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6i,ue NE,F. - N° 278 nedeth à l'ans, dit qu il v est pie encore le dé artement d Gra. er p à pren ressource qui leur est indispensable, et ris t de lié de sa cevtrGa a Ber- 1 p 'cl'c mv icipaux 1ntel,g % ,e claire et p complète ici des dispositions de la lai e.t d-s r. cipaua pour assurer l'entretien des ° as récommandarmt Par es vote à la seilt lin. pour e¢ chemin avantages qu'elle offre papal ations. chemina qui vont être construits. itvd- du Gouvernement et dus conseils Toulouse. -Saint-Cyprien (extra-mu- Le Teinpa mentionne le brait quo lv ï ris), immédiatement et à gauche du bu- Pour y réussi" la colla oration la plue cxn:arrorv ne, xass onncès u' n i-- génér.vx. pas de une, des Corps IGgislatif serait convoqué ce u d'onot gau aetiv^a du ce rci vil, lest midi'caca. La note présentée à l'Rmperoar Par mou ( Vo°s ne perdrez monsieur le préfet, qu'a la dbF6rence des centimes verobre. - ° ` ce. p bge ra meut île auront consacré leurs a Prédéceasenr eiroulait les difgevltps qui se ne Colomfero-Lae la.aa; d 1 i. préeenteraievt dans la pratique par aine Italnteo9 21 mai peu on l l b 36 MERCREDI 7 OCTOBRE i 568, TO[ILOtISE BURfRALX RUE SAINT-ROME, 41t. POLITIQU T LITTÉ I - TARIFS DES) ANNONCES ABONNEMENTS L Anno ces 1 1 gne ................. 0 fr. c aT )ULOUSE : Un an, 40 f,,; 6 mois, 2l fr.; 3 mom, 11(fr, on 1"BC021 les CLB01271C111 C71tS Cl les annonces : ' Récla ]a g.. ................. 0 fr, 5030 c 8auta-Caroa.e TOCLOUSE, bar,... dul'J....a,, (meriSmnt-Romo, 44, - A Paris, chez M. Davns, 3, rue Jean-Jac yvee- gne 1 fr, 00 c. 6 fr.; 3 moie,,14 Pr. Faite divers, lp h Dé etrmwle Un an, 50 fr.; 6 mois, 2 A ! 1 R lau.a ana r; LeerrirBuvc,aa Ut C--P", 8 lace le 'a Bon,,. Pl>NTarv 22 d Trévise, Toulouse, Imp. Ph. Montaubi.p r St.Roue. 1. -,. 1 'ne place de ' 7RANULR: Les frais supplément ree de poste en ana, acide correspondante peur Iea le plan favorable est ca d ù ,l am"n t+ - - -- - ----- -- '-.ans le réseau ubvev- et P Oil tltie , OC(ObPP.. ütfll ' 587 50 587 50 j nomination de maréchal Serran. an Pou Les porteurs de é cép és de face ch mine Ganpn+_ -:voue 'avis pour assurer l'exécution, en dix ami, tutnohiens... 555 0 65fi vie eirprémo sen un accord préalable qbi ne Iee ont paa e car échangés contre normé ayant été fixée - vous ch-mms compris dxrs le réseau d'y offre I.ombart ... 907 50 406 2 00 avec la majorité. e des mrti i s rit invités à le faire dans de la immm,ssmu départemanna.., ter les rosunvrcea créées par là j ol dos 21 te plus bref délai. û urez plus, monsieur le préfet, lceqû décr,r ne. e46 déduction faite des prélév°- , f r017RSR DE PARIS mltut...... 000 00 675 0 Autre dépé.ehe. On rappelle xui souscripteurs que ces tifier aux communes intéressées mal e.,- - ces ressources au ro enta opérés or nu 5 ocroaes. neier, .... 417 50 1417 0 titrese ne peuvent leur G être remis que cun- 'toua que vou0 mica rises. A Paris, 1 octobre. que dela grande et de le LLmoce n, vicee.rté- ti+rs.a. ee.+"tmaeaws. ee +.o+ se. POtIRHE DE WOWUSR On lit deus le Bulletin du :Ifunit'. tre l versement da francs 511 ce, gea Il y a lieu de remarquer seulement r+nre+taa La Jette u éme, élue à est formant le complémentnt é à 3 de a- ! Iee commissions départementales out été la vérité, s commu Pe auraient "' éuuiob, compter sur les subveutUms de l'État et on 6 .cimes. a Pr utie. Des intérêts de retard à 5 0'0 sont autorisées, lors de leur dernière r léer comprendre, dans le rseau, deschami.e du département, qui doivent svP âle et ---a comprnz. définitivement ponatituée nomme suit: lus sur cette somma depuis le 29 sep. a é 'l. d d ier n'avait pas m- la pauvreté de la caisse o on classement régu t l et e ssi,dans MM St Piésidents bru-d en _ 3 010.......... 69 20,erran. erm, pr- tenue. ACTIONS, 32l 50 rairas; - cors été péré. Voue devrez inviter les ol'esas no.M Ob. Midi ...... adminietrahons municipales à procéder à e -Jappât de laeubvvtion fait défaut Votawe. Dernier st ésident effectifl A go rrepp 90621 ff qui ie die rom.tanr,' Art. Orléans..,-,.,.,--.,ectuer o.n rs Charentne immun (1863) . .. 305 50 Rlbéro , Veg. Ut Armijo, iDU-prési La Ministre de l'intérieur a adreué anx {ormes ordinaires. a emvant les la curd age des trop bien ie en cmampris W., e dnts. hui 4°° sot que la m;m le m ai" are nul Rm. ' ' sac >s A. 45 octobre. préfets la cirmlaire avivante, relative à Aines que j'ai eu IoDessin. de le dire l'a cvuecils noter municipaux les uni ressourcipauxces ne s,^ s>r nn .cari na r ro 1 italien 52 30 , "ré'tai ., en ce qui cm eeme les cam- dans le discussion da la loi, il Pourra ar- pas de e arasa Comp. p.rieie.nne dg hax. as Espagnol ............. 268 75 { Lété imÎioû van sol Obélga at berce üünat de la loi du 11 juillet 1868, sur inca dans le coure de la période d'ezécu- à l oinseur, di de stipoaitimmuler leur eus sels. soie, m`an- -oci pour i gis dee lac chemibauï: r wa vnComp. r .. 906 5 4 Orléans.......... Camp été ouverte trier. ine vic tic., que des besmns noavesuz résultant, ble que . Il savart ou- A. 31 octobre Plument regrettale réseau vicinal . genar,tmnaadamequs s'a , j Parie, le 22 septembre 18118. ar ezem le, de l'ouverture d'une "il ans es. il si étaient négociée. .Monsieur le préfet, par ma circulaire da ferrée ou d une voire, réclament la sn lie- présentât des lacunes, précisément d son as lsusageriai imp. serv Il x a. de affluence de eoueerip- ° . mari, >su n 3 peur OJO. ,, ...... , 69 15 i tente Lea ôhli at anal msrt, de 8a". , 'le vt ga lune i 11 aoot dernier, le provoquais le coucsnra titetion d'an chemin vicinal non remplis les localités où la dotation normale de la aa s He}aan a0rp... POU endos' 0 ü avec puma de 1 fr, 50 cent. die consels 6nérauz des dé arts t a'é1é hie rh6e. e P d le réseau à tel antre chemin désor- vw,nalité permettrait d'ezécuter les ira sol"Htala-U, s d.liare. - -a t Rr'p P peur l'achèvement des chemine . aie délassé Ja me borao va sans sacrifice extraordinaire. . eo Dena Tu 5p .100 a Mad d, 6 octobre, soir. Lee conseil. généraux out répandu à cet ci cette ctrconencla qui ne se ee produira ira u- autre catégorie de communes sa r . as, Crédit foncier d Autriche nn .0 Madrid, 6 octobre. Les désordres d'Ante4aéra ont été ré- ,,riel avec an empressement dan 1 q et amtaemblablemevt qu'- titre tout a fait composera de celles qui ne pourront povr- OBLIC:ATIONS, La2°°te.été définitivement ueoetitnée rouer ne nouvelle prunes de lien xeeptieanel. Sana exclure cette éventen- orr àla dépense qu'en .tant, ivdépen- a Iea lité, j'appelle votre attention cette vous de- entament des trois jourrnées de prestation hier. s primés' que Pays 'mite O. Ponci>re SW t. 00 ., srz on Gazelle publie la protestation de la Lea gGnéraux Dolce Ut Pierrard sont pmtmce ep e tracre à l'exécution sas >n - f0. 4 01 1 La attendus jeddl. de cette entreprlae. La faveur avec la- !urez appeler celle des conseils municipaux i et des o Inutimes établie par la loi d. a imes ace us autorisés mm an ronc. 5Qi i t p 1863' ers on reine prtcédée de ces route : Les tror 'a feront leur entrée jeudi. quelle ils avaient accueilli le prcjet ne 'sur Ix uéceasdé impérieuse, pour abmtm à 1830, les 3 cent ueulcs z a s ne. e Ioohella n adreeaé bu manifeste anx L'acceutatnm de M, OlozaB° cet ton- e est pas démentie lorsqûi sisal agi d'en la réaliaatie du pregramme, d'en arrêter par l'article 3 de la loi du '14ajuillet 1867. t;i5 do P;vis 4 nl°. i a lispagnaI la 7unto ne le quadnfie paa. jours probléatigeque. est arrivé "Pli, Pénétrés de cette cun- f. le plan dés le début et den poursuivra Bmn que centimes aient ou earao- fout paye, ,F Ceo n La Nation a jugé eouverxinement lue vti à Liebanve, notion quels eenstructim an réseau de la avec preuéeéeaeee l'application. A. sur- tére facultatif,' on peut s demander et un Le comte Gie Charente. 3 P.ur rial, 00 a sites de la Ruine ;elle jus". tee a- netita rlcinalité u mpeneera des charges " Iris les modifications qni, dans des cas ! I spécialité ne les affecte pas, par ve 11, 3 faon - .j est ie P 1°dn' ppeme° art rares, avance et au même titre n='ouvres pour t odes n ro ic dévale t uq car P of ta é pa de d la loi de 183G, à l'achevemeut des f ]in jeun,al intitulé l'Cmmm !b que, virt ose b e eggLneur, ment néwaéai,. neiraient seront devenir réclamées les A d ces 3 pour flan . j v mal.' éloigné t 1 ch mms eicinanx, et ai les Commanes que ortavrs e im dia l i sa L 3 d él p n us o uo nea ai p p 1 téu .àc .dans un d v. ,C, t de tire. rte mrt ae..\/ d y p Itro l'Marché de 6 octobre me réserve de ruas donnera moment r lent terminer les chemina c 4 tout à Falt ezce tonnelle les autres n p r omp a 2 3 100. e Antre Uépéehé. b b®tterara, 74)75 P ton des instructions e éeiales. dans le réseau subventi onné au moyen de ont a es et oppor p onté ran d mal h- d t é 0 n g a la 1 ! tll0 ys g 5 eiuv s- U ans ces 3 centimes, et ur ça . 0 D'Il 't LOI. P r e, 6 octobre, loi,. consd érahle; q rell uexrorv nos néeervaES anx q Pn° r e r on, gemrmt de les voter, t fondées à n v -R I - 3 0:0 L'A t nul publie un télég . Marseille, 6 octobre, soir, montrée mur larges, ' et presque commuez' tin, er à la mbvmtion. as ' h lem l e t 'h t d M i id cari t que lo g t.u!oura que nia ertuaton 1 01ra da nic,paux aient paC'est me t 1 ne ci t' t M t: H p Bg, I t 1 bl. nyp) en m t provisoire et décidé ' prononcer arch6 de ce jour. dé artement leur t d ait de é lus. Po d les 6-n'aide que' Ion qu'i ppar leu i en S 1 ff. - ut des enfants lades r Bl6a îlien s lues h Idem i, tp e ati e d'apprécié 1me e est ,mea qu'ils Qaa de trancher, pbsgne la répartrtiou de n -¢ Obl Ou menas emre d h b ' 10 ` oit Erra aite, au p vention n i car., v su h L Pennés. Arriva, 16,100 c arges. cru dvolé env:aager la péridde dd dla d- t à c ée , il f t q 1 a (1 id. attendn. le piolet de uppress, on ae0ou ense. 9e. 11 19 d.gt6, T+- uu décret dêlibê 0 1 I b qni sera soumis à 1 aeaem- I I snobe, 128112. e f 114, tout eatn6ra et armt créé des roesou c avec prédroiov les dép s.' inx m oc.- es !. .1061 lia mes Ixfib u nées o é auront à pourvoir. Ce dépt se r p ° d élag r t,én etéra ab _covd degré , p ar le an é. constira ante. Marrai opob, 1281124, fr. 35 75. ue ^onr es."", a 1NG5 Varna, 1271123, à fr. crucE 32. q oei OI 1 1 ,sur aide t s ! Cntona : pour le procin zercnce, on peut ffi er t : 1 a ce.e d h ! s pr bF. Lorngp it y aura tien de IObI Nord ispagne a La Pi are ap rend de source cer taine ,lés à présent q.'en ce qui coi 1 J tés; 2 e. l'r ntrenen, croissant p d t la p .céder à ces opératone, ]o Gouvesne- g P 1'areoua, à fr. 39. d t Ieal'E é é do da conatructdeshun mea ch rit et les assemblées départements rore ea Otl ne trio. dn Rossra viendra passer i ..all p r ame.il, pr vrslone p prêté. tout cas, 1 inter à s. ne pt d t dppp dam t 6C tés: de la loi. Je ne dente nie%icarnr, u lit la CHRONIQUE. LUCALU, Lee déportements sont donc ré o d 3 L ctl e ta dé à recueillie le set- pans 0, m-- I ni e Pour 100. i disent qu Au- p p J love sues rune lis conseils seraumi'l f0 ..,mus, et uvelle aee ; La Pranec et n vo dar vice i l 1 t y ue permettront de fournir, à cet rune la loi de ]SG7 Ieur a ou rit aux comma à p N.. A t ic66 5041 ro p ne ou no r M1 1 ég rd auz c s Is municlPauz toue lao gin est eu si compléta harmonie avec les s so 0 non de Cmetantiuople Les travaux du Chemin de fer qui dcit r vo on U, ce al :ol.,q. i t I a relier Auch à'Tovlouse sont déjà commen cha. Vous sur La Prance signalant la retour de M 130 crie, et eo continuent aveu activité dans préfet, à leur en faciliter I esémt.n en regemgnements néceaeanes. heeoms de lirnrvra rune none abordo ns 1o- h haut à faire dnéker dru, les ecu- ,le reviendrai tout à l'heure sur les dis- lourd'hni : ils se procureront nias, o HOU2SE DE PARIS .u G octoenu 1868. Aa Gemprnnl. S'meare air. carre de !wr loir. pair. a OIU G9 20 69 30 Cr2 010,.,,. 110 20 100 20 Banque. .... 3100 00 3105 00 A verra.. i 010 1- o,., 69 12 -der. cobra. 69 12 IWYlen 6 OJO. 2 40 mob- ,. 2 71 25 m. Eapag.. 270 00 Càeassne de fe, 69 12 69 15 52 32 270 00 270 (0 Ortéane,lsx. coup. 888 75 907 50 Nord français.. 1180 00 )177 50 Lyon,..,,,.. 965 00 966 25 es n Plbrac (au bas da coteau, eut es , ers efforts a une maure plue digne d° gouver- , 18 Courber); amnt, pl., féconds pair prospérité de la profonde in6galité qui eziste entre ( être votés ar les conseils mmimpanx I le --Des ev d'au le ôoncouee des l imposés; Ja vais essayer de lac dipxrtementa rit, vec Pua (des guevin) errant Lé 13m. 13m. ays l ' les . , p es un a- d é m le- ' entre e ' ce qui u- que, d'un autre côté, ils n'ont qu guide. Merinvlell ; .iI m lifter leur m.v'r et et la la r vôtre, en vaus C t éme l parC tmei t être , se t 0 Autre dépéahe. Paris, 7 octobre. Madrid, 6 octobre, Le génbral Prim, retenu à Saragoeso par la population, arrivera demain. Dos oommissions preparmd dos aria de triomphe. Pluaieure provinces réclament contre la e 1 t'r facultatif et ne pour,. a Litn'e elle ; adressant quelques explicationsonr lbxé- e Liale-on-Jourdnin. codon des articles de la loi de 11 juillet eeroe ee dé ,aitements, est d'une vérité 1 racésd'offioe Ma circulaire a aoùt18G Aublot 1868, en ce qui concerne les comma-'., Plus frappante encore k ce gleurr rtuationvous a déjà signal0 ces différences; je me Auch, ose. i e, et, rive n que z les boum à vous les rappeler. camom r re l Le Ministère des finances vient de pu- blier l'avis solvant c..ocrant l'emprunt de 429 millions: e mmpo finanmére peste une traisièmo categonc de com- LaJoug n - Eu d eicat.ons Commua a leur adresser, ris, celles t terminer i ne Le longueur t uyatitrtquer attribuée à ep En dehors des commuuce qui ont ter.1 dru ana tenu cheminssripris dans le ko. votre députcmeu ayant été réglée parue miuc osera voies'iomaine et qui sent mats réseau subventionné, mème eu ojoutact arrêté ministériel, et la nomenclature des lommusemmt on bien petitnombre, le ça Feullletou du JOUR\,1L DE T011,0USE. 1 - Il chante à plein gosier, pour vo almée la premiers de mes quatre on il e.:h elle les kaïlcs les plus tue, les us ra I é ffoa les mieux our tieaue Iee plus soyma, es to 'il tilt été nécessaire é LE bisai, sana doute. - Je lui ferai chanter demainun autre air dont il ne se doute pas, grommela le elle 'Il T DE Cili1u tluand rl est las de chanter, il .De Q ce et rl noce lnlmie. 1 u11p{ 1 is l 1 1( Im-aIn'ures et menaces, '. lui ferai payer J J 7, 'Voir la Journal de Puniras, de 6 ; nn acentiCm. lu tout avee usure. - Il no l'aura pas volé, conclut le uhaouc, toujours prêt à flatter les inatints auv's dn so maure. A-t-il pris quelque nourriture? de nsnda lo cheik - Aucmm, Sidi, vos ordres n'alLiI-t pas jvsq.n-là. - Tont is, Jette à ce fils de chien quelques os de mouron à ronger, Fais lui lis a- d. l'eau dan une pea de houe. Je a q 'il garde toutes mes folles pour le Après avoir pris congé de l'émir, dont il sapplieo quo,je loi i réservé. Lu cha, narre baisa ha mati droite en gne de v - tafro C s ore ri ne pârd itnutiles 5ifns. vo.- lite, e cheik Sidi-1lxrrihi ,.n nvi nt Ien- va - imena- N Lament ocre son doucir. c p-h,t l'e.IG Les Hadjoutce, pleine d'mthovsiaemo, Ne réponds à amours de es quesg se dis iersairnl en tous sens et allaient tiers; soie muet avec lui; q. 'il ignore me répaurÎro n loin In grande n velte. ntee,tions, il en soutl3,ra double : lot- O° arrêtait in .licite à choque pas pou tente do chàtin,eut est lits- creclie que le lot demander plu. On détail les ordres et c6ntiment même. 1. intentions do maltrc. Le chnou- sortit pour ezéset,r les or- Mets fi sri contentait de rdpondro.: dies - du Ah! cheik, éécria celui-ci, dès qu'il fut -Guerre à 1d . L'é, s e ahandCnne la Dlitid je.. Pillez. brillez, rave.- ! l,rm maa vais donc ec an0co u. La g à e gel, mnesacrez; Hommes et bi¢us sont f haine or m n ur. La guerre votre proie. salita livre molles franraieà aune merci; fi al r deus clonn ur nv o t Sou premier son, en entrant deux sa dl arc, fut de réclamer sou chauve. Ce dernier aeu.rut avec l'obéissanoo '.ruile que irons loi Connaissons. - Mon pcieonnior? demanda Sidr-liar- e pp ous-en po pro ne. lie, loutA ri Sidi Ohd cet hmomeh, II il mottet nt plus que 1. moitié de Um il , il renfermé i "0-nets, um gazelle, ma mur choisis entre ribf d'an mn farouche. I toutes, la Irour de m.. paradis! - Il est kvjoure a. fond do silo où je. Il poussa un long soupir : l'ai fait enfermer par votre ordre, - Allahl reprit il, pourquoi l'as-tu n pas - Bien. créée ai bulle, on pouryvoi 0 l'as-tu 1)eux do nes hommes veillent cor fait nitre dans nos tribus? Pour quel- lui et m'en répondent cor leur tête, que' pièces d'or, pour quelques caillou., - Et que fait-il là-dedans'? j je l'aurais obtenue de So. père, et je l'au- p ss sans u q pou e , cela de répandra des Bots de sang. ! brodées, les bijoux les plus rares ! A elie Il parcourait la chambre à P. précipités, ma belle jurai tetabl'a eh'asssi donnceamo ma a mm s, si se grtation fébrile p é p (1 porto, .prés tout 1 g 5 1 1 m bc* ég o, ma sainte. murmara,t fl I que m r tmpo te le la plus dévouée, mes vite le pins culte des rouneisou le culte d'Allah ! Je ne empressés. On dit que les talismans 1111 noie qu'Ello; d'elle seule occupe ma pansée. Î saint marshoot Mohamed-benMokreni Elle v.et mieux faille moi qae Masrora, !ouss.nt d'un souverain pouvoir. J'irai oe Irons prouver le saint marabout Maloi med-bcn- 'Diemcen, lrorc m 1 Alger môme, av houtigves, tours marchanda et mure étoffes I Mol ,id ,j'invoquerai son aide; je payerai embaumées. Elle vaat mieux pl., moi rune , aa poidsi de l'or un de ses talismans, car je ' elle m mille chouans, la fortune d'une tribu. Elle ! ax qu ' vaut rnieuz pou nul qu toutes nos tribus amble avec leurs cheiks, leurs califes et leur sultan. Il recruta, poie, crispant lespoings dans nos explosion de oolére : - Oh! misère ! s'écria-t-il : avoir vu ses chevaux noirs, plus fins que la soin, nove- lppper ace épaules comme d'une nuée; dirait des os,ansdc "rit' il per les fines ,t l âesG ,a dans du corail rouge ; o front plus blanc que la neige qui tombe sur l'Atlas; sa joua aussi tendre quo le fruit qui mfe,t sur le pêcher; et ses cils noirs et ses z plus terribles aù om que le fusil que toit parler lanudr.; vo 1 u tout col. ; être r ,lie, être noble avoir être i belle tout poissant, et se dira :elle me I' elle me profùre vil roumi I All h !malheur à lot; m malheur aussi à elle si, une fois mx priemsiniôre, elle per- s6vdre dans son immitié ! Il poussa u° mgssemmrt de tigre en lu- r mes. P admernsuut par degrés. - Allah est grand, soupira `t il; Allah cet bon pour u,e fidèles serv tours, Elle oubliera cet homme; lui mort, elle lbu- hu ras. I: esprit de la femme cet un sable vent : les mprei°tas qu'y marque le pied, u° coup de veut les efface. Je lacem- l'environne- blerai te tant de présents, je rai de tout de respmt,. te nGuénatton et de tendresse, qu'elle (noirs psut.01ee par fran- chir la distance qui sépara sa rata de la Il avait presque, un sanglot dans la voix n Prononcent cas derniers iots; mais bientôt l'mahnct cmel reprit le dessus. - Oui, coi, s'écria-t-il doue soin terri- ble ; qû elle masse I Il n'y aura pour elle que deux stternativve, ni épouser ou mou- rir ' Ciel écrit ! Tends que le tigre rugissait en haut, le lion prisonnier gémisexit en bas. An fond du .silo noir qui loi servait de cachot, Sucéphore Balendrin, le Tueur de ohmc.ls, répétait 0. soupirant - Je vais mourir loin d'elle, et nul e on o loi dira ll corne m ferra ait tee que eet d ede- cmeut ! Je vais mourir, et pas même eou'ad .ne parole, pas même OU , pas mémo .n regard de cet auge doucira tee i agonie. B61as! ee ao fendra du m ulnment, ne fùt-ca ya'uee minute, du pp re chasseur qui, du fond de sou iii- ' lament et de sou obscurité, osa lever sa pansée, jusqu'à elle, si borne, si douce et s belle, comme on lève les yeux vers les étoiles de Dieu ! Un bruit soudain l'interrompit. On soulevait la porte de biauehagas qui fermait 1a priaon- Uer bouffée d'air froid lui fouille le vi- sage. ldn mémo temps une voix rade, celle du chanuo do Sidf-Ilare,bi lai crin - Lros-toi, chic., - Comment le pourrais-je ? répondit le Tueur de chacals qui, m, présence de rappela toute sa placidité. Les cor- des dont m m'as 11-16 comme un vrai saacieeon d'Arles etc coupent bras etjam- bo.. Impossible de rn' soir de remuer à de ire lever, Donc et, plus farte ralsom C l'a.m ie si juste, veux, vairs00 . Allons, vous xutrce'ere,, a aj "ta-t-icanail le en S cli s oUr Alloua, ntà don. Bolides gaillards qui 'uoocrôle empa- gnaient, empvignezmai ce drôle et his- e Le es de.. ena Arabes santérent dans le silo, risque d'écraser le peismr.ier, et le eoulevaut, ils le jetèrent hors du trou, ris plue de filou que s'il se fiât agi d'une bête morte. Nicéphore en sentit meurtri par le ebac, ..il il ue poussa pas uue plainte. Il conseutart à mourir puisque telle était la destinée et que tout moyen d'é- chapper à la mort let était ravi' mais il culait de moi.' périr eu brave et rester ferme devant sec bourres.. jusqu'à la demiére heure, Le Tueur de chacals s'es vlot rouler 0-- pieds de Sidi-llauribi. dente, m Le cheik, armé ,jusqu'aux en- toit son mrillooe barrai d'air. Uue cru- ruine d'Iladjoutes, également tout héris- sée d'armes, également à cheval, l'escor- taient, prêts à fendra l'espace et à faire t da maître. ler la poudre cornu ma Culot-ni fit par signe av chaos. En ou clin-d'mil Nieépàueo Baicetnin fut hissé et ficelé sur un cheval .eue selle, qu'un ses Arabes tenait en laisse, Cocr fait, le obeik cria - En avant ! La petite troupe, enveloppant Sidi-Dar- ribi et Nicéphorn Balendrin, Pla comme n trait dons la direction de l'orient. Ira hommes et les eheees ea clarté douce ; 1. silence était profond, rira n'en troo- btait la scleun8é, 'mon le galop cadenc6 des chevaux, qui effleuraient à peine lo sol. 0. marcha ainsi l'espace d'une domi- heure. finis sur un nou vel ordre de Sidr llar- ribi, les chevaux lancés à toute bride, rrétéecut court, comma par enchonte- ma t. Oa avait atteint 1, bord de la Chiffes cest d'dire l'eatrômc limite du royaume arabe, l'autre rive étant terre deunalse. - C'est ici le heu de supplice, dit le cheik, Par un reffimoommt Ion de cruauté, sol. Harribi voulait qae son ennemi ezpieàt en de son paye, c'ea4à'diee à deux pas de la liberté. Le charme et ses aides mireut pied à terre. Les cavaliers ambre formèrent le cer- cla On es trouvait sous aie sorte de mame- loi ou pdvtdt de coteau dont 1. pente aine. fléchissait vers lo fleuve. Le sol était aride; il n'y croissait ni ai- buste ut brin d'herbe. 0,, out dit un coin du Sahara égaré dans le 'Tell. Les chevaux enfo. aient à demi doué 0ris poussière fine et noirâtre resseroblan4 pesequo à de 1. cendre. - Creusez lu sable, ordonna le cheik. Et tandis que deux Arabes codeutaient dans le sol mouvant none ezexvatfon -de de quelques pieds de profondeur, assea emhlable à un puisa, le chaouc dépouil. lait Nicéphore de ses vêtements. h ilc La miel! demandé la Un des servfteure décrocha l la selle d'un des chevaux une autre de cuir dénote mrément gonflée par le produit savoureux toc xhoillce. La nuit était tiède et parfumée ; la brise qui soufflait de oued mêlait de fruit hee ; - Ru o° on frotte le roumi de la têté dan m or marines senteurs balsu au pieds, Sidi-Barribi . miquea des pieutes ; la la loue versait sur j Nieéphora Belendrin, qui suivait 4,11a Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

