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e ANNEE. N. 10210 ABONNEMENTS irinto IN fr.: mois 34 fr.: I an le fe.' L'ORGANISATION DE LA VICTOIRE D'un bout à l'autre du pays, la bataille est engagée avec une magnifique ardeur par nos camarades r /es 525 candida- tures que nous a annoncées notre camarade Severuc représen- tent certainement le plus bel effort d'ensemble que le socia- Jisme organisé ait jamais tenté en France. Même il l'époque heureuse où il n'y avait qu'un seul parti politique de /a classe ouvrière - de 1905 à 1920 - alors que la propagande orale ne se heurtait à oursin des obstacles créés aujourd'hui par l'incroyable fanatisme, systématiquement eu/- tivé par les dirigeants du Parti communiste, chu ceux des malheureux travailleurs qui subissent encore leur influence délétère, même à cette époque bénie nous n'avions jamais engagé /a lutte sur un pareil front de bataille. Nous y retrouvons le dévouement incomparable de ces militants obscurs qui, comme au temps héroïques du socia- lisme, se dorment jour et nuit pour /e Parti de leur classe, pour le candidat de leur Parti, se dépensant avec une abnégation, un courage qu'on ne saurait trop admirer. Il faut les voir à rceuvre, par exemple dans notre banlieue parisienne, où cependant /e combat, du fait des ravagea faits par le bolchevisme' est rendu souvent si difficile. Dès le matin, dans /es trains ou les trams qui les conduisent à l'usine ou au bureau, une seule préoccupation r la propagande, le recrute- ment à faire pour le porte-drapeau du socialisme organisé. A l'atelier, au magasin, ils saisissent chaque occasion de défen- dre le Parti, ses hommes, de vanter son action, ses progrès, son Et' Et puis le soir, au retour, après une journée de dur labeur, ayant dîné à la hâte, ils se précipitent, pour défendre leur can- didat, vers les réunions, quelquefois convoqués dans une con:- muse qui est située à quatre, cinq ott six kilomètres de celle ou ils demeurent. Avec les moeurs aimables instituées par /e Com- munisme, elles se terminent généralement, ces réunions, entre minuit et une heure du matin I Il n'y a plus de trains pour ren- trer ! Qu'importe gaiement on rentre à pied, quelquefois sous la pluie battante, pour se COlichCe vers les deux heures, alors qu'il faudra se lever, le lendemain, à six heures ou même plus tôt pour aller au « turbin »... es. L'effort de nos militants est digne d'admiration. Est-il par nous-mêmes aussi bien organisé qu'il le faudrait 2 Cela c'est une autre question. ' N. camarades anglais vont de victoires en victoires. Le dernier et éclatant succès de notre cher camarade Schinmell, élu à 5.000 vers de tnajorité par la circonscription de Glasgow, oit il avait été battu il y a cinq ans, en une nouvelle démeinstra- lion. Leurs vadoires multiples, comme relié denos camarades d'Allemagne d'Autriche, de Scandinavie, sont la décisive réponse aux impudints bobards du farceur de Kéril/is, préten- dant que les ouvriers d'Europe se dressent contre le socia- lisme ». Elles ont des causes nombreuses. Je crois que l'une des plus certaines est leur superbe organimtion. Justement, le secrétaire du Labour Party a bien voulu me Litre parvenu- tout une serre de documents sur leur remarqua- ble méthode, leur préparation systémalsque de la conquête des circonscriptions - malgré l'or jeté à flots dans /a bataille par les ploutocrates d'outre-Manche. C'est ce go 'ils appellent le o canvasstng », littéralement la o sollicitation » des électeurs - systématiquement préparée, organisée. Voici comment ils procèdent - grosso modo. Chaque cir- conscription t st divisée en districts ou secteurs. Par exemple, 70 ou 80. Dans chaque district, les militants du Parti sont groupés en comité de district avec un bureau et un siège on ou trouve trois exemplaires de la liste électorale, les lois sur la corruption électora/e, très sévères en Angleterre, des brochures. Chaque militant a un dossier comprenant autant de fichm qu'il a d'électeurs o à travailler » - 80, 100 ou 150. 11 se ren- seigne en allant maison par maison et logement par logement sur les opinions probables ou certaines de chaque électeur dont il est chargé, leur consacrant ensuite à chacun une fiche. On classe ces fic.hes en quatre catégories travailliste, conser- vateur, libérai, indépendant ou douteux. On relève de même les noms de tous les éficteurs disparus ou qui ont changé d'adresse pour qu'on ne puisse venir frauduleusement (la chose s'est vue) voter DOM. On classe ensuite les fiches par catégorie et une armée de propagandistes se divisant la besogne s'en va visiter, rua après l'autre, chaque citoyen. On discute avec lui, on fait appel à sa conscience de classe, on lui remet de la littérature, tracts, jour- naux et brochures, on obtient souvent son adhésion à la can- didature, voire au Labour Party. Le jour du scrutin, l'armée des n canvasses » fait sa grande Mobilisation. On s'assure que tous les partisans de la candida- ture socialiste ont bien voté. On va à domicile les « relancer ir, s'ils oublient leur devoir. Des centaines d'autos - moins bien entendu que dans leu partis bourgeom - mals tout de meme un o joli tas », sont à la disposition des électeurs trop éloignés du lieu de vote, malades ou infirmes, pour les y trasnporter. Lors de I une des dernières élections pour la Chambre des Communes Jans une circonscription de 18.000 électeurs, 16.800 furent ainsi touchés directement par les propagandistes du Labour Party ! Je ne dis pas que nous pourrions appliquer littéralement les mêmes méthodes chez nous. Je pense que tout de même no. pourrions « en prendre de la graine » chez 11us eau-ram- i. anglais. Seau LONGUET. Mi 0.1.11 LE JOUR Le Salaire eln maitaiieur /e annonce on IsarO celle place gus lus indivis, eu, tuent pou, voler ei au/ 0.- 4.. Pour oiuse des imbécile, Pasco e de métier Pluà Mmes. et .;ti':ier't dod.o.` Suse d insiruction st mtstnbm, nit tatb. Ltrs, déclaré, su C010.8 d'une audience .. l'on h, ces, un icone criminel - la me sids iiord a dee calculs ariens rue de noe jour, dans un pays sol* . d'un malfaiteur ed eur a celui de risse. true s nouai/leurs manueis. Les calcule du eueic,Eriféspar dee Pur- nu'u.,. curie, ont ità reconnus sicets. // est donc diabii de façon mem, officielle que n toi as ...an est ton homme. ace hien entendu, 1.sondil est comnde Per des cos 5,5. maline. soue le comeri d'eue am queue enciele lonemffie, mort tbts oslo,. tag. Muent nyoè,,,e ale ieme ea.Wede sn. semble ecce/lent Nobs, éeneine uesi/ire el 000 0" o.« fso0 de leçon+ de nruraie or j'imaeine très Pen des oPprentis modo, lems criant mes faiseuse d'homélies ni au. l'os »rée...surs o ' rro cliefres, Des chiffres, Pa, de boe nimenrel , Il ne essai, ma 5111101e ms gens du ms. libt de démontre, Mari Oigne en moins, aur kt.. pensionne.,s des prisons, rue los crimes btsendben sb.nbseas ininnnis riv". une proportion infime et ove, Io. coniiste Sad. c'est rônenémté sui, dans une socidir po/lefe est encore 1e plus avantage, es. André MECS. SOCIALISTE Ré:Let/an et Aare;.;,tr.t;eut 31, Rue Roquelaiee TOULOUSE - Té/ - Cornets CL251e, remeaue 4... tt BUREAUX A PAR-IS s. Rue d'Amhoige. 31.' Arron<li,..ravkt,) Téléekone Ceetrel ee-.8 RISTANTANE 01E54 SIX JOURS. - Oo dégnfeete les sa. des coureurs. LA BATAILE ELECTORALE'r- SINCLIIITE:COMNISTE On nom Mt Pourquoi diable sons °Goum.- vous auMnt rie ce que disent les communistes I Croyez-roua qu'Ils Oui tant d importance que cela N., cert. I Nous savons bien que la robuste confiance que I. t :manieurs tou- lousains ont dans les socialistes. qu'ils voient luter dimus vingt,- cinq an. à Côté d'eux ne peut pas etre aussi facilement entriste. Main, tout de môme, il vaut peut- être mieux no tas laisser le poison de la usions-me et de !injure ehemi- ner dans. le meilleur du .ng ou- vrier Sa. Mi °peser le contre- poison aPProlirté- Ceux qui ont pu a.ister à une réunffn ou part., les communiste, euie . soit à Toulouse, Sparts, en Fran,. on peut -môme dise dans toue los pays, ont censtaté que I orateur emorbunste consacra la majeure pas-lie de son tmups, quand e 00,1 pas tout am temps, à atta- quer notre parti, à accuser 4ei mi- litants, à tenter de les dinunuer de les d iscreità ter aux yeux de ceux qm I écoutent. Le « len-motive s, autrement dff la ritournelle de la chanson commit- uste, est le suivant t 5,es nomaôMas sont d. Lsaitres, lis ont renié trais engagements, ils ont menti à leurs prouiesets, Ils ont souda la elmse ouvritre b la bour- geoisie; nous en passons ei non des moindres. D abord, une pr.lière idée qui vient q I esprit eet la suivante'. Les gens qui crient avec autant de persistance o S la trahisun sont-ils bien sinceree l'émou° tait eu I enfance de l'art, pour un pielmonset qui mmint d être surpris,..t. de crier le premier « Au voleur ». SOIS en arola tant vu do ceux qui étaient les plua acharnéa à dé- noncer notre prétendue trahison, passer effrontément, avec arums m bagages à l'ennemi, que nous avons bien le droit de montrer un cer- tain scepticisme. Qui peut être garanti do la sin- cérité de ceux soi ont pris leurs plares /Ut puis, n'eat-ce pas le moyen classique pour disloquer une armée en pleine bataille pour /a dément- Liter, pour la rendre impuissante et prao à subir la défaite, que de cr er le plus fort pomelo « Vous ôtes trahis sauve qui peut Les hommes qui ont introduit daos la clasm ouvrière cotte tacti- que déminée du nom de commu- nisme out, cries laient voulu ou non, abouti pour une part -aux ré- sultats qua nous indiquons plus haut. Notre Midi est encore heureuse- ment, ;intact; mas que de ravages dans eertainm partira dé la cisme ouyriere na France el, dans tous les pays ou ce prétendu communisme s .t institue. Les travailleurs, loin de fortner Une classe un. pour lutter contre le capital, se battent mar eux. Ils se detestent, ils se baissent ou ils se découragent et quittent le combat, !sissent la bourgeoisie affirma sa position Nos> avons 'bien du mal, après cela, nuts socialistes, pour recons- tituer lamée I rolétarienne pour laminer à nouveau. et pour lui faire reprendre le combat contre Penae- ini de dam. Puisque la ca.- pagne électorale est li,ecau,eu C un reflMiblement d'injures et d'are.ations menson- gères contre le Parti 'socialiste et contre ses militants, parluue ont, ne rnànhenee pas le muta, disons ce que nous pensons. Noo pensons que- ceux qui diri- gent le mouvement conimunisle ne aint pas ùnnères. Noue croyons que leur véritable but n est pas l'a/Tren- et/ ssentent de la c/mse ouvrière. On travaille a I affranahimernent de la classe ouvritme quand on ré. Dm et cm, !instruit; on n'y tra- vaille pas quand on la dégrade, et gest la degra.der sur de la pousse au fanatisme. Sans dmite, nous nientendons pas enghter d.aris cette omdamnation les trayait leurs. les braves prolos qui, de bonne (oi, et minime on dit ici, parce qu'ils y allaient de viande, ont pu se laisser einpaurner par la démagogie et la surenchère coin_ munistes A ceux-là, nous demandons sottie- m.t de vouloir bien, mas rien per- dre de leur emballement qui e.g. le signe di. généreux earacière, écou- ter ce que nous leur disons et y réfléchir de temps en temps. que, fins, sec sous acons ;:**,s.04 Veut-on que taon Sitio. quel to droit d'appuyer noMe opinion sur I. dirig.trts communistes. L été oernier, tes trmailleurs pa- risiens étaient tringmà à tanna.. q. Io gouvernoment aniermain avait assassiné Sacco et Vanietti. Usa Manifestation élan nocessurre. 4iss §oCialistOS es Oso .srsaiosàol.s de la C. G. pri?poement de le faire devant I ambassade -américaine el n'était ta raison môme, putsqu s'agissait de montrer mi gouverne- ment. dea Otais-Unis le sent.itnent du peuple parisien. L. comninnistm, à l'étonnement de tons, préféreront organiser leur manifestation sur les grande boule- vm.. On sait m suiM. Ce furmit des echauffouteou bans irSue, deu coups furent échanges aveo la police, puis queMucs devantures furent Musées 00, en conclusion, de bons bougres réenlindent de ceps., amendes et do nombreusm peines de prison. On connut, peu de Murs après, la rais. pour Squelle /os communis- tes n avaient pas SOIlu aller devant l'ambassade américaine. Le gouver- nement d. Soviets était engagé da. des négociations labitrimises avec les Elats-Unis et il na voulait pas, à ce moment-lb indis,,ser les dirigeants de ce pays. D'ailleurs, au 505001it boitants ou le Parti comniuniste français faisa.t assommer quelques ouvriers pari- siens sur les boulevards, les mani- festations - à propos de Ramo cl Vanzetti ôtaient interditm par le gouvernement des Soviets dans Mute l'étendue de la ;Russie libre. Un autre fai; l..'i*initlaiest d'une autre espèce, mais peut-ôtre encore plus significatif. 1150511 de grève et de l'usina° que veulent en fias les chefs du Parti communiste; On LI011a permettra bien de rappe- ler quit y a .en, dans le Midi, de ai/mitée.on gréaisi auxiiielles la imputation ouvrière a 110 accune pie la mimes/te tto défendro mn pain ou de sauvegarder ses drOds. ce,lieSe.yrie,tios,,ii,iii ont participe à leu que si le Pont" i roo'iarestr'! n; >mats Cté I imngsicur do c. grè- ves; il s'est, toujours place, résolu- ment, andnniept, du cité de ceux qui étalent en ;utte 'pour f améliora- tion dé leur sort, sa. »nuln. eller- eller ourse 'cli.e que le tHerapne des revendicatl.s ouvrier..- . /I rs fait hier, il le fera demain, da,e'est son devoir, e est dans sa nature et il ne e.rprend pas quit puisse agir autrement. Peur les conmtunisles, I. grèves ont uni autre usige. Elfes sont le iitoYmi grke asque les chefs reor- Tieerleild,Ceirr,-:;ie1','ii.',," YC'. T.) seront disqualifies; amoindris et +battus par les chefs mem/suantes. Si vous voulro un exemple, lu voiol - Nous empitunerts ;hes rti.eigne. ments u l'organe des mineurs du Pas-de-Gd/aie Ils y sont publiés par Lecocq. ancien communisi ., et. a rat événement 0.051. produit, secrétaire des mineurs uni- la0iruesekiduumPia,su-4,se-Cua,virik, législatives de IQ, Lecocq recevait de Dune., seer...ire de la Fédé- ration nationale unitaire du Sous- t sol, la tet. suivante - An nom de F. N. 11. 100., S., je M charge de luire toute l'agitation nécessaire pour fomenter une grève des mineurs dans te Pas-de-Calais. n Lecocq. ahuri dune telle lettre, consulte s. amis. L'avis est uriam- zipcers,te rliaufvooliier !heureuse pour lm mineurs: la et' rmgai,"Its edLsehren4v.of Le. gong une nouvelle lettre, où il lui Val .dit ceti .u, Citoyen Leeocq, etc, lu aurais dû faille exécuter l'ordre par MOI envoyé de grève dm mineurs, ingine en étant certain d avance que les mineurs auraient été vaincus. Les chefs confédérés qui sont candidats du Parti socialiste en seraient sortis amoindris et le Parti communiste ne pouvait qu'y !jaune, . Que 1% minet. aient été vain- cu., qu du aiont vidé Murs caisses syndicales, que . sari femmes et leurs enfants aient eu faim, qu'il y ait eu ensuite des coupes souffe., laits. celan'ost rien puisque le Parti eoltununiste ne pouvait qu'y !jaune, Nous ne monts pas que/ ouvrier toteoussin qui vivre la me âpre -et angoissante des grèves ne mottim pas indigne don tel cy- nisme. Mais direz-vome peutètre u ce Del- Con, est un feu. Soit I Mais c'est une eximption. Pardon I r. Humanité it du 5 avrff 1908, c est récent comme vous voyeg, publie /a elécisinn du 9. Exécutif de /Internationale canintuniste sur la lutte éconmnique et la tache de communistes. NoOa y trouvons le paragraphe suivant t « Chaque grève doit être l'arène de la lune mitre les communist. et les réformistes pour la eondulte du mom ruse. IV mi.ne pu I. quatre a.ns de dis- tance la confirmation de la tactique Del-fome Ouvriers, vous ne ferez plus grâce pane défendre un avantage conquis ou pour en obtenu un autre, pour arra.clim à ceux qui vous emploient un sort meilleur., Non I Vous fer. désormais gréve pour ménager line a.ute 1m la lutte entre les communistes et les réfor- mistes. Vous pensez si dm grovs comme cet/es-là seront victoriens.. NOua avons dit qua no. vie pou- vions pas croire I la sincérité de ceux qui sont capables de préchet sa. Nous ne sa.o pas si nous ne devrions pas dire plus. D. LE FAMEUX COLLIER DE SIX MilLiONS ramai a Toubaun Paris, 15 avril. - close souvient du vol qui fit alors sensation d'un collier de 6 /Mitions de framée ex- pêché par /a bijouterie Cartier, rue do la Paix, I Pars, d sa maison de Lonûres, roi qui remonte au 24 fé- vrier dernier. Ce splendide collier de oinquante-sept perles crème ro- sées pissat 669 gramm., a.vait une 051e0r de 52.000 livres anglaises. plus grume de ces perles admit un poids do 39 gramm., la pl. petite do 7. IOn outre, il conaportait un ferI mois en platine orné de sept bril- lants t un de trois carats, deux de annotai et demi el, quatre autres plus petits. L expédition en fut faite sur l'or- dre doua riche anglaise par la mai- son Cartier à sa ....là de Lon- dres. Ka même temps que cet ou- . . , 011.11 Londres en était avisée au bout de dachin. fours ; sa livraison n'ayant Clé effectuée, les deux ntasons s inquiétèrent, car tout baissait à penmr quit mit été volé en cases de rente Une plainte fut déposée le S mam entre /as maios in procureur de la Ifiguilstique de la Seine qui chargea III. Détenue, eontitôleur général des recherches à la Sûreté générale, de Iimignête. AL Charpentier, commissaire ri M 13.ny, inspecteur, furent à teur love Cieremdnel'eeti loura lm mener- tigatiems particulièreenmenr aTsre-s," rol% eTre dei%TeinC. "- Le voleur était Fogx Séberac commis des Postes à Paris. /1 est arrêté Aps% do nonibreuses ot infrue- tue.ea recherch., tant i Diepte qu'en Angleterre, les enquêteurs réussirent cependant à établir qu'effectivement un paquet recom- mande portant le 19. 0.044 était bien passé de France ca ffrigleterre par Dieppe et New-Saffen, et PeelliS à Suil destinataire. Malgré toutes les difficultés de re- cherches en Grande-Bre-agne, !g. Charoenties se rendit à Londres et put retrouver la 2ersonne b laquelle avait été délivré le paquet portant /a vignette (Io recommandation N. 264. C'était un capitaine anglais ha- bitant dam Ilegent-Street qui avait reçu lenvoi, ma s mlui-ei contenait simptement un imprimé. Revenu à Paris, M. Charpentier put établir que le paquet destiné ti l'officier britannique n avait jamais êta expédié recommandé e que la vignette qui y ferrait avaitOlé ranesuent, ru-posée. Le policier puumuivit Mons ses investigations autour du personne/ chargé du tri dés plis et objets re0eminan.0 bureau de barrir Saint-Roch sur lo- gent sont dirigés let « recomman- dés » des bureaux avoisinants S di- riger sur. l'Angleterre. il enquAta sur la vie privée de chacun deux et, il y a q.1/1,1y$ loues, d vint trou- ver M. Le Duc, comrnismire divi- sionnaire, lui annonça qu'il tenait le coupable. 1. sui. en 2. amie/ DANS LA REVUE DES VIVANTS LA %MM% SOMALIS% (Suite) De Ces observations de l'expérience Plum l'a établi par dm documents une évidente conclusMn se dégage. historiques - ce astim mêmm oh. tavieux partis sont désemparés ; jections qui furent jadis édevées ih ne sont vrMment plu que des contre l'impôt sur le revenu; mais corps mns âme. Elle,s sont désorn.is que, du côté républicain, on s'en, désuètes lev anciennes formations po- pare de ces armes émousmes, c'est Otiques qui, dans le temps oh gon d'une témérité sur laquelle je ne deys)! 'ti,lut ter pour préserver lec,R2. voudrais pas insister. eeri etes 944;:r' es Ze't Î 1 coluud tA IrPrélgerrlf e rnassriesel tique, soutenue de la réaction c I déclarer dang unis, das l si- cale, s'appliquèrent à concilier, en tn,,,,ion pr,ege eg ce. e erea une sorte da trêve républi.ino, les 'un gogg iépgtg ietérêts soeiaux les Plus diger. et 1.es souvent, que le preevement sur 15 pl. opposés. L'ire des batailles strie-e.strsoalne nos,r es, lm turne. politiques est aujourd'hui rnr ireati-rI:ahli aselte'letin:erndeeerl.71;; lait mm ut, parce qu'il était tm s'Y l'allie- Les 54 leeinnes stabilimnon au niveau des prix, - sont, certes, toujours eontesté.. mais que, cette stabitisatMn faite, Mais, à l'heure actuelle, la défense notre pré.eupation cet non pas de de ces lois n'exige phys550effort la compromettre, mais de la fort, aussi puissant qu'autrefois, car t'ors mil lte Oeit riaenviedt=liqUe ed9su'ricT2rarleisa." naît, -ont perdu biols 5p1l0l00,5oupp ut. Ci a fallu d'abord débroussailler Notre _contribution serait dés._ le champ où devaient s'affronter, Pregre.ive, afin de s'accorder un jour sous la o50 ime teo. Pour toutes, cariejustioe, les divers intérêts sociaux mit ou Iule frits, su mulunau d9 us- Main.nant, cette oeuvra nécessaire siette de la taxe ou de la mutation .t accomplie Le problème social des biens taxés, soit .anôcallement, con 11m, qui vano5,,,%oitt is,rodhouésburr,r,arss bosédue eoff000010e ou cape les ititerets d une dette fixe ou des obligations net, tout nu. M.aintenant, opp.és dues', S vif, les intérêts se hedirtent. La Voilà pour rceuvre du moment, guerre, alourdimant les charges de Mais demain Mais tout à l'heure/ l'Etat, a précipité le conflit so- cial, qui devient aigu. Les vieilles formations politiques, où s'étaient Qu'il nie soit per.t de juter tus confond. pour la bataille républi- regard sur le large horizon de ne. c0000des intérêts contradictoires, tre dur chemin; La République ne sont devenues beaucoup trop étroi- vit que de la liberté. il fret Mus- tes. Elles éclatent sous la poussée dant veiller d ce qu'elle ne recopie des faits économiques, comme ré- pas d'en mburir. Sa noble mission coron mus la sève du printemps. de sauvegarder l'indépendance ab. Un rmlassement s'impose aux s'ohm des âmes et des esprits porta partis politiques. Il s'imp.e d'au- en elle-mémo un danger qui peut tant phis ;qu'eux-niâmes, tels qu'ils devenir grave, si les chefs républi- sont n'ont plus assez de force pour ceins se refusent 010 conjurer. Les s'abstreindre à une discipline. moyens ? flet. ont, qu'ils les mut/ ' S'ils Mont ni le courage, ni la tent en I - - clairvoyance .de distinguer la réali- La République n'est pas le régi- té chaque jour plus pressante du me de la complaisanee .médtt. Combat noomol, - cres, mais .au contraire de l'appel S'ils ne voient qu'aux tradition- au mérite, aux talents aux étier .. nellm contestations politiques se gins. La fouCtion publique doit subStitue aujourd'hui sur le peu- certes être ouverte à tous 60. Ils 5515e plan de la vie 'française, un mules conditions de compétence et débat d'une autre nature. de moralité. Mais les postes steprê- 8'/Is se refusent 5. considérer en mes de directon, qui sont les pos- face le problème imperneux de la tes de confiance, ne doivent être at. productition nlationàle en Jatte des tribués qu'a des hommes en qui te ministre a cordianee; des hom- mes dont l'attachement profond au régime a Re mis à l'épreuve, car nous en 60310111/PS pas encore l'injustice a.pparaît chaque jour point de croire qu'il n'est de font> plus éclatante et 10 régime d'un nnairen dru. nouveau, - d iutistice ot d'.tivité que parmi S'ils ne comprennent pas la né. :es réactionnaires. cessité de constituer une puissante majoriM politique, armée d'un gou- vernem . ent robte et hardi, autour du travail créateur, du travail sous tous ses aspects et à tous ms degrés ; conception do l'esprit, di_ rection de la production, labeur manuel, et cela hors de toute pré._ munition d'ordre confessionnO ou métaphysique. S'ils n'ouvrent pas enfin leurs yeux a oes devons, ils ne seront plus désormais que des témoins dim. histoire déjà vieille et, tout à Pneu- , i/s auront passé. . Les . partis d' équivoque ont fait leur temps. I/ noms plus Possible, aujourd'hui de rechercher le pou- voir comine une fin. Le pouv,oir 'est que le Moyen de dégager de l'ordre ancien l'ordre nonv.0 gut rossait& en lui, Ici, la congrégation financière ; là, dans toute sa diversité féconde, /a production. L'une en tore de l'autre. L'une contre t'autre. Da. Paetualité immédiate, tout le pro- blème politique est en quelque mets absorbé par le problème finan- cier. PaPire Lt:.,=%",u..,0 de ger, de,as CefoLmes,égsioreelesd.d Cortes, il faut procéder à des économies sérieuses. notamment en matière militaire, par la réorgani- sation, la simplification des z.va, em publics, et aussi avec le eon- cours des usagers e do personnel. On l'a déjà essayé. Certes, ml faut réorganiser rassiettc- cies impôts, soumettre b l'impôt jgéneraleot peu restif cette féodal Ma q , ence aux teres au paesesme, y échappe si aisément, en lassant écraser d'impôts cédulairm les por- teurs de petits connotés; certes, il faut organiser te crédit comme,- au I, agrico/e, industriel, le credit de l'arnsanat, utilfiant directe- ment l'épugne m protégeant à la Mis l'épargne et la production con- tre une politique baticaim a courte vue et à la.e egoisme, qui dé_ nouille l'une ,er .seeable l'auMe au détriment d l'activité nationale. Mais, si l'on veut animer le mar- chi intérieur, alertes la production il faut dégrever la consommation et favoris, les prix de revMnt. L'avancement , rigoureusement hiérarchique et par ordre d'ancien- neté, qui amène certains hauts fonc- tionnaires aux postes vdtaux du ré.. gime, tout comme la vague patiente polisse au rivage ses coquilles. l'ir- responsabilité souveraine, Pinamm vibilité absolue, rien de tout cela n'est acceptable lorsqu'il s'agit de fonctions quasioninistérielles, assez comparables aux préfectorales, com- me sont /es fonctions des grands chefs de service. Quant aux Jonctions que ne sont P00 de direction, c'est non pas en éliminant le syndi., mais au con- traire en organisant le syndicalds_ me, en collaborant en toute confia, ce et dans les limites d'un statut contractuel, nettement déterminé, avec des délégués responsables des syndicats, que l'on guérira le mal dont souffre l'Etat. Réorganiser les services, les con- centrer, simplifier le formalisine, établir un système obis tration. faire des associations et des syndicats des collaborateurs vi- gilants, dont /es droits profession- vole soient intimement Ibis aux térêts mêmes d'uns saine adintnis. Maton, telles sont les premières mesure, mais essentielles qui, recomposant l'Etat, fortifieront la ldépublique. Régime de liberté, la République oc peut être qu'un régime de coo_ pécation totale, fonde sur la digni- té humaine, le recrutement le plus large et le plus divers des élites, la reconnaissance des mérites silo res- pect des droits de toue Si elle n'est pas cela, elle' n'est rien qu'un no, Vincent AURIOL, Député de la Haute-Garonne. Ancien président de la Commission des finances. Pour cela il faut que l'allègement de la dette soit demandé, non à l'effort de création, m.. aujoum d'hui. mais aux réserves m'asti- tuées, ce qui est, je crois, de lionne gestion industrielle. Aujourd'hui, on prélève l'impôt sur la vie économique et l'on eu brise l'élan. Nous demandons qu'on le prélève plutôt sur fi capital cou" titué, et cola peur permettre une création plus considérable de bien. être et de richesses. On nous opposera dna impossibi- lités techniques. J'admets oette oh, - DO4 dune, an c'est chic, il aman sue fiction de la. part dm prétend. le. .4medeicaine noun envoient 600 millione conservateurs soda., - 25 CENT. LUNDI 16 AVRIL 1924 L'AI MAGNE NOUS A VERSE CETTE ANNEE PLUS DE TROIS MILLIARDS, EN EXECUTION DU PLAN DAWES. .1.'OPIRATION DE LA RUHR NE NOUS AVAll PAS RAPPORTE UN' PFENNIG. Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

