102
Ce recueil de textes est le fruit du travail de la classe de CM2A de l'école Marcel Pagnol. Chaque groupe d'élèves a produit une histoire qu'il a tapée en salle informatique et corrigée en classe. La syntaxe et l'orthographe sont l’œuvre des élèves. 1

Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

  • Upload
    others

  • View
    4

  • Download
    0

Embed Size (px)

Citation preview

Page 1: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

Ce recueil de textes est le fruit dutravail de la classe de CM2A de l'écoleMarcel Pagnol.

Chaque groupe d'élèves a produitune histoire qu'il a tapée en salleinformatique et corrigée en classe.

La syntaxe et l'orthographe sontl’œuvre des élèves.

1

Page 2: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

SOMMAIRE

La merveilleuse aventure d’Anna, Bouton-d’or etle plus mignon des renardeaux, Nick ….................. p. 5

La fille du manoir ................................................... p. 11

Zombie attack ........................................................... p. 19

Prise d'otage .................................................................. p. 27

Une aventure bien mystérieuse avec Coralie ........... p. 35

Porté disparu ................................................................ p. 45

L'incroyable aventure d'Émilie .................................. p. 53

Le tueur de zombies .................................................... p. 63

L'invasion des zombies ............................................. p. 69

L'installation des possédés ........................................ p. 75

Laurine, Marie et l'attaque des zombies .................. p. 83

Anaïs ......................................................................... p. 91

2

Page 3: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

3

Page 4: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

4

Page 5: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

La merveilleuse aventure d’Anna, Bouton-d’or et

le plus mignon des renardeaux, Nick

Il était une fois une jeune fille qui

vivait dans une cabane dans les arbres. Àl’âge de 5 ans, elle était devenue orphelineet commençait déjà à bien se débrouillertoute seule dans la forêt. Elle avait unerenarde domestique qui chassait pour elleet était son amie. C’était d’ailleurs sa seuleamie. Cette femelle s’appelait Bouton-d’oret son petit se prénommait Nick. La jeunefille adorait jouer avec le petit Nick.

Mais une nuit, Nick fut attiré parune petite lumière dans la forêt.Malheureusement pour lui, c’était deschasseurs de renards. Le pauvre petit étaitmaintenant pris au piège. Il fut emmené àBordeaux sur un énorme cargo. Au petitmatin, quand Anna se réveilla avecBouton-d’or, elles remarquèrent très viteque le petit avait disparu. Elles décidèrentalors de sillonner la forêt à sa recherche.

5

Page 6: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

Anna prit l’initiative de camper etde ne pas retourner à la cabane. Lapremière journée, elles ne le retrouvèrentpas. Les deux filles s'abritèrent dans unarbre creux pour y dormir. Le lendemainmatin, Anna et Bouton-d’or suivirent lapiste des chasseurs jusqu'à la rivière. Il leurétait impossible de la traverser à la nage.Anna demanda alors à la renarde si elleétait d'accord pour utiliser commeembarcation un tronc d'arbre qui allaitpasser sous leur nez. Ainsi, ellespourraient rejoindre la mer. La renardeacquiesça et elles embarquèrent sur larivière.

Le lendemain, quand elles seréveillèrent, les filles regardèrent autourd'elles. Elles ne virent que de l'eau. C’étaitla mer. Bouton-d’or vit au loin un canotvide. Elle sauta dedans dès qu'elle le put etAnna l'imita. Cette dernière trouva desrames et se mit à ramer vers ce qu’ellepensait être le Nord mais qui était en faitl'Est. Heureusement pour elles, c'était labonne direction : la direction vers unenouvelle aventure.

6

Page 7: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

Cela faisait maintenant 26 heuresqu'elles étaient en mer sur leur canot, leursventres gargouillaient. Elles avaient faim.Elles ne savaient plus quoi faire. Ellesétaient en pleine mer et il n'y avait aucuneîle à l'horizon. Anna et Bouton-d’orespéraient qu'une île ne soit pas trop loin.De plus, elles avaient bien remarqué quedans le ciel se préparait une horribletempête.

Pendant ce temps, le renardeauétait toujours enfermé dans cet infectcargo. Il était toujours en mer pour aller àBordeaux. Voyant qu'ils n'y avaient plusde nourriture, les chasseurs de renardsdébarquèrent sur une île proche appelée« L'île aux Bananes ». Des hommessortirent du bateau pour aller chercher desprovisions. Ils commencèrent à ramasserdes fruits, surtout des bananes. Lerenardeau attendit qu'il n'y ait plus de bruitpour s'enfuir. Quand le silence se fit, lafrêle petite bête sauta dans la mer.Malheureusement pour elle, dans laprécipitation, elle avait oublié que sa mèrene lui avait pas encore appris à nager.

7

Page 8: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

Hélas, ce qui devait se produire seproduisit. Il coula et perdit connaissance.

Du côté des filles, tout ne sepassait pas très bien non plus. La mercommençait à s’agiter et le ciel devenaitd’une noirceur inimaginable. La tempêtecommençait. C’était vraiment horrible.Anna entendit un choc contre la coque dela barque. Elle s’exclama :« Bouton-d’or ! Vois-tu ce que je vois ?Un panier de bananes ! »

Elles les mangèrent ets’endormirent le ventre plein malgré latempête. Quand elles s’éveillèrent, latempête faisait rage. Les filless’accrochèrent le plus possible auxextrémités du canot. Au bout d’unmoment, à bout de force, elless’évanouirent. Quand la jeune fille sortitde son sommeil, elle se trouvait dans un litde paille. Il était posé dans une chambreplutôt propre, toute en bois de cèdre.Bouton-d’or était déjà réveillée. Elle setrouvait, elle aussi, dans un lit de paillecôte à celui d’Anna. Elles essayèrent detrouver la sortie mais une silhouette sedressa devant elle. Elle avait une allure

8

Page 9: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

plutôt féminine, des cheveux châtain etétait plutôt grande. Bouton-d’or reconnuttout de suite son petit Nick qui étaitderrière les jambes de cette jeune fille.

Elle s’appelait Émilie, Annademanda ce qu’il s’était passé. Émilieraconta qu’elle avait trouvé Nick sur laplage. Anna remercia la jeune fille et ellesrepartirent avec Nick.

La vie reprit son cours normal oupresque car Anna fonda une associationpour accueillir des animaux. Au bout detrois ans, la fondatrice avait recueilli 150animaux. Vous pensez peut-être que cen’est pas beaucoup mais dans leur forêt, iln’y a pas grand monde.

Noémie G. et Marion

9

Page 10: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

10

Page 11: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

La fille du manoir

Il était une fois une femme quivivait dans un grand manoir. Elle étaitbelle et jeune. Dans ce manoir, il y avaitcinquante-trois chambres d’amis plus deuxchambres, une pour elle et une pour sonchat Séréna. Il y avait une cuisineimmense. Chaque chambre disposait detoilettes et d'une douche. Cette maisonbourgeoise possédait beaucoup de piècessecrètes dont une contenait, d'après unevieille légende, un grand trésor. Son chatavait un pouvoir, celui de tuer despersonnes grâce à ses griffes, car quand ilétait petit, il avait marché dans un produittoxique.

Dans le village, il y avait quatrevoleurs qui voulaient cambrioler lechâteau. Ils étaient tombés sur une vieillecarte du manoir sur laquelle l'emplacementdu trésor était mentionné. Un matin, lesbandits préparèrent un plan. Vers minuit,ils arrivèrent près du grand manoir.Arrivés dans la maison bourgeoise, ilsmarchèrent très doucement quand

11

Page 12: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

soudain, un des bandits s'entrava sur uncanard en plastique. Séréna se réveilla ensursaut et courut vers les voleurs. Lesvoyous eurent très peur et sortirent de lamaison en courant.

Le lendemain, les banditsvoulurent se venger. Ils désiraientassommer Séréna pour pouvoir piller lestrésors de sa demeure sans aucunproblème. A 23 heures précises, lesméchants pénétrèrent dans la maisonbourgeoise. Ils tendirent un piège à Sérénaet l’assommèrent. Alors, ils purent entrerdans la salle des trésors. Ils prirent tout cequ'elle contenait grâce à des chariots desupermarché. Les cambrioleurs sortirentde la maison, très fiers de leur travail.

Le lendemain matin, Mauna seréveilla. Elle était en panique car elle netrouvait pas son chat. Elle chercha partoutet décida d’aller jusqu'au village. La jeunefemme demanda au boulanger :«- Bonjour, avez-vous vu mon chat adoré?- Oui j’ai vu un petit chat passer avec despersonnes bizarres. Ils étaient près dusalon de coiffure..- Merci !»

12

Page 13: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

Elle courut jusqu’au salon decoiffure, y entra et demanda à lacoiffeuse :« - Bonjour Mme Sidère, avez-vous vu unpetit chaton passer par là avec des genslouches ?- J’en ai vu un, hier avec des voyous, lechat n'arrêtait pas de miauler. Ils sedirigeaient vers le château de la princesseSarah, à deux jours de marche du village.- Je vous remercie. À bientôt MmeSidère.»

Elle rentra chez elle pour sepréparer. A ce moment-là, la jeune femmevit une porte de son manoir, qu'elle neconnaissait pas, ouverte. Mauna décida d'yentrer. Elle vit des petites pièces en or parterre et comprit que le trésor du châteauavait été volé. Elle prit un sac à dos et leremplit de nourriture et d'habits. La jeunefemme se chargea également d'une tenteau cas où elle doive se reposer. La bellefemme marcha pendant des heures etdécida de faire une pause. Pendant qu'ellese reposait, une vieille dame apparutdevant elle et lui demanda :

13

Page 14: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

«- Avez-vous un peu de nourriture etd'eau, s'il vous plaît mademoiselle ?- Oui. Je vais vous en donner tout desuite.- Merci beaucoup petite.»Mauna pris un sandwich et une bouteilled'eau et les donna à la dame. Une fois lapause terminée, la jeune femme reprit sonchemin. Un peu plus tard, alors que lesoleil venait de se coucher, elle décida des’arrêter et installa sa tente près d'uneforêt. Une fois la tente installée, Mauna secoucha et s'endormit profondément. Lelendemain matin, vers neuf heures, lafemme mangea un bout de pain, rangea satente et partit.