NE,F. N° 278 TO[ILOtISE - images.jdt.bibliotheque.toulouse.frimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1868/B315556101_JOUTOU_1868_10_07.pdf · 6i,ue NE,F.-N° 278 nedeth à l'ans, dit

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Page 1: NE,F. N° 278 TO[ILOtISE - images.jdt.bibliotheque.toulouse.frimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1868/B315556101_JOUTOU_1868_10_07.pdf · 6i,ue NE,F.-N° 278 nedeth à l'ans, dit

6i,ue NE,F. - N° 278

nedeth à l'ans, dit qu il v est pie encore le dé artement d Gra. er p à pren ressource qui leur est indispensable, et rist de lié de sa cevtrGa a Ber- 1

p 'cl'c mv icipaux 1ntel,g % ,e claire et pcomplète

ici des dispositions de la lai e.t d-s r. cipaua pour assurer l'entretien des ° as récommandarmt Par es vote à la seiltlin. pour e¢ chemin avantages qu'elle offre papal ations. chemina qui vont être construits. itvd- du Gouvernement et dus conseils

Toulouse. -Saint-Cyprien (extra-mu-Le Teinpa mentionne le brait quo lv ï ris), immédiatement et à gauche du bu-

Pour y réussi" la colla oration la plue cxn:arrorv ne, xass onncès u' n i-- génér.vx.pas de une,

des

Corps IGgislatif serait convoqué ce u d'onotgau aetiv^a

du ce rcivil, lest midi'caca. La note présentée à l'Rmperoar Par mou ( Vo°s ne perdrez monsieurle préfet, qu'a la dbF6rence des centimes

verobre. - ° `ce.

p bgera meut île auront consacré leurs a Prédéceasenr eiroulait les difgevltps qui se neColomfero-Lae la.aa;

d1

i.préeenteraievt dans la pratique par aine

Italnteo9 21 maipeuonl lb 36

MERCREDI 7 OCTOBRE i 568,

TO[ILOtISE

BURfRALX RUE SAINT-ROME, 41t.

POLITIQU T LITTÉ R

I-

TARIFS DES) ANNONCES

ABONNEMENTS L Anno ces 1 1 gne ................. 0 fr. c

aT )ULOUSE : Un an, 40 f,,; 6 mois, 2l fr.; 3 mom, 11(fr,on 1"BC021 les CLB01271C111 C71tS Cl les annonces : ' Récla ]a g.. ................. 0 fr,

5030

c

8auta-Caroa.e TOCLOUSE, bar,... dul'J....a,, (meriSmnt-Romo, 44, - A Paris, chez M. Davns, 3, rue Jean-Jac yvee- gne 1 fr, 00 c.

6 fr.; 3 moie,,14 Pr.Faite divers, lp h

Dé etrmwle Un an, 50 fr.; 6 mois, 2A

! 1 R lau.aanar; LeerrirBuvc,aa Ut C--P", 8 lace le 'a Bon,,. Pl>NTarv 22 d Trévise,

Toulouse, Imp. Ph. Montaubi.p r St.Roue. 1.-,.

1 'neplace de '

7RANULR: Les frais supplément ree de poste en ana, acide correspondante peur Iea

le plan favorable est ca d ù ,l am"nt+

- - -- - ----- -- '-.ans le réseau ubvev- et

P Oil tltie , OC(ObPP.. ütfll ' 587 50 587 50 j nomination de maréchal Serran. an Pou Les porteurs de é cép és de face ch mine Ganpn+_ -:voue 'avis pour assurer l'exécution, en dix ami,

tutnohiens... 555 0 65fi vie eirprémo sen un accord préalable qbi ne Iee ont paa e car échangés contre normé ayant été fixée - vous ch-mms compris dxrs le réseau d'y offre

I.ombart ... 907 50 406 200

avec la majorité.e

des mrti i s rit invités à le faire dans de la immm,ssmu départemanna.., ter les rosunvrcea créées par là j ol dos 21te plus bref délai. û urez plus, monsieur le préfet, lceqû décr,r ne. e46 déduction faite des prélév°-

,fr017RSR DE PARIS mltut...... 000 00 675 0 Autre dépé.ehe. On rappelle xui souscripteurs que ces tifier aux communes intéressées mal e.,- - ces ressources au roenta opérés

or

nu 5 ocroaes.neier, .... 417 50 1417 0 titrese ne peuvent leur

G

être remis que cun- 'toua que vou0 mica rises. AParis, 1 octobre. que dela grande et de le LLmocen, vicee.rté-

ti+rs.a. ee.+"tmaeaws. ee +.o+ se. POtIRHE DE WOWUSR On lit deus leBulletin

du :Ifunit'.tre l versement da francs 511 ce, gea Il y a lieu de remarquer seulement

r+nre+taa La Jette u éme, élue àMadrid,:

estformant le complémentnt é à 3 de a- ! Iee commissions départementales out été la vérité, s commu Pe auraient

"'éuuiob, compter sur les subveutUms de l'État et

on 6 .cimes. a Pr utie. Des intérêts de retard à 5 0'0 sont autorisées, lors de leur dernière r léercomprendre, dans le rseau, deschami.e du département, qui doivent svP

âleet---a comprnz. définitivement ponatituée nomme suit: lus sur cette somma depuis le 29 sep. a é

'l.d

d ier n'avait pas m- la pauvreté de la caisse o onclassement régut l ete ssi,dansMM St Piésidents bru-d en_

3 010.......... 69 20,erran. erm, pr- tenue.ACTIONS, 32l 50 rairas; - cors été péré. Voue devrez inviter les ol'esas no.M

Ob. Midi ...... adminietrahons municipales à procéder à e -Jappât de laeubvvtion fait défautVotawe. Dernier stésident effectiflA

gorrepp90621 ffqui iedie rom.tanr,' Art. Orléans..,-,.,.,--.,ectuer

o.n rs Charentne immun (1863) . .. 305 50 Rlbéro , Veg. Ut Armijo, iDU-prési La Ministre de l'intérieur a adreué anx {ormes ordinaires.a emvant les lacurdage des

trop bienie en cmampris W.,e

dnts.hui 4°°sotque

lam;m

le mai"

are nul Rm. ' ' sac >s A. 45 octobre. préfets la cirmlaire avivante, relative à Aines que j'ai eu IoDessin. de le dire l'a cvuecilsnoter

municipauxles

uni ressourcipauxces ne

s,^

s>r nn .cari na

r

ro 1 italien 52 30 , "ré'tai ., en ce qui cm eeme les cam- dans le discussion da la loi, il Pourra ar- pas de e

arasa Comp. p.rieie.nne dg hax. as Espagnol ............. 268 75 {Lété imÎioû

van sol Obélgaat berce üünat de la loi du 11 juillet 1868, sur inca dans le coure de la période d'ezécu- à l oinseur, di

destipoaitimmuler

leureus

sels.soie, m`an-

-oci pouri

gis dee lac chemibauï: rwa vnComp. r .. 906 54

Orléans..........Camp été ouverte trier.

ine vic tic., que des besmns noavesuz résultant,ble que

. Il savart ou-

A. 31 octobre Plument regrettale réseau vicinal. genar,tmnaadamequs s'a , j Parie, le 22 septembre 18118. ar ezem le, de l'ouverture d'une "ilanses. il

si étaient négociée. .Monsieur le préfet, par ma circulaire da ferrée ou dune voire, réclament la sn lie- présentât des lacunes, précisément d

son aslsusageriai imp. serv Il x a. de affluence de eoueerip- °

.

mari,

>su n 3 peur OJO. ,, ...... , 69 15 i tente Lea ôhli atanal msrt, de 8a". , 'le vt ga lune i 11 aoot dernier, le provoquais le coucsnra titetion d'an chemin vicinal non remplis les localités où la dotation normale de laaa s He}aan a0rp... POU endos' 0 ü avec puma de 1 fr, 50 cent. die consels 6nérauz des dé arts t

a'é1é hie rh6e. e P d le réseau à tel antre chemin désor- vw,nalité permettrait d'ezécuter les ira

sol"Htala-U, s d.liare. - -a t Rr'p P peur l'achèvement des chemine . aie délassé Ja me borao va sans sacrifice extraordinaire.

