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Mission Universitarisation des formations parame dicales et de maï eutique
Deuxième réunion du Comité de suivi
19 avril 2018
Ordre du jour
Tour de table liminaire
Point sur les travaux des groupes de travail
Echange sur les travaux de la Stratégie de transformation du système de santé
Point d’information : la procédure Parcoursup
Composition du dossier
Calendrier des groupes de travail
Composition des groupes
Compte-rendu des premières réunions de cinq groupes de travail
Calendrier des groupes de travail
Date Admission IFSI
Qualification EC
Cadre partenariat
Filière maïeutique
Nouveaux métiers
Formations insérées à
l’Université de longue date
Réadaptation Formations en lycées, IUT
et CFA
1ère
séri
e d
e r
éu
nio
ns
5 avril 14H30 – 17H30 Irène Joliot-Curie
6 avril 14H30 – 17H30 9H30 – 12H30
10 avril 14H30 – 17H30
12 avril 14H30 – 17H30 9H30 – 12H30
20 avril 9H30 – 12H30 14H30 – 17H30
2èm
e s
éri
e d
e
réu
nio
ns
25 avril 14H30 – 17H30 9H30 – 12H30
26 avril 9H30 – 12H30 14H30 – 17H30
27 avril 9H30 – 12H30 14H30 – 17H30
2 mai 14H30 – 17H30 9H30 – 12H30
Réunion/Visio en Salle Elie Cohen (RdC Bât. Boncourt)
SAUF celles qui sont en violet : en Salle Irène Joliot-Curie B-109
Date Admission IFSI Qualification EC
Cadre partenariat
Filière maïeutique
Nouveaux métiers
Formations insérées à
l’Université de longue date
Réadaptation Formations en lycées, IUT et
CFA
3èm
e s
éri
e d
e r
éu
nio
ns
7 mai 9H30 – 12H30 14H30 – 17H30
15 mai 9H30 – 12H30
16 mai 14H30 – 17H30 Irène Joliot-Curie
17 mai 14H30 – 17H30 Irène Joliot-Curie
22 mai 14H30 – 17H30 9H30 – 12H30
25 mai 9H30 – 12H30 14H30 – 17H30
4èm
e s
éri
e d
e
réu
nio
ns
30 mai 9H30 – 12H30 14H30 – 17H30
31 mai 9H30 – 12H30 14H30 – 17H30
1er juin 14H30 – 17H30 9H30 – 12H30
5 juin 14H30 – 17H30 Irène Joliot Curie
Réunion/Visio en Salle Elie Cohen (RdC Bât. Boncourt)
SAUF celles qui sont en violet : en Salle Irène Joliot-Curie B-109
4
Participation aux groupes de travail
Groupe de travail
Membre du Comité de suivi Experts extérieurs
Rapporteur
L’admission dans les IFSI Mohamed Abdirahman (Croix Rouge)
Martine Sommelette (CEFIEC)
Florence Girard (ANDEP)
Céline Blan et Anne Leclercq (Région Centre)
Céline Courtois (région Hauts-de-France)
Véronique Derderian (région PACA)
Elisabeth Jouneaux (région Bretagne)
Ludivine Gauthier (FNESI)
Roselyne Vasseur (APHP – CDGCHU)
Anne Charloux (Univ. Strasbourg)
Véronique Pechey (ONI)
Corinne Defrance (ARS Normandie)
Sylvie Saint-Germain, directrice adjointe de l’IFSI PARIS ST JOSEPH (FEHAP)
Sylvie Thiais (ARS IDF)
DGOS
DGESIP
Hawa Keita-Meyer / Martine Novic (DUSIR Paris Diderot)
Jean-Marc Petit (RENASUP)
Patrick Roux (FNEP)
Marie-Dominique Cardi (PACA)
Hélène Macaire (consultante sur les questions de formation)
Thierry Amouroux / Virginie Schlier (CFE-CGC)
Pascal Boudin-Corvina (AFDS)
La qualification et le recrutement des
enseignants chercheurs
Véronique Billaud (ARS PACA)
Nicolas Pinsault (CNOMK)
Eric Prou (OPP)
Isabelle Derrendinger (CNOSF)
Sarah Bonenfant (ONI)
Philippe Berbis – Jean Léonetti (AMU)
Michèle Cottier (Univ Saint-Etienne)
Anne Charloux (Univ Strasbourg)
Elisabeth Josseaume (région Normandie)
M. Collerie (Région PACA)
Véronique Derderian (région PACA)
Jean-Marie Louchet (ANDEP)
Laura Appertet (ANESF)
Lucile Léon (FNESI)
Louis Dreux (FNEK)
Alexandre Tan (FNEK)
Ljiljana Jovic
Martine Sommelette (CEFIEC)
Véronique Lecointe (CNEMA)
Frédéric Rimmatei (DGA CHU Rennes)
Emilie Doulay, Vice-Présidente en charge de
Christophe Debout (Académie sciences infirmières)
Hawa Keita-Meyer / Juliette Assouad (DUSIR Paris Diderot)
Nico Decock (CHRU Lille)
Corinne Dupond / Priscille Sauvegrain (SF, qualifiées PU /
MCF)
Dominique Perron (AFDS)
5
l'enseignement supérieur Romain Devrand, Vice-Président en charge de
l'Enseignement Supérieur de l'UNAEE
Anaïs Rolland, Présidente de la FNEO
Laure Elzière, Vice-Présidente en charge de la recherche de la FNEO,
Antoine Miorcec, VP Perspectives professionnelles de la FFEO
Anne Hanquier, directrice IFSI SANTELYS (FEHAP)
Marie Mauffret-Vallade (DGRH MESRI) et Nawale Farrouj (DGRH MESRI)
Odile Brisquet (DGOS)
L’élaboration d’un cadre destiné à faciliter les projets territoriaux
d’intégration universitaire
1 – traçabilité des financements
2 – carte d’étudiant pour tous
Florence Girard (ANDEP)
Pascale Mathieu (CNOMK)
Isabelle Derrendinger (CNOSF)
Patrick Chamboredon (ONI)
Marie-Luce Rouxel (Croix Rouge)
Rafael Dos Santos (ANESF)
Ludivine Gauthier (FNESI)
Martien Sommelette (CEFIEC)