Celle-ci s’arrêta à quatorze pourmanger. Elle décida de faire une sieste. Unécureuil profita de son sommeil pour luivoler son sandwich du lendemain. Lelendemain matin, elle reprit son chemin etremarqua qu'elle n'avait plus rien àmanger. Elle marcha et trouva le châteaude la princesse. Arrivée devant la porte,elle frappa. La princesse interrogea :«- Oui ?- Bonjour. Avez-vous vu un chaton blanc

14

Page 15: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

aux yeux bleus votre altesse? - Oui, pourquoi?- Parce que j'ai perdu mon chaton et aidemandé à tout le monde où ils setrouvait. Une personne m'a dit qu'il étaitpeut-être chez vous. Pouvez-vous me lemontrer pour voir si c'est vraiment lui ?- Je vais vous le montrer tout de suite.Est-ce votre petit chat ?- Oui ! C'est celui-là !- Très bien, je vous le rends.- Je vous remercie ! Ça ne vousdérangerait pas de m'aider à retrouvermon trésor ? Je suis sûre que vous pouvezm'aider.- Oui, pourquoi pas. Revenez me chercherdemain à l'aube. - Mais il y a un problème, je n'ai plus denourriture et d'eau.- Bah... Entrez ! N’hésitez pas, il me restedu couscous et du poulet.- Ah merci, c'est gentil. J'adore ça !- Ça me fait plaisir de vous recevoir. J'airarement de la visite.»

Une fois le repas terminé, elledemanda à la jeune princesse si ellepouvait rester dormir dans le palais car elle

15

Page 16: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

habitait assez loin. La princesse futd'accord et lui proposa une chambre.Mauna la remercia et alla se coucherimmédiatement.

A l'aube, la fille, son chat et Sarahse levèrent comme prévue. Elles sortirentdu château. Les jeunes femmesmarchèrent, marchèrent et marchèrentquand soudain Mauna vit une grotte.Celle-ci décida d'aller jeter un coup d’œilprès de cette grotte. La princesse la suivit.Dans la grotte, elle virent le trésor deMauna. Elles coururent vers le trésorquand soudain, un filet fit prisonnièreMauna. Alors, les voleurs apparurent.Séréna n'avait pas était prise dans le piège.Elle se cacha et attendit que les banditspartent. Ils rigolèrent en voyant leurprisonnière et décidèrent de la laisser là.Une fois les bandits partis, le petit chatonsortit ses griffes et sauta pour essayerd'atteindre le filet. Mauna réussit àdétacher les cordes du piège. Lesdemoiselles purent alors sortir. Une foisdehors, elles se demandèrent commentrécupérer toutes les pièces. Sarah vitquelques chariots. Alors, elle se dit qu'elles

16

Page 17: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

pouvaient les utiliser. Mauna et Sarahprirent tous les chariots et les remplirentde pièces et de joyaux. Elles partirent viteavant que les méchants ne reviennent.

Mauna raccompagna la jeune etbelle princesse dans sa demeure. A laporte du palais, elles se dirent au revoir etse firent le serment de rester amies pourtoujours. Mauna du rentrer chez elle, maisavant, elle alla au commissariat pourporter plainte contre les voleurs.

Quelques semaines plus tard, lesvoyous furent arrêtés. Quand à Mauna,son trésor resta bien caché. La jeunefemme alla voir tous les mois son amieSarah. Les voleurs, eux, restèrent enprison pour toujours sauf ceux quiparvinrent à changer. Les deux amiesvécurent heureuses et n'eurent plus jamaisde soucis.

Fin

Inès, Jasmine et Camilia

17

Page 18: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

18

Page 19: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

Zombie attack

Il était une fois deux scientifiquesAnès et Julien, qui faisaient une expérienceen pleine nuit. L'expérimentation nemarcha pas. Une lumière verte arriva et ilsse transformèrent en zombies. Ils semirent à courir très très loin dans la forêtoù ils trouvèrent une maison. Dans lamaison, il y avait cinq pièces : un salon,deux chambres, un garage et une cuisine.La maison était assez neuve. Les deuxzombies volèrent des vêtements, desmeubles et tuèrent les humains quihabitaient là. Rapidement, ils comprirentque le jour, ils étaient humain et la nuit, ilsse transformaient.

Quelques jours après, Anès etJulien s’engagèrent dans l’armée de terrepour s’entraîner à tuer les chasseurs dezombies et les humains.

Cinq ans plus tard, ils quittèrentl’armée pour envahir Lyon. Les deuxzombies avaient préparé leur couppendant deux ans.

19

Page 20: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

« - C’est bon. on arrive à Lyon à 20 h,expliqua Julien.- Tu as raison. Arrrrrrrrrrr ! cria Anès, ons'est transformé en zombies !!!- Viens ! On va transformer le fils duministre et d’autres humains ! - Oui, tu as raison ! »

Avant de transformer le fils duministre, ils allèrent dans un hôtel deuxétoiles qui se situait juste en face de lamaison du ministre. La nuit arriva. Ilsentrèrent dans un magasin d'armes etvolèrent deux pistolets pour tuer lesgardes de la maison. Anès et Julien tuèrentles gardes de la maison puis, ilstransformèrent le fils du ministre. Après,ils retournèrent à l’hôtel.

Les jours suivants, les troiszombies quittèrent l'hôtel ettransformèrent plusieurs centaines depersonnes.

Le 6 juin 2050 arriva. C'était lejour des attaques à Lyon. Les 300 zombiesenvahirent Lyon mais il y avait dans cetteville trois ennemis très forts : un chasseurà l’arc et deux chasseurs de primes

20

Page 21: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

professionnels. Il était 22h30 quandcommencèrent les attaques. Le tireur àl’arc tua à lui seul environ 150 zombies,comme les deux chasseurs de primes.Heureusement, Anès et Juliens’échappèrent sur une pénicheabandonnée. Au bout de quelques jours,ils échouèrent sur une île inconnue.

Deux ans plus tard, ils partirentvers New-York. Anès était très fatigué. Ilvit un homme voulut lui manger lacervelle mais un chasseur de prime vintvers lui. Il s'échappa de justesse avec sonami. Ils prirent leur voiture et rentrèrentdans un appartement qu'ils avaient loué.Anès alla se coucher et Julien se mit surl’ordinateur pour chercher une ville àenvahir. Quand Anès se réveilla, en pleinenuit, il avait très faim : il dit à Julien de luiprêter les clefs de la voiture pour mangerdes cervelles d’hommes. Anès et Julienpréparèrent leur plan d’attaque. Une foisle plan terminé, ils allèrent tuer des gensqui étaient dans leur immeuble. Dès qu’ilseurent fini, ils rentrèrent chez eux :« - Viens sur l’ordinateur, j’ai trouvé uneville ! s'exclama Julien.

21

Page 22: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

- Ok ! Ahhhh ! Tu veux envahir Madrid ?- Oui ! Maintenant, je vais dormir. »Les deux zombies allèrent se coucher.

Le lendemain, ils prirent l'avion ettrouvèrent un hôtel. Dès la nuit venue, ilstransformèrent tout l'hôtel en zombies. Le8 juillet, l'attaque commença. Ils posèrentune bombe au centre de Madrid et toutexplosa. Un chasseur à l'arc, nomméBowman, les attaqua. Les monstresblessèrent le chasseur à l'arc qui saignabeaucoup. Il ne faisait pas beau du tout : ilpleuvait, il y avait du vent. L'attaque étaitlongue et Julien et Anès fatiguaient. Ilsprirent des pistolets sur des policiersmorts et tuèrent beaucoup de monde : «- Il faut rentrer ! dit Julien.- Pourquoi ? s'interrogea Anès.- Parce que si on ne rentre pas, on vamourir ! cria Julien.- Ok . Pfffff….. », râla Anès.

Ils fuirent à New-York. Quelques joursplus tard, les deux bêtes virent une affiched'eux. Anès s'inquiéta beaucoup en voyantdes policiers. Les agents coururent après

22

Page 23: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

les deux zombies car il les avaient vus. Lesdeux monstres prirent des couteaux,tuèrent les 6 policiers puis rentrèrent dansleur maison. Le lendemain, Julien alla denouveau au supermarché pour enleverl'affiche. Le monstre avait un pistolet pourse défendre si quelque chose arrivait. Aumagasin, il y avait des écrans publicitaireset Julien entendit ce qu'ils disaient : « - On vous propose de gagner deuxbillets d'avion pour Pékin !- Ah ! Si on gagne on pourra avoir deuxbillets je vais m'inscrire...pensa la bête.- Pour vous inscrire, il faut se rendre à lacaisse principale de votre magasin ! » Julien alla arracher l'affiche sans problèmepuis il se dirigea vers une caissière.

Deux semaines plus tard, Juliengagna les deux billets et ils partirent pourPékin. Dans l'avion, il commencèrent parréserver un hôtel. Puis, ils arrivèrent àPékin. Dans leur chambre, Anès et Julienenrageait : ils voulaient tuer tout le monde.Ils avaient peur mais ils attaquèrent quandmême. Quand la bataille commença, ilsétaient au milieu de pleins de gens à

23

Page 24: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

transformer. Les deux monstres hésitaiententre tuer ou transformer les personnes : « - Moi, je veux en transformer unecinquantaine et après tuer tous les autres !lança Julien à son ami.- NON ! Moi je veux tous les tuer !!! »

Il y eut une grosse dispute mais Julienarriva à expliquer à Anès que ce serait trèsdur de les transformer parce qu'il y avaitdes policiers. Alors, les deux monstresrentrèrent dans un cinéma où il y avaitbeaucoup de personnes. Cette fois, lesconditions étaient parfaites. Ils tuèrenttout le monde sauf un enfant : « - Ne me faites pas de mal ! Je ne veuxpas mourir ! cria l'enfant.- On ne va rien te faire ! On ne tue pas lesenfants ! mentit Julien.- Si ! Moi je veux le tuer ! cria Anès. - Calme-toi et arrête de déborder ! affirmaJulien. Anès prit son pistolet et menaça Julien etl'enfant.- Arrête ! Tu ne vas pas nous tuer ?- Désolé... Je me suis emporté...- Attention ! Il y a la police ! Cours vite ! »

24

Page 25: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

Les deux bêtes s'échappèrent et l'enfantalla vers la police. Les recherches despoliciers durèrent 2 semaines mais lesdeux hommes réussirent à rentrer à New-York. Julien en avait marre de cette vie etvoulait maintenant redevenir humain.« - Est-ce que tu veux redevenir humaintoi aussi ? demanda Julien.- Non ! Pourquoi ? Toi, tu le veux ?- Parce que j'en ai assez de tuer tout lemonde !- Tu es sûr ?- Oui ! Et toi ?- Si tu veux, je te suis… soupira Anès ».