. eo Dena Tu 5p .100 a Mad d, 6 octobre, soir. Lee conseil. généraux out répandu à cet ci cette ctrconencla qui neseee produiraira u- autre catégorie de communes sa

r . as, Crédit foncier d Autriche nn .0 Madrid, 6 octobre. Les désordres d'Ante4aéra ont été ré- ,,riel avec an empressement dan 1 q et amtaemblablemevt qu'- titre tout a fait composera de celles qui ne pourront povr-

OBLIC:ATIONS, La2°°te.été définitivement ueoetitnée rouer ne nouvelle prunes de lien xeeptieanel. Sana exclure cette éventen- orr àla dépense qu'en .tant, ivdépen-a Iea lité, j'appelle votre attentioncette vous de- entament des trois jourrnées de prestation

hier. sprimés' que Pays'mite O. Ponci>re SW t. 00 ., srz on Gazelle publie la protestation de la

Lea gGnéraux Dolce Ut Pierrard sont pmtmce ep e tracre à l'exécution

sas >n - f0. 4 01 1La attendus jeddl. de cette entreprlae. La faveur avec la- !urez appeler celle des conseils municipaux i et des o Inutimes établie par la loi d.

a

imes ace us autorisésmm an ronc. 5Qi i t p 1863' ers on reine prtcédée de ces route : Les tror 'a feront leur entrée jeudi. quelle ils avaient accueilli le prcjet ne 'sur Ix uéceasdé impérieuse, pour abmtm à 1830, les 3 cent

ueulcs z a s ne. e Ioohella n adreeaé bu manifeste anx L'acceutatnm de M, OlozaB° cet ton- e est pas démentie lorsqûi sisal agi d'en la réaliaatie du pregramme, d'en arrêter par l'article 3 de la loi du '14ajuillet 1867.

t;i5 do P;vis 4 nl°. i a lispagnaI la 7unto ne le quadnfie paa. jours probléatigeque.est arrivé

"Pli, Pénétrés de cette cun- f. le plan dés le début et den poursuivra Bmn que centimes aient ou earao-

fout paye, ,F Ceo n La Nation a jugé eouverxinement lue vti à Liebanve, notion quels eenstructim an réseau de la avec preuéeéeaeee l'application. A. sur- tére facultatif,' on peut s demander et

unLe comte Gie

Charente. 3 P.ur rial,00

a sites de la Ruine ;elle jus". tee a- netita rlcinalité u mpeneera des charges " Iris les modifications qni, dans des cas ! I spécialité ne les affecte pas, parve 11, 3 faon - .j est ie

P1°dn' ppeme° art rares, avance et au même titre n='ouvres

pour t odes n ro ic dévale tuq

car

P

of ta é pade

d la loi de 183G, à l'achevemeut desf ]in jeun,al intitulé l'Cmmm !b que, virt ose b e eggLneur, ment néwaéai,.

neiraientseront

devenirréclamées

les

A d ces 3 pour flan . jv mal.' éloigné t 1 ch mms eicinanx, et ai les Commanes queortavrse imdia li saL 3 d élpn us ouolé nea ai pp 1 téu .àc .dans un d

v.,C, t de tire. rte mrt ae..\/d y p Itro l'Marché de 6 octobre me réserve de ruas donnera moment r lent terminer les chemina c

4 tout à Falt ezce tonnelle les autres n p r omp a2 3 100. e Antre Uépéehé. b b®tterara, 74)75 P

ton des instructions e éeiales. dans le réseau subventi onné au moyen deont a es et oppor pontérand mal h-d t é0 n gala 1 ! tll0 ys g5

eiuv

s- U ansces 3 centimes, et ur ça

. 0 D'Il 't LOI. P r e, 6 octobre, loi,. consd érahle; q rell uexrorv nos néeervaES anx q Pn°r er

on,gemrmt de les voter, t fondées à

n v -R I - 3 0:0 L'A t nul publie un télég . Marseille, 6 octobre, soir, montrée mur larges, ' et presque commuez' tin, er à la mbvmtion.as ' h lem l e t 'h t d M i id cari t que lo g t.u!oura que nia ertuaton 1 01ra da nic,paux aient paC'est me t 1 ne ci t' tM.'it: H p Bg, I t 1 bl. nyp) en m t provisoire et décidé ' prononcer arch6 de ce jour. dé artement leur t d ait deé foI@l

lus. Po d les 6-n'aide que' Ion qu'i ppar leu

i en S1 ff. - ut des enfants lades r

Bl6a îlien s lues h Idem i, tp e ati e d'apprécié 1me e est ,meaqu'ils Qaa de trancher, pbsgne la répartrtiou de

n-¢ Obl Ou menas emredh b'

10 `oit Erra aite, au pventionn i car.,v

suh L

Pennés. Arriva, 16,100 c arges. cru dvolé env:aager la péridde dd dla d- t à c ée , il f t q 1 a(1

id. attendn. le piolet de uppress, on ae0ouense. 9e. 11 19 d.gt6, T+- uu décret dêlibê

01 I b qni sera soumis à 1 aeaem- I I snobe, 128112. e f 114, tout eatn6ra et armt créé des roesou c avecprédroiov les déps.'

inx

moc.-

es !.

.1061 lia mes Ixfibu nées o é auront à pourvoir. Ce dépt se r p ° d élagr t,én etéra ab _covd degré , p ar leané.

constira

ante. Marrai opob, 1281124, fr. 35 75.ue ^onr

es."",a 1NG5 Varna, 1271123, à fr. crucE32. q oeiOI 1 1 ,sur aide t s ! Cntona : pour le procin zercnce, on peut ffi er t : 1 a ce.e d h ! s pr bF. Lorngp it y aura tien de

IObI Nord ispagne a La Pi are ap rend de source cer taine,lés à présent q.'en ce qui coi 1 J tés; 2 e. l'r ntrenen, croissant p

d t la p .céder à ces opératone, ]o Gouvesne-

g P 1'areoua, à fr. 39.d dé t Ieal'E é é do da conatructdeshun mea ch rit et les assemblées départements

roreea

Otlne

trio. dn Rossra viendra passer i ..all p r ame.il, pr vrslone p prêté.tout cas,1

inter

à s.ne

ptd t dppp dam t 6C tés: de la loi. Je ne dentenie%icarnr,

u

lit la CHRONIQUE. LUCALU, Lee déportements sont donc ré o d 3 L ctl e ta dé à recueillie le set-pans 0,

m--I ni e Pour 100.

i disent qu Au- p p J love suesrune lis conseils seraumi'l

f 0..,mus, et

uvelleaee ; La Pranec et n vo darvice

i l 1 t y ue permettront de fournir, à cet rune la loi de ]SG7 Ieur a ourit aux comma à pN.. A t ic66 5041 ro p ne ou norM1

1 ég rd auz c s Is municlPauz toue lao gin est eu si compléta harmonie avec less so 0

non de Cmetantiuople Les travaux du Chemin de fer qui dcit rvo

onU, ceal :ol.,q. i t I a relier Auch à'Tovlouse sont déjà commen cha. Vous surLa Prance signalant la retour de M 130 crie, et eo continuent aveu activité dans

préfet, à leur en faciliter I esémt.n en regemgnements néceaeanes. heeoms de lirnrvra rune none abordo ns 1o-

h haut à faire dnéker dru, les ecu- ,le reviendrai tout à l'heure sur les dis- lourd'hni : ils se procureront nias, o

HOU2SE DE PARIS.u G octoenu 1868.

Aa Gemprnnl.S'meare air. carre de !wr loir. pair.a OIU G9 20 69 30

Cr2 010,.,,. 110 20 100 20Banque. .... 3100 00 3105 00

A verra..

i 010 1- o,., 69 12-der. cobra. 69 12IWYlen 6 OJO. 2 40

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Càeassne de fe,

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Ortéane,lsx. coup. 888 75 907 50Nord français.. 1180 00 )177 50Lyon,..,,,.. 965 00 966 25

es nPlbrac (au bas da coteau, eut es ,ers efforts a une maure plue digne d° gouver- , 18Courber); amnt, pl., féconds pair prospérité

de la profonde in6galité qui eziste entre (être votés ar les conseils mmimpanx

I le--Des

ev d'aule ôoncouee des l imposés;Ja vais essayer de lac dipxrtementa rit,

vec Pua(des guevin)errant Lé13m.13m. ays l 'les

.,, p es un a-d é m le-'

entree' ce qui u- que, d'un autre côté, ils n'ont quguide. Merinvlell ;

.iI

m lifter leurm.v'r et

etlala

rvôtre, en vaus C t

émel

parC

tmeit

être ,set 0

Autre dépéahe.Paris, 7 octobre.

Madrid,

6

octobre,Le génbral Prim, retenu à Saragoeso

par la population, arrivera demain.Dos oommissions preparmd dos aria de

triomphe.Pluaieure provinces réclament contre la

e 1 t'r facultatif et ne pour,. aLitn'e elle ; adressant quelques explicationsonr lbxé- e

Liale-on-Jourdnin. codon des articles de la loi de 11 juillet eeroe ee dé ,aitements, est d'une vérité 1 racésd'offioeMa circulaire a aoùt18G

Aublot 1868, en ce qui concerne les comma-'., Plus frappante encore k ce gleurr rtuationvous a déjà signal0 ces différences; je meAuch, ose. i

e, et, rive n quez les boum à vous les rappeler.

camom

r rel

Le Ministère des finances vient de pu-blier l'avis solvant c..ocrant l'empruntde 429 millions:

e mmpofinanmére peste une traisièmo categonc de com-LaJoug n - Eu deicat.ons Commua a leur adresser,

ris, celles t termineri neLe longueur tuyatitrtquer attribuée à

epEn dehors des commuuce qui ont ter.1

dru ana tenu cheminssripris dans leko.votre députcmeu ayant été réglée parue miuc osera voies'iomaine et qui sent mats réseau subventionné, mème eu ojoutactarrêté ministériel, et la nomenclature des lommusemmt on bien petitnombre, le ça

Feullletou du JOUR\,1L DE T011,0USE. 1 - Il chante à plein gosier, pour vo almée la premiers de mes quatre on il e.:h elle les kaïlcs les plus tue, lesus raI é ffoa les mieuxour tieaue Iee plus soyma, es to'il tilt été nécessaire

é

LE

bisai, sana doute.- Je lui ferai chanter demainun autre

air dont il ne se doute pas, grommela leelle

'Il

TDE Cili1u

tluand rl est las de chanter, il .DeQ ce et rl noce lnlmie.

1u11p{ 1 is

l 1 1( Im-aIn'ures et menaces, '. lui ferai payerJ J

7,

'Voir la Journal de Puniras, de 6 ;

nn acentiCm.

lu tout avee usure.

- Il no l'aura pas volé, conclut leuhaouc, toujours prêt à flatter les inatints

auv's dn so maure.A-t-il pris quelque nourriture? de

nsnda lo cheik- Aucmm, Sidi, vos ordres n'alLiI-t

pas jvsq.n-là.- Tont is, Jette à ce fils de chien

quelques os de mouron à ronger, Fais lui

lisa- d. l'eau dan une pea de houe. Jea q 'il garde toutes mes folles pour le

Après avoir pris congé de l'émir, dont il sapplieo quo,je loi i réservé.Lu cha, narre

baisa ha mati droite en gne de v - tafroCsore

ri ne pârd itnutiles5ifns. vo.-lite, e cheik Sidi-1lxrrihi ,.n nvint Ien-

va- imena-NLament ocre son doucir. c p-h,t l'e.IG

Les Hadjoutce, pleine d'mthovsiaemo, Ne réponds à amours de es quesg

se dis iersairnl en tous sens et allaient tiers; soie muet avec lui;q.

'il ignore me

répaurÎro n loin In grande n velte. ntee,tions, il en soutl3,ra double : lot-O° arrêtait in .licite à choque pas pou tente do chàtin,eut est lits- creclie que le

lot demander plu. On détail les ordres et c6ntiment même.1. intentions do maltrc. Le chnou- sortit pour ezéset,r les or-

Mets fi sri contentait de rdpondro.: dies- duAh!

cheik,éécria celui-ci, dès qu'il fut-Guerre à 1d . L'é, s

eahandCnne la Dlitid je.. Pillez. brillez, rave.- ! l,rm maa vais donc ec an0co u. La g à egel, mnesacrez; Hommes et bi¢us sont f haine or m n ur. La guerre

votre proie. salitalivre molles franraieà

aune merci;fi al r deusclonnur nv otSou premier son, en entrant deux sa

dl arc, fut de réclamer sou chauve.Ce dernier aeu.rut avec l'obéissanoo

'.ruile que irons loi Connaissons.- Mon pcieonnior? demanda Sidr-liar-

e . ppous-en poprone. lie, loutA ri Sidi Ohd cet

hmomeh,IIil

mottet

nt plus que 1. moitié deUmil , il renfermé i

"0-nets, um gazelle, ma mur choisis entre

ribf d'an mn farouche. I toutes, la Irour de m.. paradis!- Il est kvjoure a. fond do silo où je. Il poussa un long soupir :

l'ai fait enfermer par votre ordre, - Allahl reprit il, pourquoi l'as-tun

pas- Bien. créée ai bulle, on pouryvoi 0 l'as-tu

1)eux do nes hommes veillent cor fait nitre dans nos tribus? Pour quel-lui et m'en répondent cor leur tête, que' pièces d'or, pour quelques caillou.,

- Et que fait-il là-dedans'? j je l'aurais obtenue de So. père, et je l'au-

ps s sans uqpou e ,

cela de répandra des Bots de sang. !brodées, les bijoux les plus rares ! A elie

Il parcourait la chambre àP.

précipités, ma belle jurai tetabl'a eh'asssi donnceamomaa mm

s, si segrtation fébrile pé p

(1 porto, .prés tout 1 g 5 1 1 m bc* égo, masainte. murmara,t fl I que

m

r tmpo te le la plus dévouée, mes vite le pins

culte des rouneisou le culte d'Allah ! Je ne empressés. On dit que les talismans 1111noie qu'Ello; d'elle seule occupe ma pansée.

Î

saint marshoot Mohamed-benMokreniElle v.et mieux faille moi qae Masrora, !ouss.nt d'un souverain pouvoir. J'irai

oe Irons prouver le saint maraboutMaloi

med-bcn-'Diemcen, lrorcm 1

Alger môme, avhoutigves, tours marchanda et mure étoffes I Mol ,id ,j'invoquerai son aide; je payeraiembaumées. Elle vaat mieux pl., moi rune , aa

poidsi

de l'or un de ses talismans, car je'elle mmille chouans, la fortune d'une tribu. Elle ! ax qu

'vaut rnieuz pou nul qu toutes nos tribusamble avec leurs cheiks, leurs califes et

leur sultan.Il recruta, poie, crispant lespoings dans

nos explosion de oolére :- Oh! misère ! s'écria-t-il : avoir vu ses

chevaux noirs, plus fins que la soin, nove-lppper ace épaules comme d'une nuée;

dirait desos,ansdc "rit' il perles fines ,t l âesG ,a dans du corail rouge ;

o front plus blanc que la neige quitombe sur l'Atlas; sa joua aussi tendre quole fruit qui mfe,t sur le pêcher; et ses cilsnoirs et ses z plus terribles aù omque le fusil que toit parler lanudr.; vo 1

utout

col. ; être r ,lie, être nobleavoir

êtrei belle tout poissant, et se dira :elle me

I'elle me profùre vil roumi I

All h !malheur à lot; m malheur aussià elle si, une fois mx priemsiniôre, elle per-s6vdre dans son immitié !

Il poussa u° mgssemmrt de tigre en lu-rmes.

P admernsuut par degrés.- Allah est grand, soupira`t il; Allah

cet bon pour u,e fidèles serv tours, Elleoubliera cet homme; lui mort, elle lbu-hu ras. I: esprit de la femme cet un sable

vent : les mprei°tas qu'y marque lepied, u° coup de veut les efface. Je lacem-

l'environne-blerai te tant de présents, jerai de tout de respmt,. te nGuénatton et detendresse, qu'elle (noirs psut.01ee par fran-chir la distance qui sépara sa rata de la

Il avait presque, un sanglot dans la voixn Prononcent cas derniers iots; mais

bientôt l'mahnct cmel reprit le dessus.- Oui, coi, s'écria-t-il doue soin terri-

ble ; qû elle masse I Il n'y aura pour elleque deux stternativve, ni épouser ou mou-rir ' Ciel écrit !

Tends que le tigre rugissait en haut, lelion prisonnier gémisexit en bas.

An fond du .silo noir qui loi servait decachot, Sucéphore Balendrin, le Tueur deohmc.ls, répétait 0.

soupirant

- Je vais mourir loin d'elle, et nule ono loi dira ll

corne m ferra ait teeque eet

dede-

cmeut ! Je vais mourir, et pas mêmeeou'ad.ne parole, pas même OU , pas

mémo .n regard de cet auge doucirateei agonie. B61as! ee ao fendra

dum ulnment, ne fùt-ca ya'uee minute, dupp

re chasseur qui, du fond de sou iii-' lament et de sou obscurité, osa lever sa

pansée, jusqu'à elle, si borne, si douce ets belle, comme on lève les yeux vers lesétoiles de Dieu !

