7Se Année. -- No 32Z ?èUREAUX : Rue SaintRome, 42

POLITIQUE ET LITTÉRAIREMENTS N AN... 40 fr.ABONNE

kiloISMOIS..

ToulouseIEl91

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X MOIS, .. £0t0dS M015., 24

MULES DES DÉPARTS ET DES ARRIVÉ S DES T AI DE R NS DES CHEMINS DE FER UNUSI

ANNONCES, a ligne...... .. 0 fr. 30NSENTIONS RÉCLAMES, id. ........ 0 50

FAITS Envieux, id. 1 (E)

DFp aMat 3haMat ( p )Soi IL luson Agom..,

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Sol.,....,,...

A la 6oelité Géuérnle des Anuoneeu1s

'

A Bas

IM t (direct) hN tn rAg n)soir ( p) ,Soir..,....... EoaSoir.......... 11 0

LES ANNONCES 40, fion ALI.ca-L...uax, TOULOUSE VERS CETTE

SONT REÇUES111

Chos MM. Aavss Lnf tt/e et C. matin (diront) xhsa Matin )Carcnes7 ehs>1 e. P,.sco Il e.. Bac.,., PARIS 11atr, ........ 6 10 Soiin (exil.)., m

Il

Départe :0101m......... 10hu.

..........e1 as

9 Il au8

(al'.).. 4 ait

S (Caressa.) d 40

Arrivées:

250eRail$ fdaS (C t ana) v 4aSo oralS ........ 1f Eo

LIGNE DE RAYONNE

Matin (Lourd) ehoo!Mo0n (Nora.) chas11aan (Rayon.) 10 die Son (Loura)..So r (Pan). E a S ir fBayan),.S r (MootrS(.) a e0 Son (1layonoe) e al

MIDI ET D'OIE.gANS

LIGNE DE FOIEDépa l Arnvéex:

Mati...... Eh M Wn......., ailsSou....... E a finir .. ...... a osSOA.......... a ss soir ,,,....... E ms

LIGNE D'ORLÉANS, LEXOS-ALBI

llatin. (xp.).. falOS6hlin Grives). a DuMLéf I ( p.) E

Il laSon (Vill¢Iran) n t,0

Toulouse, 25 Novembre que la Chambre. Hante pourrait bien En terminant nous croyons devoir L'opinion publique est hostile rot toi-,_ _ xe et oover, p s I él car n dans, les faire remarquer que la dépêche do rostre des finances Flenhecn,gni a effort aa

mvr tes 'o oruone dé i i t f é di i l'hp p Hamac m sn d n ma omper rr a re us ensan c sa lord I ofttct l [u le- s ea eonvei s ou avee,FàULLETIN POLITIQUE condés partis ayantgagmeano voix. Czar rluiraie.nt au 22 oetobre, tandis 1'acerptrr,

._ I ur hl ré anse die rince C , L 1 ak ff

tante ceoFm,a

22 l, voir.I lépl .i d L i

aie d I. file, { 1 Porte reine m,plus tôt ses troupes de la Blende,l'llerzrgovine et de la Bulgare, qui se-

raient sempl'es' par des troupes russes

on par d'autres.

On sait le r(. Itu ddenu par l'ex- I e d,u< doceuncnts d'angine ôu rél o no, 9 cellede

lord De'by, rst ) G alto de !' l % s et la Gacctte II s lu à 15 grammes incoonremenL.

trime gauche dans sa prenr`se ait.- +r r pl I hs duraantre lermcr nu bon...uP plus tarte, et poi teladate N dr MN

ktY7v irl virit que I"AI- I-du cs

AOiaci. :0 il'. 25; affran-'

0 fr.qne contre Ls mmnslda

à propos vice mer rai pur r onutnde

t rmp es, ne lit 20 nover 1 r I

r

;par tance de ce Idi.e

nn d1

Cip1 t mMni

nief u r

eraene. A l 1 ' g 50 gr.lit Légion

31

assasde

e1

rils des colin- grau s lots moins de prescrite, nue l

personne,t de dates ipper, ale 1878 inclus. Af...: 0fr. 40, non off, : 0In Légion d t ne r M.

Floquete[,

, grande Importance. 115 indiquent net- k car on peut se demander, Ce. 80.aprds avoir dt v sonne ses argument, torrent leu coi acldres sIc la situation ap i, cela, si le dialogue diplomati. Au dessus de 30 gr jusqu'à 50 gr.0 Ii. 22 e bic.a vu la discussion sus xmduc et rrn aU leurI

aarc l'Angleterre

prolongerla Russie est L (' tt v d Lr L h f l fr`,2O. AIT, ; 0 ff. 60 ; n n off.: 1

frayée à pauli pour critecdti e au mi dI dt Fira ponce Borique t,0' de natureà

se prolonger longtemps. rorot I

r;t

, I sil,,ird

d (A h I . I nd A dessus de. h0 gr augmentationsistre de lu goal' t, t t répondre. C'estIl

élobht dune façon catégorique les Lof[ d I tains d .0 Is plu- J .0g. gr. Y a t de 'i0 gr.donc. en vaut yne le deputc alitai a sentiments de la Russie vis-à-vls du ç tee 1 tfoire

(I i t 1, I , ,co r A AB 0 f 40 ,Haie off. e f . LoRD.collé la voix et men icé lit gouverne tarte do pariset l'a récialon da 1 0 àO

pp gl tt de 1. nssm et traieUIb IÎIRf17 de 1TEL(iR F L.. .

ment II a Colin, lui, ré 31 g F que 4 end cl' est bsohnn.nt le qu ll I p ets.la g t con f. lit I 1 r gai e t de d, t e pied le celle que l ord D. bv 1 Carotte d Voté . dé 1 dé-

(loiscussnon reviond ro aejonr- pnnaait an o ,on I) o-.ise Hantent Par x, 22 novembre, fi h soir. tniation die C- des puresd hm devant ]il Ch..mbne. dans la d.peche publie il y à boit 4 L : de des pi notes relasüvh in- favma il s lu I,yagcmmolaire du mar-

Cu retard a, fi! ou, un bot, cl on j..is envi ail l' la Garou. u1firelle u t I , s f .cinés d'l'ap g ie, nais de Sdi,bne v.d I i:IL11i 1.

_ ( i.. L b . tl d Llq 7t 1 .tmalt' is ,a s u a I: , sf 1 a1l i lit d t. r 1 d I "'[ai. p d'autreIII r e ) 11)1 é , ét ale Le l s l i l I .1.. d1. F a l il.impe,tés. Un as dodu mmleue I a la garou que in gau- Ctu nest I>as nuans r let;, 1u ait , j I Ilc nt ezaut Iempre rG IIu m, a mots un, {es

Pchi ne ro orsrot t5 a rée roi nue - t de La le i l ipp g 1 va ur r e sf l a d ous reé l F ne ftvell i. nlacs le isba t aro des douanes.raiassen une noueerup-pcu favorable à ses pla rs. Il semble, lative. à ite dé I unpuo 0110 fion dans notre pays. .d'antre part, à voir l'Insuslosee mise man. Là, encore, le désaccord porte Le marquis de Salisbrry est parti ; il

i 'par la [boite h demander le d scussion 'or tous les 1 oints, tandis qae l A n- conférera demain, à Itertin; avec le p. il,.ébudget des cultes que l'an comptala fait do celle ioteCeive, ait ae de Bismarck.ualt is ils défi de on'dhui ton ilv. dtuns,l,1 a a r 1 e à et sol 4 pour e Il, sa pal t j t t l lis qu'elle [ be et l'Ut, a ivpnbhcain1 mil

te re-4 i l .lisent sur les senle;s rl 1 e o depuis bien longtemps, sans dèbIél r la q tiestic de,6m l s lev nd dans quel son I t e , irO f i,ils nacu.ap-o l in quelque,, L e t I t 1 a rt na tL abté, I s 1[ x et étant inou, d es i ae I , ;ales p, r ( lité die rad ont basée sur iu d

o-

;f-r 1 i I il , 1 d,s il m I P5.

fin nu tla ju'te'. et lléquil qui I q t ultonl IIe. It Prince ta ts d,mi u Ltmr pur et simple

,,e a

juge ed dota e'Laitsur l'autre i et iko(f1 et qne eettouds te le dé; 1 td M. dite.e ouinfluence. l te leviolence il toit as tir Subli t

liée, hiremx des trois gsuches se

des radu.aa e .ont pi évacs et lu dis est la ut', dé Le c .e aetad o rt dam un a f las'a

r poucession li a(ipremba rien à pcrsnmm ; Lutin, le gnmd chanadier, d chi- t rèv,nr tontes les alites'.Si lvs dé-

mititL erre leil ne fit pas que le 11 à rail f, e les voile., qui radiaient :I 1t. 1 d.l gromniodlf t

1I r t uli ale qc de - }eux de l'Europe la et de', lé'

tpe , Is ban six des trois gau heu dé-., des dal I s de Poxl t. . u ; t te dl e nts surveille, rie Onde 1 br nsmviot un or Ire do juin' motivé, affur-elle viennent influer sur l'élu trop lien quel,, I us ai es deicena, pour faire m uont la néeessuc d'appliquée le dècretf d r. L i;nl i t urte des secr te rs e ne n e v d mils. e sa etiloor d la Tu r- d M ..lai.

i a v i les. qu iedu 1 ippli tond - r efm mes à 0f B,u ont a conféré dans la soiréeC'est iolnein que (],,il avoir lien ail appui ter a l'étal do ehoscs actuel eu ce ove, I m nistro de la guerre.

Sénat, l'élection de deux sénateurs pu touche les populations clrrétien-[,+ c'mmission du hué t a entenduiuaunoviblrs, et à rb'oile commua goal- nés, ge

cha on se prépare, à cette double Tel est en substance le document. "ai. Wa (daignai air sujet de l'amende-

nege n ri. Ac nl. Prat ail demandant queélection dont il c,t snpeeêu de faire, Le ton général ne sort pua du lu g n e i aidIvLf e vonmammressortir Wital ortance; l'in.. strie d< dgdo astique ilest cependant d'unl faits' . i nposéae oxraordmairementest grandit de arti et d'aune uu' on fenncAé rr mu' h( f il t facil l 'p i e ua e c es e pu tbli ltite d l ittioraru grauensrucon;aaitgaolc Sénat roi divisé en deux de lire cnty las ignce la décision bina d'mcwrd a c le m üsnr, la -e.aups lineagne égaux. mdte cf hie. :uvMee lt i5u parla Ri-i, mission a admis gner celle dislmsition

l,es droites soutiennent la carotide die au céder à aucune considération durait l'ntic l'objet d'ana toi.pré de PI. Chosuclogg et celle du go- qui fendrait à laflire dévier de cette La Coi.