Les deux zombies retournèrentdans leur laboratoire où ils avaientdissimulés plusieurs antidotes. Il manquaitdeux de leurs fioles mais il en restaitlargement assez. Ils burent deux antidoteset se transformèrent à nouveau enhumains, pour toujours. Ils vécurent bienet n'eurent aucun enfant...

FIN

Yassine et Jefferson

25

Page 26: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

26

Page 27: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

Prise d'otage

Il était une fois une jeuneprincesse qui s’appelait Sarah. Elle vivaitdans un palais gigantesque car elle étaitriche.

Un jour, alors qu'elle dormaitdevant la télé, un cambrioleur réussit àentrer dans le palais. Comme la princessedormait le voleur avait le champ libre pourlui voler des objets. Cependant, le malfratfaisant trop de bruit, elle se réveilla ethurla en voyant un intrus. Tous ses gardesdu corps rentrèrent précipitamment dansle palais car ils s’inquiétaient des cris de laprincesse. Avant qu'ils n'arrivent, le voyous’enfuit, emmenant avec lui la princesse.Les gardes du corps, ne voyant pas laprincesse, partirent à sa recherche. Hélas,le voyou s'était réfugié sur une île.

Le lendemain, le malfaiteur partit àla pêche pour nourrir la princesse. Quandil lui apporta son plat, elle comprit qu'ilétait empoisonné. En effet, pour le voyou,la princesse était juste une ennemie car ildétestait les riches. En plus, il ne devait

27

Page 28: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

pas rester plus de trois jours sur cette îles'il ne voulait pas que les gardes lesretrouvent. Sarah ne mangea pas et essayade sortir de la cabane où elle étaitenfermée. Hélas, le bandit la rattrapa etl’amena sur une autre île.

Partis à sa recherche, les gardestrouvèrent une petite maison et décidèrentde la fouiller. Ils découvrirent une boîte etdécidèrent de l’ouvrir. Dedans, il y avaitun chat. Le trouvant mignon, ils leramassèrent et reprirent leur recherche.Alors, ils aperçurent des empreintes dechevaux et les suivirent croyant que c'étaitune piste.

De son coté, le voleur, inquiet etne sachant plus quoi faire, fit semblantd’aimer la princesse. Mais celle-ci y voyaitclair dans son jeu et décida de lui tendreun piège. Elle lui proposa de rentrer aupalais car elle commençait à tomberamoureuse de lui. Il accepta. Le banditétait soulagé. Il voulait l’épouser, profiterde sa richesse et ensuite la trahir.

Une fois arrivés au palais, il luidemanda :« - Veux-tu m’épouser ?

28

Page 29: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

- Non je ne veux pas !- Pourquoi ?- Parce que j'ai compris ton plan. »

Dans sa tête, le malfrat se dit queson plan avait bel et bien échoué et il luiavoua la vérité :« - Oui, c’était un piège et tu y as échappé.Tu n'es pas aussi naïve que je le pensais. »

A ce moment, les gardes entrèrentdans la salle et attrapèrent le voyou parsurprise.Il dit :« - On se reverra ! »Mais ce qu'il ne savait pas, c’est qu’ilresterait toute sa vie en prison. Sarah restasereine après tout ce qu’il venait de sepasser. Elle était fière que son plan aitmarché. Deux jours plus tard, ses gardeslui offrirent le chat qu’ils avaient trouvédans la cabane. La princesse sauta de joie.Elle s’en occupa très bien sans savoir qu’ilavait un pouvoir hors du commun. Ellel’appela Séréna car elle trouvait ce prénomtrès joli.

Le lendemain, elle s'inquiétait carelle pensait que le voyou l’espionnait.Mais, les gardes du corps lui disaient qu'il

29

Page 30: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

n'y avait rien à craindre car ils seraienttoujours là pour elle.

À la nuit tombée, Sarah alla secoucher et, juste au moment où elles'endormait, la jeune fille entendit un grosbruit. Elle eut peur et cria. Les gardes ducorps accoururent. Elle leur dit qu'elleavait entendu des « boums ». Les gardesdu corps lui assurèrent qu'il n'y avaitpersonne. Durant cette nuit, elle fit troisfois le même rêve : elle croyait que levoleur était avec elle. Pour ne pluss’inquiéter les gardes du corps lui direntd'aller voir le voyou en prison. Quand ellearriva, elle vit que le voyou n'était plus là.Il s'était échappé.

Le lendemain matin, elle entenditle téléphone sonner. L’adolescente courutrépondre :« - Allô ?- Vous êtes bien Sarah ?- Oui c’est bien moi.- Je vous conseille de surveiller votrechat... » et la personne raccrocha.Elle eut très peur. À partir de cet instant,Sarah faisait des crises d’angoissesrégulièrement. Les gardes trouvaient la

30

Page 31: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

princesse très étrange. Elle en oubliait sonchat qui commençait à avoir faim et soifcar personne ne s’en occupait.

Un soir, la jeune fille, fatiguée,s’endormit dans le canapé et le banditentra dans le palais. Il aperçut tout de suitele chat et le prit. Il rentra chez lui dans sontrès bel appartement, au premier étage. Lechat s’énerva et griffa le voleur qui tombaimmédiatement. Séréna prit la fuite. Avecson flair, il réussit à retrouver le cheminmenant à Sarah.

Celle-ci se réveilla en douceur etn'entendit plus jamais parler du bandit carcelui-ci était mort. La jeune fille apprit lanouvelle par la presse. Sarah était à la foistriste et contente. Elle se posait un millionde questions : comment ? Pourquoi est-ilmort ?

Elle décida de mener sa propreenquête. Elle prit son bloc-note et essayade trouver l’appartement où habitait levoleur. La princesse voulait tout fairetoute seule. La jeune fille amena son chatavec elle car elle tenait beaucoup à lui.Quand elle trouva l’appartement dumalfrat, l’animal eut une réaction très

31

Page 32: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

étonnante mais Sarah le força à entrer. Lechat courut et sauta par la fenêtre. Elle dutrentrer chez elle et retrouva Séréna.

Très tôt le matin, elle entenditfrapper à la porte, ouvrit la porte et dit :«- Oui ?- Bonjour. Avez-vous vu un chaton blanc aux yeux bleus votre altesse?, lui demandaune jeune fille du nom de Mauna. - Oui, pourquoi?- Parce que j'ai perdu mon chaton et aidemandé à tout le monde où ils setrouvait. Une personne m'a dit qu'il étaitpeut-être chez vous. Pouvez-vous me lemontrer pour voir si c'est vraiment lui ?- Je vais vous le montrer tout de suite.Est-ce votre petit chat ?- Oui ! c'est celui-là !- Très bien, je vous le rends.- Je vous remercie ! Ça ne vousdérangerait pas de m'aider à trouver montrésor ? » Sarah accepta. Leur conversation continuaencore quelques heures puis elles allèrentdormir. Le lendemain, elle l'accompagna.Alors, ensemble, elles trouvèrent malgréquelques difficultés le trésor de Mauna. A

32

Page 33: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

partir de ce jour-là, elles devinrent lesmeilleures amies du monde.

FIN

Taouba et Morjiane

33

Page 34: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

34

Page 35: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

Une aventure bien mystérieuse avec Coralie

Il était une fois, une fermière de 16 ans quivivait dans un petit village en Amérique.Elle avait une maison en bois dont le toitétait en paille. Toutes les maisons avaientété construites par les habitants eux-mêmes. Le bois venait des troncs desnoyers et avaient une couleur marronfoncé. Toutes les maisons des habitantsdu village étaient construites pareilles.Elles étaient très lumineuses à l’intérieur.

Le village était gouverné par unbandit sévère sur le travail et les impôts.Par jour, et avec plaisir, il pouvait tuerdeux ou trois personnes du village s’ils netravaillaient pas assez. Les villageoistravaillaient donc jour et nuit. Cegouverneur avait employé d’autres amisbandits qui n'hésitaient pas à brûler lesmaisons et détruire les potagers pourpunir les paysans. Ils voulaient les rendreencore plus pauvres en détruisant tout.

Coralie essaya de s’enfuir endemandant l'aide des gardes. Mais, ilsétaient embauchés pour voir qui voulait

35

Page 36: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

s’enfuir. Ils capturèrent donc la jeune filleet la mirent dans un cachot. Lesprisonniers n’avaient pas à manger.Heureusement, Coralie avait une barrettequi pouvait ouvrir toutes les serrures.C’était un cadeau de son grand-père.

Pendant la nuit, elle s'échappa etprit la fuite avec le bateau du bandit. Ellepartit très loin mais le bateau coula aprèsavoir heurté un rocher. Courageusement,Coralie prit une planche de son bateau etrama avec sa main jusqu'au rivage.

Elle avait voyagé de son villagejusqu’en France. Elle arriva à Bordeauxmais il y avait des gens qui voulaient latuer car elle était étrangère. Elle cherchaun magasin pour s’acheter de nouveauxhabits avec l'argent qu'elle avait trouvédans le bateau. Elle s'acheta une belle robeet alla à Marseille.

Le bandit de son village lança unavis de recherche dans plusieurs pays. Unjour, il appela la police de la ville deMarseille. Il demanda s’ils avaient vu unejeune fille et la décrivit :«- Est-ce que vous avez vu une fermièreavec des cheveux noirs, des yeux bleus

36

Page 37: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

comme le ciel, des lèvres assez fines et unebarrette en forme d’étoile ? Elle a à peuprès 16 ans et elle s’appelle Coralie. »A ce moment-là, le bandit envoya unephoto d’elle.« - Non ! Mais on va essayer de laretrouver », répondit un policier.

Cinq espions du gouverneur deMarseille l'avaient aperçue dans une rue duquartier du Panier. Les policiers de la villeavaient questionné plein de jeunes fillesmais ils n’arrivaient toujours pas à laretrouver.

Un jour, alors qu'ils allaientattraper Coralie, un portail s’ouvrit devantla fermière et elle se fit aspirer à l'intérieur.C'était un portail de téléportation vers unmonde parallèle. Elle arriva dans la mêmeville de Marseille, à la même époque, maistoutes les technologies étaient plusdéveloppées. Plein de robots et depersonnes humaines se baladaient. Toutd’un coup, trois petits robots très gentilsallèrent voir la jeune fille comme s’ils laconnaissaient déjà. Le premier robots’exclama :« - Coralie, venez avec nous ! Vite !

