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6 eANNEE.-Ne X44. -. ABOtitiEilIiNTS : _. TOULOUSE : U. au, 40 le.; 6 mois, 21 fr.; 3 mois, 49 fr. .j: U. an, 50 fr.; 6 mois, 26 le.; 3 mois, 44 fr. 0ea11-Oarou emental!' Départ ETIIANGER: lies frais supplémentaires de poste en sus. Toulouse, 5 Septembre, BOURSE DE PAPIS. ialtesIu eamprémenesiro an e rs des principales vulenrs. Oe De 3 r000esoOn. Prérôde. sonars et Aralene dotur.. comptant et terme. ssllOblip. du Tetso Cap. SS,a eu Gred 4 fore. (eut).. camp. Sara so Créait loue.( v.).. omp. ce Crédit four, d'Ami,.. Drop. e 00 Crédit c.00les iel.. camp. ..le u oo J. nov. , roue 195 p Pin c O . ors oxCI' mob. noua. 291 1.60 payé Cru as id. 'il- mm paya. ne Espagne 3 ep exi... Camp. 0o Fat e 3'l' rot... camp. wmp bus oo J. . 1. 500 fr. Lth.. Fin c. sas oo 1, as o{Norami. a. 1.. camp ne o J. roua. 400 fr. Lit, . Fin tt n1o; Méxira:.n....... camp, eeu rs em. Meximno. co p. sr, no Victor-Emmanuel e o 0o f. 11011001. . Lib.. Fin a. 50 leIJ. ot'Z',, ü00 f. LIb. Pin c. 2n Il gév cilla, p.. .a an] ltd .4605 fr.Lfa Pin ,,oma sur sol 11 l'in' Il Pamp I .g . g ovlp. oc Bare'lon_ c,ma ..a.e . 0o J. ,rleg', . . L.. Fin C. 0 0o Portugais ... omp. oaigoa;éto-immotuiére . rompu nDAAaatiane. as, as'CrOGit font. 4 "i' J. covemt,. sol oe) - 1tt' 4 01" J. novembre ., _. 000 f 3 ep id.. . s Car, v ,a 103 rit.. .Bit e 1. mai. 30 id. o ale 3 , .le ooa BOnlb id.. Sta os o.""" 1858-55 id. . n0 GravdCentral 1856 id. . ojLym-Ganéve lit. o 1. , r, 1855 J oerob 6rx oo Pnris-Lyon-nÎdd.3'1 e7. janv. ait .10 Ones0 nouveau J. janv. . to [il"'! 3 "I' 'd. Lia ce Est 3'l' J. décembre . . Il Danphi il 3 d- id. . . Bra 00'Lomhard J. janv..... . ,af ,a. no Bbmaine S of. id... . .au 00 Coed. ve-86ville ... va Sévfha-Cadix J. 76 at soi nouveau anac. s4 no'. Saragosse-Pamp:lune J. Ici. )os Il Nord de t'Bepagne id.. . 3 ao o Pnrmgxis 550 ou u ^btigde l'r 0euo ea . ros sas 00 Lbi. de utlep t de aria. far Camp. ïaan>obiliére de Paris. 4f ee Caiaee se. a"s chaiaim de fer ----------- - BOURSE DE Du 4 ssrrsmsne 1867. Au comptant 'blocus diver. Borner cours. Bavas.. Baisse. g 0/0. . . 69 80 0 20 0 00 OBeedl4eton de, 10URNAL 06 TOULOUSE. QUINUN U FORGERON On resoât les abonnements et les annonces ; A TOULOUSE, atu buremrc des Journal, rua Saint-Denis, 44.-A PARIS, cbu. MSI. Hava,, 3, rue J.an.leaquas Roueseau;; Lereoeo.BUs.rana,et camp., 8, place de la Bourse; Forrsma, 22, rue de Trévise, seuls correspondants pour les annonces. 4 1/2 0/0 900 28 0 00 A terme- 3 0/0 tee o- 69 00 0 00 -dr.r. cours 69 75 0 10 Italien 5 0/0 49 10 0 15 Crédit mob. 280 00 7 30 C. m. Espa. 180 00 10 00 Banque . . 3385 00 0 00 Chemina de fer. Orléaue . . 901 25 6 23 Lyon lit, . . 905 00 10 00 Midi....... 540 00 5 011 Autrichiens. 487 50 5 00 0 00 0 17 0 00 0 00 0 00 0 00 0 00 0 00 0 00 0 00 0 00 Lombardes. 387 50 6 25 0 00 Saragosse . 0 00 0 00 Nord Franç. 1167 50 5 00 0 00 Fanes. 06 LOaeaze. 8 0 1/8 0/0 Consolidés: 1b. 94 7/ BOURSE DE TOULOUSE. Il 4 sserremav 1867 De DO à 11 heures du matin. Au comptant. 3 pour 100 ................... 69 60 Ob. Ville de Paris, libéré....... 538 75 Midi....... 311 00-310 75 Ltq d i u 1B, Mobilier. .. .... .. .. .. 271 25 Lngwrdalsoo mu 3J. 5 p. 400 ............... 6915 Dépêches aéségraplslrtnen. Madrid, 3 septembre. Un ordre royal rappelle sous les dra- pe.uus, tous Ion soldats en congé tempo. rareIs concession de congés sont momen- t é tsusp d Dette intérieure, 51 150. Dette Cillé. rée, 31. Télégraphie privée. Paris, 4 septembre. Alunich 3 se teenbee, p La lJoJ(rna n annonce quo le traite douanier du 8 juillet a reçu, le 51 ,et, l'approbation royale. Buoharest, 3 septembre. Le consul général d'Autriebe est allé à Roustchouek faire une euquélo sur ou fait déplorable e000er0ant le vapeur Germera. Constantinoplre 3 septembre. Le bruit se répand quo la lente a répondu négativement à la dernier. note Ides paie, ...ce ém cernant ll Crête. Antre dépêche. Paris, 4 eCptembpe. On lit dans le bulletin du Nouitear du soir ;,,. En France t à l'étranger, les Peinai. peux ra han de la presse lendent bom. mage à la hauteur Ses vues e4 à la noblesse des pensées qui ri les derniers discours de l'Emppereuereur dans son voyage de., ira départements du Nord. , ils y voient uns nouvelle garantie des .,.._ TARIF DES ANNONCES : Annonces, la ligne ................... 0 tri Réclames, la ligne, . ................. 0 le. Faits divers, la ligne ................. t Je Toulouse, fmpr, Pb, Noir-es, p. r. St-ftomp 1 Centré, dispositions pacifiques du Gouvernement, e est encore dépourvue de constructions, municipal du 12 avril dernier, M. qui a toujours trouvé moyen de concilier oe qui rendait son obscurité plus dame- ambre du conseil, demanda que les pro- les intérêts per ante du pays aux esi- corso en ès-verbaux de l'assemblée Commune le , geoces de I egoilibre ouropéea et au Peu. fassent publiés, nou sous forme de comp- grés de la Civilisation générale. s La Patrie dit qu'il resm seulement dans le duché de Luxembourg 350 soldats Yrussieus; l'évacuation sera compléta lundi. Le môme journal -lance que le gou- mr. t EO fi arappelé à Cadix âa rlci, que. M. le baron de Holetein est nommé non pas ambassadeur de Prusse à Paris, mais secrétaire d'ambassade. Vienne, 4 septembre. Le Freindenbfatt assura que boit bâti- ments de guerre autrichiens ont eçu ar- dec d'aller dans les eaux du Levant pro- téger les intérêts du commeroe outnebten contre less pirates. M. R' rther, ambassadeur de Prusse, est part, pour Paris. Antre dépéehe. Paris, 5 septembre. Berlin, J. e tain a. b M. Rocher est rii,ê loi. La Correspo d er proocnciale dit : La visite de l'empereur Napoléon à Salzbourg été l'objet de beau ... p de bruits et de c t' mn.Emnte. Le g0uver....... t Prussmn aa pas v f é q 'é d. Sa manière de C t _armé, pa des dé!lara!iqumns d o l 1 il eé lie q e le but politique de lentervue de Salzbourg n'était pas propre à provoquer do l'inquiétude. , Autre dépéehe. Paris, 5 septembre. Per décret impérial : M. Polis de ta Barrière, nonsedlcr de p(f t d lAude, est nommloensed- 1 p éfr. Eure de flaire. Al 1 te de Plusaoye e t nommé conseiller de préfecture de l'Aude. Marché du 4 septembre 8; 6' ba1teeave, 66 50 Ceux de un. les nhonesés dont l'abonnement expira le 1:ï sep- feues, sont pelés de le tevvv- veler n'Du ne veulent pas éprou- ver d'interruption dans l'envoi du Journal. Tonte demande d^abnonement v accompagnée da prix, sera eonsidéree comme nonavenae, G dJtï4ai0alGj ;IC LOCALE. On noua annonce la mort de M. l'abbé Flottard, curé.doyen de Grenade. Ii est décédé sur et propriété de Saint-Si- mon, La partie de la rue Biques, comprise en. tee la rue de la Colombetm et les Allées Louis-Napolém, vient d'être éclairée au gaz. Due grande portion de cette partie de lieues d'Anvers. Oh! je l'ai bien observée, moi! feu rO. La date uéaumoins que venait d'indi- ponds. Que diable! une échéance d'a- quer Paurbus semblait tellement moue, c oest pas comma uae échéance semblable, que Wandenbeork.a lui-méme d'argent qu'on aurait soacrite à mi Juif. s'était écrié: Pas possible ! Voyons, moitre... 'ayons! ne perdez Pas Mais le géant ceueuveto son assertion v re énergie en plaintes mutiles, et son- d'une manière formelle.., et, montrant à geons bien plut,itl nitre marcha, ses deux amis le feuillage qui s'étendait à avancer le plus rapidxmcnt pos.iblo sur 14, u-doseur do leurs ,''os, et le gazoa sous le Chemin au bout duquel est pour voua le leurs pieds : - Vous voyez bien, dit-ol , bonheur. - J'ai dit ! la délibération est (Voir le Joarnal de Toulouse du 14.) que les Beurs du printemps sont déjà dis- ouverte. parues, que la verdure a pris tout son dé' Ces paroles avaient ranimé Quintin... A notre époque, dans l'Espagoe un pru veWppe'meot, que sous ce beau soleil les n'étaient.elles pas une espèraoee pplus civilisée d'auiourd'bui, la Sierra' ehàulignes ellesmdmee commenuenuànlû- -Premier point! reprt Wundeubrotl:e, Mueono n'appartient qu'à Dieu et sac ban- rie vous voyez bien que nous sommes en point capital t yù avons-uoue e caisse dits. plein été. d'argent? test là le unit' dru voyages. Les b::n lils! uns fugitifs n'avaient gobie Ea mémo romps, comme preuve de es Quant aux deux prisonniers, le Cempto à les craindre... et Dieu devait être pour qu'il avançait. Fourbus so redressa de toute fut bientôt fait. eux. la hauteur de sa taille, et dans un arbre Les deux hidalgos les avaient complète. -4près trais eu quatre nouvelles heures . n eueihit CI paquetdeobâthignes,dont ment dévalisés à bord de la caravelle, et de marcha, ils ,stte,gomene un banquet de illis écrase sou son pied la roba au8 pi- la ire, coin te inquisition, tout namrolle' bois, o. Alaetsyns !1[ butte enfla; mais non quams veets.e ment, 'avait pas regarni leurs bourses. sans titra éloignhs de in coma, mois non \Vanda06meke camasse quelques débris, Total i zéro! sens lire assurés qû en é[ai, complémment et les grignotant à la façon des venges : Ils se retournèrent tous deux vers Pour, à l'abri do tout regard, grue a t épaissose - L'ami Franeois a raison dit-il; c'est bus. du feuillage* mûr. Dame, meitre, comptez f jura Frauçois avec an air Velches se laissa aller tout d'uni pièce ànpeu prés p'art'is de Rome au de profond reçût terteifne! ee grand dia- Sur le gazon.endit auprès de lui Nlaea peu :nous sommes Crispin s'ét o,me eochio Iembo; la ud (1m de bic den l'errera ne uevait me donner C s asseoir à Ie.TS Civita à ê. de ixne du u Ouadab m' d ea ut de inca 0000 que eu momen le dorafer, vint t tué' §pis quivir u doué a duré prùs six semaines; nos e départ; et., commnt dessus, me d ,'as assé tout autant dans le re voit jas laissé l'uni lea mes poches ôé côtés. voua bien p Te! était l'épuisement des trois voya_ caclm.; et Je ue m'en étonne plus eut plainte- 0 g par Certaine Alcool., qui n'y e ooblé que s, quoi peut dabord un longai umt ça rn avait semblé diables long quelques mmavédis. Au diable soit la ma- -0 Pourbus! demanda bientôt le Raueé de po r ma pm-t' no!a I d tchen, cum es opus n'avons aucune idée Atsyns parse réalisme des chiffres , d- pli! Porches, Pourbns! déclama gra- de temps qui s est accompli pour nous dans àlaemyns sa taisait, enn proie a la Plus na- em Cris pin, vous serez donc toujours la nciné par la chair grand vaurien yue ola douleur ' , . d vi abor les cachots de l'Inquiselinn, tu vas d nous apprendre gleljour nous sommes au- - Voyous, martre... voyons! reprit ju' .as 'tes t Oh! Pourbus, mon ami! roux joued'l ui e - Vendredi, bâilla Pourbns.- dicieesement Crispin, ce n ést pos le ma. serez donc toujours le Jupiter à gros sous Quelle date 1 - 15 juin 1545, .Cet de nous laisser abattre; nous avons des Danaé6 de çarrcl'our enter jusqu'à A.- A cette 01,11lote apostro}:hc, le géant lieues à ar t i p nq cen s c Monts yns jeta un long cri de et upéfac {ion, du désespoir vers... total! tout au plus deux mois! rougit jusgti aux oreit s, baissa ses gros ve t. Allons ! ) e, épaisse ici ; lobe! e des plus moeBeu- a p é pros uue remmre r flexion et avec un mouvement llé!as t .'étai[ ce jourlit même au plus vous s z donc de doux mois eu retard, mieux tout confus, et avec le halaneemaut La proposition fut acceptée sans amer'- e' rocs, avis tue toit nstant ou jamais Ma is tard tir. GeembCe devait attendre le er' voilà tout! Le vieux Franc, quia sans il net cars 10001 onde ses galanteries : item".Li aucun. des Marre tir, bon somma... demandez plu- recoucher sur ,herbe bien -ce marque que pçaour et, t de San trou .. de son mari ! Hôtel ! doute appris vos phes, oe se fâchera - Co. va x tu, Crispin ... La blénhouroese se trouva eon- 101 à l':mi Pourbns? - Eh bien, ditil, qu'est me triom pétaitourPheure du re¢dnz-vous! 1 pas pour m pro... nmdmnoleeilm Gretcheu il, CI,. avait de si grands yeec Hoirie, elle tenir fart heurousemont te manu aononeG; I Le géant vota pour Dette motion de ]a fait moi ? je suis l'ami du grand ioqui. Et Mae{ayus sa trouvait à cinq cents prendra patience elle voue piwa tgat.,., dansait si bien le Lm auge l'eau du ruisseau était limpide et traille, manière la plus péremptoire, il roMait sueur, Nous appellera que M. Comby, pein- tre paysagiste de Toulouse, vient de mou- ' à Bagnéres-de-LUChou. Cet artiste laisse des rouvres très estimées. M. Victor testa .nt de recevoir, à l'occasion de son eshibition à l'Exposition de Paris, le titre de peintre-verrier de l'Empereur. 720 u a. Il. Programme des morceaux qui seron s t exéruléa tir Ira allées Louis Nop !sri , aujoord'hoi 5 soplembrode 8 heures à 9 heures 112. 1. Ouverture des Diamants de la cou- 3uber. ii f b t 'e V lotte, ur S S pa ka jbrét)is roi sé (Adam), h. Fanon l), 0. .'l'été l (e , r n la e S Songe dune nuit d (A. Thomas). 6. 4uadr adrille su la Grande duchesse (Olfenboebl. OBSERVATOIRE DE TOULOUSE atrtroue, 198 stems. Extrait des Oésereations Météorologiques du 2 pt (I 4847- Tbermométerc t gr lriaxrm un Ut. sauges. manioc- Aras Il mer., yen'r 9 h. du m., 05,740 91 - voilé -S.S-E. faible. Midi, 05,746 2G - beau. - S.E. assez l'et 3 h. du s., 05,745 44 - beau -S. S.E. faible Le baromètre a'a que de légères osedla- t o s d p hier tin. 112p at ra I oyenne de la journée ePte. le earsaige ail a[ tant sa qel lancés-, A. Pamn. On nous écrit des Varennes, canton de blont:;iccerd, le 2 septembre : Le téta de sainte Germeion a été célé- brée aax Varennes, hier dimaochq 1'r septembre; elle a été vraiment magnifique, grâce à l'intelligente direction de M. Col- liu narra bol pasteur. Rien tin fait dé- faut : c9mmunion gévérale ,concours em- pressé de toute la population, et aussi d'eue fallu n eombreuse acvourue des pa- s ; l'église parée comme aux jours de féte, riche ementatiou des illumination rféélique ; chants malodiv en un mot. joie peinte sur,recoieages, en an mot, cite soir, lote accom mpllie. Le dimanche ir, à neuf heures, un magnifique feu d'artifice, habilement di- rigé par les soins de NI. LvC,m , artificier de 'Poulonse , a dignement clôturé cette imposante céeémoole. S. On lit dans le Temps : , La ville d'Albi vient do donner an xc Meut exemple, qu'il seroit bien dési- rable de voir suivre par toutes les grandes villes de France, La sbaaca du conseil - Allons, allons! fit paternellement il tapie, on te pardonne. satyre 1 passe-moi la momaio e je om la naisse 1 Les maravédis, additiuo onnés ù quelques réaux, formaient à peine cinq francs de notre monnaie actuelle. - C'est maigrelet 1 grirnara Crispin niais hall 1 nous avons nos instruments... Paurb us possède ana superbe voix de basse taille... il sait toutes nos vieil[os Chans..a Ilamandes... - Oh 1 lit le géant, jr n'oserai jamais. - Bah! ..as t'accompagner vs Je dois savoir lu o......... et la loimnaidant... - La faim? se récria Pourbns, alla est tonte -on.; j'ai l'estomac dieuMCmant vide. - Et moi, idem, dit Wandmbroeke, sis je doute fort qu'il se trouve des ama tours dans il Sierra.a; le ne crois mémo pas gail s'y accent. des subor- nes, - Bigre! grommela François, comment ellonsmous déjeuner? - Rassurez-v..a, ogre que vous ôtes! votre intelligent taisait, a pourvu du moins au premier repas. Comment? -Le musicien qui ma prêté os costume voit -se liment une e se par devant,maa encore une besace par der- rière. - BahL .. fit Fourbue> rot-il de la Chance? - Cette besace, continua le rapin, ren. formait eue milice, un 'moue, de lard et de.x,gras oignons espagnols : leschàtai- gveu formeront lai dessert.., "".a nous attabler tous les trais sur les borde de e h;;ou `uns1su rb aldr e créno s N d nesn i tes rendus, mais ea totalité. Il exposa, à appu de sa motion, toutes leu raisons il'eteelt public qui rendent utile, indis- pensable, la puhlieatton proposée- , Le conseil ne se décida point sur l'heure; il chargea une commission d'étu- dice la question. C'était là, sinon an Cloue- ent déguisé, du mains un attermoie- ment forcé. , Les partisans de la publicité résolu- rent de mettre à profit le délai imposé Peur démontrer l'utilité de leur proposition: ils prouvère0t le mouvement en marchant, c'est-à'dire qu'ils publièrent d'abord un recueil des séances de 1807, puis un autre recueil contenant toute la session de 1866- 8G7. s Le oubli- Lire C.-Cillil de la population d'Alb q dans use Côtier' récente, le eensell municipal déridé que les procès-verbaux seront publiés in ex- nso. On voir donc, par ce qui s'est passé à Albi, , d'abord qu'a 'au conseil ru procès-ver- voler I publication de es e bu.., peut puis que, quand môme le conseil ne rait pas p a, r prendra une telle , es Ci mt oy ens peuvent, usant de de solution d broc iuitmbve et de leur droit légal, p d picorés b ux, et les p bl à leurs oq t périls. Sans mode; mais, à défaut, le secondlest encore xc Meut : oo qui importe, ri est la publo- Cite des délibérations n eipales, E. I.em Nous joignons nos félicitatl0nsà 001100 du Temps. Nous avons toujours pensé que la plus large publicité devait étrn attribuée es des assemblées délibbeantes, aria do i ss o plétemont que pas Ils de syns laisser à chacun sa Part t d p b li =lité, et d'initier le plus g d e f la vie publique. L'excei- leute maure prise par le Conseil ove pal d'Albi, sur la proposition de bu. Cav- run se roeomm à l'estime et à re. ce do e tous les libéraux. Il serait furtna désuer que toutes les villes prissent nerno. v rxleu1emem les jour sua publierainnent in exlanso les aise- s des conseil; municipaux, mais les déli- bérotions, réunie, sous lu forme de v lames, resteraient comma les archives des Mlles, leur histoire intime et l'affirmation de la vie municipale, base et principe de toutes nos libertés. A. Pmoa. Foix, 4 septembre. (Correepuedanoe partiealiéreJ. La Commission de 1. fête de Foix vient de publier lC progremmedes réjouissances publiques qui auront lieu dans notre Chef- hen, les 7, 8 et 9 septembre prochain, à l'occasion do la pète patronale. Nous ne pouvons qu'applaudir aux i.eureusesfoeCe.- .islam. ations de 51M. las membres de la eom- n. N. journées de septembre seront à coup sûr plus remarquables en 181(7 que les années précédentes. Reconnaissants de l'empressement des étrangers à honorer la fête de leur présence, MAI. les commis. mille, guidés pa homme dent I I. goût as sera contesté p personne, Compris qu'un l0 r, I: 1 .t smaès donner à la tète on 10100 maceoutuul: - ils y réussiront, nous en sommes ton came.. Il y a déjà plus de vingt arts que Foi, célèbre chaque année -CI pompe 00 fête locale. I.e succès est allé eu grandissant, aujourd'hui, grâce au dévouement d et diverses commiastons qui se sont succédé1 la fête de Foix Compte au nombre files grandes fêtes de Midi. A nolee chef-1le, apparurent l'honneur d'evom pris l'inithi- tive. L'exemple dx pas Eté perds. Depuis s il,, parlement Célebrent avee s éclat leur (êir locale, Lavelanet Célébrait 1. vii nne Ice iG ot 17 août derniers. Ax a offert, les 18 et 19 août, fête aux beignets. N le e eu plaisir d'y assurer, de vo MeY s com comi- - es àl'movre, et sous ns trop vaater les heureuses tiens prises par Cas. Les bxignoves étran- gers, à la station thermale, ont dû ètre 00. tlsfails des réjouissances 'pli ont ou lien. Peadam deux Jmurs' bu belle p n de du Coulou "et a d tl up d'a il pus ni sé. Les soirées 1 limanch t , Imodi et éé tl ll 1 (lauses toue animée, t 'd scies par la prés u ce a'.. rand nmfibre de dames. Des é1. gos sont des à M. Sleap.é, clmf d'orohes's'v, et à ses inns,mans. Nous vol, aqa t é l anus 0010111' ,t d'avoir pu assister à cette fém et lavoir trouvé une ocras de visiter le nouvel établissement modale, appelé nous Ip croyons, à décupler l'import:Anea de la station thermale. Nogo y vo vu fonc- tionner an système Complet. de douches, tel qua peu de stations d:as las Pyrénées "t de en Accès Lav. lanPt ej! t a t ven. la tenir dé P ers qui né" h dimauch0 t ]u a i? tare I l C tte fdte étaie 0. C à d 1 riveté de celle de r Ix. Si noue an !rayon, les eicoe- qui nous sont transmis, elle ai Ce- rail pas pas été cette année salai brillants ,an les antres années. D serait regrettable qua les habitants de Pamiers laissassent dêCli - er ace titi que nous avons vue si ba';l Elle a de reste u inconvénient, celui (je e s fcprécéd , que de boit jours seulcmout pproebées l'une de l'an. tee, les deux fêtes ne osent mutuclle- un C (; tel qui doit v ir è Foix, ne na pas à Pmmiers et r6cipeugaoment. Nous avons entendu aignalercet ineocvéoient eu main- tes cireunstanecs, et mastic'item le désir do vair la blé de Pamiera avancée d'an muons an mois. Nous sous faisons l'interprète de n désir à la réalisation duquel le vlllo da hua- m0vûrs es e, croyons nous, intéressée ,ttoms e aissons trop les apports svmp thi- q s qui unissent les habitant; oies deus villes pour au pas espérer de. voir notre vom exaucé, au très grand ava'atage de Papiaprès le programme rua nous avons sous le. yeux, des saler's d'artillerie an oneeronc à Paix, Ira samedi 7, b G beurre du smr,la fétu du 'endormi. A sept henras elle sera P!àclamée par des hérauts d'or- mes. costume de sri' siècle. Parmi les le cresson des plus savoureux, eicellC.tCa déjà le. chtaignes. - A peu de choses près, avait dit Cris- pin, ,tablé à l'aulique sur le gazon, ce repli, là peut se rencun,lcr deux fois par ,jour. Dame nature nous fournira généreu- sement Je de ses ruisseaux et les fruits sauvages do ses bois. Quant aux oi- gnons et aux lérumes, nous ,ro fors pes faute de marauder au besin dans les champs spagnols : quant au paie et à toute espèce de tricot qui "" -v ad- joindre, c'est l'affaire de la violde la d li , man o ne et de la cornemuse. 1 cade étape de la nuit prochaine. Dormez - Si nus tien savons pas jouer ?,, donc c mCe' nous, croyez i. DeGl abserva Pauebue. n'est-ce pos pour Quimin rôver ?; o, - Bah ! fit le rapin, quand oa le veut ohen? re -, bics, on sait toujours. Reste donc le gîte Il y avait tant de sagesse dans cette ami. seulomcot f mais noue sommes en été, en cale exhortation, que Maelel'u s s y rendit Espagve, et" ns eoméquemmmt sanseontesm, etquaquelquesiostnntsaprés qo a avoir urs 1 cette hosp,,aliére ho- les trois fugitifs sommeillasnist à qui mieux tasse qui se nomme la belle étoile. Quant miux sur leurs couches de verdure, au véhicule enfin, eh! -Ciblent, nous Déjà le soleil descendait à l'horizon, déjà avons nos j robes. les aimes de la Sierra cor meoruient A (ce.. - Bien dit! approuva 5faetysins ; en prendre ces teintes bic ultras qui Dot la route. commm oeepusoulahv, de tontes lessboutes - U. instant! as ramie Wandenbraeke monta ,nos, la r, tl Alaetysins rouvrit les sans paraître v.aloi, se relever le moins vol. le premier, v;da. e06roeke le second, du ...de ; ne instant, maître, sil voua Quant à Pourr'0us e il ronflait tovjuuts. plxit. Quelque fermement que nous soyons Crispin le, poussa; Pranru,s ne roulis qui, résolus' à aller aussi vnc que vous-môme , plus f0'; ( Nouvelle tentative de réveil, 'l ne faut pas oublier que le seul Juif- uv'a'ou ronflement plus titanesque eu, Errant a le don de marcher toujours. lie cor que le premier. repos est nécessaire à l'homme en généra!, VVandenbroeke alors en pencha vars partmnliùrement au voyageur piéton. I'osbriné dormeur, et, lui appliquant à Ce repos, quand devons-aous le pr n- loreille ses deux mains en signe de cornet dre 1 précisément le jour, Fin d'lavitce aeoustigoe 1 toute fàchcuso rencontre et de pouvoir - Holà ! Paurbus, nous 50m, Cheminec à autre aise tout le long de la es m poursuivis pur l'blquisition. nuit. Or, il doit ôter prés. aiement midi ; - Tonueern 1 hurla le géant qui fut l h im l d - a e e a ,r est gran e ce, ! l'b auvs 0a rouet;omre - Soit, consentit Maetysins, soit, mes pauvres amis, dormez, je vCiltseef sur us. Tue, maître, c'est inul;'le, nous som- enfouis deus ces impénétrables bois- sons, ai plus ai 0,aile qu'uns nichée de marcassins dais leur belge : persomie ne saurait nou0 y découvrir. Rien ne doit inquiéter en ce moment, car c'est nous l'heure de la sieste, et tous les yeux sont clos en Espagne. Songez d'ailleurs qu'il vous faut des rare es à vous aussi pour la Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