11e

a vndi le 10 aotnéual Vmoy. t) art u r Ics de i ale conduite. l'.u d t 1 Ni. Lamletta étibli-

a mlit ilo or L t. t ,ü 1 . Id. si Le surir d d + a ( I t I . 00 000 Y pour l'é,R o ment est la d p tbo f i l L d p l Ii (Itonhes-ce s le. Choix qui tant t erré- da lord Loftus t t Derby .I iii III .) quelque, eevnne rs de lut t n al.mt en croit savoir que I.ne fient à la cmnc nation que It ; mit sontrnu qne I m

si ;

les ht ol la gnache ont chmsi le-, i ici. 1lexn dieayau sic avec[ i n i t ses di ails et, EeetanirApubhanr s assez nuderes pour on l ms item anglais à Lisadna. Cette de ,eébts a de', projets de uuvaux pietrahrrr l'adhésion des membres du d6pAche, dont le texte a été ccocon ]Airs qui n'eut pas été soumis à la Chant.groupe cons'lifutionncL rogné à l'cmperer a vint d'être Un.- 1reni h vole.

Les informations à ce sujet ne cou- mise, cirent le prince GortsnhakoR On asanrequ'il sera déposé à In Cham-curdent pas. On a mis en avant les L 1 t pal, a 1 I ).1 e Il p hli ivre P p Oui Lcnd int à mWodn ienas ale MM. I o( et du g é n I éaL on a, t t d t n r. L consacrée la cet.

dudon d éhl ,ment : LE

Borel le premier est député de lu rtfulation des vis(cs pie ténu à fa Rus- ibI dss mile

1 redits p uo r dcaeIr ron rsMLanche, il apte t t à tu n 1 sud si i (ot _tannnople, et aussi ;e la ]"ai ,II. pas saisie; elle ne petitr lé i; le e,".ncal Borel t usa p ssrblte de l'os pat and la6iba li 1f t t les dtsor annuel leur fort habile, très dévoué t e par les troupes russes. Le I a'e a0.étes à l.ipphc tin les l ,ris qui nau maréchal de Mie Maelton et n'a- du d'aprés lord LolRais, sont pas :ebrogév's et modifiées parlesvont, pris aucune part aux discussions aussi entour,.. o que possible, et iL vouspobhquiee. il y t pas à rie snjut le momdre don-

Il a t pat on [lit que lus noms toit émettre.ch Li par 1 6u1es fela gain IL Tdlleuc, stnme la iuatioo.Au-

t .1ax de AI 111 .1 André, il lei.n j ntcd hnt','asu_tu le 'petit l'Ire a,.rn ml e da contre gttelae et de M. iu 1 dl' ix c o,ea: lu prou'' e,R,l lard, procureur général à la c unique la Russie nouecroit pas liéeCour d' Cassation, par le traite deParis; laseconde c'est

Ces ehnlx sonl, du reste, d'a ce mo- tue l'armée rosse, obéissant aux ordérelion renmi,quable, et ils indiquent 'cesdu Clair, se prépare à occuperiabien la nécessité absolue pour la gau- liai aria,cha d'obtenir les voix d'unopartie du Il reste à savoir quelle conduitegroupe constitutionnel. snivra l'Angleterre. Ite deux choses

Quant aux dispositions de ce don- l'une : ou clin donnera âson envoyé ànier, on affirma à gauche que les la Conférence des instructions eu con-onslitntionnols du Sénatvotxont pour formaté avec les vues de la Russie, et

les deux candaduLS le caniche dont leschoix ont été soumis O tour agrément.A droite on dément Gnei,giquomentle fuit, et il semble plus probable quile centre droit tout entier votera Pour1. ChesnclongP ans que, plusieurs

liambret sm

do cotte réunion qui com-prend gaelgacs-uns des sénateurs ditscoustilulaonnals repousseront M. legénéral Vinoy comme candidat bo-napartiste, ctvoLeroot ppoar un desdeux candidats do gaucho. En sorlc

Constiunimple, le 21 novembre.La Russie puait vouloir poser comme

crodidrnt sin, qud elle qui. la Coulé-rimer se tienne sans que las repré sea-tantsde la Turquie prennent part aux

Matin ( 1 8119E

Msoi,mm(l'1..... e.a

3 (a a)... sa ta

$oir.......... l0 4

Saint-Pétersbonrg, 21 novembre,Le Cran, r vaut dernièrement des

pe pmdanérets,

madit qu'onla

poula t i areespr le intie denplus, mats qu'il considérait son ion.

et celui de la Russie engagéspour l'obtention de l'autonomie réela-

suvnc ntei;cna

Paris, 22 novenbre, 8 Il, 'A,Rrnxellee, 22 norembre.

Le Nord dit que le programme russeohlié par les feuilles amriehio,ures pu-

lait, à part q Ignrs nommes, à p.f o à la réalité; la R

insistera 1 nue son adopti on, maise programme n'ont pas absolument in-

/exiMe ;cala est vrai surtout patte lavisant, relative à l'occupation,

I,ondrs, 22 novembre.Le table de Lisbonne à Madère est

réparé.

mran msrdemE.

Paris, 22 novembre, ;1 h. soir.An boulevard : 5 010, 70 5h. - Em-

prunt, 104 55 L lble. - Turc, Il 02. -ligyptienne, 248 75, faible. - Banqueottomane, 566. - Italien, 70 515. -Dette oxtérienro Spagne, 13 718.

Winn, t22 novembre.On assure 'lac le i esters ,.,bu a

otnné Il dérmssion ; le motif n est pas

Berlin, 22 novembre.Le marquis de Salisbury est arrivé te

soir.

.orna merlins

Paris, 23 novembre, b h. ma0n.

Le Journal Officiel ne contient riend'inportanl.

On onenre que l'arcnrd n'est pasornpléfe.mem établi crue lis fraéfions

de la droite du Sr 1 pour 1 Meclion desde. I Y a bl L r .C sde 31 Ci I p. près ter.be ,mus les eth tut etomiel, sont peu

7 j t. e l' 1 gé Fr Isiru M.

tard, dont 1 .Il' 1 on oserais Poulet-le.

Marché de Parie die 22 nac,mérc 1876Spiriuten............ 70 àO à 71 .a

CHRONIQUE LOCALE

L. crue de la Garonne a cessé, mardi

Jeudi, 25 Novembre 1876

Dmalbns de IBnnllene (service d'hiver)

sauna n, A....nue.... ..:..... ], 15, m............ 6, IY h. m., E, S, h. e. 0 h. m.; 1, 4,6 b. a.

Sunr-5,woa, par I. Céplère., ', il h. nvu 2, 5, h. e. !, lY 518-. a 9,R h.Laevennn..

h. e. 9 h, m. a I B..¢ ...Ceors-D.ve-LOewece... 9, 10 h. i 59,.n¢nec, par PEmboeihare... 8, lY h. 5 b. e. U h. m bm. ;Cuvatux .................. ] h. m.; 2 h. s. S h.e 1j2 m.; 3 h.R 112

0he

B 12L A i.' 5 h. s. m h. e.M pl p tan lith m. Rh. e. Il h,

h e,

.

r. est ,paria Ymralles... ] h. i..; 9 .. e. 1 si.. 4 h. 1't..

avta¢vv,,.ve,S.anr-Neann, Coi.ow,ane...., tl A. m., 4 tr. e. ] h. ; h.

0.

l Rh. m.;4h. dise,m. I

Sua..... n, C.ar.nnr........ ], ]oh. m.; 3 h. I alun, ,llh ljYm.46.ijlr.Pen.c ...................... ï h, m. 'dinurva D.nv ô Awr.......... 7 h d 3 I.

Dirdanches Dépars euppld d k p 'Ilemie. 10 h. tin

Noir-Le varvkn as m fruit, -Mmcc as A.a¢m d la Fna9Aa 55WTvuinase, ire nunr.as,I.

st fixée, à partir du Ion janvier 1877,conformément aux indications sunoamtes

Lettres c codant de bareau à bureau.

Lelr né etd trb oll die 1 &-a.pda meinI Sono t d

Pesée P u [ sJ g a 1 g a luis. API. 0 le

10 n n ait. 0 te. 20,Âu-drosus delh gr. jusgn'u 30

i Ins, Aff. t 0 iv. 20 gr. an.0 R, 40.

anelus. -Aff. t 0 fr. 30 ; non al'f. 0fi. 60.

An-dessus de 50 gr., :iogmentutionpar chaque 50 gr. n fraction de 50gr. - Aff. : 0 le. 20 ; non ai' l'.: 0 fr40.

Art. 2. A partir d 1 janvier 1877.la taxe des cartes p.. L 1 culant enFrance de bureau à b réai fixée à10 e.

telbuahles dans L, circonscription d'anmême b noan et do l'in is nom Paris, calfixée à O Ie, 05,

Ls Comité départemental de l'Dxposi-1 universelle de Paris s'est réuni à laPréfecture, la samedi 18 du c unnt IIl a constitué son bureau comma ilsuit

MM,Langl,de (Alpha ,) pré ident.

Flhol, prmuior . p R dent.Lofasse dc.xilou,

De Plane[ (Édouard), premier secré-taire.

Roerhach, deuxième secrétaire.L. C tr a dé e ensuite qu'il Al

dent sixneuf poulpes prévusr par o lerèglement général, savoir

1' srion : marc, d'art. - MM.Racla,

Bltarry(Ediv.), R fort, un Il flic.

du Prend, I;uzal, Chambéry Ebelol, Ga-ripa y M I:L M tee I lt hacb.

2 éclu'utire, Htgui'mal J tp ,dada t I1

MM E 1 (Par) III B ji, Da-i D ( t s I Aeyosé, Clbol,

Nid ti en3 cPon . mobilier et arcesso

tissus, héron) et accessoires. -taMnt.

M.Baci, ilVoni, Mainns, Chambéry Cour-Lois de Vi Deuvés, Daniel, FOuGe, V J

It flou,

M anal, 6lortreuil,eua-

Oeenne V .be t

se fion . industries est...fi,,. ,

prodnita bruts et v tillages etprocérdF des lutin os i (ors.MM. Bonnet' Bras' D lafoy, Eu-dres, Illhol, Furry Mannes Lshens,Moitiés, Pelegiy, de Planel, Rochelmt,bous, Salles, Tunbal-U.ageti e, Vire-benf.

,. f p oduits alimentaires ,aga It t Ili, It 1 rlicnlmre.M, 1lLi

1 6 'h. Vielle tic Cs-pole, L esse, G1Retour, Gnélc4, La-fsse L 61 te I, Lue), Nordet, 7 . c-

CI 1 ue -61m va Ah e snecnssi moudivoquée porur élire nn prruident et on

rappnrfeu'.