Valérie Schneider (CR Grand Est)
Céline Blan (région Centre)
Anne Leclercq (région Centre)
Christelle Cordier / Delphine Mouturier-Grillot (région Bourgogne France Comté)
Aline Molard (région Auvergne-Rhône Alpes)
Elisabeth Jouneaux (région Bretagne)
Gérard Blanchard (VP recherche, région Nouvelle-Aquitaine)
Michèle Cottier (Univ Saint-Etienne)
Amélie Roux (DRH CHU Tours)
Michel Cosnard (HCERES)
Cécile Kanitzer (FHF)
Romain Devrand, Vice-Président en charge de l'Enseignement Supérieur de l'UNAEE
Lucas Bervas, Président de l'UNAEE
Clémence Guihery, Présidente de l’ANEP
Anne Hanquier, directrice IFSI SANTELYS (FEHAP)
CNOUS/CROUS
Clémence Misseboukpo (DGESIP)
DGOS
Béatrice Jamault (Amiens)
Un agent comptable
Thierry Lardot (Sorbonne Université)
Mathais Guérin (Paris Diderot)
Nicolas Lerolle (Univ. Angers)
Annabelle Couillandre (Univ. Orléans)
6
La filière maïeutique
Isabelle Derrendinger (CNOSF)
Rafael Dos Santos (ANESF)
Laura Appertet (ANESF)
Véronique Lecointe (CNEMA)
Christine Etchemendigaray (UVSQ)
Christelle Cordier Delphine Mouturier-Grillot et Valérie Depierre (région Bourgogne Franche Comté)
Elisabeth Jousseaume (région Normandie)
Clémence Misseboukpo (DGESIP)
Yves Ville (Necker)
Anne Rousseau (UVSQ)
Anne Chantry (CNSF)
Carole Zacarian (AMU)
Isabelle Vaast (Université catholique de Lille)
Nouveaux métiers, nouvelles compétences
Florence Girard (ANDEP)
Abdelaziz Moudjed (ONI)
Céline Poulet (Croix Rouge)
Philippe Berbis (AMU)
Michèle Cottier (Univ Saint-Etienne)
Ljiljana Jovic
Martine Sommelette (CEFIEC)
Lucie Léon (FNESI)
Louis Dreux et Alexandre Tan (FNEK)
Aline Molard (région Auvergne Rhône Alpes)
Michel Boussaton (région Occitanie)
Laurence Dutreix (région Nouvelle Aquitaine)
Michèle Belliot (FHP)
Cécile Kanitzer (FHF)
Isabelle Bisutti, Cadre formateur IFSI Paris Saint-Joseph (FEHAP)
Tristan Klein (DGOS)
DGESIP
Béatrice Jamault (Amiens)
Sandrine Tyzio (H. Robert Debré)
Benoît Marin (Univ. Limoges)
Martine Novic (DUSIR Diderot)
Sébastien Colson (AMU)
Thierry Amouroux / Laurence Vérani (CFE-CGC)
Isabelle Monnier (EHESP)
Dominique Combarnous (ANCIM)
Catherine Delaveau (CHU d’Angers)
Charles Eury (Puer)
Anne Dannenmuller (écoles enfance)
Erwan Hespel (SNIA)
Nadia Peoch (Toulouse)
Mme Dominique Lanquetin (Vice-présidente de l'UNAIBODE)
Aline Dequidt-Martinez
(Directrice de l’école d’infirmiers de bloc opératoire de Lille) /
Fabienne Bedouch,
Directrice école d’infirmiers de bloc opératoire de Toulouse
I.Laignel (AFDS)
Les formations insérées à l’Université de longue
date (orthophonie, orthoptie,
audioprothèse)
Christelle Cordier (région Bourgogne Franche Comté)
Céline Courtois (région Hauts de France)
Laurence Dutreix (région Nouvelle Aquitaine)
Astrid du Sartel, Vice-présidente générale de la FNEO
Chloé Baudeloche, Vice-présidente en charge de l’enseignement supérieur de la FNEO
Quentin Beuste, 1er Vice-Président de la FFEO
William Chastel, 1er VP Adjoint de la FFEO
Thibaut Derre (Fédé étudiants audioprothèse)
Frédéric Pasquet (CCFUO)
Sylvia Topouzkhanian (UNADREO)
Gaëlle Lancelle-Chollier /M. Jean-Laurent Astier (FNO)
Sarah Degiovanni (collège français d’orthophonie)
Stéphane Laurent (Collège national d’audioprothèse)
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Anne Fauvaud (DGESIP)
Brigitte Ekpe (Ecole d’orthoptie Université d’Auvergne)
Najwa Salamé (orthoptiste, MCF associé Université de Tours)
Les formations de la réadaptation
Pascale Mathieu (CNOMK)
Eric Prou (OPP)
Hélène Pelegris (Croix Rouge)
Jean-Marie Louchet (ANDEP)
Christelle Cordier, Delphine Mouturier-Grillot, Valérie Depierre (région Bourgogne Franche-Comté)
M.Collerie et Véronique Derderian (région PACA)
Louis Dreux et Alexandre Tan (FNEK)
Jean-Louis Maurizi (FHP)
Lucas Bervas, Président de l'UNAEE
Emilie Doulay, Vice-Présidente en charge de l'enseignement supérieur
Clémence Guihery, Présidente de l’ANEP
Stéphane Legueux, directeur IFRES Alençon (FEHAP)
Daniel Michon (Saint-Maurice)
Patrick Dehail (Univ Bordeaux)
Arnaud Choplin / Stéphane Azoulay (Univ Nice)
Nicolas Raynal (psychomotriciens)
Pascal Gouilly (SNIFMK)
Marie-Claude Autrusson (pédicurie-podologie)
Nicolas Biard (ANFE) Bernard Devin (SIFEF) (ergothérapeutes)
Alexandre Kubicki (Responsable Filière Kinésithérapie -
Physiothérapie
IFMS Hôpital Nord Franche-Comté)
Les formations délivrées au sein des lycées, des
IUT ou des CFA
Naima Brahimi en fixe et Darmochod Stéphanie en suppléante (CNPTLM)
Christelle Cordier, Delphine Mouturier-Grillot et Valérie Depierre (région Bourgogne Franche-Comté)