nesn - images.jdt.bibliotheque.toulouse.frimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1867/B315556101_JOUTOU_1867_09_05.pdf · sas oo 500 fr. Lth.. Fin c. 1, asne oo{Norami.a. 1.. camp

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6 eANNEE.-Ne X44.

-. ABOtitiEilIiNTS : _.

TOULOUSE : U. au, 40 le.; 6 mois, 21 fr.; 3 mois, 49 fr..j: U. an, 50 fr.; 6 mois, 26 le.; 3 mois, 44 fr.0ea11-Oarou

emental!'DépartETIIANGER: lies frais supplémentaires de poste en sus.

Toulouse, 5 Septembre,

BOURSE DE PAPIS.ialtesIu eamprémenesiro an e rs des

principales vulenrs. Oe

De 3 r000esoOn.

Prérôde. sonars et Aralenedotur.. comptant et terme.

ssllOblip. du Tetso Cap.SS,a eu Gred 4 fore. (eut).. camp.Sara so Créait loue.( v.).. omp.

ce Crédit four, d'Ami,.. Drop.

e 00 Crédit c.00les iel.. camp...le

u

oo J. nov. , roue 195 p Pin cO .

ors oxCI' mob. noua. 291 1.60 payé

Cru as id.'il-

mm paya.ne Espagne 3 ep exi... Camp.0o Fat e 3'l' rot... camp.

wmpbus ooJ.

.

1.

nov..

500 fr. Lth.. Fin c.sas oo1, as o{Norami.a. 1.. campne o J. roua. 400 fr. Lit, . Fin

tt n1o; Méxira:.n....... camp,eeu rs em. Meximno. co p.

sr, no Victor-Emmanuel e o0o f. 11011001. . Lib.. Fin a.

50 leIJ. ot'Z',, ü00 f. LIb. Pin c.2n

Ilgév cilla, p..

.a an] ltd .4605 fr.Lfa Pin

,,oma

sur sol 11 l'in'Il Pamp I .g .

g ovlp.oc Bare'lon_ c,ma ..a.e .

0o J. ,rleg', . . L.. Fin C.0 0o Portugais ... omp.

oaigoa;éto-immotuiére . rompu

nDAAaatiane.as, as'CrOGit font. 4 "i' J. covemt,.sol oe) - 1tt' 4 01" J. novembre., _. 000 f 3 ep id.. .s Car,

v

,a103 rit..

.Bit e1. mai.30id.o ale 3 ,

.leooa BOnlb

id..Sta

oso.""" 1858-55 id. .

n0 GravdCentral 1856 id. .ojLym-Ganéve lit.o 1. , r, 1855 J oerob

6rx oo Pnris-Lyon-nÎdd.3'1 e7. janv.ait .10 Ones0 nouveau J. janv. .

to [il"'! 3 "I' 'd.Lia ce Est 3'l' J. décembre . .

Il Danphi il 3 d- id. . .

Bra 00'Lomhard J. janv..... .,af,a. no Bbmaine S of. id... ..au 00 Coed. ve-86ville ...

va Sévfha-Cadix J. 76

at soi nouveauanac.

s4 no'. Saragosse-Pamp:lune J. Ici.

)os Il Nord de t'Bepagne id.. .3ao o Pnrmgxis

550ou

u ^btigde l'r 0euo ea .ros

sas 00 Lbi. de utlep t de aria.

far Camp. ïaan>obiliére de Paris.4f

eeCaiaee se. a"s chaiaim de fer----------- -

BOURSE DEDu 4 ssrrsmsne 1867.

Au comptant'blocus diver. Borner cours. Bavas.. Baisse.g 0/0. . . 69 80 0 20 0 00

OBeedl4eton de, 10URNAL 06 TOULOUSE.

QUINUN U FORGERON

On resoât les abonnements et les annonces ;A TOULOUSE, atu buremrc des Journal, rua Saint-Denis, 44.-A PARIS, cbu. MSI. Hava,, 3, rue J.an.leaquas

Roueseau;; Lereoeo.BUs.rana,et camp., 8, place de la Bourse; Forrsma, 22, rue de Trévise,seuls correspondants pour les annonces.

4 1/2 0/0 900 28 0 00

A terme-3 0/0 tee o- 69 00 0 00-dr.r. cours 69 75 0 10

Italien 5 0/0 49 10 0 15Crédit mob. 280 00 7 30

C. m. Espa. 180 00 10 00

Banque . . 3385 00 0 00

Chemina de fer.

Orléaue . . 901 25 6 23Lyon lit, . . 905 00 10 00Midi....... 540 00 5 011

Autrichiens. 487 50 5 00

0 00

0 170 000 000 000 000 00

0 00

0 000 00

0 00

Lombardes. 387 50 6 25 0 00

Saragosse . 0 00 0 00

Nord Franç. 1167 50 5 00 0 00

Fanes. 06 LOaeaze.