UEe mesure excellente, que nous avons

titre do la difficulté e{':upprochcr del'écriteau et de pouvoir le hie, les

1 jdurna.. m peuvent pas savoir le mo-j n ent opportun pem s pro^nror 1i.

renseignomgnt qui intéresse à un sihaut peint ta pOlnlaGnn.

Voici que nous lisons dans iljauraal d'Âges

Agen, 21 novembre.A Monsieur le rédacteur en chef du

Journal de Loi}et Garonne,

Soint-Gi.. I 20 à 2 h. soir,Ii. 5a crue h a 0 05. - Pluiepers t f .

A; g F is le 20 a a h. soir, 1'.8vt ;i e e b.rcitIl, 0.02. - l I of b

Gu ue à à I 20: . I 11.,`odrgIl- 30 T is pinvieux. v . tNrG st

Ah n le 21 novemb e 1876, à S n.20 m. sur.

IlGaronne à Saint, [vos, le 21 à 0

IL, et demie, 2 l ' horaire0. 10. Forte pluie L , s plairas.

Salai à Saint-Gimus, le 20 à Il h.et demie soir, 2-f ü; cr re horaire 0-10.'ires-fnrto phnn; teps`trns-plnvirns.

Allège a F Il' 20 a 6 h. die a'1-771 b berme 0.04. Plaiefaible. Le 21 à 7 ut main, rrrindrs-ceneo S'ils. Forte pluie ; temps plu-vert

Gn aAS,1,21à6,8 etctemps nt

na, eli. I.

Garonne à L2 IN.., lit 21 à 6 et 8h. mati., 1^'25 et 1 2a. - Deuil tempsvent nord-ouest.

Agen, le 21 n umobne 1876,, à R b.aO min. matin, o

IIIBalai à Baint-Giro 1 1 le 6 à 10

h. et demie die main, (lale2 Sil, à 11In. 2.20. -Beau tr pflU

Ariége à Fou%, b- 21 d -7 a 5 h. ma-lin, étale 2.10, A m 1- 1 :i1 baissa ho-raire Ooaà. Beau temps.

Garonne à Tculonsr., le 21, à 3, 6 et 9beunes malin, 2.18, 2'841 et 2.83, -Beau temps, lger vent d'ouest ; fort.pluie dans la nuit.

Garonne à ras n, le 21, à S,G et 8 heures matin, 2-70, 3M8 et3.48 ;vine horaire 0.10. - Tooaps

vert, vent nord-ouest.cunrGaime à Agen, le 2f, à 10, 1 t hein

main, midi et t heure soir, 2.:18,2-68, 2.98 et 2.76, - Bcau temps,eut ord.

L'fns sur l'Art aa avenirs de lariavepalien de ta Garonne,

C. h'eu+ucar.

RI. Lagvoy de Croutte de Saint-Star.tin général d.brigade d'artillerie die cadre ae réserve40 ae le

le3 pagnes, 1 pro.

punit tn, Ofhuer du 27 aléomnhue 1S01v,st pria, an grade ile ummandcur

deulrordie national de la Légion d'hout-

I', té, sed lat. du 17 nuvemb e,ill. N d Il jj riant sous offime 1 Ixacaml g , d g,ndarmenr, de la Il aute.Gain été us fiente onten e ,l,eemeat de51.

s

Pinte, promnmInput, i n

l letet en date die 17 no ambre,M. Giini d (.Iran Louis), rtreinompri-acinlc, ,. en 1" on 20. régimentd'arfidcris a été uounseé au grade dechef

parfois vainement demandé pour 'i'mdoau- Lotir d'assiecs de 1a liaMtese pratlgae lapais longl.enips déjà à rarouue.

Agen. A la rie Indre urne d, la Garonne, -Il, l'fngénicnr c r,leet de la navigation Présidente de AL Dea eo,aseiller aempresse. de Paire c mettre s enL

lalors la réunion des plénipotentiaires délihéeralions. ils ne seraient admis quepourra aboutir à une soluhnn taros i- lorsgnc les puissants se seraient misassure, au prix d'une reeuladn de la d'accord sur le pro e ti er, etpolitique anglaise, consenta.Là l'occu- au sujet duquel ils seront invités à sepatios de la Bulgarie ; ou bien, s'en lurononcm par ai. ou par Hou.

Lenaut aux sti ndations du traité deLe comité slave de Moscou rédi eParcs, lord lla' y ordonnera i.1 rosi g un

qu de Sabsbnry de s'opposer aux n f manifeste favaalL avi-sers esses, dans la premiu pallie gu° re saute, considérant les

litbas etot

les antres peuples 1 me Casant1a Conférenc ui l é in q sera rmp op e s en,en croit les dé nehes anglaises, h tda-blar l'accord due pléntpolonüwires.

a é121

M

de Ionlouse.dés 5 heures die si unr

.: telMes co

t ,

us out co - Insienrs fois par jour,oué à é litre ' hie

n pde la

sitimclion

du fieOe,t- Assusmenra, . U minas et GArroo,tr ton-

. patin ulun and o i seillcrs.la naisse eniiataté_ était déjà de 1 mètre .Agan, mois e eerc de la Garomie et dudiwrce du 27 um:em(rre 187620 centimètres. Le Ileuve est complétc- des sev sl'dne:its Soi les points princi-ment rentre dans sont lit. I tau

20 AFFAIRELe ei

hlu e.. sl

I,nous zo,ons i a dugédeec nié Jean Sigur dit Vig ne,oillnnt àl'n-

1 p q t v,I; turc- pat loo, sur on, iii I,. ala o ap- sled. I a séc. Iluaqucvdié, égé dejet d I. t a. pesée I I ç I l e e de la place du 32 aies, né à e i :l a é d ro ips'a sur lapost ie 1.1 i 1I I I d 1 eut t leet, Illu as ts ri il' c i l' - t 11 I, p ut e nt ne lasianieé01 l,..aie tic intégrante de la Ihessie, fulmn- peut

1 I n ;t I I I rrl 1 t o hlhe de. la m rl s 1 t,ulimi tic la donneqont contre l'Europe en décadence et Ait ter. La t é Aés leurs u es et Le il de isià Agen est de beau. I Le 2f juillet dernier, le nommé X...,mercantile, distribuables eu France ut en Algérie , coup préférable à loua égards, car, on ioLinné Oi'asile des aliénés de Braqua

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

,lie, est mort subitement 8 heuresdu soit.

I; information a établi que X.,., Placé+ quartier des agites, refusant le 26

let au soir d'enlrerdans sa cellule,l'accU-

,il -', sl

pu,ni

rulie, franchir le seuill t I I

'1 dt. oued sn1 les Il avec I nQtelle violence que le malhenrIux maladeresta aftlu5sé Salis Ia1'Le et Sacsnom-

donne 1. preuve de cviolences dont les effets ont causé lal'ractnre de plusieurs côtes, un épou-obenient considérable de sang CUtre lesmuscles supm'lieiela de la poitrine, doslésions nombrousin et lmpurt:mtes, etpar suite enlramr, presque iLüantané-ment la mort de X...

1,accusé, qui a déjà subi neuf c..damnations, oppose des dénégations oh-étend

qu'il s'est battu le 2f,juillet aven mu notre aliéné, le qui estexact, et que Ics blessure, dont il est

Tort seraient la conséquence de cettelutte. Les u instillations médicales ontdonné à ris systén In éclisiblait démenti.

Leil

il L est affirmatif, avec admis-sion des circûnàtanees atténuantes.

La Cour condamne l'accusé à 18 moisde prison.

Ministère public : M. ISellet, avocat-

Défenseur i A1 Deyres, avocat.

Audience lu 22_oeem're 1876.

nvrsrvrtmox. -Le f2 juillet ileruor, hur. Iltvalv,étaut once p I ,!î .es

numriéres à couper la hl( dans ru liepièce de terre longeant le chemin de

SL-Ybars, découvrit le rada-'e d'un enant nouveau né et horrible-

ment mutilé: 11 était caché dans le bléa 1 ]mètres environ de la roule, le sciétait légàrement creusé et le corpsvaitJéh? renouverl de gvclgues!poignées

rlc terre.]: opinion publique désignes immédin-

tentent la nomm,ir. )tarie Lall'orgne,jaur-"' e, de cenrant à Lacavgse, comme

lauteur dis ce crime.Celle fille ae livrant depuis longtemps

à l'incmudmtite émit déjà mire de deuxend':arts naturels, et son nouvel état degrossesse n'était mn mystère pour per-sonne daims la commune.

Elle avons qu'elle était accouchée,dans la matinée du 4 juillet que sonculant I ayant pas vécu elle l'avait enfouilais le champ ail ]Lillois levait trouvé,

sans avoir exercé aucun acte dedolente.

LI, hommes de l'art ont établi auontraire que l'rnfunt émit né à terme

ont et viable, qu'il ;uvoit ,écn peit-dlmt inetants et nquelquese 'avait sain

aan b,S que par scille des, loupsà l' par loriuni été portés il a mie, raine d'un

instrument coiitnndant.Les étit dont il a été l'objetétté faoires

esqne poetdrieurement au

lidos, aII ausy'a d'un instrument crae-chaui et aigosé probablement dans leblet de faire dispor,itre plus aisément le

Leverdict est ares alif, mais mitigr.

par les circonstances atténuantes.

La Cour cnn,,hoou, l'accusée à dix ansdr, travaux forcés.

lfiuistére public : NI. LabrognéreInbsllnlt dis procureur général;deanseurM,

Serville, ,vocal.

F,ra'En

il -jean-Clau, figé de24 ara, ou; àSilleneuve

(Réeaudel)t),

anciende l'octroi;

poncch (Jean), dgé de 32 ana, né à'r"i C.