(Suite) - Toulouseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1928/B315556101...!sissent la bourgeoisie affirma sa position Nos> avons 'bien du mal, après cela, nuts socialistes, pour recons-tituer

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e ANNEE. N. 10210

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irinto IN fr.: mois 34 fr.: I an le fe.'

L'ORGANISATION DE LA VICTOIRE

D'un bout à l'autre du pays, la bataille est engagée avecune magnifique ardeur par nos camarades r /es 525 candida-tures que nous a annoncées notre camarade Severuc représen-tent certainement le plus bel effort d'ensemble que le socia-Jisme organisé ait jamais tenté en France.

Même il l'époque heureuse où il n'y avait qu'un seul partipolitique de /a classe ouvrière - de 1905 à 1920 - alors que lapropagande orale ne se heurtait à oursin des obstacles créésaujourd'hui par l'incroyable fanatisme, systématiquement eu/-tivé par les dirigeants du Parti communiste, chu ceux desmalheureux travailleurs qui subissent encore leur influencedélétère, même à cette époque bénie nous n'avions jamaisengagé /a lutte sur un pareil front de bataille.

Nous y retrouvons le dévouement incomparable de cesmilitants obscurs qui, comme au temps héroïques du socia-lisme, se dorment jour et nuit pour /e Parti de leur classe, pourle candidat de leur Parti, se dépensant avec une abnégation,un courage qu'on ne saurait trop admirer.

