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1%1501111EMEI1T5 / Iltaree st Colonies une 5 fr. °s° fr. I 20 Ir. nus.. 9 fr. 1g b. 1 38 PETITES ANNONCES EN as PAGE Minimum 2 lignes t franc. Choque autre ligue 0 fr. 50 LA FRITIOUE Faites vos malles, MM. les Radicaux ... Ou votre teslam.ent, si le sueur vous en dit. 'On vous a assez vus... à l'enivre. Le peuple commence à se détourner de Je n'exagère pas; je ne fais pas de paradoxes. Nous avons ici le respect du lecteur et l'habitude de prouver à lui et à nous-mén.s ... ce que nous avan- çons. Si l'on consulte seulement narithme- tiqufe de la place Beenvece, 1,0 régime radical paraft plus solide que jamais. Cinq millions sur huit et demi d'élées leurs, et presque la moitié des élus ! C'est un joli chiffre. La radicalisme pa- raît en avoir encore pour longtemps. Mais, regardez au fond des choses, examinez, si >80 dire, l'âme lestera- lino du 21 avril et du 8 mai. et vous serez édifiés. D'abord, notez 'ceci. La France est un pays fortement bureau- cratique. Elle met en mouvement pres- que un million de fonctionnaires. Pâta- lement, (out agent de l'End, sauf ex- ception, vote pour le régime qui le fait vivre. L'Etat. &est le syndicat de l'alimen- tation nationqie. De vote quion lui Ac- corde n'est pesas vote politique, mais un vole alimentaire. Cheque fonction- naire a deux ou trois parents ou amis, qui vivent dans' son milieu, on subis- ssent l'influence et votent, neuf fois sur dix, comme lui. Voilà encore, au bas ou ou deux millions d'électeurs sc candidats du régies. établi. - loi seul, recrute ainsi 'os mas- ,teurs. Je ne parle neerme pas iés de Postulants qui sont dans eiiims du pouvoir. Ajoutez l'armée formidable d'aseislés dee communes, ou des candidats à l'as- sistanee. avant tout intérôt à ne pas ,maâssaaillor avec zits gons en pime àelbbil@tetta:paismintes- flow-tees .ciales et economiques, et vous aurez une idée de la composition des niasses électorales qui votent mo- mentenément pour le parti la classe as pouceir, et cela pur sim- ple intérêt individuel, Ose l'intérét change de place, et ces niillionc se tourneront, ace, une rapi- dité vertigineuse, contre le régime qu'ils ont souk,. hier. Demain, ils as- clameront la République sociale, chris- me ils acclament aujourd'hui la Répu- blique platement bourgeoise. Ils sont gagnés d'avance à tout régisse de fait. Et ils ne soutiendront /e régime que tant qu'ils le sentirent solide. Aux pre- miers craquements, nous les trouve- rons deus nos bras, avant même que nous y ayions pensé. Maintenant, allons au peuple, au vrai peuple, qui peine' vit misérablement -et .espere mieux. Il a soutenu jusqu'ici le radicalisme parce qu'il croyait qu'il lui donnerait du o nouveau y Mais il l'a vu au pouvoir. Il a pu constater son impuissance, ses défaillances, ses tra- hisons. Il y en a qui .en sont dégoûtés à Rat jamais 01 101 tournent carrément le dos. D'autres sont encore hésitants, la confiance leur manque. L'enthousiasme aussi. S'ils Continuent à voter pour le radical de l'endroit, c'est par inertie et sans conviction. Les périodes des élections, autrefois si bruyantes, deviennent comme celles des jours de pluie, où l'on s'ennuie à mort. On ne vole pas. On laisse- tom- ber » son bulletin dans l'urne quasi fu- néraire. On croit rêver lorsqu'on songe que nos aines ont versé leur sang géné- raux pour conquérir on bout de papier noirci du nom du premier iiadical venu Mais ceux mélnes qui votent pour les radicaux sentent le vide de leur pro- gramme el le néant de leur organisa- tion. Or, l'on ne gouverne pas un grand paya comme la Franca par le vide, l'on ne passionne pas l'es foules avec de néant, tût-il on ne peut plus radical. Le radicelisme n'est- pas viable. SE, -jours sont codirat-mptés. 1Ials, on, qui empêche les sa- di.ux de changer la tactique de di- gestion, de détente et d'apaicement con_ Re une tactique de combat ? C'est bien simple ils ne le peuvent pas; ils out attaché leur fortune politique à celle du régime capitaliste, dont ils se sont fait le gendarme le plus vigilant. Or, on ne saurait à la fois défendre et cornbattro le même régime. On n'est pas à 10 fois des deux côtés de la barricade. Le radicalism.e cherchera, probable- ment, à se renouveler, pour ne pas per- dre ses troupes électoral.. Nos ex-ca- marades lui confectionneront uni soi- disant programme social, emprunte aux bonservabeirs catholiques (participa- tion aux bénéfices, contrat collectif,ac- cbs fantaisiste à une propriété fantels Ces deritatives resteront stériles. Car Ir radicalisme social ne peut s'appuyer mie s'ar deux fictions, sur deux m.en- songes la paix sceiale 01 10 paix inter- nationale. Pour que le radicalisme social soit florissant, il eat de toute nécessité que les classes et les nations ne cessent pas de s'embrasser. Il faut que les nations capitalistes déposent immédiatement leurs armes, qui coûtent terriblement cher et rendent tout réformisme vain et illusoires Pour établir, en régime capitaliste, la paix internationale, il n'y a qu'un seul moyen, c'est de refuser partout 1m bud- gets militaires. Les radicaux ne peuvent pas le faire sans trahir la Fran.. Car les radicaux allemands, anglais, russes et autres ne les suivraient pas. Ils ont, d'ailleurs, besoin de l'armée pour dé- fendre les coffre-forts. Le Parti socialiste, seul, ayant un programme international uniforme, se refusant partent h la ruine des peuples, par la préparation d'un earnege uni- versel, petit et doit déclarer dans tous les pays avec nos amis diOutre-Rhin «A ce système, pne un sou, pas un homme. » Ainsi que le déclarait un manifeste de notre Parti, le Parti socialiste. seul, vent et peut la paix mondiale. En de- hors du Socialisme, ruine, haiffe et car- nage gigantesque en perspective laina Et u la paix sociale'. ? Elle a servi jusqu'ici à une seule chose. Elle a fait de MM. Millerand, Viviani et Briand, transfuges de leur Parti, des ministres. Elle continuera à servir de thème à d'innombrables discours officiels, el des lois sociales plus ou moins inefficaces. Tant que /es classes existeront, il y aura entre elles une lutte, qui sera de plus en plus intense. On n'arrivera à In suppression des classes que par la lutte des ,classes, qui hboutira à la con- quête du pouvoir par la classe ouvrière. Car la classe ouvrière colla seule classe qui ne se réo/anse pas d'un privilége, soit celai de la naissance. soit celui de rargenl. Spq principe vital a un ce- radiiez lai9sneioi universel l le travail, logab5ulsna,ia s° radical na dond Men à Offrir h la nation, que des illusions, des mensonges. des sophismes, ou des épi- Ires soporifiques à la Léon Bourgeois. Les cures ne s rendent et il faudra Maniât, ô Béranger de l' a Action /- sterne, fermer boutique. Comme la France a aseez vécu ef assez appris pour ne pas se jeter tôle baissé, dans les bras de M. Maurras, de e Action Française »-arehistérile, il ne reste que le Parti socialiste pour abriter, b côté des con,scienis, toutes les révoltes, tous le,s mécontentements et faire sortir le pays ffun gôchis, qui de- viendra bientôt aussi insupportable que général. Frère radical, il faut mourir I Prépa- re-toi au moins à une mort convena- ble, sans agonie par trop douloureuse ! Mais pour que le Parti socialiste de- vienne le maître, 11 lui faut un outillage perfectionné une organisation encore plus solide, une presse plus sérieuse et une tactique plus socialiste. Nous recauserons de tout cela. Ch RAPPOPORT. esseses 71genda 19 Mai 1910. Le mouton est en passe de disparaitre. Du moins les statistiques 1101,9 annon- cent cette grave el inquiétante nouvelle un France, dans t'espace d'un demi-siècle le .mbre des moutons a diminué de 50 p. 100 El vous le savez, depuis Panurge.., Ire moutons eleivemi leurs chefs de file. Il contient d'ajouter que les bergers el les loups ont égalenuml diminué dans «ne proportion considérable ; pour les pre- miers on peut voir lei un rapport de cause O effet, bien que d'après ces mêmes sta- tistiques ce soit en réalité le recrutement des bergers qui devient difficile, Quant aux loups... nt« foi.. je ne rois pas trop à quoi altribuer leur «liminution si ce n'est aux battues organisées contre eux. Enfin, quoiqu'il en soit, les chi! fres sont là, terribles, irrécusables, menaçants: dans unc dizaine de lustres nous n'aurons plus ni bergers, ni Mentlens, ni loups. Et cela m'inquiète, non point pour les premiers et non plus pour les derniers, mais pour les animaux chers à Panurge. Ils étaient M. millions chiffra rond qui paissaient les prairies de la Champagne el du massif Central, en 1852; il n'y en atail pl. que 20 millions dix ans après el on en compte à peine 17 mil- lions aujourd'hui I El, si cela votes peut consoler, sachez que dans les Allemagnes Ir déchet a été de 70 p. 100 durant le même laps de temps ; quant à l'Angle- terre, elle conserve péniblement ses M millions de bétes. Les gigots, Inc c4telcaes, la laine, le cuir fournis ponces paisibles ruminants vont devenir rares et la vieille Europe se voit déjà contrainte à faire Aggée à l'Aus- tralie, à l'Argentine ct d la Nouvelle-Zé- lande. Plus de Meulons ru France I Panurge! Florian I Mme Deshoulières I Marie-An- toinette liSTais, rassurez-vous, Robert Mn. raire, Rochelle et les autres en trouveront toujours à tondre. JEAN-JACQUES. socIALIsir Rédaction et Administration : 39, Rue Roquelaine, Toulouse MIDIrTIONS RMO-I01\TA.T.MS Gard Mers/AUE Pyreneee-orienantee noeère Aveyron Comète Cantal Los nor-et-Garonno1...andeas Elautes-Pyremeee BeseaseasPaiirdaden ' .&uele Gore Tarn-ex-Graroxisite ,Ariege Ilante-Gearonne Totalouee EC H OS Philanthropie Pordbume. La Eroix-R.ge française faisait dire l'autre jour une masse de Ressemer s pour les soldats m les marins morts au senice de là Eranee 0, en l'église de la Madeleine. Voilà qui leur fait une belle jambe / nuls plus remarquable, c'est que pas une de ces bonnes âmes n'aum ridée de chercher le mosuo d'éviter no boucheries, où des milliers d'enfants du peuple trouvent là mort pour le plus grand profit des gens d'affaires. Lem effort aire inémx pas jusqu'au a pamfisme p... assez inof- fensif, d. Léon Bourgeois, ries Frédéric Paste et méme des Roosevelt. Cette férité, tempe,Oa pas mue PRilantilroPie posteriori, c'est l'apanage exclusif de la bou, Sonsie qui ie dit humanisai. La via Madre. ues chiffres einumn. à M. le vicomte d'Aveneleedifierons sur le prétendu bon marché Du treizième au seizième siècle, le riz en France as eau francs le lerlogrIsme so tol 10501, oie. (en meyenes fe poivre, 3o oosr.11s000zs000imis.l le safran, la apprécia, des épices, de os à sco fr. A répoqu de Louis XIII. un bruseet, une carpe, se vendaient tis fr.; une lamproie, Oc fr. Sons Louis/Philippe, vers igen un saumon ou un turbot atteignait le Prix Mn nous paraîtrais excessif de 36 fre un homard calait iI fr l une dinde iruffee, 30 fr.: et le reste à l'avenant. 2,0110719 qu'il fait medlcur vitre aujourd'hui F,t laissons à leurs regrets les admirateurs queid me05 des mèdes révolus. Une sale. perdue. C'en sous oe titre que le correspetem Temps à Londres ;mem les dommages portés aux affaires par le décès du sonnerai,- théâtres et magasins fem., fèces contremandees, location et vente d'immeubles arrétées, etc., etc. . Tom cela eu assurément fielmusis mais, sons. 00 tome, c'est accidente/. Les travailleurs du Royaurne-Uni connaissent malheureusement un Mau cent fois pin, ci qui règne Rébus comme ainems à l'étai endémique c'est le cheque, en- nenesu dit la privaon de sout moyen d'eues.. pendant des semaines et des mois °ha.% année. Les patriotes Toutra-Vosgas. Comme dans nom rase la bourgeois/ alles annodeenell sussse,SeSsisiiiverteresseeete- PeZ,=2 Ce, tiejtae'le,i'iL MI-pat.. emboue. Us,. mangers -pour' foire échotier la greve du bâtiment sans avoir au préalable pratiqué le leek-out contre les ou- vrier, nationaux. Cos: ce qui vient d'avoir lieu trac/Mem-g, Nordhausen. plue on le Vaut. plus ils st messemblere. Lee rue,. répreMou tonnais,. des Plerde frontières que l'exploitation du da,/ salarié. ettteinali Hos Ho UVORIIX PAUL 5119E11110 'Me, de la 2e Circonscription de Grenoble Paul Minral a la quarantaine. Ci.t un grand eit robuste ellard, au visage énergique, calme, oceux C'est su Leu. du sang-frcild et d'ac- tion réfléchie, bes origines? Pladdennes. Sa vie? Celle d'un ouvrier. Il fut employé. plus exactement com- mis de marchand de vin en gros, avant de las- soCer avec son frère pour la vente du vin en derni-gros. Mais sa vie et surtout celle d'un Depuis quime ans, elle pa confond avec l'existence de la Fédération de MME. L'Itbloire de cet. Fédération n'est qu'un long combat pour le socialisme euntre les divis. houe combat nul Dent de se terminer une double défaite, selle de Zeimès et de- s doublure Cornand. et par uns ceple viegoire, oelle de Mistral, Raffin,Dugens. grenier. Lu prenlière équipe de prOnagandistes de ri- sere comprenait I Crenoble Dognien et quel- ques-uns de se amis du F. 0. F., el. dansl'ar- ronelkiement de Saint-Mareellln, Dairlean (ac- tuellement membre de la le section de la Sei- ne/. Due-Qucre, ne dans la ee. la Men.. tournée de conierencea Zevaés vint ensuite en 1896. Deux ans après, lé dreg ans i 500e, Droit du Peuple, qui eM actuellement L plus 050e11 quotidien du Parti. Mistral en fut tout de suite un des plus actifs collaborateurs --. sans cesser jamais de travailler pour gagner pi; fut également I tette époque Mu conSeiller g6e902, Zévaès est battu. Eperdu, lembei se vend osa radicaux, il entralneavese ltd mes-- que «dg, la Fédération 01 10 i.me Dès lors, -c'est h bataille entre le renégat et ceux dont Mistral, qui sont restée fidèles au Socialisme. Nos CaMarades réussissent d'abord rerifset Irtruuer401; en 1908, O fait Cire su'Ma.ePtaltg7trieeTC=rzn'a dleler,reergr. Une dlaPraTittion, sa'rl'is t/.,/c.e. grandit g 11000cc ri If:g% zere Zi:ye L vieux Ir. dee proci, de presse. te Droit du Peuple ne fléchit Pas sous /e poids des amendes. Loin de faiblir, son influence ' u 'ête d. 11 s'Impee et s'imposent eveo lui tous reuxdont factivItilnlaseabie en falt.m.r organe de ferme doctrine et 55 ,50001 combat. Ft Zêvabt est obligé de fele sa emonscri.p- tion pour se présenter contre son Comand, tral est candidat contre tous le deux, O les a battus tous le deux. Carambolez.... se, contre un .cialisme indeperecet nul N'fi/ ase 1051,1105 01 corruption, douze ans . moins de quotidienne bataille, avec /a vietoire ter- me, c'est toute la vs ce Mistral ra vv a'. donc pas précisément la vie d un homme polltimm, mais d'uu militant seendate, au sens complet du mot. L'HUMANITE Journd Quotidien Socialiste. Cinq Cori., Directeur 1 Jean JAUGES La Ville des Palmes Une nouvelle prodigieuse, incroyable, nous arrive de Marseille.liparalt que c'est avec des rubans jaunes, veDs ou molets purin promesse abondante de palmes ace démiques, oubn a tenté de séduire et gis on amené au scrutin le peuple mar- seillais. Quoi ! Ge peuple si vivent, si re- muant, si enivré de soleil et de vent, en serait là ! 