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UDAF 15 INFOS N° 84 - Janvier 2014
Bulletin d’information
de l’Union
Départementale
des Associations
Familiales du Cantal
8 rue de la Gare
BP 709
15007 Aurillac CEDEX
www.udaf15.fr
Directeur de la
Publication
P. FRÉNOIS
Comité de Rédaction :
Paul Antony, Bernadette
Ginez, Jean Claude
Dumas, Anne Vergne,
Claudette Mijoule, Su-
zanne Raymond, Renée
Salat, Pauline Blanc
Sommaire :
Page 1 : - ÉDITORIAL : Dire
non ne suffit pas...
Page 2 et 3: - DOSSIER : DE L’ACCOM-
PAGNEMENT BUDGÉTAIRE À
LA PROTECTION DE L’EN-
FANCE… L’UDAF du Can-
tal auditionnée par la
Commission Enfance
Famille de l’ODAS.
Page 3 : - PRINTEMPS 2014 : Re-
nouvellement du mandat
du Délégué Familial au
Centre Communal d’Ac-
tion Sociale.
- EAU ET TERRITOIRE : Au
fil de l’eau…
Page 4 : - INFOS +
- DISPOSITIF D’AIDE AUX
AIDANTS FAMILIAUX : Re-
tour sur le service de
répit à domicile.
- ACCUEIL ET MÉDIATION
FAMILIALE : Des champs
d’application élargis.
I N FOINFOINFOSSS
N ° 8 4 — J a n v i e r 2 0 1 4
P. FRENOIS
Président de l’UDAF du Cantal
Que retenir de 2013 ?
Sur le plan général, la situation économique et sociale ne s’est pas améliorée et suscite
toujours inquiétude et interrogations chez nos concitoyens.
Notons toutefois certaines actions pour prendre en compte ces réalités. Nous pouvons espérer que le
plan gouvernemental de lutte contre la pauvreté et pour l’inclusion sociale, dans sa déclinaison
départementale, situera des réponses adaptées pour soutenir les plus en difficulté.
Sur le plan départemental, l’UDAF se félicite de l’aboutissement du projet, porté en partenariat avec
l’UNAFAM, d’ouverture de la résidence d’accueil du Clos de Noailles en faveur du logement des personnes
souffrant de troubles psychiques. Et de même du succès de l’expérience de l’offre de répit à domicile en
direction des aidants familiaux initiée dans le cadre du Dispositif d’Aide aux Aidants Familiaux, dont vous
trouverez un premier bilan dans ce numéro.
Par ailleurs l’UDAF a posé les bases d’un travail qui l’engagera pour l’avenir dans le cadre de l’élaboration
du projet institutionnel 2014/2018. C’est un travail qui va mobiliser, sur 2014, les différents acteurs de la
vie de l’UDAF que sont le Conseil d’Administration – les représentants familiaux – les mouvements
familiaux - les salariés.
Que souhaiter pour 2014 ?
Le mouvement familial s’est toujours mobilisé contre les projets qui menaçaient les intérêts généraux des
familles et a fait connaitre ses propositions souvent avec succès ; la protection sociale, la politique familiale
sont des réussites que l’on nous envie.
Mais notre modèle doit impérativement évoluer et s’adapter à la mondialisation de nos sociétés sinon il
disparaitra purement et simplement.
Nous entendons continuer à remplir notre mission et donc poursuivre dans cette voie. L’actualité ne
manquera pas de nous y engager : réforme du financement de la branche famille, préparation du projet de
loi sur la famille….
Comme toujours, l’UDAF ne se contentera pas de s’opposer et dire non sans faire de propositions.
Nous faisons le pari que les familles ne sont pas que dans une attitude de refus mais qu’elles sauront
encore, et plus que jamais, être force de propositions.
C’est pourquoi, nous avons retenu comme thème d’assemblée générale de développer en quoi les
associations familiales contribuent à l’animation et à l’attractivité de leurs territoires ?
L’UDAF a déjà formulé des propositions auprès des Pouvoirs Publics pour préserver les conditions du « bien
vivre au pays ». L’action collective autour d’objectifs communs n’est-elle pas un levier fort pour restaurer la
confiance ? Tous les mouvements vont être invités à faire part des expériences réussies.