Il faut les voir à rceuvre, par exemple dans notre banlieueparisienne, où cependant /e combat, du fait des ravagea faitspar le

bolchevisme'est rendu souvent si difficile. Dès le matin,

dans /es trains ou les trams qui les conduisent à l'usine ou aubureau, une seule préoccupation r la propagande, le recrute-ment à faire pour le porte-drapeau du socialisme organisé. Al'atelier, au magasin, ils saisissent chaque occasion de défen-dre le Parti, ses hommes, de vanter son action, ses progrès, son

Et'Et puis le soir, au retour, après une journée de dur labeur,ayant dîné à la hâte, ils se précipitent, pour défendre leur can-didat, vers les réunions, quelquefois convoqués dans une con:-muse qui est située à quatre, cinq ott six kilomètres de celle ouils demeurent. Avec les moeurs aimables instituées par /e Com-munisme, elles se terminent généralement, ces réunions, entreminuit et une heure du matin I Il n'y a plus de trains pour ren-trer ! Qu'importe gaiement on rentre à pied, quelquefoissous la pluie battante, pour se COlichCe vers les deux heures,alors qu'il faudra se lever, le lendemain, à six heures ou mêmeplus tôt pour aller au « turbin »...

es.

L'effort de nos militants est digne d'admiration. Est-il parnous-mêmes aussi bien organisé qu'il le faudrait 2 Cela c'estune autre question.

' N. camarades anglais vont de victoires en victoires. Ledernier et éclatant succès de notre cher camarade Schinmell,élu à 5.000 vers de tnajorité par la circonscription de Glasgow,oit il avait été battu il y a cinq ans, en une nouvelle démeinstra-lion. Leurs vadoires multiples, comme relié denos camaradesd'Allemagne d'Autriche, de Scandinavie, sont la décisiveréponse aux impudints bobards du farceur de Kéril/is, préten-dant que les ouvriers d'Europe se dressent contre le socia-lisme ». Elles ont des causes nombreuses. Je crois que l'une desplus certaines est leur superbe organimtion.

Justement, le secrétaire du Labour Party a bien voulu meLitre parvenu- tout une serre de documents sur leur remarqua-ble méthode, leur préparation systémalsque de la conquête descirconscriptions - malgré l'or jeté à flots dans /a bataille parles ploutocrates d'outre-Manche.

C'est ce go 'ils appellent le o canvasstng », littéralement lao sollicitation » des électeurs - systématiquement préparée,organisée.

Voici comment ils procèdent - grosso modo. Chaque cir-conscription t st divisée en districts ou secteurs. Par exemple,70 ou 80. Dans chaque district, les militants du Parti sontgroupés en comité de district avec un bureau et un siège on outrouve trois exemplaires de la liste électorale, les lois sur lacorruption électora/e, très sévères en Angleterre, des brochures.

Chaque militant a un dossier comprenant autant de fichmqu'il a d'électeurs o à travailler » - 80, 100 ou 150. 11 se ren-seigne en allant maison par maison et logement par logementsur les opinions probables ou certaines de chaque électeurdont il est chargé, leur consacrant ensuite à chacun une fiche.On classe ces fic.hes en quatre catégories travailliste, conser-vateur, libérai, indépendant ou douteux. On relève de mêmeles noms de tous les éficteurs disparus ou qui ont changéd'adresse pour qu'on ne puisse venir frauduleusement (la choses'est vue) voter DOM.

On classe ensuite les fiches par catégorie et une armée depropagandistes se divisant la besogne s'en va visiter, rua aprèsl'autre, chaque citoyen. On discute avec lui, on fait appel à saconscience de classe, on lui remet de la littérature, tracts, jour-naux et brochures, on obtient souvent son adhésion à la can-didature, voire au Labour Party.

Le jour du scrutin, l'armée des n canvasses » fait sa grandeMobilisation. On s'assure que tous les partisans de la candida-ture socialiste ont bien voté. On va à domicile les « relancer ir,s'ils oublient leur devoir. Des centaines d'autos - moins bienentendu que dans leu partis bourgeom - mals tout de memeun o joli tas », sont à la disposition des électeurs trop éloignésdu lieu de vote, malades ou infirmes, pour les y trasnporter.

Lors de I une des dernières élections pour la Chambre desCommunes Jans une circonscription de 18.000 électeurs, 16.800

furent ainsi touchés directement par les propagandistes duLabour Party !

Je ne dis pas que nous pourrions appliquer littéralementles mêmes méthodes chez nous. Je pense que tout de mêmeno. pourrions « en prendre de la graine » chez 11us eau-ram-i. anglais.

Seau LONGUET.

Mi 0.1.11 LE JOUR

Le Salaire eln maitaiieur

/e annonce on IsarO celle place gus lusindivis, eu, tuent pou, voler ei au/ 0.-4.. Pour oiuse des imbécile, Pasco

e de métier Pluà Mmes. et

.;ti':ier't dod.o.`Suse d insiruction st mtstnbm, nittatb. Ltrs, déclaré, suC010.8 d'une audience .. l'on h, ces, unicone criminel

- la me sids iiord a dee calculs ariensrue de noe jour, dans un payssol* . d'un malfaiteur ed

eur a celui de risse. trues nouai/leurs manueis.

Les calcule du eueic,Eriféspar dee Pur-nu'u.,. curie, ont ità reconnus sicets. //

est donc diabii de façon mem, officielleque n toi as ...an est ton homme. acehien entendu, 1.sondil est comnde Per descos 5,5. maline. soue le comeri d'eue amqueue enciele lonemffie, mort tbts oslo,.tag. Muent

nyoè,,,e ale ieme ea.Wede sn. sembleecce/lent Nobs, éeneine uesi/ire el

000 0" o.« fso0 de leçon+ de nruraie orj'imaeine très Pen des oPprentis modo,lems criant mes faiseuse d'homélies ni au.l'os »rée...surs o '

rro cliefres, Des chiffres, Pa, de boenimenrel ,

Il ne essai, ma 5111101e ms gens du ms.libt de démontre, Mari Oigne en moins, aurkt.. pensionne.,s des prisons, rue loscrimes btsendben sb.nbseas ininnnis riv".une proportion infime et ove, Io. coniisteSad. c'est rônenémté sui, dans une socidir

po/lefe est encore 1e plus avantage,es.

André MECS.

SOCIALISTERé:Let/an et Aare;.;,tr.t;eut 31, Rue Roquelaiee TOULOUSE - Té/ - Cornets CL251e, remeaue 4...tt BUREAUX A PAR-IS s. Rue d'Amhoige. 31.' Arron<li,..ravkt,) Téléekone Ceetrel ee-.8

RISTANTANE 01E54 SIX JOURS. - Oo dégnfeete les sa. des coureurs.

LA BATAILE ELECTORALE'r-

SINCLIIITE:COMNISTEOn nom MtPourquoi diable sons °Goum.-

vous auMnt rie ce que disent lescommunistes I Croyez-roua qu'IlsOui tant d importance que cela

N., cert. INous savons bien que la robuste

confiance que I. t :manieurs tou-lousains ont dans les socialistes.qu'ils voient luter dimus vingt,-cinq an. à Côté d'eux ne peut pasetre aussi facilement entriste.

Main, tout de môme, il vaut peut-être mieux no tas laisser le poisonde la usions-me et de !injure ehemi-ner dans. le meilleur du .ng ou-vrier Sa. Mi °peser le contre-poison aPProlirté-

Ceux qui ont pu a.ister à uneréunffn ou part., les communiste,euie . soit à Toulouse, Sparts, enFran,. on peut -môme dise danstoue los pays, ont censtaté queI orateur emorbunste consacra lamajeure pas-lie de son tmups, quande 00,1 pas tout am temps, à atta-

quer notre parti, à accuser 4ei mi-litants, à tenter de les dinunuerde les d iscreità ter aux yeux de ceuxqm I écoutent.

Le « len-motive s, autrement dffla ritournelle de la chanson commit-uste, est le suivant t

5,es nomaôMas sont d. Lsaitres,lis ont renié trais engagements, ilsont menti à leurs prouiesets, Ils ontsouda la elmse ouvritre b la bour-geoisie; nous en passons ei non desmoindres.

D abord, une pr.lière idée quivient q I esprit eet la suivante'.

Les gens qui crient avec autantde persistance o S la trahisunsont-ils bien sinceree

l'émou° tait eu I enfance de l'art,pour un pielmonset qui mmint d êtresurpris,..t. de crier le premier« Au voleur ».

SOIS en arola tant vu do ceuxqui étaient les plua acharnéa à dé-noncer notre prétendue trahison,passer effrontément, avec arums mbagages à l'ennemi, que nous avonsbien le droit de montrer un cer-tain scepticisme.

Qui peut être garanti do la sin-cérité de ceux soi ont pris leursplares

/Ut puis, n'eat-ce pas le moyenclassique pour disloquer une arméeen pleine bataille pour /a dément-Liter, pour la rendre impuissante etprao à subir la défaite, que decr er le plus fort pomelo « Vousôtes trahis sauve qui peut

Les hommes qui ont introduitdaos la clasm ouvrière cotte tacti-que déminée du nom de commu-nisme out, cries laient voulu ounon, abouti pour une part -aux ré-sultats qua nous indiquons plushaut.

Notre Midi est encore heureuse-ment, ;intact; mas que de ravagesdans eertainm partira dé la cismeouyriere na France el, dans tous lespays ou ce prétendu communismes .t institue.

Les travailleurs, loin de fortnerUne classe un. pour lutter contrele capital, se battent mar eux. Ils sedetestent, ils se baissent ou ils sedécouragent et quittent le combat,!sissent la bourgeoisie affirma saposition

Nos> avons 'bien du mal, aprèscela, nuts socialistes, pour recons-tituer lamée I rolétarienne pourlaminer à nouveau. et pour lui fairereprendre le combat contre Penae-ini de dam.

Puisque la ca.- pagne électoraleest li,ecau,eu C un reflMiblementd'injures et d'are.ations menson-gères contre le Parti 'socialiste etcontre ses militants, parluue ont, nernànhenee pas le muta, disons ce quenous pensons.

Noo pensons que- ceux qui diri-gent le mouvement conimunisle neaint pas ùnnères. Noue croyons queleur véritable but n est pas l'a/Tren-et/ ssentent de la c/mse ouvrière.

On travaille a I affranahimernentde la classe ouvritme quand on ré.Dm et cm, !instruit; on n'y tra-vaille pas quand on la dégrade, etgest la degra.der sur de la pousseau fanatisme.

Sans dmite, nous nientendons pasenghter d.aris cette omdamnationles trayait leurs. les braves prolosqui, de bonne (oi, et minime on dit

ici, parce qu'ils y allaient de viande,ont pu se laisser einpaurner par ladémagogie et la surenchère coin_munistes

A ceux-là, nous demandons sottie-m.t de vouloir bien, mas rien per-dre de leur emballement qui e.g. lesigne di. généreux earacière, écou-ter ce que nous leur disons et yréfléchir de temps en temps.

que, fins, sec sous acons

;:**,s.04Veut-on que taon Sitio. quel

to droit d'appuyer noMe opinion surI. dirig.trts communistes.

L été oernier, tes trmailleurs pa-risiens étaient tringmà à tanna..q. Io gouvernoment aniermainavait assassiné Sacco et Vanietti.Usa Manifestation élan nocessurre.4iss §oCialistOS es Oso .srsaiosàol.sde la C. G. pri?poement de le fairedevant I ambassade -américaine eln'était ta raison môme, putsqus'agissait de montrer mi gouverne-ment. dea Otais-Unis le sent.itnentdu peuple parisien.

L. comninnistm, à l'étonnementde tons, préféreront organiser leurmanifestation sur les grande boule-vm.. On sait m suiM. Ce furmit desechauffouteou bans irSue, deu coupsfurent échanges aveo la police, puisqueMucs devantures furent Musées00, en conclusion, de bons bougresréenlindent de ceps., amendes etdo nombreusm peines de prison.

On connut, peu de Murs après, larais. pour Squelle /os communis-tes n avaient pas SOIlu aller devantl'ambassade américaine. Le gouver-nement d. Soviets était engagéda. des négociations labitrimisesavec les Elats-Unis et il na voulaitpas, à ce moment-lb indis,,ser lesdirigeants de ce pays.

D'ailleurs, au 505001it boitants ou leParti comniuniste français faisa.tassommer quelques ouvriers pari-siens sur les boulevards, les mani-festations - à propos de Ramo clVanzetti ôtaient interditm par legouvernement des Soviets dans Mutel'étendue de la ;Russie libre.

Un autre fai; l..'i*initlaiest d'une autreespèce, mais peut-ôtre encore plussignificatif.

1150511 de grève et de l'usina° queveulent en fias les chefs du Particommuniste;

On LI011a permettra bien de rappe-ler quit y a .en, dans le Midi, deai/mitée.on gréaisi auxiiielles laimputation ouvrière a 110 accunepie la mimes/te tto défendro mnpain ou de sauvegarder ses drOds.ce,lieSe.yrie,tios,,ii,iii ont participe à

leu que si le Pont"i roo'iarestr'!n;>mats Cté I imngsicur do c. grè-ves; il s'est, toujours place, résolu-ment, andnniept, du cité de ceuxqui étalent en ;utte 'pour f améliora-tion dé leur sort, sa. »nuln. eller-eller ourse 'cli.e que le tHerapnedes revendicatl.s ouvrier..-

. /I rs fait hier, il le fera demain,da,e'est son devoir, e est dans sanature et il ne e.rprend pas quitpuisse agir autrement.

Peur les conmtunisles, I. grèvesont uni autre usige. Elfes sont leiitoYmi grke asque les chefs reor-

Tieerleild,Ceirr,-:;ie1','ii.',," YC'.

T.) seront disqualifies; amoindris et+battus par les chefs mem/suantes.

Si vous voulro un exemple, luvoiol -

Nous empitunerts ;hes rti.eigne.ments u l'organe des mineurs duPas-de-Gd/aie Ils y sont publiés parLecocq. ancien communisi ., et. a

nù rat événement 0.051.produit, secrétaire des mineurs uni-la0iruesekiduumPia,su-4,se-Cua,virik,

législatives de IQ, Lecocq recevaitde Dune., seer...ire de la Fédé-ration nationale unitaire du Sous-

tsol, la tet. suivante -

An nom de F. N. 11. 100.,S., jeM charge de luire toute l'agitationnécessaire pour fomenter une grèvedes mineurs dans te Pas-de-Calais. n

Lecocq. ahuri dune telle lettre,consulte s. amis. L'avis est uriam-zipcers,te rliaufvooliier

!heureuse pour lm mineurs: la

et' rmgai,"Its edLsehren4v.of Le.

gong une nouvelle lettre, où il luiVal .dit ceti.u, Citoyen Leeocq, etc, lu auraisdû faille exécuter l'ordre par MOIenvoyé de grève dm mineurs, ingineen étant certain d avance que lesmineurs auraient été vaincus. Leschefs confédérés qui sont candidatsdu Parti socialiste en seraient sortisamoindris et le Parti communistene pouvait qu'y !jaune,

. Que 1% minet. aient été vain-cu., qu du aiont vidé Murs caissessyndicales, que . sari femmes etleurs enfants aient eu faim, qu'il yait eu ensuite des coupes souffe.,laits. celan'ost rien puisque le Partieoltununiste ne pouvait qu'y !jaune,

Nous ne monts pas que/ ouvriertoteoussin qui dû vivre la meâpre -et angoissante des grèves ne

mottim pas indigne don tel cy-nisme.

Mais direz-vome peutètre u ce Del-Con, est un feu. Soit I Mais c'estune eximption.