11 e'arimserait aux pauvreS hochets des nu.aucrates moro.s et dé- bilités. Non I par les robustes platanes des allées de Mei/hun dont les larges feuilles bruissent comme des f/ots, par le vent de la mer, vAllant et allègre, qui soudain, vers cinq Mures, suries terras- ses de la Canebière, :ait palpa.' les Par sillons multicolores comme des voiles au Grge e1 comme de, tueurs joyeux, par cette vin vaste, groddianlo, colorés, far.- fière et exaltée tout à la foô, e tee, misérobte ei ratatinée. /S'il aut, comme à tous les hommes, des plaisirs d'amenr-proire,yous avez des joies sans nombre, depuis les légendes el les vanteries séculaiers de la vieille Pho- cée, jusqu'à l'orgueil des anecdoteg sa- vOureuses que vous cOmptez les premiers, de cinq huit à la terrasse des cafés grouillants. Quoi I vous avez le vent et le flot, la mer et le .1011, to05 les hori- zons, ceisn de l'histoire et ceux de ta vie, vous pouvez contempler sol25 golfe ma- gnifique enveloppé ffes roches sévères où une lumicee hellénique met du violet, de la pourpre et de l'or, et vous aimeriez les Baux,s fleurs de vanité chétive et décolo- rée qui fleurissent dans les caves et les sous-sols, dans les arrières-bureaux de la pédanterie malingre et de la Tontine ané- miée ! 0 peuple de Marseille en serina- vous là, vous dont la fienté vraie rachetait jadis les fanfaronnades ? et d'où vien- drait cette décadence ? J'ai vu frémir et précipiter dans vos ruce, comme le sang riche dans les vei- nes gonflées, les grandes émotions de la vie publique. Je vous ai vus, après les réunions, vous attarder sans fin poce dis- cuter encore 1m aborde de la salle, près des colonnes du thLtE, sous la lune amie qui déclinait lente.. comme pour vous permettre les longs propos. Vous étioe bien alors les fins et nobles héritiers de /a Grèce antique. et votre ruer « fleurie de lune o, comme dit la grande Sapho, et seriea-vous elescErdus dans vos luttes à la basse folle des rUbans officiels ? Hélas I quand 0000 10 démocratie mar- seillaise apprendra-a elle à s'organiser, à mettre en uvre Ms énerees les plus no- bles, à sauver des gaspillages misérables sa belle vitalité ?Pour elle aussi la réfor- me électorale serait sans doute lo salut. Quel grand et -ego/dieux Parti socialiste pourrait se former ! Jean TAURES, Le Crnue ih ies-tilot Un baron septuagênaire assa- ssin dans son ObaSean LA DECOUVERTE DU 5500E I Oorneitique, cost-il.-Xise celer / com ff mio Par .e- e u lliehoru 50 51111 qu'an de son entourage 1 autopsie vient de , Ayan,,,,, en révéler que le baron 0155 frappé à bout tsltergiesudinraits, par M balle Mun elit , Isone...1,150, dge de 15 me, ve1et de In!jegt"if ree tetealtpar ti"/"Drues egi"dhamoiri eMn"a"ler Ogiaeelitievahrei de ieriubsuilbe lac tes réveiller, . , ,Ispoirpkin vatait écendu, tilies oneo,rie etéta'' .0 v de m bic pour commettre .ea crime. cv billet du La Esti. a égalerai/rd saisi un alrdem' CUI rdri'eur'o'ifrs' ItrertZist"Là"-lest's uetret H""ts "mm"e qUi métrojeolitais de la pi se du Châtelet et un iree n'Il Jrepli,...,,,04.00:t:,,,,,n:enInuco.ge,;FlieKiernra:r.:à111orr:100001 qu'il n'y rel'Ue"'S'O' '01-aPftauerVu'llar 1.7dtd ,r,i,heitai't rein/Cr:Mie' re'. sb'e use ree 'ue'uhl'/ie'L r'; tr*:;'ePer'l ael/téTleLiqC'ulee:;/. v c'emnuuunee1'noi r' c'd ObUi0e:n0 00p''''r+p'ar"ê'uere eIn. .tonelot. juge d'instruit/On ; Turbert, mi- effe, lqire comme du Mis, Mn légiste, arrivaient /1 Closgiot et lorece- bon apportée da. la rhambre du baron et Lient am premier. constatations. ,pôrt,' ise .11,0:0;a:,eoraau,.gare,ntie;,:ost:ee. pas fixé d'abord. mais qui, on le osera, tsars 17'oenrsi7 n daesm'aoiedlae4e:q't;;I'mjuO'btil:sepuun nO'béti; lioMeversé aucun meuble fradurg e tout était LES EECEEESEES tinsement, an Men e. Seul la montre du Cherbourg, 00,5 baron et les Clefs du merétaire ont disparu. Aujourd'Imi a lieu ,,si ation du corps seerenies. ouvort, .par na serrurier de du baron de Mono.nd. cimetière de Mar- Maetinvast, a été trouvé bandé de titres de Lima. rente au porteur et nominatifs. Rien n'en L'enquête judiciairo a commencé par Pin- avait Md soustrait. Bien plus, Je portefeuille ventaire dee objets garnissant le château e bigot, de feaamen devant experts des titres de pro- banque 0990x1 minet sur bures, piétés et de rentes trouvés dam le csecb. Le ou les coupables rvaiont laisse dans /a taire de la victime. chambre du eriroo une et/ternie très umgée M lioudaille, commissaire central, s'est lrlls sale. Cette chemise a appartenu au rend. à Faen Pour 151095151M baron ; ne aut est,re trouv en ebet, absolument .rn- ebargé de l'examen-de trace emangientée, biable à uée dans une armoi- les renSeigOeMente nee...ineu. Il .1/entrera oc. Toutefois on 510 1011 pas que rassaa,sin vendredi I Cherbourg. bked7neeiM(la 1111101 pose pour égarer les recherches. bourg, n'ont donné auoun résulte ou euu- uutt est Vie. interrompre les investi- quc l'aualsela -embasiNea nu /Fa' galions de D justice. dermein du crime SUr un bâtiment LA VICTIMEp tance pour l'Art/J.4qm, D. ordres ont. éid naren s M ont-hond tait8 ê .0 do 72 donnes peur vérifier l'idéntité des voyageurs easisr ment, deo a.quenots venant de tins. Il avaita la répute/on d'un vioddard ai- ,nor d mable, ayant. garde le goût Mi monde, et sur toUt des affaires, qui, traitait encore, mal- sOOSeli gitêtetereaCugé'er faneraierii"Où fileepee de sleetre :OZ:lent ir C., 1,1 jlitaa ;psonn ulesuire-n, inunni m0auc0I0 lparce que. en réalité, il n'était. p. prodi- est tué, son a h esse. :Lo.utebionlibSu mzineso,n i,rênano nIdtèrieurn.eniti,ianusx_ nt,e4riLb 0ea nl,gtnsit fauft,rirlp'ii:m/op:r.u.d.rs7ennii..en pU,1,1/''L'D'ei'sepotructre,111'ieseailtéudeee://%/tei'; j'a tjohlruaFtluned'pnoitilnne'...Ensn'enifrostiCoejeurr; ooliVoitnre gur tes habanÉg ilrinier a é101 ue e an de ses camarades a I pemlard dés heures entières 05 bIsa il alignait nes chiffres. Que/quefors, et plus p moln, quart. ; ,une faéquernment. Pendant. ces derniers temps. mmique militaire, ei devaJ4 donner pen- aud se...Page d'unpecormage plus Jeune cerf. a t'occasion des fêtes do D Pentecôte, one lut dont il paraissait. priser fort la con- , de premire pl., dans 11000e d'honn- v'Aresvieurs reprise. Lutte.= Ilibaritsn; eota'rentiri uinujacire'sü'npf:dule.,sn'ho5S0p,tîiaaiebbéra.,:1;:let deg-Tle s mue res g" e . 15,55 es T., M., foriodianasire -de ItEmpire ayant hernaidebie pbnpital, gaisam,o- den n eyercé les fonctions de sous-prérei, pue de jer vitee.e prOCIIP1r, le baron do Mont-Roud avait no- tem., et onmpli M majeure part.. doue aInnSre es Aigle' pesos '1001e heureuses loi tandis quo les malades se dressaient, terril' e. Ses s avaeat Tsullmen/ fart/Ene M. Mulheirn Mrecteur de Fêtablissemere, possédait déjà personne/ln/tient. A son snieiP0015000ernVoyée, dirigea %ers sas au ,d,',9,,:.'°n*itéuset'rd'C'eeerti'n.ff14?ipùatiilb.°1'7.1Le''slo''rteel''''I. qui en eompensatioi, mi permettaient de d, 1,...,3 gords, avaient êtê proje- fructueux bénéfices. C'est me/ que,Oassnolm de nier sers Ire dosas les mmlo,rO , as sou 501m mes- hors 'étsi,aa lé coda , 01 pur esd auto I ,I,g; "s ebX elploOmds oiva,001 on 150155 5005r00. d'Alg.erielari'm Ourida,a Cool est un détail 6.,é tordu. pompeAeOlé Osa 1,10051 ineirnr.et51.11 L'ierelupe';'r ' forteu'.ne' /nt ard'funi1 ,10//:e,,,Oun, ért.he'imerduneirhomraix'jterece'7, O °nye, tes membres der/doucies LE 410BILE DU EnngE gezeits,ta,,se,ie irseelseleleurbaTrier/ sri/arme& on voyou. I. nal .1 baron de Mont/End était un misie tué eur le beim, mai. de l'infortuné infirmier, qui malt été PLIDLICITE ;faMonces, é°, page, la liges arnee e page, le ligne Maténue page, la ligue 1.ocale e page, la ligne Deuxiême page, la ligne Première page, la ligne 0 fr. 51, '5 fr.. g 10. 05 5 fr.. é fr.. Ils camarade de Martin, allphOrme 4e.e.tte, un oeilly, vint 'ausar'i'Aitle-pr'Oorés: fe.'t '17/8PTlélè...".87 o 9: u.e.trg""éoesVeére poli«, 005001. rceinsecerdea=r112 10151 Loaio"aieued, 501 n'oanbl 05 quEu hasard d'échapper au sOrizezn,,,,t'osoifiaa si. g. P00 'a ;!..,4;::ig:14"'"den:P It:Pprhrd Onlie'r.''t u areC 'C/ Mait Mid Càao un terriCn vagiae, prés du fort de Sicbtrq,' pour fere ce/ales 'un engin doses ingenLion, et les rétrett irees'aitUrnieuu'ite,"drate!flearelié à .lo", firiareg.e,"oi. nludeieni.e'rege0=,eri,?e,.. tique de es formule. Mer, aidé de Mouette, qui avait deh pare pt'igle.eneil=gOOOselre egSre.i'arrr'e ii dsbo essaya de boucher l'or/ lice avec un morne. do boia. N'y réussissant pas, id ellerfeu asla camarade d'aller clineener une et« augtalse chez le plombier de t'établissement. Co der- nier Obit absent. et Mouette, n'aymt pue trouvé de Mer anglaise revin0 muni d'une pince à gaz, au moyen de laquelle il ehereha O boucher l'engin que Martin tenait dans sas mai.. . A on moment /es gaz commenekent à fu-, am. L'infirmier Girard qui avait aAsisté an ce'n'fmairabd7r:IneaOrcicure'rP'çà'seLsi''amniseqluei'.'1Yesste. ricane était menteuse, entendit Mouette Orel Retens-en là. Ce, vraiment trop.. gare. prfolay,aaitiCi pense terminé que l'explosions. Leroy nt sen secrétaire, M. Lalemant, ont rams.6. /es débris de l'engin un Obus du calibre de 7 centimètres star 18 oantibür. tres de hauteur. Dans l'armoire de Martin Onu trouve des produits chimiques. et no- cenment Osa flac.no de nitroglycérine es de chlore.e de potasse. L'état de Mouette, soigne àl'innzmerie Ph.pica .t d. plus gi Mal,ellgoug réc it fan pan as con/igue...nard' ' " Martin dér/auE,. avait trenvé formule d'un mélange détonant compte 'de soufre, de nitroglycér'ne et de entente, de potassa J'étais ou courent de ses recherches etsdesifff itntéceSetiel afetin qui était âgé do trente ans. était rib theiia..(Nièvrel. Il raconta* -- r*:,.irour'â"ifeeleete"""keeereriere'n". paseened.sets npnaure,:n.ts..ilusvent, O dosa la eentlicluesP'ire 'far?. ait partie de la te sEtion de infirmiers. Osa monté, 5510 asile de l'accident etifer, que Frédéric Martin professait des idges anar caisses, et que un emdri était probablement destiné à perpétrer n., attentaL Le directeur de rétablissement s'éiève contre ceUe suppo. Frédéric Martin était an «sels est dare"lieitrepleel.,:s." snigear peee gi eu 0 cap/aindre de ho 'S'il était peu rom- muniestif, c'el prolaniement que ses andm de chimie l'absorbaient. L'enquête menée par Nt 1,//roy parait con- firmer que Frédéric Meula jtait simpleMent un chimiste areabonE fort, imprudent sasn doute mais nullemem .propagindisto par /e fait. Sels. 1TTE DE 005588 hes Grèves dans le Midi fi ESPÉRAZA Grève des Chapeliers ARRIVE& DE CALVIGNAE ET BillEMEES Comme nous l'avions annoncé dans notre de, tr'Ir%"Z'.'Z'dleânre'ael "j=`; V,,torZI.e;';éerZ '.*.reoer:ele.,=e0,t?::veaem°,91, Made, uù une bec llyalion leur re laite/ do kle,erdegJe 1000, "?7;ure!, os MIS sign r" "' alo. a. autorités que si de neer:côté nous obsceons svietement urretee préfectoraux qm interdisent le chant, e mentrosistions dans tes rues, ad °été Put.. ce n'est pas /a meme Mese. iafie 1098 DE barn lm Réunion Le tern/. siciane mis au beau, une foule con. siders. vs a° dons notre sa. de Mnamiss et â 10 Mmes, le camarade Audouy ouvre la séance. esig'ateireaguil Puesieerigne,lite r! enearirdegie" Cire mime, et a ne pas sEpomanter si on bous emprisonne 0520ur notre juste cause, Midi, et nous devons lever la tete haute, C'est aveo a=s tem=, CrICoeatrerMeiinSvenam ere'''efespin nsp'adrula1'IaO'0.'rion;11;11'1o'rel marne des conditions de troyen /o. meilleure Syndicat des tonniers étau, apree es ,s0 erdee.'0 9P as PZ Unis, SOye. palnIn et avec O srice7d,.? .oliitit.ililt,Eouion,ib zalErn. 05mo 0e 0111 no saos 50e: olneiir,s oase 00 cool, 'cool le pmilsu001 sa e . vivres ne yous 0101 pas et hi rse d'e':end° :e cainarecoleernsàs étant tatipireeirte ee:ouas e:t ;7;7 t 1 I/ ,rme ruinais ou jour adopté par rassemblée . FroisièmeAnnée. 5201 crirruu... Jeudi 19 Mai 1910 elexam.. 13/11PICAX7 A p.A_Kle. JOURNAL QUOTIDIEN DU PROLETANIET TÉr...É.ulioNE 3155 Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