Ala,t ;ig8 de 48 ans, néCazavet (Aveyron), voitseiep tous o-unlieifiés'à Toulouse, sont accusés : le let

Feuilleton du JOURNAL DE TOULOUSE

Dn 23 novembre 1876

LAN. ,8

I I a l 'cmpre r l les 2 srtres hués notre seule cal t e ag col qu'il faut exporter tels lev lu ,rages, n . r u esno. u ci., -Ils ri imncnt de L mi led l d 6 rnies0 tj ptiel ans parlons du sudou ut seulement, proscruro les ceroales et pl t -I e 9I, n. 0",712 0 Iloil. 0 gable de daines la J t dit

sia

Co o; e [Il) 1 t ! T' I 1 ,o up le cultivateurs ris Ment de- tout homard. Le p :" 't I : 1 Om,7l Iid.

que l'Empere p n I a 1 ftoi on si,ble est sur tr de mdliurs Je 1cm't' 1 L Leis t il I l idbü

se ns ua l c at e a mFeu r a I aii 1 fit l u vn 1emploi lu smoi o lit herse ou le feu se de vatr s, 11 LI 1 nni,i, laaa '. ,... .. ILd t'août a la cat et,' des Au.s Saint, du sea, fiestas pour consrir la semonru,. 1 piauler, sou, h-s I t o n , l a v r . 1 1 il set h a n e t as, fi id,.,il li

Cypl sen I l d apre elt une core mal b . p d t n 1 t rit l' lira I t I t t. I. ,

fonlune, 111- 10 b, te l' 1 h, la il ,,selon

I sla f.rre'urc nia c alto liulr,bstrnr d 1 1 u mé,ee,re I pl I t des Is créer des fo I I. t ..-.".ci,

sujet dru (ha g m t d alcool, t Is- nous dise tt . il tant captait le gii n le fiel partout o ores des g soda t s, DE1'AR fEMEN w5porté pli- ovines à Ilsans p yen les drmts, e iSl, va t i le l'intensité dis f o 1 C 's clin g : é ne des anglais lu. t i 11

à plus de 400 fr. seraient fondées et cette obsrvat r t est donc preisibli avec un pmt de ro I d t du résident de la i ii-Eu ce qu tond, l'accusé Muylid, t lsj uate,si les racines Poussaient de bas flexion,

de

e concilier k, principes avec ce bl',Irendt sur la' propasullisdumiuis-Ferra avoue encore eau l a rr ; I ale ce cu bout. A peine le pruniejet de ne, que nons croyon, une bonne pratique- lis; de l'inieticur, ont été -nouilles

vil

dernier de pe!iles sommes iii' III c. et getation s'est-il épanoui à la surface dudei fi., pour lui laisses introduire en sol mine se forme 1. -flot, centre des Nos foires présentent un aspect as s

fronde des spirituels. forces végétatives et point de déprl de peu rassurant peur c rx qui comptent

Maylin et l'om:ch opposent à Ferra la végétation aérienne. Les graines lisp réaliser des bénéfices depuis longtepsde; dénégations absolues. enfants peuvent lever diflci!ement IL aspects. Le gros bétail et le Inutilité-

:i,nnlei'e public M. Lsbroquèret même ne pas lever dis tout ; c'est là croit deaienre la plupart du temps tn-substilot du procureur-général. l'inconvénient os ensemencements trop vendu et invendeble. Les fmu'rages et

Ilfifen.nenr, AI FuTon, pour t'omet ; prétend s. les pailles ont aise valeur élevée, c'est ceM Favarel, pour P... rit ; et M Fous, Dans le faitdes semailles il l'eut encore qui esplique 1. baisse dont noue paefous.fous.

viral, Afarlin, voir deus quel état on laisse !es tereuins Exeeptiomtellement, les veaux de lait:r

I,e verdict est négatif sur tontes les encés. On ne peut en disconvenir, sent recherchés et se paient à des prisquestions. eu procédant aux semailles il parait trés-élevés. Comme ou le sait trto-bien,

Les ar usés saut aoquitLés et mis en vanageux de damner en mime temps les jeunes veaux .ont recherchés dans

liberté.

c

in léger labour, lui fait perdre u os boucheries et fout face à une con-L

M. Emilic Vao-den-Meersch a donnédimanche, avec ses oiseaux mcrreillons,

e intéressante séance, dans la salle desPas,^nrdus, au C pitole-

Un public d'élite assistait à cetteedan e

tes oiseaux merveilleux de Mil- Van-d n Ment mit pas été an- 10

de leurréputation.

Is

tnton.:t [a vlé

lceleuer

le5011ms

deont e ..fi. 1 vrais

tour force, de vrcis prodigestelligenre. 0n a beaucoup applaudi Ca-pue4n, Pinrnn, Dee-de-Cmnil, la dlt,,ageCal%a1, eL sortent la fée qui dirige à vo-tonte ces charmants volatiles.

ChroNque atrloole,rv r e n nias a'amamue.- que Let-Il pa.,., a.

Dilil,eales ixeanx, Je basseicourIdmea.s Le si-

La culture a profité de nos beauxjoursd'automne pour procéder sus semaillesdu froment. Ces travaux se sot faitseugénéral dans d'exveiientes çinditimus, àl'exception devons qui ont été effectuést ro

pfat endehors de l'é o ,e habi.

loche. Ici nomme ailleurs os ue saur ittrop recommander sus agriculteurs de

snpuleuscment la pratique

r

ée par 'umegeuelle est 1. m :fleure é ale oQ p t ur

prod'der aux ensemrncemImstC' C'epst

làn gnestiou à agnelle la prati

m

queeruile est appelée à répondre. 11 Paul

mea dit la pocle, cal sullmhee vina.x 5d'tilrcurs l'useaa rilaire.

Si o mois d'octobre à lauufis de no-

embre le moment est propice pour nossemailles d'automne, Ies terrains siliceuxou boulbènes devront @tre ensemencés :Ics premiers, avmd que les pluies et lesgelées aient détrempé et refroidi le sol;la règle inverse sera survie au printemps,et I,, boulbènes ne seront ensemencquo lorsque le terrain Bora rcchnnfdpar ana température relativement éle-

YeCe s rait titre trait absolu, et plusexigeant quo la nature elle-méme, si

imposait des limites fixes à l'époquede ns milles, 1,0 récolte. tiSI-mé-divcreen froment, qne nous avons euen 1877, a été piul6t le' résultat t'use c

wnt Cait dons um lerruin tropotrrmpé par les ploies d'automne qnede semailles ardivos. Sans avoir pot allerdans un sol cunstammeut husmide et du e-et par les

pusdis

trmps, les

grains qui cisl ie ntnrilé et ont pli donner une qualité ex-ceptionnelle.

Ces divers objets ne paraissaient uni-

e pas dan

i

s poches qui étaient d'une

,boitillé usiléo et dans chacune des-

quelles on aurait pu loger fil, petit en-fant.

11 prnuança eu roue uni douzaine deIls olro., n, montrant du doigt ia portoprohibée,

pets il me donna doux bon-

{ j NN Elies claques sur les joncs eu signed'outilél REMIÈRE VENTURt7

ment., et rmnonut l'échelle pesam-

DE CORENTIN QUIMPER

[.a petite taille et ].a maigreur de monin Piteux arrachèrent à 1(loota n

geste d'équitable dédain. Un sourirel'emmena et de -trottaient vint an;ontraire à ses lénros barbes quand il

o regarda à mon tour. le le tronvuisvia mil pour la b.im e opina. qu'il

,viit de moi.I.e pnnne:rn d'en hant

u

s'evtrruvritde . et ll'on appel 1(lootz par

t,Ilm

épamdit

un bollanois qr 1-

qac chose qui, oins doute, voulait dire:

On y vs 1 - mais a. lieu d'obéir, ilae fûts Iev bras, les épaules et le dos

ie évidente satisfaction. J'eus unfur

i t d'orgueil et je dis :nmuvl'nQuimper et au Pilous, ça n'a

jamais fait ta paire, mon brave homme IIl si't'ua la tête en homme qui ns

unrprind pas et leva a lanterne. Leréduit éclairé m'apparut beaucoup plustoge quo je ne l'avais supposé d'abord.].u rcl'ugc du uoohmu était à moite deré.chelle ; à gauche, il y avait une portequi fermait nu taquet. Eloolz me mon-ua cette porte et se mit à bnrago ruer

une certaine animation e dou-ant à es gros yeux une expression decarisser.

B.urbe,Bleue devait avoir cet air-là,m pan, quand il confia à aa femme la

clef de la chamhre ou il était défendud'entrer sons point, de mort.

On appela d'en hait pain, m secundofois. mort, posa sa lanterne auprès debu jatte et fouilla vivement ses poches,d'air il retira deux cuillers de bois,deus gobelets de cuir et nue bouteilleen grès courte, mais ventrue,

Qna ,il le panneau se fut refermé surIii, je vonlns éveiller jean, mais je rco-,octroi ses yeux grands luttera, et toutends qui comme des chan-

delles. 11 une dit :t- As-tu compris Tn seras mangé

le premier, para que tu es le plusgras

Je a saurais expliquer pourquoircLie. apostrophe irenysin ne n e donnale malaise. Je ne croyais pas aru metde ce que jean me disait, et pourtant,

j'ou, n. fine dos- 'fu armais donc pas, toi! de-

Jean me répondit d'un ton impor-tant :

- Dans les moments dangereux, jeue dors jamais que d'un ceil. j'ai bien

senti gtiil me letton les côtes, et çs' vail pas mine do chatouiller en, ap-

petit ; mais toi, tu es tien en chair etgras comme une loche. Tu fi-ras u.joliragoût, m m cousin C.-Lin, pour euquelqu'un qui ai.,, çal.

La colère me reprit.- Est-ce que ta vas recommencer tes

bêtises (m'écriai-jn.- Bon, lie., top]igna-t-il, jouis do

ton recto 1 DéLiies t:mL quo tu van-das 1 On nous a mis dans le grée-

r, pas vrai t nous sonmes desprouions comme le co.hon,tles navets

et les aroltes-l'récisémeut parce que sea paroles

Hélaient pas sans produire sur maine crtaine impression, ma colère s'en-

venima et je dis :- Errait, Jean Piteux, sl ta as de

méchantes idées, garde les pour toi, mIbien tu sas recevoir de

l'avancement

t

m n Quimp r,Ce mot fa ori dennloin d'attendrir Jeanle rendit plus

parue des herbes adveulres capables smmnuon toute pstt ,ile. es a. -de résister à des hivers tempérés. unz de basse-con, out paru avec pro-

Le semoir mécanique e remplirait fusion silo nos marchés. La plmp.uri . r

pas ale but sil n'était précédé de la sont vendus à les prix très-étends. Lacharrue on du seari

[iraient.

hausse des mais, dont la récolte estLe scarificateur seul serait préférable tris,médiocre, s'est subitement déclinée.

an semoir finetionnant smrs le concours Nous espérons que nos eultivatenrs au-d'un autre i trument. ont, pendant n. ou deux mois, une

Sans avoirà se préoccuper o la pro Il t asion pour vendre le grainfondeur de l'emomrm.oment, les x s duo u a 1 engraissement.à plat durs uu terrais bien égalité etwlé nu beaoiu, laissent les jeunes

ploots moins exposés à In nguenr dufroid qui frappe d'une manière particu-

lière les arêtes et le sommet des plan-hes.

sana la condamner d'une luis ire ah-.olne, la chrrue employée ari. semail-les dans les sois humides est presquetonjonLors préjudiciable à une bonne rém-sile. s herses et les scarificateursIlonnent, dans beaucenp de cas, aneillenr résultat quo la charrue dupays. En lesOiU , il est bon d'avoir à

drsposuamt, pour faire tin rapide

besogne, plusieurs semoirs des herses etdes scarificateurs, Il ne faut pas cepen-

dant proscrire la charrue, qui permet,

dans les terrains exposés aux eaux, deformer des planches ayant pour butd'assainir au besoin les champs mise

encés.