Un bruit soudain l'interrompit.On soulevait la porte de biauehagas qui

fermait 1a priaon-Uer bouffée d'air froid lui fouille le vi-

sage.ldn mémo temps une voix rade, celle

du chanuo do Sidf-Ilare,bi lai crin

- Lros-toi, chic.,

- Comment le pourrais-je ? répondit leTueur de chacals qui, m, présence de

rappela toute sa placidité. Les cor-des dont m m'as 11-16 comme un vraisaacieeon d'Arles etc coupent bras etjam-bo.. Impossible de rn' soir de remuer

à de ire lever, Doncet, plus farte ralsomCl'a.m ie si

juste,veux, vairs00 . Allons,

vous

xutrce'ere,, aaj

"ta-t-icanail

leen S

cli s oUr Alloua,ntà

don. Bolides gaillards qui'uoocrôle

empa-gnaient, empvignezmai ce drôle et his-

eLees

de..ena Arabes santérent dans le silo,

risque d'écraser le peismr.ier, et le

eoulevaut, ils le jetèrent hors du trou,

ris plue de filou que s'il se fiât agi d'unebête morte.

Nicéphore en sentit meurtri par le ebac,..il il ue poussa pas uue plainte.

Il conseutart àmourir

puisque telleétait la destinée et que tout moyen d'é-chapper à la mort let était ravi' mais ilculait de moi.' périr eu brave et rester

ferme devant sec bourres.. jusqu'à lademiére heure,

Le Tueur de chacals s'es vlot rouler 0--pieds de Sidi-llauribi.

dente, mLe cheik, armé ,jusqu'aux en-toit son mrillooe barrai d'air. Uue cru-ruine d'Iladjoutes, également tout héris-sée d'armes, également à cheval, l'escor-taient, prêts à fendra l'espace et à faire

t da maître.ler la poudre cornu maCulot-ni fit

par

signe av chaos.En ou clin-d'mil Nieépàueo Baicetnin

fut hissé et ficelé sur un cheval .eue selle,qu'un ses Arabes tenait en laisse,

Cocr fait, le obeik cria- En avant !La petite troupe, enveloppant Sidi-Dar-

ribi et Nicéphorn Balendrin, Pla commen trait dons la direction de l'orient.

Ira hommes et les eheees ea clarté douce ;1. silence était profond, rira n'en troo-btait la scleun8é, 'mon le galop cadenc6

des chevaux, quieffleuraient

à peine losol.

0. marcha ainsi l'espace d'une domi-heure.

finis sur un nou vel ordre de Sidr llar-ribi, les chevaux lancés à toute bride,

rrétéecut court, comma par enchonte-ma

t.Oa avait atteint 1, bord de la Chiffes

cest d'dire l'eatrômc limite du royaumearabe, l'autre rive étant terre deunalse.

- C'est ici le heu de supplice, dit le

cheik,

Par unreffimoommt

Ion de cruauté, sol.Harribi voulait qae son ennemi ezpieàt en

de son paye, c'ea4à'diee à deux pasde la liberté.

Le charme et ses aides mireut pied àterre.

Les cavaliers ambre formèrent le cer-cla

On es trouvait sous aie sorte de mame-loi ou pdvtdt de coteau dont 1. pente aine.fléchissait vers lo fleuve.

Le sol était aride; il n'y croissait ni ai-buste ut brin d'herbe. 0,, out dit un coindu Sahara égaré dans le 'Tell.

Les chevaux enfo. aient à demi doué0ris poussière fine et noirâtre resseroblan4pesequo à de

1.

cendre.

- Creusez lu sable, ordonna le cheik.Et tandis que deux Arabes codeutaient

dans le sol mouvant none ezexvatfon -dede quelques pieds de profondeur, asseaemhlable à un puisa, le chaouc dépouil.

lait Nicéphore de ses vêtements.h ilcLa miel! demandé laUn

des servfteure décrocha l la selled'un des chevaux une autre de cuir dénotemrément gonflée par le produit savoureuxtoc xhoillce.La nuit était tiède et parfumée ; la brise

qui soufflait de oued mêlait de fruit hee ; - Ru o° on frotte le roumi de la têtédan mormarines senteurs balsu au pieds, Sidi-Barribi .

miquea des pieutes ;lala loue versait sur j Nieéphora Belendrin, qui suivait 4,11a

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aux ressources spéciales de 1 1 de 1836 I11 e do lai de 18'7. L t t d

reont étru

c commua et évidemment 1 j I d . dt 1 tta ion a euel cipa t n00000 sels I p I :. t 1 1 t. 1

met, eu D 1 la y t de t et,

à

f é 1 t l,(article 2, ell pat f ont t b t 1 h p d t ll 0ton Suivant l'rue b- s t l trouvé d t 1,511,51,1 { l'ont-degré de pé et e L r po tance n t 1 , câble, ce qui of ie de puera

,émotion é. e ts.de leurs sen Lacs I

ra fade ,,es 1 éI t d -fib _____d sera tenu compte, a ces c d

i.;d:ïk . AFOII1M DE TOULOUBlttoua les centmos extraorrhua a cté,.'me des ..il soi autmneés parla loi du Directeur, M. D

241 'll=t1867. ne. b I,ay.=ar

Il , te ta", lac ie ics 1 1 0et taraordroaires i q 1- a t ç i +té dus le é bt(l' nt 4&1 o +lbil

a 1 l e x Lun ers n leurs ,,,,it,il g il. n. . e,7.,1 3 von F L

I ldP st), Ilo. H oIt, tresf,tt

on delror6n

td'S

rc. ooroen créé". pur levMidi 0- 7"0 2 .il p.... F.

faible."ils municipaux, tels ,lac journées de e,;,, U»,7,',0 1 - voilé - N N_O.tIrail, fonrmtura de matériaux, ahan faihle.

dons de tarrai e, soaseriptions en argent.Le barddrùtte, avoir ouatine", dePartout o

la'la' habitant, de, ne,rnl ua après

antoncequ do cette nature, quelque Il 1

t pondant sa it b aso

légè"m'htforme que' t 1 ogeuts voyers ,eues d 1 ce Ir.u 22 B

murale épi

do *l'évaluer en t , t la quotité ',a'. oui, hâla dt 22 da I at 6 L estprise en'o dé t

s

1 r 1 (aa par et.Suez humide.

ment, eom, c 11d 'S

crut s p pe Température moyenne de la fournéement dits. Il a paru équitable, coi effet, 'hier 13u, 1.

do tenir grau' compte de ces eacrifioespeu' la ctrenigne lsasle et font ir qui pr rèdr,

oloutaaes dans les c n qui ont A puins,irreleurs 'adieu es e

s

xtrxordmau engagésduos dastres do ,

qui,

alors mb-qu'elles

ont

tc0 'e

o la dpo fai-hué, n'y tro t q

,dot trrop0m-

blc pour serf t et1.

1

be. C'en` sortent t d cessituatlo.. ri I i d d aSollicitude q I I'' IQ tiqué

moi, ne d b 'pales I dos'tnbutmn de b d é l db'rire et l é t 1 neLIS

mmmut'. t b 1 ff .. cc11- q tIraplus d(,Shé,itôII, an oie. o t e tr la, d c tact des Prends a 1, ,ailesd ,,lanoline dit directement,soit par l'mt user I e déportementsq m coudront a,,, de cette faculté,

ta n a damna )

14. le général comte de Goyuur séna-teeu, c m andant le or corps d'armée,rentré Candi soir do ll,arrita, passer. de

di, à hua heures du matin, surI sillé'll Louis Napoléon, la revue desinsole, d

Ingmnson do 'l'eulones, et

distribue,.ides déceratious et médeilireaucordees pur l'Empereur.

àl le général de Lartig sp.ut..3_ é l d tir, est arrivé hisr à fou ousu,il

lit dansa',

u do Midi

Un assure dit J -and, que des cou-r 0 militaires très itéressantes sontfaille h

-'l 'o'semaine eu ministère de la

g erre, sous la présidence du général dedivision direct ur de dépit.

U éieires'état mnj f .,t instruiteson

-t h g g d t t des I f ,.ai-

tacue rpé ' I t s'sa iuq ittera, dit on,

grand talent.Ilparait quo, jusqu'i présent, cas eau-

férrocs ont porté aur Ie, invertie. .ce-vollos qui peuvent huit. sur l'art de la

re. Ainsi,l'emploi deer

lavoie

ferréecomlie agent -advint, celui dI, trac s-

on par le fil éleetriquo, et an si leballon captif pour les ,.ou issances!,,,a de portée de l'ennemi, sont des sujetstraités de préférenee,j.sgn'à c ment,dans lev eonférences du il'pdt rie la guerre.

Le sorvicr de la télégraphia militaire,

onfié jusqu'à présaIl aux officiers ducorps

crurd'étaumajmo, par les soins desquels

rait été prientiv= ont .,go.ent d'0tre donc é au g6mo et passe

onplétement dans les attr[buitious denette arme.

Il parait, du reste, qua les eapérioneosfaites au camp de Chdlons, tout cri don-,ant des résultutu avm,togeax, Saut loin

i'acore

d'irtro concluantes. Cet art do latélégraphie, dans son application à laguerre, est encore, il faut bien le recou-naitre, à l'état d'enl'enee1 mais grâce auxétudes sérieuses qui sont faites chaquejour avec le plus grand soin, on pause que

M. le docteur Cabanes nous adresse lalettre Suivante :

(rse J,,IA é le ï .club,, 1358[ 18 I ll i 1868, Sté I Emperoui des

D l( Ei t t. 6m t aa u qi jl i,nseils d' r ds

I 3 I d I d éo lt*la s

.le 1 JI M14 1 S prof t pvoit 1 . la t rmptd o

t l éf brut 1 odfi 1 1

bon pl oije

pposa qr I spect ons profondément

pdéc rt soc.é

Napoléon.lin conséquence, je devais m'attendre à

ie lettre de coueuettio.. A mou

grandétnieement jr rai vu arev quele garde eI evupétre, qui m' prié, de Il,SI art de M. le Sons-préfet de St Girons,

p r m. signature sur les états deE,

-linon,

entre les Commnees, des eoa.t h t

directes. Cesétais doivent erra

té 1 I s e b d Conseil réunis,""i..?oimoiu ni me collént_s deai,

lseeoudis_cment 'ayant été eu oqués,j'ai ,doué de donner rue signature decomplarsarc

Aujourd'hui, I diqui lu s

0elle ep t

avoir1

`doterrtem,nt an acte de S. Majesté 1 Lmles sur,

intervient vue déhba.r t elleSel dehoprise hora diaeinne éouit citpintant, ait plco

faveurtt"al

tiliesen ont un ,ait liouoré d'un ner-décret impérial.

Il cal, dit-on vn remède à tond les maux;A mon, le seul afrcace contre les Ille

4 lit st 1. Palliera je me bats debirr a 1'adnuoistratori départementale.

D' CauaNns,

Memlrs du Conseil d'erreudissencenl.

On I[t duos l'Oeèan, de Brest ia Un torsedie dent les effets ont été

terribles, a 6claté vendredi vsheures du ,Si,, duos une maison situéeprés Poetulésen.

» Cotte r tenu,élevée

d'un r Z-rle-ehauseèe et d'un sont étage, était bahitéepar n uf persmnes M. l,0 Conte, l,ibri-caut de fromages; sa femme, ai-dovzut

Cerne'; le gendre da cette der-nière,

venommé Le Gendre; as femme,

Louise Corne,, âgée de dix-huit ans, etleur enfant (dix met.); n., Cillons,ilIra

ce, fille cadette de Mme Le Conte,àgée ,le sept ans et demi. Un juedioier etdeus bonnes servaient ces deux famillesqui jouissaient d'une douce .,saune etd'nua eou,idéestion méritée.

» A. tex-de-chaussée couchaient, dans 1 liques :

col anxieux les mouvements de see anne-mis, sentit ses cheveux eu hérisser sur satôle. Un mi d'horreur expira dan. sa

goIll ".ait de comprendre enfin l'effrya-Lis S. pplice que lui recevait le chefar

Hélas! ce n'était point la mort des bra-ou d'a criminels :une balla trov..t

la poitrine, Su coup de yatagan abattantla tête, uns

cordeen poil de chameau

lient li ggorge fit fermant le passage à l'air,c'est.à-dfre à la vie.

Non, rien de m!Le chetl: des R'a'joutes venait d'i.vea

ter,pour,

savourer 1. vengeance, des raf-finements plie sauvages.

Il allait livrer le Roumi, piste et potugsliés, incapable de S. défendre et de se

es des insectes.

litpour enoit rrdavantage les mouches,Ira sauterelles et tee ac. pions à fondre euecette proie humaine, il leur pimentent erégal

S.endaisant de miel le corps de .S.

ennmi.Le Tueur de chacals, de.. Sa aulne.

e mouvement de désespoir, essaya debriser se. liens, pour fuir, pour résister,

pour fondre sure', loches qui regardaientfaim S. ricanant, qui raillaient froidement

l'a maux qu'il allait endurer.Mais los cordes étaient solides. Le charme

était .. habile b..,,,I..Les chaire boursouflées crièrent sous la

dessertes de poil traceront mmpreeaitln ot

jumb sanglant entour, dos poignets et desm du mnrlamII.a beeI,e puits achevé, ou plutôt la tomba,r c'était bien une tombe que les Arabes

,reusaiein, et, chose épouvantable à dire,nnetum pnn n Ôtes vivant NSolPhure

1ele y fit d buOn le maintint

debout.

I!}j

DaE

. 4

c Les Arabes rejetèrent lo sable autour do 1lui et ,omblèeent b o trou jusque l'orifim.Lé baseur 44e dhaadls nu trouva biearnt 1enterré jusqu'aux épaules; sa tête revue

la

émergeait, comme vue effrayante anneois-sa s, do au sel désert et na.

Il essaya de crier, craie le sable qui l'op-pressait aeeètait sa voix dans eu poitrine ;sa douleur .e s'exhalait que ppar de 1. ,a-talitre

oovtraetioee des maselee de la face.S'alèvres pleuraient.

Hagards, démesurés, eangluete,sesycax

qui reulaieut dans leur orbite demandaientgrfice.

Un bourdonnement confus battait au-tour de eus tempes et lui donnait le ver-tige, su vertige voisin de la folie.

Et pourtant son ocrvean aeneeeeaittoutesa lucidité.

Il comprenait son supplice, il en entre-oyait l'horreur, il supputait les longues

heures d'agonie qu'illui faudrait subir, ilcomptait''avou'e, ,an à une, les inmm-brablesnrorsucesgooles Inscrire fer îlotdans su chair, et rien, rien port ee déli-

mourir sur l'heure n'im-eu pdurpurte par qui, n'importe sommment 1 RienSeulue des ennemis impitoyables qao riaient

de nos d'insulte et qui ve aient à tourde rôle l'tnsdlter et lut cracher au visage.

A deux pas, le "'Il, enfonça duos lesable an poteau portant cette inscription

m raelèerr arabes.o Justice du puissant cheik Sidi-Har-ribi. o

Ces quelques mats suffisaient pour fer-mer le 'mur des passants à toute velléitéde campns:...

- Et maintenant, bel munir e dit lacheik en ricanant, je vais chercher taLancée a l'ha urh rie son pore. Mais sala

r ville tv Inonnes ]a saluer an pu. ,lieuiSi les mouches te F,étant vie tan je

"jolie voie par elle-.ô.. commente soieqme venger.

VIII

r,'a,,lQra

Rien ne transparut sucore dans la Mi

des chambres p 6 I trois domo:quos 1 I races, I malt- ocrapai

r ours enlaidit lé ttrione.Co. f e jour-

nés 6 o t son p y td hI L,d'un p t l SlIIIIIII,

L i f t Ilé I t td, a s qu slle ont réna a ont o imcqui soufhait .1-,!"i,.". Cét t le geai I-

artdesllam, I tan vde l'escalier eu b duquel trouvai t o n

as de tag ots t de jours dh ldosé,hbes da, I l l 1 feu avait pua.Dff-ay6d, ,1[o .ll on lani, ,III,

1t

p It 1 Il n"Pit ',p t t -u t 1 flammes 'ra'it iupt

1 te ontI t I

scl-rl s cI

Ef t fS lu fée d t1

F 1 é t l t ( ta Lemme t 1 petite Clai r nce, et, lev

sent par la bras, il emmat .,au ellescra la fend re, prés de laquelle eo trouvait

o pé 11 11 té ttl trois p j. l, 1 p. d l[ 1Ii p tI t1 t

1 1 fi t é purat,a 1, ait t. fat. Le Centecourant d1

tomba en avant par la fouette, so centraviolemment dans aa chut, et ,le-.auraétourd le sol, t I qui si

femme et sa f 'il , pro! nbl . eut a,-, lryxiées à l'i il ,tour L témh i utdans la chomh u,.1,0 olt psr druemort affreuse.

U I. lI I t domestirnes-6 Ilé 1 é t Esdel'oeore

dp

a v. e lt muuts par list ér s [u ne I -clamsait

» tiens. pue' t l pendant a. moup,d 6 o Le U 1

ig-au eue solL, p tl

i danshl p é

Piaulai 'I té {l6 p l. dla émer il était p do succombe, I let que déjà sa t osa -font tprdu o

nainsavaemine

Toujours t il 'Iet nté d'enlever sa fuinma rogne, ., panont y parvenir, ml a eu la force d'aller h

la croisée, de l'ouvrir et de an précipiter

hors de cette femraise.n Malgré la proximité d, l c 1

l'onleoéaen et l'ardeur avec laquelle ,ulsoldats de l'iofauterie de m i tportés carie liea du sinistre, rien l'a P.

o'tr sauvé.