Christophe Roman (ONI)
Alexandre Tiraboschi, Elu CCN IUT
Béatrice Jamault (Amiens)
MEN – IGEN
Myriam Merlet (ANPPH)
Olivier Pons (Monplaisir – Valence)
SNOF (orthopedistes, orthésistes)
Jean-Marc Petit / Yves Ruellan (RENASUP)
Gilles Bonnefond (USPO)
Philippe Gaertner (FSPF)
Emmanuelle Quemard / Cyril Bossenauer (CLNCFPPH)
Isabelle Parmentier (diététicien)
Nadia Boudraï (Paris 13)
Eric Lazarides (IUT Aix Marseille optique)
Laurent Gadessaud, directeur de l’IUT de Créteil-Vitry (ADIUT)
Nicolas Raynal (rassemblement des opticiens de France)
Alain Gerbel (FNOF)
Dominqiue Perron (AFDS)
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Nom du groupe de travail : Elaboration d’un cadre destiné à faciliter les projets territoriaux d’intégration universitaire
Séance n° 1 du 5 avril 2018.
Rapporteur : Valérie SCHNEIDER- 03 88 15 6954 – [email protected]
Compte-rendu synthétique
1. Ordre du jour de la réunion / Objectifs
o préciser le périmètre thématique et les questions à traiter (conformément aux objectifs fixés
par les ministres)…
o élaborer un dispositif de travail (personnes à auditionner, expériences à mettre en exergue, questions à expertiser…)
o esquisser une planification des tâches sur les trois autres séances programmées
2. Relevé des points abordés
A. Traçabilité des moyens mis en œuvre par l’Université
➢ Typologie et recensement
o Recensement et typologie des actions réalisées par les universités :
o Mise à disposition de plate-forme numérique et e-learning, de moyens informatiques et d’outils d’évaluation, de ressources humaines (pédagogiques et administratives)
o mise à disposition/location de centre de simulation ou de matériel de simulation, formations de formateur à la simulation et aux outils numériques,
o co-construction des maquettes des unités d’enseignement,
o coordination pédagogique,
o acquisition coordonnée et cofinancée de matériel et d’équipement,
o service de documentation (revues numériques spécifiques et accès physique à la BNU),
o laboratoire de langue, logiciel anti-plagiat, accès aux services des sports et médecine préventive (en lien avec carte d’étudiant),
o participation des universitaires aux instances pédagogiques et aux CAC (Commission d’Attribution de Crédits)
➢ Modalités actuelles de financement de ces concours ? Exhaustivité ?
o Pratiques très divergentes selon les régions : financement direct de l’université ou non.
o Facturation de l’université directement à la Région ou directement à l’institut de formation.
o Pas de facturation mais Inscription directe par les étudiants
o Certaines actions de l’université ne font pas forcément l’objet d’une traçabilité financière mais plutôt d’un partenariat.
o Toutes les charges de coordination s’imposant aux universités ne sont pas estimées
o Système de financement des formations paramédicales (infra et post bac) unifié entre les centres hospitaliers gestionnaires d’instituts de formation et les Régions : faire une distinction pour les formations « universitarisées » pose des difficultés.
9
o La Loi de 2004 impose aux Régions de verser la subvention à l’institut de formation et non aux universités : dans les faits certaines Régions financent déjà l’université mais elles ne souhaitent pas deux voies de financement parallèles.
➢ Outils à utiliser pour améliorer la traçabilité, disponibilité des outils, contraintes d’utilisation
o Difficulté, pour les universités de coordonner un grand nombre d’interlocuteurs différents malgré l’existence de GCS qui servent d’outils de coordination.
o Comment limiter le nombre de contractualisations ? Contractualisation quinquennale entre université et région en lien avec les projets d’établissements des universités
o Tenir compte de la situation des instituts de formation privés non membres du GCS
o Elaboration de l’outil SOLTISS par 11 Régions qui repose sur une transparence et une unicité budgétaire et qui prend en compte la réalité du fonctionnement des IF à ce jour.
o Modélisation des coûts de coordination par les universités
➢ Modalités d’implémentation : expérimentation/volontariat/nécessité d’un cadrage juridique a priori… ?
o Faire évoluer les GCS vers des GCS de moyens.
o L’Université n’est pas seulement un contributeur/prestataire mais a d’autres responsabilités sur les délivrances de diplômes et les poursuites de parcours. C’est le sens même de l’universitarisation.
o A noter que lorsque les étudiants rejoignent des masters de l’Université, ce sont les conditions ordinaires de financement par le MESRI qui s’appliquent.