Qne penser de cette formule, ta et

propce par nos agronomes et qa,blaitétre une lumière destinée à éclai ernos pratiques agricoles. Fourrage, bée

tail et céréales.

Si vous ajoutez, à cette formule pan-. pour celte mann, vous I'

es da ns lo v i. Les m omptis' opassé, jnints à I ceux du présent,nousrendraient la tâche bien difficile, si ..,es-fous rallier la mnjm'iaé de n s lec-teurs an principe agronomique.

o

sS'il est imprudent de changertransition tontes nos cultures et de boa-eleerser, de fond cu comble, mus nosssolemlus, il est peu rationnel de de-

ier dans u ie qui nus laisse-raità perpétuitasuos progrès et surtout

sans profit. Dans la fougue période devingt ansqui vient do oile', la cul-

ture deso

céréales ' est montrée ingrate,difficile et pou paoctive quant au rmt-dmuent final. L'extension donnée à lavigne et à la production fourragère ontdéjà modifié avec beaucoup d'a-proposle programme précédent. On exporte levin, nis ezportm aussi les fourrages en

partie sans s'arrdter aux principes sou-

ent exagérés de la restitution au sol.C'est par les céréales sncoessiremeut et

nuellement xportées qu un arrivepromptement à l'épuisement dos terresou culture. Nous n'émettons pas l'idée

hier malin on a retiré des eaux duanal du Midi, au quartier Afontplaisir,

le cadavre d'an noyé. Il a été trons-

porté à la Morgue.

4faalque. mllilaICN--o-

dcaLE D Aari4txal.

Prmgenmme des morceaux qui seront cet-ratée mujourd'Aai, 23 nocernère, de2 heures d 3 heures 112, au Grand-Rond.

1. Le Camp d'Auor, pas redoublé(Constant).

2. La F1te dis ridfuge voisin, onverhtre(Iloïeldicn).

9. J,reyachutz, mntaieie (Weber).

4. L'Jiloile du :Nord, maem ka (Aleyer-

Ii. tu Aluel(e da Yorrici, cnlaisie (Au-be,).

6, Marche turque (Alozrt).

OBSERVATIONS METEOROLOGIQUESDes 21 - 22 nove..

VIITea A asnnVATDia.

ALTITDU.: 194.

n.n.°i -- I Ta...,

7a s. 746,8

lo^ s '747,7

7ivn70r7,7lo^m. 748,11^ a. 746,'.1

4^ s. 747,1

} 7^,D} a",8} 4",e

} 9",2

beauid.

id.

venus

NO tr.faibl,NNO id.OSOi e sNO l'.raildNNO faible

p.nuagjNO tr.mihle

Thermomètre eenligradeMaximum du 21 ....... --}} 11'2Minime de la nuit suivants -}- 3.7

ealeali ace ehaerrmions values

as n cr nni-utte.sr

sirimtie Liéremu4 ,ua

Du 22; novembreTherm. sentigr. maxime d'hier: + lI'3

id. tnn. de la unit t -(- 3"44

mauvais, car il grommela :- Elle te gà'ait, la bonne femme,

c'est air , mas fit ne la reverrasjamais

Les larmes m'inoruiérenl la joue, iléprit- ee que tu ana,s plus o

et qu

it que lu nis serais pas tachéde coonaltre ton sort d'avance, pou r tepréparer à mourir chrétiennement, maisdu moment quo fi, parles de Limure, je

is bien il., je ue suis pas si fort quetoi, et d'ailleurs, ai mangé le pain detes parents, je ne voudrais pas rendrele mal pour l'se al à mon cal ingermain.

mAussi, s tranquille. msje

verrai, aintenant legros boucher ai-guiser ami coutelas à dépecer que je nete crierais pas : Cormuin gare à tesbiftcks I, Chacun pour soi. J'ai bien

s, ma peinaas Ayant

nt ainsi péroré de sa voix la plusn ne il se coula 'us uu à 1. jolie eL

y plongea une cuilllr qu'il pond seslèvres, nmt sans que que me , aieà peine eut-il goûté la première bo..inequ'il se end à m anger avidement.

je dis bouchée parce qui le contenudo la jatte ui était pas il. simple potage

me je l'ovnis cru d'abord, mais tienun pot-ponrri à 1a flamande, il yvoit dis poisson, des pommes de terre,

du lard, o bmnf salé et du caviar,L'amitié aincére que j'avais nos Jeadéjn

emdestait, j'ai Jir le mentionner à

ne dose rousidia Ils mépris. Jo antregardais comme

sonent maure a cependant

à mon insu, il exerçait sur ami lue trés-réelle lu l'ace.out

t I tracé, je e mourais Itefai'fm

; il avait sufd des derni'mes pa-ales de Jean pour me couper l'appétit.Afaintenany eu le voyant dévorer, l'enviede taire comme lui nie venait et ja de-mandai :

- C'est donc bien fameux, ce tri-col-là t

Jean me répondit sans perdre un coupde dent.

- Ça tombe sens 1c sens que si tuveux engraisser ton dinde., Lit lui ehoi-

mon malaise pour avoir le temps detout engloutir ; seulement son ambitionétait an-dessus de ses forces : hl.otz,

on futur bourreau avait apporté assezde ragoùt pour contenter quatre han-

et quand mon cousin Je.. renonça,bourré jiugdà la Incité, la jatte restaitnx tans quarts pleine.all respira énergiquement, et comme il

a,alt perla tout espoir de loger dansventre une cuillerée de plus, il me

dit :

- Pour bon, c'est bon. Il y a la de-dans il,. quoi Caire à diner chez les Rélieperdant trois semaines.

Il ajouta d'un ton aimahle :- A chaque jour son chagrin. Bxh I

mets-i ti un moirai sous la dont, Co-renlin. Quand méme il devrait t'arrivermalheur, cet n est pas nue raisou faut,]miner. ,h ta place, mer, je le laisseraispas refroidir la bouillie,

Tou en arlaet il avail débouché laboutei

tlle aû large neutre et versait dans

sonsut et nelde 1

tnolque chose qui me pa-pure.

- J'aimerai mieux, dit-il, du petit ci-dre de 1101 ; mais à ta santé tout demil

.s'omendaiuà vue d'oeil. Quand il ontbu il lit claquer sa Iangne et ses yeux s'al-lruméreet.

- C'est -reg ms sgmids m !roisotte 1 Entends-tu, mon cousin Cornn-tin, et dis dur ! M. Sacrant n raitjamais mort cil su rait ou de pareildans ea ornière maladie I

11 emtefiplit mon gobelet et ma le tendit,Sa rolait limule et il r gardaitdroit.

Le grog ét IL drrr, en elfes et je nerois pos

e

qu'il fùi th issiblelldnrearélle-

e, Dèsquemoment de

]rus vidénmon gobelet, jesentis nons ur qui se rcnl,tt.it à saplace, et m'asseyant' par terre avec, lagamelle col.,, les jambes, je commençaià jouer de lu macboire.

Jean Piteux détail rien auprès demoi, quand il s':Igissail de tordre et d'a-

sis de la bonoc pûtée..

J'ai ,lit$ qui il avait laissé Ion troisIl appuya celle sentence d'au regard quarts de la ,jatte ; en dix,

,

m msLes designificatif, Le coquin voulait prolonger i temps,j'en vis le fond, et je dois dé.

-ocLaveavnt. - Mtiree : MI. 1001,1 (11mo-

Aajnbn5 AIAt. Rotpues Liberia,);Te:handois

V(Aimé).

assal. - Maire : AI. Jury (Guillan-a)- A Ijnlnt : M. Drgeilh (Gnillaume-

Delpepool.Saiut-Girons. - A1. Mnr"re

pteurp.Sainle-Croix. - Alaire : M, Robert

IsSium2Saint-/-izier. - )faire : 11. do Tcrsac

(Urbain.)

ÉTRANGI ROn écrit da Saint-Péloeuhourg, le 16

novembre :Je vous envoie des détails cmnpl

Aujou-claires s la g 1. revue dour n t l p f I,tion je

Saiuuut

Pulea'enu er, était end Lafoule autosmit, a ,rdce qu'

so tuait guère adlml n, le long lestr-larges voire que l'Eanprrcur devait -

c et à la gare d'arrivé,, malgré necneige ipaissc qui n'a de tomberjusqû à une heure avancée de l'aprés-ueidr ;mais, en Rnsaie, on est habituéà la neige. La ville était pavoisée ; auxbalcons,on voyait le drapeau russe blanc,jaune et noir, à côté, du drapeau slave,blanc, bleue et rouge, -notable andra-peau français, avec cette différence,quieo France, Ics bondes sont diviséeslierizoulalmneot,

laidi, qu'elles le sauteeticxlemeut mur le drapeau slave. AI .

fenêtres du rend-chaussée de nombrede maisons de belle apparence commeil y s tant à Sainbl'ebrrboueg, l'ima-ge de l'Empereur était placée entre lesdrapeaux.

A 11 'Sel. l m heur 'ps deéait à solo,

unune

d demi

herrenorèués

eéttaità

S

aint-Pé Le cuple n-la

tiré,usa b it tiré,

et

t un peuple iu-enoe s fil mé matl'air de ses

aemouum

mations. ans min moment l'Empereur' l assis dans nis trolo'mi, auquel émit

. ilsteté

un l à Nalqoruc

ch che

vae flanc et il'eso1iui seul'ust flic à N nets d'e de Kalita,

au milieu dun dols d'une pnpufilles,e 'anenthonsiasmo. Les rienla Uoet nons l'assoie,

n'avaient

t rendde

factice

iceet rl tant en avoir été témoin pont en

e idée.acAp'èsnec courte prière à l'église de

Nohv Dame ile 1(asan, l'Empereur estponté en crafeau et, par la pers-

ne,ti,e Nevvsky et la grande Sadnvoga(grande roc des jardins), salu..L de la

e

et de la main, Il est arrivé su Champde Stars. En dépit de la neige et d'unciel gris le apecacle était imposant. Ilr avait ne mineure (elle dans les

s ad,jacmtns, an jardin d'été, sles quais du canal de la Fan-tèanka etde la Néonequ feirela fourmi)l;ère humaineamblait na qû un tout. Deux os

côtés du Clsamp de Mars sont bordés depalais, d'édifices publics, de maisonst umptueuaes. Les feua ses du palaisde r marbre, résidence dis grand-ducConstantin, celles dis palais du princed'Oldembmurg, parent de la famille im-périale, de l'hôtel de l'ambassaded'Angleterre, de la belle caserne d'un

cirer qne de ma vIe je n âvais tâtémeilleure ratatouille.

r Pculnt que je Imaugeais, Je.n bu-vai.