FroisièmeAnnée. socIALIsirimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1910/B315556101... · 2010-03-05 · oosr.11s000zs000imis.l le safran, la apprécia, des épices, de os à sco fr

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Page 1: FroisièmeAnnée. socIALIsirimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1910/B315556101... · 2010-03-05 · oosr.11s000zs000imis.l le safran, la apprécia, des épices, de os à sco fr

1%1501111EMEI1T5/

Iltaree st Coloniesune

5 fr. °s° fr. I 20 Ir.nus.. 9 fr. 1g b. 1 38

PETITES ANNONCES EN as PAGEMinimum 2 lignes t franc.Choque autre ligue 0 fr. 50

LA FRITIOUEFaites vos malles, MM. les Radicaux

... Ou votre teslam.ent, si le sueur vousen dit.'On vous a assez vus... à l'enivre. Le

peuple commence à se détourner deJe n'exagère pas; je ne fais pas de

paradoxes. Nous avons ici le respect dulecteur et l'habitude de prouver à luiet à nous-mén.s ... ce que nous avan-çons.

Si l'on consulte seulement narithme-tiqufe de la place Beenvece, 1,0 régimeradical paraft plus solide que jamais.Cinq millions sur huit et demi d'éléesleurs, et presque la moitié des élus !C'est un joli chiffre. La radicalisme pa-raît en avoir encore pour longtemps.

Mais, regardez au fond des choses,examinez, si >80 dire, l'âme lestera-lino du 21 avril et du 8 mai. et vousserez édifiés. D'abord, notez 'ceci. LaFrance est un pays fortement bureau-cratique. Elle met en mouvement pres-que un million de fonctionnaires. Pâta-lement, (out agent de l'End, sauf ex-ception, vote pour le régime qui le faitvivre.

L'Etat. &est le syndicat de l'alimen-tation nationqie. De vote quion lui Ac-corde n'est pesas vote politique, maisun vole alimentaire. Cheque fonction-naire a deux ou trois parents ou amis,qui vivent dans' son milieu, on subis-ssent l'influence et votent, neuf fois surdix, comme lui. Voilà encore, au bas

ou ou deux millions d'électeurssc candidats du régies. établi.

- loi seul, recrute ainsi 'os mas-,teurs. Je ne parle neerme pas

iés de Postulants qui sont danseiiims du pouvoir.

Ajoutez l'armée formidable d'aseislésdee communes, ou des candidats à l'as-sistanee. avant tout intérôt à ne pas,maâssaaillor avec zits gons en pime

àelbbil@tetta:paismintes-flow-tees .ciales et economiques, etvous aurez une idée de la compositiondes niasses électorales qui votent mo-mentenément pour le parti laclasse as pouceir, et cela pur sim-ple intérêt individuel,

Ose l'intérét change de place, et cesniillionc se tourneront, ace, une rapi-dité vertigineuse, contre le régimequ'ils ont souk,. hier. Demain, ils as-clameront la République sociale, chris-me ils acclament aujourd'hui la Répu-blique platement bourgeoise. Ils sontgagnés d'avance à tout régisse de fait.Et ils ne soutiendront /e régime quetant qu'ils le sentirent solide. Aux pre-miers craquements, nous les trouve-rons deus nos bras, avant même quenous y ayions pensé.

Maintenant, allons au peuple, au vraipeuple, qui

peine'vit misérablement -et

.espere mieux. Il a soutenu jusqu'icile radicalisme parce qu'il croyait qu'illui donnerait du o nouveau y Mais ill'a vu au pouvoir. Il a pu constater sonimpuissance, ses défaillances, ses tra-hisons.

Il y en a qui .en sont dégoûtés à Ratjamais 01 101 tournent carrément ledos. D'autres sont encore hésitants, laconfiance leur manque. L'enthousiasmeaussi. S'ils Continuent à voter pour leradical de l'endroit, c'est par inertie etsans conviction.

Les périodes des élections, autrefoissi bruyantes, deviennent comme cellesdes jours de pluie, où l'on s'ennuie àmort. On ne vole pas. On laisse- tom-ber » son bulletin dans l'urne quasi fu-néraire. On croit rêver lorsqu'on songeque nos aines ont versé leur sang géné-raux pour conquérir on bout de papiernoirci du nom du premier iiadical venu

Mais ceux mélnes qui votent pour lesradicaux sentent le vide de leur pro-gramme el le néant de leur organisa-tion. Or, l'on ne gouverne pas un grandpaya comme la Franca par le vide, l'onne passionne pas l'es foules avec denéant, tût-il on ne peut plus radical.Le radicelisme n'est- pas viable. SE,-jours sont

codirat-mptés.1Ials, on, qui empêche les sa-di.ux de changer la tactique de di-gestion, de détente et d'apaicement con_Re une tactique de combat ? C'est biensimple ils ne le peuvent pas; ils outattaché leur fortune politique à celle durégime capitaliste, dont ils se sont faitle gendarme le plus vigilant. Or, on nesaurait à la fois défendre et cornbattrole même régime. On n'est pas à 10 foisdes deux côtés de la barricade.

Le radicalism.e cherchera, probable-ment, à se renouveler, pour ne pas per-dre ses troupes électoral.. Nos ex-ca-marades lui confectionneront uni soi-disant programme social, emprunte auxbonservabeirs catholiques (participa-tion aux bénéfices, contrat collectif,ac-cbs fantaisiste à une propriété fantels

Ces deritatives resteront stériles. CarIr radicalisme social ne peut s'appuyermie s'ar deux fictions, sur deux m.en-

songes la paix sceiale 01 10 paix inter-nationale.

Pour que le radicalisme social soitflorissant, il eat de toute nécessité queles classes et les nations ne cessent pasde s'embrasser. Il faut que les nationscapitalistes déposent immédiatementleurs armes, qui coûtent terriblementcher et rendent tout réformisme vain etillusoires

Pour établir, en régime capitaliste, lapaix internationale, il n'y a qu'un seulmoyen, c'est de refuser partout 1m bud-gets militaires. Les radicaux ne peuventpas le faire sans trahir la Fran.. Carles radicaux allemands, anglais, russeset autres ne les suivraient pas. Ils ont,d'ailleurs, besoin de l'armée pour dé-fendre les coffre-forts.

Le Parti socialiste, seul, ayant unprogramme international uniforme, serefusant partent h la ruine des peuples,par la préparation d'un earnege uni-versel, petit et doit déclarer dans tousles pays avec nos amis diOutre-Rhin«A ce système, pne un sou, pas unhomme. »

Ainsi que le déclarait un manifestede notre Parti, le Parti socialiste. seul,vent et peut la paix mondiale. En de-hors du Socialisme, ruine, haiffe et car-nage gigantesque en perspectivelaina

Et u la paix sociale'. ? Elle a servijusqu'ici à une seule chose. Elle a faitde MM. Millerand, Viviani et Briand,transfuges de leur Parti, des ministres.Elle continuera à servir de thème àd'innombrables discours officiels, el deslois sociales plus ou moins inefficaces.Tant que /es classes existeront, il yaura entre elles une lutte, qui sera deplus en plus intense. On n'arrivera àIn suppression des classes que par lalutte des ,classes, qui hboutira à la con-quête du pouvoir par la classe ouvrière.Car la classe ouvrière colla seule classequi ne se réo/anse pas d'un privilége,soit celai de la naissance. soit celui derargenl. Spq principe vital a un ce-radiiez lai9sneioi universel l le travail,logab5ulsna,ia s°

radical na dond Men àOffrir h la nation, que des illusions, desmensonges. des sophismes, ou des épi-Ires soporifiques à la Léon Bourgeois.Les cures ne s rendent et il faudraManiât, ô Béranger de l' a Action /-sterne, fermer boutique.

Comme la France a aseez vécu efassez appris pour ne pas se jeter tôlebaissé, dans les bras de M. Maurras, de

e Action Française »-arehistérile, ilne reste que le Parti socialiste pourabriter, b côté des con,scienis, toutes lesrévoltes, tous le,s mécontentements etfaire sortir le pays ffun gôchis, qui de-viendra bientôt aussi insupportable quegénéral.

Frère radical, il faut mourir I Prépa-re-toi au moins à une mort convena-ble, sans agonie par trop douloureuse !

Mais pour que le Parti socialiste de-vienne le maître, 11 lui faut un outillageperfectionné une organisation encoreplus solide, une presse plus sérieuse etune tactique plus socialiste.

Nous recauserons de tout cela.Ch RAPPOPORT.

esseses

71genda19 Mai 1910.

Le mouton est en passe de disparaitre.Du moins les statistiques 1101,9 annon-

cent cette grave el inquiétante nouvelleun France, dans t'espace d'un demi-sièclele .mbre des moutons a diminué de 50p. 100 El vous le savez, depuis Panurge..,Ire moutons eleivemi leurs chefs de file.

Il contient d'ajouter que les bergers elles loups ont égalenuml diminué dans «neproportion considérable ; pour les pre-miers on peut voir lei un rapport de causeO effet, bien que d'après ces mêmes sta-tistiques ce soit en réalité le recrutementdes bergers qui devient difficile, Quantaux loups... nt« foi.. je ne rois pas trop àquoi altribuer leur «liminution si ce n'estaux battues organisées contre eux.

Enfin, quoiqu'il en soit, les chi! fressont là, terribles, irrécusables, menaçants:dans unc dizaine de lustres nous n'auronsplus ni bergers, ni Mentlens, ni loups.

Et cela m'inquiète, non point pour lespremiers et non plus pour les derniers,mais pour les animaux chers à Panurge.

Ils étaient M. millions chiffrarond qui paissaient les prairies de laChampagne el du massif Central, en 1852;il n'y en atail pl. que 20 millions dixans après el on en compte à peine 17 mil-lions aujourd'hui I El, si cela votes peutconsoler, sachez que dans les AllemagnesIr déchet a été de 70 p. 100 durant lemême laps de temps ; quant à l'Angle-terre, elle conserve péniblement ses Mmillions de bétes.

Les gigots, Inc c4telcaes, la laine, lecuir fournis ponces paisibles ruminantsvont devenir rares et la vieille Europe sevoit déjà contrainte à faire Aggée à l'Aus-tralie, à l'Argentine ct d la Nouvelle-Zé-lande.

Plus de Meulons ru France I Panurge!Florian I Mme Deshoulières I Marie-An-toinette liSTais, rassurez-vous, Robert Mn.raire, Rochelle et les autres en trouveronttoujours à tondre.

JEAN-JACQUES.

socIALIsirRédaction et Administration : 39, Rue Roquelaine, Toulouse

MIDIrTIONS RMO-I01\TA.T.MSGard Mers/AUE Pyreneee-orienantee noeère AveyronComète Cantal Los nor-et-Garonno1...andeas Elautes-Pyremeee BeseaseasPaiirdaden '.&uele Gore Tarn-ex-Graroxisite ,Ariege Ilante-Gearonne Totalouee

EC H OSPhilanthropie Pordbume.

La Eroix-R.ge française faisait dire l'autrejour une masse de Ressemer s pour les soldats mles marins morts au senice de là Eranee 0, enl'église de la Madeleine.

Voilà qui leur fait une belle jambe /nuls plus remarquable, c'est que pas une de ces

bonnes âmes n'aum ridée de chercher le mosuod'éviter no boucheries, où des milliers d'enfantsdu peuple trouvent là mort pour le plus grandprofit des gens d'affaires. Lem effort aire inémxpas jusqu'au a pamfisme p... assez inof-fensif, d. Léon Bourgeois, ries Frédéric Pasteet méme des Roosevelt.

Cette férité, tempe,Oa pas mue PRilantilroPieposteriori, c'est l'apanage exclusif de la bou,

Sonsie qui ie dit humanisai.

La via Madre.ues chiffres einumn. à M. le vicomte

d'Aveneleedifierons sur le prétendu bon marché

Du treizième au seizième siècle, le rizen France as eau francs le lerlogrIsmeso tol 10501, oie. (en meyenes fe poivre, 3ooosr.11s000zs000imis.l le safran, laapprécia, des épices, de os à sco fr. A répoqude Louis XIII. un bruseet, une carpe, se vendaienttis fr.; une lamproie, Oc fr. Sons Louis/Philippe,vers igen un saumon ou un turbot atteignait lePrix Mn nous paraîtrais excessif de 36 fre unhomard calait iI fr l une dinde iruffee, 30 fr.: etle reste à l'avenant. 2,0110719 qu'il fait medlcurvitre aujourd'hui F,t laissons à leurs regrets lesadmirateurs queid me05 des mèdes révolus.

Une sale. perdue.C'en sous oe titre que le correspetem

Temps à Londres ;mem les dommages portésaux affaires par le décès du sonnerai,- théâtreset magasins fem., fèces contremandees, locationet vente d'immeubles arrétées, etc., etc. .

Tom cela eu assurément fielmusis mais, sons.00 tome, c'est accidente/. Les travailleurs duRoyaurne-Uni connaissent malheureusement unMau cent fois pin, ci qui règne Rébus commeainems à l'étai endémique c'est le cheque, en-nenesu dit la privaon de sout moyen d'eues..pendant des semaines et des mois °ha.% année.

Les patriotes Toutra-Vosgas.Comme dans nom rase la bourgeois/ allesannodeenell sussse,SeSsisiiiverteresseeete-

PeZ,=2 Ce, tiejtae'le,i'iLMI-pat.. emboue. Us,. mangers -pour' foireéchotier la greve du bâtiment sans avoirau préalable pratiqué le leek-out contre les ou-vrier, nationaux. Cos: ce qui vient d'avoir lieutrac/Mem-g, Nordhausen.

plue on le Vaut. plus ils st messemblere. Leerue,. répreMou tonnais,. des Plerdefrontières que l'exploitation du da,/ salarié.

ettteinali

Hos Ho UVORIIX

PAUL 5119E11110'Me, de la 2e Circonscription de GrenoblePaul Minral a la quarantaine. Ci.t un grand

eit robuste ellard, au visage énergique, calme,oceux C'est su Leu. du sang-frcild et d'ac-tion réfléchie,

bes origines? Pladdennes. Sa vie? Celle d'unouvrier. Il fut employé. plus exactement com-mis de marchand de vin en gros, avant de las-soCer avec son frère pour la vente du vin enderni-gros. Mais sa vie et surtout celle d'un

Depuis quime ans, elle pa confond avecl'existence de la Fédération de MME.