O atro, é d , les d, libres l'ad o carbonisé. dos e a-

Emes. Au d lal-

t la-sa 'o Le Gante, I ont -qe e-,st tombé

entsa

a nota Plu. tc

Homo.06 sa

se teoav td lue l'endroitde Al- Le Ge plu' ai e t e f

ott cpd duot

l mplaoegent du I tb 0 p lise ln, .eetm euneF était t d q -lgnee mors.Le

j 1 t L deux caries out, aut

e l d4qel d ell , qui d E ma.

Iq pinta t 1

é d 100,,,il,"

qu'onI I dons 1 décombres, ainsi queI 'l

i t t lot ) I.peceao0t été, Mon, rtrouveee L'epauJules, les nouons et lis bijoux dos deuxménagea ue sont fondus.

u 0. me forait dlll1ollemmt nue liée dudésespoir dos époux .arrivants qui dot vupérir dors cet nmonx smmtrc loin, enfantaet le, compagnes auxqualies ne portaientla plus vive off ctioo.

a M. Le Canto, saris avoir des blesserassérieuses apparentes, cet très gravementaontnsionoé,

v L, nommé Qu6inoee, pompier de lae chargé la dépét d, pompas de

Pont nbare, a du peob[eme.t lotira 1.solidité de s n 'iHa', sur lequel .,aiCnormn pierre est tomhlo. e

Ou lit dans le Journal de Rome du 30eeptombre ,Lettre apostolique de no(rn Teée.Sniue.

Père Pie, pur fa divin, Providence, cari.' me Pape dru nom, a roue les protes

(... en les antres non

enlholiques.

Pte, souvmuio penlifa,neaviémedu noie,à tous les pretestans st autre, non eatho.

éjà tous savoir que nous

d té été CI é

choi'o 3 I et, p E

p él é

p b t t th I l .,

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I ei .td d e 9a

n5ne Notent. i g ) é

pp t d pP 1 p 1

ton,I,

E abl frères et éq s do tact rut de I

a" icl'.é.lue j tèe lob(1I 1 tl t q c

viii é blsf SIpl( p d pr II rl p l

boules l L l t les,

pi p ttant p dil l'a Ples

ténèbres d 1 1d c,-Il, SiltltII riét de1 et ton, lustres,

S i t le

1 . 911 t

e

e tf tous 1 j d ",a' on,JuscI 1 pi ef(os.

s vi;,,laus,lees

e

chrétiens &de la vraie foi

1113 Ildd la justice et de la paix véritahle de

Dieu.Nous reposant dent avec ..f c

fiance dans 1, pac!a ii u t étroit etn"s re t qui

relie

lie à non pmoines v6nÉli uq a noat c

é

porto

n = f qui . -1 jamais ,rosé, eaan-tempod dire pontificat , de donners et à os môme siège aposehque lus

lémoigoagoe lus plus telulans de Fui, d'a-rt de respect; nous ,les bien l'es

16 er gae,d qu'il er ééd sles s'è,la passés ponr les autr ouchesgénéraux, de meure, dan. ce l ¢ 1lceégep ou qé

data v Y dote la gan, d .[asf its 1 Il b e et 1 pl fé dru , a,

I 11 dgloire

dLion

e lel té Ida ho h éq

J t sent 1 L tér p p I I té de N t y

lq al éd -Il a'

'Savons Il 'Ilp.d l parole t,iq l

I.I.tan

à t o

,ai,t mt

t le mé liera Christ c me ré-l'il

a pt u et S. glonfient du .om dehrvue e, n professait point cependant

la foi ,,,utable du Christ et ne .uiv nqp t 1 n do '1'U gl tholt-:} Lt 1 P t t tp.or les avertir, 1

st

etle

ç

plitout autre et t Cou e notre

h té de voulu bien a dérar etesa-t 1 ivent bien la

prescrite par le mme S,; .JésusCuise, et ,Si

craintéans1 t ét 1

Prso une, on effort, vo pont '.ilai do.lorque J6 Ch iat lai méme, pour appliquer- t t l gé L t h I: L

'tous ^,a"

d , él pt .'ait ti lé l rP E ,IIp,,sI il

d 11. I t 1 1

lu t p t l'1 t 1 d o forél i vu entant lplu, que]é Ut 1

Pla fut son rué e.et nI

tact t que la méme,foi fat tir remise atous lao peuplés, à toutou les renies ettàtouteslea uanons, de telle sot q a

les hommes p il, se réunis dors ,a,,

tué, et a voulu mettre ce aistenen ;

qu'elles ne 1caue t a pias, eraniéro étre oou_i térees rr

naonm" 00mombr, at coin e p, r cuitedie Uglise, des 1 q I s b ,,élu

. soloes visiblement d 1 a F ds l9Co,nmo

cas

e étC t a 0 ;n etlao, de cette autorité vivant élis

par Dmu, qui enseigne avant tout auxhommes les choses de la foi et la ,sels desminera, qui les dirige et présidetons aux choses qui n-t t l l téternel, an,...C] ers étés elles

ont varié constamment dans leurfi et-ese, et cotte toubilité, oent' mestabi

lité n'ont jamais do terme pour, elle,.CI end Facilement et ,lit .et

to t et é demaa it que net état esttout a fait opposé à celui de l'Egbae étu-die par le Christ, notre Seig.car, église

6rrté doit aster toujourssans laquelle v jstable sans

ereu

re sujette à aucun 01]'dnge'Suormt'

'I mm'un dopée le

se

..né àdrue

toute son intégrité, dépôt pour la gardeduquel ia présence de l ptait

'Soi etet

ors dutété promisèà pe,p6tarto à cettette

L I p so e 'ignora, eu cuti, quedurs s t iv ts de doctrine et d'opinionces

donnent rimissincon id'S

schismes sociaux,et q de 1 dé oule l'origine de comme

set de sectes iii mbrables qui sepropagent davantage de four en four aa

nent de la roc ét6 chrétienne et delétrm1. a,cièté civile.

Quioongve, ou effet, reconnut la relidieu pour fond'meutde la eoa 6t6 humaine,

eluser 'admettre t d1117o it xorce t sur la c é é ci-vite des d r t e désaccords de pin.alpes de v lt nature E 5t s I

g lit Ion (nti 1 Soir-

et d ,locus f la é t d.mai1 té et abl' p ll 6 1 1.c t i tllg. l

Fi',3 1. rla i4. 171

'I'l. i. vIo '-ihlapotée, sexe te, u -"""P" t f ocrent"

éas troubles tc Ih âl

menu et des et be ta bat qagitent et qui laid t p qua taus lev

peuples d'un¢ manière déploeahlqEn conséquenoe, que tous

Il aipossèdent point l'uoiité et la v6 'to de 1 h-bl eh I qre ( t 1 g t ép. LXI,I CC%%III) t 1 o, k,sit U p' dans q 11:

glill ramé I q laqueitc tleur. ancft s t ee o'p'.1, ,on té mime, d vigueur et der= tg b qI lé t

6 del e tq I t I taux

i han à cet 0Ent dans 1 ciel ils .epeu ont 6ti r. assuré, de loue seins.

Qu'ils u ie s ci t sans er=se à Dieu halterréL,va l-spe: t t- 1 e gril ,a.-

,,,,,,

I d i T Pour gül disl té éb d 1 et e''lb"ru

d 1, Ilin d I["nain sainte,d'oh 1. rocrètlos .ni reçu 1 'ah -ners,

t ,,doloire de la vie t lin souedons sua tég t 1 doctiiee de

Jesue Christ, I t t

et

dispense les

myatéres de la g aile lé,cste.r d dplus

g d I

toute.1 t

_ut ions

b l , . t d [ 1 t é.eue oL p o u{ p

'0m p l CI Y

zS,. l

et l d vo l r toc:. 1..

r 1 cris da autre chmii p elless adre'as... colin lettre à tous les obré-

tiens aépm6s de nous, lettre par laquelle"'as

ous

exhortons et lesSIp 'tous S' .ahàtor do nevamc au bernait unique du

Christ.Car eus désirons de tout notre rond

Jour salut en Jésus-Christ, et rions orai-goon, d'avoir no joor à ,cadre compta deleu, ocres à ce mémo Jésus-Christ, autrejuge, si nous ne leur montrons et no leur

autant qu'il est eu nous la voieq u'il l'ont su re pour arriver a. salut.Auséi, dava toutes nos prières et nos sup-plications, nous ne oessoes jamais, au nu-,eu de nos actions de grâces, de accru-

de, humblement pour cnx, et le jour ot laait, les lumières célestes et l'abondante

des gràcea au l'aetmr éternel des âmes;et attendu que, malgré notre indignité,

uomplisss aur la terre les furetions

I

1, violon du Christ, nous attendons lusbras ouverts, le retour de ces fils égarés

i'vara l'église catholique, afin de pouvoi

]ea recevoir avec lente alfeetion, dons la,' art

de ace trésors u ép bldemeure du Pére céleste et lou",i'

lath Ira{ueà la

est dmu

que dlpeod 000 I t le saint danmm, ..tee dl,g6rsu

1 Il' et

hacnu en panne l' 1 1 I -

o

cétéahrais.net t t

et

d,

en lors,

il

"Il," SIu seulne sanrei

mvoue b puce

E t bl f 1

sordp ont

no.mo Il -11

pa t ur. ba t nluire, le 1.1

Donné à 1w_il lo

23 de une pontui-sepcrodnu lois, lai

cat.Le p p. met t I t ho té I

'ie que lai donnent lo fut" caraoc im6nigne, gdil on prend pas .,elle

récréatmns ondinOo croit à Rom I 1 Raille v artori-e P. au. é

ux

tl t s à prendre

pat ru. d le,su.(Jouir. de Parus.) A. Yla.quette.

4 h4sagae.Madrid, 2oetobro 1£69.

Vomi sur la bataille IPAl I des ers-eignements fournis par deaat nor$s cou

laines :Le 27 septembdSe crié a peu

de diataum da il o à ,,.,.,ihos sa qualité d ,e t c itaen

,

ItlAysda, afinde fuir nue su;,r,m: t'aloi-de co -gar ion L g é l l og p icé à

l'avantt-garde

de 1 é. y t t-, t é.

nérai, I,',ntrer ne entre M. A ela elle gé-d b i

ale dépt 1 t o i t

t Pt 1 1 A I

in

,

,hrt a melu ,projetsn,.,5éaetoa-an l, ,I

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q,, 1 IG I 1 g,

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ç l principes t

le ci,dux d 1u

Gq. gn 1

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'a',',"",',"",',

le é ho l S-

t d t 00e gqa t lii as,

èl"'s'a "'atr incaa.

A peine était il parti,d que No, co ld d

aveuI

dou (logo

,nt ,

la ttq 1 t teoI .

L I t I mare a l ocre o ',t, les

O l tec,n l,i i fit ne't,mxrovanxgai

It ] 1 d ,> ( Ie

d ti d t t l do h l' -

t t plus du vsg q l venait d'lippren-d'oq ld tt dPC i- , p

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futo t d t d . t l a d

Fort Is{

va

d ( .é pare cor

'l "Il, ': I l q huit t II -

fat tta c I 1. Cté

tt dép, 'os 1 En -I,plI6t 'vol fil

ingém,r Lauy t 1- qu'il Ialuçnt, ilon,

luinavral

a sua bru avec 010' é,vonou 1i o-

foudo n loi olyranu la itberué on du aéce dans l'armée névo'otionnoee ; le lei-

aa t'en et l'u.tre, lieu d ine-rfus doux hou s, ba divi u

Salaza fil un ou n ont coucentrigte etplein de fougue, que I, corps de N vali-ehessoutint résolument. mas sans sucés;osr il'lot s rpli a,^ hâte eaMontorolais t le général Galner entre les niai..

deson

libéraux.i . tombalePendant co timpa , dvan

amine" r foin" e champ de ha-taille, ot prosul ne tenu s' termimuent parle triompha des t,,,,,,,,,", tricet. lriafi n,cru quatre heures du .,r,Ics briecdsa

Salasar et Alamiros réussiront à capturer

pagnieu de chan"c"re de Madrid,

pin

omaura

oldeiers générauxetan

duo na,sa.Le général Novallohes eut àc

emportée par un boulet ; le général Eurtortue recut une halle an genou.

Plusteârs libéraux qui n'appartenaient

pas à l'armée avaient prie .ne part activa

op }tq p l baptême, et r( q

t da 11 e t .ire v nouvelle dela g àm sans 1 g lie personne .e peutlamera ni mériter moutons 1. vie Cor

nulle, de telle sorte aussi que cette muée'Psgliao qui constitue son corps mystiquee,'u i ji uagda la en,isummatioa dru soldes,ferme, inébranlable dans sa propretttutiun, so développât avec '""a', ectfournit à ses enfsats toue les secours né.noce vires pour bons salut.

Maintenant quiconque veut bien eoaérer et examiner avec attention les con-ditions d'existence dos diverses sociétés re-ligieuses, divisées autre alias et séparésdo FEgbse catholique, laquelle dopais leSeig.our Jésus-Christ et ses apétree, atoojouo exercé anus interrapttonet exerce

re, par l'intermédiaire de ses paetourslégitimas, la puissance qui lai a été con-fiée pur le Seigneur jus-méme, quiconque,disons'nous, so lierons à cul examen, de-

are facilement que nt l'unegnelcongne de ces société, religieuses enpartmalier, ni tontes ces sociétés réuniesn onstituant nt n" sont an aucun ma-i6re rcete l'sglise nue et veille. qas Sac le

Seigneur Jésus-Christ a édifiée, u consti-

tidja de le future priee d'armes des Ara- dommage grade Ii jolie Pro priété Soit en-bes. fouie au Coud de l'Afrique! u .,.t-I11-

Il courait bien à travers la colonie une au milieu de notre bleu pays normand Iinquiétude vague et mal déduis, ou de ces elle vendrait ]o double et le triple.malaises ,ai précédent les grande orages, Les écus qu'il espérait entreser chaque

vis chacun croyait les Arabes domptés .nuée avec les produits du 1lumach de.-pour longtemps ntmeapables, en tors cea, soient dans son cerveau un car bandede porter la guerre aur le territoire fin- fsataatique qui chassait loinde lui lesom-

il .gais. maCotte ré curité devait étre fatale à toue.Mollirai. Robillard et S. famille paria-

goulot l'illusion cononano.L'haouc6, .n. fois la nuit senne, avait

éte fariné et barricadé comme de cottinie;on avait liché les chiens de garda à traversles mors : lue slougaie ahtcatne da»s laforme, et Yexoolleut terre-000ae qui ""cuitlefermiercommesonOmbre (lacs lapetite cour de la maison. Mais on oégli-gemtdepuislongtempsde pester m laterrasse le guetteur du ,,il qui, durantles premiers mois de l'exploitation, mon-lait la garde jusqu'au ion,.

Mathurin lioblllardS . _ce

perdu et ai, voulait pris tanguer inutile-mant, par une veille prolongée, es troiseeuls Prao pais à son aevme auxquels ilpût se m.ïer.

Le gars Nicolas ts.m avait oubliépas issait

.récentees. L'AL'A te l

nui apter

«paraissait maintenant aime

u.n tout notre

JoAlesi se douchat il ce soir-là en faisant

les plus beaux novae et en combinant lesplus magnifiques peojet,.i

Il su noyait déà à 1. téta ils l'exploita-tion de son ocle.

holfoulée puait belle, ,ans douta, maisla otui l'accupait par-dessus tout c'était la.

.

qH su(ormpr t pcar la viugttéme fois an

uaa ripe dnl Muthvrin Robillardaqueait co rami d'hec Ir co que chaque

hectare renfermait de pieds d'arbres et eoquo chaque pied d'arbre pouvait produtro,bon air niai an.

- Ah! soupirait-il for instant, quel

- Oh ! tore riche ! 't'a riche 1 murmu-rait-il eu essayent de clore les paupières,quoi de plus beau !

Un hurlmnm,t terrible du terre-neuvefavori de sou mine le glaça tout à corpd'effroi.

li ouvrit Ira yeux test grands.

Illoi sembla o s'agiter due ambres

cour moreslaue; ilvs ]es arcades de la,rin1voulut appeler au sc .aie peur

d'attirer le danger surb

lui le ,miel.Le dard normand était prudent comme

pas ru,Darse la farine, aépar6, do la maison puela tares

ecrtto, les ,lo"g"is d'Afriquepoussent des aboiements furieux.

Naoles se. ,rut d'nhord le ,jouet d'unavclremae, mais lev aboiements réitérée

des chiera lui pro..êrant qu'il était com-plétement éveillé.

Lue braves vaut droit a danger et

l'envisagent face à face; les poltrons etles autruches canent l'éviter en fermant

C yeux d l'évidence et en sa voilant laé.

Nicolas fit comme les autruches et' ]espoltrons, il se blottit sous sa couverture etattendit.

de quelques mutes il hu-Au bonisaréa col et prêts l'oreille.L'sbuiemont

des chiens avait cessé.

- Allms ! j'étuis fou, se dit il.101 redevenu brave Isar l'abeenm de pé-

ril, il se leva sans bruit et alla ciller l'oeilv troillle qui fermait la porte de sa

chamh[,.Ht pauvre Ni-1.S!

Le Spectacle qu'il entrevit glaça de a..- C'était loi qui, nrimeaot lestement parve le sang de ses voire.

Une douzaine d'hommes o plutôt dedémons a'agita[ent co ailence dans la pe-tite cour : la Iuue les éclairait fautastique-

t.Sur le pavé gisait, dans une mare deg, le corps

deps

du fidèle terre-neuve percé

deur ehacgA le rougc, à leurs burnous,hia

Nicolas reconnut des Arabes.Ils

étaientlà une douzaine, armés jus-

gda.a dents et se partant à voix basse.Ld terre-neuve avait Clé tué en un clin

d'ail, ma sana se défendre, cdeux des assaillant, gisaient sur le sol,affreasemeut mutilés.

Afin de les empocher do donner l'éveilpar les cria que leur arrachait la douleur,leurs oomplieee Ics avaient bâillonnés. Làsa bornaient lears coins pour l'heure.