B. Carte d’étudiant pour tous
➢ Expériences à mobiliser
o Etudiants Sages-Femmes ont une carte d’étudiant délivré par l’université mais pas forcément les services associés.
o Etudiant MK : très hétérogène sur le territoire national, idem Psychomotricien. A Orléans par exemple, délivrance de la carte au MK mais les étudiants ne contribuent pas à la vie étudiante de l’université
o Etudiants en soins infirmiers : importance des droits réels d’accès aux services universitaires, compte tenu de la dispersion sur le territoire. Du point de vue des cartes d’étudiants, différentes situations sont possibles : carte d’étudiant délivrée par l’université avec la mention de l’IFSI donnant certains droits comme en Picardie où l’institut de formation reverse un montant à l’université ou en Nouvelle Aquitaine qui finance l’inscription à la place de l’étudiant.
o Les Régions doivent se positionner sur la prise en charge ou non en fonction de la compensation qu’elles perçoivent : ce financement représente plus d’1M€ dans certaines Régions qui n’ont pas les moyens correspondants. A mettre en regard des gains liés à la mutualisation dans le cadre de l’intégration universitaire.
o CEFIEC : il reste des régions où il n’y a pas encore de vraies cartes d’étudiants. Parfois, les étudiants paient des droits supplémentaires. Les prestations dépendent aussi de la proximité de l’étudiant avec les sites universitaires.
o Effort de typologie sur les réalités existant derrière la carte d’étudiant : services liés à la carte, droits des étudiants
10
3. Eléments de conclusion synthétiques / Points de consensus, de désaccord
o Nécessité de construction commune d’un cadre national des services apportés par les universités et des modalités de financement correspondantes (contractualisation, circuit de financement, dialogue de gestion).
o Nécessité de clarifier les conditions de délivrance de la carte d’étudiant (sur le fondement de l’inscription dans les bases de données de l’Université, par convention entre les acteurs, par « tradition »), les droits afférents, notamment en matière élective, l’accès concret aux services.
4. Esquisse de programmation pour la séance suivante faite en réunion
o Présentation et estimation par l’université des différentes charges liées à l’universitarisation et propositions en matière de contractualisation avec la région ;
o Présentation du fonctionnement du collegium santé mis en place en Région Centre en tant qu’il rassemble l’ensemble des acteurs de l’universitarisation en région (et permet un dialogue partenarial) ;
o Présentation de l’outil SOLSTISS et de ses fonctionnalités (dès que possible).
o Présentation des nouvelles dispositions de la loi ORE en ce qui concerne la participation financière des étudiants (90 euros).
Annexe : liste des participants
Florence Girard (ANDEP)
Isabelle Derrendinger (CNOSF)
Marie-Luce Rouxel (Croix Rouge)
Rafael Dos Santos (ANESF)
Ludivine Gauthier (FNESI)
Christine Le Metais (CEFIEC)
Céline Blan (région Centre)
Christelle Cordier / Delphine Mouturier-Grillot (région Bourgogne France Comté)
Michèle Cottier (Univ Saint-Etienne)
Amélie Roux (DRH CHU Tours)
Jean-Marc Geib (HCERES)
Lucas BERVAS, Président de l'UNAEE
Clémence GUIHERY, Présidente de l’ANEP
Béatrice Jamault (Amiens)
Thierry Lardot (Sorbonne Université)
Mathais Guérin (Paris Diderot)
Annabelle Couillandre (Univ. Orléans)
Clémence Msseboukpo (DGESIP)
Alexis Her (FAGE)
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Nom du groupe de travail : Filière Maïeutique
Séance n°1 du 06/04/2018
Rapporteur : A. Rousseau ([email protected] / 0614384755)
Compte-rendu synthétique
1. Ordre du jour de la réunion / Objectifs
o préciser le périmètre thématique et les questions à traiter (conformément aux objectifs
fixés par les ministres)…
o élaborer un dispositif de travail (personnes à auditionner, expériences à mettre en exergue, questions à expertiser…)
o esquisser une planification des tâches sur les trois autres séances programmées
2. Relevé des points abordés
• Etat des lieux des expériences d’intégration des écoles de sages-femmes au sein de l’Université :
o Finalités de l’intégration universitaire (la dimension recherche fondamentalement)
o Formes d’intégration organiques / fonctionnelles : par rapport aux progrès permis par les formes d’intégration fonctionnelle (sur le plan pédagogique en particulier), quels gains à franchir le pas de l’intégration pleine et entière ?
o Obstacles rencontrés : au sein des équipes, au niveau des tutelles, au niveau de l’Université… Ces difficultés ne sont pas forcément dépendantes du statut d’intégration choisi
o Relations entre les acteurs : Hôpital, Université, Région, ARS
o Problématique budgétaire et question du financement respectif du socle de formation et des apports nouveaux en termes de recherches : financement courant, financement au titre de l’animation de la recherche (appels à projets, MERRI…), financement d’amorçage (type ARS) et financement des postes pérennes d’EC
o Problématique du circuit de financement région / Université / CHU : quelles perspectives ? Quels obstacles ?