L'Itbloire de cet. Fédération n'est qu'un longcombat pour le socialisme euntre les divis.houe combat nul Dent de se terminerune double défaite, selle de Zeimès et de- sdoublure Cornand. et par uns ceple viegoire,oelle de Mistral, Raffin,Dugens. grenier.

Lu prenlière équipe de prOnagandistes de ri-sere comprenait I Crenoble Dognien et quel-ques-uns de se amis du F. 0. F., el. dansl'ar-ronelkiement de Saint-Mareellln, Dairlean (ac-tuellement membre de la le section de la Sei-ne/. Due-Qucre, ne dans la ee. la Men..tournée de conierencea Zevaés vint ensuite en1896. Deux ans après, lé dreg ans i 500e,

Droit du Peuple, qui eM actuellement L plus050e11 quotidien du Parti. Mistral en fut toutde suite un des plus actifs collaborateurs --.sans cesser jamais de travailler pour gagner pi;

fut également I tette époque Mu conSeiller

g6e902, Zévaès est battu. Eperdu, lembeise vend osa radicaux, il entralneavese ltd mes--que «dg, la Fédération 01 10 i.me

Dès lors, -c'est h bataille entre le renégat etceux dont Mistral, qui sont restée fidèles auSocialisme. Nos CaMarades réussissent d'abord

rerifset Irtruuer401; en 1908, O fait Cire

su'Ma.ePtaltg7trieeTC=rzn'adleler,reergr.Une

dlaPraTittion, sa'rl'is t/.,/c.e. grandit g11000cc ri If:g% zereZi:ye L vieux Ir. dee proci, de presse. teDroit du Peuple ne fléchit Pas sous /e poidsdes amendes. Loin de faiblir, son influence

' u'ête d. 11 s'Impee et s'imposent eveo lui tousreuxdont factivItilnlaseabie en falt.m.r organede ferme doctrine et 55 ,50001 combat.

Ft Zêvabt est obligé de fele sa emonscri.p-tion pour se présenter contre son Comand,tral est candidat contre tous le deux, O lesa battus tous le deux. Carambolez....

se, contre un .cialisme indeperecet nul N'fi/ase 1051,1105 01 corruption, douze ans . moinsde quotidienne bataille, avec /a vietoire ter-me, c'est toute la vs ce Mistral

ra vv a'. donc pas précisément la vie d unhomme polltimm, mais d'uu militant seendate,au sens complet du mot.

L'HUMANITEJournd Quotidien Socialiste. Cinq Cori.,

Directeur 1 Jean JAUGES

La Ville des PalmesUne nouvelle prodigieuse, incroyable,

nous arrive de Marseille.liparalt que c'estavec des rubans jaunes, veDs ou moletspurin promesse abondante de palmes acedémiques, oubn a tenté de séduire etgis on amené au scrutin le peuple mar-seillais. Quoi ! Ge peuple si vivent, si re-muant, si enivré de soleil et de vent, enserait là ! 11 e'arimserait aux pauvreShochets des nu.aucrates moro.s et dé-bilités. Non I par les robustes platanesdes allées de Mei/hun dont les largesfeuilles bruissent comme des f/ots, par levent de la mer, vAllant et allègre, quisoudain, vers cinq Mures, suries terras-ses de la Canebière, :ait palpa.' les Parsillons multicolores comme des voiles auGrge e1 comme de, tueurs joyeux, parcette vin vaste, groddianlo, colorés, far.-fière et exaltée tout à la foô, e tee,

misérobte ei ratatinée. /S'ilaut, comme à tous les hommes, des

plaisirs d'amenr-proire,yous avez desjoies sans nombre, depuis les légendes elles vanteries séculaiers de la vieille Pho-cée, jusqu'à l'orgueil des anecdoteg sa-vOureuses que vous cOmptez les premiers,de cinq huit à la terrasse des cafésgrouillants. Quoi I vous avez le vent etle flot, la mer et le .1011, to05 les hori-zons, ceisn de l'histoire et ceux de ta vie,vous pouvez contempler sol25 golfe ma-

gnifique enveloppé ffes roches sévères oùune lumicee hellénique met du violet, dela pourpre et de l'or, et vous aimeriez lesBaux,s fleurs de vanité chétive et décolo-rée qui fleurissent dans les caves et lessous-sols, dans les arrières-bureaux de lapédanterie malingre et de la Tontine ané-miée ! 0 peuple de Marseille en serina-vous là, vous dont la fienté vraie rachetaitjadis les fanfaronnades ? et d'où vien-drait cette décadence ?

J'ai vu frémir et précipiter dans vosruce, comme le sang riche dans les vei-nes gonflées, les grandes émotions de lavie publique. Je vous ai vus, après lesréunions, vous attarder sans fin poce dis-cuter encore 1m aborde de la salle, prèsdes colonnes du thLtE, sous la lune amiequi déclinait lente.. comme pour vouspermettre les longs propos. Vous étioebien alors les fins et nobles héritiers de/a Grèce antique. et votre ruer « fleuriede lune o, comme dit la grande Sapho,

et seriea-vous elescErdus dans vos luttesà la basse folle des rUbans officiels ?

Hélas I quand 0000 10 démocratie mar-seillaise apprendra-a elle à s'organiser, àmettre en uvre Ms énerees les plus no-bles, à sauver des gaspillages misérablessa belle vitalité ?Pour elle aussi la réfor-me électorale serait sans doute lo salut.Quel grand et -ego/dieux Parti socialistepourrait se former !

Jean TAURES,

Le Crnue ih ies-tilotUn baron septuagênaire assa-ssin dans son ObaSean

LA DECOUVERTE DU 5500E I Oorneitique, cost-il.-Xise

celer /

com ffmio Par .e-e ulliehoru 50 51111 qu'an de son entourage 1 autopsie vient de,Ayan,,,,, en révéler que le baron 0155 frappé à bout

tsltergiesudinraits,par M balle Mun elit

, Isone...1,150, dge de 15 me, ve1et de In!jegt"if ree tetealtparti"/"Drues egi"dhamoiri eMn"a"ler Ogiaeelitievahreide ieriubsuilbe lac tes réveiller, .

,

,Ispoirpkin vatait écendu, tilies oneo,rie etéta''.0 v de

m

bic pour commettre .ea crime.

cv

billet duLa Esti. a égalerai/rd saisi un

alrdem' CUI rdri'eur'o'ifrs' ItrertZist"Là"-lest's uetretH""ts "mm"e qUi métrojeolitais de la pi se du Châtelet et un

iree n'IlJrepli,...,,,04.00:t:,,,,,n:enInuco.ge,;FlieKiernra:r.:à111orr:100001qu'il n'y

rel'Ue"'S'O' '01-aPftauerVu'llar 1.7dtd ,r,i,heitai't rein/Cr:Mie' re'.sb'e

use

ree 'ue'uhl'/ie'L r'; tr*:;'ePer'l ael/téTleLiqC'ulee:;/.v c'emnuuunee1'noi r'c'd ObUi0e:n0 00p''''r+p'ar"ê'uere eIn..tonelot. juge d'instruit/On ; Turbert, mi- effe, lqire comme du Mis,Mn légiste, arrivaient /1 Closgiot et lorece- bon apportée da. la rhambre du baron etLient am premier. constatations.

,pôrt,'

ise .11,0:0;a:,eoraau,.gare,ntie;,:ost:ee.

pas fixé d'abord. mais qui, on le osera, tsars17'oenrsi7 ndaesm'aoiedlae4e:q't;;I'mjuO'btil:sepuun nO'béti;

lioMeverséaucun meuble fradurg e tout était LES EECEEESEEStinsement, an Men e. Seul la montre du Cherbourg, 00,5baron et les Clefs du merétaire ont disparu. Aujourd'Imi a lieu ,,si ation du corps

seerenies. ouvort, .par na serrurier de du baron de Mono.nd. cimetière de Mar-Maetinvast, a été trouvé bandé de titres de Lima.rente au porteur et nominatifs. Rien n'en L'enquête judiciairo a commencé par Pin-avait Md soustrait. Bien plus, Je portefeuille ventaire dee objets garnissant le château e

bigot, de feaamen devant experts des titres de pro-banque 0990x1 minet sur bures, piétés et de rentes trouvés dam le csecb.

Le ou les coupables rvaiont laisse dans /a taire de la victime.chambre du eriroo une et/ternie très umgée M lioudaille, commissaire central, s'est

lrlls sale. Cette chemise a appartenu au rend. à Faen Pour 151095151Mbaron ;

ne autest,re trouven ebet, absolument .rn- ebargé de l'examen-de trace emangientée,biable à uée dans une armoi- les renSeigOeMente nee...ineu. Il .1/entrera

oc. Toutefois on 510 1011 pas que rassaa,sin vendredi I Cherbourg.

bked7neeiM(la 1111101pose pour égarer les recherches. bourg, n'ont donné auoun résulte ou euu-

uutt est Vie. interrompre les investi- quc l'aualsela -embasiNea nu /Fa'galions de D justice. dermein du crime SUr un bâtimentLA VICTIMEptance pour l'Art/J.4qm, D. ordres ont. éid

naren s M ont-hond tait8ê .0 do 72donnes peur vérifier l'idéntité des voyageurs

easisr ment, deo a.quenots venant detins. Il avaitala répute/on d'un vioddard ai- ,nor

d

mable, ayant. garde le goût Mi monde, et surtoUt des affaires, qui, traitait encore, mal- sOOSeli

gitêtetereaCugé'er faneraierii"Où fileepee de sleetre:OZ:lent ir C., 1,1 jlitaa ;psonn ulesuire-n, inunnim0auc0I0

lparce

que. en réalité, il n'était. p. prodi- est tué, son a h esse.

:Lo.utebionlibSu mzineso,n i,rênano nIdtèrieurn.eniti,ianusx_nt,e4riLb

0eanl,gtnsit fauft,rirlp'ii:m/op:r.u.d.rs7ennii..en

pU,1,1/''L'D'ei'sepotructre,111'ieseailtéudeee://%/tei'; j'a tjohlruaFtluned'pnoitilnne'...Ensn'enifrostiCoejeurr;ooliVoitnre gur tes habanÉg ilrinier a é101 ue e an de ses camarades aI pemlard dés heures entières05 bIsail alignait nes chiffres. Que/quefors, et plus p moln, quart. ; ,unefaéquernment. Pendant. ces derniers temps. mmique militaire, ei devaJ4 donner pen-aud se...Page d'unpecormage plus Jeune cerf. a t'occasion des fêtes do D Pentecôte,one lut dont il paraissait. priser fort la con- , de premire pl., dans 11000e d'honn-v'Aresvieurs reprise. Lutte.= Ilibaritsn;

eota'rentiri uinujacire'sü'npf:dule.,sn'ho5S0p,tîiaaiebbéra.,:1;:let

deg-Tles

mue res g" e .15,55 es

T., M.,foriodianasire -de ItEmpire ayant hernaidebie pbnpital, gaisam,o-den neyercé les fonctions de sous-prérei, pue de jer vitee.eprOCIIP1r, le baron do Mont-Roud avait no- tem., etonmpli M majeure part.. doue aInnSre esAigle' pesos '1001e heureuses loi tandis quo les malades se dressaient, terril'e. Ses savaeat Tsullmen/ fart/Ene M. Mulheirn Mrecteur de Fêtablissemere,possédait déjà personne/ln/tient. A son snieiP0015000ernVoyée, dirigea %ers

sas au ,d,',9,,:.'°n*itéuset'rd'C'eeerti'n.ff14?ipùatiilb.°1'7.1Le''slo''rteel''''I.qui en eompensatioi, mi permettaient de d, 1,...,3 gords, avaient êtê proje-fructueux bénéfices.C'est me/ que,Oassnolm de nier sers Ire dosas les mmlo,rO , as sou 501m mes-

hors 'étsi,aa lé coda , 01 pur esd auto I

,I,g; "s ebX elploOmds oiva,001 on 150155 5005r00.

d'Alg.erielari'mOurida,a Cool est un détail ?à 6.,é tordu. pompeAeOlé

Osa 1,10051

ineirnr.et51.11 L'ierelupe';'r 'forteu'.ne' /nt ard'funi1 ,10//:e,,,Oun, ért.he'imerduneirhomraix'jterece'7,O °nye, tes membres der/doucies

LE 410BILE DU EnngEgezeits,ta,,se,ie irseelseleleurbaTrier/ sri/arme& on voyou. I.

nal .1 baron de Mont/End était un misie tué eur le beim,mai. de l'infortuné infirmier, qui malt été

PLIDLICITE;faMonces, é°, page, la liges

arnee e page, le ligneMaténue page, la ligue

1.ocale e page, la ligneDeuxiême page, la lignePremière page, la ligne

0 fr. 51,

'5 fr..g 10. 055 fr..é fr..

Ils camarade de Martin, allphOrme 4e.e.tte,un

oeilly,vint 'ausar'i'Aitle-pr'Oorés: fe.'t '17/8PTlélè...".87o

9:u.e.trg""éoesVeére poli«, 005001.

rceinsecerdea=r112

10151 Loaio"aieued, 501 n'oanbl 05quEu hasard d'échapper au

sOrizezn,,,,t'osoifiaasi.

g.P00 'a;!..,4;::ig:14"'"den:PIt:PprhrdOnlie'r.''t uareC'C/Mait Mid Càao un terriCn vagiae,

prés du fort de Sicbtrq,' pour fere ce/ales'un engin doses ingenLion, et les rétrettirees'aitUrnieuu'ite,"drate!flearelié à .lo",

firiareg.e,"oi. nludeieni.e'rege0=,eri,?e,..tique de es formule.

Mer, aidé de Mouette, qui avait deh pare

pt'igle.eneil=gOOOselre egSre.i'arrr'eii dsbo

essaya de boucher l'or/ lice avec un morne.do boia. N'y réussissant pas, id ellerfeu aslacamarade d'aller clineener une et« augtalsechez le plombier de t'établissement. Co der-nier Obit absent. et Mouette, n'aymt puetrouvé de Mer anglaise revin0 muni d'unepince à gaz, au moyen de laquelle il eherehaO boucher l'engin que Martin tenait danssas mai.. .

A on moment /es gaz commenekent à fu-,am. L'infirmier Girard qui avait aAsisté an

ce'n'fmairabd7r:IneaOrcicure'rP'çà'seLsi''amniseqluei'.'1Yesste.ricane était menteuse, entendit Mouette Orel

Retens-en là. Ce, vraiment trop..gare.prfolay,aaitiCi pense terminé que l'explosions.

Leroy nt sen secrétaire, M. Lalemant,ont rams.6. /es débris de l'engin un Obusdu calibre de 7 centimètres star 18 oantibür.tres de hauteur. Dans l'armoire de MartinOnu trouve des produits chimiques. et no-cenment Osa flac.no de nitroglycérine es dechlore.e de potasse.