Une discussion assez aminée. agitait leone ans Arabes.-Finisses vite, dit le cliaouc de Sidi-

Harrihi, car c'était lui =a.' it la bu"-de. or martre attend Exémtoessee ordres : la jeune fille d'abord, vouspillerez ensuite.

Les Arabes grommelèrent- Toi, Iiaddour, reprit le chaoue, con-

duis-sous à In ,,humble de la joues fille.laddour était un des Arabes auxiliaires

employés à l'exploitation.Depuis deux a.. qu'il l'oecepait, le

martre Robtlla,il n'avait rien remorqué doSaspect en mt honnie. Av coctroird, il eo

onlrait empmss6, .eé,eau nt, dCveu6, Sibisa que le fermier l'avait élevé a

f..caon, de serviteur intime, an lui anafiait gros travaux du manage.

Raddéur connaissait tous les ceins et ]esrecoins do le maison.

Mais Inaddoar cachait l'âme d'un trltresous l'enveloppe d'un serviteur Zélé.

Il servait d'espim au'liai]: des Beni-Chaib, qu'il teaait eceupuleasementcornant de ce qui as passait duos l'haonch.

dessus la terrasse de la ue:mism, avaitles verrous intérieurs de la porte 01 intro-

duit l'ennemi dans la plane.Ce Judas afric,dii accomplit jusqu'en

bout son cuver ténébreuse; ,pris avoirtrahi son martre il livra sa matlresac enindiquant au char., 1. chambra de Lu-cette.

- C'est ici, dit-il aveu une compassionhypocrite, craie ne faites pas de mal à lajeune maltresse; elle est Si bonne.

- Silence! eu u a pas de mnoplu à te,cadre, dit le ebeaouc, qui l'écarta brusque-ment de 1. main.

LI chambre qu'occupait Lucane s, trou-vait presque au fonul Ils la cour, sur le côtéattenant à la filin, ; Nicolas, au coelrsi-se,

logeait prés de la porte d'enlré'.Le gars ..,.end i u dan-

ger que couraitm

00011,ir,en s périlsqui metacaimt son oncle I'1 ne pensa gdsle, yvpre ,,colonial

(

e

i-i1; Sif

.Il pouvais, aue beoim,me glisser à

traverala porte entrbvveeeo avant queces moricauds vi aient dé,ouvert I ,.or ilsvoue tout ravager ot massacre, Il mettraan pillags, pour sur. Une fois dehors,

dans lirÂ'lois,u.ttti,ds le ;ours etd'mare

ic, l'Afrique! je regagna en Norman-fli,ma boire Normandie, où l'on dort

tranquille et oie l'on di,'Pro en pair.

fiant l'action àla puole, le garsnormand s'habite à il, hâté, sc. munit deo. bâton foré et d'un eonteau qui se

trouva a sa portée, ct, ua ,v t l'ilutantou les Arabes lui t"n000entle des,

il se

glissa n0Stement vers la perte.tA peine rat-il mis le pied dehort, quel

voulut reculer; mais il n'était plus rompe.

Francis Tacon,

La otite et demain,)

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Page 3: NE,F. N° 278 TO[ILOtISE - images.jdt.bibliotheque.toulouse.frimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1868/B315556101_JOUTOU_1868_10_07.pdf · 6i,ue NE,F.-N° 278 nedeth à l'ans, dit

à la bataille ; parmi ces volontaires, ci- On vient , o créer à M dl' d loitons MM Ayala, lent l'ai parlé au début i nalqui d'op f( la 7antaruc (la Luilerna).de ce récit Ramon S-son neve dual ;or, tel, col, Fe

mer Tortue lournal etot, et 8autres cc p°-ulré l'avisvivaitpana, de Madrid, a

en Les graves événements aorte vos lavesotsnuit venue Serrano, qui davàp`

ettatitlAht d eti,

u cee capae n empceceon-eu fuir avec l'armée royale, forte p er, pour le m v nteI, la publication doramée pourtant, assura sri

is

"ne°t °''- autre,jouruat. En temps utile nous indem-façon voir recevoir an ' é'esitione de

uià Pon serons nesirir ipteors de cette auspen-gân ql attendait p ,g mont l'atta- tee,

nfionta. Une partie d^ er le !nndemalu -moirer, et à sud fat omplo à On mis eue le Pelai'-Royal de Man

mi

e e

Kli,v er

tar ces m,rveille uw- dn1 nette iscn pri il. q. er y tsurev o eschef -Pp et eeg0ole 0omptatt 1848, s.r les mars dos Teu . Junu v sec eus l

mais dont les msmgés s'étaient err- stuer. Les rlvdlutieas ont le mcev.es.rér'il'iire sue qus narvaaaent au pouvor prit partout.

riss royaux.- La rédact ui de la protestation de la

Allever clin jour, les libéraux

alléreut re'..e.1t 1 oh p de batailleSzu Lueb,Sartoris) "et à M. Mon

omte doet trouvèrent) positions dearoyi,-,e.piétement abandonnées.... Novaliehes et - On lit dans le Gauloisson état-major avaient disparu. Rait tenta a Le prive. don Juan do Bourbon, qui

delà environ jonchaient la plaine ; les habitait Londres, vient d'avoir nue entre-blessés avaient été calculs, sno a en fils don Carlos que les Iégiti-risQ Lg ]erres plus tard, ¢p grand ratese gno appellent Charlestrva

b d of. ire

royaux i rrivbront a Oetto entrevue a Beau eudru

ut tuteur riescamp pour y faire loin, soumission ; ils fin membres do

nsei

l dont s'est entamé lel',ont -or issue ove L'ahtt. L0 sou môme, prétendant, et don Juan y a salué sou file

r-lsl'armé'-royale t lst l S tt diu, ea nosuiree ro.selle de en définit` t I t le lents- n Don Carlos n'est dette pas on Espagne,

m à Madrid t da t aloi i p ee les mme quelques journana l'ont prétenduévénements q l v fie rai ,ré rot tona s derniers. »

) ar(Gironde.A. Robert. L 11 que ,bleus 1. G.ahis oseLa lelesa laquelle r sur o bé

a e, dit la Gazette de France.le maéchal N l' -il homb u. Le lit dans l'Jrurae Rat du 4 0o-1 était n

:

Ounxalhnuremx défenseur ae la reine a e; robredette lu uttolo ira 'Portés; ;Une loi ers Le bénéral Seremm e mis à la disposetait q ic le nea et lus veux intacts, viole du comte de Cirgeute ce casino capo.

- Dh le récit du cemhzt d'llcnlea é n°rit° h ces .il d ne voudrait pas.e nibhén

Prancc par Madrid. Le comteq.e pu l'Jnddpendance Gclge, c'est par de Girgnnh était, avant-hiar, à Audulaz.ga suhral ero de Rodas quo le mac--On lit deus vn oorea laves deit ces N

vuliehovaliehes aurait été frappé mor_ panto

l ci : M d d dressée à l'lndependance hetye0 ss e - dit le correspondant du I junte dn Csdix a cha,sü do Puerto

,,II I I Ige, que te généeu Cuba. routa M Pis }Serviles qui s'y tron-lere de Ltodas, en apercevant de loin le let, et ordonné la fermeture de leurgénéral Novaliehes, a piqué des doux et, maison.

rivé à quelque il statea, lui aurait ea.eé, e Pareille mesure va êtes prise crintudrue coup de pistolet, la partie droite de tous les couvents do moines .écemoi t]a mâchoire. ;> créés dans diverses provinces.

,.a un- eu' c éam 1 et rétablit., I l r f

r.

L C tt, d P # d publi 1 1 é "f! él d' ée p_ necooart, tIl 'c .rlmtin,,oventeriels Joute lreoisoieeté- t eh Iu,on

lisaile .

ilvolahonum re: 'f 9

nu' 1 a ehevey.o r'villesi à

-liona madrilènes,

1 1 .e tordre àtu

a L. he Aidéepar tee '.tell gevto ,dupera- nffragaute et aux curés des pa e dsp,sien ontao, mirbn

part p t t 11' pr réels pour l'ex raine et sa

q¢es, la dont' <v h t on, e ,,i, famille »n'oneut a ruche de remplir ex difficile Une lettre de. Barcelo0e du 1 octobre ,

sort l'ordre celte teno- adresstc au Messnyer du Midi, a noncegoilité qui rèë>ocut à Madrid depuis que y.0 le ertrnit du l'ove a été bridé, et

secondé, avec or snthonsiasme quan â décrété l'expaiaion des jüauitos.iidiaibie le cri de liberté et de rréé,gnen-tiou proféré à Cadix pur l'armée et fia ma- - Ou lit d;.ms ta Presteri e. heloued'hui que la révolution ,ou- ,a révtl selon nspag- e d a tente de pro-

nmée par lactuile du trhnedesBoueboes céder, nomme celle da 93 env!

pardomine lima toute l'Espagne, le moment la supproeeitu ou l'expulsion riss ordre:est venu de eélébror eethevreux événement eeligieua. L'une des communautés epar .or £éteoivique dont le principal orne. pagnoles eut d'arqué e dans la ville rte

r,e t'allégrer e pc eulxi Bourges ver mrrein d'une étendue coiinluvDans le vestibule te valais do Cortes, roll', du côté dn petit sbire e Baiut-ronbldd lé d !%éltit d SS C élmu eea netu peuple.esn enacr,eu , pourev,

s tro -a,jourd'hui réunis médintemsuit une série de re.......ions111pi l défié u' 1 E t t llh Dbose ranere t ri p u y regmnxue memres11 e f t il t vina ter I d Lt luth en,, ut idüe de aho.

'

ridp t 7

sont

fou ours d,. r solutions

"",g",

t été i terre et s et l'année elle

"Il,",

dés l'eut I q 1 tri t offi ,L- l'arvdsi entrer, à la face de l'l:.rope et do mon- Se Inc Carlos contra tua chnsneos. L'asde, qu'ilt intéreeeés '

locale-

le eiI sympathique qu'ils ont oe destriomphe

sflot

ndroits relie duels reconquis Berruyers, comme militaires leur api»lissé

a ai grand pris, et les lib'shit p.bligxea p'u'er q.1ls le recevraient contins pierresda tous 'os et

toitgîtes. E. Brocs.assvrbee.tlvere

pp libéraux, ivre du proie, Iarlde-luttartise

r cepag orle doit se, montrer toojomeSera de l'enKagmnent A'hoacone qu'elle a

On lit dans la h'rancecontranth et éenejeura armée da sa suveo- Les nouvelles dLspagne continuant

rainette. Vivo on aud'rage unie sel! vd'dtrn assez insignifiantes.

min! vive l'armée! vivawla Cette attente continuelle de gévéravale ponplo souvera

e,irai

qui ne se pressent pas d u tout d'arriverSigné: Lev memhret do la Joute lave la capitale, ouvre le champ à toutes

révolutio,naire tee suppositions.,

Prnyramme de la fde, eieiyue pour elii IlCo qu'il Ey u de cerLninc'est que, hil-e,momnbref 1, lr ion pli 7 l gl r. A du, ég Î rtt f a \1 )t b e q { rfiea

ser1eclnote etfa frateruity de d mimes pr, lue te égeammus, p établ;saement d uv

» LA Junte révolutionnaire doimuisto n provisoire

undu avoir lion

eut a ordonné :goure - quegjourd'hui

n 1, Aujonrd'hni 3 octobre, partir deAIqui nistère

L Pspxgne n'e10 heures dv malin 1 nrovtmme. L'inpr encore uvestibul edu palais go-tué

daet. p,^ e. D'aès nue Stedu Conres se ra orné 8ares de mouesn et pérhé tée de 6ladnd, hier a r, lede fluxg rira v rt d'6en :n la échut Ser rait télgve

ries.' rVivn lu s,iuveraiaeté uationala! au généra;Perce etàdhon

SirvSalustiaene 2, Les troupes de toutes armes de la Olozaga pour

I

former

garnison

dit IA capitalra se rangeront en avec lui are gouvernement qui ...ait litbataille, la frite, a;i1 e y nt sur la fontaine lt tiii t' a à les munsns e r e-ie paysntade Neptune .t après -Il été po'sés' eue d l'4bleirin ; e.ss

tasen, tOuaotn

ue parle capitaine-général du district,lIc fit ne parait i s que es deux per-lieutannnt-général Antonio Ros de Olano, iuhtii nes s leur tels r és deelles riel leront, à une heure, ,lavant le rendre dxns lv capitale riz 115'epagne.palais du Congri's'

f uurt au Enéral F:s i'ermro il ,a fslin .i, Los ouvra et les chefs do districtj r le e -rliebal ano,

c leu Lhfror.cec s armée' dont lie dispos la ,nais il n'a rien fait eonu,iitre de sesre

t, aesiateroirt à la

Smrpro-

de servira

cérémonie etdEGleront, jets ulttrieurs.avec fumets,

u r ip 'pas vonn 4, La junte rév Intioevuiru de gea-

i1faotes ôtes ""."l Il9urla toutes ces i ertitut l'absence 1.

mt, rhume Sans le vestilnlcdo

°

palxiendu Congres, assistera uu défilé detout plain préalahlarnen arrêté par le

l'armée et des forces armées du le,chefs du mouvement.

et elle las saluera au nom do la ëévôlm 1

ouvvrsible que, remis peur evvvemerle e t de 1. reine, les géué-tion ». ainqueurs sont un ce m ,out lave

- La Gazette de A9adrvd publie une té-,an,nembarras est-,-a , se défiant sn s

rie de dispositions prises par Iajmrt0 pre- dente las uns des Antres et peu jaloux dev iemre, Telat cevuret à l ergs C de la c tel à Télé ti 1 I. r iveen,

n-l

force ramée dans les districts La préoccu- A I tell qi 1 ont, les,io.t,e eévolutie.-pnfou qui domino presque entiocemene haires locales sont doue ers ales seule

iepoaitrean , c'est le maintien de pouvoirs qui fonctionnent en"dl]'ore. P. Fodcré.

- 0, se demande quel a Vu erre la ni -Go lit dana le Journal de Paris :tilde lit retraite de M. Madoz, lu tend'- Lis arécbal Serrent a frit sire outramain fin jour où l'armée, fnitrenisant avec doue Madrid. Par la tombent certainesle peuple, défi lait devint le président de suppositions qui, on doit l'avouer, ne pa-lajuste ? ont pas dlpou :s de toute espùa

Il snmblo qua ries dissontimoots graves du lin voymE le chef In plmcet du s'élever entre l'ancien nhef du parti considérable de I'ermneenetiere retarder deprogrcasiste et gnclgnes-cns de ses c llé- joui' en jour nec soties doris !a eu;ntalogves répuhlicaivs. Ou bien, se voyant déjà de l'Eepamn- mi commenp:nil à eu duman-e,

etdépnavi par les Lvénement u'1. Mari z d 1 disco Ieieaéta;t pa d,ja glivil''désespérertit-iI de pou untcn r la ré- deus le comp des ennomp7intevra, et

siles

voLtmn d:ni 1 t travées par les retarde dont il s'agit u lent pat pournu,gé é ]antes et le parole l'u principal motif s düeie grill ceacerart leil. 'n

il' I 1 é; ,le t maréeuul de rester à la polo de son arméei Lo dtoneteur garde là dessaa la silence. afin Se te tronam prit a toutes lue éven-Pt dlp 1 qq E ,moin confirmer la tuahtés Il n'e. ét t parait ii, L'a,]l l le M \1 d oneéc dans la tord ri a pas c S le lé_,, ee, lusquà préG tte t i Me irrd, n cet pas plue exph_ sent, parmi lai vmnq.eurs Peut Lire y

te .,t ée*.rl, at11 leu en t I 11 .

t q t(Pro''o il Baver. in ms en quel

n,_ 1sd I( 1

- La 7,pot nca ld ctmn dujqou'mild

sethni

pi

veut trac suris par I. ='-génraa,,,,,.

prononcée. d cette c lance par leé l I Dans ces paroles, ancien pnéa -nour

d t de Selle t ble e p b tlait d t d pp t d on,

prl 11 h t tdyrépondre I;¢, par exempta, devoir parler do sir

dt>ë[r d'union et déclarer à ce `repos guis,s'il était ou pouvoir, il s'empresserait d'of-trih un pertnievella à M. B,eeco, éest-à-dipe au rhef actuel dos démocrates spa-griols. D'outre part, fit a annoncé qu'ilse, n

dirY d J mi deux dépéche h

espa Pot,

cmaishouwdused

o pluni lenmettra à la

ocra o3detentPrunt

en son propre nom,utu et des antres

sme

géréraax.

Malheonureus

e

ement il n'a p gé,ira en ga'Espaetero a fit rép d

uému s'il avmt eépor de. Quoiq l t,il dépend du ares duc de lu Victoire dejouer aujourd'hui, en Espagne, u ruile

anmlog.e è suivi qui a été jo en iverpar I. Fafate en 1830,

eu.épar DPrupori6

(del'Eurea) enyet1848.

Nous v se s(etrôle le tentera. Gercé.

-On lit dues la Presse:L. co t m 1T p te qui vientfi'étceviré minrstr d 1 p

Fient au parti un t pneu do lpar-

'UnionI l.des,

Il set né o¢ Andalousie en1820- Il se

Steu,to.tmmarqu 1 Il i. le celle.,r commandent la f ,égale If d Allante, et'et bl é tT dart 11

gla [ Eoata oauaseé Ià l ll

Baud dD J Pr court, d lieus, qui um, im

été pp lé al' tè de t guerre, est.6 R (Catalogne), en 1811.

l,n 1834 le futur héros de les Castille-jos prit rangparmi tee volontaires d'Eea-

belle II et ev signala dans toutes les d-ntes où il assista : à Puyecrda, Ilubas'

Villa-Moy en, Pe p lg t A

l'dge da eingteis une il'tait riels marehxlde remplis suitedo la eacihcatian dela

Catalogne, qu'il aawmP't apeés dentjours de I.ttes terribles (184'3).