37

Page 38: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

- Comment savez-vous mon nom ?demanda la jeune fermière.- C’est une longue histoire ! Allez !Venez ! » s’écria le deuxième robot.Les robots emmenèrent Coralie très loinde Marseille, à Chicago dans une grotte. Aleur arrivée, ils virent deux hommes entrain de se faire agresser par des possédés.Une fois les possédés tués, les hommess’exclamèrent :« - Suivez-nous, on va vous aider ! »Ces deux hommes connaissaient déjà lajeune fille. Il y avait Paul, un scientifiquequi avait fabriqué les trois robots. Paul etson ami l’emmenèrent dans leurlaboratoire et lui donnèrent une sorte denotice étrange. Ils ajoutèrent que cedocument était très important et qu'ilfallait qu'elle le garde. Alors, ils coururentjusqu'à une grotte. Elle essaya de les suivremais elle les perdit. Alors, elle vit unejeune fille et lui demanda conseil :« - Bonjour, je suis perdue, pouvez-vousm’aider ? lui chuchota-t-elle.-Oh ! Vous avez l’air gelée. Venez chezmoi, je vais vous réchauffer. » lui répondit

38

Page 39: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

la jeune fille étonnée de la voir ici en pleinhiver.

Cette jeune étudiante s’appelaitJustine et venait de Polynésie-Française.Elle avait déménagé à Chicago pour sesétudes. Arrivée dans sa maison, Justine luiposa plein de questions. Coralie luiraconta toute son aventure et Justine luidemanda si elle pouvait l'accompagner.Celle-ci accepta. Coralie était ravie queJustine veuille l'aider. Justine lui montra ladirection à suivre pour rentrer dans sonvillage.

Quand elles arrivèrent dans levillage de Coralie, Justine confondit lebandit avec un simple villageois carCoralie ne lui avait pas montré de photode lui. Elle lui demanda où se trouvait lechef. Mais celui-ci lui mentit et luiexpliqua que le bandit était parti. QuandJustine alla visiter le village, le bandits'approcha de Coralie et lui dit :«- Si tu ne me dénonces pas, je vous laissela vie sauve et je vous rendrai toute lasomme d'argent que je vous ai pris.- D’accord mais vous devez tenir votrepromesse. », lui répondit Coralie.

39

Page 40: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

La jeune fille alla voir Justine pourlui dire la vérité. Célia, la meilleur amie deCoralie, courut voir Coralie pour lui direque le bandit lui avait menti car jamais ilne les laisserait tranquille. La jeunefermière la rassura en lui disant qu’elle lesavait déjà. Quand le soleil se coucha, tousles villageois retournèrent chez eux.Coralie invita Justine et Célia pour faireune soirée pyjama. Pendant la nuit, le bandit désespéré se tua.Le lendemain matin, Justine dut rentrer àChicago car c’était la fin des vacances.Célia était triste qu’elle ne reste pas pluslongtemps. Le père de Coralie l’emmena àl’aéroport le plus proche. Pendant cetemps-là, le village devait continuer àtravailler. Un jeune homme remarqua quele bandit était absent. Coralie partit à sarecherche et avec sa barrette, elle réussit àentrer dans la maison du bandit. Enarrivant dans sa chambre, elle le vit avecun couteau planté dans le cœur. Elleavança doucement vers lui et trouva unelettre. Elle se précipita pour l’ouvrir :

40

Page 41: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

Cher Coralie, j’étais certain que turemarquerais mon absence et que tu viendrais mechercher. Je n’arrivais pas à tenir ma promesse etje ne voulais pas vous décevoir.

Coralie sortit et montra la lettre àtous les villageois. Quand le soir arriva, ilsfirent une immense fête.

Tout d'un coup, un hommemystérieux arriva. Célia dit à Coralie quec'était le frère du bandit et qu'il avait déjàfait 5 ans de prison pour avoir organiséun cambriolage. Les villageois étaientterrifiés. Le frère du bandit, Baptiste,décida d'enterrer son frère et de prendresa place sur le trône.

Trois ans plus tard, Baptistegouvernait toujours le village. Il étaitmoins méchant que son frère.

Un jour, tout était silencieux. Il yavait de la brume partout. Alors queCoralie et Célia travaillaient au village, ellesaperçurent un homme à l'air suspect etl'arrêtèrent. Il leur avoua qu'il habitaitaussi un petit village très pauvre, àproximité du leur. Le chef de son villagel'avait envoyé pour voler de l'argent car

41

Page 42: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

c'était le meilleur voleur de son village.Coralie était étonnée qu'il y est un villageprès du sien. Le jeune homme s'excusa desa méchanceté et rentra chez lui.

Plus tard, Baptiste leur demandade finir un travail avant la nuit. Ellesauraient en échange une journée de reposle lendemain. Mais cette nuit-là, il se passaquelque chose de bizarre : un portail bleuidentique à celui qui était à Marseilles'alluma dans le village. De nombreuxrobots arrivèrent par le portail et sepromenèrent dans le village. Les villageoiss'affolaient et couraient dans tous les sens.Coralie essaya d'aller vers le portail pourcomprendre ce qui se passait. Hélas, unrobot la frappa et elle tomba inconsciente.Célia comprit que la notice donnée par lesscientifiques devait avoir un rapport avecce portail étrange. Elle la lut et aprèsplusieurs heures de travail, elle réussit àfaire fonctionner le portail. Alors tous lesrobots furent aspirés dans le portail.

Comme presque tous les villageoisétaient inconscients, Baptiste fabriqua unepotion pour les soigner. Coralie se réveilladoucement mais elle ne se souvenait de

42

Page 43: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

rien. Tous les villageois virent Céliadebout et ils la questionnèrent. Céliadevint l’héroïne du village ainsi queCoralie qui avait ramené la notice duportail. Coralie et Célia devinrent despersonnes célèbres dans leur village.Voyant cela, Baptiste s'excusa et il décidade laisser sa place sur le trône aux deuxjeunes filles. Mais Coralie et Célia n'envoulurent pas car elles ne voulaient plusde chef. Ils vécurent alors tous ensemble,libres et heureux.

Théana et Emma

43

Page 44: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

44

Page 45: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

Porté disparu

Il était une fois un homme qui vivait dansune forêt. Il s'appelait Docteur Buie.Docteur Buie habitait dans un grandchâteau. Il était très riche.Dans la forêt du Docteur, il avaitbeaucoup de randonneurs. Mais hélas, elleétait très polluée. Les animaux et les arbresde la forêt étaient très malades. De plus,un voleur s'était spécialisé dansl’enlèvement de personnes. Ce voleurs’appelait Vernan Drupint. Il était trèsdiscret. Il possédait une chambre pour secacher. Le Docteur Buie ne savait pas qu’ily avait un ravisseur dans sa forêt.

Un soir, il entendit des bruits dansle couloir, c’était Vernan Drupint. Celui-cil’assomma et l’amena dans une desvoitures du Docteur Buie. Il se réveilladans un lit situé dans une salle de torture :« - Que me voulez- vous ? dit le DocteurBuie.- Une rançon, répondit Vernan Drupint.

45

Page 46: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

Buie pensa alors que son cousin, leDocteur Tyri pourrait l’aider car c’était unespion qui vivait à Hawaï et se faisaitpasser pour un acteur de cinéma.- D’accord, appelle donc mon cousin, leDocteur Tyri.- Haaa.... Quel est son numéro ?- C'est le 229 228 007.- Ok, j’appellerai ce soi-disant cousin etj'espère que ce n'est pas une blague. »

Dans la maison de Docteur Tyri,le téléphone sonna.« - Allô, qui est-ce ?- Celui qui a enlevé votre cousin, leDocteur Buie.- Que lui voulez-vous ?- Je veux une rançon de 9 000 000 €.- Rrr... D’accord. »

Au fond de lui, le Docteur Tyrisavait qu'il n’allait pas donner la rançon etqu’il libérerait plutôt son cousin.

Le lendemain matin, le DocteurTyri mit son costume d’espion et alla àl’aéroport prendre son jet privé. Juste aumoment ou il rentrait dans le jet, son

46

Page 47: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

téléphone sonna. Docteur Tyri sut quec’était le ravisseur et répondit :« - Allô, je parie que vous êtes celui qui aenlevé mon cousin.- C’est exact.- Où doit-on se retrouver ?- La rencontre sera : avenue les troismousquetaires, à 19h30.- D’accord.- Je te préviens, pas besoin d’appeler lapolice. De toute façon, j’ai desmercenaires armés avec moi et tu nepourrais pas m'échapper. »

Docteur Tyri loua dans un garageune mobylette très discrète et partit. Ilarriva au point de rencontre bien avantl'heure. Il aperçut un tuyau d’aération et yrentra. Une fois bien placé, il prit unBC821 (une carte en 3D). L'espion repéral'endroit où était retenu son cousin. Il yavait des gardes. Il prit son a.k4 (un petitrobot avec des yeux lasers) et l'utilisa. Dessoldats arrivèrent avec deux mitrailleuses.Avec ses deux yeux lasers, le robotdétruisit les mitrailleuses en tirant dans labouche des canons. Trois autres

47

Page 48: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

mercenaires arrivèrent. Il y avait ungrenadier (homme armé de grenades etd'un couteau) et deux hommes armés dechunk-gunks (armes hybrides entre lepistolet et le couteau). Le a.k4 ne trouvaitpas de solution. Alors, L'espion lança desgrenades paralysantes et tous les soldattombèrent les yeux fermés. Le DocteurTyri attendit quelques minutes et sortit deson conduit. Il prit son petit robot etrentra dans la salle où était enfermé soncousin. Il donna l'ordre à son a.k4 de lecouvrir et à l'aide d'un petit stylo-laser, ilbrisa les menottes :« - Enfin. je t’attendais ?!- On n'a pas le temps de parler !!! »Docteur Tyri porta son cousin et se laissaguider par son a.k4. Ils sortirent etcroisèrent Vernan Drupint qui dit :« - Tu as libéré ton cousin. Bien joué !Mais maintenant, tu vas en payer le prix ! »Vernan Drupint sortit un petit robotexactement comme le a.k4 mais en plusévolué.- Mon a.kkm est bien plus puissant queton vieux modèle de robot ! »

48

Page 49: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

A ce moment-là, le Docteur Tyriajouta un module que seuls les espionspossédaient au a.k4. D'un coup de rayonlaser, le a.k4 de l'espion fut touché. Maisson nouveau module le réparaimmédiatement. Alors, il lança à son tourun mini-missile qui vint se coller sur lerobot de Vernan. Trois secondes après,celui-ci explosa et détruisit le robot.« - Co-co-comment as-tu fait ?- C'est toujours la justice qui gagne. »Le ravisseur s'enfuit à toute allure.