o Dimension comptable : importance de travailler sur la dimension analytique des coûts pour prévenir un certain nombre de difficultés, exploitation des outils en vigueur à l’université…
o Ancrage territorial, mise en réseau : importance de la dimension territoriale (présence territoriale des professionnels, recherches sur les pratiques et qualité de la prise en charge…) pour porter le projet politique d’intégration universitaire (Université – Région – ARS – CHU)
o Statut des enseignants : positions statutaires intermédiaires pour les personnels issus de la FPH (détachement / mise à disposition, avantages /inconvénients)), recrutements enseignants-chercheurs, mono / bi-appartenant, financement, activité clinique
Eclairer les acteurs sur le sujet
12
Propositions de solutions, de simplifications
• Encadrement / qualité de vie des étudiants :
o accès aux services universitaires et réseau des œuvres universitaires et scolaires
o qualité de vie en stage : encadrement par maitre de stage, logement et accessibilité aux stages, restructuration hospitalière et impact sur les terrains de stage
Peu abordé, à discuter : déploiement de la recherche en Maïeutique, organisation Master, ED.
3. Eléments de conclusion synthétiques / Points de consensus, de désaccord
o Faire un retour d’expérience des 4 structures intégrées et présentes au groupe de travail
o Présence des représentants de l’Université dans le groupe
4. Esquisse de programmation pour la séance suivante faite en réunion
o Réunion 2 : élaboration d’une « grille » de retour d’expérience (Montpellier, Lille, Marseille, UVSQ) concernant les modalités d’intégration, le statut des enseignants : avantages, inconvénients, freins et moyens mis en œuvre
= outil, levier de négociation pour les écoles non encore intégrées
o Cartographie des structures de formation de sages-femmes intégrées et des intégrations envisagées dans les années à venir de façon à éclairer les décideurs quant aux enjeux de ce travail d’intégration et à la cible globale.
Liste des participants
Isabelle Derrendinger (CNOSF)
Rafael Dos Santos (ANESF)
Laura Appertet (ANESF)
Véronique Lecointe (CNEMA)
Christine Etchemendigaray (UVSQ)
Delphine Mouturier-Grillot (région Bourgogne Franche Comté)
Yves Ville (Necker)
Anne Chantry (CNSF)
Carole Zacarian (AMU)
Isabelle Vaast (Université catholique de Lille)
Alexis Her (FAGE)
Clémence Misseboukpo et Sonia Passet (DGESIP)
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Nom du groupe de travail : Formations insérées à l’Université de longue date (orthophonie, orthoptie, audioprothèse)
Séance n° 1 du 10 avril 2018
Rapporteur : Frédéric PASQUET - [email protected] (0667421996)
Compte-rendu synthétique
Ordre du jour de la réunion / Objectifs du groupe de travail
- Proposer aux ministres, au regard des objectifs du GT, des débouchés à court terme ou une méthode et une planification des travaux pour un objectif à moyen terme
- (1) Faire évoluer les modalités d’examen à l’entrée en formation, en tenant compte des forces mais aussi des limites des modalités actuelles,
- (2) Qualités et limites des référentiels de formation et perspectives concernant l’organisation des enseignements : comparaison des référentiels, mutualisations possibles (quelles transversalités au sein du groupe ? avec d’autres filières et composantes), homogénéisation,
- (3) Gouvernance des structures de formation : niveau d’intégration dans les strates universitaires,
- (4) Régulation financière des formations.
- Ordre du jour du 10 avril :
- Tour de table sur les objectifs : déterminer les particularités et repérer les préoccupations communes ;
- Point spécifique sur l’objectif (1) conditions de recrutement : quels constats ?
Relevé des points abordés
Sélection à l’entrée (examens d’aptitude)
Constat unanime quant aux effets néfastes des modalités actuelles :
- Développement des préparations privées (en moyenne deux ans de préparation) et nombre de candidats sans ECTS au bout de 2 ans ou plus : trouver les moyens de remédier à cette situation),
- Coûts pour les candidats, absence de mixité sociale
- Difficulté à créer un fichier commun des candidats au niveau national, cf. CNIL
A partir des éléments suivants, pistes en 3. :
- Volonté de ne pas restreindre aux terminales S même si les matières scientifiques comptent pour beaucoup,
- Maintenir le caractère de projet motivé par les métiers de soin : comment opérer ?
- Entretien oral évoqué comme fondamental car métier de soin (actes récurrents santé), alors quel référentiel bâtir pour optimiser la procédure d’admission en question?
14
- Régulation quantitative : quand ? Avant l’entrée en formation reste le modèle évoqué dans de ce GT
Référentiels de formation
En orthoptie et orthophonie, les référentiels récents donnent globalement satisfaction avec quelques éléments de précision. En orthoptie, si le référentiel apparaît adapté, il existe un problème quant au financement, par les universités, des heures. En orthophonie, le référentiel apparait adapté si l’on excepte le fait qu’il est trop chargé en 3, 4 et 5ème années.
En audioprothèse, le référentiel est ancien et devrait être refondé. Le volume de stage est souligné comme adapté.
Le principe d’un semestre où des UE similaires seraient dispensées, a été évoqué. Cela pourrait être pensé et potentiellement activé en fonction de l’offre de formation de chaque université, afin de ne pas pénaliser des universités qui n’ont qu’une partie de l’offre.