Pardon Ir. Humanité it du 5 avrff 1908,

c est récent comme vous voyeg,publie /a elécisinn du 9. Exécutif de/Internationale canintuniste sur lalutte éconmnique et la tache decommunistes.

NoOa y trouvons le paragraphesuivant t

« Chaque grève doit être l'arènede la lune mitre les communist. etles réformistes pour la eondulte dumom ruse.

IV mi.ne pu I. quatre a.ns de dis-tance la confirmation de la tactiqueDel-fome

Ouvriers, vous ne ferez plus grâcepane défendre un avantage conquisou pour en obtenu un autre, pourarra.clim à ceux qui vous emploientun sort meilleur.,

Non I Vous fer. désormais grévepour ménager line a.ute 1m la lutteentre les communistes et les réfor-mistes. Vous pensez si dm grovscomme cet/es-là seront victoriens..

NOua avons dit qua no. vie pou-vions pas croire I la sincérité deceux qui sont capables de préchetsa. Nous ne sa.o pas si nous nedevrions pas dire plus.

D.

LE FAMEUX COLLIER

DE SIX MilLiONS

ramai a Toubaun

Paris, 15 avril. - close souvientdu vol qui fit alors sensation d'uncollier de 6 /Mitions de framée ex-pêché par /a bijouterie Cartier, ruedo la Paix, I Pars, d sa maison deLonûres, roi qui remonte au 24 fé-vrier dernier. Ce splendide collierde oinquante-sept perles crème ro-sées pissat 669 gramm., a.vait une051e0r de 52.000 livres anglaises.plus grume de ces perles admit unpoids do 39 gramm., la pl. petitedo 7. IOn outre, il conaportait un ferImois en platine orné de sept bril-lants t un de trois carats, deux deannotai et demi el, quatre autresplus petits.

L expédition en fut faite sur l'or-dre doua riche anglaise par la mai-son Cartier à sa ....là de Lon-dres. Ka même temps que cet ou-.

.

, 011.11Londres en était avisée au bout dedachin. fours ; sa livraison n'ayant

Clé effectuée, les deux ntasonss inquiétèrent, car tout baissait àpenmr quit mit été volé en casesde rente

Une plainte fut déposée le S mamentre /as maios in procureur de laIfiguilstique de la Seine qui chargeaIII. Détenue, eontitôleur général desrecherches à la Sûreté générale, deIimignête.

AL Charpentier, commissaire ri M13.ny, inspecteur, furent à teurlove Cieremdnel'eetilouralm mener-

tigatiems particulièreenmenr aTsre-s,"

rol% eTre dei%TeinC. "-Le voleur était Fogx Séberac

commis des Postes à Paris./1 est arrêté

Aps% do nonibreuses ot infrue-tue.ea recherch., tant i Dieptequ'en Angleterre, les enquêteursréussirent cependant à établirqu'effectivement un paquet recom-mande portant le 19. 0.044 était bienpassé de France ca ffrigleterre parDieppe et New-Saffen, et PeelliS àSuil destinataire.

Malgré toutes les difficultés de re-cherches en Grande-Bre-agne, !g.Charoenties se rendit à Londres etput retrouver la 2ersonne b laquelleavait été délivré le paquet portant/a vignette (Io recommandation N.264. C'était un capitaine anglais ha-bitant dam Ilegent-Street qui avaitreçu lenvoi, ma s mlui-ei contenaitsimptement un imprimé.

Revenu à Paris, M. Charpentierput établir que le paquet destiné til'officier britannique n avait jamaisêta expédié recommandé e que lavignette qui y ferrait avaitOléranesuent, ru-posée. Le policierpuumuivit Mons ses investigationsautour du personne/ chargé du tridés plis et objets re0eminan.0bureau de barrir Saint-Roch sur lo-gent sont dirigés let « recomman-dés » des bureaux avoisinants S di-riger sur. l'Angleterre. il enquAtasur la vie privée de chacun deux et,il y a q.1/1,1y$ loues, d vint trou-ver M. Le Duc, comrnismire divi-sionnaire, lui annonça qu'il tenait lecoupable.

1. sui. en 2. amie/

DANS LA REVUE DES VIVANTS

LA %MM% SOMALIS%(Suite)

De Ces observations de l'expérience Plum l'a établi par dm documentsune évidente conclusMn se dégage. historiques - ce astim mêmm oh.tavieux partis sont désemparés ; jections qui furent jadis édevéesih ne sont vrMment plu que des contre l'impôt sur le revenu; maiscorps mns âme. Elle,s sont désorn.is que, du côté républicain, on s'en,désuètes lev anciennes formations po- pare de ces armes émousmes, c'estOtiques qui, dans le temps oh gon d'une témérité sur laquelle je nedeys)!

'ti,lut

ter pour préserver lec,R2. voudrais pas insister.

eerietes 944;:r'es Ze't Î 1 coluud tA IrPrélgerrlf ernassrieseltique, soutenue de la réaction c I déclarer dangunis,

das l si-cale, s'appliquèrent à concilier, en tn,,,,ion pr,ege eg ce.e ereaune sorte da trêve républi.ino, les 'un gogg iépgtgietérêts soeiaux les Plus diger. et 1.es souvent, que le preevement sur 15pl. opposés. L'ire des batailles strie-e.strsoalne nos,r es, lmturne. politiques est aujourd'hui

rnr ireati-rI:ahli aselte'letin:erndeeerl.71;;

lait mm ut, parce qu'il était

tm s'Y l'allie- Les 54 leeinnes stabilimnon au niveau des prix, -

sont, certes, toujours eontesté.. mais que, cette stabitisatMn faite,Mais, à l'heure actuelle, la défense notre pré.eupation cet non pas dede ces lois n'exige phys550effort la compromettre, mais de la fort,aussi puissant qu'autrefois, cart'ors mil lte Oeit riaenviedt=liqUe ed9su'ricT2rarleisa."naît, -ont perdu biols 5p1l0l00,5oupp ut.

Ci a fallu d'abord débroussailler Notre _contribution serait dés._le champ où devaient s'affronter, Pregre.ive,afin de s'accorder un jour sous la o50 ime teo. Pour toutes,

cariejustioe,les divers intérêts sociaux mit ou Iule frits, su mulunau d9 us-Main.nant, cette oeuvra nécessaire siette de la taxe ou de la mutation.t accomplie Le problème social des biens taxés, soit .anôcallement,con 11m,

quivano5,,,%oitt is,rodhouésburr,r,arss bosédue eoff000010e ou cape les ititerets d une

dette fixe ou des obligationsnet, tout nu. M.aintenant, opp.és dues',S vif, les intérêts se hedirtent. La Voilà pour rceuvre du moment,guerre, alourdimant les charges de Mais demain Mais tout à l'heure/l'Etat, a précipité le conflit so-cial, qui devient aigu. Les vieillesformations politiques, où s'étaient Qu'il nie soit per.t de juter tusconfond. pour la bataille républi- regard sur le large horizon de ne.c0000des intérêts contradictoires, tre dur chemin; La République nesont devenues beaucoup trop étroi- vit que de la liberté. il fret Mus-tes. Elles éclatent sous la poussée dant veiller d ce qu'elle ne recopiedes faits économiques, comme ré- pas d'en mburir. Sa noble missioncoron mus la sève du printemps. de sauvegarder l'indépendance ab.

Un rmlassement s'impose aux s'ohm des âmes et des esprits portapartis politiques. Il s'imp.e d'au- en elle-mémo un danger qui peuttant phis ;qu'eux-niâmes, tels qu'ils devenir grave, si les chefs républi-sont n'ont plus assez de force pour ceins se refusent 010 conjurer. Less'abstreindre à une discipline. moyens ? flet. ont, qu'ils les mut/' S'ils Mont ni le courage, ni la tent en I - -

clairvoyance .de distinguer la réali- La République n'est pas le régi-té chaque jour plus pressante du me de la complaisanee .médtt.Combat noomol, - cres, mais .au contraire de l'appel

S'ils ne voient qu'aux tradition- au mérite, aux talents aux étier ..nellm contestations politiques se gins. La fouCtion publique doitsubStitue aujourd'hui sur le peu- certes être ouverte à tous 60. Ils5515e plan de la vie 'française, un mules conditions de compétence etdébat d'une autre nature. de moralité. Mais les postes steprê-

8'/Is se refusent 5. considérer en mes de directon, qui sont les pos-face le problème imperneux de la tes de confiance, ne doivent être at.productition nlationàle en Jatte des tribués qu'a des hommes en qui te

ministre a cordianee; des hom-mes dont l'attachement profond aurégime a Re mis à l'épreuve, carnous en 60310111/PS pas encore

l'injustice a.pparaît chaque jour point de croire qu'il n'est de font>plus éclatante et 10 régime d'un nnairendru. nouveau, - d iutistice ot d'.tivité que parmi

S'ils ne comprennent pas la né. :es réactionnaires.cessité de constituer une puissantemajoriM politique, armée d'un gou-vernem .ent robte et hardi, autourdu travail créateur, du travailsous tous ses aspects et à tous msdegrés ; conception do l'esprit, di_rection de la production, labeurmanuel, et cela hors de toute pré._munition d'ordre confessionnO oumétaphysique.

S'ils n'ouvrent pas enfin leursyeux a oes devons, ils ne seront plusdésormais que des témoins dim.histoire déjà vieille et, tout à Pneu-, i/s auront passé. .

Les . partis d' équivoque ont faitleur temps. I/ noms plus Possible,aujourd'hui de rechercher le pou-voir comine une fin. Le pouv,oir

'est que leMoyen de dégager del'ordre ancien l'ordre nonv.0 gutrossait& en lui,Ici, la congrégation financière ;

là, dans toute sa diversitéféconde,/a production. L'une en tore del'autre. L'une contre t'autre. Da.Paetualité immédiate, tout le pro-blème politique est en quelquemets absorbé par le problème finan-cier.

PaPire Lt:.,=%",u..,0 deger, de,as CefoLmes,égsioreelesd.d

Cortes, il faut procéder à deséconomies sérieuses. notamment enmatière militaire, par la réorgani-sation, la simplification des z.va,em publics, et aussi avec le eon-cours des usagers e do personnel.On l'a déjà essayé. Certes, ml fautréorganiser rassiettc- cies impôts,soumettre b l'impôt jgéneraleot peurestif cette féodal Ma q ,

ence aux teres au paesesme, yéchappe si aisément, en lassantécraser d'impôts cédulairm les por-teurs de petits connotés; certes, ilfaut organiser te crédit comme,-au I, agrico/e, industriel, le creditde l'arnsanat, utilfiant directe-ment l'épugne m protégeant à laMis l'épargne et la production con-tre une politique baticaim a courtevue et à la.e egoisme, qui dé_nouille l'une ,er .seeable l'auMe audétriment d l'activité nationale.Mais, si l'on veut animer le mar-chi intérieur, alertes la productionil faut dégrever la consommation etfavoris, les prix de revMnt.

L'avancement , rigoureusementhiérarchique et par ordre d'ancien-neté, qui amène certains hauts fonc-tionnaires aux postes vdtaux du ré..gime, tout comme la vague patientepolisse au rivage ses coquilles. l'ir-responsabilité souveraine, Pinammvibilité absolue, rien de tout celan'est acceptable lorsqu'il s'agit defonctions quasioninistérielles, assezcomparables aux préfectorales, com-me sont /es fonctions des grandschefs de service.

Quant aux Jonctions que ne sontP00 de direction, c'est non pas enéliminant le syndi., mais au con-traire en organisant le syndicalds_me, en collaborant en toute confia,ce et dans les limites d'un statutcontractuel, nettement déterminé,avec des délégués responsables dessyndicats, que l'on guérira le maldont souffre l'Etat.

Réorganiser les services, les con-centrer, simplifier le formalisine,établir un système obistration. faire des associations etdes syndicats des collaborateurs vi-gilants, dont /es droits profession-vole soient intimement Ibis auxtérêts mêmes d'uns saine adintnis.Maton, telles sont les premièresmesure, mais essentielles qui,recomposant l'Etat, fortifieront laldépublique.

Régime de liberté, la Républiqueoc peut être qu'un régime de coo_pécation totale, fonde sur la digni-té humaine, le recrutement le pluslarge et le plus divers des élites, lareconnaissance des mérites silo res-pect des droits de toue Si ellen'est pas cela, elle' n'est rien qu'unno,

Vincent AURIOL,Député de la Haute-Garonne.

Ancien président de la Commissiondes finances.

Pour cela il faut que l'allègementde la dette soit demandé, non àl'effort de création, m.. aujoumd'hui. mais aux réserves m'asti-tuées, ce qui est, je crois, de lionnegestion industrielle.

Aujourd'hui, on prélève l'impôtsur la vie économique et l'on eubrise l'élan. Nous demandons qu'onle prélève plutôt sur fi capital cou"titué, et cola peur permettre unecréation plus considérable de bien.être et de richesses.

On nous opposera dna impossibi-lités techniques. J'admets oette oh, - DO4 dune, an c'est chic, il aman suefiction de la. part dm prétend. le. .4medeicaine noun envoient 600 millioneconservateurs soda., -

25 CENT. LUNDI 16 AVRIL 1924

L'AI MAGNE NOUS A VERSE CETTE

ANNEE PLUS DE TROIS MILLIARDS, EN

EXECUTION DU PLAN DAWES.

.1.'OPIRATION DE LA RUHR NE NOUSAVAll PAS RAPPORTE UN' PFENNIG.

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

MEMellamememmIt ri MIDI eArIALISTeCOMEDIE SOVIE'T1QUE

la Russie menine

ees déposes de 511am

110.0U, 15 avril. M. Briukha-ton, cominiesaire du peuple auxamems, a soumis â IMPProbation duconseil le projet de budget. ii a faitobserver que les revenus n'élèvent à6.035 unifions de roubles contre 5.200d'année précédente.

Les dépenses pour la défense dupays s'élèvent â 742 millions de rou-bles, contra 634 millions Pennée der-Mère. PfrItr justifier ces chiffres, M.Briukhanov a relevé la tension de lasituation internatio..1e; il a souligné

s dépenses ne conettuent que

Briutchanov a déclaré que, auseours des cinq mois de l'exercicecourant, le rendement du budget s'estMené â 2.470 minions de roubles, cequi donne raseur.ve que l'équilibredu budget sera réalisé.

Uu.apélre du régicide

. recevra à Mo coule roi Amasouilah

Riga, 15 nord, Les dirige..nes Soviets seraient-ils des humoris-tes à froid ? D'a.pres les journausc deMoscou, ils ont chargé Le poète De-union Medi/y d'organiser des fêtes qui;seront données à Ponce.. de la vi-gite du roi Amenoulla.h d'Afghanistan.

Or, Demi. Biedny (ce pseudony-me veut dire Dendan le Pauvre) estle poète le plus orner et le plus san-guinaire de la Miss..

Un de ses derniers poèmes invitetous 1n mo,narques de l'Europe à ve-1ph- en S.iétie oh on leur montrera,comme aux Romanoff, le chemin leplus court pour l'autre monde.

Amanoull.ah prendra plaisir à êtrereçu par ce eurieu.x directeur du pro'

UN NOUVEAU CRIME

du Feecsine

LA MORT D'ANTONIO SANVITO

Les éditeurs de la revue marxiste,*La State opera. > avaient établi undépôt de leuro éditions au OralléroiII Id rua Coppoca, à la au. La PusMM, qui connaissait l'existence deelle revue interdite, Miaule lenteautre publication antifasciste, réuasit,après de longue recherches, à décou-vrir ce dépôt. Un journaliste, M.Francesco Leone, lion ouvrier,M. Boselli, furent d'abord arietes;mais aussitôt apr., lu police s'em-para du concierge de l'untneuble, An-tonio Sanvito, pauvre homme trèsSol et malade, On lui fit grief de nepas avoir surveillé et dénoncé lejournaliste et l'ouvrier Beseili, ainsique le lui simoun. lxi règlement de,bol vo aloi en.

