Febvre, d. Armand Colin, Paris, 1951.
Johann Gottfried von Herder, Ides pour une philosophie de l'histoire de l'Humanit, 1784-1791.
Charles-Victor Langlois et Charles Seignobos, Introduction aux tudes historiques, d. Hachette, Paris, 1897.
Claude Lefort, Les formes de l'histoire, d. Gallimard, Paris, 1978.
Jacques Le Goff et Pierre Nora (dir.), Faire de l'histoire, I. Nouveaux problmes, II. Nouvelles approches, III.
Nouveaux objets, d. Gallimard, Paris, 1974.
Henri-Irne Marrou, L'Histoire et ses mthodes, d. Bibliothque de la Pliade, 1951.
Henri-Irne Marrou, De la connaissance historique, d. du Seuil, Paris, 1954.
Antoine Prost, Douze leons sur l'histoire, d. du Seuil, Paris, 1996.
Augustin Thierry, Lettres et nouvelles lettres sur l'histoire de France, suivi de Considrations sur l'histoire,
d. Garnier, Paris, 1841.
Paul Veyne, Comment on crit l'histoire, d. du Seuil, Paris, 1971.
Jean-Baptiste Vico, Principes de la philosophie de l'histoire, 1724 ; traduction libre par Jules Michelet de la
Science nouvelle.
Voltaire, La Philosophie de l'histoire, 1763.
Articles connexes[modifier | modifier le code]
vnement (histoire)
Causalit (histoire)
Philosophie de l'histoire
Historiographie
Critique interne
Sociologie historique
Nouvelle histoire
Portail de lhistoire
Ce document provient de http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Mthodologie_historique&oldid=98690949 .
Catgorie :
Historiographie
Catgories caches :
Article recycler
Article manquant de rfrence depuis mars 2010
Article manquant de rfrence/Liste complte
Portail:Histoire/Articles lis
Menu de navigation
Outils personnels
Crer un compte
Se connecter
Espaces de noms
Article
Discussion
Variantes
Affichages
Lire
Modifier
Modifier le code
Historique
Actions
Rechercher
Rechercher Lire
Navigation
Accueil
Portails thmatiques
Article au hasard
Contact
Contribuer
Dbuter sur Wikipdia
Aide
Communaut
Modifications rcentes
Faire un don
Imprimer / exporter
Crer un livre
Tlcharger comme PDF
Version imprimable
Outils
Pages lies
Suivi des pages lies
Importer un fichier
Pages spciales
Adresse de cette version
Information sur la page
lment sur Wikidata
Citer cette page
Autres langues
English
Espaol
Nederlands
Polski
Simple English
Svenska
Modifier les liens
Dernire modification de cette page le 27 novembre 2013 01:39.
Droit d'auteur : les textes sont disponibles sous licence Creative Commons paternit partage lidentique ; dautres conditions peuvent sappliquer. Voyez les conditions dutilisation pour plus de dtails, ainsi que les crdits graphiques. En cas de rutilisation des textes de cette page, voyez comment citer les auteurs et
mentionner la licence.
Wikipedia est une marque dpose de la Wikimedia Foundation, Inc., organisation de bienfaisance rgie par
le paragraphe 501(c)(3) du code fiscal des tats-Unis.
Politique de confidentialit
propos de Wikipdia
Avertissements
Dveloppeurs
Version mobile