Intégration sur le territoire, quotas
Constat unanime de difficulté de fixation des professionnels sur l’ensemble du territoire (zones sous-dotées). Il est rappelé que les quotas résultent de la confrontation des demandes des deux ministères. La tendance est à une demande d’augmentation des quotas par les ARS, sachant que les universités ne peuvent pas toujours augmenter les capacités pour plusieurs raisons :
- Moyens insuffisants en termes d’encadrement (gouvernance et pédagogie) et d’enseignants,
- Manque de places de stage pour certaines professions car distants des lieux de formation, volumes de stages importants, baisse des terrains de stage en milieu hospitalier …
- Reconnaissance insuffisante du statut de maitre de stage, formation insuffisante de ces MDS.
Deux éléments de réponse :
- Il semblerait que le modèle de la médecine générale soit le modèle le plus proche de ce qui serait souhaitable (accueil des internes)
- Piste de la création d’un statut de MDSU,
Eléments de conclusion synthétiques / Points de consensus, de désaccord
Sélection à l’entrée (examens d’aptitude)
Tenant compte de la Loi ORE, est évoqué un modèle de type :
- Admissibilité par Parcoursup : dispositif, modalités, attendus et critères, MOOC, jurys, calendrier : à déterminer ;
- Admission par entretien et dans ce cas, il faut établir un dispositif performant pour optimiser la procédure ;
- Question des rentrées financières pour les universités liées à l’organisation actuelle des examens d’aptitude ;
Référentiels de formation
Possibilité de remaniement à la marge pour orthoptie et orthophonie et ajustement plus profond et en coordination d’audioprothèse.
Penser des UE aux mêmes semestres.
15
Intégration sur le territoire, quotas
La problématique de l’intégration sur le territoire pourrait être abordée au moyen de :
- La facilitation du recrutement régional au moyen du dispositif Parcoursup,
- L’amélioration du statut des MDS,
- Le fléchage des ressources budgétaires allouées aux structures de formation.
Autre
Consolider le marketing des formations en orientation pré bac, financer le développement de ces stratégies d’information, orientation.
Esquisse de programmation
1- Prochaine réunion (2 mai) : S’appuyer sur une carte d’identité de ces trois formations avec problématiques communes ;
2- Forme du recrutement : données actuelles, recours aux prépas, bilan économique de la mécanique des concours (considérations matérielles : frais du concours, maintien des revenus), diagnostic des procédures de recrutement actuelles (filière par filière), spécifique ou pas à chaque université, besoin irréductible ou pas de la phase d’admission, quelle forme d’harmonisation des oraux dans ce cas ?– GRILLE comparative
3- L’ancrage institutionnel des formations à l’université : participation des équipes enseignantes et des étudiants aux différentes strates,
4- Réalité économique de ces formations au sein des universités, plans budgétaire et comptable par rapport aux composantes et aux universités, taille critique et position stratégique
5- Service sanitaire en santé, quelles préconisations du rapport Vaillant ? Propositions à faire au sein du GT selon axes « Dépistage et prévention ».
Annexe – Liste des participants
Prénom, Nom Institution Filière
Christelle CORDIER et Delphine MOUTURIER-GRILLOT
Région Bourgogne Franche Comté
Céline COURTOIS Région Hauts de France
Brigitte EKPE Université Auvergne Orthoptie
Quentin BEUSTE et William CHASTEL FFEO Orthoptie
Luis GODINHO UNSAF Audioprothèse
Stéphane LAURENT CNA Audioprothèse
Thibaut DERRE FNEA Audioprothèse
Sylvia TOPOUZKHANIAN UNADREO Orthophonie
Jean-Laurent ASTIER FNO Orthophonie
Sarah DEGIOVANI CFO Orthophonie
Chloé BAUDELOCHE FNEO Orthophonie
Frédéric PASQUET CCFUO Orthophonie Rapporteur
Anne FAUVAUD DGESIP
16
Nom du groupe de travail : Nouveaux Métiers/Nouvelles compétences
Séance n° 1 du 12 avril 2018
Rapporteur : Sandrine TYZIO, [email protected] : 06 68 13 44 02
Compte-rendu synthétique
1. Ordre du jour de la réunion / Objectifs
✓ Préciser le périmètre de travail et les questions à traiter :
o Diplôme d’Etat pratiques avancées IDE1 grade master /quelles articulations avec les formations de master?
o Evolution du système de formation des spécialités IBODE/IADE/IPDE2 : statut, organisation des formations, ancrage, articulation avec l’université, projets d’intégration
o Réingénieries en cours (IBODE, IPDE) et débouchés
o Evolution des missions des directeurs des soins (IFSI en particulier) : quelle formation ? quel rapprochement avec l’université ?
✓ Elaborer un dispositif de travail (personnes à auditionner, expériences à mettre en exergue, questions à expertiser…)
✓ Esquisser une planification des tâches sur les trois autres séances programmées
2. Relevé des points abordés
Interprofessionnalité :
✓ Décloisonnement des formations : éviter le travail en silo, délétère sur le terrain : plus d’options, favoriser le « travailler ensemble », culture commune / transversalité
o Exemple d’Aix Marseille Université : structuration en « UFR Sciences médicales et paramédicales », avec 4 écoles (médecine, sciences infirmières, réadaptation, maïeutique) : intégration des nouveaux métiers, passerelles avec les pratiques avancées, enseignements communs (UE) ;
o Exemple d’Angers : séminaires regroupant tous les métiers, centre de simulation, projet de département de sciences infirmières ;
o Expérience dans les métiers de l’enfance avec Paris Descartes : regroupement de plusieurs métiers ;
o Exemple Occitanie : formations paramédicales : même lieu, mutualisation des enseignements // Exemple Toulouse : pôle métiers de la santé : 13 écoles
Interprofessionnalité = décloisonnement des formations, connaissances communes, socle qui rassemble.