A ce moment, la police arriva etinspecta toute la zone. Elle trouva les deuxcousins.

Toute la famille du Docteur fêta leretour de Buie à Hawaï en organisant unebelle fête.

Deux mois après, le bandit se fitarrêter et alla en prison. L'espion, lui, reçutla médaille du meilleur espion de l'année.L'homme riche créa une associationcontre la pollution pour protéger lesanimaux de la forêt. Dans sa prison, levoleur n'arrêtait pas de répéter la mêmephrase :

49

Page 50: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

-Vous me le paierez tous...

FIN

Benoît et Loïc

50

Page 51: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

51

Page 52: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

52

Page 53: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

L’incroyable aventure d’Émilie

Il était une fois une jeune fille qui vivaitdans une petite et vielle maison à la l’oréede la Forêt Noire, en France. Elle avaitfuit les hommes depuis déjà 10 ans car elleétait recherchée. A cette époque, elle vivaitdans un orphelinat lorsque ses parentsfurent tués par leurs ennemis. Cesennemies recherchaient maintenant leurpetite fille. Elle n’avait pas vu d’hommedepuis dix ans et en avait un peu peur.

Sa petite et vielle maison étaitgardée par trois loups. Le premier avait lepoil blanc. Il adorait les câlins. Ledeuxième avait le poil noir était ledominant des trois loups et le troisièmeavait un comportement assez bizarre. Elleallait chasser presque tous les jours avecun arc de grande précision. Une de sespassions était de lire les lettres de sesparents. Elle les avait déjà lues denombreuses fois. Elle adorait aussi coudredes habits.

53

Page 54: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

Un jour, elle lisait tranquillementune lettre de ses parents qui lui tenaitvraiment à cœur :

Chère Émilie,

Nous t’avons laissée dans cetteorphelinat car nous étions en danger et on nepouvait pas te garder plus longtemps. On avaitpeur de te perdre. Désolé.

Sache que ce n’est pas de ta faute.Tes parents

destinée à Émilie

Soudain, elle entendit de drôles debruits. Elle prit son arc, s’approchadoucement du bruit et entra dans la ForêtNoire. Alors, elle vit un ours se battre avecun de ses loups. Elle visa puis elle tira. Laflèche frôla le loup et atteint le buste del’ours. Celui-ci s’enfuit dans la forêt. Leloup partit car il était blessé. Elle essaya dele rattraper mais elle n’arrivait pas àl’atteindre car il était trop rapide.Découragée, elle rentra chez elle. Le loup

54

Page 55: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

revint le soir avec une louve et un humainqui avait été élevé par cette louve. L’homme entra dans la maison la faim auventre. La jeune fille eut un peu peur maiselle trouva le jeune garçon très beau.L’homme lui demanda du poisson maismalheureusement Émilie n’en n’avaitplus :« - Allons en chercher », lui réponditÉmilie.Ils étaient à la plage quand elle luidemanda son prénom :« - Au fait, comment tu t’appelles ?- Je m’appelle Thomas. »

Une heure plus tard, alors qu'ilsn’avaient toujours pas pêché de poisson,ils virent un renardeau dans l’eau. Émiliecourut vers lui pour le prendre dans sesbras. Elle toucha son pouls et sentit qu’ilétait vivant. Le ciel devenait gris. Il allait yavoir une tempête violente. Ils rentrèrentaussitôt à la maison. Elle mit ses mainsfraîches sur le ventre de l’animal qui seréveilla en sursautant.

Après la tempête, Émilie etThomas retournèrent à la plage parce

55

Page 56: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

qu’ils pensaient que la maman durenardeau serait là. Tout à coup, ils virentau loin une personne et un renard. Ilsétaient allongés sur le sable. Émilie etThomas coururent les voir. Émilie sentitun frottement sur sa jambe. Elle baissa latête et vit le renardeau qui aurait dû êtrenormalement à la maison. Le renardeautrottina vers la fille et la renarde pour leslécher mais elles ne sentirent rien.

Émilie et Thomas portèrent lesnaufragés pour les ramener dans la maisond'Émilie. Ils les posèrent sur des lits depaille. Ils allèrent à la cuisine et quelquesminutes plus tard, ils entendirent du bruit. La petite boule de poils eut peur etalla se cacher derrière les jambes de lajeune fille. La renarde était dans lachambre et eut l’air de reconnaître lerenardeau. La fille se réveilla et demandace qui c’était passé avec leur renardeau.Émilie et Thomas expliquèrent leurhistoire et au passage, ils lui demandèrentleurs prénoms. Le renardeau s’appelaitNick, sa mère Bouton-d’or et la jeune filleAnna. Émilie raccompagna Anna,Bouton-d’or et Nick, jusqu'à leur barque :

56

Page 57: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

«- Bonne chance, dit Émilie.- Merci, répondit Anna »Puis ils repartirent.

Émilie rentra, triste de les quitteret mécontente que Nick ait retrouvé safamille. Elle alla dans sa salle de bain pourse débarbouiller le visage. C’est alors queThomas arriva dans la salle de bain. :« - Je t’ai inscrite à un concours pour êtrePrésidente des résistants contre nosennemis.- Tu sais, j’ai un peu peur des hommes etce n’est pas sûr que je gagne. Personne neme connaît.- Mais je suis sûr que tu peux gagner, ditThomas. »

Soudain, ils entendirent un grandbruit qui fit trembler le sol. Surpris, ilsallèrent vers la porte. Ils étaient sûrs quec’était leurs ennemis. Dans la maison, il yavait une porte de secours. Rapidement,elle prit son arc et les lettres de sesparents. Thomas, qui avait une épée, laprit :« - Sauve-toi, dit Thomas.- Fait attention à toi, répondit Émilie ».

57

Page 58: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

Émilie partit dans la forêt, laissantThomas avec les attaquants. Elle avait trèspeur qu’il lui arrive quelque chose mais lajeune fille espérait, au fond d'elle, que legarçon allait s’en sortir. Émilie entendaitplein de coups de fusil. Les ennemisavaient déjà tué tous les loups. Mais hélas,quand Émilie revint, Thomas était mort.Bouleversée, elle décida de s’inscrire auconcours des élections pour êtreprésidente des résistants contre sesennemis.

La jeune fille sortit de la maisonpour s’inscrire au concours. Mais quandelle entra dans la salle, il y avait beaucoup,beaucoup de monde. Émilie était un peustressée car elle avait peur de perdre ceconcours. Mais elle était quand mêmesereine en apparence. Elle s’approcha de lacaisse et une dame lui donna une ficheavec des questions. Émilie alla dans unecabine et répondit sur cette fiche. Lesquestions étaient un peu difficiles, maiselle réussit quand même à répondre.Quelques minutes plus tard, Émilieredonna la feuille à la dame et partit

58

Page 59: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

s’asseoir. La jeune fille dut attendre quetout le monde rende sa copie.

En fin d’après-midi, lesconcurrents allèrent de une cour poursavoir qui étaient le gagnant du concours.La dame se leva avec une enveloppe dansles mains, dans laquelle il y avait le nomdu vainqueur. Elle ouvrit l’enveloppe etannonça le nom du vainqueur : « Émilieest la gagnante du concours ».

La jeune fille était très contented’avoir gagné ce concours. La dame luidemanda de monter sur scène, pour seprésenter aux autres concurrents. Émiliemonta sur scène pour faire son premierdiscours. Elle motiva les gens à rentrer enlutte contre leurs ennemis et secourir lesfaibles. Elle créa pour cela un mouvementde résistance.

Après avoir mené la résistance,avoir sauvé les gens et arrêté ses ennemis,Émilie réussit à ramener l’équilibre dans larégion et à réapprendre aux gens à êtreheureux.

Pendant sa lutte, elle avaitrencontré un jeune homme qui étaittombé amoureux d’elle. Émilie était

59

Page 60: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

également amoureuse de lui. Quelquessemaines plus tard, ils trouvèrent unappartement pour vivre ensemble afin defonder une famille.

FIN

Léona et Noémie R.

60

Page 61: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

61

Page 62: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

62

Page 63: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

Le tueur de zombie

Il était une fois un chasseur deprime, téméraire, qui s'appelait Paul.C'était un homme surtout porté surl'argent qui vivait dans une maison deluxe : une grande villa de 3 étages. Paulavait sa propre milice privée. Ce travail luirapportait énormément d'argent. Surtoutdepuis que ses contrats se tournaient versun nouveau fléau : l'élimination dezombie ! Et ces derniers pullulaient dansle secteur depuis quelques semaines déjà !Paul avait une amie, Léa, qui lui fournissaitdes armes, légères ou lourdes. Il en avaitbien besoin devant les attaques incessantesde zombies envers sa milice. En effet, cesderniers temps, le nombre des hommes dePaul diminuait considérablement. Il fallaitdonc régler ce problème rapidement. Satechnique était de les éliminer pendant lejour. Les monstres étaient comme inerteslorsque tout était calme.

Par un jour d'été, sous une chaleuraccablante, on sonna à sa porte. Paul jetaun regard à sa caméra de surveillance et

63

Page 64: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

comprit qu'une personne importante lesollicitait. Le ministre patientait dans salimousine pendant que son garde attendaitPaul devant la porte. Ce dernier se glissa ,avec un air hébété, dans le véhicule duministre, sous le nez du garde.Paul dit : « - Que me vaut l'honneur de votre visiteM. le Ministre ?- Paul, j'ai besoin de tes services maisavant tout j'aimerais que cela resteconfidentiel- Bien entendu! Que puis-je faire pourvous satisfaire ?- J'ai eu vent de vos derniers exploitsenvers ces monstres qui infestent notreville. Cela dit, j'ai une révélation à vousfaire. Mon fils, John, en fait partie !- John ! Un Zombie ?- Moins fort Paul, même mes hommes nesont pas au courant.- Qu'attendez-vous de moi M. leMinistre ?- J'aimerais une peu d'indulgence enversJohn si vous êtes amené à le croiser.- Que voulez-vous dire ? Que je l'épargnes'il m'attaque moi ou un de mes hommes ?