Je vous invite d’ores et déjà à retenir la date de cette assemblée générale qui aura lieu le vendredi 13 juin
2014 à Mauriac de 10 h à 16 h.
ÉditOrial
DIRE NON NE SUFFIT PAS...
UDAF 15 INFOS N° 84 - Janvier 2014
Page 2
DOSSIER DE L’ACCOMPAGNEMENT BUDGÉTAIRE À LA PROTECTION DE L’ENFANCE... L’UDAF DU CANTAL AUDITIONNEE PAR LA COMMISSION ENFANCE FAMILLE DE L’ODAS.
« L’UDAF du Cantal gère depuis 2008 dans le cadre de son service Accompagnement Social et Budgétaire des mesures d’accompagnement en économie sociale et familiale
(AESF) et des mesures judiciaires d’aide à la gestion du budget familial (MJAGBF). »
Retrouvez une présentation des mesures dans
les n°81 et 83 de l’UDAF Infos, visibles et téléchargeables sur
www.udaf15.fr
UDAF 15 INFOS N° 84 - Janvier 2014
L a mesure administrative d’Accompagnement en Economie Sociale et Familiale (AESF) est une prestation d’Aide Sociale à
l’Enfance concourant à la Prévention et à la Protection de l’Enfance
(Art L 222-3 du CASF).
Elle est mise en œuvre, soit suite à information préoccupante et évaluation par les services du Conseil Général, ou soit à la de-
mande des parents avec avis argumenté d’un travailleur social.
Elle est proposée par le Conseil Général lorsque les familles rencon-
trent des difficultés dans la gestion du budget familial dont les
effets sont préjudiciables à l’intérêt de l’enfant et à la prise en
compte de ses besoins.
La mise en œuvre de l’AESF intègre les éléments suivants :
Le contrat signé entre le Conseil Général et la famille, définit les objectifs du projet pour l’enfant.
L’ouverture de la mesure vise à ré-expliciter le sens de la me-sure prise, initier la relation avec la famille, recueillir les infor-
mations nécessaires à la mission, informer les partenaires, en-
tendre les attentes de la famille, et présenter le service et son
fonctionnement (livret d’accueil,…).
Après 3 mois d’exercice, une évaluation de la situation fami-liale est organisée avec pour supports : la grille d’évaluation
Protection de l’Enfance, les attendus du contrat, les premiers
éléments d’observation issus des rencontres avec la famille.
L’évaluation fait émerger les propositions d’actions présen-tées à la famille pour l’élaboration du projet personnalisé
d’intervention avec deux dimensions :
Une action éducative autour du budget familial et de ses
priorités au regard des besoins de l’enfant,
Une action éducative autour des responsabilités parentales.
Le suivi de la famille a pour outil principal la visite à domicile, incluant régulièrement la rencontre des enfants. Ces visites
s’articulent autour de l’entretien d’aide.
L’échéance de la mesure entraine la rédaction d’un rapport social, après évaluation avec le responsable du service, bilan
des actions partagé avec la famille. Le rapport est présenté à la
famille.
Le travail en partenariat est essentiel : le délégué intervient en coordination et collaboration avec les autres intervenants insti-
tutionnels pour optimiser l’efficacité de l’intervention. Le Projet
pour l’Enfant, s’il est établi globalement, peut être le fil conduc-
teur de ces échanges (synthèses, visites communes).
L a mesure Judiciaire d’Aide à la Gestion du Budget Familial (MJAGBF) est une mesure d’assistance éducative inscrite dans
l’article 375-9-1 du Code Civil.
Elle est prononcée par le Juge des Enfants, lorsque les presta-
tions familiales ne sont pas employées pour les besoins liés au
logement, à l’entretien, à la santé et à l’éducation des enfants et
lorsque l’AESF n’apparaît pas suffisante ou n’a pu être mise en
place.
La gestion des prestations est confiée au délégué aux presta-
tions familiales.
L’inscription de la mesure AGBF dans les mesures d’assistance
éducative nous a conduits à ancrer la mise en œuvre dans le re-gistre de la Protection de l’Enfance en utilisant un protocole sem-
blable à celui de la mesure AESF.
Le support en est l’ordonnance judiciaire et les attendus nom-
més par le magistrat.
L’ouverture de la mesure, l’évaluation à 3 mois, le rapport social
à l’échéance de la mesure, le travail en partenariat sont les points
clés jalonnant la prise en charge.