1 Lire pour l’ensemble du document : infirmier-infirmière DE 2 Lire pour l’ensemble du document : infirmière puéricultrice DE
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Spécialités IDE / pratiques avancées :
✓ Visibilité des filières de la profession et des débouchés / logique de recrutement précoce : communication, enjeux, réalité du métier IDE ; comme pour les études de médecine : savoir être, confrontation à des situations réelles, aux « échecs » pour développer des compétences et une maturité professionnelle ;
✓ Pour les puéricultrices, le projet se précise tôt : attractivité liée aux soins en direction d’une population ;
✓ Question du temps d’exercice avant l’entrée en spécialisation : nécessité pour les IADE d’affiner les connaissances, les pratiques…. Position FHF : accès direct proposé pour les spécialités ; différence pour les PA (répondre aux prises en charge complexes) : temps d’expérience préalable + expertise
✓ Interprofessionnalité IADE/IBODE : compétences communes… notamment la recherche
✓ Articulation entre pratique avancée, nouveaux métiers, spécialités : simplification de l’accès à la formation et du temps de formation :
✓ Quelle articulation cadres / professionnels en pratique avancée ?
Nouveaux métiers :
✓ Diplômes utiles aux populations : utilité du métier, adaptation à l’offre de soins ;
✓ Quels nouveaux métiers ? Cumul de compétences avec des parcours diversifiés ? innover avec des temps de formation ciblés ;
✓ Impact financier à prendre en compte pour les établissements de santé
Formation des cadres de santé :
✓ Terme de « manager » plutôt que « cadre de santé » : responsable de proximité, socle de compétences, accessible à tous les métiers de la santé ;
✓ Quelle construction de la formation ? Quels enjeux clés ? Motivation d’équipe, manager une équipe de soins, leadership, expertise quant aux questions relatives aux soins ;
✓ Travail de définition des référentiels de formation pour les cadres de santé : référentiel cadre de 1995, évolution de la formation / évolution du métier/ besoins ;
✓ Exemple Aix Marseille Université : parcours cadre M1/M2 : formation universitaire. Etudiants cadres inscrits systématiquement dans le Master en Santé, enseignements communs, VAP pour l’entrée en formation ;
✓ Articulation à travailler entre écoles professionnelles, masters santé (pouvant être orientés encadrement) et masters en organisation ou en management hors santé ;
✓ Question de la juxtaposition en formation encadrement de proximité / formation : quelle articulation ?
3. Eléments de conclusion synthétiques
✓ Travailler les articulations au sein des filières de formation : articulation « verticale » entre formation socle et formations au-delà de la licence et articulation « horizontale » entre spécialités, masters…
✓ Interprofessionnalité = décloisonnement des formations, mutualisation des enseignements, compétences communes, socle qui rassemble
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✓ Visibilité/lisibilité des formations IPA/Masters/DU/DIU : importance en termes d’attractivité et de construction de parcours
✓ Quelle évolution de la formation des cadres de proximité ?
4. Esquisse de programmation
Réunion du 25 avril 2018 :
✓ Présentation de 3 masters (retour d’expérience documentée) : Paris Diderot / Aix Marseille Université / Limoges + projet bordelais
✓ Cartographie des masters / DU / DIU sur le territoire
✓ Présentation de départements universitaires : Paris Diderot, Aix Marseille et Angers + expérience en nouvelle aquitaine
Réunion du 22 mai 2018 :
✓ Evolution des besoins et de la formation des cadres de santé par rapport au référentiel d’origine pour dresser un cahier des charges de la formation de cadres de proximité
✓ Evolution du système de formation eu égard aux besoins de formation
✓ Quels choix de formation ?
o pour le cadre formateur ? quelle pratique clinique ? quelle voie d’enseignement de la recherche ?
o pour le cadre de proximité ?
✓ Présentation du projet d’Amiens : parcours cadre + enseignements partagés + Présentation du « Master Management »/ Mme Novic
Annexe : liste des participants
Jean MARCHAL (CEEPAME)
Philippe BERBIS (AMU)
Virginie SCHLIER (SNPI-CFE-CGC)
Michel BELLIOT (FHP)
Michel BENZAQUI (FNEHAD)
Anne FAUVAUD (DGESIP A1-4)
Katia MILLY-BECHIKH (CHU Toulouse)
Tristan KLEIN (DGOS)
Abdel AZIZMOUDJED (Ordre infirmier)
Cécile KANITZER (FHF)
Valérie BERGER (CHU Bordeaux)
Pascale BELONI (CHU Limoges)
Isabelle BISUTTI (IFSI Paris St Joseph)
Aline DEQUIDT (AEEIBO)
Anita FOUREAU (CH Robert DEBRE-CHU APHP)
Amanda DUBRAY (CEFIEC)
Erwan HESPEL (SNIA)
Ljiljana JOVIC (ARS)
Martine NOVIC (DUSIF Paris Diderot)
Anthony MASCLE (FAGE)
Sébastien COLSON (AMU)
Béatrice JAMAULT (Instituts formation AMIENS)
Isabelle MONNIER (EHESP)
Michel BOUSSATON (Occitanie + 2 personnes)
Catherine DELAVEAU (CHU Angers)
Céline POULET (CRF)
Florence GIRARD (ANDEP)
Lucie LEON (FNESI)
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Groupe de travail : Formations délivrées au sein des lycées, des IUT ou des CFA
Séance n° 1 du Vendredi 6 Avril 2108
Rapporteur : Béatrice JAMAULT,
Présidente du Comité d’Harmonisation des centres de formation de Manipulateurs d’ERM, coordinateur des écoles et instituts CHU Amiens Picardie
[email protected], 06 72 10 38 70
Compte-rendu synthétique
1. Ordre du jour de la réunion / Objectifs
o Définir le périmètre du groupe de travail et préciser la thématique
o Convenir d’une méthode de travail
o Réaliser un inventaire de l’existant et des attendus ou besoins
2. Points majeurs abordés
• Recensement des formations, régulation, admission
- Voies de formation diverses et hétérogènes pour une même formation (techniciens de laboratoire, diététiciens, opticiens lunetiers…)
- Recensement inégal des étudiants entrant en formation et des diplômés. Importance de connaître avec la même finesse les flux des BTS et DUT et ceux des instituts DE.