8 0 1/8 0/0Consolidés: 1b. 94 7/

BOURSE DE TOULOUSE.

Il

4 sserremav 1867

De DO à 11 heures du matin.Au comptant.

3 pour 100 ................... 69 60Ob. Ville de Paris, libéré....... 538 75Midi....... 311 00-310 75

Ltq d i u 1B,

Mobilier. .. .... .. .. .. 271 25Lngwrdalsoo mu 3J.

5 p. 400 ............... 6915

Dépêches aéségraplslrtnen.Madrid, 3 septembre.

Un ordre royal rappelle sous les dra-pe.uus, tous Ion soldats en congé tempo.rareIs

concession de congés sont momen-t é tsusp d

Dette intérieure, 51 150. Dette Cillé.rée, 31.

Télégraphie privée.

Paris, 4 septembre.Alunich 3 se teenbee,p

La lJoJ(rna n annoncequo le traite douanier du 8 juillet a reçu,le 51

,et,l'approbation royale.

Buoharest, 3 septembre.Le consul général d'Autriebe est allé à

Roustchouek faire une euquélo sur

oufait

déplorable e000er0ant le vapeur Germera.

Constantinoplre 3 septembre.Le bruit se répand quo la lente a répondu

négativement à la dernier. note Ides paie,...ce ém cernant ll Crête.

Antre dépêche.Paris, 4 eCptembpe.

On lit dans le bulletin du Nouitear dusoir;,,. En France t à l'étranger, les Peinai.peux ra han de la presse lendent bom.mage à la hauteur Ses vues e4 à la noblessedes pensées qui ri les derniersdiscours de

l'Emppereuereur

dans son voyagede., ira départements du Nord.

, ils y voient uns nouvelle garantie des

.,.._TARIF DES ANNONCES :

Annonces, la ligne ................... 0 triRéclames, la ligne, . ................. 0 le.

Faits divers, la ligne ................. t Je

Toulouse, fmpr, Pb, Noir-es, p. r. St-ftomp 1

Centré,dispositions pacifiques du Gouvernement, e est encore dépourvue de constructions, municipal du 12 avril dernier, M.qui a toujours trouvé moyen de concilier oe qui rendait son obscurité plus dame- ambre du conseil, demanda que les pro-les intérêts per ante du pays aux esi- corso en ès-verbaux de l'assemblée Commune le ,geoces de I egoilibre ouropéea et au Peu. fassent publiés, nou sous forme de comp-grés de la Civilisation générale. s

La Patrie dit qu'il resm seulement dansle duché de Luxembourg 350 soldatsYrussieus; l'évacuation sera complétalundi.

Le môme journal -lance que le gou-mr. t EO fi arappelé à Cadix

âarlci,

que.M. le baron de Holetein est nommé non

pas ambassadeur de Prusse à Paris, maissecrétaire d'ambassade.

Vienne, 4 septembre.Le Freindenbfatt assura que boit bâti-

ments de guerre autrichiens ont eçu ar-dec d'aller dans les eaux du Levant pro-téger les intérêts du commeroe outnebtencontre less pirates.M. R' rther, ambassadeur de Prusse,

est part, pour Paris.Antre dépéehe.

Paris, 5 septembre.Berlin, J. e tain a.b

M. Rocher est rii,ê loi.La Correspo d er proocnciale dit : La

visite de l'empereur Napoléon à Salzbourgété l'objet de beau ... p de bruits et de

c t' mn.Emnte.Le g0uver....... t Prussmn aa pas

vf é q 'é d. Sa manière deC

t

_armé,pa des dé!lara!iqumns

d o l 1 il eé lie q e le but politiquede lentervue de Salzbourg n'était paspropre à provoquer do l'inquiétude. ,

Autre dépéehe.Paris, 5 septembre.

Per décret impérial :M. Polis de ta Barrière, nonsedlcr de

p(f t d lAude, est nommloensed-1 p éfr. Eure de flaire.

Al 1 te de Plusaoye e t nomméconseiller de préfecture de l'Aude.

Marché du 4 septembre8; 6' ba1teeave, 66 50

Ceux de un. les nhonesés dontl'abonnement expira le 1:ï sep-feues, sont pelés de le tevvv-veler n'Du ne veulent pas éprou-ver d'interruption dans l'envoidu Journal.

Tonte demande d^abnonementv accompagnée da prix, sera

eonsidéree comme nonavenae,

G dJtï4ai0alGj ;IC LOCALE.

On noua annonce la mort de M. l'abbéFlottard, curé.doyen de Grenade. Ii est

décédé sur et propriété de Saint-Si-

mon,

La partie de la rue Biques, comprise en.tee la rue de la Colombetm et les AlléesLouis-Napolém, vient d'être éclairée augaz. Due grande portion de cette partie de

lieues d'Anvers. Oh! je l'ai bien observée, moi! feu rO.La date uéaumoins que venait d'indi- ponds. Que diable! une échéance d'a-

quer Paurbus semblait tellement moue, c oest pas comma uae échéancesemblable, que Wandenbeork.a lui-méme d'argent qu'on aurait soacrite à mi Juif.s'était écrié: Pas possible ! Voyons, moitre... 'ayons! ne perdez Pas

Mais le géantceueuveto

son assertion v re énergie en plaintes mutiles, et son-d'une manière formelle.., et, montrant à geons bien plut,itl nitre marcha,ses deux amis le feuillage qui s'étendait à avancer le plus rapidxmcnt pos.iblo sur

14, u-doseur do leurs ,''os, et le gazoa sous le Chemin au bout duquel est pour voua leleurs pieds : - Vous voyez bien, dit-ol , bonheur. - J'ai dit ! la délibération est

(Voir le Joarnal de Toulouse du 14.) que les Beurs du printemps sont déjà dis- ouverte.parues, que la verdure a pris tout son dé' Ces paroles avaient ranimé Quintin...

A notre époque, dans l'Espagoe un pru veWppe'meot, que sous ce beau soleil les n'étaient.elles pas une espèraoee

pplus civilisée d'auiourd'bui, la Sierra' ehàulignes ellesmdmee commenuenuànlû- -Premier point! reprt Wundeubrotl:e,Mueono n'appartient qu'à Dieu et sac ban- rie vous voyez bien que nous sommes en point capital t yù avons-uoue e caisse

dits. plein été. d'argent? test là le unit' dru voyages.Les b::n lils! uns fugitifs n'avaient gobie Ea mémo romps, comme preuve de es Quant aux deux prisonniers, le Cempto

à les craindre... et Dieu devait être pour qu'il avançait. Fourbus so redressa de toute fut bientôt fait.eux. la hauteur de sa taille, et dans un arbre Les deux hidalgos les avaient complète.

-4près trais eu quatre nouvelles heures . n eueihitCI

paquetdeobâthignes,dont ment dévalisés à bord de la caravelle, etde marcha, ils ,stte,gomene un banquet de

illisécrase sou son pied la roba au8 pi- la ire, coin te inquisition, tout namrolle'

bois, o. Alaetsyns !1[ butte enfla; mais non quams veets.e ment, 'avait pas regarni leurs bourses.sans titra éloignhs de in coma, mois non \Vanda06meke camasse quelques débris, Total i zéro!sens lire assurés qû en é[ai, complémment et les grignotant à la façon des venges : Ils se retournèrent tous deux vers Pour,à l'abri do tout regard, grue a t épaissose - L'ami Franeois a raison dit-il; c'est bus.du feuillage* mûr. Dame, meitre, comptez f jura Frauçois avec an air

Velches se laissa aller tout d'uni pièce ànpeu présp'art'is de Rome au de profond reçût terteifne! ee grand dia-

Sur le gazon.enditauprès de lui Nlaea

peu :nous sommes

Crispin s'éto,me eochio Iembo; la ud (1m de bic den l'errera ne uevait me donner

Cs asseoir à Ie.TS Civita à ê. de

ixnedu

u Ouadab m' deaut de inca 0000 que eu momen

le dorafer, vintt tué'

§pis quiviru douéa duré prùs six semaines; nos e départ; et., commnt dessus,me d

cts..,'as

assé tout autant dans le re voit jas laissé l'uni lea mes pochesôécôtés. voua bien pTe! était l'épuisement des trois voya_ caclm.; et Je ue m'en étonne plus eutplainte-0 g par Certaine Alcool., qui n'y e ooblé que

s, quoi peut dabord un longaiumt ça rn avait semblé diables long quelques mmavédis. Au diable soit la ma-

-0 Pourbus! demanda bientôt le Raueé de po r ma pm-t' no!a I

d tchen, cum es opus n'avons aucune idée Atsyns parse réalisme des chiffres , d- pli! Porches, Pourbns! déclama gra-

de temps qui s est accompli pour nous dans àlaemyns sa taisait,enn

proie a la Plus na- em Cris pin, vous serez donc toujoursla

ménciné par la chair grand vaurien yueola douleur'

,.d viaborles cachots de l'Inquiselinn, tu vas dnous apprendre gleljour nous sommes au- - Voyous, martre... voyons! reprit ju' .as 'tes t Oh! Pourbus, mon ami! roux

joued'l ui e - Vendredi, bâilla Pourbns.- dicieesement Crispin, ce n ést pos le ma. serez donc toujours le Jupiter à gros sous

Quelle date 1 - 15 juin 1545,.Cet

de nous laisser abattre; nous avons des Danaé6 de çarrcl'ourenter jusqu'à A.- A cette 01,11lote apostro}:hc, le géantlieues à arti pnq cen scMonts yns jeta un long cri de et upéfac

{ion, du désespoir vers... total! tout au plus deux mois! rougit jusgti aux oreit s, baissa ses gros ve t. Allons ! ) e, épaisse ici ; lobe! e des plus moeBeu- a p épros uue remmre r flexion etavec un mouvement

llé!as t .'étai[ ce jourlit même au plus vous s z donc de doux mois eu retard, mieux tout confus, et avec le halaneemaut La proposition fut acceptée sans amer'- e' rocs, avis tue toit nstant ou jamaisMa is

tard tir. GeembCe devait attendre le er' voilà tout! Le vieux Franc, quia sans il net cars 10001 onde ses galanteries : item".Li aucun.des

Marre tir, bon somma... demandez plu- recoucher sur ,herbebien

-ce

marque

que

pçaour et,

t de San trou .. de son mari ! Hôtel ! doute appris vos phes, oe se fâchera - Co.va x tu, Crispin ... La blénhouroese se trouva eon- 101 à l':mi Pourbns? - Eh bien, ditil, qu'est metriompétaitourPheure

du re¢dnz-vous! 1 pas pour m pro... nmdmnoleeilm Gretcheu il, CI,. avait de si grands yeec Hoirie, elle tenir fart heurousemont te manu aononeG; I Le géant vota pour Dette motion de ]a fait moi ? je suis l'ami du grand ioqui.Et Mae{ayus sa trouvait à cinq cents prendra patience elle voue piwa tgat.,., dansait si bien le Lm auge l'eau du ruisseau était limpide et traille, manière la plus péremptoire, il roMait sueur,

Nous appellera que M. Comby, pein-tre paysagiste de Toulouse, vient de mou-' à Bagnéres-de-LUChou. Cet artiste

laisse des rouvres très estimées.

M. Victor testa .nt de recevoir, àl'occasion de son eshibition à l'Expositionde Paris, le titre de peintre-verrier del'Empereur.

720 u a. Il.Programme des morceaux qui seron

s

t exéruléa

tir Ira allées Louis Nop !sri , aujoord'hoi

5 soplembrode 8 heures à 9 heures 112.1. Ouverture des Diamants de la cou-

3uber.ii f

b t 'eV lotte,

urSS

pa ka jbrét)is

roisé (Adam),h. Fanon l),0. .'l'été

l(e

,r nlae

SSonge dune nuit

d (A. Thomas).6. 4uadradrille su la Grande duchesse

(Olfenboebl.

OBSERVATOIRE DE TOULOUSEatrtroue, 198 stems.

Extrait des Oésereations Météorologiquesdu 2 pt (I 4847-

Tbermométerc t gr lriaxrmunUt.

sauges. manioc- Aras Il mer., yen'r9 h. du m., 05,740 91 - voilé -S.S-E.

faible.Midi, 05,746 2G - beau. - S.E.

assez l'et3 h. du s., 05,745 44 - beau -S. S.E.

faibleLe baromètre a'a que de légères osedla-

t o s d phier

tin.112p at ra I oyenne de la journée

ePte.le earsaige ail a[ tant sa qel

lancés-,

A. Pamn.

On nous écrit des Varennes, canton deblont:;iccerd, le 2 septembre :

Le téta de sainte Germeion a été célé-brée aax Varennes, hier dimaochq 1'rseptembre; elle a été vraiment magnifique,grâce à l'intelligente direction de M. Col-liu narra bol pasteur. Rien tin fait dé-faut : c9mmunion gévérale ,concours em-pressé de toute la population, et aussid'eue fallu n eombreuse acvourue des pa-

s ; l'église parée comme auxjours de féte, riche ementatiou des

illumination rféélique ; chantsmalodiven un mot. joie peinte sur,recoieages,en an mot, cite

soir,lote

accom mpllie.

Le dimanche ir, à neuf heures, unmagnifique feu d'artifice, habilement di-rigé par les soins de NI. LvC,m , artificierde 'Poulonse , a dignement

clôturé

cetteimposante céeémoole. S.

On lit dans le Temps :, La ville d'Albi vient do donner an

xc Meut exemple, qu'il seroit bien dési-rable de voir suivre par toutes les grandesvilles de France, La sbaaca du conseil

- Allons, allons! fit paternellement iltapie, on te pardonne. satyre 1 passe-moila momaio e je om la naisse 1

Les maravédis,

additiuo

onnés ù quelques

réaux, formaient à peine cinq francs de

notre monnaie actuelle.- C'est maigrelet 1 grirnara Crispin

niais hall 1 nous avons nos instruments...Paurb us possède ana superbe voix debasse taille... il sait toutes nos vieil[osChans..a Ilamandes...

- Oh 1 lit le géant, jr n'oserai jamais.- Bah! ..as t'accompagner vs Je dois

savoir lu o......... et la loimnaidant...- La faim? se récria Pourbns, alla est

tonte -on.; j'ai l'estomac dieuMCmantvide.

- Et moi, idem, dit Wandmbroeke,sis je doute fort qu'il se trouve des ama

tours dans il Sierra.a; le ne croismémo pas gail s'y accent. des subor-nes,

- Bigre! grommela François, commentellonsmous déjeuner?

- Rassurez-v..a, ogre que vous ôtes!votre intelligent taisait, a pourvu du moinsau premier repas.

Comment?-Le musicien qui ma prêté os costume

voit -se liment une e se pardevant,maa encore une besace par der-rière.

- BahL .. fit Fourbue> rot-il de laChance?

- Cette besace, continua le rapin, ren.formait eue milice, un

'moue,de lard et

de.x,gras oignons espagnols : leschàtai-gveu formeront lai dessert.., "".a nousattabler tous les trais sur les borde de e

h;;ou `uns1su rb aldr e crénos N dnesni

tes rendus, mais ea totalité. Il exposa, àappu de sa motion, toutes leu raisons

il'eteelt public quirendent

utile, indis-pensable, la puhlieatton proposée-

, Le conseil ne se décida point surl'heure; il chargea une commission d'étu-dice la question. C'était là, sinon an Cloue-

ent déguisé, du mains un attermoie-ment forcé.

, Les partisans de la publicité résolu-rent de mettre à profit le délai imposéPeur démontrer l'utilité de leur proposition:ils prouvère0t le mouvement en marchant,c'est-à'dire qu'ils publièrent d'abord unrecueil des séances de 1807, puis un autrerecueil contenant toute la session de 1866-

8G7.s Le

oubli-Lire C.-Cillil de

la population d'Alb q dans use Côtier'

récente, le eensell municipal déridé queles procès-verbaux seront publiés in ex-

nso.

On voir donc, par ce qui s'est passé àAlbi,

, d'abordqu'a

'au conseil ruprocès-ver-voler I publication de es e

bu..,

peut

puis que, quand môme le conseil nerait pas p a, r prendra une telle

, es

Ci

mt oy ens peuvent, usant

dedesolution d

broc iuitmbve et de leur droit légal,p d picorés b ux, et lesp bl à leurs oq t périls. Sans

mode; mais, à défaut, le secondlest encorexc Meut : oo qui importe, ri est la publo-

Cite des délibérations n eipales,E. I.em

Nous joignons nos félicitatl0nsà 001100du Temps. Nous avons toujours pensé quela plus large publicité devait étrn attribuée

es des assemblées délibbeantes,aria do i ss o plétemont que pas

Ils desyns laisser à chacun saPartt d p b

li=lité, et d'initier le plus

g d e

f la

vie publique. L'excei-leute maure prise par le Conseil ovepal d'Albi, sur la proposition de bu. Cav-run se roeomm à l'estime et à re.

cedo

e tous les libéraux. Il seraitfurtna désuer que toutes les villes prissent

nerno. v rxleu1emem lesjour sua

publierainnent

in exlanso les aise-s des conseil; municipaux, mais les déli-

bérotions, réunie, sous lu forme de vlames, resteraient comma les archives desMlles, leur histoire intime et l'affirmation

de la vie municipale, base et principe detoutes nos libertés. A. Pmoa.