Le projet personnalisé d’intervention, du fait de la gestion des
prestations comporte, des étapes plus marquées. Cela va :
du faire à la place (prendre en charge les questions urgentes,
organiser la gestion des prestations pour sécuriser le quotidien,
aider la famille à clarifier sa situation).
au faire avec (définir les priorités budgétaires et l’utilisation des
prestations, travailler autour des besoins de l’enfant, analyser
les comportements liés à l’argent et en mesurer les consé-
quences sur les intérêts de l’enfant).
au faire faire (restitution intégrale des prestations avec évalua-
tion des choix faits par la famille et leurs incidences du point de
vue de l’intérêt de l’enfant).
L’ODAS (Observatoire National de l’Action Sociale Décentralisée), a souhaité auditionner l’UDAF du Cantal pour une présentation des
projets d’accompagnement mis en œuvre dans le cadre de ces deux mesures, centrés, à partir des difficultés budgétaires de la fa-
mille, sur la prise en compte des besoins de l’enfant dans une dimension éducative de Protection de l’Enfance.
La démarche du Conseil Général du Cantal est novatrice avec la mise en place de l’AESF dès 2008, alors que la déclinaison de la loi
de 2007 est progressive dans les départements et les services. Chacun s’est d’abord attaché à structurer les circuits et les outils.
Toutefois, il semble que le sens de la loi et ses objectifs n’aient pas été encore suffisamment approfondis et partagés avec l’en-
semble des acteurs sociaux.
C’est une des conditions à remplir, pour permettre une appropriation des mesures AESF et AGBF, et un réel changement des postures
professionnelles.
Les travaux programmés dans le nouveau Schéma Départemental de Prévention et de Protection de l’Enfance devraient améliorer la
prise en compte des mesures AESF et AGBF dans le Cantal. J-C. DUMAS
Directeur de l’UDAF
UDAF 15 INFOS N° 84 - Janvier 2014
Page 3
EAU ET TERRITOIRE
Au fil de l’eau… Le 23 octobre dernier, l’UNAF avait réuni à Toulouse les repré-
sentants familiaux dans les 7 Comités de Bassin du territoire natio-
nal. Une occasion pour faire le point de la situation sur la qualité de
l’eau et sa gestion. Il s’avère que nous sommes encore loin du bon
état général des eaux,-objectif assigné par la loi sur l’eau (et la DCE)
pour 2015,- le niveau atteint se situant plutôt à 60 % de l’ensemble
des masses d’eau.
Au moment où se préparent les prochains Schémas Directeurs
(SDAGE), dans chaque Bassin, pour la période 2015-2020, il est
plus que jamais nécessaire que nos réseaux associatifs
familiaux soient actifs et présents dans les structures lo-
cales qui gèrent la politique de l’eau.
C’est en 2014 que sont renouvelés les membres des
Comités de Bassin, après les élections municipales.
L’UNAF et les UDAF vont veiller à poursuivre leur représen-
tation à ces niveaux. Mais il ne faut pas oublier notre parti-
cipation possible dans les Commissions Territoriales de
Bassin et les Commissions Locales de l’Eau.
C’est ainsi que vient d’être lancée la préparation du
Schéma d’Aménagement et de Gestion de l’Eau (SAGE) pour la Dor-
dogne-amont. Ce schéma servira de cadre pour les programmes
d’action sur 10 ans (2017-27). Des réunions sont prévues, locale-
ment, au cours du 1er semestre 2014, auxquelles nous veillerons à
apporter notre participation.
C’est en vue de la préparation des futurs SDAGE qu’a été réali-
sée, début 2013, une enquête auprès des usagers.
Sur les 2000 réponses reçues par Adour-Garonne, il est ressorti
3 enjeux prioritaires :
+lutter contre les pollutions diffuses (nitrates et pesticides) et
les substances dangereuses (métaux lourds, solvants, résidus mé-
dicamenteux) ;
+restaurer l’équilibre quantitatif des ressources en eau, pour
assurer tous les usages de l’eau ; besoins pour l’irrigation à maitri-
ser , tenir compte du changement climatique ;
+Restaurer la continuité écologique et la biodiversité, ainsi que
la dynamique physique des milieux aquatiques (zones humides,
bords de rivières,…).