L'état de Mouette, soigne àl'innzmeriePh.pica .t d. plus gi Mal,ellgoug

récit fan panascon/igue...nard'

' "Martin dér/auE,. avait trenvé

formule d'un mélange détonant compte 'desoufre, de nitroglycér'ne et de entente, depotassa J'étais ou courent de ses recherchesetsdesifff itntéceSetiel

afetin qui était âgé do trenteans. était rib theiia..(Nièvrel. Il raconta* --

r*:,.irour'â"ifeeleete"""keeereriere'n"..uénilntéi

paseened.sets npnaure,:n.ts..ilusvent, Odosa la

eentlicluesP'ire 'far?.ait partie de la te sEtion de infirmiers.Osa monté, 5510 asile de l'accident etifer,

que Frédéric Martin professait des idges anarcaisses, et que un emdri était probablementdestiné à perpétrer n., attentaL Le directeurde rétablissement s'éiève contre ceUe suppo.

Frédéric Martin était an «selsest dare"lieitrepleel.,:s." snigear peee gieu 0 cap/aindre de ho 'S'il était peu rom-muniestif, c'el prolaniement que ses andmde chimie l'absorbaient.

L'enquête menée par Nt 1,//roy parait con-firmer que Frédéric Meula jtait simpleMentun chimiste areabonE fort, imprudent sasndoute mais nullemem .propagindisto par/e fait.

Sels.1TTE DE 005588

hes Grèves dans le Midi

fi ESPÉRAZAGrève des Chapeliers

ARRIVE& DE CALVIGNAE ET BillEMEESComme nous l'avions annoncé dans notre de,

tr'Ir%"Z'.'Z'dleânre'ael"j=`; V,,torZI.e;';éerZ

'.*.reoer:ele.,=e0,t?::veaem°,91,Made, uù une bec llyalion leur re laite/ do

kle,erdegJe 1000, "?7;ure!,os MIS sign r" "'alo. a. autorités quesi de neer:côté nous obsceons svietementurretee préfectoraux qm interdisent le chant, ementrosistions dans tes rues, ad °été Put..ce n'est pas /a meme Mese.

iafie 1098 DE barnlm Réunion

Le tern/. siciane mis au beau, une foule con.siders. vs a° dons notre sa. de Mnamisset â 10 Mmes, le camarade Audouy ouvre laséance.

esig'ateireaguil Puesieerigne,lite r! enearirdegie"Cire mime, et a ne pas sEpomanter si on bousemprisonne 0520ur notre juste cause, Midi,et nous devons lever la tete haute, C'est aveo

a=s tem=,CrICoeatrerMeiinSvenam

ere'''efespin nsp'adrula1'IaO'0.'rion;11;11'1o'relmarne des conditions de troyen /o. meilleure

Syndicat des tonniers étau, apree es ,s0erdee.'0 9P asPZ Unis, SOye. palnIn et avecOsrice7d,.? .oliitit.ililt,Eouion,ibzalErn.

05mo 0e0111 no saos 50e:

olneiir,s oase 00 cool, 'cool le pmilsu001 sae . vivres ne yous 0101 pas et hi

rse d'e':end° :e

cainarecoleernsàs étant tatipireeirteee:ouas e:t ;7;7

t 1 I/,rmeruinais ou jour adopté par rassemblée.

FroisièmeAnnée. 5201 crirruu... Jeudi 19 Mai 1910elexam..

13/11PICAX7 A p.A_Kle. JOURNAL QUOTIDIEN DU PROLETANIET TÉr...É.ulioNE 3155

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 2: FroisièmeAnnée. socIALIsirimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1910/B315556101... · 2010-03-05 · oosr.11s000zs000imis.l le safran, la apprécia, des épices, de os à sco fr

Jeudi 19 Mai 1910 Le MIDI 5OCU1LISTe

. AmIs daa, unc nes salms.. V./ven./or e bre su Immo env.. na

/axent leurs Malaire.. ...tees a roma-eacn de ta brie.. amteire on. ont reran.Maaux élections cesistahvea gemma/ est la mail-

Jrrtires1:=ZIers'.'de'lleFeeiUnui/ met exploltda et qui premmut, dansbagnes eaphal.a.. Its n'ont , manque un,onc.ion pour atterars. ans ils. ms journal.,soft là tribme de la Cbaradv, unis deux

einlepua.,lu,mentde nette eamptigne

Apr. mod entendu sarnarad. liai/Isaacet Raidies. gni sunt venus noua ap,pg.t2aa,,tioe.

tre..'dgriss' traVadleursgmi.denendenteleur drolt à la vie. envoient leur sym

Méta. ris blotetif de Led'u'x', y:C.-

-1/intransigeance patronale, se séparent aux crismille fois r de la grave

06.

VIE OUVRIÈRECONFLIT b a'OUEST-ETAT

Parie 18 mai.Un inerdont s'est glial entre lé Spi III

Ses. Ramiur de ter et le sous-directour desuhainimn do fer do l'EML qui a valuud da re-cevoir nne délégation d'employés.

Le Syndicat ve adr.aser à ce sujet etroisse: groupements une o oculaire dans.tous la détails de l'Incident seront relatésLa circulaire reeommarsiera notamment à

- bous readéléguE3 libaa de ne pi. siéger dans.1. nomulasio. jusqu'à movel maire

-- Les membre, eu Syndicat demandent à M.Millerand Ou-mettre fin au sonda.

Le ministre des .travgux publics cubain:mi.que à ce sujet la note suivante

e En perlant nombre do Journaux se sontSali lIerho de praintes du 'Syndicat nationaldes travailleurs des the me, de far, dont ladirection des eternim de fardu rEiat auraiteet.i de ecrevair Ica delaguéa

g La demande d'audience adr.s10 à l'endut eas-direeteurs ne lui est parvenue qu a.près que Ili, délégués dament présentésavant d'avoir reçu génome à son cabinet, cequi explique qu'd n'ai pu à ce moment teeameevoirt ils ont été eanvoqués pour après-demain vendredi.

O La réglo appliquée auu ohemiva de ferde EMat, somme dans sofa les servinee dé--pendant du minier., dee travaux publiée ntdee faste:. evt. en elle.. do sonvoquer dereetesels rept:Umlauts des associationslégaranent constRuees comme les mearbasdu personnel qui detamdent. audieme h

LES INSCRITS DE MARSEILLEMarseiffe 18 mai.

Leivibunal marilluir commercial, retinshier aprés-midi soue la présidence de 51. Pot-tier, adrulniarateur du quartier de Nieraient..seaclaamé à &miauleurs de prison stuaétruoliautlntir dli pneu.rt eris a. poursuivi pour relus dolaisanee.

Dans cette marne muflerie, le tribunal aégaleirmin condamné, à un mont de primaavse sursis au matelot qui avait déserte13gdney le crois-anal barque « Dupleix s.

Trente mariar de l'Etat qui étalent en sub-' siatertne b Maisetlle cour a./marec le départ

des courriers postaux seulmerl. pour Tou-lon.

Le LOCK-OUT dos FUMISTES INDUSTRIELSParts. 18 mai.

le syndicat des fumistes industriels ayantà la suite de revendit:hune et dr S'envola Mieh l'Index deux maison, importantes la rires-

' tee patronale a décrété le tek-out et hiersoir EY pair.a mat renvoyé leurs ouvriers etferaé leurs chantiers.

Ises ouvriers au sord. génnis cet après-midi-bu Mures Plu Beurs, ou Tremil pour exa-

miner la situation.

New-Vo.. fanai.Les arbitres en acerréé une augmentation

SIS salaire aux mécanisa.00, cbauffeess etesindneteurs due chemiau do fer do l'Ouest deBide:ME LES POUDRIERS DU MOULIN-ELLES

Brest 18 mai.On signale une certaine nalmatIon parmi les

Mariera de /a guerre appartriant à la pou-drerix du Boulin-Illane près de Brest

Leur syndicat s'est réuni rIa nriF une delberenon de proleaation contre le surmenaam 4050M les signataires. serait tangué naouvriers, contre des litentlement, et guerasévérité tala direotiou

Les protestataire,: seulement une ntDételle,

ealifiate

L83 03388118s S'Egaller8111

Ihnimgnst et ministres républicainsVoyagent ensemble

Perm. 18 mai.Le roi de Portugal lit ',MeV.. shisaions

«tacle/Ses Mai vele assener aux finieraillessoi Idouard, ont quitté Paris ce matin a

.e h. eo par lente 51100e-'Peu aprlis est arriva à la gare /d. Pichon,

ministre des affaires eV-augets et !es moto-Jar. de la délégation française, le prince h,sitar Ms Serbie te pris. Max de Bade et les

. délégation, de Turquie de Chine, de la prin-cipauté de Romea, de la vine de Biarritz.qui a h va tête le mg., de lIarritx IL For-mas, mie .délématim d., Ia vil. de Paris osa/-posée de MIL Carlu Lemptia, présidents deeue iluturii,aipou.1 et, d,u,,tia,nmIlgoenreirl

mure.légine

M. Piehon a salivé successivement les chef/eles différent, miss.., il s'est rendu eu

FEUILLETON DU 19 MAI 4910

lia guerre des FemmesPar Alexandre DUMAS

NARRE DE LARTIGUE%

La phrase de C.andles n'était peut-êtrepas Mien logique, et faisait mena hors-&maure dans lu eorgersation. ; Mals leenup étet farté. Canaries av-ait remarqulile mouvement avait inter-rompu, et le mouvement de PEI5 gni 00115areueffli ses danières paroles.

-Seulement, cdnimumEofficier,,a n'ensuis pus moins forrle de dire à Votre Al-tesse, si désagréabdu que mi mit la chose.0. je dois rester cci oreteau et, accom-%effiler Votre Altesse partout où il luipiarra

- Ainsi donc, eelara la princesse, jeIiI Ponorai ètre gaffut. môme dans maChambre ? Ont ! umemeur, c'mt plut quede l'indignité. cela !

- rai dit à Vetre Altesse quo telles&taie-nt ta. instruetiOus ; mes. que VeeALMA. se resserre. ajsmta Cenelles enfixant un regad peIreant sas la dame duTit et en. p..t sur chaque Pare, 'alledoit connaitre mieux quo personne. quo

.11isais obéir à la prière eTesse femme.- --Moi ?s'écria la princea.e 10000e ac-tent où il y avait encore plus d'embarrasque d'étonnement. Es vérité, monsieur, jene sais oe que, vous veules dire ; l'Sguve

entesteem. s.vents9 h. 511, . train uts euu:ie hegard

il est formé de. fanon suivantaDeux rompus curie:am les hammes

roi ds misaton Calmis-a, leea.jo,, de Ig délegati. os Parie :glua de lamumeipahte de Iliariitz délenation de laprincipauté. de Umm. prince Olav de Bade,prince héritier de &Mg e, mission française,mag. du roi de Por.pnel, PIRIS wagens-res-lourant, délégation Mlle, délégation lei'.

le train spéc ialcommisssUe 0p.1, accompa-

A WESTMINSTER-HALLL'exposaiva du corps

Lon.dros, 18 mai.Le publie loti Odminic visrter l'exposition

pliblique t Westminster- Hall.Deux officiers des grenadiers de la garde

sont placés de chaqu eetê du cercueil, qua-tre gentil s bonen. d'armes à la O., dm 111-tees Indous au pied da oer.eil, tous engrande tenue.

Quatre eandélabr. projettent la lumière deImita bougies: le publie défile lentemeat dansun ordre régulier.

Des :milliers de' ph.mounes attendent enlongmes

rendre, 18 mai.Malgré là pluie toreentialle, lia ncimbreues

mrsoymes ont attendu fouie la nuit rouver-tuée de als.t.mter-pull pour défiler devantla dépouille du reh

Au lever du jour le. .nombre de visiteursaugm.tod'instent en a.tantt les tramways!es °mullas, les .trains, amènent des ouisMerien gram! nombre, ms grand sils.° est ab,servé par tout le idole..

L'ouverture de Westminster-gag litaitfixée pour six heures: 5 cette heure 10,900personnes étaient aseembRes devant West-mimter -1131/.

L'amis.. de la grand.. salle .pendant 11 1111dtegt des plus impreseionnants, Is salle étaitseulement éclairée par les M.rs venillantesde cierges et dans ia pence:are luhmilint lescuiraseers garde- do camps qui. immobilescommodes statu...va/7.mb auprès dameraidéfunt.

Les hommos de garda étaient rern/daaliachaque demi-tieure.

Quand blessée e/lichecBig-111. s.l.six .ups, Cardé des vistieura ôniumemedevant la cercueil: perdantre defiT.e e.uhlidevant le cetera/qur. le, darne, élégantescoudoient les ouvriers ousaiérem, riens, et

Wons-rulede. le trouble le silen., de noralueuxFrançais sassant mêlés h la foule.

LA CEREMONIrDE'VENDREDI-Les préparatifs

Luadrat, 10 liai-On continue à taire d: grands préparatifs

en vue de la rgrémonio du vendredu on aélevé irtsngdu par..ii que suivra la pro-oasien, de mut, mati mapes oto es pour-pre et blanche et portant t couronne royale;de, plantes neturci.es sont disposées sur tou-te la longueur do ta route où seUementtribunes pour as sliasmieurs

.Dea Matures en planches ale â1,4 établiespour protéger les dcvantureu des boutique,.

Louer., 18 mai.La plue grande activite ragua à Windsor ;

à la chapelle Saint.GeOrges, les travaux eontpoussés active..., dm mugi.s travaillentnuit et jans; les aiêcles Plut ROCOUS-arta dedrap pourpre, uu certain espace asUrlinervédasa,. milieu dela chapatic piaule Pas.P.du goothge.

Le sol sera recouvert de fcatee gri, lesmarches conduis.t du il ned au Mimer sa-sent drapér,o de emir.

Les membres de la famige royale et lessouverains etrengere prendront place dans

a.tromxra sous lecercueil, servira. pu trancest da la décan.du roi dars les voûtes Meures dota cha-pPo.

Ce niella. ut delactiement do grenadiers-huards de Londres est :d-rivé à Windsor pourprendre toutes ees disvoailiout en vu dutransport du cerimeitzeys'e

De nombre.ea mima.ru deus plusieursd, gra.de dsrtmtuics. porMat des- imartP-Li.s en plusieurd langues. arrivent de tous

publie du mande s'est uuo proce.torinca.aulc d, voitures d'autos. amormit descers.La chape'de ers eom.neu et de

fleurs.Les dona.tiques cliateau travaillent

nuit et jour aux derniers praperatits.Vendredi, In petite vil. de Wind.r sera

bondée; toute-s les chambres d'hais. sootrbijà ret.u., ou sera mams obi ie de logerdes ours marqua dans des cabinets de

La Comète de dialloyger., 18 mei.

ce. reapomiam t agence lournier estallé demander in Ter Lnia, directgurl'Observatotre du Valu se quota.. exptiemLions sur II pos.ge de la camé. de Halley

- J'ai mate quelques observations usesintéressantes, tilla inesi4 le pesa Lek,s'est ainsi spin j'ai pu mn rendre enumtrla quriun de In conia- de Halley avait déjàenveloppé la gang. Venus et la lune. Pourla tune le phénomène a ou /ieu le 30 avril.Au marnent lb les faiseraux lumineux ors laaoneka Pont frapp. elle a gris uneton lieuden jaune Phis avsl

EZ ET FAITES LIRELE c MID/ SOCIALISTE e

airennatanSOS vous faites alla-

-. :Madame, coati:lue l'officierI nt, je croyais que Ie. valet de chan,

bre gui m'a introdtrit avait dit mon nomà Votre Altesse. Je suis le baron de Canol,

- Eh bre., dit la princesse d'une voixassez ferme, dus m'importe, monsieur I

pansus *qu'avant déjà. eu le bon-heur dere agréable is Votre Altesse..