Foix, 4 septembre.

(Correepuedanoe partiealiéreJ.

La Commission de 1. fête de Foix vientde publier lC progremmedes réjouissancespubliques qui auront lieu dans notre Chef-hen, les 7, 8 et 9 septembre prochain, àl'occasion do la pète patronale. Nous nepouvons qu'applaudir aux i.eureusesfoeCe.-

.islam.ations de 51M. las membres de la eom-

n. N. journées de septembre serontà coup sûr plus remarquables en 181(7 queles années précédentes. Reconnaissants del'empressement des étrangers à honorer

la fête de leur présence, MAI. les commis.mille, guidés pa homme dent I I.

goût as sera contesté p personne,Compris qu'un l0 r, I: 1 .tsmaèsdonner à la tète on 10100 maceoutuul: -ils y réussiront, nous en sommes toncame..

Il y a déjà plus de vingt arts que Foi,célèbre chaque année -CI pompe 00 fêtelocale. I.e succès est allé eu grandissant,

aujourd'hui, grâce au dévouement detdiverses commiastons qui se sont succédé1la fête de Foix Compte au nombre files

grandes fêtes de Midi. A nolee chef-1le,apparurent l'honneur d'evom pris l'inithi-tive. L'exemple dx pas Eté perds. Depuis

s il,,parlement Célebrent avee

séclatleur

(êirlocale, Lavelanet Célébrait 1. vii nne Ice iGot 17 août derniers. Ax a offert, les 18 et19 août, fête aux beignets. N

le eeu

plaisir d'y assurer, de vo MeY scom comi-

- es àl'movre, et sousns trop vaater les heureuses

tiens prises par Cas. Les bxignoves étran-gers, à la station thermale, ont dû ètre 00.tlsfails des réjouissances 'pli ont ou lien.Peadam deux Jmurs' bu belle p n dedu Coulou "et a d tl up d'a il pusni sé. Les soirées 1 limanch t ,

Imodi et éé tl ll 1 (lauses toueanimée, t 'd scies par la prés u cea'.. rand nmfibre de dames. Des é1. gossont des à M. Sleap.é, clmf d'orohes's'v, età ses inns,mans.

Nous vol,aqa t é l anus 0010111' ,td'avoir pu assister à cette fém et lavoirtrouvé une ocras de visiter le nouvelétablissement modale, appelé nous Ipcroyons, à décupler l'import:Anea de lastation thermale. Nogo y vo vu fonc-tionner an système Complet. de douches,tel qua peu de stations d:as las Pyrénées

"t deenAccès Lav. lanPt ej!t a t ven. la tenir

dé P ersqui né"

h dimauch0 t]u a i? tare I l C tte fdte étaie0. C à d 1 riveté de celle der Ix. Si noue an !rayon, les eicoe-

qui nous sont transmis,elle ai

Ce-railpaspas été cette année salai brillants ,an

les antres années. D serait regrettable quales habitants de Pamiers laissassent dêCli -er ace titi que nous avons vue si ba';l

Elle a de reste u inconvénient, celui (jee

s fcprécéd , quede boit jours seulcmout

pproebées l'une de l'an.tee, les deux fêtes ne osent mutuclle-un C (; tel qui doit v irè Foix, ne na pasà Pmmiers et r6cipeugaoment. Nous avonsentendu aignalercet ineocvéoient eu main-tes cireunstanecs, et mastic'item le désir dovair la blé de Pamiera avancée d'an muonsan mois. Nous sous faisons l'interprète de ndésir à la réalisation duquel le vlllo da hua-m0vûrs es e, croyons nous, intéressée ,ttomse aissons trop les apports svmp thi-q s qui unissent les habitant; oies deusvilles pour au pas espérer de. voir notrevom exaucé, au très grand ava'atage dePapiaprès

le programme rua nous avonssous le.yeux, des saler's d'artillerie an

oneeronc à Paix, Ira samedi 7, b G beurredu smr,la fétu du 'endormi. A sept henraselle sera P!àclamée par des hérauts d'or-mes. costume de sri' siècle. Parmi les

le cresson des plus savoureux, eicellC.tCa déjàle. chtaignes.- A peu de choses près, avait dit Cris-

pin, ,tablé à l'aulique sur le gazon, cerepli, là peut se rencun,lcr deux fois par,jour. Dame nature nous fournira généreu-sement

Je

de ses ruisseaux et lesfruits sauvages do ses bois. Quant aux oi-gnons et aux lérumes, nous ,ro fors pesfaute de marauder au besin dans leschamps spagnols : quant au paie et àtoute espèce de tricot qui ""-v ad-joindre, c'est l'affaire de la violde la

d li ,man o ne et de la cornemuse. 1 cade étape de la nuit prochaine. Dormez- Si nus tien savons pas jouer ?,, donc c mCe' nous, croyez i. DeGlabserva Pauebue. n'est-ce pos pour Quimin rôver ?; o,- Bah ! fit le rapin, quand oa le veut ohen?

re -,

bics, on sait toujours. Reste donc le gîte Il y avait tant de sagesse dans cette ami.seulomcot f mais noue sommes en été, en cale exhortation, que Maelel'u s s y renditEspagve, et" ns eoméquemmmt sanseontesm, etquaquelquesiostnntsaprésqo a avoir urs 1 cette hosp,,aliére ho- les trois fugitifs sommeillasnist à qui mieuxtasse qui se nomme la belle étoile. Quant miux sur leurs couches de verdure,au véhicule enfin, eh! -Ciblent, nous Déjà le soleil descendait à l'horizon, déjàavons nos j robes. les aimes de la Sierra cormeoruient A (ce..- Bien dit! approuva 5faetysins ; en prendre ces teintes bic ultras qui Dot laroute. commm oeepusoulahv,

de tontes lessboutes- U. instant! as ramie Wandenbraeke monta,nos, la r, tl Alaetysins rouvrit lessans paraître v.aloi, se relever le moins vol. le premier, v;da. e06roeke le second,du ...de ; ne instant, maître, sil voua Quant à Pourr'0use il ronflait tovjuuts.plxit. Quelque fermement que nous soyons Crispin le, poussa; Pranru,s ne roulis qui,résolus' à aller aussi vnc que vous-môme , plus f0'; ( Nouvelle tentative de réveil,'l ne faut pas oublier que le seul Juif- uv'a'ou ronflement plus titanesque eu,Errant a le don de marcher toujours. lie cor que le premier.

repos est nécessaire à l'homme en généra!, VVandenbroeke alors en pencha varspartmnliùrement au voyageur piéton. I'osbriné dormeur, et, lui appliquant àCe repos, quand devons-aous le pr n- loreille ses deux mains en signe de cornetdre 1 précisément le jour, Fin d'lavitce aeoustigoe 1toute fàchcuso rencontre et de pouvoir - Holà ! Paurbus, nous 50m,Cheminec à autre aise tout le long de la esm poursuivis pur l'blquisition.nuit. Or, il doit ôter prés. aiement midi ; - Tonueern 1 hurla le géant qui futl h iml d-a e ea ,r est gran t debout.e ce, ! l'b auvs0a rouet;omre

- Soit, consentit Maetysins, soit, mespauvres amis, dormez, je vCiltseef sur

us.Tue, maître, c'est inul;'le, nous som-enfouis deus ces impénétrables bois-

sons, ai plus ai 0,aile qu'uns nichée de

marcassins dais leur belge : persomie nesaurait nou0 y découvrir. Rien ne doit

inquiéter en ce moment, car c'estnousl'heure de la sieste, et tous les yeux sontclos en Espagne. Songez d'ailleurs qu'ilvous faut des rare es à vous aussi pour la

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pIlga'r d battus.i

tl d ",î",c y p ordreIl.

sert , le

ptais

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t q- q feue d

vafl'bal

ie cas faitesab t IS tiltqf ilsltoot il

l fit1.. td d- 1 t'i d t

tr l- da s is cul t IAd la m a q l 11e tr

l. T d j. 1

étrangersI la.

'o d II p sa sussent, la simu acte d

ieun

t du cb°tende Fois, la prl le eudu ',1eaa, P,ïlumintEan éia.tngne ana

torrs Espérons que le tempe nous sainp 'c' et q l p: tt à do nombreuxit d p lit dl,s eaux trains deplu , r Jie l . m,pe,oic du àtidr a beau

us accorder,s (!erra cette année à ses hâtes un

:attrat de plus que les années précédentes.Ils ne sortiront pas sans être allés voir l'a-t:iblissement hydro-minéral du odher eieFois, dirigé par Ira Mai, flaelain,sens

Soute' l'eau de cette aovroe pré-s déjà tara luit des cures re

- D;ms l'une de ses dernières séances,le cens- l de préfecture de l'Ariège a ren-voyé devons, les tribunaux civils, les pro-treftians dirigées contre tes élections deM.11. Cauhan du Mont, Jules Pie, et Damas,eéaemeaent étus conseillers ggénéraux.

I. D.

t riablo, I et leurZ le i s It t d 1 let d'ini dé-1u... uCarp ]g ftf sas le _parts.

me t ee l'ie- e.11 lt dal, nenda.et do 1'oppo.iuon, a,>Ji

tri 9f à9 voix.M 1 I ber, candidat de l' dmni,:r,,tion,l Il I.i va,..ô!, itiondet e été élu.

L-1NSUIllECTION ESPAGNOLE

tan insurrection o. Espagne, e'' n'estmalheureusement ai ce fait cuveau nuneeirveustanoe bien anraoedlnafre. De-puls quasar te ans, à part quelques pério-des privilégiées, relativement paisibles et

ei alieee , ne i

el'eme at p certes durer sipm'C,iuuent

toujoursas-dela n'as Pyrénées sur les iuléréte du pays,; part ces périodes passagères, qu'est-cadose que la vin de PE,pagae, ai ce n t

e série d"insuereetiens , un champ debataille où taules las ambitions, tous lesressentiments, sa disputent un p avoir

et graduellement abaissé? Tantôtce saut les pregressistss, tantôt ce sont lasmo aérés qm ejottanC duos l'aréne.Chequeparti ir:umphe par les armes et est abattupar les aemn . Cbaquo parti passe tour àleur par c tte déplorable alternative :r-ainqueuq il prétea't à la domination es-

asrve; vaincu, il est exilé, il émigre enI'ranceou en Portugal et va préparer une

Doha qui jusquiei n'a jamais men-qn6.

La consext ce à la ]Dogue c'est cruesituation extrême et violenté gair, ,ait

rourd'hui, Où le gouvernement, snus o tici instiertionnel, n'est plus qu'un, dic-tature sommaire, où les oppositions, ne se

.entant plus désormais de révolutionsun

r' lies,. poursuivent ostensiblement

laufirue des institutions fondamentales, deette royauté qui a été un jour le symbole

de la résurrection libérale de l'Espagne, etse nqui ai 'es directions plus sages aurait

po pour longtemps rester hors de toute at-nta.Voilà le fruit, le triste fruit de ces luttesi s'aggravent et se renouvolient sans

n'ose, et

s

où il no reste plan quo la tueoelies ambitions irritées, de teutes les pas.

io. s personnelles qui semblent se donnerondez.vous dans m dernier combat. C'est

là Io c.raetère de cette inurrection qui

lent encore 8éolater-

Ellse

n'est puant

cestes plias extraordinsirc qce contes les

autres, et da toutes colles qui out eu lireelle n été assursmnt la moins imprévue,

- Autrefois 1. ricana Crispin'; je ne disp aintenark que m t'es mr deironscotre côté, que to as concoure à l'emmail'.uemeet de dan 'ratiers, que tuas six

Li.is uartsq assommé son abc, don pris

l folie cece no,its,s tao esas

nôtre-lier, Pancarte' et si l'Inquisition taSpa :

ce q,ià Dieu nu plaise! sois-enecnn 'a cil d vanne, mon léal, elle te ferait"ai'r'

utei- Ta pis l frém.''t Pourbus, J'e n'avais

pas songé à cela, mai !- Pauvre ami ! fit Marte 'ua en lui te.-

dam la mai..-- Bal, . reprit Fasei llant garcan, ça se-

ait àrecommencer, mainlarant que jesuis p évenp j'agirais de méma

,es amis

out durs amie... les Flamande tout pe9Flaiitands, tarteiffle ! mais ne anus amor-

tis plus si longtemps , ..as mesne re trop près do Quémadero a filons

mid .iJne heure plus tard, nos fugitifs étaient

le deux liguas de distance déjà ttu rais-,.au.

De avançaient à grandes unjam6ées veca7 Nord, tous les trois debout maintenant,eileucieus tous les trois; car Maetsynssou,

uaità Gretehea, Crispin au programme idu

voyage,Ponrb.s ,Issue, trop à quoi...

m aI

a

lavenmt de pins an plles eoren I t. y

il paraissait c. proie à .aa évidents cou'satiété, qui croissait nacre à chaque pas.

- Qu'as-tu donc, Franeois ? chamade,Vandenbeoeke. Est ce quo par hasard 4ute repentirais de ...s avoir sauvés a

- Oh ! non répandit franchementTourbes, ce n'est pas ça ,pas, je regrette ;

uh ! non... c'est autre cho=_e.

Quai doncJ us m aviez mie a,,

lacs ... ai n m'avait prévenu.., si on m'a-dtPh f .."Lh ba u .. aa lieu de laisser emmail-

bolie s rnqu t ers, Je les 's assom-au

imé 4 s las d t s, c'etit bE bien pinsj .pls I

quinze jou,s 9 s f, b. é t _;'1 f.If cure r d

t te p iecomique

e

dde t I .. é é .

t p L t quuz et pailla I& t det t é h t"uaréa espagnole ;"",4U,gra'IIL 1 E el- t t p plus rien voit jlcs e, ppfiasco est !e auiou, d uni, ette envoi-es..., et qui pourront brin le dire? -

Elle est il:sporsée et refoulé, sur la Iran-aère maniais,, ssenos et qu- .r letélégraphe olhcici. - Elle v d e Ir ampleeu triomphe il p nd des II t finstant à i',i f ll .,bras a a l'Espagne,répond te- tél , pli r volunait.amo, De-puis quine' Jours, ce dialogue peu non.

et eu vérité peu 'otéressest dérouteetodistrait la c riaeité des nouvollistesdans l'intervalle des ntrevues d'Aile-megne et des va'ages impériaux. Ce quiest certain, oast qua nette insurrectionétait dvidemment un oup décisif tentépar les oppositions radicales n a plusseulement c titre le anivistèra Narvaez,mais nantie la re lia elle-méma, contre lamonarchie. Ce qui n'est pas moins certain,lest que jusquiei, malgré tout, elle n'estpointa progrès. Elle ne semble point11 air dépassé les provinces du nord : elleest restée concentrée en Catalogue et en

Elle ,a ramilications dueee ede

queloa,p-.;rit emporté de

o u t er

b plus . exploit s. rédlit r ite

ur u ge l .péd i

h lrrd .cl. at. JueI, e,I dl i

e tdi

es® q ll

és et 1y Cette o un or c t L général

Prim qui est à le tête du mouvement;es le général Prie, milieu damats -

tard a,la! Voilà sur quai le tblégeaphe nese prononcé pas. Est-il à Bruxelles oAngleterre ? Est-il dans quelque vallée

tanninpi ,, guettant un promier sonnés,ou caché à Barcelone?

Prim passe à l'état de mythe, il devientea vérité roi personnage légendaire qui rat

euxpartantil

sem qui n'ea

,t nii ou cona parei

re. De etpneuis d

s ens de spcarte 8, è cee ; depuis sa célèbre retraitevers le Portugal, lors de sa première prised'armes au mois de janvier 9866, 11 pré-para l'insnr cnon, s'adressant canut àl'armée., tantôt au peupla. Puis, au mo-ment venu, ou es sait plias nul il rat, il neparait pas plus eu Catalogne qu'il es parutl'an dernier dons le mouvement du 22joie à Madrid.