Le malheureux n'avait rien vu, ou,.el, avait vu quelque chose, il n'avisaiien onamn déasoocce.Emprisonné, te malheureux

vieitladfàt soumis à un régime de per-catons d'abord et de tortures ensuite.On voulait savoir de tas tous Ica dé-tails de l'all'aire. Dans une lettrequ'il put faise aunaie à sa femme ilai conta les tortures allie.. Mnlui étaient infligées pour le faire par-1ire. Et il ajouta qu'il craignait d'Y'trouver la mort.

Sa femme, arrêtée à son tour,apprit, qu,elques jours après, In mortde son mari, victime des tortuies fas-cistes. Il fut enterré clandestinement.1Sa pauvre compagne est devenuefolle de chagrin. .la presse fasciste, évidementreste muette, devant ce milice. crisme du régime de Mussolini.

tIt ffilrRf MAIritttif

LESt INSTIr àlltitrl FRANÇAIS

La Milegation du syndicat natio-nal des instituteurs de France quipanait. Ocre moment / Europe,oentrale, a assisté, à MunNta, â 11J-ni. Suai, à line remtion organiséepar les intellectuels munichois. Làse trouvaient des professeur'n del'Université, des professeurs desDentée supérieur., les instituteurset institutrices baVarOis.

Le professeur Maurmifirecher sa-lua tee institut.. français « mes-nagera de lu paix a.

lais par le Même devoir, dit-il,nous avons la maiue volonté de com-battre Ii100rance, Perteur, le men-songe et de développer relieur deFbutnani16. L'école doit dire UnPop. d'esprit de conciliaien etd'esprit de vérité. Que votre exem-ple courageux trouve bientât desimitateurs. Que ce pélerinage talqueintellectuel, mond atteigne ses buts.Oit il contribue if créer entre les

Renie françaises et allemandeu unéchange permanent de personnvs etd'idées.

M. Ruppert, au nom cies institu-teurs haserois millmià in rée.ieagite de étudiants de Munich â Pa-rie et /a réception qui leur sot ré-edrvde h la àorbonne, il parla duparprpr.tranlent nheOSSarre entre lesnations voisin., de l'effort de paixet de einleiliation.

Mme Lida Rem.xiu salue la délé-mtion française au nom do la Ligueinternationale dee femmes Pour lePaix 01m libertés

M. le cor. te dOrmeesen, ministreplénipotentiaire de France â Munich,félicita les institut.uas français etallemands pour leur .ireprise.

Vous fait., dit-il, une uvre ma-gnifique rs.

taie° U"d,ea'on$/ommt, et fréquemment interrom-pu Imr les applaudissements, expo-sa Inc buta de l'Internationale desinstituteurs. Il répondit â des Mt.-quens de lu presse chauvine d'Alle-magne et dénonça les mensonges desss Omblers mensuels de l'Alleiragnedu Sud a, édit. â Munich, qui ontintentionnellement confondu lesvreu alguing vendus per les bazarset les livras scolaires. Il fit «naî-tre l'oeuvre d'épuration entreprisepar le S. IN. dans le domaine de lalibrairie scolaire ot imuvre d'ensei-guertnent pacifique à laquelle le S.N. convie lea institut.nu de tousParé.

Kleiû traduisit le discours de Lu-pierre en y ajoutent la note p...nelle de son talent drue/eut alle-mand. Il fut viVement applaudi.

La réunion se termina par desétban,ges de vueu entre in,stituleursfra,nçais et insfitûleUrS et proies-seuils allemands dams la 10 on Par-faite cordialité.

A L'1.10TEL DES CHAMPS,ELYSEES

Paris. Les deux aviateurs,ruisselant d'eau, pameissant esté,nuéa arrivèrent. à 20 h. 15, dansvoiture découverte qui avait ôté lechercher au Bourget. Malgré lapaie qui tombait drue, presque

in Poule anoigue,q,unIS la

Sotie ':.'f'iorecdreugge;e 'et;rbe"r'r'eg. ed'agsenta, cependantCostes et Le Brix s'engouffrmenprécipitamment dans leur hôtel oùcrépitèrent de nouveaux applaudis-muants

Nos e.viateurs répondirent avolbeam.ottp de bonne grâce aux ques-tions qui leur furent posées. A al-ton rompus, une conversation, à la-quelle prirent part alal. Breguet,constructeur de l'avion, et Birkigt,constructeur du moteur, s'engagea.Alors, tous les deux répondent enmême temps. Mais c'est tout d'abordC.tes qui parie : Je n'ai aminedeotaration à foi.. Dites seulementque o'ucvooii de Pans, us spontané,mi vibrant, noue a profondémenttouchés, Le Brix et moi sr

Vous pou,. ajouter, précise sonmemarade avne la.itude, que nousavons envie e no reposer.Mou)avons dormi wu/ornent sept heuresdepuis notre départ de Tokio. re

Vue impressims du raid u de-mouds

'Pal,et dee réceptions ex-nrdreen.ent chaleueouses, de fortesémotions, notamment au-dessm dela jungle birmane, mais n000 sam.mes surtout satisfaits des moteursdont û rendenent a été absolumentparfait. C'est ainsi uri0 nos bougiesont tenu jusqu'à S.ant-Louis et Mienous n'avons pas eu besoin de revi-sor nos moteurs av,ant Buenos_Ay.ras et Nen-York. En résumé, noustotalisons 700 heures de vol, dont260 en Amérique du Sud.

AU VOL' D'OIE.Les deux aviat.re COuleS et Le

Brix font leur entrée dans in Vé->drome et prennent plme eu per-ohoir réserve â l'arbitre de la .ur-so bis ont a.lamés pendant plu-sieurs minutes. Ile doivent faire untour de piste.

le hiddi" Bremen "

L'ENTHOUSIASMEEN ALLEMAGNE

Berlin, a avril. La nouvellede l'atterris..gs du a Bremen à.

Green/y (Island) fut rendue publi.que aux premières heures du matinpar Ive éditions spécialeu des jour.mua. La traversée de l'océan d'Eu-rope eu Amérique a nature/lementprovoqué me grande joie paria lapopulation berlinoise qui considèrecet eaploit comme un evénementMonet La satisfaction était d'au-tant plus grande- que les informa-tions contradietoires, publiées hiermir, avaient fait naître de sériels-ses inquiétudes sur le sort dsu aidaleurs dans les mile. sportifsDms ceux de l'aviation, on souli,

FEU/LLITON /)U it MID/ SOCIALISTE >

La PécheresseMais il était 1.0., ce C.o.., é ne

connaleasit plus ni timidité, ni o.-

De quoi avez-vous peur (Mej'aille jamais Deventer des chosesque vous ne voulez pas qu'on sache 7AS t mam'zelle Juliette... avec desyeux comme vous avez, vous devriezcependant y voir plue clair que Ça.

Et /Motion le gagnait peu a Peu.Plutôt que de faire de la Peine

à ale brave 11111 num. Vous. malsl'aimerais mieux me laisser brûler 2suait feu... Si je vous dis de vous gerà mon amitié, c'est que je la connais,moi, cetet amitié-. Jamais vonstrouverez de plus grande.

...Je suis bien laid, je fe sais... maisftis, ça aussi devrait voua donner

pur PAUL HERINAN

MO«

confiance.- Je ne vous dis pasdeus l'espérance d'eu Priniter Je oeserm jamais qu'un am Alors...pourquoi avez-vous peur... pourquoine vouiez-vo. pas me donner lePlaisir de vous rendre un vrai sers.vice... Pourquoi

Juliette commençait à subir la con-tagion de lette ardente sincérité_

Elle perdait pied...Vous ne pourriez pas, pauvre

peut toujours quand onveut... C'est vous qui le disiez â Ma-deleine...

Mais là-bas, cent trop tain /On ça 7... Brest ?...Comment saves-vous f s'écria.

D.

LE FAMEUX COLLIER

FJE SIX MILLIONS1,5.e de ta première ppm

Effectivement, vendredi soir, com-me n sortait de son tra.11 au bu-reau de la rue Sand-Roch, ou em-pleyé fortement soupçonné Mit dis-crête/lient accosté par deux inspec-teurs de la Sûreté générale et prié de

accompagner rue des Sauesaies.s'agissait d'Emile-Félix-Mariene, né le 30 juin 1895, à Saint-Rome-cle-Terir (Aveyron), commis des pos-tes à Paris.

Séti..., très habilement Inter)ogé,Ill d'abord preuve d'une belle assu-rance; mais, après avoir éte mis aucourant per les journaux de la va-leur du bijoux qu'il s'était approprie,Sebérac, ne doutant pas qu'Il ris-quait gros, s'était bien gardé de né-enfer 1e collier. 11 s'était contentede le mettre en Heu sûr dans un en-droit qu'il indiqua aux policiers, les-quels sont partis hier pour te cher-cher.

C'est tshez la malbeureus.e mère dePindelicart employé que le joyau semayen. Celle-r' habite rue d. Arts,Toulouse. C'est /à que, sur conimut-

sien siogatoire du parquet de Paris,M. Signoret, juge d'instruction, am

Pe=egreleder'nnalein..: xterren,asgrande stupéfaction de la malheu-reuse femme, y retrouve le collier.

Celui-vi était cousu dans la dou-blure d'ifs vieux veston, dans UquelIl sMournair depuis le, vol. les /nem

frnsullies snis baUérse ont Per-m!. de te découvrir facilement

IN /Mou éte sate.) par te mentstratet sera remis a ta maison Garner,. quidevait douter de le revoir à jamais.

LES AILES VICEORIEUSES

COTES ET LE 13RiX A PAN

gnou l'importance du raid aceomplLe trajet parcouru cet évalué0,000 kilomètres

Dès que la nouvelle de l'atterris-sage fut confirmée officiellement, leprésident d'Empire télégraphia sesfélicitations su capitaine Subi,

meseagea Surnol envoyésruemain, lul'eh'in7leetcre'd:'ireMnSpoSrl.,7e

ret.'reUtr'e'd,r rule'Z'couvre'

Toute la messo du soir félicite lesaviateurs et célèbre . termes en-thousi.te leur exploit. Elle expri-me n satisfaction que la premièretraversée aérienne d'Europe en_Amérique ait Né .00mplie par despilotes allemands.

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ÇA ET LADES BANDITS EN AUTO TUENT

ET VOLENTUN COMPTABLE PARISIEN

Paris, 19 avril. Vers midi unqmrt, dans le nouveau Muletière pa-risien de Thiais, route de Fontaine-bleau, deux individus, qui étaient ve-n. en automobile, tint assai/liM. Gustave' Argaillot, 58 ans, comm.able de la InMson Vauel (entreprise

de travaux puha.). M. Argaillot étaitporteur terme somme de 50.000 fr.,d.luide à la paye d. ouvriers.

Les deux automobilistes l'ont grié-

- Vous venez de prononcer lem t... moi je t'ai entendu... Je voyaisbien que vous partim comme Si vousétiez toute seule.- Je ne pouvaispourtant pas me boucher les oreil-es. C'est à 13rest, pas vrai

Oui, vous voye. bien-- Je vois que ça n'a rien de bien

malin, d'aller à Brest J'ai même uncopain établi pas bien /Mn de la, àMorlaix... Toutes les fois qu'il m'Aerit, g tue demande quaed l'irai levoir... En vonà, une affaire, d'aller aBrest...

Mais cela ne serait e.neure rienOui, H faut s'informer d'up

nominé André qui a emporté un nom.nié Julien.- Ne voe épelez pas,mam'zelle Juliette, c'est vous a.ussilui avez dit 85...

sait tout I s'éeria-t.elle Mo-és.

An I non, je n'en ai plus bienourd a vous répéter. Vous avez en-

core dit que Rose était morte quevous ne saviez plus rien de ce quievMt pu se passer depuis huit mois...Et puis, voilà lent voyons.., il fautpourtant m'en apprendre un peu pinsone.. si 5005 voulez que je devienne

votre chien da chas.... Un chien,

vent blessé à coups de revolver, puisils se sont misio dans la directiondo Bourg-latteine, dans l'automobilequi les avait amenés, une torpédo decouleur beige.

Des témoins ont pu relever le mi-nier° de la voiture. C'est le numéro137-68-E-7. L'enquête Mite à Parie aPermis d'établir que l'./am"bl!'appartenant â M. Mau.rice de Sainte.Suzanne, dés/murant, 22, place de laMadeleine. Il doit s'agir, sans aucundoute, d'une voiture volée.

M. Maurice, comnissaire de policede Choisy-le-Boy, a ouvert une en-sile'. sur les circonstances de cetteaudacieuse agression.

M. Atateieut a reçu trois hallesd.ans /a poitrine et deux dans lesjambes.

Le comptable Gustave Aiguillot aetecombé à ses blessures.

UN MAIRE MEURTDANS UNE ILEUNION PUBLIQUEAurillac, /5 avril. M. Gabriel

Deschaud, (17 ans, maire de Mural,président du Conseil général du Cas.al, ancien députe et ancien s.aleir,est mort subitement au cours d'uneréunion publique qu'il présidait, âMurat, et que donnait le candidatM. Rayrolles.

propos des Couds

tuberculeux

Nous receVons la lettre suivantetattine.érnor, In.. foisons un devoir

Mo.leur le Réglenteurdu <a Midi Socialiste oé

C'est avec un réel plaisir que j'enbd sur votre jomnal du 31 mats 1928/a proposition du Docteur Breuer-del, de la Faculté de Paris, devantl'Académie de Médecine. Propo-sition en vue de créer des caaernessaurerons., permettant aux jeunesconscrits atteinte ou suepects de tu-berculose de recevoir gratuitementPendant une période égale à lemservice légal, les soins hing etcoûteux que nécessitent leur état,leur donnant ainsi la poseibilité detroémine rtég eaérmlriorr6f.oyer guéns ou for-

A une époque où il meurt annuel-lement en France 130.000 Pers.,ors par la tuberctdoee, i/ est justede considérer la thèse du docteurReousedel comme une bienfait so-cialietéformeo,usomesd.,:p,..è.m,ehe er,zux,qui nceouns:

naiursonePuisque nous en so.krons, ms ra-vages de ce terrible fléau, de félici-ter ce praticien de sa bonne initia-tive. Notre concoure lui est acquisdans l'encorne...nt de sa Pa-h113ans l'intérêt de tous, et par es-

prit de solidarité socia/e noue at-tirons l'attention. jeds,s, TiP osarlecuTt cullaaelproposition du Docteur Rimer-

Secrétaire dea Réformésd'après guerre.

MILITANTS SOCIALISTES / SIVOUS N'AVE? PAS FAI'l DE.-PUIS IE DEBUT DE L'ANNEE175 %BONNE 1.1 MIDI e. PEN-SEZ-VOUS AVOIR ACCOMPLIVOTRE DEVOIR.

lemensemenafflur

Dernière HeurePOUR REALISER LE FRONTUNIQUE, LES COMMUNISTESPROVOQUENT A PARIS UNE

VIOLENTE BAGARRE

Cinquante agents blessésParis, 15 avril. A la veille de la

proohain.e consultation populaire, clafin, disait un appel, de réaliserle front unique ouvrier a, le particommuniste avait convoqué sesadhérents h une manifestationmonstre, organisée en plein air cetaprès-midi, au pré Saint-Gervais.