- A moi ! oh comment cula, je vousprie ? reprit /a voix evee une alteratimqui rappelait à Centlbas certaine intona-tion très irritée, mais très craintive onmôme temps, qui Staff restée dans àa usé.moire.

Camoides pense avait été assem loin;it était a tem près

En n'exécutant paa n la lettre mesinstructions, repris-ft aveu l'air du plueprofond respmet.

La princesse pend rassurée.- Nionsieux, Je ne veux point

Caus rnelfre en faute ; exécutes vOs&nations quellce qu'elles soient.

- Madame, reprit Cenelles, j'ignore en-core, heureusement, comment on persé-cute une femme, à plus forte raison ooro,ment en pemécute une prase... J'aidonc 1h11 1r de rapeter a Votre Altessece que j'ai déjà da à madame le princes-se douairière, que j'étais son très humb.serviteur.- Veuillez rue donner votre pa-role crue 1000 10 sertirez pas du chiMansans ma compagniô, et je voeu délime dema présence, qui, te le comprends hien,doit ètre odieuse à Votre Alteme.

Mais, en Cl na, muusieur. dit vive-ruent la prit..., veut Weséeute,re. doncpas VO5 ordres ?...

881111-83 18$ lustra 311133 ?

amunen ena jambe d.s 5 sana st-wartinPari:. 18 mal.

De, reehemes infructueuses mt été opéréesla minaMe dernière, nota l'avons da daus lecvial Selideataiain, où le dépeceur Ferdinandarrima .r jlité la plupart dm restes de sa vic-time Ebsa Vendes...

Or' hindi sem, vers sept beur., un grouned, pe,,ante sammmieut sur les bordsnal Sainte3faitlii, devant le numéro t9 du Vs,In %atm, en face la me des Recolles fixant

eaux avec obstination.Au milieu d'eux, in jeune homme gesticu-

lai:, morni.ant. un point du canal et s'écri.t-Je vous de que dest un piel ml Doge

e cet peig-etre aelid d'Elles Vau....Il faut aller chercher un agent.

A es merneal. un g.di. de la paix, à/ Lod,pend. Avisé, il 5e mung dune gra/elm ainumIn d.rià elle plaga dara 011 ae..

C'était en effet un pied Mima'. lui ,petitetaille, pgd dé femme assurément. Coups à lal'auteur do la cheville, I étad en gai d com-plète nutréfachom

De Ois. Mer npleu-m 0.1 nur hen., devantle mantra ua ,du guai do Valmy, on:retirait ducanal environna kilogramme et &Mg da gels

Ce: smistrrs débris out ale transportés à la

'daIs e';hals

Lus Bileux Se Mur 08118118

L'iNsTanc'noti- Parla

ai. Rama du Pus a emeodu t/Mourcilatémoins. af. r,1/11/1, bijoatier.Mainte et rem. au juge le relea.on/1 a rom/ri/mn Sesne Candi., De Maint . ne/

ras

tine'en';e'r= reeeocelot teaauoier w telter et rodes as arumtrame.

u. du Puy n'entendra pas siour Candide

"el';'iridp",Si'suleieulé.17U eut rinerse.boa reetere'umuee tamt, Mem ans to,er.e Mol, gin er.-!%Peree

ta mai.

irgiegr.0 ens amenas moite ,

JeLhijous.retors par euarn nits ma mn,

',mgr,. tein Une asque.sur la situai. de. Il en ressort quaulr.tlta es immeuble qu'ellepossadell 31. roc -/s.psoprinlas dote me ffireuicsuit st. nal.. ha'./ I .

«00

Les Présidents Hemmen: de Commerce

Paris, ta Ma,.Les présidents de :lugubres de con/morse

en sent hulule l'Hôtel Continental sous Iprésidence de M. Bette', président deChambre de commen, oe Paris.

Parmi los Nosux qu'id:uni, adaptée, II con-vient de sigueler ceux-c,

DispAt sur lo revenu 1 L'assemblée renou-velle auprès du Sénat -es hist.-ces pour qu'ilvouillA bien repou.er le projet de loi cotéle 9 mars 1009 par la Chambre des députéssur l'impôt destiné à frapper les benlillgraindustriels et commerciaux.

Billets d'aller et rems à duree prolongéeeue Parie Rur ha promu/riftur de la Chambre

darde M'âmes.. d'aider es ruI.u,itr utan bctletd,5 lande ouue porbiutesut 51m l'a

certaines périmies de II..., de faire a Pa-ris un certain séjour sans être obIMA depayer le plein tarif à l'aller edmme au re-tour.

/mords maritimes LRs.mblée adopte unvomi présenté par la Chambre de commercede Bordeaux et celle de Lyon et dont voici

I's''Î.VeCi'el ec'edderirr2i,relis de Chambresde commerce. heureuse de constater la fer-meté avec laquelle les immoire publics vien-nent enfin de réprimer 1m rae.es anarchi-ques et revolutimondires d'une minoritédli.ents mankm..U. émet le s'attaque le gou-veraoment, aprés s'ecir sc./talai/ !a dia/ileumet le respect des lois exigea., persliêtedans selge voie et assure ainsi d.strle de Fatalement romant et la paix dans ka-mis,. son existence déjà précaire seraitsbeolurr.nt compromise. s

de."Pdâ'e,'r'er ds' de'rendi'grr'd.11',,I,ger'a.eI. Qu'a l'avenir Eadminisrtation adresse

aux maires et délégués dos .nseila munici-paux dre instructions très Maires pour leclassement. des Nmtours consulaires dans les

Que la prèseoec des parties devant leJuge do paix ne soit pai nécessaire pour quere dernier puisse opêrcr une mutation de ce.tapera lorsqu'II yens:, une erreur évidages,mais à (Mare .par Is juge de paix .de }airero/maitre immédiatement k rinter.se lanouvelle catégorie dans laquelle il a étéelasse afin demi permettre de rliclam.arn'a lieu, cela parait d'autant Plu, faeirr,réaliste/ quo les fmmalités de la Ici da /SMne peuvent pas Sire minées pour les eatégo-rs, pratessminn Iles deStuiStlaa. n'ayantrue créées que par Ie.,. do 1908I

I. Quo les liste.r de reteurs des Chambresde commette saient peaLablemere s.nhaes

- Je ferai Ce qUe ma conscience friadit que.le dois fame.

Alensieur de. Canrilles dit. la vois. jesoue jura que je ne .sortarai pas de Chan-tilly sa. vous prliveuir.

- En ce cas, madame. dit Cenelles lns'iac rrstni jusqu'à. for., pardonnes-moid'avoir eté la eauen involontaire de votrecolère d'en instant. Votre Altesse ne maresSITs Pl10 que lOratu'elle ml fusa ap-peler.

vous reine., baron, da la voix-aveu une .pressier de pie qui parutavoir 000 1100 dans u ruelle. Alles, elles,je vous remercie ; demain, famrat le plussir de VOUS revue.

Cstte fois, le hast, reconnut. à ne s'yplus méprendre, la vais, leu yeux 01 11sourire indamblern.t voluptueux de Pétrecharoe.t qui lus avait, mer ainsi dire,glimé entre les mains pendant cette miréeait le cavalier umonns. était venu lui ap-porter Porotre du die crEpernen. C'étaientors insaisissables émanations qui parfu-ment l'aie que respire la femme aimée,c'était cette tiède vapeur ma est un corpsdont I-Sirde éprise erm embrasser les /con-tours ; suprême mlii, t de 1 imagination,cette capricieuse fée qui . nourrit parPidlialité, courire la matière per po-dit.

Un derrher .up d5m sur le portrait.si mar éclairé grill lut, montra au baron,dont les yeux, d'ailleurs, emninençaientà elvehituer à cette densi-ObsaltrAA, le nezaquIlln des Maille, les cheveux num, ClPend enfonek de la prin.seo I tandis quo.devant lui, la femme oui venait d, jouerle premier note du rôle sr difficile cm/ellelu au entropma avait ,enil à fieur J MM.le nes droit à narines dilatlies, Ia baudocmusée au coin par l'habitude du.sourire,

a . assez longtemn, a I poururr 'reeteeillItteteree'...ugeront utiles devn. in Publication et r,P011110 de ces listes att'geelfe de ks jdeta. de

Pal.'llutin, que le nécesmiro soit fait Pourque ces aluette/atm. ment réalisées avant/es é/ections Il 1910.

Protêts dressés a. Plite.ger Enfin P.-serab/de 1011 1e vseu igfe les 15riffeiô drésespar les soins des consulats Erançaig à l'étran-ger ne soient sOnnais à aucun frai, ou tout aumoins que les Ire. sciant réduits au strictminimum.

Deux cents électionsseront contestées

Le sec..., eues. de la préslosoca Me la

.Saata.

Nouvelles EtraugèresEN RUSSIE.

Le choléra en RussieRainr-Peterthourg. /8 .1.

Vas le tom,: chaud, le eheltra repaie. Deseus mortels ont ide .nstatée à Messeu et desle: armoiries de Ettore% dl d'El: arerinoslaw.

Musieurs cas ont ête enregistras nier à SaiehPéter:bourg, tata presto sr montre alarmée etinvite la populaUou à gabgettle dIcen nonbouillie et do légumes.

L'Interdielon Duel

Peur battu In ',1ei.'w7i,leedfr,aet./.. la Marina russe a Oie cm.dam. trois semaines de &tentai&

Ou /ivre de Tolstoi ornstisquést-Petersb.m.. rau

le Sénat rosée e rendu or amas °marinant de

inzeg,e, 0etlsstaee 0e Pare de Tolstff sur

EN ITALIEbrame dans . LIces

Palerme. ré mai-

"enat. et a soniRi 'te"!ro'Zee'sre'eler.'notes qu'il ka alti estai nour ss comIKgt«t/e7=r'et?'es'll'elsli. slo7'./ 7s'est osso/te/suie/d,

AUX ETATS-UNISCatardrorhe da. une Mme

Camion sommBic agrès-ma à la umpagnie dev fem btaia

=lm, Mir MO et blessani'ia'nu, :les au.Le sen poT 51w urmrebrue mue Il ul

'pr"*miniers da. I enchevêtrement ues poutros.

AU JAPON.lamenta liume-laponaho

10s10e cotre In rOde 01

vutigré le démenti erneiet ah.nais eahment Muid In brult rgune entelle ro"

erc.% ce.drâdeux pays.

EN E31150M.vement xénophobe

Suivant une dépoele paerai. Pazurr!eldi.1:

pie tu 'm,%°,-,c,.e1,7.snouverecnt DIPnOphobe et anttelynasti9ue InquP,tant à SaMin et aigre poli. du 1 an.Tie, dirgenre qlenode au souffvement ries

eus

Envers en 1900. ei,: on bile. aime

UN ALUNIE.né

Sales:que. mai.1.ss Malautes ont convenu

tssec ',reculChenset.Pacna et avec le consentement du mais.Ire de la marie MahreemdCheflectPacta, quo en

utom='Ledialre a. maires.

Le gouvernement a min:, de rendre as armesite peralst.o st les chcons.nces le permat

'etle nombreux nmetlies oul..nnima. à GUMMI..Pacha la minuagen canule. de 33 chers ré.bel/os.

AU MAROCGuerre de Tribus

1211111dr MIlepuiaez le. jurri,jlier.tiasa.esnouoteeqsi'tselur

1/ a été cRndult

soU'Re're're:Ssaellt'Imi;,Le'zaee.JL;ei.secZaaracelle as lettent jusque seus les murs.

01.3riXe

UN PEU PARTOUTTerrible suicide

Mea, t8lirao Mariner, auge de quake-

r/nec ans, demaimmt à Puruede. rient de lad.lie tin à ms tours d'une tacon atroce.

Files'ert ouvert In ventre à raide dan cou-test de calai., puis g.t telliadédont elle a jeté Ire morceaux daua le jardin.

C'est un fdst du sang coulant SOUs la portedan réduit où la nullicurcuse ,ost don. 1.more Sait doue treeil aux aniUns.

Mme gerbier avait cu la d.leur de perdre,cru doms derniers, von OU unique.

et ces joues arrondie, qui éloignent toute. . -flanelles savait. Mu: ce qu'il voulait sa-

voir ; i/ salua donc tuer le rrieme respeckque oh/ avait rra avoir toujours affaire ala princeee Otto relire dialS Sun appaMe-

15 rpeslreuoCano/Mc n'avait u heu. résolution ar-

rlitlie ; aussi, eu r.trunt chez lui, se reit-il h marcher ramderment en long et enlarge. comme ont rualmitude de le le celeo gens mdecia,, sans remarquer que Cas-tenu. qui attendait son retour, s'était levéen l'apercevant et le :suivait, tenant entreses mains mc robe de chambre lent éten-due, derrihro laquelle il disparaissait

Gastono heurta un meuble, Camelles .retourna.

- Eh bleu lui dit-il. que faites-vousavec cette robe de chambre ?

- J'attends que monsieur 1110 001 habil.- Je ne sus ne, quand j'ôterai mon

habit. Posez cette robs de chambre surun fauteuil et, attend cm.

Comment ! monsieur n'ô. pas :ORRellil 1 demanda Co.stonn, qui, va/et ca-pricieux de sa mture, semblait. ce soir-lb.pl. revêche que d'habitude. Monsieur necompte dong pan ce toucher tend de suite?'

Non.quand mensleur compte-t-if

coucher, alors- eue vrais impo-le- il m'importe bsaacioup, attendu cjec

je suis très faripli.- At ! si/minent ! dit Camelles atm/ra-

tant et regardant Cmlarin en face, a/Oleétes très fatigué ?

Un Duel à l5Américaiaqe011113 UNE CARRIRE DE GENTILLY

Pari, 18 mai.Deux jeunes geuu habitant le guadier de la

me, a Par., Se disputaient I. faveurs d'u-ne blon.dinetle. L'un d'eux ayant Mut'autre Mi voua une haine mortelle. 21

t'e'nt"o trt7elr t''d'Os2,1l Terirr'iqt:rUtl'e. etOU

L'arme chnisis fut Ie. revol.r. On ,devait1.111111 11001011' se batt. sur lo talus des for_

Ulications.!dais ce lieu do combal fut- abandonné,

comme n'offrant pas lei con/lions vouluesdo discrétion. Les lido...irae afferma doueh Gentill)'. b Innominé de la route do Pllay,ils entrèrent dara une earriere éloignée deshabitations et le duel sormnença. .

Beur Mites furent d'abord delaragéss sansedeintat - comme en tata dautras duels -autionne troiaième atteignit à la poitrtnedes duellistes qui eans constat., et pourcause, ni madecins directe. de .mbahestima te allennme qu'if n'était pas en dist

inferioidte.D, nraacau !. advesairea s'alignèrent, el

un quatrième prefeeti ateelarit à l'ait droit.le même cornbatLant qui. eelle fois, s'aftaimapendue que son adveituaire serahlYail à tou-tes jambes.

Iles pass.ta attires par let détonations,portèrent, secours au laeasé. Paul Fagot, 18ans, demeurant t7, rue de Tolbiac, à Paris./I a été transporté &nem me pave à l'ho.,pie de BieStre.

commi.aire de police, M. Leroy, a in-terrogé te blemé qui a refusé de faire con-naltre son adversaire, male d'ares le peugidit a vendu dire ou a 11,1010 /es motifs duduel qm, Nyon, on,. rivalitéd'amour. --Une drague sombre

à Choisy-le-RoiParts. 13 mei.

drague montée par hait IMMMes a .mhré

reare.ei Mitai e27,efcluqueue. Martigues que l'on pouvait redouter toutdabord. Pat: mite dune voie dein la drag.s'est Mione. dans le mais le, /gommesqui montaient ont pu jeter dsna reatt et sesauver la nage.