Nommé alorsN député sus Cortes ar laville de Bmcaloue, il 'signala

bpieutbt

parmi les membres les pins influents do

p lt18d1 tliteifld'éta rossiono..rq.e

t idie, les opérntions ils lageerrcd Orient.C'est p, d tl dern r d M c

-(18,19 1860 0 1r qv tété I humes de batadlo de lois (,ae-

t'll j'en1 G rpalmeeics, à 'Lét.an. On

nnalt tout ce

qui

a été dit et publié surloi au sujet ana affaires du Mcaique.

Don Balnstmno de 0lozaga, à qui a étéconfi( le portefeuille des u Cuirs étraugé-rés, est né en 1SOe, dura la Vieille-Cas-tille. Émigré en 1802ot condamné à mort,il vint à Paris, où il resta jusqu'à la mortdo Per-In unit VII.

Rentré eu Espagne, il flot élu député

ux Cortes eu 1836, oie il se fit remarquermn l'on des pie,dosera du Pur-

torrent et ecmmojvr;aconsulto üminevt.Anc n prüeidnnt fin ennsell ries minos-sm

é deuxfa.ait>.

ode e à Pa-ô de la 'l'oison-d' On, M. Olozu5n

tri1err e, commeitélo

rn3ynaahgve delabranche dan Bnnrbons,

rit. de Oloaag t 1Il

s prmci n nuerhepe , part; preg t , et, en rediretemps, un vrarlet loyal ami dumarquis deIl.

L'ustillaeroa,

le chef etda l'action.e prD'un caractère

mrabl,'

rablet évenaut, M.de 0- .g s'est montré toujours ploie debonté

pour

r ses amie et ses lemcvno.rs. -z gros, l'mJ vif et fiés expressif, la bar-

lie grisonnante, le vieaga mi peu rtesl':iuui hef des ministres

espagnois

le estonan nu

historien fort distingué.

Le maréchal Francisco Serrant a gagnétons eue grades poilant la gnoeno del'iadépendance. IL fut on des premiers àproclamer, .il 1843, à Berrelene, la dé-héwnee d'Fepartero, il combattit avecNnrvanz le m ui té

01pros I. ,es

anratien ae fia rame ter,M t rime, il fat renversé par

R and' S i roi, et, à ,,a tan,, il r'ene' le f tore Sot, Ilevanu b-

éerai, il futl'advoraairdNerveirz, quiléloigna dela cour. Depeie lors joegu',o1834, il siégea au Sénat sur les tracs dela gauche. Il rit partie de l'Union libéral,,et quand F.spa,tero et O'Beunr il se sépa-

rent,il

opta pour c dernier. ll étaitcapitaine général de la bastille lors dacoup d'L'tat de 1856. 11 remplvo 01 airs

collégnn a.Iour1'hvy à 1 1- .ariadeParis. Dnp.is, il n'ai coes6 de lutter con-tre Narvaee jusqu'à la mort de celui-ri.

ll lot 0ompnes réoemmcnt parmi les gb-hraux 'ailée par le cabinet (Uouzalez

Bra déporté sus oveiea, il est vmutiro à la tête

Csdo la ,évolution qui a

erse la reine Isabelle.

Il

est nujaxe-d'hniéidtdiitéprsenu rioaueou mnsre.Le maréchal Scrraob est né en Andalou-

aie cors 1810.

Le ministre de la justice, M. Aguirre, aété dep.té aux Cartes, et appartient, ainsique M. Caetèllaeo, le nouvel. .loisirs desommer , a. parie de l'Union libérale.

Paras, 6 Octobre.( Correspondance part uI )

Leprotcetati

, de la r e I lspagneque ient n os , j ourua.. a passé presqueappublerçue.

Comme le dit te matis ""?ce-val favorable cependant à la cause dsa-belle , « catn protestation ira rejoindracolles do toue les princes dépossédls depuis50 sus. l

Do reste fit patilt

que les eleelutonuai-nos espa0vols ne redoutent pas beaucouplo Ln= umeut de I opnuon lino que par delàlas 13 cor P-a au sujet des Snônamoufs ac-

mplee, puisq.o, d' après cite dfiplrlec dariladrid, ils n'attendent que la p.blieutiondu mm.ifiistn royal pour le faire afficherpartout et lai donner la plue grande pisblimt6

La prolos a(en de la junte ,)revis.!lequo f'u sous les yeux, peee nervi', qui aprécédé Initrée d. maréchal Srs ,ne àMndnd, daolare que eu roeoluhon, ndo peuple et de tous les partie lihéraus,

désire moutier à la bec u'0 l'lianrpo et dnonde, qa elle 'et ri éo a ls euider

le triomphe d. rira t1 urdnil nonnous a d prix et les lié

nells

reté p b.

quris

déf titillaient ass i J qui1 des Premiers actes de e

lala ]ante a été

cudre aux propriétaires erspectfs les,'1,s,C'est co qui résulte surtout cautionnements versés pour ira journaux.

'On 1 tso ,.cri passage avis fla s

la T t p s va parsit avoirb E téb'I l p p f s suern litre, 1 t t._ d la tàoh dnfdillet leur est rmpo é .

Lu démission de M. Mon, ambassade.,d'Espagne à isPar, a 6t0 acceptée par le

au goiivecneroent.Oncrmtgénérale-mentqus l'ambassade d'Espagne n seraattribuée, jvsgn'à nouvel ordre, à aucuntitulaire. Les affaires seront gô ée, pur un

pl chargé d sinises. Ou pause que desmotifs d'économie, ne sont pas limaugers àIntte re,.I" bon

Ou n'a pas de .duvettes d'Espartero quisemble devoir rester en dehors du meuven t t i b en que la junte do'. Mureie

d elles sous ni direcon

J o 0 dit qû il avait été quest,on deM. Soha tiano Olov ge, L'an ambosaa-deur

d'F,sppue

are à Pari', perse I porto desistre de a flaires étrangërea. do tiens

dit bou.esaureo qua cet hmnmo d'État arare, s jours dermes, de nombreux télé a e des chetb de la Révoluho.,n t rit de arlehal Serrauo et deMM. Contera et Rivera 'cour l'inviter à faireuartie de gouvernement provisoiro. Le donde la Terre amuit désiré ms e qu'il ac-replut, amer que le gé é I 1 n, le par-ag d g e t p l'a. Maatsilp fit q 21 OI I qu51 mioes,I m t en irbpveuhte de1 t et q l ait été l'un des plusn'dents promoteurs da I idée aétr-dyuasii

l'a qai vient de tnompher, dsire restera l'écart pour le moneut. Il e persistémalgré toutes les mskacrnt,

S'il faut eu croire l'Üneoers, don Carlosne seraitùpas, om on l'avait dit, en lispigne o l'1

cocurraitme

risque d'eue a.retéet fusillé, dit le,journat do M. Venillot,

e il dapréte à y entrer et à ap

Ni fie Ri

peleresvaspartisanel'ambassadeur

plitipagne.

1 A le e, a dh quitter cette vïll t estattendu ici.

M. de Go lie est, dit-on, revenu ,la Fou,talon Ila. da plus en plus savffrant.

Il n'y a encore rien da décidé quant es

retour dé l'Empereur ; u,vertut0 des'liasses impériales rat cependant, parait-il, fixée an 20de ça mois

L b 't .art q.e l'idée do l'; b'4

nroltg sentlcous le sceptre

devdo e Fer-

au l e,sl'unici de Portugal, soit le.a,. ,

celuidn roi .ataI

lier a e r lieu la 3a jeumoér dos coursesdu Bois de Béulognc. Le grand pria da'limper... (21,5011 £,.)a été disputé pardmgorle et hocadero, deux hesa.x deM. de Lagrange qui sont arisés dans l'or.

.lit Il

lire elenant deusemilele onna0sureleu entrées.t

Le public a an peu uré à cause dusur noue ru ^ coneurDote, ma à quipetit

Ilu député de la Ch---t Iuféeieure,M. Eeehmsori,eux a failli .,tort, de lamort d duc de Clarence, mn is su s M.1-,mille. M. Eschasseriaua et tombé dans

telse

t a pu échopper à l'asphyxie eu9e OmmpOneanl a.. para s dn la en OC.

0 I t 1 1 1 u' e'q v 'e laeo t ,; uarillmine.

Lie de plia grandes illestr'ti s

t général buronmihtanes, M. le nuit n aRochet est mort la unit dernièreà Telles,à l'àge d. 91 ans.

L'dneair national, a dcmaulé u000 ,ta-péfaction eo que M. le ministre d'Etatferades 95,000 numéros du Petit-Moniteur vaschaque jour e sa disposition par M. Wit-

hi 4,600 numérosterehlim. 11 y anis on 0pour les connnnoes; mais les 55,000 ra-tants, qu'on fera-t-on 'd

Il rat probable, dit l'dreair, que M. le'uistm d'État aura la i cuité do distri-

huer des abonnements ratumits aux l'anc-,iomai,,a qui so

serontgdrstgue,parleur

nô Inclut t él f Ainsi, ilo y at d t p a,

les amas du trv su.me degré qui auramntrefusé 1 pl der les afflobes du candidot do l oppos trou, des abonnements de

cois peur les amis l'In encond degré,et dos abonnements d'uu an pour histoireofheionx.

Pur là, la lecture, assidue du Petit Me'

sterne dovimnaralt .ne sorte de forcer

gracieuse de In part de 1'admmistmtion.four extrait: A. 1,.jet.

Nous 'vo uao,eaô , d'auras l'F, e

ont, riss na entrions quinem aient faitquelque bruite riais le nomme onour.Nous lieens aujourd'hui sur le mème sujet,loris la oorrapondauce par'laienne de l'In-dlperrdunce beige :

v Le chambre dos mises ce ceusation'lot ,pardonner la mine en liberté so

luctiou de M. llagolmaun, compromisdans P'lioir' Aycard. »

- Le 28 septembre n ce lie., su châ-tra. de Possenhofen, prés Mu.ich, le mu-,iage du duc f'ellen;pu, fis da duo de Ne-

ee la princesse Sophie-Charlottede

eurs,Bavflre. Les membres de la famille

d'Orléans ,ni assistaient à la e'lébnnironétaient: le comte de Paris, le duc deChartres, le duc de Nemeurs, père, du me-r é, irise que le s 1 ' \I rgareni- etBlanche, sce so;a[a, le prince et la prm-oease de Joiuvillo et le duo de Pnnthicvea.

La hiuldiotioei nentiale a été donnée

parle pire lfavnoborg, supérieur des lié.

nédietina.

A. banquet qui a suivi la cérémoniereligie.ee oh en se t'a.vaient réunis, ou-trc les membres des doux Pamüla, gval-

de lev entanrage leq.es pesonnesmoto de l'ove, continu rhaf de 1, famille

d'O,lb.es, a porté le toast aux jean..époux.

- II a0 negdmt qui a sait pn tir dessuil,s ficheu.e Peur Mong n, l'artrse

telolé l p é octal' donnée

l -DIl pria p1 lé il el fur n tc I toile ,onadde tomber nue

trit

1 l art, des Jfugire-t ait ry

oliqeen

evnh, es termine,par e

dArn i o I ,ctteura5e retr

MIl Titi,,,,gtaana .m ,1,.,",t do ln - do-rutoier ,^

1 I. I rri,Ed ils salle. Fleur t le'

docteur More était présent. A ,,i,6 doI c 1: s, il trouva té M 4 iiace nul ehmse,

sailegnant

beaucoup

d'moo blessure qu'il avait reçue près de l'oIl et pr et d'eu coup de s lireMalgré I¢ faiblesse causée à l'a t t par

1 bondance de 1 hemorihvg e, le docteurMoere, a, ,en lui avoir donné les premiers11

vina, e pu rassurer le publie, qui étatresté fana I. dalle en proie à oue' viveanxiété.

Bibliographie.

.il6tnIi,^l sur les Coquilles (oeonina rien

terrains d'eau douce du Sud-Oües1de la PTarace , Par M, le tiocteetrJ.-B. .OLLLT. -Il peut

'pupénible pour an cantonnier

de casser des pierres sur les chemina, mais,l'avoue que pmir l l rte t if d l'homme

.lieu lent pleines d ,intérêt; il ,aitdeeiprodfiges sur 1 grandronte, et dannchaque tranchée il lit une page d'histoire.Et pourtant, lr,plup tri pommes, mimemeIroets au niée d tous, t p sur le 1

qui 1 pp t un il, 61 loti tfésana ee dé1 S t e cet .a hé.rit g No per e Volta to t lo P's-noul, ta t a c épri ces pierres,ces g .,i"5 terre ée, déprit m st(

de It t s de la vis et du moufle lMafia de ,et hcrtag1e, nos rAicaglna, n es voi-sin t pa

E.te re pa

pl dans l d e c Eta c :étét, ggraphl , st en'Z',

r; iblement vue cette géologique dess, alors méme qu'il n;y a dans ces

terrains aueaae m et aucun gisementde roche

exploités.rIie

vous vous avisiez dedire dents cc

ri

que Toulouse, desunePremréres vils de l'Empiee, 0'a quereçucette .ailes, dans sa Faculté des ci s vase,

ri 6.1 b, deemplaira du la 11,.9.. og qFronce de u1M. Elïs de Bnt et Do,frenoy, vous ne rencontreriez que des in-crédules.

ourtantC, est p I. fàcheuao vérité, et sifaut t d Ifé t stres quI t

r ilt 1 b) tri plus an

llsdrmr.néIliait

lta à l'étude do lagéolo,iu, vu mus de 1 histoire naturellequa l eu semble vrarroeut redouter. IL y aIlion les pcegrainmev quoiqu'à leçons

n hié're Slnisoir 1 serrées à ces vantes insuline des, n humaines.Mais en quittant le lycée, au grand déses-pain dv "te

aencollent profeseom, nous

s bien oi s r ces matiérealitqu'un rotant des écoles primaires de laSuisse. - De sorte, que plus tard quandun de ces livres, comme celui que nousallons analyser, vient à parître oeox quipeuvent en comprendre la valeur et tinté',et sont peu ambrepx; -nls quelquesi.itiéa en font leurs délites, depuis lesplanhumbles naturalistes, les savants encoreau départ, jusqu'aux savants à l'arrivée,

' Là-.ire a "Institut.c eCeüest pas an livre nouveau, A ppropre-

m ent padeq que celai de M . le fenteuteint,Yr l t e t do é t n Se sesil

ira ou, ,ucouiet , il, 1'l ('g fit f l il , for-

t d d du lit_

d net de laFrance qui parurent pour la première foisen 1804, .aie elle est crusedérablemeut

montée son plue grand nombre de co-quilles sont emxrtérisers à l'aide de diw-

er crament fonn.lües. M. Nenliitee les yeux toutes les eepéces qu'il

décrit;, car il a visité e plusieurs reprises lesmentis

ri

les plus importune, e e mümeémps qu'il se procurait de nombreux ty-

s comparaison, soit de France, soit depesétranger, sis formant afosi une collection

miigxe et lent précieuse. Chacun, des troislistes de fossiles amactéristiqua des troisformations d'eau doute que le savant pro-

bousnur a recooa0es, t précédée d'oveiutrodxoeien destinée

,estconnut. lof

traits'-italien, deces grandshor gin.go abgousQ quel uo ns tout à fait élémeutaic

l'ont pan sans doute inutiles a.11, Illecteur pour ha parfaite intelligence de c

quoi nous avons à dire. L'écorce solide daglobe s'est d'abord firme e,el s verrontau dépens de In masse ignée perdant conti-wellemmrt de sa chaleur peimitise. CesPremiers terrains feront ,ccouverts par Ion

qu'une température aasezbassa avait,enfin, forcées de se condenser.

A.fout

d'un océan sansbeevms à l'origine, se ,1é.posèrenEdoe sédimeaty par surin de I'aIle-retien et de la décomposition des rochesEmovgbcs, ordo trauspoel dans leurs bas-

es par les eaux 0tiroaphüriques ales élI.t. Ces düpAIt formimèronn let qui

laosn provenaie pnnp

r euéea stratifiéesblemens sute,ontinnelement jusqu'à u ,jours desterrains arg'ilmi., marneux, sableux, cail-

louten., etc., en sont recouverts les vos

les autres.boulon changeait constamment do lit

nt les fluctuations lentes ou lrusquesdeil'écorce solide qui oscillait, ee plissait,

brisait, alu de combla, le vide qui te.-lait sans cesse à se former entre elle etles maiiérns inoandescontes qui sont sousos pan et diminuant de volume au se re-

froidiaeant Do sorte que la série des tes'a etrahiShs n'est pua rompléte partent;

las terrante les plue ancrons vont aussi teeplue toonnentés,,'.'.'t.',.',`.; pont le voirduos les paye de mquelquefoialeurs couches sous complétemcol redresséesn mhmes revvervlés, tondu quo lot pins

iéceuts, comme ceux qui sent

on,,

euvi-nc do Toulouse, co vrt horizontale-

ment la plaine. L'étole de la stratigraphiegdoleyie s[rai,grapliàyiee se complue

uéceesavemont par l'étole des fossiles deplantes et d'animaux quo l'on trouve da.ales , ouches, par la Palëc"telogic.

Les fiisstlea "-lent l'une youoho à unsantre, sivart la Race q cette uche

.c.pedmi la probe] ardu sol, suis srutles mimes dons toute 1 étendue de rhanunod11 0 rtpac g u'1 1 u'

r tp f I gt nItsir¢d Seulave(1r77), lirnpot co et la, lirenhcessité ho ütudae locale sot gicérxlea1 pl te . 1 f 'l s lorsqûonv t t c I h

de

lug r .