- Le déploiement des sections privées hors contrat a amené à une dérégulation quantitative (diététiciens : encadrement des stages, organisation des épreuves, opticiens…).
- Questionner l’exclusivité de l’apprentissage pour les PPH
- Question de l’intégration à Parcoursup pour les filières non Education nationale ou Enseignement supérieur (2019 pour les instituts DE techniciens de laboratoire, depuis 2017 manipulateurs : bilan contributif pour enclencher la suite et faire tache d’encre ?)
• Réingénierie et mutualisation
- Nécessité de reprise des travaux d’ingénierie arrêtés pour actualiser certains référentiels trop anciens (années 1995-2000, 1972 pour les orthoprothésistes)…
- Harmoniser pour une même profession les référentiels et durées de formation, articulations et passerelles (PP Officine &PPH, Techniciens de laboratoire)
- Réingénierie réussie à référentiel unique possible pour deux voies de formation DE / DTS : manipulateurs (gouvernance ? régime scolaire ? conventionnement)
- Continuum des formations à envisager, du baccalauréat jusqu’au master pour certains parcours (filière optique par exemple)
- Prise en compte des « usages » : les années de formation additionnelle après BTS devenue la norme, Bachelor privé (Diététiciens, Opticien lunetier…)
- Les mutualisations par proximité disciplinaire (opticien-orthoptistes-ophtalmologistes), par développement de l’inter-professionnalité (soin, sécurité, prévention, éducation), par optimisation des enseignements académiques (biologie, anatomie, pharmacologie, recherche…), expérimentations locales nombreuses : à documenter
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- Quid de la mutualisation avec des régimes de scolarité différents (alternance, apprentissage…), gestion des temporalités… ?
- Mutualisation et impact de l’ENT, des centres de simulation,
- Mutualisation / massification / efficacité pédagogique /pertinence pédagogique
• Rapprochement universitaire
- Composition des équipes pédagogiques (faible nombre de professionnels présents dans les conseils de perfectionnement ou équipes pédagogiques des sections universitaires)/ Technicité/Clinique/Académique
- Assurance de la professionnalisation, de la formation entre pairs, de la maitrise clinique
- Prise en compte du fort taux d’intention de poursuite d’étude dans certaines formations / attentes des professionnels formés hors université (recherche)
- Expérimentations locales / capacité d’intégration des diverses formations / modalités de l’intégration ou du partenariat / problématique des formations non réingéniées, valorisation et transcription en ECTS
- Question de l’équité de traitement pour les étudiants des formations sous co-tutelle Santé, Agriculture, Enseignement supérieur, Education nationale (droit des étudiants, indemnités de stage)
- Au-delà des référentiels uniques, quel type de relation conventionnelle/intégration établir entre des structures différentes (lycées, DE, CFA) et université ?
- Financement par qui ? Quel niveau ? Rôle de la région hors financement, politique territoriale, régulation ?
- Rôle de régulateur de l’Université dans les tarifications des formations privées hors contrat si harmonisation des parcours et diplômes
- Attribution des diplômes – DRJSCS – Recteur
3. Points de consensus
- Recueillir le positionnement et les intentions des différentes composantes
- Nécessaire harmonisation des modalités de formation, traiter les formes de dispersion excessives
- Structurer les équipes pédagogiques, compétences cliniques, techniques
4. Esquisse de programmation pour la séance suivante faite en réunion
- Elaborer une fiche par filière permettant de collecter des informations : panorama général, flux, durée, diplôme, mutualisation : qui, avec qui ? Définir des socles de base. Les acteurs de chaque filière doivent se concerter pour livrer une seule fiche.
- Quelques sujets devront être traités en priorité :
o les perspectives et les conditions de la réingénierie ;
o l’harmonisation des maquettes malgré la dispersion des organisations ;
o la question des modalités de recrutement lorsque le problème se pose dans la filière considérée ;
o les poursuites d’études ;
o les conditions de la régulation quantitative en regard des besoins de la population ;
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o les expériences d’intégration universitaire.
Liste des participants
Naima Brahimi (CNPTLM)
Delphine Mouturier-Grillot (région Bourgogne Franche-Comté)
Christophe Roman (ONI)
Alexandre Tiraboschi, Elu CCN IUT
Myriam Merlet et Marie-Hélène Grongnet (ANPPH)
Pascal Durand (Monplaisir – Valence)
Fabrice Bertili SNOF (orthopedistes, orthésistes)
Jean-Marc Petit (RENASUP)
(USPO)
Philippe Gaertner (FSPF) (excusé)
Emmanuelle Quemard (CLNCFPPH)
Isabelle Parmentier (diététicien)
Nadia Boudraï (Paris 13)
Eric Lazarides (IUT Aix Marseille optique)
Laurent Gadessaud, directeur de l’IUT de Créteil-Vitry (ADIUT) (excusé)
Anthony Mascle (FAGE)