Dés qu'Il informe r ruerre, 5LInc. asti =.1.° teeorot Ii neurege q., muremement, dafait de victimes.

Un asile d'aliénés incendié

151151 Isa

Au eüLl, suit derMase,Itti011eto''nillantsur l'osa° deilin. de Regiora /ROMP,

lit los roriatursuses paye- Clael/PSP

inarralje.emallies parles gendarmes, pru.deent anee lo plus ammdsanadrant au sauvetage d...auto glidregsealeates.b.sr sa las.. mener sans

force.Le feu augmentant sans cesse. ou clonlartAA

umpicrs de Lute et du OunkarqUe. qUi arrivé.

eoVjetelrelt=releantras P.,/s1,'s-ttegtlls s'élarent MM.. ceuladnesli

francs.

Expériences contre.les accidents. de mine

d L'''..t"7,1'',q`etner'd:+11'1:7d,t';te r,,>.:::

r'-des punch. elanakertd.fera . %mea de. Ta parue sup... de

la paierie. .nd,. couche de YS canimrires

r/Ige'reeer'deunUleces'ell?Pu'd."5=ii. placé métres.

moment oit ten coup . Car.. est tire, lapousstare de Fair, nelieddien la Melina. ehaese

ccorless spi. PI se intilluireast t la pito-skre, end:, s. iulararaebilite

Lamarque nie toujoursVideare-suptterse, umi.

1.0 tmoRt Lamarque laper encore subi das.

nia fuegiquernent amis nankinaux erlmes des chauffeurs de la. presle et

='es':et7eiefat'élér=tetit'euman un mecs],

Le caporal TripierParle, là a

cL.,rça'c'ef''urencap' :ratcl4rielPene, que rercrayall ettra celui de 'Cri-pter. la malheureuse vagune dmParts .

Le corne paraissait avoir séjournedelonalguessernaiges dme re.: fut .5,6 au V-de.

oreed aux tas

didemineatton.osaan't/connarrel:"I'ef4La%`;:xe.r4L>P'

Victimes de la Foudresidebroinik, .

fondra a détruit trois nuisons; sHamasequa dem termes Oui tIr ingambe, àtome mettes partait dans ses bras ms -1A/là outChermve, dams aeunes er, eut été /butina.:On eoarcei.

Et le gentilhomme lut sisiblement sursiAge de son laduals Dette expimssion

.perlinente dm danmstiques qui meu-rent d'envie Puer ftura mettre à la porte.

- Très fatigué ! dit Castor..Canolleshaussa les epaules.- Sortez. lu: , tenes-vuus !lacs

L'antichambre ; quand fumai la.a. dovous, je sennm/al.

Jo prliviens monsieur que, f,ardslongtemps. Il ne me trouvera plus clanaPantic hem bel.

-0105 serez-van., S'a voua plaff 7- Dans num lit. lima semble qu après

avoir fait deux conte Lem, il ont Walltemps de se coucher

- Mons.ur Castor., dit Canolles, vousêtes un maroufle.

- Si monsieur from, qu'un marouflan'est pas dIgna d'Utte acia taquais, nvon-siem n'a qu'a dire urt seul mot, et je Iodébarrasserai de mon aermee réponditCastor'o en preuaiM son air le plus ma-jestueux.

Canolles n'était pas dans. moment depati.ce W si Castorin .eût no la facultéd'entrevoir seulement l'ambre de l'oragequi grossissait dans Vlisprit de son mal-hm, il egt. évident que ai pressé qui/ fûtde se trauxer libre, il eût atteudn n unautre moment pour lui faire la prepOsi-lion qu'il venait de hasarder. Aussi Icgentilhonane marcha-S-41 droit à 000quala cl. prenant un des boutons do sonili,taiteorps entre le norme et l'index,

mouvement devenu, depuis, familier à un

eusgarnd homme que.11m ho frit janlalA

gamme CumfflesRépétez, lui

dit--Je répute, répondit Casterin avee lamême imprudence, que, si monsieur, nat

L'AVIATIOrituns onme'ditueZteur

. e-Iraolatour s

lion sule sot, i/ portombreuses AsItusloSs.

A SAINT-PSTERSBOURGSept abanranesidétruits ...

St-Petipa/mors, nisi.Sr. Ilriveolto, ramure. N v

et durent leavealso,,lossés pefee,'19eI5 en aimas., sept :savon/ai/es dé:traita

Lu SEXAME et IORANNISTAL

/lieel,es /principaux deiue'te ar'eUtne

ree eLrt.'s.:i '',1"1Z-1. Je.' die, a:13"m::

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nde'a eiriréle"'iintaers M'auZrte promit.: eno o . afaim alma, au mimai. cas arta.01 e501k-'eeonee2p,ee'rnebp':',ur.'04.,'mertt*b.cer:;-11.1.1. %.6.11ne,-re..n.4rtMepto50.feeede passer audess. de lems te. les zero..narquoises. tro «et impoestb. de /es galsssUrsilaOs du moins les reecallartre Ce n est

rerm!'e eba'ree'dee'r2itedigreneoseder-e.1%erje..e.T. =zire

uztUrei.le 44.le pi-Of...ale 1114: de Xun.. et no. cosSoa.tente Pauclele. que nous.sivons la Poque Per-

om=trarliç'uliéreette.'sé'sâu'rtralOuresesus difacultas nouvel. et en ont proTtese des

l'ami, e ve. alles entreprendre etqui , pouvait être'conflho des mains plus ex-pertes. valu aume à enneiger bien des exigencescontradictoires et en remit le présent. nana.

gireeterekeertlrequirees's Cr:C.mont diplomatiques mil sont mesure, de tactet prudence.

,de jo..que de.vols of-

Bulletin OrphéonignesOtrvELLES nes CONCOURS

LilsOADS il/ex/te-Vlan,. - NO115 rappmonsdeI' grand 100001111 iule:Rata/nal s'orphéons 'de

trompettes etMitanni.

d.rinen...-M1ede Surates.as .Idestudien.fluas, do tromp .asseorganisa par :a munleinaling de Limoges, soue lehaut patronage de af. le .asecenttare desBerars-Arrs. aura lieu I. Si at lb eût pue...

midépendimment dm ableh d'art, coutumes,palmes et /12P/taille. out seront Moere. suscontours de Pelure à vUe et A'executinel 20,0001r..eez <sueurs seesat atterrés tu 'cadreurs'. Da e,rau.s Mme se préparent... Mame nonslavons ATI enmned. . edbemt mime. de laOards républicaine poudra met au festiral dulundi ià aont.

ut. les mesures aonl ues pour assurereTos.dzeditions irréprolngrebles m logement

Je tirage au sm't ugml. lieu le 5 pain el. lesr'ertgaZIrrie

'rgeourres"rioye''té 179c'!'eLs.

adhésions ne smalas pas repues ansés'. teraio.

POUr tOus les rensetanernants. saunes./ à al.Edsuerd

statuer.ses,eia,s selnétat du &mollé 1Ellotc..-vut,..eigu,,, - -

taire'd'ee'tana'seiread""sse. pl's

Sudes Socidtra mus:cales Rheims et

A.es semas de Recel= 1',Ozhao...'i.l.dee g.'. Lireimeut independent. 1,11.16tes journaux nerMinntquee ait, Rmblea. d'uneGoule ou d/RU tos sle de cellet.,

...1. . Pitiest A tnAlpendeneo perse., son vraiment Miépw.n. pour Mut ge quie. araser . rdpertntre,/ mars. vrasnest. leurest-II poss.. de critiquer, n Mule fadperidaa

Sans, dmu. dins: nioctiiein..eed.:::

7:e,,,,,l'so.lidir racii::tiirretie,:pe:1,:is7e.in:e:.

ce, des oeuvros ida.es parelem primae riumgm

'ossibltité de cruer les ceemes Mitées par

2eree..'f',`,..a.'ele.1.1.1t.wéda I.i-22,...,,,,...;,%!areii.u.,L:77,....iir,,,.....*.i.,:,....,1.:,,,,,%2.;

t ue ene.ils pas ta mem temps dans limmn qui. arr.. son Journab I. mangeravi vi. a ur tour e

le.,11, .; .r..ei......

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f.,,,,,g::::..7

re1:dr.erl,....2.i.....i1:11r,:,,,:i.tert et' travers. rmillesen lalmace

ist.rl'iliteoirslinorégrià eae iamjer,.;,,II -useyser tel. ou tete die-urca conduire, etc_ em.

a bLe, Jed.ain que la prase nute,cde

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elee

p. :mitent de mo4i: délivrerai r.nsieurde mes services.

Canoffes !agha C.asturni cl alla grave-ment prendre sa canne. Cahieritt compritde quoi il êta. ,quesLon.

- °moteur, eetria-t-il, presles gardece que vous allez faire. Te ne mis plusun sistple laquais suie nu senlioe domadame /a Etrineer:se !

-- Ab ! ah ! et Canon, en abaissant la:anus déjà revue 1011 1 vans eMs au ser-vice de madame la Princesse O

Oui, monsieur, depuis un quart dleaes, dit Castor. en 5, redressant.

- Et qui %one a engage à ce sertade ?- bI. Pompe-, sol. intendant.

NI. Pompée ?

1151 qua no d,,ain-Lu c,ela tout d«suite I000na canc'es. 'Ou.i, oul, tu asalSOn do CRI-iller rnOr SerVieO, mon cher

Castorin. et voilà deux niables pour t'in-demniser des coups que j'ai lité, sur lepeint de Si donner.

- Qh I Rit Castorin n'osant prendre Par-put, que vent dire- cela ? Monsieur temoque-t-il de moi ?

- Non pas. Au contraire,. le-quais de madame la Prinrosee, mon ana.Seulement, quand devait commencer banO ervice g

A compter du moment où monsieurm'aurait rendu ma liberté.

Eh bien, je te rends ta liberté à.mpler de demain matin.

tll d'mi à demain mulot- Di à demain nia. 1010

mon laquais, et tu dois m'obéir.- Volontiers ! Qu ordonne monsieur

dit Castorin déciel.t le prendtedeux pistoles. _

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 3: FroisièmeAnnée. socIALIsirimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1910/B315556101... · 2010-03-05 · oosr.11s000zs000imis.l le safran, la apprécia, des épices, de os à sco fr

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Page 4: FroisièmeAnnée. socIALIsirimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1910/B315556101... · 2010-03-05 · oosr.11s000zs000imis.l le safran, la apprécia, des épices, de os à sco fr

Le DÉPURA Tif BLEU &toril:

ramons u ossiseu Gros Ple.trema te BRELAMD. Lyse.

Pan, Le Conilté :retend se pore, et démissionneire (P6Ur me!' PDvéOrenient d'organiser une huilant-, r!.

_-fonte à ses décisions

riait re-ntrele de toi. les candidats qu'Il von,tomme da reste de tons le groupesnt annule que Itur localité ne sera

tue l'itinéraire dos réarmas.NESA PATHE. - Aujeardhul Jeudi, de-

:mir. te Omanaise « Sine. r. scène drama-Airere d'amas Atruelle Musset,' Ls PrebeO., Chélre plreimére Le romm de l'amtét-

.. La vengeance du bottier a. par Max-

ALciDENT. - Mardi vers 4 heure; de t'a-0 nommé Casimir Thoune, rom-

tureiennaire. faubourg Toulousain. 48 êtanedre ut fMniOn. Voulut descendre en airivalit

mdo 'Vol. grand rue Villebourbon, pour..reducleur, mais il tomba tst une roue

ma la jambe gauche. Thourou amaspork à l'hospice où 11 a été

ad

AVEYRONAUBIN.

tel SNillnr. SINDh8ALES DES OUVRIERS-filut t fiS F.T SIMILMMOn DU BASSIN D'AU-BIN - EGrtiona e mai 1210 pour is no-nénatien de trois délégués blelalres a la caissele recours des aciéries de France.

Maussades,Le mOs Je loulou;, Li:, une obligation an-

made de castra !Medias de deux délé-gué, nu moins renouvelables et profiler. m-n. que possibre. de tent oceasion peul rem-iilacee le..tbscals. Dom le 22 de ce mois vo.

, Mas appelé, à Mira trois ailministsateursrouVriers,.6.ont deux >optants t Reynés et Bouby

se=a, ucurs

-CARME MOUSSELINEBRELANDaew

sin vend. Produ.......auSoulou. Gu Pte- des ceu Boulevards. -

Ca...manne, ph., forera, Pire Con. - ArrePh... Comeatren. Castereattaery ph. nreo.

.4-

tt l Oral, Li M MAI treu

LES MISERES

ENFANTS TROUVÉSPar Eugène SUE

pie uit.U itt,..t Méat, en7! à ion tour ; j'attruis Pré-21 à coriles, un habit ventre

s frartemim, .gilet al mietteire:idées d'argent, Isor, de soie

. s aux! souliers el il deI., nt été., pi La sembla. ! quel-

di Unie, usais c eut été trop'Mon loi, moo tison gare.- (let-rete lenue bourgeoise ...serre.

toAnaiveté, que je prise si fort.D'ail/eus ta livre° ventre de

la mienne__ je veux en maser-primes, Je malais command: unes' dltaltits de telle Quant., pourda /rem lors d, l'inauguration de

...d.res alt fauboteg StreAntoine. Mais, tildistà de veille d'un vondredi a tout

eitange c'est punie Jannis,-In, uoup de mnnetie discret, timide,Stitellnyttit Balthazar le tailleur étai/ sor-t ire recermai la Imite de la elparnbre

,I1e3,4, et j'ailai mtvràr.teLterassr.

,e amuie de Mareuit ? me daman-d t'une iia métre.,se o unau d'il laMdee Dtigab'D la once oit nousePa,i . auviia:-

,0.111.11.a Mule atere élection corporative. a insisté pourline les dons délég,res sortants attestent à neu-ve:ut la gestion de vos versements contre lamaladie, euthuabt que ces démues serviteursde la causé tionniune molleitl votre ren-flante par le dévoriemeut désintéressé, l'expé-rience énergique et /es narehodre d'économiequ'US' dord censé de prouver depuis trois ans.

lied facile à Pimagreartion de quelques-unsde trouver à redire i au% Petites meures quetette administration a dd prendre à la suite del'hiver de ire a 1000 pour entraver les abus.équilibrer le budget ricane remmener lesréserves perdues et assurer l'avenir. l'esmn-Ciel c'est que les malades sérieux ont toujourseu la douce espéranee lu Il ce /eue manque-rait pas des soMs médicaux al pharmaceutiquessans toucher au taux Eindeastfité de mala-die, voilà le but que celte admInistration pour,auivalt et le résultât que nous aimons à cons-tater.

Au pers de Vue do reformes. Hen ne meanégligé pour augmenter, dan, la meure dup.sible, /e Men-être des malades: le projet depharmede bee mopéralive sera repris et la«Cation quoique assez dl/Belle ne nom Persilpas inspo,sibiet cette étude sera facile avec leservice pharmaceutique actuel. et cil ressortOr. avantages appréciables el pratiques nousserons heureux de tons. le soumettre.