64

Page 65: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

- J'aimerais en effet que vous l'épargnezmais surtout que vous me le rameniez sainet sauf afin que je puisse le savoir auprèsde nous, sa mère et moi !- Mais c'est dangereux ! M. le Ministre, unzombie n'est plus humain, il ne vousreconnaîtrait pas. John ne ressent pasd'émotions, et encore moins de l'affection.Il vous mordra à la première occasion ! Dès lors, vous vous transformerezaussitôt !- Je sais tout cela Paul ! J'aimerais qu'il soitenchaîné dans une cage pour notresécurité. Nous nous occuperons du reste.- C'est une mission très difficile que vousm'apportez là M. le Ministre. Il estimpossible de vérifier l'identité de chaquezombie avant de l'exécuter. Ces monstressont rapides et j'ai déjà perdu beaucoupd'hommes...- Vous êtes le meilleur et c'est pourquoi jesuis venu vous voir. Je compte sur vousPaul. »

La limousine s'en allait au loinpendant que Paul restait debout, pensifdevant le porche de sa villa. Cette visiten'était pas un bon signe et la mission que

65

Page 66: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

venait de lui confier cet homme mettait savie et celle de ses hommes en danger.

Une demie douzaine d'hommesétaient présents au quartier général.Comme chaque soir, ils se préparaient aucombat. Paul demanda le silence et se mità leur donner les instructions à suivre.Désormais, l'attaque des zombies se ferade manière différente : nousn'exterminons plus à l'aveuglette, nousdevons ramener John sain et sauf !

Cette dernière directive laissa lesmiliciens perplexes mais ils obéirent.

Sulayman et Mourad

66

Page 67: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

67

Page 68: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

68

Page 69: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

L'invasion des zombies

Il était une fois un adolescent quise prénommait Bowman. Il était âgé de 17ans et habitait à Lyon dans une grandevilla. L’adolescent possédait des fusils àlunettes, des fusils d’assaut, des arcs et desflèches au phosphore. Bowman avaitégalement un berger allemand.

Un jour, Bowman trouva un puitscarré abritant un laboratoire secret.L'entrée était fermée par quatre trappessecrètes. Quatre boutons ouvraient cestrappes. Il réussit à rentrer dans une d'elleset trouva deux fioles de potion surlesquels il y avait écrit : antidote virus 6115.

Un jour, en 2050, le virus 61 15s’était propagé dans tout Lyon et avaittransformé beaucoup de monde enzombie. Les zombies ne sortaient que lanuit parce que le soleil leur brûlait la peau.Bowman s’était fabriqué une arme quilançait du feu. Cette arme s’appelait le« Purificateur ». Il utilisait aussi beaucoupun de ses fusils : le Locus. Un soir

69

Page 70: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

Bowman réussit à tuer plus de centcinquante zombies.Quelques jours après, ils partirent àMadrid où le virus avait réussi à sepropager à cause de deux des zombies deLyon qui s'étaient échappés. Ce fut unmassacre. Tout ce sang dégoulinant n'étaitpas beau à voir !

Finalement, Bowman rentra àLyon. Deux semaines plus tard, Paul, unami de Bowman l’appela : « - Salut Bowman, c’est Paul commentvas-tu ? - Salut Paul. Bien et toi ?- Bien.- Je t’appelle pour te demander si tu peuxvenir à Pékin. Il y a des zombies qui sontvenus ici aussi et j’ai besoin de ton aidepour les tuer.- Je pars demain à l’aube. - Merci à demain.- A demain. »

Paul était un ami très gentil. C’étaitun chasseur de prime. Il essayait decapturer le fils d'un ministre qui avait ététransformé en zombie. Il avait beaucoup

70

Page 71: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

de mal à réussir sa mission. Bowmanespérait pouvoir l’aider.Le lendemain Bowman partit à Pékin etappela Paul :« - Allô ?- Oui.- Salut Paul. C’est Bowman - Salut Bowman - Tu es où à Pékin ?- Je suis à l’aéroport, je t’attends. - D’accord. À tout à l’heure.- À tout à l’heure et bon voyage. »Un peu plus tard, Bowman arriva à Pékinet vit Paul au loin :- Salut Paul. - Salut Bow, j’ai détecté des zombis quivont pas tarder à attaquer.- Zut ! Tiens, je t'offre un antidote auzombiisme que j'ai découvert. Tu en auraspeut-être besoin.Il était 14 heures. Huit heures plus tard, lecombat commença. Il tua soixante-cinqzombis mais son chien fut transformé enzombis et mordit son maître. Bowman tuason chien, but un antidote et dut secacher.

71

Page 72: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

Une semaine plus tard, Bowman etPaul mirent des pièges comme des mineset des filets carbonisant. Bowman utilisades flèches explosives. Ainsi, le lyonnaistua les derniers zombies de Pékin et Paulréussit capturer le fils du ministre. AlorsPaul lui fit boire le dernier antidote. Apartir de ce jour-là, on entendit plus jamaisparler de zombies. Bowman rentra à Lyon sansproblème et devint policier.

Fin

Quentin, Lucas et Jiyad

72

Page 73: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

73

Page 74: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

74

Page 75: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

L'installation des possédés

Il était une fois un adolescent quivivait sur une île, près Chicago, dans unlaboratoire. Ce lieu avait été découvert en1995 par des scientifiques quiapparemment n’en étaient jamais revenus.Paul découvrit cet endroit en 2032, à l’âgede 16 ans. Depuis qu'il vivait là, il luiarrivait d'entendre une voix qui l'aidaitsouvent sans qu'il ne sache d'où ellevenait.

Ce jeune homme était très richegrâce à des inventions d’une technologietrès futuriste. Hélas, sa richesse entraînade grandes révoltes en ville car lapopulation y était très pauvre.

Un jour, un citoyen pauvre etaffamé s'écria :« - Ouvre gamin ! - Sauve-toi petit…. », chuchota la voix dela personne inconnue.

Paul ne comprit pas tout de suitela situation. Il entendit de nouveau lapersonne qui cria : « Et vite !!! »

75

Page 76: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

Paul eut peur et courut tête baissée. Toutd’un coup, un bruit de pétard résonnadans la pièce : l’inconnu avait tiré un coupde pistolet sur le citoyen. Il trouva ça trèsétrange. Puis, il vit une silhouette couvertede sang et qui lui sourit d’un air familier.Alors, il s’enfuit sans dire un mot…

Paul s’envola à l’aide de son jetrempli de produits chimiquesextrêmement toxiques qui pourraientdétruire la terre. Soudain, la silhouetteréapparut mystérieusement. Paul, distraitpar l’inconnu, s’écrasa sur un rocher àquelques centaines de mètres de sonlaboratoire. L’ombre se présenta d’unevoix grave :« - Je m’appelle Louis ! s’exclama-t-il. Et jesuis ton parrain...- Quoi !!! cria Paul.- J’ai promis à tes parents de te protéger,car tu es en danger, annonça Louis.- En danger !? Que va-t-il m’arriver ? Etpourquoi suis-je en danger ?- Des citoyens possédés veulent te tuer !- Possédés!!! Pourquoi et comment sont-ils comme ça ?

76

Page 77: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

- Une puce les contrôle et dans un an, ilsenvahiront la ville ! On doit se dépêcher ! - Mais comment va-t-on partir ?- Je ne sais pas ... Ton jet est cassé...

BOOM !!!- C’est quoi ! cria Paul.- Des possédés ! annonça Louis terrifié.- Fuyons. Dépêche-toi ! - Trop tard ! Ils sont là ! », dit Paul.Les deux héros coururent, maismalheureusement pas assez vite. Un despossédés attrapa Paul et voulut lui mettreune puce afin de le contrôler.Heureusement, Louis fonça sur le possédéet l’assomma d'un coup sur la tête. Puisune voix sortie d’une grotte les interrogea :« - Qui êtes-vous ?- Je suis Paul et voici mon ami, Louis. »Paul se rappela de cette fille qu'ilconnaissait et qui était à un des festivals desciences auquel il avait participé. Ilsentrèrent dans la grotte et ne virent que dela roche et des eaux qui coulaient. Lescompères continuèrent à s'avancer etarrivèrent au bout de la grotte où ils virentla fille :

77

Page 78: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

« - Nous devons aller en France.- Et pourquoi en France ? On est bienici ! » La jeune fille s'en alla sans un mot, sansun bruit et bien contrariée. - Heu… après réflexion, c’est moi quidevrais m'installer ici ? demanda-t-elle.Quelques minutes leur suffirent pourdécider de leur réponse. ils acceptèrent etretournèrent au laboratoire. Les deuxhommes lui firent visiter les lieux. Puisune question vint en tête de la fille.« Cette créature qui vous a attaqués, c’étaitquoi ? -Un possédé. C'est à dire une personnequi est contrôlée par une puce. »

La jeune fille, effrayée, partitdiscrètement pendant que les garçonsdiscutaient bruyamment. Au bout detrente minutes, ils découvrirent qu'elleavait disparu. Paul, fou de rage, préparason sac pour partir à sa recherche maisLouis le stoppa :« - Tu fais quoi là ! demanda Paul énervé.- Je te retiens pour que tu ne puisses pasaller à sa poursuite. En revanche, on peutquitter cette île. Paul décida d'aller sur une

78

Page 79: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

île voisine en espérant trouver une chosequi pourrait l'aider à réparer son jet.Pendant ce temps louis tentait d’arrangerl’engin volant.

Des heures passèrent et le miraclearriva : la machine fut réparer. Louis semit alors à parler tout seul : - Ça y est, terminé ! Paul t’es où ? Bonsang... Mais j’y pense... Pourquoi je nerajouterai pas ma p'tite touche perso !