Le général Peint n'est p int tenu évi-demment de damer avis de eu présenceà ceux qu'il va combattre ni même apublie. Ce n'est pas moins une chose cu.rions

qu une insurrection commencent etse prolongeant pondant quinze jours sanaqu'on satanée p, 'les de celui qui la dirigeet cu a donné le sigeal! Quant ans autreschefs qui courent la Cataogne et l'Aragon

eo leurs bandas, oe saut our la plupartdes ho mmes assez obscur

ps, quelques-uua

ris généraux u al ris colonels,anlaLUgunerv.come Cont,arau, Morieues'

te p1US saihant, à eu ouil comble, ratee paanse général Pieered, qua le télégra-phe promène snr tant de peints à la fois,f(icior tort bravo, mais aussi sourd que

brave, eonditioat sngclièra pour en ohnt"inarçés et quo n'séttts,a mconenemenssiglos

ont jeté dans ces bagarres. C'étaitdé, , lui qui, au mois de juin t866, dirigeaitla mouvement dans la comBa et sanglantelutte qui eut lieu à Madrid. Quo va-t-il

nriver maintenant de cette échaul..rée

ouvelle?La vérité est qua cette insurrection a

une triste gravité, moins peut.être par esquelle peut faire aujourd'hui que pue lasituation quelle révèle. Cette situation,peur tout dire, n'est rien mains que ras-

ante, et es quil y a de plus tortille,cest que le gouvernement lai-méma rat

- Et surtout moins dangereux... Bravo,Pourbus ! qu'on dise encore que ce gail-lard là n'a pas d'idée !

E- N'est .s pas? fit aarvement Po.,bua,on ne peut plus Botté du compliment ;lest-coo sas que ça aurait mieux valu?

du meurs, .cas n 'aurions pas àrnâo nue qu'ils ne lûcheet ' sas trous'

' tonte la séquelle infernale du Sai,tOffice !

- It saurez-veus, Pessesis, fit doctora-lament Crispin, tout en reconnaissant quevotre moyen était plus -tépoeagee, par-meetez-ea de vous rappeler certain ordreque j'ai l'

maitécrire il don Tubera, que foi

u chef des alguazils duoerégidor et dort vous aven suas aura.

doute m amen la lecture derrière vas ta-lons : e Que personne n rentra dans la

avant pue je n edame an envearla porte... moi ou dan Spavento, n

-- Eh hier ? Gt 'i'urh-a.__Fila bien . nome drue Tubera en' dan

Spveento saut dedans, ils oe pourrontdonc pas revenir du dehors, et la portatout .arurelloment restera fermée suraux... do moins pendant trois 15055.

- Deux ou Irais ,jouent grommela Pcar-bas, ils ne seront pas tout à fait mortsd'inanition et je persista dans mon dire:

ne demi-dee,aiae de forts coupsdn poingsa eut miras valu.m

Sans dente I sans doute a s auraque VOU%-tu ? OIl n'ait pas portais 1 Dansdeux ou trois jours d'ailleurs, nabi secouaes pleine mc tagne , et la mmnasne,Poarbns, ,;' st la liberté !

Cette fais mo a b nd,nb nais semblaitavoir grandement raison,

Depuis qu'ila s'étaient remis ces reots,P hbt fitt P léàl 3 P.. - o t G

q ra q t l9t ir1 d op tin tu .,

tic

urbi - t titraà b

]autre bout dumande,

p d rae Sierra si c plét el tdésertee,

, on susdn

gu'n non d.e e

avam eoglcus I h a ,tè to e t i t lque, nouvelle faon B 'e Noé ressoreant del'arche, lis d'eà staient plus tir la terre

Æ

igé dens une va

, il rue vent ai,,ee due molles à e, llapiis

t ' qu l rat an pt ar éralN v ir euqu'une pensée, la abmpree ion, ga'il cI eut dé pcetestau,,, r n il'

peri l,q 1 té d At 1 4

t l'ordre,a t Ishcanee.o loue Ja est lori j st

doute, maie n a bt t g par de telsC b:,.n faudra-t d ameure d

p p u t q t il t.p

roussiq.i l' . p t tr j Il

bai. que d , révolnt,oos nou-l i t?velleseules .

la, le fait, l cté e du général Nar-

vpeint du tout rétom, Ierdre, ni

neoé las mité , o é lesfinances, yui ni sont pas av mcill-ur étatsus par l8 pas A tirâ aill upauveirdy

bo,daousin d u receansanglante réprimée par d autres, Ul auraitpu a"Idé énerg sans m

ailltiquer de vigi-el d'nerie

traverImao à vv certainapaisement des

e

esprits, réduira ses ad-rsalres à l'impuissance par l'autorité

d'ale politique , s lite. et farte. Il li amalheureusement

rleien

fait de semblable. lla épuisé tous les procédés de la a roa p rs-loin

n, il s'est laissé aller n jour à emi-sonner, à aller la président du séuai, leprésident du congrès; il a réduit la presseau utisme, il s fait des lois eavoulu, et entés sis ni is d'état de siègeil a cru activer les appseeuees en ressem-blant un coin gréa par lequel l a fait [outapprouver. ll a pensé Stre en siir,lé parcequ'ii faisait le chance autour de lui, parcey I I pt it t-.. 1 êeiau.ces ra oe

fi t au t d ton mème ducspl ftro t t s d la loi. 1l o

à tte, à se créerà ,ai t passible entre

ob clutrste, t.- r s, aux yeux desquels ilp': h t v td adi a t io t p s t s

c s,memdnt d., olutionnaieou , ,l'ecommis de la ,.y sastie. Eu un mot, il apoussé les choses à bout de tlle suriequ'il lui est difficile, do revenir en ar

ère.C'est là oe qui e fait la force de Piasur-

merlion; ce q i fait as faiblesse, e est elle-méme, c'est la manière dont Silo s'est en-gagé,, c'est son chef, n'est sou programme.C'était, il faut ee convenir, eue étrangefalun de préparer son i, rrectiun, quede l'aunanmr presque à jour fixe. Le puu-vememeut espagnol savait ce qui la me-

nait; il savait à peu près par où il allaitAtee attaqué, et il s'est trouvé, on manientvoulu, comme capitaine général à Boras-tons, an homme qm a le mérite d'une vo-lonté boita à l'appui de dangereuses son-ictious absolutistes , c'est le général

Peattala, comla de Chaste, qui, pour lui,cédera pas facilement , on peut y

cample,,Quant an chef de l'insurrection, quant

au général Peine, il aurait aedas toutes

les qualités nécessaires, s'il suffisait de la

bonne volonté de devenir tin ersonnage.Le général Prim peut ae .voipre spéeiale-

m nt appelé à dIre président du conseil ouAme président de république au besoin;

't gent s piquer d'émulation et avl'ambition d'arriver, lui aussi, à mut, parceque Espuelere, Narvaez, O'Donnell, ontété à la téta dn gouvernement, ff'iheu-

eruseail me peurlui, avec on passé lin

pirn, peu de confiance, et auxyeux de hies des Erspagueis, le drapeaud'une évolution semble smguliéremsmplacé duos ses mains.

Ce ne sont pas à coup sûr les généronsde l'union lib6ra!e qui Pappui.rent. Leparti démocratique lui-mémo ne peut voirdans ce pétulant ambitieux quiun futur, ictates, de plus. J,es habiles parmi lesprogressistes ne s'allient à 1"" que parcequ'ils espèrent le dominer. 'C'rut cela netait pas uua situation bien triomphante.

Et le programme même de l'issuerec-lion, quel est-il? On n le sait au juste,quoiqu'on le devine mallettes. C'est évi-tlemment le résultat d'an compromis entredes nuances diverses du parti progroenistaet du parti démocratique s'unissant dansl'action sans avouer leur derniàro pensée.lia bat immédiat est clair, duel le renver-

que tous les trois.

'fonte angoisse, tuais crainte, toute ap-préhension s'effaçait donc rapidement deI esprit des voyageurs. Après six semainesdaffreuae ouptivité , ils recommooe, "rotaeulemnt àjcuir de le librevie, qui alcuravait été si merveilleusement rendue. Auso tir du palais de l'Inquisition, au delà,ému des remparts de Séville, durant

leur folle coursa noctur.e à travers champs,durant leur étape matinale au milieu despremières calliees, qu'ils n'avaient fran-chies qu'an Gremblaot, les souvenirs dupassé assombrissaient encore leurs âmeset cantisunel de planer logulremeet au-tour deus ; les angoisses du présent, lasainte de l'avenir les empêchaient devourer ce grand air de je liberté qui

gonflada

it leurs poitrines et les emportait

n- r fraîsen r clissant t lesmoraillon àque deus m rêve auquel on noce pearmoireencore.

Mais, après la halte du déjeuner, aprèsle sommeil réparateur des bords du ruis-seau, ils commaucérsat à apprécier touteslas ,.laptés sans nom qui caressent le cap-

n'ouvrir mut a coup latif dont Vieobeauuiprison : o q rayonnait à

leurs yeux éblouis, il y avait si longtemps,a'ils .e la voyaient plus ! il y a it salongtemps quils n'avaient entendu Igchanson des feuilles agitées par la brise,bon ia des insectes tapis sues 1 barba, la,joyeuse fanfare des oiseaux vmingsuot deustes airs ! et ce bonheur leur était merveiblestement rendu daos le plus baau payst o n, dens 1 pi s p tt resgos monto-g e de 1 Eepag, aa i`z le plus admirableLas. de l'Anda lousie !

En ce moment sortent, vers le déclin dupdu, 1 d at q 1 t tg bl t p 'r e f te 1 -a s r B.ts l pl d , xas spectsl .I h m lits s e pl s h o eux

.,as. }ut&t I s ont ea a. aresaaaentedevant aux mie I C L l es nomme au

d a du combat des Tisons contreiI s D ¢ 04 41 e !!aune arrondis de la

ide l t b.lll mais aprèsr !

t ll. E,t.ce ô répuh!queest.ve à la mo ch e s s une dl nomsnoavolle, est-ee à uua rigence est-co àl o t b q i 'là i lin

,téIl e

est rwu té co y qua eb,..e r t nef-- quirat m.litaiie, r' ait

mouvement populaire, ui ana ,us ac adieurépnbiname,, n lé ut pour uneroyauté n u ell J j t q e l'insurrec-tion actuelle t avoir quelqueschoanes que si elle a rmparait do quelque

if t t te dont elle pourrail fairet d ton, rai plue les campagnes

d la Catalogne, il ne faut pas y t p ,Ilea se oealéveraacul plutôt ' 1

d'un chef carliste. (;.bloc. aurait plus de

chuon s que Prim,

Vine, donc o s ut les choses aprèsquinze jeu,, d f sien et d'ohuaneit6,i l' t r rapugnole n'est pas aussiS

plét eutvalac

e qu'an le dtà fI,.il elle n'est point évidemment e pro -gré:s; mois admettons méma qu'elle soitdéfinitivement abattae , que résulte ailde cette lotoire du gouvernement de la

ine? Le ministère en -Pd plia deforce? le confiance va-t-elle contrer subi-tement dans les esprits eu delà desnées C'est là malheurensoment le vice decette situation, qui une victoire ne trancheaucune difficulté t laisse l'avenir de de-main tout aussi obscur. Le m nistère lui-

ra pan -lits plus exposé le leu-devmin que le veille, car il rat pressé partoutes les influences absolutistes qui l'en-

loppant, et le uccesseur du générai

Narvaez est peut.être déjà trouvé duosle généra[ Pesuela, à qui reviendra la plusraide part dans celte victoire. Béactaea,

aisure,ro,en, ce sont les deux écueils en-t e le-.parla se débat IEspague, faute deititt ,e des hommes nent

equi campree

q tun politique vraiment, s a éremeetlibérale, est la tee e d et m me encoreli plus sdre contre

des

s dangers qui mineriront

demain,si on parvintà les dominer

aujourd'hui.ce. DE MALADE.

(Nu . des Deux-Dlondes.)

Turquie,(Correspondance particulière.)

Constantineple, 28 aalt.

La nouvelle du jour cal, comme vous lepensez lieu, la des!raeliev du bateau àvapeur du comité crétois l'dreadion. C'estdans la nuit du 99 de ce mois pue ce na-vire,qui faieaitson vingt-quatrième voyage

Crète, a été surpris par le bateauI'ua¢din de la mua ire turque dens ucriquedode bile à Aya-lloamelé, o,, il vouaitdéjà mettre à terre la moitié do sonchargement, consistant en farine eC e. mu.tillions de guerre, d gaine s'est-il vu dé-

vert, il a assayé da prendre lu fuite;maisl'Izzbdin ayant sur lui la supériorité

de le marche, l'a abordé par le travers àdeux reprises différentes après avoiréchanggé avec lui quelques coups de ca-non. Au second choq les deux navires sasono, m tournant sur cux-mêmes, trouvéles,

t à côte et ne sont jetés l'us sursl'autre, de telle sorte que les équipages ensoit vains à eue lutte corps à corps quise prolongeait avec des chances 'ne tai-

es, lorsque dens frégates cuirassées de laBotte turque out été aperçues enant àtante vapeur an seeoars de l'taeidin. Alorsle capitaine da l'Arcadies a jugé à proposde rnoucer à poaeauioeo un combat q iidevenait inégal, et ralliant soc hommes, 1est tlé à toute vitesse se jeter à la cote ;là, il a mi le feu à son âtiment quibrûlé sans las yna% dan

Tburcs

; lesmarinsa

Grecs out pris la fuite snr lesgala.

n'est remis immédiatement enrouta pour Coratantiinople, où il est arrivétout pavoisé dans la soirée de vendredi,apportent la nouvelle de cet importantcoup de main.

Jnn'am

p s besoin de vous dire avecquelle satisfaction les Tares nt aeillila nouvelle de la parka de l'Arcadion qui

vait mis jusqu'ici en défaut toute la ma-n ottomane,ri

Jlassan-Bey a été promu au grade decapitaine de vaisseau, et tans sua officiers

tantôt cube, au détour d'un sentier d'oh1'm semblait ne pou air jamaus sorace, varavisant vallon se creusait tout à up

mes luxuriantes de verdure,avec ses pavec sou train ruisseau fuyants s lespeupliers et sous leuisavles... Plus lois, unbosquet ldo chûtaigniers ou de clonas;plus loin acore, use série de radies aB'ec-tant les formes les plus capricieuses et lesplus fantastiques.

Partout, et toujours à l'horizon, d'im-memses pics qui perdaiant dus les suesleurs cimes encore blanchies par les nei-ges.., et taut cela aux magnifiques rayonsdu soleil couchant qui se jouaient avec lespremières ombres dont a'anveloppaieutdéjà las peofdudeurs à moitié endormies,L'air émit frais et parfumé; le calme du

nos r mm lait 1 s'étendre jusqu'audemuier brin d'herbe; il y avait des adieuxd'insectes danstousles gazons, desgaeeail-lemeats d'oiseaua dans toutes les feuilles;il y assit dsas tout mille délices infiniespour Maetsyns et pour Vandenbeoeke, qui

diraient enfin, qui ne se lassaient pasde regarder et d'entendre, qui renaissaient1 la vie, qui es sentaient heureux amurails ne ïavaient jamais été.

Songeur et recueilli, Maetsy ns savouraitcette heure divine en silence.

Mais Criailla maaifestgit d'une tout.aut fe nsen ravissement t il allait,

t uiait, jacassait, riait, ebantmt ,faisait mille drêleries à Pourbus, commeaux plus joyeuses récréations de l'atelier,Il devenait insupportable àferce.d'enche.-m t l ét il vr l .ait feu r-

M a;a paà qr ndàn à l'in dea dé-soms de la route, ana asaopet,te semblableà colis qui devait plus tact menacer Gal.Biss, t d un b 's t présente sa large 1e h lie a ils oig yv ic 1 Leur pa ter mou t st devoussil,icbee an refuge, un chemin par on I

forlis se rat....cet à droite, à gaucho,

e B' n a eiére, à gauche, à droite,montagne se eevém ont d°unnumteau ,i l de aat iaox, partant ils sont entourés d'ea-.de bru, aux plus ,mantes .LIN s

iptugolas.