C'était nn enfant sobre par nature etqui n'avaite jamais e oc rimezde faire

déhabaochuche.

J'ILurs l bienccccu-pé moi-méme que je ne faisais nulleattention à lui.

-A boire, lui dis-je, quandj'eus em-S ms dernière cuillerée. Ils ponr-

iént rbien v e demi-douzaineee leurx coutelas.u Nom de bien ! ils

lent de la peine à me mettre à labroche !

,jean poussa amssilut un véritable cri

Ils guerre. tl s ëteit planté sur ses jam-bes écartées et se balançait au roulis

comme un fn matelot.- Une (lemi-ominuiue, répéta-t-il, tu

peux bien dire une domaine, et demis,i! Saperhlenre de buis! Est-ce qne

lue crois qne je les laisserais t'écorchervif, mon pauvre Corentio ! J'en prendraisd'vecourâ ârpmlr asnommerle resté I

men

Je leregardai.

11 caressait sa corurtetaille, et ses yenx étaient gras c nmede, nois. Je ne pouvais ru cru re mes

veilles de l'avoir entendu jumere,011 m'adressa nis grand geste, tout plein

deferlé,

et reprit :- Tu ors pas cause d'élire un tsuli-

net godiche. NIai, ortinairement, je faisfrôle pour pas qu'on se méfie de moi.Ah 1 ah I j'en sais Inng, mu Elle ! En-

'est bon de boire. Eu bavant, jevas le moyen de taire comme M,Sarclait` quand il amarina l'anglais sles brasses dis Bengale. Nous mentirons

Ile le pont, nons prendrons des sabresd'abordage, des pistolets, des tromblons,des caoous, quoi t Nous LHeeuso tout leno de pour commencer, et puis roule

ta bosse, ai c'est du lard, comme ditpapa. Moi au gouvernail, toi ' la nma-ncnuvrq eu rl le pour l'Amérique,bonne brise et beau temps, avec l'avan-tage de vendre le ris et lu paaülle,

comptant, crédit est m.et ! et deboire du squidam tons le long dis che-

rn, mar 's sans e saperbleure debois 1 Ah ! u, le jnnr, la nmos

et houe deri dora! Pat vrai, mavieille1

e I

m emermperrul en' Imm:Lriuéi Lmollé à f' sil, il pot lait 1 uniforme de

I t P I.I ges

d I

t'tld

1 p g il" tIl in taus le oMIfiel rosses.Cinquante mille bomme' 1 t rl s

,mes dues une belle shLitud,P

t1 c1coo, c Alors, moins r t I-lui de P.uds. .t r, se du t ans

dont', Ics troupes pétaient pas et1le-ne de parade ; elles avaient l'uniforme

de cunpaglie A midi cinq m lentes,lorsqur l'I:mpeeuur,, sI i 105 ,'randsducs et d'un brillant ehet major, où 1 onpouvait distinguer lis envoyés militairesdes purssauces amie., s'est mis en mareclic pour passer devant le front destroupes ; e.Bes ont fuit entendre deshurrahs anxgoeis o sont mêlés crus dela population entourant le Cha-Mars rt qui sis sont prolongés

daea,ndurant

pins dru quart d'heure. l'or visndbien

des choses c e, jamois r e

emblable. Les consignes des régmuentejouaient l'hnymne national :Dieu poetléeJe Csarl O t.taiL h'auspnrlé. En lassantdevant Ics troupes l'Empereur saluait dela main disant : Ilonjonr, enfants I Je

vous remercie a, et Ics sollls répou-chient : Que Dieu te conserve la sasteltu peux toujours compter sur nous..

mpr,. :ortége s' stI. 1

rll tofret t dis palais Unpr le, 101d I. g et 1o défilé a

i, I.a passant devant lui, lesLI on I I i t 1 selles accta-

air us. on .u ,a déllel s ccessivemeintci.:usec. enlaiu 47 bataillons, 38 csca-drens, 16 batteries d'artillerie, 11011e-

'e et ari as accéléré., lavalori, a.s trob, Les

J'halages de l'artil-

lerie de la gara sont superbes. Lesétrangers mit particrdiérement admiréles beaux régiments des chevaliess-garde,celui des grenadiers à cheval de la garde,les cosaques du Enubau, avec lienbonnets ronde ea astrakan. An moment

rait le défilé, des aidesoù commen,amp Ao l'Cns renr étaient la g m

galop dire a x troupes que le grandduc Nicolas étant nommé ommnndanten chef de l'armée active du Sud (cr-tuée du Danube). Celte nouvelles téaccueillie ove un cuthonsiss e qui te-.ait de l'c.1totion. Après

lle défilé,

l'Empere.ur, à la vue os troupes, a entebrassé Ion frère Nicolas, plis commepère du peuple russe et chef de la reli-gion orthodoxe il lui a donné re béu .ié-

diction. Rien mi saurait rendre lbecs,tien qui â est em parée do tontes les dures.Lcs généraux dont l'Empreur était mtourie ont Mé leurs

casqeues

; quelgnme, attei ot les I.srntes aux yeux,

Lelle

sollennité militaire qui empruntait su

.'Intiment faillie et aux circonstanceslits actére grandiose et presque sacréétait entièrement èbne rpo 4 h. 114.L'lsmpermur après s'être r

eeposéquelques

insmnts chez le prince d'Oldembourg,est retourné à Taarskoé-Sblo.

Le Financier, de Londres, publie le

passage suivant sur les défenses de

Couatantiuople :

\ous s nmes en mesure d'nnnovice,,non pas Officiellement, m

la miche que comptes sr es legouvernement briannique dans,l'éven-tualité d'une invasion o la Turquie parl'arme, clisse. Un corps d'armée anglaiscouperait immédiatement Consiantino-

ple, et la mçado dis côté de terre decette capitale, ainsi que lus lignes deGallopoli, commintdant les lites uro-pécnnes des Dardanelles, se ment forti-fiées et dF'fendues pop, pouvoir résistersi jamais elles venaient à lire altaquàes,ce qui nous parait plus que deuteux.

Il reprit haleine hie. malgré lui.Toutes os idées n sou iaient cesses,d'autant qu'elles me semblaient prati-ques et M'use réalisation tris,facile. fiequi me fichait, tétait de ne les avoir

paEvidemmentecleegeniévre avait grandiJean Pitemz démesurément. 11 me met-trait le pied sur la tète.

-D'aboed,primo, dis-je halte-là1 Qmochacuu garde aon

u

! C'est moi le

capitaine et toi le nion , e sortons

pas de làJean reprit son air mauvais pour me

demanderPourquoi est-ce foi le c luuiu na t

Avant de répondre, jo busl0e fond dm

la noutciue, puis je dis :-- Parce que je mie fort et loi

pas.Mais on m l unit changé mon Piteux,

décidément, il me lit nis pied de .a,.. etâ écriai:

- C'est bon chez les mules; entrehommes, le plia malin est Io maître 1

- Et tu te c rois le plus malin, toi,Pileuxt demandai-je à m n loue, lespoings déjà fermés pour la bacille.

Je:m reiversa dans sa bouche la bou-teille ou il n'y avait plus rien. L'ivresselui donnait une si drôle de figure quo

a wlère ne tint pas. Cormue j'avaisapparent

enl le iérri plus a'rqloi, je plui, perdis legnllrbre à fo6rcei d

qnee

rire.

11 me mit aussitôt le pied sur lagorge pour tout de bon, et me déclaraqui il allait me tuer si je ne demandaisgros.

C'était sérieux, je n'eus que le tempsde saisir à deux malus son mollet. Désque je l'eus terrassé à mon tour, il medit :

- Jeux de mains, jenx dis vilain, lises trop brusque, prends garde o meblesser, je ne veux plus sus divertiraval toi.

(A continuée). Pan FEVAL.

i

-lu

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

La Lrçadc de terre de Constanlinoplea In pi s I IJ lI s de lai r

Aagt u t t 'tt l bl Ig l osa t o t i t e 1 o t suglais,in, II, et, elle a I :a tell ordinaire 1

a,vge, p ll l y I Ba Ig Rposili Il 11.. d l 1 ealuni 1 . .'t p te B e.,I:mcll peut étrr, defsn lu avec la

tu,

facilit'.On 1. 1 que 2' 000 I es de.

p gi :.s sl'at 11 e t i terril d 1

me, et lutin le I I

a 6 lais, sont or I flirt, le le-,voirpugeaphul ie 1 t I.

'5 plat mettes, Il.l lCari la

'api

trio b iqLiil ttl u ti-v S N

Jl e u t d. 1, SI I I IL

ntn n l l nrqui, et la Rosi e,yin I t

CIal p 1t lelles I, lnreell,. n.ls elle. SiIL r

ss+t Ctl Asr I '1 t lasAloseuviteq ont nu et p 1. bataille a

c Lea drnpesux a'ai

il sr

tE1lui dons la Bulgarie n1 dans I Anlut),I bat unique du I'rrglelerre, et crbut-la le ut,e tient 1 S sil tP estJerld le I s jusqu'au bout,

est de ,li'fe u tri' et lesfars .s 1e11 s eb it en Schor sise., l'arméeau la marine civile la emparent.

L'A gl . I . rte oco p t 11. tet tom attise ment 4 sisntnnt pie et

uissoin :1 n des lput sauces et

dent,u I. nir- ces

t'sitôt qu'on Clef rire se f,1in tsur

le Dosphoue uo que toute auBs fi,-1 Sifion serait pris n dernier reorlpar l'Eurirpe prnro la garde desDar-danelles, l'Anglcle sec se retirerait vo)aubier .Ainsi donc la politique dut va-l let gl e,t part te t lare et1 lin r. I t t. pesas. latin. d piète.

Ilterritorial i il a vu un sul

objet d erse importance vitale pourlesintéréls anglais. An delà de cet Objet, il

ae fera pas un pas de plus ; sen nepourra le forcer à le Paire.