Les autres enjeux jugés importants :
- meilleure connaissance des milieux aquatiques, avec une
communication plus large vers le public ;
- renforcer la gouvernance et en particulier le rôle et la par-
ticipation des partenaires locaux et l’efficience des actions.
Une fois arrêtés, par les Comités de Bassin, les grands axes
du futur SDAGE (soit fin 2014), une nouvelle consultation
est prévue sur les orientations retenues, afin de vérifier la
cohérence avec les enjeux formulés ci-dessus.
Il est clair que, désormais, il faut placer l’eau au cœur des déci-sions d’aménagement des territoires urbains et ruraux. Souhaitons
que cette orientation soit partagée par nos futurs élus territo-
riaux….
P. ANTONY
Administrateur UDAF
PRINTEMPS 2014
Renouvellement du mandat du Délégué Familial au Centre Communal
d’Action Sociale.
Avec le renouvellement des Conseils Municipaux coïncide le renou-
vellement des membres des CCAS qui devront être installés dans
les 2 mois qui suivent l’élection du Conseil Municipal.
Le Centre Communal d’Action Sociale est un établissement
public communal autonome (indépendant du conseil Municipal),
administré par un Conseil d’Administration, présidé par le Maire. Il
a sa propre comptabilité, peut gérer des biens, des services, du
personnel, saisir la justice.
Les compétences du CCAS peuvent être, en tout ou partie,
transférées dans le cadre de la création d’un Centre Intercommu-
nal d’Action Sociale.
Il est constitué pour moitié d’un collège des élus municipaux et
d’un collège de personnes nommées par le Maire dont :
La loi confère aux UDAF une mission officielle de représentation
des intérêts des familles auprès des Pouvoirs Publics. Celle-ci
s’exerce du niveau départemental jusqu’au niveau communal. A
ce titre elle propose au Maire la candidature du représentant fami-
lial.
Le représentant familial doit veiller au bon fonctionnement du
CCAS et apporter aux débats la sensibilité familiale. Il est por-
teur de l’expression des besoins des familles de la commune.
L’UDAF a engagé la campagne de renouvellement des Délégués
Familiaux pour être en mesure de proposer aux maires, si pos-
sible, un candidat par commune, soit par la reconduction du délé-
gué familial en place, soit par la désignation de nouveaux repré-
sentants
Les associations familiales, de par leur implantation locale, seront
sollicitées pour rechercher de nouveaux candidats.
Cette représentation vous intéresse !
Vous pouvez vous manifester auprès de l’association familiale de
votre secteur ou directement auprès du secrétariat de l’UDAF.
La représentation au titre des familles est incompatible avec la
fonction d’élu municipal.
Pour accompagner l’exercice de cette représentation, l’UDAF met-
tra en place, dès l’automne, un programme d’accompagnement
des Délégués Familiaux .
B. GINEZ
Responsable Action Familiale
www.eaux-adour-garonne.fr
www.eau-loire-bretagne.fr
UDAF 15 INFOS N° 84 - Janvier 2014
Indice de Référence
des Loyers
Le dernier Indice de Ré-
férence des Loyers, pu-
blié par l’INSEE, le
15/01/2014 est celui
du 4ème trimestre 2013.
Il s’élève à 124,83, soit
une augmentation de
+0.69 %.
Champs
électromagnétiques
Propriétaire ou locataire,
d e p u i s l e
1er janvier 2014, vous
pouvez obtenir gratuite-
ment une mesure de
l’exposition aux ondes
électromagnétiques de
votre appartement ou
de votre maison.
Pour cela un formulaire
accessible en ligne est à
compléter de façon pré-
cise et à renvoyer com-
plété auprès d’un des
organismes habilité à
solliciter des mesures,
(collectivités territoriales,
associations agréées de
protection de l’environ-
nement, fédérations
d’associations fami-
liales...). Le Point Info
Famille se tient à votre
disposition pour vous
orienter vers le bon inter-
locuteur.
C’est l’Agence Nationale
des Fréquences (ANFR)
qui instruit ensuite les
demandes et contacte
les laboratoires accrédi-
tés pour effectuer les
mesures. Les résultats
sont publiés sur le site
www.cartoradio.fr.