1

vément. l.eontmereçu

Jouré,

legeleu IGs

mé 1, sa à lord2,5Bd liures, dent JW)1 vies pont 1 ` an-Bey, ot !e reste pour .es olfimere et l'LVjui-pag de t, 7 bd S M .ocre donné1 titre da retire f 1que 11,1 pi;.eiras à cesaune des familles aualles appartenaientles Baste marins tuas. A ke,xe.u plu duSouverain, les ministres et les haros mti...aireà turcs ont ouvert rotre eax tira

cnpeon pour donnera su de leurcôté une récompense en a ,;eut 'e léqu:-pago de l'Ioord Plusieurs déoceauoosnet été, déjà dit 1 Portai z ff s;Au total e'eot t tpeu eher, mais If Il t f' . qu. q .hocpoar cumuler 7e leet lant:vité de L

ne turque,dozènt

le aouvernemevt e npasreu beaucoup à ne lover dans tout, le

s de Iinsreecdt,a. crétoise.coCoud Pacha est r.. n u de Crimée dl.anehe soir, et le général Igoatiefi, lundi

malin. lie stee des affmres étroegèresdu

sultannnm

été très bien aeeuviili purl'empereur Alesaudre, avec qui il a e,trois entrevues et qui loi a crois, au seégarant de lui, le gravit cordon d'Alcaao-

dre Newski. Bien que cette mission deFuad.Pacha fiit toute de courtoisie, on sa-vait d'avance que la politique y trouverait

u place. Eu effet, au sujet des Ilfairesde Crète, qui ont font l'objet principal desconversations de Yakta, l'empereur deBassie n'a pas caché à Fuad-Pacha, colien il était, pour sa parti affligé de voirque la Porte opposait une fa du non-eeuo-voir persi tante à toutes les p positionsfaites par les puissances eu vue d'eue solu-tion assisfaïsante de la diffioa!té. Il a ajouté

ne le o ment du sultan devait songer sérieusement à conjomer les périls d

o 11 u prechaioe grandi c

a pet -15,n 0.1 peur1énb i a 1Lst de I Curope. 11 et Soi t

ee on tous , is désirable, q eur al

ily a peurond,ira

ude tmnns enaoro

1t t e rte la

-i, lu psi.. AIrd'bui i. semble q' é - ait du s m,tlce i.ays

d,£.,.PIes "cul e voit conj,, cnon

oc 4 ee à peser sur ls pol u-q d s u. t d le

se.r

quojeu,vous

be n u ,,l. e. si vé,iot de Jou...dtr e

. Ni 'a France 14 t-.h oek besonde la g taire m no ia 'c,', 511 les de.,,n t pli rit, et ceq il y - .Il ot .'t q tontes lesa t nations o t I I nord aveuelles. Le vent de lopiol 1n européenne està la poux. On er ble .'attendre partoutque le dernier perfectionnement des armesde guerre pour demander on désarmementgénéral. Je souhait. et l'ospére.

Les journaux anglais aussi ,e lont lesdents avocats d'aile ,politique pacifique,

Le Morning Post se dmaaodeit hier guetintérêt la France pourrait avoir à faire laguerre à la Prusse et ajoutait avec raison:. Il n'est réellement pas question de ra.mettre la Franco à sa vraie place en Lu-ope, quelle qu tille puisse être, puisque la

1,anor n'a usasse perte à déplorer en taitde pouvoir oi de considération= En effet,

u est pas du côté de l'extérieur que laFrance a fait depuis gaelques années lespertes les plus sensibles.

Je d s an eadu, rit q e lesn u Ii,' t t,.ras aujourd'hui No.s

le situation, et cela quoi qu'il puisse rn i s gilet deus un élat de tranmtionconter à sou amour-propre. i c t. l t t o tendue qui a précédé

Ces observatieun ont 6t6 laites à t ire de ! 1 eut vue de Sa ,.bourg, et la sitaaeaqconseil, et tout st té I oites le Ce, u

iqui doit ea î'Ire la ,mnséquen e.

L le ministre t h , le géné l t 1 ,,,colira eutémieures, none

lgoatuelf est allé 1 IGan à qutli aa

i e d t i nstater la défaite daloire lettre autegraph: d e malus eu moins ' ,des margés es-s un'

d I d ntvola a.

on a us untilités a. Crète, jusquà

seec quo 1'o. presse

s'entendre air les mayens à employer pourpacifier file. L'ambassadeur et Bussie aordre d'insister sur ce pointe e6 il doit re-partir

suasous p de jours pour Yalta avec la

éponse delea Porte, Sa ne puis p s ,ans

dire encore sa que le sultan pense de cettenouvelle proposition qui implique une ou-yuêta inloenaeo.ale. Il eu référera sensdoute à sen conseil des ministres. En at-tendant, il a envoyé hier an soir au géné-

I Ignatieil deux chevaux arabes en ca-des

Jai sous les yeux une lettre de la Curéequi dit que les insurgés se sont divisés e.plasueurs landes, et qu'ils parcourant lepays peur signaler partant la persistancede la révolte. Ils out pris le parti de neplus accepter de combat avec jas troupesturque , t de s én rapporter, pour letriomphe de leur cause, aux sympathiesdes puissances et au travail de la diptomatic.

Pour extrait : A. Pmos.

Parts, 3 septembre:(6orreapaedaeea jpartieutièra,)

Il n'y a pas de nouvelles importantes à'gnaler ce matou. L'Oa attend, d'ici à

grâalques jours, la publication de la cieen-Imre de i11. de hlousticr qui pourrait bien,quoiqu'on eu ait dit, paraltreiaoidiositeur,Cc ne sent pas cependant les préoccupa-tions qui manquent à nos hommes d'Etat,surtout du côté de l'Orient. Carme le ditce matin u journal , l'sir rintal est

a eemp!i de conjurés et de conjura-tonssode toutes socles. 0. dirait une minabourrée de poudre .'sumndant qu'oie po)lits étincelle pour éclater. Les chefs sontnombreux t les centres sont partant, euGrecs, n Vebeahie, en Serbie, à Constau-linople, dans le illoufénégro, en Bulgarie,

sis surtcut à Sein4Péteeobeurg et à Ber-Iiu.

ll ratait que, dans ces derniers temps,les meneurs d. toutes .a intrigues trèscompliquées, dans lesquelles la religion et1 pal tique entrent pour nne part égale;il parait, dis-je, que les meneurs avaient

pagnols qm se tendent ou passant l'e fron-

trère Iraucarse eà ils sont désarmés pouritre dirigés do là eut différentes villes del'intérieur.

Nous possédons e ce moment à Paris

telite d'abord hL ! Sis i, le chef dui.flacats

astide la gauche à la Chambra des députés deFlorence ;puis 51. Fcrraris, le rapportantdata loi sur les liens eeelésiastiquea, etenfin M. Bombrini, le direotaur de la Rau-que d'Italie, venu, di4-on, loi noue négocieravec un de nos établissements de crédit

emprunt de 5B millions qui doit servirà faciliter l'opération financiers que tenta

ce moment ill, Bettosai sur ces mémésbien s.

On ni annonce que l'Empereur a revuhier 6f. Nigra et le prince Bombert.

Le prince de Metteroich et le nonce dite

paIl

y"'

le soir, en l'hossesr Se ls rainade Nuelemberg, m grand dinar coquet

sistaient le prince Bumhertet la priucaOthou de Baviema.

Alll, de FabIaux et Dupenioup saut eueut en Belgiqu e, où ls srmt allés

rendrevision à 1(1. de àlontalembart,Ou étudie en ce moment à l'administra.

lion des posees le aven d'arriver à re.-dre la distribution des lettres dans Paris

plus prompte et plus rapfermide.Le Bourse a été assez e aajourd'ltui.

Les valeircs tue patronne le Crédit obi-lier contrastent tacjoars par leur faiblesse

ee le bonne tenue des outres par suitede la situation embarrassée de la Société

biliere,mLes voyages des hommes d'ECat n'eut ja,mais été aossi nomhreoz qas crue année;presque tous les ministres ont quitté Parissoit pour se distraira, soit pour faire destournées dans les départements. On soc.

pe beaucoup de l'euesmuion qua va faireM, l,son ,Il de Genouilly à la tète de toutela flotte de la Méditerranée, 0¢ fait mille

pommentaires sur le but de cette promu.rade naval, ; les uns prétendent qua Pi.le ministre de la marine veut faire me dé-

nsiratioude nature à montror9 la Butteaméricaine qui croise dans le golfe daLion Je puissance des forces mondes de laFrance.

- Perdus ! murmure Mamsyu, i ee sontles sbires de l'inquisition,

- 'fermiftle ! les rôtisseurs ! s'écriePourbus.

iNais m large sombrero vient de tour.ber au milieu de la saute ; une voir sor-tant du premier buisson vient d'articulerces mats :

- Jetez là-dedans vos bourses, senors!et vous passerez librement; sinon, desballes !

- Vivat ! acclame Pourbus : ce ee sautque des bandits ; ra me va ! bataille !

Et les poings en avant, il baisse la têteainsi qu'in taureau prêt à fondra sur l'en-nemi,

En môme temps Maetsyns a tiré sonoi nard.P S

Pas de çà! c mande lestementCrispin, nous avons alastres instrumentsqui peuvent beaucoup miras nous serviren avant la viole, la mandoline et In oor-emuae IAlloue, Pourbus, voici le moment

de montrer ta balla vaix t aboutons !

__ Eh ! pérbleo, la ballade dos rapinsflamands ! Eue, deu%, trois, quatre !

Et, danoaa fui-mème l'exemple aprèsavoir ainsi battu la mesure, la concert tratas montes commença.

Vtl,Erg curiaaa cen.tcns.

Ce qui précède a paru peut-êtra iuouaJ-semblable ; mais il est do ces naturesrime-sautières qui trouvent à de certaines

heure. la secret de se faire obéir instants,nément. Sans comprendre encore eu j tce qu'allait mire Crispin , Maetsyvs pres-sentait qu'il allant peut être les sauver;quant à i aa,boa, on lui disait do chanter...rl chanta s mê e demandnr ni pour-

t., ,,éuiI son rôle.,d riqut b II. d d rap ins Bamonde est unedo lodtes ar,gina!as at primitivesqm, à lépoque de cette histoire et sordes

t z mo tué sauvages, devaitIu 1 0 iraculeuse impression.

l'rhes e, Crispin la chat tisse, dureste, fort bien. Ma tsyns l'a

ivat assez en-

Pondee à Anvers pour imamat ier sus partie

d'aceompaguement quelconque. De plus;comme la plupart des artistes du moyen,Age, itsavait assez bue, jouer de ta viole; lepartie iastemenrumentale lui échut doue pies.que entièrt. Pourhus se contentait dagratter de temps à autre les cordes de lamandoline, et vmdeobroeke, dans les ri,murnelles seulement, de souffler à plein.;goumo s danses cornemuse.

3foraé charivari, moitié concert., la bal-lade e an alitai rit as moiS p ris uRbuE salis;faisant.

Les espingoles ce relaxxèrent peu à peu;peu à peu les bandila sortirent des buis.sous, conservant une attitude quelque peumenaçants encore, maia laissant déjà voircar leurs physionomies expressives un airde ravissement étamé, l'admiration crois.ante.

- Continuez sans moi 1 dit alors à sasdeux amis Vande.broeke, qui s'n fàt ra-masser le sombrero gisant toajot;rs aumilieu du chemia, et le présenta tour àtour à l'étrange auditoire, en répétant avecson plus communicatif sourire ;

- La charité! sanors cav-,'ilers ; do..etquelques maravédis à de pauvres musi-

ans 6teung ouors qui r«,gagnont leur pays enhortant pr ,aire les frais du voyage t

La main à la poche, allons! Ce n'est pasvotre itabimde, je le sais I v us aimez

;eax fouiller dens les hauts-de-chaussesdautru1 que dors las vôtres. Mais queculez vous? u.e fois .'est pas coutume eC

le bon Dieu vous bénira !- Ah ça! se prit à ricaner l'n des

bandits, seul peécsémea oe que nousris l'honneur de vous demander noas-

mémes, et voilà quo vous nous tmidez inre mur notre propre chapeau?

- Preuve évidente, c elut effronté.mont Criap n, que les vole s et les muni,nous sont à peu près la mêmo chose I

Cutatas Dastrs.

(La suite d demain.)

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loi,

u d'ansées .asl',me lettre

isur. Cemmnnes

pas beau.s af

échrl é sa,1 Iq allées I p ,t f

1",.t" les c es, taus ]es dépar-1I I a' I ta sûr plus

Pour ,,fiait . A Puni..taire cor roepoed,ouc.)

1 j 1 i p., I doRal.,1 o' .,u' , etc, p<i(,t de ILsfa-ou', et l'inaurrrur;oo sembl, plus qua ja-

"i-s

- rée. 0n is pies souu,

était le p ire] Primo,a s anl. quelque -noit à l'abri la;. du. combat,,clou

q Igees scores, (bait posent ett at de fila. On prétend

-.a que le gosvervememmt se croit it sursa trace, mais i ,o je sais macmmn,

n,s'il I.,ii aussi c aurl en Ce u 1ta, tee que

dans le r';,patte eut de la Seine, le soleil1,1 1 le plue sûr aces iaire de Narvaez,Cluccet tirs l,eim,:es iievdraient,lls la

,;.a I il fait n, cloue., à .a

é-mte d'eau dans l'Adour

t don, le Muecou,

C'est parc omte

orlede mi acle qco

ous

avons occorse

aq

eissrie ev au à I ea:u e du pont de lame-

la

'

rcorde, Quelques gouttes de ploie dansla matinée ont donné nue espérance qu,

s'est pus réalisée .'anis n'wtpius Paris,

cest une (....aise.

Le jour.a[ de Saiut.Pétersbourg ne tou-ant pua plue qua les janrneux prussiens

à voir des points

.airs

dans l'entrevue deSalzbourg, et allouas d'être stisfait des,ours prononcés à Lille et à Amiens; toutest donc pour le minus parmi les grondespuissances de l'Europe. Qu'a. s'embrassedonc et qu'on désarme sur tonte lu ligue,afin que les contribuables aient aussi leurpart d' option arc.

armseiguements que .ansaujourd'hui, une les élections,,ce

,i,cent devoir lieu en Prusse, ne

suffisent pas encava pour 1l 'on puisse aafaire une idée nette du résultat général.Mais voici, on attendant, quelques dé-tai]s qui peuvent intéresser :

A Cologne, M. 'c"', , candidat pro-gresstste , appuyé par le parti clérical, aété nommé par 5,575 voix contre 2,586données à M. Camphausm, ancien minis-tre, candidat du parti uatimal libéral etde gouvernement, à 1Virebaben, M. Brau.,chef du parti canon, libéral dans le Ne-

cméreM. deuDiest,nprésidenela

out dej lalré-gence et candidat du gouvernement; àJlreslau, les ndidets du parti progres-,iate ont été élus à une Brande majorité ;à Fiensbourg, il, Ahlrrean, du parti da-se a

obtenu 8110 voix et son concurrent7 ,0001 on .e

'ait.s'il sera élu; da.s une

cireovsoeiptian de Dambourq l'élu est vil,su a get dors ,, }laaovra,N. de Benni

été661; à Prmof.rt-sur-le Allie, M.

de Roihschild , dans la province rbeaune ,M. Waldeck; dans le SIesseig-}loletain,SI, Franck.

M. de Goltz, emba,audeur de pulse ,est orrivé ce merlu A Pari,. M. de Goltz

e da [Lerlio, oie il s'était arrêté quel-quesjoure en roveom, des clos de ILis-

n. 11 a diné à la I.ab1, royale, où étaientfnuÎemem invites lo duc da Drunsvvick ette comte de Dlsrnark.

J'apprends avec prise quo le docteurVSeus est dan est

c'alads.0. élit

oujou

méme lies l'in uahle philo,ophe s'est mierèg1o avec l'église, a. confessant bu,n-

blementsesPC

chés; espérons qu'il neuicndra pas l'est-,cou, onction, cor M.

Lu. s Vsron est jeun encore relative-mtOn dit que M. Rouhcr appréhende quel-

que peu d'être interpellé à la session le'gislative denoeembee, et que cette ses.

o, comme l'exécution des promesses du91I janvier, pourrait bien être ajournée

par égard pour M, le ministre d'État. Onest habitué, aino. résigné, aux a,jouene-m te.

La France rentraie assura que, dors le.cil des ministres tenu le 51 août aan

Tuileries, on se serait beaueeep occupédesjoureaux, du tin de leur polémiquedepuis quelque temps, de leurs apprécia.liomr sur la politique intérieure et étran-

gère, des bruits divers auxquels ils

a

ontvert; ]sors

colIl et que l'Empereur

aurait exprimé de nouveau, m il l'aPair à Lille eu pa.lan6 en président tin tri-lxunei de commerce, !a surprise et le re-gret que lui causaient dartois jugementset ceetulnes exagérations,

Le même journal dit qu'il asaiS étéuestion assi des attaques particutiéresérigées cintre plusieurs

ministres,

ntemment ,mire RI. llouher et M. Durey,et que des mesures pourraientpeines pour y mettre un terme. bien être

Yoilà ce qui se passe en Fronce. EuAmérique, on peut lire à la première paged'un nouveau journal, le Globe, un m4icleintitulé eu gros oeraotèees : s Secondeparti, de l'Espgsb stupéfient des (ruades,.éh les, sorties do fonds abusives, irrégu-,aritée, malversations d'os le départementde la trésorerie , à Washington, le toutmontent à des centaines de millions. >

Cela cet il'

primé, dit le Temps,"Ilvara les yens au gonvernemmt de

Washington qui le lira, le Globe ne serapas poursuivi, et le république des Etats-Ilnis ne s'en portera pas plus mal,

Pour entrait : A. l'min..