Vingt minutes après l’installationde la touche personnelle, Paul arriva :« - Je suis affamé. Tu n’as pas quelquechose ?- Non, mais j'ai quelque chose de plusimportant à te dire…Le jet est réparé !!! - Super, on décolle, mais avant, regarde.J’ai trouvé cette fleur étrange.- Quelle chance ! C'est un harmoniumPortius, l'une des plus rare ici. Cette planteconserve une sève guérisseuse.- Tu penses qu’elle peut guérir lespossédés ? - Nous devons essayer. Mais pourl'instant, on doit capturer un des leurs.- On ne sait pas où ils sont, il y a des tasd'îles ici ! »

79

Page 80: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

Louis eut soudainement l'idée desurvoler les terres afin de trouver ungroupe de possédés. Ils se mirent en routeet commencèrent leur recherche. En vol,ils virent des possédés partir à la chasseprès d’une forêt où couraient d'incroyablesmonstres aux griffes pointues. Les deuxcompères descendirent de leur véhicule.En chemin, d’horribles taches de sangcoulait sur le chemin. Un cerf abattu avaiteu la tête mangée par ces humaincontrôlés par une puce. Discrètement, lesdeux amis se faufilèrent derrière des arbreset essayèrent de les espionner.

Chaque seconde passait avec dessons étranges, des cris, des gémissements.Paul, terrifié, recula. Une branche craquaet d’un coup, des possédés lui sautèrentdessus et les emmenèrent dans une desforteresses de Mick, un génie anglaistraumatisé par les zombis.

Celui-ci faisait beaucoupd’expériences. Mais son destin avait croiséle mal, et tout avait mal tourné. Tous lesjours qui passaient étaient consacrés à sanouvelle invention : la puce à posséder.

Arrivé à la base, une grande armée

80

Page 81: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

remplissait le bâtiment et un hommesortie de l’ombre. Paul s’écria d’un toncourageux :« - Qui es-tu ? - C’est Mick… Un génie fou. », annonçason parrain.Puis le savant se mit à parler trèslongtemps.« - Louis, dit le jeune garçon timide,comment le connais-tu ?- C’est lui qui a tué tes parents. »

Le silence régna un court instant.L'adolescent gardait toujours un couteausur lui en cas de besoin. Les deux amis sedélivrèrent. Paul désactiva toutes les pucesafin que ce génie diabolique ne puisse plusdonner des ordres à ses esclaves. Louiscassa la mâchoire du savant fou d’un seulcoup de poing. Après un combat trèsfacile, nos deux compères se remirent enroute pour trouver un antidote guérissantles possédés. En effet, ceux-ci nerecevaient plus d'ordre mais ils restaienttrès agressifs. Les mois passaient et lemédicament s’améliorait petit à petitjusqu’au jour où ils trouvèrent la bonneformule. À partir de ce jour-là leur

81

Page 82: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

mission fut de retrouver tous les possédéspour les guérir.

FIN

Léandre, Côme et Axel

82

Page 83: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

Laurine, Marieet l'attaque de zombies

Il était une fois une jeune fillequi s'appelait Laurine. Elle vivaitchez ses parents. Laurine avait unegrande chambre. Elle était aucollège de St Pierre. La jeune filleavait beaucoup d'amies dont Mariesa meilleure amie et voisine.

Un lundi matin, alors qu’ellearrivait au collège, elle vit desgarçons de sa classe en train deparler fort et même très fort. C’étaitdes garçons qu'elle connaissait biencar ils habitaient aussi dans sonimmeuble. Au milieu de ces garçons,Laurine vit Marie en train de se fairetaper et insulter. Laurine essaya des'approcher mais les garçons larepoussèrent car ils savaient quec’était sa meilleure amie. Alors la

83

Page 84: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

jeune fille appela du secours. A cemoment-là, la sonnerie retentit. Lesgarçons relâchèrent Marie qui étaiten pleurs et tous allèrent se mettreen rang. Ils lui avaient volé sonportable et son argent de poche. Lesdeux jeunes filles montèrent enclasse comme si rien ne s'était passé.Elles s'assirent puis se mirent autravail. Ce jour-là, sur l’emploi dutemps en première heure, il y avaitsciences. Le professeur arriva en classe etdit :- Sortez vos cahiers pages 144 ,exercice de dissection de grenouille !Marie lança un regard étonné àLaurine , puis dit en chuchotant :« - Elle n’est pas un peu bizarre laprof aujourd’hui ?- Oui je ne l’ai jamais vue commeça ! »

84

Page 85: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

Puis elles continuèrent à travailler etla prof dit :- Bon…je vais vous distribuer lesgrenouilles mortes. Ensuite vousprendrez la pince, puis vousenlèverez les yeux, la peau et vousmettrez tout cela dans un récipient.

Les élèves se mirent autravail. Marie et Laurine étaientbinômes. Elles décidèrent d’enleverd’abord les yeux, puis la peau. Unefois la peau et les yeux de chaquegrenouille enlevés, la prof expliqua :« Maintenant, vous prenez vossécateurs… Vous mettez lagrenouille sur le dos, puis vousouvrirez le ventre délicatement.Ensuite récupérez les boyaux, lefoie, puis l’intestin. »Marie se lança dans un décorticageminutieux de la grenouille. Ce n’étaitpas une partie de plaisir !

85

Page 86: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

Laurine enleva les boyaux, puisl’intestin, puis le foie comme la profl’avait dit. Elles étaient dégoûtées.

Plus tard, la grenouille étaitvide. Le cours de science était fini.Ils se mirent en rang pour retourneren classe. Après les sciences, il yavait mathématiques : géométrie.Laurine sortit son cahier d’essai demaths. Au même moment les 3èmetravaillaient sur les périmètres et lesaires des triangles… Le professeurde maths traça un trianglequelconque au tableau. Il fallait entrouver l’aire et le périmètre. Plustard , Laurine et Marie avaientterminé leur exercice.

Il était déjà midi, au menu duself, il y avait steak frites. Laurine etMarie se mirent côte à côte à unetable de six où il n’y avait personne.Puis les garçons qui avaient insultéet tapé Marie se mirent à côté

86

Page 87: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

d’elles. Ils commencèrent à regarderles filles de travers. Quand soudainun garçon agressa Marie :« - Tu t'habilles n'importe commentet tu es moche !- Tu sais ce qu'elle te dit celle qui nesait pas s'habiller et qui estmoche ? », répondit-elle.Laurine intervint dans leurdiscussion :« - Vous pouvez vous calmer?- Non, on ne peut pas se calmer. »,répondirent les deux garçons.Puis Laurine prit son plateau et s'enalla. Mais, Marie et les garçonscontinuèrent à se disputer. Quelquesminutes plus tard, la cantine étaitterminée. La sonnerie retentit. Ilsallèrent se mettre en rang. Puis ledirecteur arriva et dit :« Bon ! Du calme ! S'il vous plaît, cetaprès-midi vous n'irez pas enclasse. »

87

Page 88: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

Les élèves demandèrent pourquoi.Le directeur expliqua que deshélicoptères de l'armée allaientsurvoler la ville car il y avait eu uneinvasion de zombies place Bellecourla nuit précédente.« - Rentrez chez vous et restez-ytoute l'après-midi », ordonna-t-il.Chacun rentra chez soi. Les garçonscoururent pour monter dans le busqui s'apprêtait à quitter son arrêt,tandis que les filles prenaient leurtemps, en discutant. Alors que lebus passait devant Laurine et Marie,les garçons les narguèrent derrière lavitre. Peu importe, elles prendraientle suivant.

Arrivées devant la porte del’ascenseur de leur immeuble, unesurprise les attendait. Des pleurs etdes cris retentissaient :« Au secours! À l'aide! Maman ! J'aipeur ! »

88

Page 89: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

Elles se regardèrent et réalisèrentque les cris venaient des garçons quiétaient coincés dans l’ascenseur.Celui-ci était bloqué par deszombies entre deux étages. Les fillesmontèrent par l'escalier,très vitepour ne pas se faire prendre par leszombies. Elles tenaient leurvengeance. Les filles engagèrent unediscussion depuis l'appartement deLaurine :« - C'est nous, Laurine et Marie,avez-vous besoin d'aide ?– Oh oui ! Appelez les secoursqu'on puisse sortir.- Je ne sais pas. On dois rentrer cheznous et regarder la télévision. Ilspassent des images spectaculaires dezombies en train de manger. Ilsavaient envahi un restaurant etétaient en train de se goinfrer desteak, de frites, de glace et de clients.On voyait la nourriture passer dans

89

Page 90: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

leur ventre à cause de leur peaupresque transparente et de leur chairmoisie.- Soyez sympas les filles, il fait noirlà dedans.- D'accord ! On va appeler la policeet on leur expliquera aussi le vol dece matin.- Non, pas la police ! On vousrendra tout ce qu'on vous a volé.- D'accord ! mais ça ne suffit pas, ilmanque quelque chose. Nousvoulons des excuses.- OK ! », et c'est ce qu'ils firentaussitôt. Une fois délivrés par lapolice, les garçons promirent de neplus jamais embêter les filles.

Élisa et Lison

90

Page 91: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

ANAIS

Il était une fois une femme quivivait dans un petit appartement au centrede Paris. Comme elle venait d’emménager,elle devait déballer les cartons, monter sonlit et faire les courses avant la fin de lajournée.

Une fois la journée finie, elle allase reposer dans son lit quand soudain elleentendit des explosions. Elle vit desflammes arriver vers elle. Elle se précipitavers la fenêtre. Des gens criaient à causede l’incendie :«- Mes enfants sont dedans ! Sauvez-les !- Madame, calmez-vous, dit le pompier.- S'il vous plaît.- Arrêtez madame. Calmez-vous.- Ils sont à l'intérieur. Vous êtes pompierc'est votre métier!- Nous avons déjà essayé d'envoyer despersonnes mais ils n'ont pas réussi àaccéder au bâtiment. » répondit l'homme.

91

Page 92: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

Anaïs partit à la recherche del'enfant. Elle passa un petit couloir étroit,entra dans une salle à manger et trouva unhomme sous une table. Il était vieux. Ildevait avoir 85 ans environ. L'homme laregarda et se leva. La jeune femme l'aida etlui dit d'une voix basse:«- Vous ne partez pas?-Non, je suis vieux et je devrais mourirdans peu de temps. Et puis, personne n'estvenue me sauver alors qu'ils voyaient quej'étais vivant. Si je pouvais me tenirdebout, j'aurais eu un peu d'aide et je neserais pas là au moment où je vous parle !Faites comme les autres et laissez-moimourir!-Non, je ne vous laisserai pas ici, maisvous pouvez être sûre que je reviendrai.»