VERSAILLES. PAIIIS

rnrrerpendanee partee,rdfere

Vernaillrs, le 21 no embre 1876.la Question intérieure a pris depuis

quolquea jours une I:ermine g avité : ilest certain que les gauchos en plutAtla majorité radienle sont animées dessentiments les mo nciliants e151. Dufaure et rueI

dans ce q rut ap'ive nos s-ton 1 fl1 . Les ter 1 r ls é arts

d'hui, ii propos Anabndgnt de la Lhgiomd lion I. h I IE. dent ni ni,les c<OC I,

t le ,r stualitésqui

assonrbr ist t honaan.

On n rte dans las roulait, lesparoles g+iauroil prononcées hier M.dr Marl ma unira drus groupe dedéputés, M. de ALmeéao garnit. dit qn'a-prés le vote tin budget i1 serait obligé dese retire,.Uns nsl affirme, ce matin, sine cestparoles

Lait été putmnncées par M.ministre te

-moie

rmcltctda .o pas ajouter sasroi a for, dans la véracité de ee propos.Ou se demanda, en effet, à Duré lle-pos M.de Marrére . serait laiss allerà co Lao I de bleuragmnenl,étarit plus site M. le ministre de Tinte

dsliaseu jnsgni ici trop à se

rlaindre parti rép mnhhraplaindreLes journaux allemands rleeievsent

plus précis et pins catégoriques sacla question de 1'exposifion niirers,lle.Ils disent aujourd'hui que. les humble,Je comméré, de t'empire ont conclu, engrande mnjurité, date., lit sens faon"fileÀ la participations de l'Allemagne, mois

exigeant de la ehancellerie et despouvoirs publics, pour Issu celte

participation, les subsidesrmgne te

gouvernement prussien ne peut n e

vent ci ..or. On en peut accepter cetargument rtliaree mue certaine ré'-serve.

M..le est parti pour Cons-t:mtiuepte avec su femme dès diman-cLcsoir. Ni. de Clandonly et ssien se mettent en mule pour Briadisice soir. Quant au marquis de Salisbury,il est arrivé Ici hier soir et ne doit no.squitter que porte aller h Berlin, de làà Vienne et à Trieste et ensuite à Cons-lantinople. IL est donc faits que M. deChundordy doive avoir aujourd'hui unero férence avec t'am le a eue anglais.

Quant au voyage de rte dernier ativ, s'il réélise et rte à roi-

qu'ilqui il doit en Pure ainsi, , puisque laGazette de niora agne du Nord Ahoncecomme monitorat t le retour du

Clsance-

lier à Berlin, et il est de nature à frap-per beaucoup et jnalemett repinion pu-blique.

IL

semble démontrer eu tout casqucjnsqüa présent les engagements de1 Allemagne :nec la Russie ne dépassentP.

une certaine limite etqu'aprés tortla politique dit cabinet de Londres dansles affaires d'Orient, nia pas troublé sesbons rapports avec le cabinet de Ber-li.

Mans tous les ea.s, les perspective, depaix ne se mont pas infinimentl alRrlsussi

eses. On continue àcroirre qusine

lf Russieest tellement engagée qu'il lui faut desaatie[actiona. or, la dirficulté est de trou-er ces saliafactions, et il est fort possi-

hleqne,

la conférence y écho.e à moinsqu'il tin Ixsnvievne à l'empereur d'Aile.-mague de jouer le rôle d'arbitre en di-aut : e Voilà jusqu'où il faut aller : an

sis plus avec personne. .delà je netuMais malgré vert:Iinee apparences, je

suis porté à croire file tempe reur Guil-lume Co prononcera pas celte sentea-

o teint an moins que i il étaitla prononcer, il renronirerai, en-

tour de lui des obstacles puissants pourla faire exécuter.

On avait au m suent de que

le

turede la séance de Is omit bée, sine con-seil des ministres .rait admis das sadélibération de ce matin que, e t . .

ferrement civil ou religieux. les hon-

n milita' `es s,rsieut ren lui à I

clair,d'un don L 1 c

o

les t p ct le I p. 1l! I g ll se si

I f cuit, f t l mode ; qu'en

s lat r. Celana Point sufli5à t N. 11guet.

l es gau :lies ont vAl. logsb,

ne applaudiFn t

m re M. Il I a rs Ilé-monvm , u deslaréq i nl venait de r u

l.ü1

II If. n.

I g I t L l It'I l 4h I es' lé,' t a 1 't)tal 1: la séca"I lit S I Vautraient M

('st III t p r q I'Pré-si i . t 1 ll in ill la s

le le lut s 1 111.sur1111 L i 1 t . Al

1

n4un,

1u l5t .1 1 Dur C atoll 1

L l+la glcl+eq I pl lean

t le1L I. d fuis 1 t uIv 101. Il dune fallut suspendes la

séanor, au nulles d'ana aditaGun plus quevill.

é 5 heures 3'i, l'impalieveelçat à p' nire des pr,portinns :u-

a étudie I lit, éi letl v 1 t lpour l l oscev en l'ai r. , de Oasis-tee te l aile, Il ut

nC z niendât t t

sit ple coor I t ndget . cultes, Unevive olp t ',,t a

S'i

ttt rnoifestae,11 cité d g Iches, et 1u la propos)Lima de 11 l.ep'n r, la Cha nble a I.,de qâ 11 y uv i je I

L; ],lait .I' L t I les l à e,d ter le i i nr1 dépit

des g: h ut Si! voyant ainsi Licidai.guécs an profit du Sénat.

Cette dernière assrmLluie n'en a

plaint pars plus (lire. laie s'est occupé,trangnillemn;nt de la loi militaire.

Un a le i t d p ( M. Plac-e, d I té d l'ont g .lie, au

budget d c lt de d 1 dits, leus qui suivra l'ouverts rc de la pro.

al aine session, la Chambre mu8mlmission chargée de lui veopnmr touelas las Jispasitious de lois Liécessilrespar vue séparation comptête de l' lait ILde l'Église. M. Gambette aura bru, fai-

11,il n'empé ,hcra jamais sas anuiuns

iris de démasquer leurs batteries et ded re lent, dentier mot.

Aunes eorrespmldance.

Paris, le 21 no embre 1870.Le m nistéee attache a : grande iL1-

pormna; à ce que le bu t"et des cultessont voté par la Chambre dl, députéssans les snppresxinns adaptées par lanmmiasian d. budget. (lier, celle com-

lsi que je 1 ondét e rite danv la vo i sis s,

se tant 200,000 Ir. pour l'ang-entagon d. traitement des desservants;

1e. ü tlit Ilé

bon de 53I . n JI .. dont 25 pour l'Algérie

et sis il, portant qn a 400,000 Te. a. lien

de frW,000 la enLieu proposée prt

elle au crédit

pour

ur les diocésains;

's elle a nuainlr..u las suppressionsrolatirrs au ,'apure de Suint-Denis, àl'école des Carmes et aux bourses des

séminaires.grandsLe gouvernement persiste à ne pas

admettre c's rédu clrris. Lr. .tau rua!du Débats le déclare clairement ce ma-tin la Chambra ratifieles déti-: si

ns de la -maillaippeler ian,,, ministère seraobligé d'en a sgu' au Sénat au tés sasquel il i est enâagd, il y a trois mois, àsoutenir le budget des cultes dans toute

intégrité et l'on

petit

s' L Ilhe asé n̂ n1 tu

tous

d entre les doux Assemblées.

Les qissen m outre, à equel'Ittit.LlIl de 1. 2, Chambre au

sujet dut budget des cultes pourrait bien

ur les élections sénatoriales duréagic

il.Si2u nse. l observa tion eni s comme,

Se

plait

ie à l -for, que les canditjoule .n attendent, pour prende partPi , l none Ms LIN,

r

ong etVinv

noy le vota des députéss

bnd-grL dts cultes, ou n

sa.ueu.l

urai

t

t mer ta

l'a sau seniémde la

,nutation,

, o. leu sois quela ne ire fournitdpas a

s

sansnoustrer le cabine[ dans fliji i

é dede

entrer ni aovti n ducts majorité degouvernement an sein de la Chambre

des

esdéputés et obligé do s'appuyer air le,

rpe épepis de la Chambre haute do.us prondérants par suite des somi-

nalio.s deeje Chesnelong et Vinoy.Ainsi que je v.as l'ai rait, le centre

dérée sent déridés lài soutenir le 'minetdans l'vulaire d. budget des cultes; l'ox-tiréme gauche et l'Union eépubli,.ia,ont toujours fermameut résoh,s à lui

faire échec sur il peint a Rcpuhliyuefrançais, l'écrit

formelleLment

ce matindans son leading article : e Il lui est im-possible de concéder plus D'elle ne l'afait au gouvernement.. Cependant, M.Cambetm qui semble stipule, ea cetteoecaeion au nom de lo majorité, pour-rait bien se faire illnsicn.

La commission tin budget a trés-partagée quand il s'est agi hier de rave-

' r les réductions précédemmentdFceétéos par elle en q.clgno sorte àl'unanimité des suffrages. De plus, ce

'est mn mystère pour personne que,depuis 4S heurts, M. Jules Simon, M.Jules Ferry et leurs amis se livrent à natravail de propagande opportuniste auLoin de la gauche républicaine de natn-reàisolce et à rendre impuissante la' tommes de l'extréme gourbi, et de

républicaine.L'UnionDans la dernier, réunion d¢ la gau-

che, MM. Lanny et étélin, se sont élevés

conte les réductions consen[ies par 1,mission lit budget, et A1. lutes

Ferry a demandé à1,

réunion de donnerplein pou n clmisiedans tan sein pour s'entendre ss e legon rut[ et voter dans son sons.

ci h uemain, sana donne on sera Oséire l'efficacité des efforts des chefs de la

ganrluim e ;impassible que la commission du

budget ne lit encore de n vélins cou-crsui avant ido débat et,a

politique afin d'éviter sue décon1

venue.Parmi) les bénits répandus à Versaü-

Ies dans la urr bnéc, j ne dimnouscelui qui prétend que les républicains

d S t I I I I le V ms et gIl i se L ll It t.filon, 1 2 I. des, :ttt la coa, I I p. Il il,i

7 ' t l I t le. l ' lent ieLacti, à -sI

I l i t b t 1 l I I t 1 L. I cet, Lit clin.a 1.a soute e de l 1 fin ILI, continente4733. L di-lot, Il,-te osa

t. qui se t ulédé jusqu'auAl je I 1 l que, 1 1 : 1 d L actuel 11 li. Lsut, saut Il,i-

1 1 .1 N V I R g L I. paient, ll'g Chouan, salis I.ssoli, C L 1. t bien q les volt 4 t tir LLLI Y AI y r,

L ll t leur fois, qn 1. . I' Direction, 1800 AI . dree v crient ments'engager " a r l 11 '+ 1 1 é le d m.