La manifesiation devait surtoutp510 toilesaux dirigeants de dénom-bra leurs tratili. et de leur donnerconfiance en elles-mêmes. Un groseffort de propegamle avait été' fait.Toutes les vedettes étaient annon-on. ; Vaillant Couturier, BerthouClamsent/ni, Ctarchery, et pour cor-ser le programme, on avait fait cou-rir le bruit que Duclos et Doriot, lesdoux députés madame,5 et en fuitevimdraient. braver o policé

Un service d ordre usés impertmgo sous les ordre de M. Ghiappe, étaitsur I.. lieux.

A peine le défilé commencéqu'une bagarre formielalds se pro-duit. Uue véritablu. pluie de pierress'abat sur les agents

IL, doivent chaiMer.Une cinquantaine d'agents Oct le

visage couvert de Sang.Voilà le bilan de la journée.

Le médecin a dd min. jours,,1 n'Y a que trois jours qu'il a en-

voyé cette fusillade sa Pain.J'ai douze jours à Mûrier et 11 tou-cher ma pale comme si je m'esquimtais â mon établi. Est-re qu'on neMirerait pas que c'est un fait ex.près t Profit°ns de la chasse, mem'..1Ie Juliette.. Nous avons dmzejours à. en profiter.

Ah 1 one faiblissait, ale battaitels retraite. Et lut, avançant de

.1 LA VIE SIF'011-111/{

A BORDEAUX

SECTION PATOISE BATLE 471(1)5; TOULOUSA/N

par 3 points à zéro.A 12 h. 30, sous la pluie iseraistau-

te le Parc des SPorte est en..hi ParIn foule. Environ 15.000 personarnientaasent dans t enoeinte. En at-tendant leu hostilités, les choralstalterneuu des deux clubs, °hantenta La Terdouserne li si I. Bobt seedde Pauli

Enfin voici les de. équipeu quipénètrent sur le Mrrsla dosas nuoompoeition suivante

fftede-TouleueeinArrière a Magnol.Trois-quarts: Laulaurens, F. Bor-

ge. (cap.), Salir., Raymond.Demies Borg. (m), Coebarieu PO.Avauts 3e ligne: /Toussa, Latin.,

Otunel afan ; ge /igue o Peryrounel,Anabert alnd; Ire ligne : Griotteray,Visuelles, Serres

Section Paloise'.Arrière, MOU.S,TrOin-ISIULDISI TailIDSVIOU, Clore,

rieu, laredeu, Bernardin/Demis: Crampes (m), Sarrade toi.Avants 3e bail. Cazeneme (cep.)

Obote/tain, Ree.ordo; 2e ligne: La..ber., Aguilar; ers hem Saux De-françaie, Bergen..

L'agaitre M. Ileurtin de la Côted'Argent aiffle exactem.t le coupd'ertivoi à 15 heur.. Pau tape et 510.pool arrête de volée.

Un COup franc dégage Toulouse,mais un Palois marque l'arrdt, devolée. Pau trOuve une touche surfauta de Toutou.. Un nouvel tern.

I eu deaI P«n' .tfe c'd'ersuPàè: L'Yi. h:etpremière mêlée, qui dorme la balleâ Toulouse.

L'attaque est étouffée par Pau.Mag.' arrête de volés dune façonsuperbe. Sur cotg, de pied long,François Rondes reçoit et don. uncoup de pied qui trouve la loucheaux 22.

Pau fait /e mur; t'arbitre accordeun coup franc â Touteuse s.ux 22mètres, en coin, et Salinié tente lebut, qui eet manqué de peu. Pau,courageusement, dégage ses 22 mê-le.; la balle va en tmehe ; Pau sortIn balle â la mâtée Si 0000. dégagepar une bolée toliehe.

Mais Toulouse domine, ao.lanfles Palois darne leurs buts qui enfinse dégagent, grâce â a coup francpour hors jeu de la troisième lignetouloussM o.

Maig. tout, Tellanlno accentue sapreseion; grâce à Mou.s, le ballonva en touohe pour Pau, une série detouches successives a lieu, Le demide mêlée palots Crampe reçoit lebelon, Berg. reprend, on croitqu'll va à P.a., mais un Palois tem-.10 le premier dams Dee bute Lerenvoi aux 22 est favorable à Tou-louse, grâce à une mêlée sur lagne des 22 palois.

Mais pour let secoilde fois, lesBénosisso dégageant envahissentles 22 mètre adverses.

Les de00 équipes attaquent tour$ tour eue au.xe résultats, le jeuse dépiaeo avec rapidité; uns mêléea /ieu nu centre ou lo ballon sortpour P. qui donne â suivre. Ma-gno/ se iaisse boucler. Les T00110-.ius repronnmt le commandementIl Sarredo est obligé de ouillergrain. Taillantou s schappe mais ilet plaqué par DUlaurens.Le jeu est se. . Touais. repart

vers 1r buts palois.Un beau diNgaeerinent de Nomes,

au milieu dual paquet d uvautu mu.g., et la mi-tomps ost sifflée surune touohe sur le resunat de 0 à 0aux 45 métres toulousains.

Eri résumé, cette mi-t.n.ps a Mdfavorable h Toulouse qui a dominéterritorialement.

Le jeu rapiend dur et serré. Paufait donner ses liesses arrières, maisl'attaque est arrêtée pur F. Borel..La touehe est ban jouée par Pau,qui s'empare du ballon ; mais Tou-louse, qui rip.to, devient très me-naçant.

Oatalha, après une attaqué aupind de GuNnave, mène un teks lotidribbling arrêté par Toulouse.

Sur sortie de mêlée de Pan, lapasse est manquée par Bernardini;heureusement que Leclau rePreadSUT cour de pied Magne) trouve unetouche stape$be à 5 métres des butspalois. Toulouse menace sérieuse-ment mais Sarrette dégage en tou-che

Pau joue merveille.ement et Ma-gret esi ebligé de rentrer le ballondam ses buts, d'où suit une mêlée â5 mètr..

Le jeu est très dur de deux côtés.Sur den/Ming long, Canot est ton-eê, rnais reprend aussitôt. Par deuxfoin, Toulouse touche dens ses buts.Les Tocnouselxn ne paraissent ce-pendant pas avoir touché le ballonamant Cazenave et Chuintain quiavaient suivi. L'arbitre refuse Fes-sai.

Le jeu continue tees mobile. Desdeux côtés on joie au pied,

rien de si fidèle, rappelez-vouas' plus belle sur l'adversaire qu'il sen-

mtfA7/1111-jeilltet'en un.e explosion ds ta.Mitoev&ohilid,c Breet. /I faut smaints.désir, ah / comme vous me tentez bout que j'y rouve André, puisqueAlors, allons-y carrément... enl c'est André qui a emporté Julien.cougance... comme deux associés.. West-ce mie c'en/ cet André-là ?Nusdietonn

era's'Juliette tait vaincue. Une faibleNfuis 11 0e pros vom en- rougeur . répandit sur son front et

ép

voyer ei loin... vous faire perdre ses Jouesvotre temps._ compromettre votre si- C'est monsieur André de Ter.tuation.., hool, officier de marine. Il était as.Ois ça ? pirant, mais je viens .d'apprendre,

'' y'par cette lettre, qu'il a reçu de

Ehlitil' elletedo"n-.c, et cette iscubest enseigne. Pas be,POrt

nent de Peell S.soin d'Eire bien malin pour deviner;:n :prison empaqueté au bout de son 2,..tntéPsia. bl'Oln 1m,! pion d'avoir SubrI.1tehralrpe: lig

daioher, à Bre., un officier qui yfait son .rviee. Et, une fois que jesaurai oâ le prendre 1

La rougeur de Juliette devintPlog ardente.

Mais Coco qui marchait toujoare

canonbotmodes snonir Clu'iqsielraau' a lotI deJulien.

... Allons, repritlif ...Doucement,oer il la voyait si frémissante. siisp.due, le «muance peut'

lui de la seconde mi-tensps .1eiffle.e stir . soore vierge

E est la première prolongation .

le jeu est indécis el assez égal. ifienencore set n arqu .

A la seconde prolongation. Paudentine. Toulouse se défend déses-pérément. Sur u,no sortie favorableaux Béarnais, Crampe feinte la pas-al au demi d ouverture passe 5 ersavants, Gazenave, dernier possesseurdu nen., s affale sur la lague bla.n-.h.

Pau: 3 points.Gest I eo, de la victoire. Tou-

tou. veuf it tout Prix egailasr maisPau trouve une belle touche. Tou-louse par coups de Pied remonte leterrain et la fin est sifflée par M.Remain consentant /a victoire de laSMion Palois° par à points d zero.

Cette partie, qui restera célèbretiens les annules du rugby, serajet de longtms eontrovers.. Cepen-dant, on peut dna que la mesloroceéquine e gagné, quomun in pinin non-limette soue laquelle elle a 616 joueeen ait faussé, dans une calame me-sure, le résultat.

Les avants béarnais furent les ar-tisans de la victoire. Ils jouèrent laradiée à égalité, furent sup.erieurs a latouche et pratiquèrent de dangereuxdribblings, admirablement menés parCs... et Chatelain, qui sont par-liculièrement à sigmler.

En demis, Crampes, formidable endéfense, fut une révélation. Quant aSarrede, il fut égal d lui-mcme. Sadécision, s. percé., dénotent legrand joueur.

Les trois-quarts supportèrent tacomparaison nouer leues rivaux d'enfe.. Cocasserie° et Lmlau au centefirent une grande partie, et les ailiers,Bernerdini et surtout Taillantou fu-rent toujeurs dangers. Par lem'

Mmes., à l'arrière, fut parfait,A Toulouse, les avants, après avoir

marqué une nette supériorité dans lapremière mi-temps, furent maîtrises,dans la seconde, par le cran et lavolonté des Palois. 11 faut cependantsouligner que Casuel, blousé, dut semeitenter de doubler l'arrière. Biens-., Latrille et Grioneray déployèrentune formidable activité, digne d'unmouleur résultat

Berges et Corbarrieu ne réussirentP. I dominer nettement leurs rivauxdan fsme.

Lee trois-quarts ne purent donnerleur mesure sur le terrain gras, ouIl billon, insaisissable, rendait Pres-que impossibles les goal.uu attaquesclassiques; ils eurent eependant debelles échappées et les ailiers 1.1.-us. et Raymond se distinguèrent,tendis que Bordes sortit une défeueemegaiifique.

A i'mriere, Mag.' fut basEn ré.sume, Toulouse fut battu aufinish s, Cette défaite ne diminue

en rien sa Mem. Lê Stade rougereste, malgré tout, une grande équipe.

Ben arbitrage de M. H.eurtm.Le recette a atteint environ la

smine de 2000011 francs-1

A TOtILUSE

QIILLAN BAT TOULONpar 13 à O.

Tempe meu.eade e a,iu. L. soleil d.boude. Maie cela ri'enuséelia pnn la fouisdue grands ,urs d'envahir bien mem treehem. D terrain de. Ponts_Jumenos dontlm enceintes sont bientôt pleines n

'r;s supporters des deue duie, fort uem-

Irestrl:nûibace '26)-0,5000. Vos Ouoe

sons M. Second préfet d. la Heete-Garon-ne. Dominique Rico arlioint au mairo deToulouse, M. LOry, le Lame. Voivenel,em.

En fin, le. joems, vinomeusement se,pl..., pénètrent sur D terrain, accompa-goés per l'arbitre M. Ferrières, Les équipessont Pnsi composées 0

A QuillenArrière 0 Dostaram trois-quarts 0 Bon-

net, Bonnernaison, Ou tutus, Onlu,, derme rGuteach Conuoo ait mante rre, Mentseeté. Galli., Parnmsd, Reynaud.Delon', Martres Mamand.

LMoulpe gelassem net done am ja.ndcomplet tendis que Toulnn est privé desemices de guerre temple. u Emre,

coemlou et Vine...A nal.

Anne r Lemme.; trois-quarta u C.ai, Mordes, Chaud, Famé; demis 0

Pandelfr 1o.), Delangre (m.)0 avants 1 Bo-rémi, One. /Fromm Barrere, Rehoul,Leforme, B.lemoux et Tille.

A 3 hemnu précims, l'arbitre siffle lecoup d'envoi mn est revenu à Toulon. Bail-lette répit et cherche L torrehe, mais le-mme. retourne la balle. Des lea pe-Mar. mêlé. D jeu gaver. Inn rude ctToulon marque un certain avantage grâceh une laelle échangée amorcée par Pende.B. Lm rouge et nPr s'Urate/mg dans les22 mètres audois qui se dégagent è le euitecol 00 eine.o départ de Gen.

, Tonlo. revleet éneruinsernent clmr-ge. Ses avanm jouem :ive, cran et mu,

lun mmi impreble. La o Mie est trie prai.0 sante à voir, car lee dem équipes s effor-veut de pratiquer un jeu naisse ails,,. Cc -

être â me douter. C'est un gosse, ceJulien I

C'est un enfant, mi.Il éprouva comme une piqûre aD

güe, là, au c ur mais sans bron-cher r

Quel AgePfès de eine ans.

Il fut alors tenté de pousser unsoupir d'allègement cinq ans Elleen avait tout au plus vin. ouvingt-deux. Ce s'était clone pus pos-sible, Il la calomniait

Et de plus en plus enfiévré laservir

Il s'appelle IA cette question, Juliette avait

répondu sans hésiter, avec un sou.pie d'allègement, elle aussi com.me si elle voyait déjà le mystère de-venir plus impénétrable autour delanfant

s'appelle Julien Dean.,Delaunay, Irisait Golo à partsoi. Son nom o elle c'est Aubert,

am nana à lui Kerhoel. Se me met-te. le doigt doue juequ'au.ude.Et se ramperont que Juliette aveit

d'abord parlé d'une R.e, dont elleunit dit Elle est -morte. e

IallIggnespendam, musses, la mar nes de Quittggieffirme.

Tendia ose Cas., lunele demi d'ennemie tomme, ie Depreuve d'une extrême maladessssde superbe. ecce.... Oullan,eerrer l'étreinta du eaek mal 110

par touche. mee esidépart en mss.., one ouv rtGand, de e édernee ja,nue mes trop .rd, 1a demi nuà Saler mei nem.. Le bat eet t.té j'

Toute, emoueillé, lance de nome.. as;=ms umubelle nure deSoMang,1!

rouge et 0015 da. D. 12 è$,cqpendem, à la eutts d'ue ce prenZ,Toulon ne .it pas profiter, un es 0

marqué en coin per le.A.Mia.'tg;spins ami, parlementé snlas,

Die .. moment. 155 chapelle,mot toujours de la febDee de Detdominent nettement et Dure trempe.eters, à plusieure repried à l'anse da,hua toulonnme. Moeda évite m en,,pmable es bloment Cun.h. Cheedtotehe et qui, le terrain. Malgré tel,abeenee, Toulon riSisseit ds revenir deus bterritoire de. Mem. C'en Is neinn.

A I. remue Chaud revient eur la ter..Len opérations rom d'abord mule..., hg.trente hommes pamiment jouer au ralenti.Cependant pee à peu /e.... de Ribèreu'Oulsvimvlstivislt mi.us arme&uml,uvut,iouchsdsletruaos

Dégomme Toclon se.eratt incapable deconclure malgré de emelea réa... lejeu trè. der. Latournerie oui fanpartie apleudide muve à pimieurs rems,ma des situations désespérées.

On continue à m frictionner anavae,ment. L. jeu est haché. Le. anatefréquents. Le

Voiei enfire see jolie phase de lue Igg,

Irr'd'ée-ica':-'1f.'meetntielr'Fes7euvl'onglzezsouche. déplace su Pinar MM. rePand.et ...que un a.:d maudonné8.