Vont ti lin do la Chronique de laquintaine de, la Relrae d,, Dauæ-Dlate-des :

> Les lequiémdes' entretenues par l'é-tat politique général do l'Europe diseur-ne t l'attention désintérêts cane la politiqueintéricuro, C'est là pourtant qu'El faudrait-cuir adn de restaurer chez meus la liepublique. Toujours com's do saisir lesdmagiuati,ma Par des mesures géoéra,alemôme eu m'a i't cru d'inaSrêLs matériels legouvernement ,lent de mettre

àlsils-

inar un projet Pachévement desche

mina Vicinaux. Certes la molli ];cationdes aies de co,nmunécatd est un inlérêtconstant et do premier ordre. Les moyenshumectera d'exécution sont la grande af-j'airs. L'empereur a fuit du plan financier

t t t empois 1 tPeint densdess t L n 1 Cq

la aoosiructd nries chromo vie

,éffilici ouest en tard noué

justement celles où les 1 1 1 1 - I l s man-quent, ivourcouv 1 dép s , il faudradlevm le asxlnum descenLmes addition-nels que les départ-.,.es et les commu-ces sont autorisés à s'imp se,. 0. a i-pire

u1 velte sorte d'institution decrédit pour

(slocalités lossoin-

i--et viles amont besoin et t°'clles

o1 tirent en trente antennes a c le prodoit des eeanmas unuvelleinent ajoutés à(cers contiibutines.

L'état eût pu, ce nous semble, orga-nise, oe concours de crédit cens une terme

onéreuse. La cuisse des ,herniesvicinaux doftémettre desobligetions tron-tenaires garanties par lui. Les obligationst L ont le mains favorable desmoyens de édit dont

ilpmsse disposer.

D'adleurs, dans la s'toulion actuelle deschoses, la Baisse des dépées et cmaigna-tiens fait déjà les prêts x somOa ne voit pas qu'à côté ode celte ça

sse

do.t les ressources considérables sont ali'montées eu partie par les fonds des som.

il fût éceesaire d'élever nue ins-comme,tituai n ....elle. Peut-ôtre dans ament do stagnation des affaires at do dimi-nution des profits du travail, n'était-il pasbien opportun d'envelopper dans une me-sure générale des départements et des

mmnnes à qui .a sourira nullement ..edépeuse accompagnée d'me augmentationd'impôts.

Ltriche ]'alla

causa financiersgente. ll Y, d'abord à

faire autre les deux parties des états au-trichiens, la Hongrie et les provinsse qui

si ma séparées par la Leitha, le partage

des charges de l'empire. Des députationsprésentant les deus aegrbgatio.s déli-

bérant pour Bser nitre ailes la proportiondes charges. Les Hongrois, à qui o de-plus de trac" pou'd cent de le

totale, n' nient onner quevingt-cinq pour cent. Peut.""' les repré-entants des provinces eont.ils un peu ja-

loux des Hongrons, t veulent-ils fairepaver à 1a Hongrie quelque chose pour lesprlviléges dont elle jouit. Cette petite que-relle de ménage ne retardera pastempe,.ous l'espérons, la conclusion d'or.

financiers entre les deux par-iesJdeme

mnrchre antrichimne, Le,eto IIIutI.

Ourplréteudfque@la budet autrichiensoldera par un défiait de, cent millionsde Dorins. Use perchée pénurie ,calot

trie eJans landirrletioade sa nn litiuLe repos de la Po que.

tihertéspais or

r

]'.sage des

s

nouvel-les

dameles effets de qsette détresse Bouesciére

> La Gongrie qui est satisfaite politigve-1ent, a l'air de vouloir s appliquer do bon

a progrès économique. Des sociétéss'y Pondant aura facilité pout'établisse.ment d'utiles institutions de

il,anque et la,,,,,,,,,,i,,

de voies ferrées. Lu récoltades céeéaice y a été magnifique cette an-

. et douve lieu à des xportatm., coa-sidérablos at 1ocra Lives. Las Hl'aongrais ,ratenohantcs an surplus de pplication

e et de le loyauté avec lequel-leuleursroiremplit ses localrs canstitu-Li.nnele. Ou diagoe le roi de Hongrie mon-me une remarquable aptitude pour le tra-srnl et témoigna dans la conseil d'une dé.férence pleine de sincérité ans avis de sesministres. il y a du côté de m Hongrie-nos une lueur souriants dont le relie!cl'Bmre la figure de François-Joseph de-puis qu'il s'est abrité sous la couroane de$lireEtienne auz appleodissemeuts d'unpenple réconcilié.> La poHdque n Italie ,et trament,

comme partout Oaribaldi rbde tuujeursvers la frmtrées de PEtet romain; mais

ne lai fait aura. signe do Rome même.0. dirait qua les Humains se résignent àleur sort et ne veulent peint recevoir l'af-franchissement du dehors. La légion d'Au-libes, le leurre du maréchal Niai le pro-blème de savoir si le gouvernement italiena fait à Paris des représentations sur cettelettre, et quelle réponse aurait été donnée,,lettre,

Fran e a.a rema.teanees italian-s, tout cela n'excite p=Il a curio-

sité. M. Rattazzi paras out eu-ticr à ,'opération fondée ter les bleueeeelésiastigees. L'émission des obligationsqui tara la représen tation et le titre d'é-change du domaine clérical va être bientôtcommencée. Le banque de b'lorenee, eue procurant me somme d'u, modérée,

pourra étendre la circulation de ses b11-lots et sacondre la soseription des obli-gations erolésiastignes, il s'aneuivra pro-bablement une dépréciation du change,et o. Passera ainsi quelques mois.

> L'expédient ne serait point fâcheux,

é il devait servir de transition à la'Aalisa-tien d'un système régulier et équilibré.Le malhcnr, c'est qu'as bout il n'y a ni

système ni principes. Quand le produit dele première émission des bons ecc[ésiasti-

ques aura été dépensé, on sa trouvera,prés

avoirusé eue importante ressource,

dans la méme ,cet qua.jourd'hui, avecma

écart énorme entra la recette eégu-liére et la dépense forcés. Un ministre

t si

aeplue

,,, u' 1,,7 z,or l' ordrect l^xaeti ûde

daôa l'admimatcatioe des fiances itahm-'eût point appliqué la ressource ex-

traordinaire anis établir la certitude d'unment du -,ma des imfilp. ..

estima qu'il faudra et qu'os pourrait déjà,pars des taxes nouvel les, rudes as." doute,

spportables, obtenir nue aagmmla-nonde 700 m Ilions pour le avenu da]italien Le

budge,'.p,,,

ordinaire émet ainsi^desfbreé m c,.. t comblé

Ivrele taiod i

des i Iv al'', sontérimsr

hailsduc efeuélr Ilcilst

s apprétis envi de déficits fuir-, Au-,,,r,1'1,,, a ,,traire eu se ndola r6alisatiauea vif,, emlésiasti-gaes pour faire lacé aa hesofns journa-liers, eu omettant de préparer l'aagm -estiae du revenu ordinaire, en marche les

yeux ouverts à une impuissance cadi- destitution du ministre do la que e,il prive C'est un l'an quo nous devons constater, la nation mexicaine d'avoir ainsi ocmmpljlcale. de leurs eomm,vdements plusieurs grné. parce qu'il .a dépend pas de us d'en Fceuvra civilisatrice qua nous serons toa-

> Pour -sache à foi,, ainsi, e ma- c i.ilumts placés à la téta des olecons- supprimer les conséquences. Nous som- jours fiers d'avoir encouragée et 1° 1' ?etiers da finances, de la politique eu jonc le criptioso militaires due sud et qui exéeu- mes loin de méconnaltre les obstacles et à son débat.jour, M. Battassi doit être doué d'un bien bu, ,il la reeorotreelion avec l'énergie des les dit&u`tbs de toute nature centre les-

, et insouaanE optirlrsme. Les oucou i é adales du ..g, és. C' -t cousu quels S. M. L'empereur Maslmdleu a en à -_ Nous empruntons au Salue pué detao... ou l'étal, t 1 u h placée qu'il dépt é le séné-al et q it ]orme.

Six eue avons déploré souvent qua Lyon, l s nouvelles sulvmlas en I i , e

dema d . t p l u s dappiica.lon chas .t l lemeot du district du s'a loyales intentions ne fussent pas mieux laissant,

n

bien ntendu, le reepmsaUili,é.qui1 q uvernent et 1ér p e Ne 0 lé plus b,dlant peut être eu-.dé-s, nous avoua toujours pplaudi _. j . Rlahias. (Avenir national)

ennt d 'ai

'le

ors cette application pa d:. d é.écauxil,.,

États-Unis, au "serai a sou activa eolllmtuds c'à

eu générese . IIne rrespondanoo partioullère defacilités qui .'avaient été emror a la dis Sus hier, chef do cavalerie dont las initiative. Paris nousf....itquelqure ronseignemenspusiuon d uucun cabinet italien. Le devoir ml t pénis élidée] t les mass---- . . que nous aeeuedlons, mais .on sues i é-de l'application est pressant porc les qoa- 11o11 efhcaces dans I emplm tic cette arme, > Les résultats e épasdaimt pas à serve.

nants italiens, car leur pies e des des le vainqueur de la'.'.dis

des'l-1-1-11c-

nos espérances, malgré 1 habile et énergi- > On assure qu'au conseiI des ministprestes considérableselon, erres. Le facilité chas et des combats des derniers jours qu direction du maréchal et les efforts de tenu samedi eus Tuileries sous lade régler la situation jmaueière est plus Huilés autour de Pétersbucgh et de .ode- 1

aa

rmée que rien ne lassait. 1,a pacifioa- dense de l'Em ereur il a été décidé u'ilp q,grande qu'autrefois, car il n'y a plus d 'm- monda fion ne se faisait pas plus

queI arga.isa- ri y aurait pas de . petite session. parle-

s dans les frais d'établissement de , RL Jehson a remplacé M. Stanton par lion de ]'armée. meseaire. En compensation, le Séaat e[ lel'unité nationale ; le cllilfrc du défiait est le général Grana, lequel étant au servile Corps législatif' seraient convoqués vers hca raté, ii n a plus,qû à le couvrir par des ne général e. r,11ef de l'armée ameri- > Lgnet f s facilitait le 15 décembre. Les projets de lofs sur laréalisations de re set à eu préve- e allégué, pour motiver l'acceptation oselusion d'empeaeln qui venailut en publiques, sair le retour in Ulo des du ministère,, l'obéissance hiérarchique aide auz embarras do trésor mexicain, et

Presse, sur les 'écaillepar posai arinée seraient roses à l'ordre du jouir

dépenses et un accroissement .ceain de qu'il doit au président comme --alcool cependant nos charges enta de compte.FLa loi pour l'achèvement des chemins ci.

u. M. quis'est

aurait dû l'aire servir supréme des forces du pays. de so amis - nées que par des nveils mts do comptesété,maux viendrait ensuite. Les travaux desla majorité qui formée autour de. lui siou de Orant à l'ordre présidentiel qui donnés l .Des conseils amicaux ont Chambres seraient conduits do manière àà la solution immédiate at non à l'ajour- l'investit du ministère de la I ms", est donnés mais la éséstanae systématéque permettre la clôture de la session vers la-ont par temporisation du problieme lois cependant d'avoir été absolue; il a des conseillers de Sa Molesté sa mauifes- fin de mars ou le commmcemant d'avril.finenoier de l'Italie résisté d'abord au déplacement de les intérêts de D'aprèsSi, lait sur tint ce qui torchai après les mêmes informations,les mi vo ré-

Los maladies qui dominent dans ce e porté au eom mtRléescurouré

s effo. Doit m rappeler a° prix pu vis-moi impossible les élections 6nét qm pourrait appeler l'hbpiml de la poli.

et

taa exigé que

tinttes

eestesles .as., prises que] s efforts la en France -pu cales eussent l

lieu.eu

e¢ 9868. ,g

dtique eumpér...e som les maux de lan- par son "'',gel. d'armes à la9ouvelle- obtenir enfin ° nsoifrsante réparation Le Normand.Parle, les plaies paresseuses et inguéris- Oelé s fussent maintenues. des doprmagesss bis par nos nationaux, - M. Casimir Périer, membre du con-bles, Sur plusieurs points, le mal IL la = Voilà les obstacles que rencontra sua alors

,u ""i,",réglées sans conteste les sel é 'roi de l'Aube, voitg roposer edouleur

satrahissent pandas agétntéo.s Etats-Unis le chef du pouvoir exécatéf dans réclamations anglaises, alors qu'on trou,

partielles, par de lents soubresauts ; mais l'es villes de son autorité. Ces obstacles it des ressources pour acquitter, sans erra assembl° ée d'espnmul.alepv

m quela maladie n'est pas assez énergique pou ont été nposés por des lois commcou des ga- délai et sege.t comptant, des créances la nouvelle organisation de l'armée .,.ils'épuiser dans une crise ardente o pour ancien contre les erreurs et les tes du douteuses et non exigibles. Nous avons vu t' as pour croséqucace d'mlover à Pagri-emporter le patient. L'Espagne ne révéla. pouvoir exécutif. 0e peut en juger dés à contester le principe même des réclame. cuiter., à l'intiusla s(à tout ce qui dbvo-t-alla pas son malaise de cette façon par présent l'efficacité; ou 1 appréciera peut- tiens françaises reconnues cependant par loppe la force et la richesse nazi uelpa le

de petites insurrections locales sans par- être mieux lorsque la coageès, rentrant eu le traité ds Miramar comme la case dé. Plut grand nombre de eitoyms que par tetés avouée et sanenom, ce pse les rigueurs session, pourra scolons, desinaaetedes du terminante de notre eapéd,liou, eE qui, à Pasai; que cette organisation ne e ]mile

de so. gouvernement impuissantes à feu. président .].hase., défaut de tonte stipulation, auraient cons- pas ,cadre, pour Félins de la jeunes, fdri'dur l'ordre régulier f E. Pensons. toué ..a dette d'honneur irrémissible et ,aise, les condetis du mariage plus du

> Les agitations des opulans ebré- (Beau, des Deux-Mondes.) luths .table. Ilè les, et mrecoonrder

l'époque moyef ns.P M. Yer,er ajoutait :. Lo conseil géné-elle.ea de la Turq 'e d

Euraptio

e, ostensi- > A réa .vair me mutas cmc..stancesp val, applaudissant à Pabandon do la loi d.plument fomentées J'aille pardes

pro signalé au gouvernement meaicaie la ro- 9855 sur l'exonération militaire, s, cuû-pagaudds ambitieuses,sont

nt un cas patine: n'aaeaüra sas en amxigen. cessité ne pourvoir par lui-même à sa pro- }case au,, popillalions et si dosecur a illogique d mém genre. Elles sont la con- A carsurs qu'il se publie quelque doc.- p e conservation et loi ,vair maintes fais à Paumée, pe. e q le gouvernementséq.once d'unelésion

dont le malade ne mont de .aturn à jeter du jour sur Fi.. déclaré que In concours que nous lui Pi trouverait dans la loi de 185 la élémentspeut se guérir, et eli ne peut tuer le ms- succès de l'entreprise mexicaine et sur le tiens ne tarait maintenu queutant que les d'une force militaire réduite eu tempe delade. L'heures effet d'usa entente active cae.sleuphe de Qecesloro, nous nous 0m- obligations correspondantes contractées paix, élastique en temps de guerre, etde l'Autriche et de la Franco s'accomnio- pressons de la reproduire. En ici dam vis-à-vis de us seraient strictement d'une garde nationale mobile dont l'esis-dent au bon sens et à la ,altitude de la u es veau que .eue trouvons dans l'In. remplies, .ous lui avons fait exposer les trace .serait a.e garantie suffisante pourpolitique anglaise serait peut-être de col- dépendooee belge. Ce n'est pas nu docu- impérieuses considérations qui e u s un pays oû tout c ioyen devient soldat,er, par des moyens sains et hmnétes, la est m xfcaiil cette fois, mais français. permettaient plus de demander à ta lorsque l'indépendance nationale est me-fermentation du détritus des races crise- C'est la réponse faim, au l'amps- France de ne eaux samifocs et qui sucée. >talcs. Il faudrait qu'il fût établi par las sur Nec léon , sua demandes qui lui eus décidaient à rapp fer nos troupes. Le sonal] général, sas vouloir mAmeanifestatissa p sitives des grandes puis. avaient été soumises, au dernier moment, > Es prenant toutefois cette résolution, maladie, lecture de la proposition de Rl.tances qui prendraient une bonne fais la pur le général Aiment., envoyé par Maxi nous .vous prescrit d'apporter dans son Périer, l'a écartes la question prétutelle des races chrétiennes orientales et milieu à Plein pour tenter un supréme exécution les délais et les p éesuGons né- Table.par s

btiendraient pour elles de légitimes satin' effort afin d'obtenir de la France les casseurs pour éviter les dangers d'une Si la casai] a é couvé, à eo . s unfactions que nons ne souffririons point m yens de sauver l'Empire mexicain, trop brusque trausitime. Nous oves dûp

gs Po ,leur docilité aux excitations des Voici cette lésa, e l'Indé endanee nous réoccu a en méme rem s de subs- s upule de ]égalité, p ,quo s est-il man-des russes.