Pour plus
d’informations
rendez-vous sur le site www.pointinfofamille-
cantal.org
Page 4
Publié avec le soutien de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Centre France
Infos + DISPOSITIF D’AIDE AUX AIDANTS FAMILIAUX
« Retour sur le service de répit à domicile »
D epuis février 2013, un service de répit à domicile a été mis en place par le Dispositif d’Aide aux
Aidants Familiaux du Cantal.
Ce service a pour objectif
d’inciter les aidants familiaux
à prendre « du temps pour eux ».
Il a pour vocation de relayer l’aidant
familial au domicile sur des demi-journées, auprès
de la personne aidée afin de lui laisser du temps
disponible (loisirs, courses, RDV, formation,…) et
de lui apporter un soutien grâce à l’intervention de
professionnels compétents et formés.
Les interventions sont assurées par l’ASeD et
l’ADMR, les deux associations d’aide à domicile
partenaires du Dispositif.
Ce service est financé par des partenaires du Dis-
positif, une participation est demandée aux usa-
gers.
A ce jour, 30 aidants familiaux ont bénéficié de
cette expérience. Ils sont très satisfaits de ce ser-
vice qui leur a permis de « souffler un peu ». De
même, ils ont apprécié la souplesse de mise en
place (rapidité d’intervention, démarche adminis-
trative réduite) et bien sûr la faible participation
financière (3 € en 2013).
L’objectif de donner aux aidants le « goût au répit »
et de les « déculpabiliser » semble atteint dans
l’ensemble car ils ont bien pris en compte l’idée
de prendre du temps pour soi sur des ½ journées
pour une véritable coupure.
A l’issue de ces interventions, certains ont mis en
place d’autres solutions de répit (accueil de jour,
APA, sollicitation de la famille,…).
Grâce à ce service, l’aidant familial prend
conscience qu’il n’est pas « irremplaçable » et
qu’un relais à domicile, tout en lui apportant du
répit, peut améliorer la relation aidant/aidé.
La majorité des aidants souhaiteraient
renouveler l’expérience…
Une vraie réponse à une vraie demande,
à reconduire pour 2014...
En savoir plus : www.udaf15.fr
Point Info Famille
Cantal
au 04.71.43.43.43
du lundi au vendredi de
9h15 à 12h15
« Je me suis offert un soin
chez l’esthéticienne… »
« J’en ai profité pour aller à la
pêche avec mes amis le same-
di après-midi… »
« J’ai pu aller voir
mes enfants… » « J’ai enfin pris
mes rendez-vous
médicaux ! »
ACCUEIL ET MÉDIATION FAMILIALE «Des champs d’application élargis»
Le service Accueil et Médiation Familiale a été
créé à l’UDAF du Cantal il y a bientôt 10 ans.
Il a trouvé sa place sur notre territoire, en tant
que service mis à la disposition des parents qui
souhaitent être soutenus dans l’exercice de leur
parentalité. Particulièrement, ici, dans le contexte
de la réorganisation familiale, lors d’une sépara-
tion ou d’un divorce.
La médiation familiale, un lieu, un temps, une
dynamique pour faire le point et envisager des
solutions dans les domaines tels que…
L’élaboration d’un projet de réorganisation familiale,
L’application des accords ou du jugement établis lors de la séparation ou du divorce
La révision des accords établis lors du jugement
Le maintien ou la reprise des liens entre des grands-parents et leurs petits enfants
De plus, désormais, la démarche de médiation
familiale équivaut à l’engagement d’une procé-
dure judiciaire en fixation ou recouvrement de
pension alimentaire dans les situations de ver-
sement de l’Allocation de Soutien Familial
(ASF) par les caisses d’allocations familiales.
Ainsi, les parents sont invités à se tourner vers le
service de Médiation Familiale pour élaborer en-
semble un protocole d’accord autour du montant
du versement de la pension alimentaire.
Tout au long de la démarche, la caisse d’alloca-
tions poursuivra le versement de l’ASF au parent
assurant la résidence principale de l’enfant.
Tout les champs d’applications, illustrés de façon
concrète, sur le site de l’UDAF.
G. BALDINI
Médiatrice Familiale
MC. GAZAL & L. PICAUD-SPALETTA
Dispositif d’Aide aux Aidants Familiaux
« Écoute Infos Aidants Familiaux » Du lundi au jeudi de 13h30 à 17h
04 71 43 14 16
PERMANENCE TÉLÉPHONIQUE
En savoir plus : www.udaf15.fr