Peu après, Gut...h est touché. Puelle,Ribère jou. à l'ouvert., Désormais. Qua.lan dirige le, oPladons. pard,L le cimque ne cessent d'affirmer les FoutonnamSur une imerceptien da SuillalIe soi paw

nouvel moud traneform4 Qullsbio, l3

Lee incidente recoinmen.m et le publia..iste à no, mes fin de Pela. 11 edtesure que la fin met effflée.

Pendant In prennere mi sono, lue de,émanes firent un jeu semildement égal esmus ;toutefois se -livrer à fond nom firentassister à un rugby plaise. qui mem.bit .e renie. Meihermu..ment, dès la repriee, toc hostilité. désérd.

;rer.Mit Ismulitée. C. fut un hideuxI t,, de char,ionnat uô des deus c&F.,on es dnie e hm....

L. ma. de Toulon nuome pariaà la hauteur de se réputation. Eminv pu-na am er. pouvoir remplsteer mime,par la bonus. Le. avals, 1.s al mea.,Mens jes, seer Ils mêlée, à te tonds...

e dumi_eourte. Lee rem. n,qoèrent eermine ,périorité grâceReboul et estimes à Barrès., noie 00.numquèrent nettement d'efficacité dam tes temches longues et dans le mu ouvert.

En demis, Pandolfi fut l'égal de ColsMn, tend). uns Delmare. mage to,bonuu volonté, fm nmtement rMdiocae.

La cavalerie de Toulon s'avém largeu-r.: à celle d'en face mûmes e. nase.

déle... A essuder e.peedant 'si.In Chaud-Farré vol eut da jolie depete.

Quasis l'arrière Latmarveri., (on son,vent à rceuvre. il fe le nielle. jouem deToulon, sas réceptions inmemblee et esdéfense tes sare évitèrent à son équipe msscree plue sévère.

En somme, team qui a beaucoup à an-Prendre pour affront, ma mandes éPmn-yes Elle ne possède pas encore le .a.s deseamlainaicons 000 permettmt de earclure.

A ONU.. llibère et Gai 'ru li,col damsI, grome d'avants une formidable partesLe paek, bousculé eu début. I. sem.. vDte et endisua la poussée toulenmise. Danslea touchea 1,ques et deue le Me ouvert,il donna nue belle I.von de sorbe seséquipier. chers à Maya]. S. actien el.some,' Macère soupasse ef6.ee

Cm.aeh amies. .0 rival et eee ou-vermree fure, pleines en-propne et d.neer. Co-dna mû/ et adroit.

LuuauomnOonuoetoolviunor enenoinsaussi brillant p'm eoevait espérer. Bel-lette ee laina...mem à 1..conde mi.tenon Soler et Bonnemasson eurent àbmus mouvements offensifs.

Des,ac, inégal eu début de laPartie, sa comporta brIllarnmem dam la

L'arbitra, de M. Ferr.e. fut MM dis-cuté. Il manqua évidemment du netteté etde fermeté.

La recette atteignit e00100 00 000 le.

FINALE DU CHAMPIONNATDIVISION D'HONNEUR

A NARBONNEVien. bet A. S. Rayonnais. per 3 mairrel

(ae *erg) 00.FINALE DU CHAMPIONNAT

HP PROMOTIONA TOULON

Olympim de Carmaux les N. A. 0,Roanne par 9 pente à O.

CHAMPIONNAT DE PARISLe Rama Ise b Génémie pru I N'im

(1 eeeed, I hnoronor Nene) I 3 sen.(I but sur couP freine

DEMI-FINALEDE DEUXIEME

Levelenet let Rie. r 3 à 0

hEusite,cemj:q1,11:;,1,1s 'Ir '61' a'; rP'pelIs'ra?t'' 'Pies'Delaunay, celle qui est morte depuis

..1,111li.t,q,,in, iJogiunviioeitértpgs..,t,uoevii:ite,,,,fur.iosisogjne,,,,,te.

peendap.ials, un: mvoorisloar,igt, pua loiudi ,r léPal'

male sens me demander den choses

vous venez à moi comme un nd e

agn:i;

ou

ecorium,,pe/uis.sepz.v.ot:: se; v,,r: pc1:::

p. voue .nfier.

mnPlie, Ilmlr

Entendu. Mettons que je il'ei

tore Oduiti,,,,,in:,isftai.tt eal.le,00n pg. . 5"

lieu, Un secret. Ce secret,jure, d'intér.se pas quemin.mdte

rf.re:.:p: ofat Lre'Loor.6,pumut.piLaqi;ture;;Ies::urzicro..1

.....,A.lorps., r00Ira

too.Inspen.bien, j

entent A oette navre de salut.As nese.-

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La Campagne électoralela CIRCONSCRIPTION DE TOULOUSE

Candidature Bedonne

REUNIONS PUBLIQUESLe Citoyen Bedon., député son.

'tee, donnera une réunion publi.lundi. b Cl heur., raté Rivière, avecle concours du citoyen Poulard,conseiller d'arrondissement,

AUX TROIS-COCUSMardi 17 avril, à YI heures, réu

ciron publique et contradictoire,quartier des Trois-Coeus. Orateurs,Bedon., député sortant; Poulard,conseiller d'arrondiamment, et Pu-get, co.eiller municipal.

A LA COTE-PAVEEContinuant la série de ses réu-

nions publique.. Bedonue a donné,samedi 14 avril, une magnifiqueréunion b la Côte_Pavé.e, au raté duPont, dans la grande salle de bal,qui était arehimemble

o-Il fut sué à son entrée uar uneaa/ve d'applaudis.ments, témoigna-ge de sympathie de la vaillante po-pulation du quartier, b Cadrasse derelui qui depuis quarante ans bien-tôt lutte pour le socialisme et Iretravailleurs.

Le citoyen Lu-Toge, conseil/ornianicipah préside,. assisté des ci-Ouvrer Mine et

Apedo une brève aliecution,donne la parole au Mtoyen Juliensoonseiller d'arrondissement, quiavec la grande logique et la pondé-ration que tout le monde lui accorede, rappelle tee campagnes politi-quee d'ante.n livrées par Bedon.,et la courtoisie aven laquelle il seheurta à tous ses adversaires; no-tamment avov l'éminent citoyenBeuglé ; les vieux électeurs se rap-pellent la courtoisie réciproque quiétait de règle à cette époque.

Notre ami Julien en profite pourflétrir l'affiehe placardée par /ecandidat Marty; affiche qui désho-nore la bataille électorale, et quel'on doit ro-musset du pied - telleune._ ordure.

Les eleeteurs répondront blaloi oie et aux attaques des mirersais., dent l'un est un personnagesiagulièrement préparé pour rece«voir des giroflées, et l'autre par sacomplice-lie, indigne de figurer dansl'honnête lignée des militants rem,bli.ins

Juliari est .rtain que les .eouesque 'ou adonne à Bedonm eoneieurent aatatit de félicitations à sonmtrou politique; le résultat duP6 avril en sera la confirmation carle parti radical, avec qui on a faitle Cartel, on MM, est h l'heure aceeuelle sous le parapluie de M.

qMs les tert/r croisés du partise munistr et des radicaux défail-lants, notre ami Bedouce passeratriomphant (Applaudissements.)

Bedoncu aborde ensuite la tribuneet r1pond de suite aux attaquesdent t eut l'objet et u'i/ n'a pasde peine a réduire h néant, a.ppromré par les anditeurs, qui le prientde ne pas s'indigner et de traiter

riele mépris cette façon de preeé-

Le citoyen Pierre Bertrand; du« Ouotulten a, est pr.ent dans l'or.ecrnblée, Bedon« l'aperçoit et le sa.lus au /mie des somalieee et des dé

a es touluonnine,1:éminent journaliste, en tournée

d'études politiques dans la régiondu SudeOnest, prend la parole spon-tanément et déclare qu'il est heureuxde dire aux électeurs toulousainscombien /e citoyen Bedouce jouitde l'universelle sympathie des dé-ni.rates de oe pays, et combien sescorupatriot. peuvent être fiers depe.éder un des représentants /esplus honoré. du Parlement. La sal-le applaudit frénétiquement cettenette déclaration du célébre jour..liste, qui défend avec la vigueur etla netteté que l'on sait les idéesd'évolution et d'émancipation so-

e. 1

!Relance, très touché de nettemarque de haute sympathie, conti-nue l'exposé de son prograrmne, dé-jà relaté dans ces colonnes.

Mais il va s'attacher, en présenced'on témoin oculaire, de faire laprouve irréfutab/e nue le parti so-cialiste n'a pas failli à ses engage-ments et que ri la sitnation poli-tique apparaît ténébreuse pour Incsoeialistes ri les républicaine, /afaute doit en être imputée exclusi-vement aux radicaux qui, de détail-lune. en défaillais.% mourront de/mir belle mort.

i.e grand problème de la recoud.liation des peuples et son organis-me directeur la Sseiété des Nations,de même que relui de l'assainisse-ment financier sont développés avecPerce et précision.

Par examen rétrospectif de la po-litique passée du Bloc national,réa noirsur la formule « l'AllemagnePaiera. a, notre ami démontre ton.tes les erreurs commises dans ce do.

Sur la politique régioelle, il yliou drue montrer circonspect, car

Ira discours de M. Poincaré, ft Bor-deaux et Carcassonne. pourraientbien, contrairement à ceux qui lesout provoqués se retourner contreeux et eonstiPuer un pui.a.nt fau-teur de déliquescence pour le partiradi

L'aMion du parti sociaRste auParlement, avec les conditions de,

eire nui s'imposent est en con-oumté avec sa doctrine, et les

umismunistees sont dans l'erreur de/a rebiquer mu leur t.tique d'al-liance avec les partis rétrogrades!st malheureusement néfaste et pré.I.,8,s,1,iniable aux intérêts des classe

mlelenud:- battons pas sur due for-ules.kami-sin°ae nos doctrines, ennui«

lions notre devoir et nos sentimentsde fraternité, et ne donnons pas,HeY adversaires du prolétariat, l'oc-casion de profiter de nos divisionsruer naieux noua as.rvir.

Tout pour la libération et la Paixdru peuples, l'auion des nirqétni-roi

'1,reclouera la de

rav'!i'geeur:sera l'oeuvre dee travailleurs eux-namos

Le péroraison de Bedouce est ac-cueillie par Inc bravos et les vivats

ttane asns 7/W.119999st emballée.Bagothque réunion et gros sue,

clse pour le veillant et vénéré lutte.l'aeoIng, qat éleoleare d. Olte

min de Bataille et de la Côte-Prtvée

"KI1tUUreiol: ::maavigitee. de Crameet brillante réplique de Bedouce onttermtné cette admirable soirée.

A l'issue de la réunion, le groupesocialiste de la Côte-Pavée a offertun punch b Pierre Bertrand etBedouee. -4e CIRCONSCRIPTION DE TOULOUSE

Candidature Ellen Prevat

REUNIONS PUBLIQUESLe citOyen Ellen Prévu-h ancien

député de la e circonscription, con-seiller général de la Haute-Garonne,adjoint au maire, donnera anion,d'Uni deux réunions publiques et

opinion.s M. X... on de M. Y....Ce nese as X..., fut-il deux foisolo ratly...., ti..., isdu de dasèree,passant Par Palaniny, qui les repré-senteront au Parlement, lu ne se-ront pa,s davantage auprès de M. Sa-yignol à la Chambre po, y jouer àms côtés les Egémes en culottes.Ceci M. Savignol allai seu/ qui sol-licite des électeurs un fauteuil dans/immeuble qui confronte au pont deIn Concorde et alors c'est t lui deS'exPliquer sur ce qu'il comPte V

faire. fret la du semple bon sens, deIn pure logique. 11 n'y a pas alors deraison Mu s ope,. t ce que les20.000 électeurs de h circonscriptionviennent chacun b leur tour expo-ser leur pesait de vue. Ob irions-nous t Grand Dieux. La campagneélectorat° pourrait être prolongée

contradictoires, aven le concours d. Pendant des armé..citoyens Saluez., co.eiller d'Amon- Au Fousseret ma messieurs, cuculdissement, et Dominique Bieu, ad- désinvolte. envers le populo que lesjoint au maire o

grands seigneurs eauLrefois, se sontA CUGNAUX, à 20 h. 45, salle de Présentés avec 1 ia. 15 de retard. Un

la mairie. radical bon teint rani-là, go, dé-A SALNTSLNIO.N, la 21 h. 15, .11e

Espaiinol.A PORTET-SUR-GARONNE

Dec des plus belles reunions de /acampagne donnée, samedi soir, b Poe-tet-sur-Garonne. Dans la grande salledu Conseil municipal, tuer les Mecsteurs, à bien peu pros, se sont don-nés rendez-vous, Attention, sympa,

vuuliorvv. La artoyva Dgué,l'excellent maire, à qui Ellen Prévot,au début de son exposé, adresserases vux de longue et heureuse ad.minLstration de sa belle commune,présidait, a.istè du citoyen Violée,adjointooan maire, et des

.ucainerades.Cava,i'y', rra' 'P'lrenti'asec ion soma ,ste de orsiège de laquelle s'etait fraternelle-ment rendit notre ami avant le debut

Ellen Prévot, pendaht une heure,et suivant sur le terrain où il s'estplacé, M. Relue', a répondu point parmint aux attaques de .solieeersoar1r,e

nd'in 'tresniètrInui

nleireme aeeistents,qui savent depuis longtemps, poliravoir, depuis dix-huit ans comme

avec seulement dix mais d'in.ption, au Parlement et au Con-gé:nanti à quel point est 00010.00 son honcrahilite personnelle.

s avoir 0010m point le ques-tion des autobus et explique Pourquoia convention officielle ne pourrasans doute âtre mise en implicationtpin juillet ou août presc'hain parsuite de formalités administrativesqui out entraioi des retards inatten-dus, Ellen Prévu/. a déeeelopné, dansl'allure brillante dont il est coute-1mies, les thèses essentielles du pue',gramme socialiste. Il s'est notammentexpliqué sur l'obstination rageuseque Met M. Pilori afourolter sus

Le quartier OMR accon. en foulesamedi soir, a la selle Roquebrune. Ily avait là aussi 1 avant-geirde, remueBe dans les q.tre cantons, du ci-toyen candidat comm.:teste. llsétaient ber une vingtaine qui onttait, par instants, du potin comme

. ,

Croix-de-Pierre, c'est un rite, et quela salle s'y mem par sa profondeur,personne n'y prend plus garde.

Notre ami titiere, cenweiler mu-nicipal, pressidart, assisté des citoyensIlayssonier, conseiller municipal, etMua..