1 Io leur. 'I é II IIit t e l 1 I p-L IL t .ll 1 p cul. x en 1867, I.be1-

l'1 qu'elle . l t t I I m s et l u,s l e. e1 1870, Al. Reg oint.I . 1 1

rs o de la seille mas col lest .. -__..O1ntp in site

la.L'e.1 1ts l.s 4,ns 1 leu 1,.m

le lite..

n t t I d irant 1. unir, hk dut 11 1 ] I CI l 1

depnt,s elalir ni la n mmnal l . 22un. iLr Je ex n 1 I I Jst. I

Illustre I. t 1 11 latil1 1 ci1 , as mpvg . d,chenus de fer, s

0 que I majorité de (a11 't l Il p aide. Les

etonaissai m lés sont : MM. Co-i y 0V'f L n, Germain, Basti-

de, Ihchard, VVatd m'tue, Plirhon, L.Legrand, Main Targe, Tuvelum, Pron.s[;actions, Bienvenu, T.II Rnllmont,Nodm, U L g t et NIL l P.ufait

M. Véniel vient 1. 1 ri ie ,mu'.nie sut an but Ib L des ,elles, sa

proposition d'impôt dit 1 pour 1,1070sur le capital. Je n'insiste pas sur cet

e1 demelt condamnd d'avance. Lenomle financier ne s'y est pas arcété ou

seul instant.

LA MANUFACTURE DE SÈVRES

n

so, se 1. nouvelleon, future de Sèvres que n -

pruntous à la République Cran aLen

ç

dans bonnes le maréchal-présAd,nt de In rèv te bine eut,' L peud'instants aptes 1, niinnalui rec-tion pu Ion ml et des e

uudea.....

L5

Ini

ventait les embresd

de la commissiondu budget ot sou président. M. Cambet-ta s'est u eur, personnellement heu-

nx quella commission tin budget l'ait

chargé de. la représenter dans cale et%resunie et d'avoir à purL,r de sa part

r1chal Prés iient I'expeessima de

l'esprit de et, rs qui l'nnime pour ledeimloppementrouet l'amélioration dotous les services publies du gouvernement de la Rep iblique.

Le maréchal a ILourde le président

seau de M. zo

Voici gnelqtes détails complénlentai-

de la commission eta procédé à I'in.agit-ration succe.sive tics d R t s partiesde la manufacture, sous la d L dudirecteur, Ni. Robert Il s'est b é àquatre heures, +prèn arme. assivbnn antléfo.rnement d'un des devis dsfours, qui foneliomuit pour la premiè-re fois. M. Robert, directeur de la

nnfaoture, o été promu ofücie, dansl'ordre de la Légion d'honneur, et M.Chumplcury, chef des collections cé.ra iques, a été fait aluette d'académie.

Au rez-4e.chaussée, faisant face naxpièces réservées uI'administrndiov, sont

installé. les magasins dans les vitrines

desquels le publie peut prendre tre

' is.LeL dps pris

xdede

cchoque objet t

j stest

ér-d irequis.diqué par 111,ve étiquette. Un escalierer

mental conduit aux salles gal muteetuinée par

desdoubla galerie,

terminée par dessallee,

s résultas, ercu le premier date. Des

viLriucacou-

oudot en deux c e t t e u ofle t,dans le sens de la

nppe

dlongueur. .FElle offrent,t

au jour quiles frappe de ace, les

sé-

i,;sses produits céramiques de tous les

pays et de tous les temps. D'antres sent exposées dans des villlu de

moindre dimension, sesuccédait`

fnt àgle droit entre les haies

deus

feneLrLsaLo

'IL boeshihido et le gant avec lesquels sontexhibé., les trésors cette icolloetion faut le

plus

s grand honneurà AI. Champlleuai. ,, soirement, des

"n' es,desde classementluth

i tilitén

e ors par grappes de ta-par n91"luin1 I rit, en or sur le ban-deau supérionr dos meublas et eensci-

tl . t tes visiteurs.eCette partie est complètement dis-

tincte de la munuhsclnre proprementdite. Elle y est reliée par des galeriesiLré e. Au rez-tin-v rlrai ssée sent ICS fallu-,

installés sur le mode ancien, mais surdes pro t'es nlms plus considérables; plisles

ous des trempeurs d'émail, etc.

Dansnu

ou atelier spécial saut les mosaPs-tes. A. premier étage s'ouvrent sur unlong couloir les ateliers [es artistes

rieleurs, réparale,iri. Cessartstte% étaienttous à leur poste, et ratant que Paire, sepansu t, travaillaient devant le public aului fournissaient obligeamm,gt des es-plications. La nouvelle manufacture estsituée tout à l'entrée du parc de Saint-Cloud par le pont de Sèvres. Elle con-siste.., entre Ira divers bâtiments d'ex-ploitation, qui sont sur Io second planet coupés par de larges cours, en muecharmante maison isolée au milieu d'anjardin et est l'habitation du direc-Leur ; puis en un long carpe ae ball-

ent, avec deux pavillons d'duel, àfronton h`iangulaire, et tin pavillon ee.n-tral à froulon en section d'arc.J.es sculp-tures de cm pavillon principal sont duresan c16eau de M. Cranck : deux femmes

son demi-vétuea symbolisent lapote dure et la pàte tendre, ou la por-celaine et la fatence à la façon des Ci-

l de lu Renaissance. M. Loulou estl'archiLectede cette nouvelle installation.

Les Ivôtimeuts de l'ancienne m -facture, qui, dit-o., menaçaient cuire... virant cependa.y peubabinmenLlong-temps enwrc. Les artistes de Sèvresdéclarent qu'ils Ics croient pratiques et

moues. Ils avalent été. construits de

1753 :n 1756 sur des vastes terrrins où

L , MtA ci . pl l 1 tenu, hierI l e boulevard B

L+ noieou

ex1 t .II "f T"","des stmtra I clé L a Lranrle, 23 exposantsont concotuu. Il y a ait 92 lauré t3 deImpers hollandaises; 28 prix ontd c , dont 8 prie d'honneur et 81

,mnrrs pr x,

IIEVUE DES DEUX-MONDES

Licrnixon du 15 noa.emleo 1876.

I.- L'empile des Isars et las russes.- B. Les classes A.,isles. IV. -Le paysair, la fanullo pelletais et leLannul

r agraire, par M. Anatoln.Leroy-Ba,udieu-

II. - La chmuun dur ,a.-venus de l'Argonne, par M. André Theu-rlL

III. - L'czpérianco nmurelle il. pa-pier.monnaie. Avantages IL Inuonve-

ts d:. la 1 t n dduciaiee, parAI vota B d

11. La folie au point da sIe sy-

chulogigrue, d'après de eéceutes rerftel

cher, par M, Ludovie Carras.V. -- La crise ecmromique eu Alle-

magne, par M. Ernest Lavisse.

VI. - Le Comte de Cavour, étude delntairepoIitigue nationale et par eme

d'après des documente. r, VI. - Cm-me, et limité et l'd Pl Naples et B o-ci,

m par 6 Charles de M.zaVII. - La sclenee et la fabrication de

la pur 51. Il. Iladau.VIII. - Un mmm retrouvé, lel-

mes inédites d, .1fm de Séeigné, parill.P. Brunetiére.

IX, - Chronique de 1. Quinza#.e, his-toire politique et littéraire

X - Essais de notices. - M. GroenVan Pnnstercr.

biblio en hi u .X1. Bulletin B P g e

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desOmes-.Boudes, rue Bonapar-

te 17.A Toul I SI Jongla, 14, Ar-

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PUBLICATION DE MARIAGES

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Barbe.. llne), garçonde café, nietin Conservatoire, 7, ,t Ac genou (Marie-.luaéphine), ménagu're, m Pale rue.

Boneaed (Marias), pécheur de sable,rue du p,nt Saint-Pierre, 7, et Bernadet

tripière, rue Viguerie 7.Snslra Uean-Baptiste), ruuliee gnar-

lier L:+lomrgncue, et Bme (Germaine),ménagère môme quartier.

Selura (Baptiste), piocheur de sablele Qmlméry, f, et frondant (Alarie),

j ournaliére mé me rue.Tartan (Autant.), boulanger, ru, Ar-

m,d-Bernarit, 23, et Rech (Anne), du' osons, mémo une.vrlaubard"

(Pierre), ébéniste, rue des

Menuisiers, 27, ets,Coshrn (kalis), ou-

.x'l'abac rua Monlaadran, 22.v+iLasserreJean-Fean sis otiltiv:steur4

quartier St-Si1.o., et Cuililhem (Marguerite), ménagère, nsPnte quartier.

Lormont lRrrçrand) , charpentier, aToulouse, et ondes (Domenge), da-mestigre, éme lieu.

Lulont (Ferdinand-Engéne) , négo-ciant, à Totlollse, et (Anne-l'au-Iine-Emma), à Castelsarrasit,.

'fanon employé art cheminde fer, rue Saint-Laurent, 9, IL Bateau(Rose-M9ttlilde), tailleuse, rue des Tren-te-sii l'ont,, 5.

Siere (Pierre), vigneron, rueEu.-et Favropx (Marguerite),

ménagère, môme ue.Rognrlaine (François-Anloine-Guillau-

nue-Philippe), négociant, rue F,syuirol, 9,et Bartlère (Anne-Alarie), allée salut-Michel, 39.

Bertrand (Lent,-Théodore,) ex-militai-m de Terrc-Calais, et Sintous

(Marie), ménagère, allée du Cime-ticre.Drnussicn (irannçois), serrurier, rue

dea Polinaires, 76 et Larrenegorie(Ma-

Tia

u

-Alexandrine), livgères, rue de Fila-

tiers, 25.

maçon, quartierDubarry Lamary+sette,

e et et Massol (Marie), c vri6-x tabacs, faubourg IL,, Mun-es.

mDe Groulard (Alfred-Atigustr(, chefde bataillon, demeurant à Alo noireavant à Toulouse, et Chevereau (Marie.Sylvie-Rmaéc), à Montoirs,

aects ou 19 .....aaa 1876.

De Miens (JeansLouis-Nicolas), S5 ans,

ru, des Paradwlx, 28.Petit (f150050), fil ans, rue SI-Michel,

42.Coudere (Antoine), 16 as, rue des

Juifs.était située la rais dit nuwicus Sabatier, épouse Pcyrat, 56 ans, rune

Lille, Le r gant de prendre u des Couteliers, 15.forte part dues h i manufucb,re de pore lise (MI rie-:1rm:sndi ne, 2 ans, b,ule-eetaine qui avait été fondée en 1746, à , yard de Strasbourg, 5.

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