( 1 . t i t t g phi, eu pt I 1 1 éfo t .f

11,J t nt1 ryeondaim,

tertiaire, qat d ne

de1f tri Aeebaaale pünstylu du monda mit

dons; on y distingue de loin, à traversdes modifications en.. doute tops diverges,las g d a cté S x et aplant de nos jo Il d d c n s té.,,Il p is t et gené 1 il t d plus teesdés 1 pp dons la vaste région dont Tou.lo.se est le contes qua M. Noulet dési-gna par uu nom hlot,ueux : le Rassir neau-pynémicu. Chou noua comme dans le Nordde la b'rav'e, des lacs exclusivement d'eaudouce semblent suai ouvert la série desdéprit supérieursaux terrains secondaires;la mer remit ensuit t pe, pes-

on do sol et In dm pole, des rue-ehes cmarrérieées par la pois'o'n de Narnmitres, eoaqudln lenn;.ularra e'uv animalfort bas plcé dans L il 1 être, ranis et qui resycmbl lr p lui, f a

les des plue ancien ,d à cet Lo-1,oon première mnmfestntion d développerem de la vie amorale sur 1a terre. Lan 5m la perd ièro séria de, terrains ter-

tiaires on eonéüd gst constituée pont rien

.capes de 1,600 m de ,0000 eu aho r

e fossiles terrestre et la t s,dent te(partie de l'Aude, l' l é le Ilo t Ga,mu m, du Tarn, de Ta.. etUarem e; du

Lot, 1 D d gne ot 1 [ nde).-Le I et I s gai c nt mdnSO

pis noient dGGnrtiva t] inter t 1

tramèrent dans loi L 1 t 1 splus récentes formations Je l'Untels. quicommencent ce syst 1 4a- conta,gnea ù etrutificaAio très to téu quiras.

au pied de la grande chats' 1 1 aa-

nssiu souapyrénéen. Ce n'est pas .alent la dislocation d t le c U.r-

a qui Il' distingue J c et ee plusnpc'nues ou pester oo e ri s f s l tut

an.pénisos,-.,,a .as - ule caracterseent; et rec.erllrs eu, d s pointsn

dinars leur identité et leur coostanen éta-bliésvnt autre leurs glsemunts, pvartantéloigné' les mus des autres, vue comme-nauté dige et d'orige.

Parmi lesamiraux,in

dont q elq sdécouverts ou décrite par M. No let, ..aitle. vtwna un carnassierdetailla mryun-.e, le Pterodon; des pachydermes à dogesppaire Polopplotheetnm), à doigts impairs,let Palmotlia,iem et les Lophiodon coieivsfin Tupir, dos oiseaux, des Crooo lilas, denomb ,nus d I t fl vatl'uet d n lait q a 6 11 Les l-

'r q b pl 1 ablcs, les ac-galee, les gris,cncelont ,ours vestgeu, for-ment des étages an dessus lés uns des nu-tels; on runenuai nue ai bon ombre

""P"'

sont r ae diversessones,ee

"Il

établit leur evmma...Il d'àgequant a la période glologiqua pendant Ia-gvelle elles ont vécu, d'a.tms sont parti-

hlees à chacun de ces horizons calcaires-Le temps pendant lequel se déposoteneeesaédimsnta fut ai considérable quo certainstypes s'éteignent pour pe plue ne montrer,

i méue temps que d'autres types qui tee

cetandis que certains de leurs coutamp

mofile e... c.aient

-paraisse.,

pos ceux-ci parafissent à leur tour,

ns parsies nt et ainsi de e 1uiuvs supe ce

présentent

au arasas;

qu'on ana couchestes

e plus rfi-celles.Co

arn vea nsatnotinne, tes appantmna

successives e t simultanées d' s, ,ort t i "l""."

S

àl lv

.moines,rtlt .t d s t ut 1 1 p f aimée,fi p rs gnrl y a de t t c, laterre, sont prémsbme t .es faits profondé-ment myaténoux qua le p.llontelogietedoit usure renoncer à expliques ' t nnveut en lancer dans le domaine da l'hypo-thèse avec las syaténees de la création onde transformisme.

M. le pmfeaseur Noulet; signale senle-ont le probléme u lainons 1. statistique

,les espèces; ou but net : farta ers

créa. 'lins, il notelens eetspèces iommusreca

a basai. sous-pyrénéen et an bulot. deParis, aux gis, ante du RasBlrin et auxterrains tardai es de l'Il. de \Vight.

Les Pyrénées avaient grandi parce quetout autour le sol s'était abaissé; duoscet t dép selon les eaux donnes

t f d lacs immenses dont lesdépdts hennontanx reposent sue les ainestes de l'Emene rolovü sortent fax abordade la chine ; de grandes .,ans es répé-tant à da intervalles que rie, ne permetde préciser, distribuent leurs alluvions ter-

v' une espace à peine ood.lé,rouluslégèrement in clivé vers l'Océan, qui prendainsi après chaos.' de ces crues une alti-tude plus `paréo. On a talpulé yve les

de. i'yréuésseouE atfeiot plu site 700clé-tees d é sainocur D p .1 des I yrtvéeabvagdau riels de la Dordogne, et de lom-boeohnre de le rivière do l'Aveyron danscelle du Tarn j.agv'à l'Océan, lie se mon-trent à découvert, excepté dans les ,ai-lbce où des Jüpdts q.alernnires et las al-Insinue ma demes

jus

sunroenlovt sur dsas-es grandes étendues. Le cannelle laeus-

tee va jnegdà mo ligne 5e partge, falb:,arpeu élevé qui sépare

Il

bassin de ta Ga-

ne de

,,,as

de l'Adour et de. la Leyre,et a.-dolà de laquelle lue dépôts étaimrt

marina (.Molasse etquilliier marine).Pendant que les 'al'aires, argiles, m -s, on- volas et salles e dépen mut

parall`II, 0,:nt la litres, la faunemu,modifinitco, 1l ucll3mcot.Sur les monta500v ut les simples colli-

ibornaient la contrée o - ré-s qui sema e ussré.tomes a leur quelq.os c l'a,

Sr nombreux herbivores attmg rait desdimensions colossales, des Rhissoedros, d'é-

es Maatodontas, de gigantenques Di-uutherium dont las prodigioaons défensesde la màehoire inférieure sont rccourbles.n-dessous... Pont oxpligncr la présencee pmcile mo¢stres ont unit admettre

eichesroc movïe dune 1. végltation. Grillessalies de M. Noulet on sait eusali

effet quo enge uni losuperbes gra Ocu u dois ni

brun de r sagos .dana le ndore locale notuolle, ea dépouinant 00005

maliomeal de loues feuilles,mot are nord dan eaux co autos et des

lacs, tandis que des palet x frondésa,drvarsas st dos q l

ous a0uabri'

nu feuillage pli. t nt, a nbenel.

il oarbresnotreotre paye un reste de physionomie .,due

le qu'il a depuis complétumevt perdue.Cette olo Tomero aire a des an.le

c tenter ] flots, étudiés va

es euF let

l"ut, loba

m tt tlYl i uedII-L. d ,lu I, dis, e lui

ux et des planU f tdos

plusoulio vii ts, dont le pourquoi reste à troq.

;as 1 ievdant cotte môme Périodaer, c'estI v q

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t'Islands,les

l 1, 1 Sp t b tj t rit À 13as eu bdé ll, p e mo4 e t ust It i1 s 1t p

tr r eplé d'une qui date depuis le co e o ee rit A acite- et par préférence, I 00 t 1eux éehr c , aleut louant t de lu- A;s ot illusion é-ard p 1 800 Lires de la S de la Rr. m atins, ,a enmpo;b d t que la hull"t t@ des char e- 1 d'U A ll 0g son ne ct v pritr ire foePis acte It 1 l A t

qui1.

Ièiet

1 ed'he, co reine I Co droit de pr livlé o t t l'.r J l t t e C

pouJ .d anusoos 1 i f C h f dlit iq 11 j t le' 'en b nl

' em ra ls Ici complications t dllbl t s 14 d0,sario e sr t1 'I d t t 1 ç t d la nature algol pe t queour

lit, r ont 1 p t sec sur Ips 100,0(10 ri t"Il ai xM u ot p t- L."Ù iii, la :5 1 1 I ,. rl faut én, oinpose le Capital 6oelal, d 1 tloua a,, e

d t e c t 7 tt aussiI r t fait d 1 y t t t li Î f n qu t p é L 101 d l tr 1 C U r p tueultai nez'élis t c"t t t en t ôtra il g Nu v l I 1,n, t a dq é Itl m t.0

monhant de. p d ç t I 1 171 dira t on, do b L 9I le dect L emasiou est faite au prix de 4111des crocodile t d.- 6 I 1 t t I t d q Il P ode 1.1 r obli blesenfin des rooll q Uh q t d I 0 t tait ça pa gatton, paya commilits. , i, ni 1 L t e b le taochre a sa tit I t c II II

Pe mp 4 hl tq o des -11 d p le En souscrivant...... ... , fr. 40Sont dév Les Ilus ç t f t qû lt ta I pl s pl c Lora de la .i t t 60dout dans les argiles et aturnils, .t -Ii étt ii t sagamté, doffre, quelques ion Du 15 au1 \ 6 18cela ',

stnq t

(ri,. 75dans les cal,mms tournés au f 1 '111 lac' s 11et D is p i?rea et tmméd,atce et, ire Im D, ter a, 10 J or 1869.. , 75t qui contiennent en out 1 d t buse solide, de permettre à Du 1,, au 10 Fécrter 1869 73iaanaerec; las eapeoaa dur' t I dans t p ,t de plonger sui regarda jus. Du au 10 M s ... risd e subi et les grès délaissé par les maux qua de .cuveaux et plue Im¢tait s hara-IDI N let a éta ;, quo las terrains de

réasTotAL fr 410

lot, les out G P éd t en commua Émile Cavear6nec, Le premier coupon de 15yyrama, échéantt Iret,a¢es moyeu' le 1=r janvier 1860, sera déduit du rerte-

soit de J0bu ldAll magvc,quelqucs t a flect1 r 1869 sous au

espèC,ea ido t qrJne seul pe écu lim chut l'l;o ÉMISSION d ut commou q ta

tastre ¢ivaut.

Irène supèe t 1 mt cbno (I'lauorbsr

ti sera délivre, b ru de la répartitionCoran), 414,000 nnligatin a de lino 11. eea ohligarnna proeiaarea an porteur

IJuatee s lemr"rit ont survécu jusgiià ers r.A suie v rv i isam ienrve échangeables, après libérah pl tevos ]nous. At ta ris que t 1 c x A

rcontre des Obligations déft. t L

x, Y I cessa pt 1 8110111 CO INPI'RESS1oE Obhgat,ove provteoires et dét iihves sepoiaaane, modnsqura disp a t tour roui euoteestgnéee par un délégué doa tour, seuls les quatre plu

e

smolms Gouerrneme t lt 1 u. (Art. lrr do la

qnw a'aecommoderovt à dee chantre lot,n

` Convenbov )vous l'action desgeols 1w premiers avatout B A C S Les souscrtpteàre qui vbvdront eo libévieux abé, ]a uatar« hies et ainsi l'ingé- r mplétement autrutlae faucé d'anuie 'e apologue du 90e et du Roseau. DANS LE ROYAUME D'ITALIE

avt p Ples semants c

rechompté

àCst aussi rne loi que la longév,tb des leur profit de 4 010 l'an.

types est en raison muerai de la place Remboursement en f us Il erra perçu dur tort versement en re-il;qu ils ogcupevt doua l'échelle dos mires, en aomnauvi r. nu 1=r tonna, 1868. tard t tutesil à raison de 6 Ilé l'an.

raison iuvorer encore de la taille et de la Le

s

aooecriptenr qui, à la répartition,messe; et e t suivant cae lois qse 1a casa droit à trente obligations, eu à desSauu 'dor¢es.P( lad fin

dagl'iOi q t ctm au Conversdioadu 281ui 1888,"étonnés deslTitlrea

de tueramentcdans

Plwcèae louap q parla lot du

14 24

4 ao4t 1888. Pris P perque à leur t 1 e bacvne des trente' ses de manière

us pyréuéenuea dont é dé ç 1 yu à chacun dee trente téririages

semestrielseomouvement qui ers onte encore, sera certain dobtenir le rembo.rsement.

des claeæs el'avimaux et de digénon. mu- Ces Obligations eont émiaea pour faire au pair de 600 francs, d'une obligationdent à sa rapprocher de plue en plus de

auGo¢vorermect italien une avance s.r ans trente.

crue d'xulourd'hui, et d'autant plus qu il les produits du Monopole des tabacs. Les contractons ennt autorisés à déclad'agi! des espèces mférmures; l'établieae- Files rit assimilées aux titres de la r que ses obligations ci lées suaunie! de la tiare et de la faune actuelles, Dette publique, ot ne peuvent lamais étre Aoaeass de PASIS et de FL

serontrit date.

las r'Lefs et les entouré que nous trou- passibles d'aucun impur spécial. (Art.Irone à votre glebc,no datent relativement de la Convention.) LA SOUSCRIPTION SERA OUVERTEque de nue joute.

Ce endxn si Ellesaontp t les déco¢va de MM.les garanties ; Les mardi 6, mercredi 7, et jeudi 8 oetobravante ceux dé vie et

Dolaueay e

et autres aa 1868.vanta dont déli-Rivement ternies., l'hom- ' a SOOIP ANOYME, en oa-les urert vécu, non seulement ce qui est

le Par TL N` de 50 millions de lires italiennes, A Paria, cher. MM. A. J. Sui- et C+,

admis à la lie de l'époque tretiaiae nu constituée pour régir pendant quines au- r¢e du Cardinal-Fesch, 58.tant tonte ta période gaaterna',re il aurait ué e la NERML+ DES TABACS, et autan - A Londres, ehee MM. SaanN-Bxornn.s;acore laissé des traces 'e as. eEeur en sée à prélever sur Ira prodait, de co mu- A Francfort, chez M. JACau S. H.

]'rance da s les etaobe noir' neémémes. nepelc avant tout paiement a, gnue e- Srsvart0 Dest l'o0mion unawme aujourd'hui ement italien et aux actionnaves, tee

A Berdàn, chez MM. Rorenxv R'Aas-da:as la soienca qne tee âgés géologtgvae s es néeoesamm au servme des intér@tadnavea et C+;bot tous eu une durée mcalcvlabte; !'étude t de l'amortissement de cas Obligtions.

,.l'observation voua démontrent gui les (Art.5 ot 23 do la Convention.) En Radié, damais' bureaux de la Socrér>quelques dizaines de siècles gv'embrassont 2e Par le GOUVERNEMENT ITALIEN di,Nr cer.e III CaLmr womntex 11-1,rv, deae hrovtques seet peu do chose dans la (art. 1er de la Convention.) la Barv¢nr rvArio- .'' nu nosn.aii n'hre

aie de l'humanité, et que l'histoire de celle- Elles donnent droit : nrn et de la BArvgaa rarromer.é s ruserai tout 'afin'. ne compte pas plus dans La so uteripti sera également ..verte

ncipales places.J'hissaire, du monde quo la vie de eea éphe- le A un i térèt de 6010 l'an, ait par or la. autrespriou

mura, qu'un mbme soleil voit nalt, se per lare 30 nixéduib

à fi . 27,36s

Leses pasoucariptions eudunt relues directe-

rep-;odnice et muxrir ('aacnuc). Par larete

tenuede

el'ul'ipât général de 880 ment

ueo par o0rreapondanoe. );:lice devront

None nn pouvons doter au,jourd'hui :010 sur lés revenus mobihera. Cet inté tôt être aecompagnéce du premier versement

les contiveus et les mers, les animaux et est payable en nr, par semestre, le 1=r Jas. de 40 francs.les plantes, la soleil et la I,ne, 'oeq¢'à eea v a et la ter Ju'm,usr, soit en halls soit On peut, n aire, verser les fonda aumillions d'étoilee, mordes im es ré- a l'Etranger. crédit de M. A: J. SI.- et les soit à 1aprandus d... les profoeda... de ileinde, i, 2e Av remboursement soit o ltaMe, Boit R0000e ers Puonue 1 Parie, soit se Cxfc-

en de tout cala, sien n'a élu créé, pré- à l'Étranger, en or et au pair, en quinze mr Acoeuusa et à ses agences daos lesparé spécialement en une de l'Homme. Il années, à compter du 1 Jasvtra 1869, départements.est devenu le dianes incontesté d'eue pa'- an m03 ea de 30 tirages m striels Com- - M. Ozenve, directeur do l'Agence agri-tio de la terra, ogot régal à la aaefnee, ma e } promut chacun eue sèrie de 45,800 obli- dolede Toulouse, alléecLouis-Napoleen,1.ensemme, iil Ire uverne pas, il n' pu ", ,gateons. Le premier tirage aura lie. le Dans le ers o les domavdes escéde-porter atteinte aux lins naturelles que daoe Avntc 1869 ; les remboursements seront réieot le nombre de 474,000 obligations,

:assure ineiguilianta. Il faut, parsuitc, effectués trais mois après les tirages, sacs les souscriptions scrot soumises à anaeu prendec notre parti; le calmé, le repue aucune dbduction d'impbt. réduction proportionnelle.

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c le m litm re ae fat et Mlle MTarie-AA i`+ A x et tt " t 1 11

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Ouolan 1 e 1 ', v v. lo,rlo IOle,JeauBm,a tee,'t,se and, à Maubeo' H axdo eTarn et Garonne), et Mile Jea.ce Du'- et l sucres eet aa nié Vair ,

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t ll d 1 vue da Vmceon t MIl : PII TILI'0 S70MACHIQIIPS CO] Fs RT-eMarie Lbsai eth Aimée Lmlehne Paris. Detm,ecnt ia C sri p / n, le (otir-

M. Jean Fran;ms Aeéma, sir d ssamende, laBil rie If d . t dPaegaminièee, 08, et Mlle Marie C Fll te tlaç p(t t L i -t l t I rlrua ae I"iffre lu 0,uora, 2, g t L gel' ç d

M. Joseph Lemaine, maraov L 1 Ty t l Ap pi f ,t P eed f . le h ( -Pae-de Colas, et Mlle Marie lie r tt L le ç 1 g Ta 5 o.

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