C'est dam. ces «alliions que noie vous pré-sentons et vote enrageons à voter pour vosvrais omis. los tants-noies

Ilenri Rentre. d'Aubin mineur ato 5000 00./, délégué lltulatic sortant.

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- C'est Cl, Monsieur, répondis-je, siAm, entez attendra je vais aller prévenir

Et laissant la Levrasse seul, j'entraidans la chambre voisine.

- C'est le marchand de jeuets d'enfantsdie-je à nies mlUroo.:- Il n'a pas manqué à sa promena..bon augure. excellent augure, dit le poêleà voix basse.

Loin de partager le joyeux espoir quel'areivée de /a Levresse inspirait au poète,Robert parut inquiet, pensif, et, au grandétonne/trent de Balthazar, 2 lui dit d'unair contraint

-- Man atati, laisse-moi seu/ avec cet

- Seul,, avec le Inarehand de jouets ?dit Balthazar.

- C'est singulier... tu ne m'avais pasdit...

- Mon ami., si- je te demande de teretirer, reprit Robert de :Maroni', c'est quete seeret m'est inditpensable... Excuse-

À la I>onne heure. ROberf, 010 bonneheure..... dit le poète desapPoialé APrèsoela un peu de mystère ne nuit pas àl'effet d'un drame.., va four k mystère.

-I/ y a /à.- da quo! ecittre f ajouta Ro-bert.

--PansUe dire.., ck quoi signer-. repritle poète eu Souriant Oui., tiens, voiei latasse et /u plume- 'Mons. viens, Martin.

News sortîmes ; la lems. nous rein-plaça auprès de Robert de Niareuil. Je fer-mai la ppfiG StIV .Qes,UPV4 .P.BellimEtst

-e Pourquoi, fiielfieTRObeigaic rend-oiet-il ? dit it patte en se parlent à lutionlet-me, dès que Miel enul nous 1P1Oxes mais

--

Ferdinand Boutre. du dna chaudronnier.Léon Escaffre, dé Crane, mine. an Parr.Candidats de la Chambre syndiCaleSECTIfix SOCIALISTE. - Le grorele .mAu-loin (S. F. 1. 0.) so renom le samedi 21 mu-rant, à u heures du soir, salle RousOrdre du jour dispositions à prendre en

vue de la formation dan banquet pont. fêter.te grand etre,a que le prolreariat aeu

densl'élection de la One circonaorirellon devillefranche, en /a candidature purement ...dureeamarade CabrelRéception d'un "fies gméld nombre d'adhé-rents.ter camarades qui n'auraient pas rere

ro/somation sont pHre tu can.sidercr la Pet-sente comme en tenant lieu.

DARDLUS BAN,

POUR L'AGRICULTPRE. - L'attention de2::;2z.e;lmedrüllIpeyarnl.r..0pas être alétournee de ses propres interms.4Mreux parler de la température extedationceilede tette année qui a ravagé Ira recettes delagritulture.

an .tail les Preneurs qui ne donnerontamun fruit; là et soM los Mens dans les bas-e., qui ne se recouvriront pas au lune d'aoûtde filePP. M'aidantes; plus loin ee sord lesmarlee que Ion Drome sere once mois demai connue en plein hiver.

Je m'étendrai plu, particulièrement sur eedernier eas. Parre 0011 esil Ponlge eue Po."voies publies de dédomamger les éleveurs devem a soie des frds m'ils avaient eommencespeur leur élevage.

CIMPERATIVE 9DOLISocialiste et Syndicaliste

Adherente à la Bourse Cam/meg. *M.Plagertia de gras

Vijneronl aanchi:S P 33ERGUIER (Botebn

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MODES4 t'Entresol

dans la Mède qui servait d'antichambre.I 2t promener

silencieusement eu lots clou large, pen-dant que, non moins mitraux que Int desavoir ce qui se passe01 dans la chambre,Ir m'eccupais de ranger ioniques hardesafin de me donnen one manne/me. Unetable placée à dermic pur moi devant Io'ouatait acousteque Unbstruait complète-ment, et pan n'entendait rien de t'entre-tien de Robert de Bayent' et de la Lè-vres..

Néanmoins, en allant et venant Baltha-zar s'était plusieurs fois approché de laporte de la chambre, peraissanten proie àun vif sentiment de curiosité.

Soudais le profond silence qui jusqu'a,lors avait régné rm interramPa Parmot dit part Robert, da Marmil d'une voixéclatante et .urrouede

- Misérable !

A cette exclamation àla suite de %quelleMut redevint silencieux, Balthazar mit lamain sur la clef de la porte; i/ allait sansdoutesntrerrefléchissant, je sup-pose, aux recommandations de son ami,il s'errata, pobe recoutmença de Marcheren disant a demi-vom

- Hum !... ça m gale.- Robert emyautPartmst que cela irait presque tout seul-.Ce diable d'homme me parait avoir unemauvaise figure.

Puis, se tournant ver . moi- N'est-ce pas, Men gap., qu'il a une

mauvaise figure ?... tt. au da le vOir à tonaise iner.

- Dame t momieur... je ne l'ai pas re-gardé beaucoup,

Le MIDI SOCIALISTE

105 viticulteurs, on le sait, louchent d, Pri--mes de 0 fo 60 par kilm.de zooms. Ces primessoM. voiles,. la lace/7e dans eertaMs endroitssera nulle, dans d'autres d moMe et nulle parton ne pourra faire la quantité de graine demise en imubation.

Donc devant tette accabla, 2 ne serait quejun.° de leur distribuer des secoure

cre primes sont dénommées printee S Mtatare- M. a la sériciculture: Ily a bien une

dméreme trèn légère de prime à la filaturede la production framaise à la production-étrangère, sunie a filature peut Mvre avee descocons étrangers, kt preuve est que malgré cettedifférence prévue de récolte de cette année, ilne semble pas que les prix des cocons tran-ça's seront supelurs.

La Mature tombera en grande partie sesfonds qui 1. nettement des primes, 11 nepent-se faire que /es sericioulleum en voientprivés. rios représentants devront rai

reen.

en ail% pou onsraison pour ,donner.d es vaillantes populationslaborieuses qui élève. les vers mie, lesprime. qui leur revieneent

.Aujourdhui la. déclaration de graine est faite.On .cennalt la moyenne de la production decocom par gramme de graine de ver. à soiepar conséquent /a répartition serait 10e11e.- Cap comme je vie. de le dire, ceux quiré...séant. m pourront avoir Me le quart, Dtiers, eu la moitié de leur rénette, devant uneannée exceptionnnlle on pourrait faire la ré-pattaion des primes exoepilennellement.

Cast b toi représentante à s'occuper de /aquestion. Nous la leur posons.

Marcel Daroussin,preadere da syndicat agricole

de Fons.sur-Lussan.

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- Balthazar... tu peux rentrer.Le poète entasJe restai .mti frappé de D PIMUr de la

figure de Robert et de la sombre

re expres-on de sa physionomie ; mais kentilit je

Vis sortir Balthazar, la figure rayonnante,Pore' étincelant de joie ; il m,e mit Mu-sreun pièces d'argent dans /a main et medit t

-Poveetllup tout de suite au bureaude tabac de cette rue... tu d,emanderas auburaliste cinq timbre.- rappelle-toi biencela o einq timbres de dix mile francschaque, ce qui fait cinquante mille francs,comprends-tu

tirtlbe' elnUi'r'JdielrecrelieaCir b cinqOUI fatt .nquante mille franco, dis-jeavec stupeur, car j'ianorais mnsplètementalors l'existence du papier timbré, sa va-leur relative, et je tcticit avom à rappor-ter reellement cinqudate mille francs.

Il est donc bien entendu, reprit Bal-thmar, que tu vas me rapporter Mut desuite cinq timbres elp dix mille francschacun, et Mie tu payeras ?

Et avec quoi, /masseur ?je avec êbahismment,

- Comment I aver quoi ? mais arec Pargent qm je viens de le donner.

Avec cela, monsieur . lui dis-je,payer cinquante mi' e. franc, ?

-Oh I innocence do l'âge d'or ! Snim.pliait(' antique I-. s'écria Balthazar ! 0Marein ! sans la gravité des circonstancesje te 'porterais moporeme en temmphotont autour de Cette chambre, en dito nulIres louangea.. en Mme- mMS le tempsmangue... deptehe-ts., rouet au bureau

NDRIMIRIDEMPant

GERS/LUC&gur d -ru ,aialaerE. eue, le mineure,.

Am. I. chevaliers do la Gaule, du grenuedtanett se proposent eoreuM,r très prucInGseme,,t alto purtie de plaislr oà nos aimablescompagnes seront spécialement invitées. Nousapplaudissons de Mut <mur cette belle Mitla.tire et nous emballeta â nes amis que le beauatm. soit de ta partie.

NillONAT/ON. - Il Fournier. médecin aide-major du fer., de ligne est nominé d Che-teandun Les socialiste auscitains ne regrette-ront pi ce beau monsieur !

,CIIEZ NOS ADVERSAIRES. - Mardi soir, lesrares panants du quO Sedi-Carnot, se de-mandaient avec curimitê ce qales pausaitdam une maison aux fendire closes, qui a laprétention de faire jaillir la lumière el quis'appelle Comité radicalreocianste. Eh bien,Mers leifieurs, nous avons appas, par au derex amis, que le seigneur Dm D'Apelajo avaitprononcé un grand discouu annonçant duetex-députe elémemiste lquoilDte admit votéemtre) venait daere nommé par le renégatBriand, inspecteur des ...ohm. du royau-me du Sahara On ne pouvait faire du tel.queue de la bourre ingeniedr agronome, unmeilleur Mois.

ESTES 10E LAGARASIE ET -SA/NT-PIERRE.Les Ille, du quartier de Lagarrasie auront

Leu du samedi 19 au dImanMe 26 juin.Président t SI. Maya; vices-président, La-

ces, Rav.act trésorier Cavé; commissairegénéral ...Daubas; mranaissaire-adjoinredus ce Rou,

p=s7=s, gal0868

ei Fournis/mues des Ministèresde/a Outre., de la M.ine, des Calcules

Slahrfies Méfies avec nuis par les EUX DO MUSMaladies de ',mea, dis foie, de ramai,

de Si vessie, te patudis.. ehronie, le diaddie,50longuescomosiesoessess, dieu...

1 Chapelle - Chemin de tersseme

Établint OuVert Unita Vannée

Boudain la porte s'ouvrit ; Robert de de tabac, demande cinq timbres de dixMarnait mange la téta 00 0,1 mille francs chacun. pave- et reviens.,,

Tout abasourdi, je ooscenolts rapide-ment lamalier, et j'arrivai chez le bura-liste O

c'était un vieux petit bonhomme àro,,, fin et pénétrant, au murire nargua..

Monsieur, /ai dis-je, je voudrais avoirring timbres de dix mille francs chacun.

- Oh ! oh ! Me MI le buraliste en cher-chant .i.lans un mauvean carton un paquetde .rea papiers gui me mmblaient devoirêtre si précieux. Oh ! oh !reprit-il, il pa-rait que nous avons affaire à tic gros ce-'Malin.... Voilà dei gaillards qui n'yvont pas de main morte... Cinquante millerems !... ils font du papier comme s'ilen pleuvait.. Mais bah ! ajouta-bit d'unair paterne, c'est de leur dge.

Purs, regardant me livrée neuve, il medit d'un air railleur

Je parie que vat. maitre est jeune- Oui, monsieur_- J'en étais sûr, dit M buraliste, car,

ordinairement, c'est mi ce papier-là queles jeunes gens apprennent l'éeriture cornincreiale... Ils en font comme cola beau-coup de petits cahiers... Hélas t... que depapier perdu ! ajoola le buraliste d'unair narquois en me tendant moanaie.

Jr ne compren pas alors l'épigramme.assez juste, d'ailleurs, et je revins on Udechez mon maitre.

Jo trouvai Balthazar aers le milieu del'escalier,

-.Les timbres !les Ombres !- Les voilà Monsieur.

Ban.., maintenant, cours rue Orange_Batelière, il.-y a-lb un Icenade voiturestu lui reginnlanderb,s pobr niidi un MM.,tout. ce qu'il a do plus soigné, genre an-glais 4 On ne tient pai à il.gent.., qu.e la

Nous souhaitons aux organisateurs une balleréussite.LA RENTE DES TRAVA/LLEURS - Le

InyVn niO,unr Joieph, ouvrier pliadiler, à ha-c,iudgodo,ert.srt Messe I un dele en coupant

ZONSEII. MUNICIPAL. - L'abondance Octmaure°, nous oblige à renvoyer à demain lecompte rendu du oonsel/ municrels LAFfilIDENS.

A NOS AIRS. - Nous epprenom an nou tardpur donner â l'affaire la suite qui 101 000,ment que le more de Lavarde, dénomme« barrique. vides les électeur. de la cons-mune qui ont voté pour le citoyen dlonties.Nous ne lui connaissions pas ce trot d'espritmare nous .devons renouer° que lut seul ena le secret. Nous sommes persuadés et h.u-coup te sont comme nom, qu'il en pins Maruni pour distinguer nne barrique vide avec unebarrique pleine quo pour établir une 011é.renee entre loyauté el reuardise. aitepeModO tient à savoir ce que mat les électeur, ideont vote pour le candidat somalis., nom al-lons ereaver de le lui expligmr

N'en déplaise à qui que ce sMi 00 partie.librement à noire Illustre maire. Le, citoyensqui cd coté puar Menties sont de,libres, indépendante, dégagés de toute céteriepolitique, vivant de leur travail, ne voulant êtreni décorés, nt gavés cilprouvant la menue ré-pugnance pour le goupillon que pour Ponetteau beurre.

Barriques pleines. pouvez-vom en dire eu-rent ?

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cLEmeNcEAusaommei d lod." 05 iaillet

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Dccl .'dlmtraompleatti rendent doutas

o ends servie. aa socialismee la arpenta:,

'Cote On"iiueae os premiers mots 'suaaorte socialiste, et c't, noue

!Mitant en arekre lees recueilsous me terme compacte

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....ives .1 euallUst Au otm.M'et. ce but de perte.imner la propagande pool.!imam° et de mettre entrai.

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Our, monsieur.Et je repris ma course. Ma horde in-pi.

ru toute confiance au loueur de carrosses;il nie proposa une très belle voiture ; j'ac,ceptai et je retournai Mes mes maigres.

La LeAv.re avait disparu, Balthazarétait de plus en p/us radieux, 171.7iS Robertme sembtait pensif.

- Y a-t-il un changeur dans cette rue ?me demanda Balthazar.

Oui, momieur, iui dis-je, il y a anhorloger gui tient un tha.ngere

Cours donc changer ta billet demille francs pour cinquante piècestu payeras l'e.ompte. me dit le poêla

- Balthazar, s'écrie Roben en arrêtant,san ami aU nlOtnent crû- cehreci allait ruedonmr le billet de barque.

Puis il ajouta quelques more, à l'oreilledu poète.

Robert m défiait do ma probité.. car mnami, plus confiant, repris tout haut

J'en réponds.., c'est bile_ mais hon-mête b je .connais let hommes.

Puis, me donnant le billet- Tans bien ceres dans ta main, à

poing formê, Clin rapporteras l'or en unrouleau ; dêpêche-tm, car l'heure anone-elle, 01 (1 faut que DOW SOyOnu su Louvreavant une heure.

A suivre.

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