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Miliaires tuberculeuses : étude de 49 cas

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Page 1: Miliaires tuberculeuses : étude de 49 cas

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202 16e Congrès de pneumologie de la

actériologie dans 23 cas, par biopsies bronchiques dans huit cas,ar ponction biopsie transpariétale dans sept cas, par thoracoto-ie dans six cas et par biopsie ganglionnaire périphérique danseux cas. Le régime thérapeutique préconisé est 2RHZ/4RH dans2 cas, 2SRHZ dans 15 cas, prolongé à neuf mois dans deux cas,ssociée à la corticothérapie dans six cas. L’évolution est bonneans 36 cas. La tuberculose pulmonaire peut mimer une patholo-ie maligne d’où l’intérêt de reconnaître ses différentes formesnhabituelles.

oi:10.1016/j.rmr.2011.10.909

21rofil radioclinique et évolutif du mal de Pott. El Khattabi a, A. Aichane a, N. Moussali b, A. Riah a,. Berrada a, H. Afif a, A. Abdelouafi b, Z. Bouayad a

Service de pneumologie, hôpital, Casablanca, MarocService de radiologie, hôpital, Casablanca, Maroc

e mal de pott (MP) ou spondylodiscite tuberculeuse est unetteinte tuberculeuse rare mais représente la forme la plus fré-uente de la tuberculose ostéoarticulaire dans les pays endémiques.e janvier 2000 à décembre 2010, nous avons colligé 16 observationse mal de pott dont nous avons analysé le profil clinique, radio-ogique, les moyens de confirmation et le traitement. Les signes’appel étaient dominés par les douleurs rachidiennes et tho-aciques. Quatre patients avaient des signes neurologiques. Leiagnostic a été posé par la mise en évidence de BK à l’examenirect et à la culture dans le pus de l’abcès paravertébral dans sixas, par l’étude histologique de la biopsie discovertébrale dans cinqas, la biopsie d’un autre site tuberculeux dans 1 cas et devant unaisceau d’arguments radiocliniques avec une bonne évolution sousntibacillaires dans quatre cas. Le traitement, à base d’une associa-ion de quatre antibacillaires, a été indiqué et correctement suiviar tous les patients. Un drainage chirurgical a été associé dansinq cas. L’évolution a été bonne dans tous les cas. Le diagnos-ic de MP peut être retardé en l’absence de signes neurologiques,’imagerie rachidienne peut permettre le diagnostic précoce depuis’avènement de l’IRM. Le pronostic est bon lorsque la prise en chargest précoce.

oi:10.1016/j.rmr.2011.10.910

22a tuberculose multifocale dans le service deneumologie du CHN de Nouakchott-Mauritanie.A. Nech a, S.A. Dahdi b, M.M. Ould Abdoullah Sejad c

PNEUMOLOGIE/CHN, Nouakchott, MauritanieSanté Publique/CHN, Nouakchott, MauritanieInterniste/CH Amitié, Nouakchott, Mauritanie

a tuberculose reste un problème de santé publique en Maurita-ie. Cette infection par le Mycobacterium tuberculosis peut toucher’importe quel organe et la maladie se traduit donc par un grandolymorphisme clinique.ne étude prospective de janvier 2007 à décembre 2010 avait pourut de préciser les caractéristiques épidémiologiques, cliniques etvolutives de la tuberculose multifocale.otre échantillon se compose de 112 patients tuberculeux ayant unetteinte d’au moins de deux organes ou une miliaire.a tranche d’âge est de 18-45 ans représentait 66 % d’effectif. Leex ratio était de 1.es sujets à revenu précaire étaient les affectés 78,3 %.

a toux, la douleur thoracique et la dyspnée sont fréquent.es signes non respiratoires sont dominés par la douleur abdomi-ale.e poumon est l’organe le plus touché 99,03 %.

dpcm

francaise, Lyon, vendredi 27 au dimanche 29 janvier 2012

es localisations bifocales représentaient 78,3 %, l’association pou-on et plèvre est la plus fréquente.

a miliaire est retrouvée dans 23,5 % des cas.a séroprévalence de VIH est de 34,8 %.’évolution a été favorable sous-traitement au bout de 25,1 % jourshez 73,5 % des malades.a létalité est estimée à 6,8 %.onclusion.— La recherche du diagnostic bactériologique et/ouistologique au plusieurs sites permet d’adapter une attitude thé-apeutique adéquate en toute sécurité pour le malade.

oi:10.1016/j.rmr.2011.10.911

23iliaires tuberculeuses : étude de 49 cas

. Morad , H. Benjelloun , N. Zaghba , A. Bakhatar , N. Yassine ,. Bahlaoui

Service des maladies respiratoires, CHU Ibn Rochd, Casablanca,aroc

a miliaire tuberculeuse est une forme grave et rare de la tubercu-ose. Elle est due le plus souvent à une dissémination hématogène duacille de Koch. Nous avons mené une étude rétrospective concer-ant 49 cas colligés au service des maladies respiratoires du CHU Ibnochd de Casablanca entre septembre 2003 et août 2011. La prédo-inance féminine est notée dans 59 % des cas. La moyenne d’âge

st de 37 ans. L’antécédent de tuberculose et le contage tubercu-eux sont retrouvés dans six cas chacun, le post-partum dans quatreas, le diabète et la trisomie 21 dans un cas chacun. Le tableau cli-ique est dominé par l’altération de l’état général dans tous les cas,t la fièvre dans 43 cas (87,8 %). La radiographie du thorax objec-ive un aspect de miliaire dans tous les cas, une cardiomégalie danseux cas, un pyopneumothorax dans quatre cas, et des opacitésxcavées dans deux cas. L’intradermo-réaction à la tuberculine réa-isée dans tous les cas est positive dans 15 cas, et les bascilloscopiesont positives dans 12 cas. Le bilan de dissémination retrouve unetteinte cérébroméningée dans trois cas, avec des tuberculomesérébraux dans un cas, une péricardite dans deux cas, des adénopa-hies médiastinales et périphériques dans quatre cas. Les tuberculese Bouchut sont retrouvés dans cinq cas. Le traitement antibacil-aire selon le régime 2SRHZ/7RH est démarré en urgence dans touses cas. L’évolution est bonne dans 34 cas (69 %), dix patients sonterdus de vue, et quatre décès sont déplorés. Nous insistons à tra-ers ce travail sur la gravité de la miliaire tuberculeuse et sur laécessité d’une prise en charge thérapeutique précoce et urgente.

oi:10.1016/j.rmr.2011.10.912

24oxicité hépatique au cours du traitementntibacillaire. À propos de 15 cas. Sehbaoui , H. Afif , N. Saifaoui , W. El Khattabi , A. Aichane ,. Bouayad

Service de pneumologie, hôpital 20 Août 1953, Casablanca, Maroc

’hépatotoxicité est une complication majeure du traitement anti-uberculeux. Sa fréquence est estimée de 0,5 à 10 % selon lesssociations médicamenteuses. Le but de ce travail est de décriree profil clinique, biologique et évolutif de la toxicité hépatique desntituberculeux (THA) et de préciser les difficultés de sa prise enharge thérapeutique. Nous rapportons 15 observations de THA col-igées sur une période de dix ans. Il s’agit de huit femmes et septommes avec un âge moyen de 36 ans. La tuberculose est miliaire

ans cinq cas, polyséreuse dans trois cas, pleurale dans trois cas,ulmonaire dans deux cas, péricardique et ganglionnaire dans unas chacun. Le schéma thérapeutique initial inclue la pyrazina-ide, l’association isoniazide-rifampicine dans sept cas, associés