Savmzan, Conseiller d'arrondisse«ment du canton Ouest, et DominiqueRien, adjoint au naoire, ont pris lon-guement et utilment la parole, audébat de la séance, pour permettreEllen Prévot d'arriver de, Porteet. Ilsont, par la clarté ne leur exposé etla netteté de leurs 09911eations, rem-

' au 011 00000m,Ellé. Prea.1 a 11V11.ucé une tale étaient vides I. hours. de ces leu-

de plus .- le faut bien, puisquem. Bou, , a mué, a osso ions _n'étaient pas êfahavorables.1,,,) g r a

nQul vete empcit d'en ehoi-

tone dés attasqnes personnel/es - les s'r d..utre0.suédé., équivoques, se, grossière, .- Vous êtes bon, vous croyiez tme

erreurs matérielles les utiliserions 8 en B1rilet Pae Parrtermes sybillins auxquelles 34, Bo- tout comine vo., des amis qui veu-lue' a roumi. confer, à son lent Se déranger. On a ses affaires, I

adversaire socialiste, devant s.es Gee- vous 0.111Pmhcieteurs, qui se tordent de rire, nue EVidemment, évidemment rétgois-

figure et une allure de chevalier d'in. inn l'épiera° sacré le morne qut

Mutile et de détrousseur de bas-de- vova induit b fa.re payer le voisin,tôt-il un pauvre bougre, et cies-

Après quoi est venu l'exposé du sayer de tous las moyens pour vousprogramme, agrémenté de qu.elques soustraire personneRernent à, lacoups qe bouts. r lut u . an le douloureuse du percepteur.nommunisme électoral allié dee amis - On, oui, reprenait le sire, voue

B.Oluel et une aster:1.s« ,'r eoabouu, Fet-ce qu il devrait y avoirpar /a salle à l'emmena des vingt dos 0009rde 00..0 se!uj vicie 00moBordes du corps du citoyen Berg& vouez de monter Giel. Est-ee que

Celui-ei n'a pas manqué de nous les hommes élus ne devraient passOrtir Silêlement sm petites serect- suffire. Ne sommes-nons pas Fema-les quotidlenneS, volte oubl,rr In nation du suffrage uffiversel I Nepetit lot de plaisanteries faisandées me ra.e.te-t-on p.qu el y a dattedélit il les agrenmnle et l'exhilittton sào, °a ,du torchon parisien édité porno sr- °ré camail.son « exclusion s, par la Fédérationsoct a g e a eine.

Dans une hw vov°'.enflamée,Ellen Prevot a falt totale justice deces rengenes monotones 01 ,1 a de-man." "'me d '1' """'4

raat-major socialiste dans son ar-de le .aire, dans dix ans comme de-main, la classe ouvrière, de ne pas 'MF du 8 avril. Diable I coemumo

';:nejarift,-=0:Tiini"p'lietlurofare plutôt respectable de so/dats.Que va devenir 1 &rasante majoritéque vous prédisez à M. Savignol.

Comme nous ne sommes pas desbluffeurs, nous offrons de commu-

la .rantlitlature d'Ellen Prévot,sans

journal, tenu jusqu'ici pour serieus

se dielano, si elle an vont pae mur,pomme 10 fil V'voteo, ,llr.juurée

lml,_'ol,utoi000e toi..clamet

a

MURET

Candidature Vincent Auriol

OBSTRUCTIONNISTES /Nous voici accusée d'ehstructMn

systématique, par l'équipe de Ma-plut, d Tans une longue diatre pu-hélée le 8 avril, par « La Dépêche n.

Rétablissons un pou les faits.Que s'est-fil exHtement pané au

Fausser. et es,Pouy de T.ges.Tout simplmnent que te Pue° a ré-clamé, des le début de ms senne.,

entendre le candidat. En letpourquoi I. électeurs se revota cor.ils ces deux réunions Parcegens voulaient connaître le candi-dat, entendre »a ddclarstien.s, sonprogramme, voilà ne les blé-raeseit. Que lepr imPertaitin I.

LE min SOCIALISTE

SAINT-GAUDENS

Canilidature L. Labatut

Dec manuvre déloyaleLA « TRIBUNE REPUBL/GAINE r

dA MENTI

d'une insertion truque.e,le citoyen Berl., eomeiller .general,a adressé a la v "rhum Républi-caine 8 la rectilicati. suivante t

e Toutou., le 39 mars 1928.MourSieurele Rédacteur en (Blet

La Tribune du 25 mars Porte,etteseteres gras eneaure.s et en

tête ne la deuxième paie, une, cou-pure de mon intervention à la séance

Conseiloseil gromal sqoqmirecoupure CDS vOUS anneurea Cemalexilait° ,m la ph, 8. du ...luteretirât Orriesel.

Or, la phrase que vo. citez n'espas la reproduction ex.Le de mesparoles. et vous ne l'obtenez qu'enprenant une part. de phrase tigniant010 page 434 et en la fais.t suivred'un e membre de phnoeeauertià la

ürace 01.1 amalgame, vous e.ayesd'opposer mon attitude à icelle deni. collègue et riraLabatat.

Vouseelr dat'Pirl'ignelérelivdoTresen d'ave

nompagcrJe au mit, "Tni:. proteste

r'vous

ainsi jongler avec -ue's textes

;6iL,I Fe 'ist exact que mes paroi.j éart

quom. collégue Labatut, dont le grand

ch

nieraitqu'il ne voterait pas pour Sa-vigils,' parce quil ne ventait peu que

ullsOn betin se confondit avec celuides pues /quelle/mures,éventa tontde suite le truc, démêla la ma-nuvre cousue Mun fil qui ressem-blait à un table. Voici, disait-il deuxminutes avant l'entrée de cm mes-sieurs 1 h. 15 de palabre par lavo-caillen du Fange ou davantage jus-qu'à ertiuctien de sa.live, itou uneautre heure par le baryton de Pila- gen., il nen .t pas InOins vrai queminy et le grand orateur, le Déni.- no. étions et que nous restons tousthène, le Cicéron, Pllortensias, le doux assesussxses,,a,u,s

letMdraleaude St-Lys, peut à Prive gestes de clémence qui s'imposentébaucher ses considérations écon0- aux guaoaruan,iniques suer le Puy n, l'Amérique eto. Dae la séance que vo. rapdpeles,bu aresauTeriltul'reaiiac'et d%lcor- ' rs'fssn tPc=

cpita 0101' des Théâtres1171

IL DESCENDAIT 7ROP V/TEEn descendant d'un mem en mamie. de_

vant mo-main de. Chausmre. Mousmrd,boulevard de Serahoms, un individu a faittomber lu dame Massai dene.rant 15, rueTraversière d. la Holm... Cette dernière

ehe en tombant 1. ah...6e. Aprèsét6 saignée à 1. Pharmwie Prineites

I, Mme Masse pu rejoindre mn dons.

UN

d'nkti-e d'es. mn. hé tendu. n'eu s'est ro-

LES SUITES D' COURT-C1RCUITVa cent-etre. do à rinspradersm d'un

employé de lu Compagnie d. Tramway.s'est déclaré à 1...meuble ponant le os 50du lamelevarel de la Case. Un noyau de cou-

rendue due une pièce d. res-de_ehass-sire cernera per M. Camille Corse, et leol.lond s'est effondré.

o RATS D'HOPITALI 00 1,. et une montre ont été dérobes dan.

sils nuit du 12 au 13 courant à M. jean Mo--Ive, 64 ana, wucon d'amphithéâtre à l'Ha, telEtieu. Enquête.

a'est blesaés légèrement à le anise gen-

LES TUILES DU JARDINIERM. Basile Monder., 34 ans, jardinier à

Lalande. chemin du Baron, a porté alain-te contre un este, d enfants qui nant

!montés aur la toiture en réparation d'unimmeuble lm appartenant rue Vestrepain,

dégradô 2511 tut/. valant 400 fr

COFFRE-FORT FRACTUREm.DizreLlre. ,15.e,oru, ,ranat,,

fractàn deus le bure.« de l'entrepriseFraisse frères. à l'Hemital de Pur., etont éventre le coffin-fon. m sont entre-tés d'ans somme chi Mme...

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M.q uiver les qu.Linns aussi embar-mssantes iroiscrèlees. Mais c'est l'unanimité que le Fmehardiese qui vient compléter

pa,,os rnaseensde Vega la petite Gonseil général a sollicité du prési- ses deux nrédéce.eurs: se Le Douif

ayorier en réclamant d'aboie le van- jeunes dell...et, P'Estme ù dire que toue les conseil- Cetint'eplèlt.e .tris bien mtee d'ail-le. général. sons tics bMchevllis I leUrs et jouée avec beaucoup de brio

a été chaleureusement accueillie

" I'roasx do ,su,as,., as se, kraus ray_ bons, vous pourrz reproduire les M.SaulCda-eore. dure le rôle dusiqueS ne rependent pas son feu roles prononee. pur Labat.1 au Bouif ammel .il a donné une si-sacré, si a.

ap1i1u1esne sont pas disiassione lbouette três p onneersl. a obtenu te

adéquat. la fonction solli- U.rur'rrrè-r Pagô Lea grand garcesode, il reete 50 crin de sa ohe- e'oqs asofaus., Juarossxouts et dea,1-11.11%eut nall1P1 eimaPPRiarrain

' dassiduv quo bo tassa, aosstss foire dent de la Rep blu tque /a grace es et I e te tome du B OU1 I ri 110 nuanque

Si M. Sawignel ne se sent pas a.ezqualifié pour islItendre aux ed'er-sair., ou aux simpl. curieux dési-

N. Mas plus que Labatut.Et puisque vous aimez les MM-

&mirs., end.. Sa Mhe de ehan.rée e verdicis roua e, prenone, ,ans er'e (Paur Dtilh)

Umelon.dans une cOnfortab top' r- o ussdaigoaaos ,aus dés, sa pyi,à, is soje.e lti eum-emère lesjetteds dane sa chanceltere et o pasu,ssa1,11s.,

Gireose, peur la corf mot ion des dra- ,r r' d vade de Torelli et l'Angel. de la

olcrtlelllet.e dada sur la p. ont..., et, gem

sur la lutte des Musses, emst.nsuongui ferait croire ti,,q1 prend pour desgebe-mouch. 1. électeurs de la ELLE EST BIEN 550X81Ideuxième, qui, en ces matièms, out Décidéinemt la campagne Seingno-fait, depuis Immtemps, e le point H.

Les électeurs de Portet ont fait aleur .usciner général un gros suc-cès. lis feront de lui leur (Meulé, le22 avril, a. une énorme majorité.

A LA CROIX-DE-PIERRE

qu'il m ile surFinstabillté des uta0

po,, pas an interinede où nous avons pu ap-h -es humain. ou sur le" cours du o sis-ai d ex à; aia, mon-prémer nuiolie voix dans la « Si I-

vin.,..te envolées, excitent nos I Suer mélodiesmélodies go dl mlerPrèteenfants soldats àla révolte et à 03.. miel talent, 131. Xhoffisay fit

e l'indiscipline Non, messieurs, je du Pemonnage le Roussin, Une fi-a no suis pas de mua qui approuvent, gare leu pl. bouffon..« cela. Je l'ai dit la Chambre, je le MIL Pisart, Broc 'lin, Delhez, Car-« dirai encore demain, et je déclare rère, furent dexcellents tnterprêtes

/roque tourne au vaudeville. r nui-mime rom quicOnspil, à l'abri a leur rotée

cuerie, tC-fiiterartn .nda'agce'. jdeel'a jYea,rrdYaira 101001nous Mua..0,gameationeCe n'est pas de jeu na 101-0e que « publie, ne trouverait pas en mai unr la Mlle Lefèvr0e0 fut grà-o.L notre faute s'qs ne peuverit a défenseur. Meuse et enjOuGs â souhait.pamenir s organiser malgré les Et plus loin, le page 435, vous MI. Renée Kerps, epouspuissants nye peeaires dont trouverez encre ees paroles de m.50011 d'un comique très anale:m . ttm o nt.

md u ent si les parti.. dé- collègue Labatut Mlle Valdine, oharmante corail-van. 1000 0090 denda ce qui leur a pomme gerlia, je condamne ce.. Menne et plaisante danseuse très

°°°,,,,,lammant que le dé- « imprimentlestracts el fomen. remarquée dans le râle 401m divettevonement ne s ach Mète pas. Est-ce a tent les désordres. ais je ne vox. massa Kerma fut agme n 'hlment e-notre faute st étie partl e drais pas que la haine que peuvent °ondée par Miles Gay et ItlecaryetI s ne sent qu uec ceirIe au., die1- av.ir crialus '1erubr' " le balle des Vari&és.

.0tre saae,. Excellente interpnhation pendantte h' 'rée e general contre les militants qui,

esuite de mons Savign01, ou du Innins e 1,1.13,e.. d d'injusi .

qui s'estime tel, car le pauvre croit, Je me ..*I à antre Mourtoisie,ea qa,qoa isa_ ,Monsieur le Rédacteur en Chef, pour

qu.ets de 0000 00 Mill eelnqcaeI:..éinsérer da vrter plus prochain nu-a 'ns

ne lui permettent pnlus de se Mol.-lui confèrent le rag de capitaliste,Im 11 .e. P. 11! que to. juge

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mer en réactionnaire cmaplet. Ce il r genéral. >suffisant bonhomme rencontrant unde nto amis lui Liut Or langage àpropon des réunions donné. lundipar le candidat de son cur.

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que lui font jouer les partisans deM. Savignol si ce n est M. Savignollui-même avec leurs bulletins devictoire et leurs proclamations b/aBonaosi.e.

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Aveu-ber, ver. Il h. 40, une ante es.,duo, par M. Salsa, demeuram 21, alléedu Biwa.. renver.é Mem d. Capitole le*eus Bemeo, 71 ans. demeurant rue Vil-leneuvelle. y lao oui traversait la chaueese Dam va obole M. Beawn s'eat lénd--.ment motu An er ou d«one à h Pharmacie du Comités, I. bloc.ne n pu ro- oindre «on domicile per me pro-pre. moyette.

-laquelle un nombreux auditoire Orménagé ni ses rapPals .1 ses .Plau-diseements.

Intérim.

(rommunieude) I

THEATRE DU CAPITOLEDans les uvres wagnériennes oh

ils figurent, I. churs jouant unrôle capital et extraordinairementdifficile, ceux de « Parufal a sont

nai1.?'erp%finNoyos utile de faire enn- eolebree à Juste titre par leur am-

entement les moyens dé- 1Plur' .111eist4loyaux employés dans le eatnt-liam sml d'une *m.nlieati.,:p.uoio pour omphap notre om, Lu, d'une difficulté extrêmes, et do-

due or platturu-nump,ehais,e

plus délicatesouxrunsunroroivpussvuuuenoalvs

théâtral. De-puis plusieurs mois, les churs de« Parsifal ee sont à l'étude, non seu-lement au Capitole, mais à la se.eiété La Clémence-Isau., d.t lesmembres viendront augmenter l'ef-fectif des ohevaliers du Graal, et auConservatoire, dont les jeunes 618-vus tiendront la délicate .partie docchurs d'enfants et de voue célestes,et renforceront le redoutable en-semble des Filles-Fleurs.

THEATRE DES VARIETESCe soir, à 20 h. 30 la tournée Ra'

coq jouera « La 40 dv du RMDemain mardi, à sa h. 30, quas

triénue représentation du grand suo-cds o, Les Millions du Bouif r, avecen tête de la distribution RobertJysor qui, dans un intermède, aucours de Faction, chante « La seréunde s, da Toselli, os, L'Angelusde la Mer nt on verra R comiqueS I cvi du rire etJenny Gardy, excellente chanteuse;

Pisart et Desermx et Mlle Le,fèvre, et enfin M. Xhoffray, excel_lent dano sa composition.

La vie syndicaleFédéteuen dee Asksant de Toulotse et

de 1. Région (Croupe des Artimn. du VO_terme). - Réunion mare /7 avsil, à 21heures. 14, place du Capitole.

Ssedicat des OusSeee Teillaore d'He-SOle.- Lundi 1C courant, à 21 hem.,la Boo.. du Travail, assemblée générale,syndiqués ce non syndlquée,

VIE DES SOCIÉTÉSFEdhetio. Natioutde de, Omo-ie. et Em-

ployés de rEtes once. Combattants nonPensionné.. - Réunion du Conseil Fédéralet do Gomel d'Ad...melon, le mardi17 avril, à 18 heure. 30, au siège, 5, rue

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