Alors, elle le laissa sous la table etpartit chercher l’enfant. Mais au lieu detrouver un enfant, elle en trouva deux. Lesdeux enfants allaient bien alors elle leur dit:

«- Venez ici ! Nous partirons dehors maisnous allons chercher quelqu’un avant.

92

Page 93: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

- Non ! On attend maman. Elle nous a ditd’attendre, dit le petit garçon.- Mais venez!- Non on veut pas ! dit la petite fille.- Je pars le bâtiment est en feu ! cria lajeune femme énervée.- D'accord! On vous suit. » dit le petitgarçon de 5 ans.

Ils partirent en direction du vieil hommequi était toujours sous la table. Il se leva,aidé par Anaïs et leur dit :« - On peut y aller ? demanda le vieuxmonsieur.- Oui bien sûr, venez ! Répondit Anaïs.- C'est qui lui? Dit la petite fille.- C'est l'homme dont je vous ai parlé.-Ah, d'accord. »

Ils partirent en direction de la sortie quandsoudain le plafond s’écroula. Ils coururentdroit devant mais Anaïs reçut un morceaude plafond sur la tête qui la fit tomber. Lesautres continuèrent ne l'ayant pas vue.Anaïs rampa vers la sortie pendant que lesdeux enfants retrouvaient leur mère. Despompiers se dirigèrent verre elle pour la

93

Page 94: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

remercier et savoir si elle était blessée et laquestionnèrent :«- Je vais bien, ne vous inquiétez pas...- Et les enfants, sont-ils blessés ?- Je ne crois pas. Ils avaient l'air d'allerbien.- Vous êtes sûr que ça va? Vous êtes pâle.- Je ne sais pas, j'ai la tête qui tourne.- Je crois qu'elle a respiré trop de fumée,dit le premier pompier.-Appelez un médecin ! Vite ! »

Quand elle se réveilla elle étaitdans une chambre d'hôpital, uneinfirmière entra dans la salle et appela unmédecin en voyant la jeune femmeréveillée. Le docteur entra et lui dit :« - Bonjour comment vous sentez vous?- Qu'est-ce que je fais dans un hôpital ?Pourquoi je ne me souviens de rien ?- Si vous le voulez bien, répondez d'abordà ma question.- Désolée, je me sens bien. J'ail'impression d’avoir dormi longtemps.- C'est normal, vous étiez dans le coma.- Le coma, c'est pas possible !- Vous souvenez-vous de ce qui s'estpassé ?

94

Page 95: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

- Non, juste de mon nom et prénom maismonsieur le coma ne peut pas causer deperte de mémoire si je ne me trompe pas?- Si, des fois ça arrive. J’ai été surprisquand les enfants m'ont dit que vous aviezété assommée et que vous étiez repartie endirection la sortie comme ci de rien n'était.- Ha bon ! Je ne me souviens plus de rien,à part que je venais d’emménager.- Vous devez vous reposer, je vous laisseappuyer sur ce petit bouton vert si vousavez besoin d'une infirmière.- Merci monsieur.»

le médecin sortit de la pièce et lajeune fille essaya de se lever mais elletomba sur son lit.

Un mois plus tard, elle allaitbeaucoup mieux. Elle se rendit à l’accueilpour récupérer des papiers pour sortir. Al’accueil, elle vit un visage familier, cettepersonne s’approcha d’elle et dit:«- Bonjour Anaïs. Tu te rappelles de moi?- Non, mais je crois que je vous connais.- Bien sûr que tu me connais. Je suis tononcle.- Je crois qu'on se connaît mais je ne mesouviens pas que vous étiez mon oncle.

95

Page 96: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

- Comment tu peux dire ça ? Tu ne tesouviens même plus de ton oncle ? Bonc’est pas tout, mais on parlera à la maison.- D’abord, je dois chercher des papiers àl’accueil.- Je t'attends dehors»Anaïs partit au comptoir de l’accueil etune dame l'accueillit et lui demanda :«- Comment je peux vous aider ?- Je suis venue chercher mondiagnostique, répondit Anaïs.- Je peux avoir votre prénom et nom.- Anaïs Pard»

La dame partit dans les archiveschercher le dossier et revint cinq minutesaprès. Elle lui donna mais avant de partir,elle ajouta :« - Attendez! J'ai appelé votre famille etnormalement elle ne devrait pas venir,alors qui était cette homme ?- C'est mon oncle, pourquoi vous meposer cette question ?- Méfiez-vous... J'ai appelé toute votrefamille... Peut-être qu'ils ont pu se libérer àla dernière minute...»

Anaïs sortit de l'hôpital et marchaen direction de la maison de son oncle. Ils

96

Page 97: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

s'arrêtèrent dans un parc pour se reposer.Anaïs lui posa une question:«- Comment tu t'appelles ? Je ne m'enrappelle plus.- Je m'appelle Christian. Je vais chercher àboire il fait très chaud.- Merci, je reste ici.»

Anaïs aperçut un visage familier etla personne vint vers elle pour lui parler :«- Bonjour Anaïs. Je m’appelle Mickaël, jesuis le pompier qui vous a aidé aprèsl'incendie. - Je vois. Alors merci de m'avoir sauvé.-Ce n'est rien, c'est mon métier et puis jene vous ai pas trop aider. J'ai juste appeléun médecin»Alors, son oncle revint et dit:«- Bonjour, qui êtes-vous?- Je suis un ami d'Anaïs- Je vois. Désolé de vous déranger mais ondoit partir. Tu viens Anaïs»

Ils arrivèrent dans le quartierd'Anaïs, puis ils arrivèrent devant deuximmeubles. Anaïs entra dans le premiermais son oncle l’attrapa par le bras et et luidit que ce n'était pas le bon immeuble. Ilsrentrèrent dans le second. Une fois à

97

Page 98: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

l'intérieur, Anaïs alla se reposer pendantque son oncle passait un coup de fil. Anaïsne put s’empêcher d'écouter laconversation :«- Oui, c'est bon. J'ai trouvé ce que tu m'asdemandé. Elle s’appelle Anaïs- Je vois et elle a quel âge?- Je ne sais pas.- Abruti, va lui demander. Tu sais que c'estimportant pour le mariage. C'est commepour les autres filles.- J'y vais et je reviens...»Christian s'approcha d'Anaïs et luidemanda:«- Quel âge as-tu ? Je ne m'en rappelleplus ?- Je ne m'en souviens plus. Désolé, je vaisfaire une balade et je reviens.- D'accord, tans pis.»Elle mit ses chaussures, sortit del'immeuble et revint au parc où elle avaitrencontrer Mickaël. Il était encore là alorselle se rendit vers lui et lui raconta endétail ce que son oncle avait dit. Mickaëlappela la police qui vint les aider. Ilspartirent au commissariat de police. Les

98

Page 99: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

policiers questionnèrent Anaïs et luidemandèrent :«- Alors ? Vous avez entendu quoi autéléphone ?- Que j’allai être mariée de force.- Savez-vous le lieu ?- Non, il ne l'a pas précisé.- Comment l'homme qui vous a priss’appelle-t-il ?- Il se nomme Christian. Monsieur, jevoudrais vous demander quelque chose.- Oui, qui y a-t-il ?- J'aimerais que vous fassiez une recherchesur mes parents.- Je vais voir ce que nous pouvons faire.Au revoir. »Elle sortit de la pièce, retrouva Mickaël quilui demanda si tout c'était bien passé. Ellerépondit que oui. Ils partirent dehors etAnaïs se retrouva sans logement car ellene voulait pas rentrer. Il lui proposa devenir chez lui et ils partirent en directionde la maison de Mickaël. Une fois arrivés,Anaïs lui posa une question :«- Il y a quelqu'un chez toi? Je ne veux pasdéranger.- Oui, il y a ma compagne.

99

Page 100: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

- Alors je ne peux pas rester.- Ce n'est pas grave. Il y a une chambre enplus et ma femme peut te prêter desvêtements.-Alors merci.»Mickaël sonna et une femme ouvrit laporte et les fit entrer :«- Bonjour.- Bonjour madame, excusez moi de vousdéranger.- Ce n'est pas grave, mais qui êtes-vous?- Je suis une amie de Mickaël. Je suisvenue parce que je n'ai plusd'appartement. Il a brûlé.- Je suis désolée pour vous. Vous allezbientôt trouver un autre appartement.- Je ne sait pas encore où je vais me loger.- Venez autant que vous voudrez quandvous aurez un problème ou quelquechose...- Merci. Quel est votre prénom ? Moi,c'est Anaïs.- Marine.»Anaïs se reposa chez Mickaël et lelendemain elle repartit au commissariat depolice pour leur demander des nouvelles

100

Page 101: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

sur leur enquête. Ils lui reposèrent desquestions :«- Vous nous avez dit qu'il parlait avecquelqu'un avez vous entendu sa voix.- Elle était masquée.- Il parlait de quoi d'autre? - Il voulait revendre d'autres femmes qu'ilsont trouvés. Et pour mes parents, vousavez des nouvelles ?- Oui, ils habitent à Lyon, vers le VieuxLyon... »Anaïs reçut l’adresse précise de ces parentset acheta une billet grâce au peu d'argentqui lui restait. Mickaël et sa famillel'aidèrent à partir.

Elle arriva à l'adresse de sesparents. Elle n’osait pas sonner, elle serappelait de Mickaël et du policier quil'avait aidée. Finalement, elle sonna et unepersonne âgée arriva et lui dit :«- Anaïs ! Tu as bien grandi depuis que tues partie. Apparemment, tu nous avezoubliez.- C'est vraiment toi ?- Tu ne te souviens pas de ta propre mère?

101

Page 102: Modèle de format 11x17cmekladata.com/7lJ8V46E4lmXwj_zntnBX_VGidI.pdf · de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s'abritèrent

- Je suis désolé de ne pas m'être souvenuede toi et de ton anniversaire.- Tu t'en souviens Anaïs ?- Oui, je m'en rappelle maintenant. - Tu peux dormir ici si tu veux ? Ton pèreest là aussi.»Elle partit voir son père et lui expliqua sonhistoire.

Elle continua sa vie et tout sepassa bien. Les bandits se firent arrêter.Mickaël et Marine se marièrent et eurentdeux enfants. Les deux enfants qu'elleavait aidés pendant l'incendie vécurentavec leurs parents heureux. Le vieuxmonsieur alla dans une maison de retraite.Anaïs devint infirmière et les banditsrestèrent en prison jusqu'à la fin de leursvies.

FIN

Léa et Khadija

102