propage..

belge ne public peu intégralement, ce qui tituereux atipulatéoss. désormâis sors va tub plus acmmmuit.. t'Il orsqûoce loi a pro-. 0. devrait anelretsegarder des dévia. est d'autant plus regrettable que les pas. leur, du traité de Miramar, d'autres - Posé de voter une adresse, coiltrairemanC

tins de patriotisme dont quelques braves sages supprimés par ,lie sent bable. gemmts destinés à assurer lasécuritémgde

au texte fortes] de la lui Pprésen il 'y avaitgens nons donnent le apeemele au sujet de meut les plus importants,

ceuxproqu'il

ira- créances. Le ministre de t bmpereor Mais, dons l1 cas t,meia q estion d'Orient. ll est d'un intérêtpol. po ferait le plus de cen.litre. Elle a çà à Mexico a reçu, en conséquence, des is- p s à craindre de combat me

enune iu a,égmIme

able q e p par des points certains trustions pour conclure à cet effet u.e L'Aube rappellefortjustem qep livrr la France ue ste o! à ne aitg ara

rm lacéu lendemain du 18 brummre, le ministreoint livré à l'mfiuence russe et des lut. pgraphes. Ces pelota, nous les avons nouvelle co..lotion. de l'intérieur Chatel berivaa ous Vr6fets rles sanglantes. conservés, afin que nos facteurs, sur Fi.- > Ces instructions sont, comme tous les P

> Cous qui chas .ans""'ra gent l'a. dication de la lacune, osent se faire .au actes de l'Em r Na léon, "ils ieés Les mémoires des muselle généraux

S pué pereu pn ' P tiaivent ésecmr à l'administration non-narchie des suulevemants chrétiens centre idé do ee qui a été supp f é pal' les sentiments naturels qui l'attachent Prla Turquie nuisent, sans qu'ils aient l'air (Gss. de France), Aubry-Fancault. à l'empereur du Mexique et par son, désir Osa meut les maux à réparer ou

lao

bienà faire dans ch u département, mais dester, d un intérAE frmcafs de > 51 mai 1866. siucére de concilier des i.téréte quil ue que

premi'r ordre eE 'osent le ucs 'tendues, des ,dies d'nttilité générale,de sien do.Ï.""' Pareil

de . Le généett Aline S a remis à . a., vent pas séparer. Il a apprécié les raisons des élimants d'amélioration et de prosp is. Les chrétiens orientaux ne niés P e

e

eu, les lettres S. M. l'empereurqui

ont déterminé ses représmmnts à necitent pas les sympathies enthousiastes que Maximilien et s'est acquitte des commute. pas presser la conclusion immédiate des rué une époque plus récente, sous le so-quelgaea-ous leur mmoignnt, et if y a cations dont il

étaiteS

harlié pour le go.- arrangement qui le., Cl aient indiqués gpeut-Cre un fanatisme qui ne d evrait neuf français. Sa Majesté a le ,a- ,.aie il a regretté de voir 1. eabinet mexo- a.d empire, des co asile généraux ontpoint cire de notre siècle dans ïa politique geirt de devoir exprimer ici la sur liter de leur mndeseend"et émis des vmux sur FI...èrati., le re

déclamatoirepris. coi. pro pour

crutement, ler s esem fions; v.ta'mt leqm ne craim pas de devon- ue lui ont usé ces ommu°icat,ons* transporter à Paris le signe d'une néguma- é é t dee.Pe, ad .et tI.mm

9865dur se l'extermisatiou ou l'expulsion en Depuis plus d'un su , les instructions tien O ui ne peut être suie qu'à Mexico. cosous

nseiltag

péu' °de M. lir 1

,se plusieurs dot°s.dn'furas les.

q

.drossées taux agents fronçais au Mexique, > L'Empereur Napoléoniv

su tout re-dent duSénat, le venu suivant ,g '

Prémbl s on

hEurope. Aux v efforts da dissolution inspirées parle sentiment tics devoirs et guetté de trouver libellées dans le projet Le conseil exprime le venu e la loiqui s'acharnent . ur 1'Orie°t, la Franco, des obfigat ms réciproques que..as avoue de traité soumis à sen guvernement paà sur` r.xI.ê.tim uservice mil,tsiro soitl'Autriche, l'Angleterre devraient opposer conhaetèas, avaient pour objet da faire le général Almonte las propositions déj

ne politique coucerbée et forte. parvenir au gouvernement mesioam les formulées et ha lois qulies se modifiée, d raison ea grnve nstitutpréjudice que

e Your faire m conseils dictésque, c que e o le cette lot à fa coion de l'arméePolitique en voyage de par les intérêts des deux sont produites, les plus er. Lems raisins P r

amt6, i1 [ont aller en Amérique. Las for. pays, non moins que par la sincère ami- noue ont forcé do d séj des et d sa moralité. >t,l 1 de gouvsr emmt et les luttes de par-

t h é

a Majesté porte à l'empereur troupes devaitproécliner. Le

longéau-delàourdes Le conseil général d l'A bo a donc été

Lie tir duisent "' États-Unis das aloi, Maxfmilil.. lus ri oureua ue la lé alité.termes asdema , nouvelles avances p 6 9 gdents birr faits pour sc n lr les têtes Ces conseils ne semblent pas avoir

nous

sautdemandées

es chas h,,,,vision de (Temps.) E. Lemoins.ada iseges et disciplinées ,noirs éisphère. été l ompris. Les propositions formulées l'insuffisance des ressources du trésor - Aie bouquet d u' conseil général des

U° président qui travaille à contrecarrer par le général Almonte l'indiqent as cals, et le remboursement ee est Bouches-du-Rhône, M. Béhiale parti qui l'avait porté au pouvoir, nu en mime temps q 'elles révélant le mé- ajoereé à des époques iudémrmi°ées : présidant du conseil, a porté la malt sui-chel de

lé.. ai,exécutif en lutte avec les connaissance cote lète d'une situation sur aucun a e .e nous est ID'ert, aucune a vaut :

ssembléla délibérantes, les et ment laquelle on .a peut pas différer d'éclairer vantée ûaet stipulée pourlla sûreté do nos a Messieurs,

sas cesse et eonstammment réduit par la cour tin Manique. crémais. Après les explications tronches, > Je porte le santé de l'Empereur.ailes à l'impuissance, ces '-as baccrocs , On se pansaiàs

e;rappeler l'origine de l'es- loyales et compléter du gouvememmt > Puisse cet esprit fécond, méditatif et

Il

violentes doue les rapports de l'exécutif' plditéon franç sa légitimim ressortait franeais, on a peine à se rendre comptee de convaincu, armant lo bien et ardent à saet du pouvoir représentatif, si étranges de nos gricie : obbgés de .os faire jus. la persistance des illusmss qui ont présidé recherche, puisse cette volonté généreuse,qu'elles puissent paraître aux liaropéeos, lice, l'expérience du passé nous commas. à la conceptfm de ce projet. active et forte, présider longtemps ansset u° air de farce saine et 5ont Pisté. dais de -foncier pour revenir des gara.- .... U est i possible d'agréer les destinées de notre patrie.

sonveraiu, à i nuicessante parade d'un peuple plein de sève. tics contre le retour des actes qui en lent propositions a ppo rtées par le général Ai- .> Puisse ce grand> La Lutte que le président Johnson et si souvent attiré sue ce pays, au prix d'ex. monte et d'eu autoriser le discussion. autre W. servi modèle et qui

esqut

si bienle mugrés avec se majorité radicale so péditioils onéreuses, des épressians né- >

Ilfaudra consentir ..a nouvelle con. de son époque, donner longtemps l'exem-

tiesnentl'on coutre l'autre a des vêtes, sis toujours snefècaces. Ces gs- -tien. Si las combinaisons qui lui seront plu do la modération dons te force et d'eutirs qui éeiateat mémo dans l'intervalle rmties douaient surtout résulter de le proposé es s nt agréées par S. M . l'empe- ordre amtsavérésour de 1a paix, dansseladeslimitede se aies. On es souvient que le con fondation d'un gouvememmt réguliergréa s reilversé les projets de reconsteue- esses fart pour rote ce avec les trafions

°r Maximilien,les termes fixés pour las des sseep et légipeup. ja-P départs successifs des troupes frailçaises tes susse tibilit de so6 m le.

tin. queJabouans

avait conçu en faveur de désordres qui s'étaies léga8 des Pou- ie régal, p gqui voient tenté la

. Casleru - noirs éphémères.

seront mai.tenus et le maréchal Bazaiue >des écotsdu

sudud

Qu n se' colon e e0 conG--

ce .atere de l'anion par la guerre civi p

»

de concertuaal'vecé valui, les mc

esuries nue à offrir au monde sils huile si nom

- .=r. pour qdans les and- veau d'un pouvoirmaîtte

re de -mémo, sat' assur op favbloraes aux états du sud,manaQd'unuudque

teldé s

ginirable

vernemqueet,fût

moins que foire maxime. vocables dans las coutil. limitent spontanément, en fur et àn'assurmetrnt

point une suffisante garantie mut autre,

.cas

pouvions songer à Fini- tiens las lus favorables au maintien ds sure que l'esprit politique et couse,va-ui semble se .û ,le atà la cause de ['Crime américaine. Furieux poser et nous avons

tadésavoué un Perdra et à la cosobd ation du pouvoir tour d e la.ation loin

dela résistance du congrès, Johson o m. pareil tiens "n, Nous L'avons pas voum impérial. Si, au contraire, nos prop s,- s'affirmer.Ployacenton les actes du sénat t de la croire cependant que les éléments dme fions n'étaient s cte teea, on ne doit - Coarombr s dons ces vfi.xTlm é,..

chambre toutes les prérogatives du pou. régénér fion polique indispensable fis- pas dissimulergmse.oasnoonsidéraacomme

frise et le Prince impérial, (..eaux amie,voir exécutif. D opposa son veto à toutes sent défaut à la soci,te mexicaine, et nous libres désormais de tout engagement et et respectés de in ,haine dynastique a-ies mesures touchait à la reconstruction nous étions promis de secondar tous les fermement résolus à ne pas prolangée 1'oc quelle sent attachées le prospérité, lad sud adoptées pa le congres; mais ana allure. qui seraient tentés ar le rendeuer et la di nité de notre >P., pays loi-cupation du Rlexiqua nous eédrrs avec g g paya!Ftats-Unis le chef du p voir na q¢ u. mémo pour l'arracher à Pmarchio q.ile au maréchal Dazaine do procéder, avec E° p rhva ce toast, M. Déhie a prouvarouta suspensif

quitombe devant une sel'- dévorait Cette entreprise avait se gran- t ute la diligoncepassib,e, au rapatriement qu'il n'avait pas oublié la prière quo les

faine proportion des vois de Il majorité donc, elle a séduit l'empereur Maximi- de l'armée, e° ne tenant compte que des chrétiens rècitent mafia et soir. Son toastd... leschambres. Les seps élu chef de lie.. -,allions, militaires et des seul jsge. st, en effet, calqué sur ]e P¢ler,1'exéentif échinèrent presque emb e A,'appel dela nation mexicaine, sacs tiens qu es dont il serait le seul juge. Qu'on compare son invouatioil p r PEm-l'inflexibl ...allé de la

majoritétuésradicale

le se laisser arrêter par les difficultés et les 11 aurait àiisur m même temps à p - cireur aue

Notre porembi qui êtes auxdo cungrns. La supériorité du pucelle périls de la nc,he, il s'y cet courageuse. caver a ntérêts français les sécurités bleus, > et l'on verra mm la ressemalégislatif sur le pouvoir eæéwtéf futéta- met dévoué. Il ycasait, comme l'empereur auxquelles ils ont droit. élance est frappante.pli. d'une rocou rréfragrable. Napoléon, yen de grands intérêts de civi =L'Empereur Napoléon a la . C'en! s C'est vraiment éd)fimt!

, Depuis tas vaeonces du lougres , lisation t d'lgnibbre se rattachaient à d'avoir aidé à l'amure comma.e C'est au (Gaae6fe de France). Aubry-Foucault:Johson e cherché ailleurs sas moyens da l'indépendance du Rlexiquo, à l'intégrité Mexique désormais qu'il appartient de àaf- - E. seront le aussi.. du museil glh

y ent les radio Il a exclu do sen territoire garantie par un gouver- fermer. néral de l'Isère, M. le maréchal Eandon .d leurs rimplais pl -- otmnnv,res nemevt stable et réparateur, et il savais > La tutelle éteongéra, eu se profus- prononcé ev discours dont .ous extrayonsélevés btmres ici Is. 11 a demandé que none appui P. lui mmmquereit pas geant, est une mauvaise écolo ,tune source les passages suivants;d'abord sa démisse. A Rl. Stanton, le mi. pour l'aider à réaliser une maure profita- de dangers : a -dedans, elle habitue à ne a Cet évéuemmt (l'Exposition) , quinistre de la guerre de M. Lincoln. M. Sel.- ble s. monde ratier. pas compter s.r soi-même et paralyse plu- comptera au nombre des plus mémorableston répondit par un refis, ! il fut des- , Les devoirs de l'Empereur envers la unité nationale; i u-dehors, elle suscite des du règne de l'Empereur, est venu fairelimé après noie délibération du cabinet La Fronce lai corumandail.t tac ta rois de me ombrages, elle éveille des susceptibilités. diversion à cette vague inquiétude qui, à...grès tétait bleu douté des représailles s r à l'importance des intérêts français Le moment est venu, pour le Mexique, ^I evere le suite de la guerre u Allemagne, tétaitqui Jobseon voudrait ex r les gags dans lette entreprise l'étendue du répandre à toutes les lauses, et d'él emparée des esprits et avait fait un in

rands foucLionnaires d'orrgi.erra écale, concours nu ui lui ,tait permis d'elfrir au s putriotiomo le 1, hauteur des eircons. tant douter de la puissance militaire queet 1 avait promulgué une Ion qui jnte,di- Magique Pour e. asearee le succès. C'est

Saonuces

difficilesqu'il

traverse. Au dedans la Frouoe eut développer dons u.e guerresait an ,résidant ne deatitnor les énés- à cet o11et qu'a été conclu le traité de Mira- comme au dehors, les attaques dirigées natiosvle.erre nommés pue lui, M. Slantun eût été mer, contre la forme des institutions qu'El s'est > On na peut attribuer qu'à l'ignorance

vert par cette loi, s'il eût ii 'ssclé a° d..nées eibliront, spn9'-'dents graduel- des faits eercoiaes rumeurs qui sa sont ré-ILmioéstére par M. Johnson lincomaislnsa n Or du contrat qui voit établi nos bernent .rond il mea seul à les défendre pondues dans le PublicMexoutre autres cellesoultime avait éié forte

.é aiséi t

oro do.set nos obli alions, la France la- dame re sentes contre l'enfeu °o la .erre du , sYauPp par gemt g a r d a saatidepuissantes y g q ueé

u

deal'Llaasins avait acensé ueot le

1'u

v nuuveletla loi 1 ée nos arseilaus et nos maq emint acquitté es s qbielle muai des peu les et de son souverain ciment p l'apt g

à iu

gr ce à cens d11estinettobtil ln sue neu acte fes et ee na

rerec uerrucom-élf' bi i9P,

étant point aPPtic 6ale, 6 osi ue 11 te u Rl somPensationsPa Johns m.0 'eo at ô t té 6uivalemenatesd

qui lui étaient misesm conte. da 1P q 9 pro

par les épreuves ceuregessementaceeptees lyse 1plicataction de la brasas au moment doiset supportées en commun. Ce sera l'hou- comions survenues à Fous de ,Lasnon, dQ S. M. l'empereur Maximilien et de l'matières.

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Cou allégations sa sont éranouies quand I eo Amérique. Seuten,ent, à tout moment9a situation récues de nos ressources entout genre e élu don,eU .. centrale des

tolnnusslons du bubgel des Chambres.

L'lles ont reconnu en outra que les

0 1 ts o t fera de la guerreleo t ricu leur régulière application et

que il foi lu il t duos aat d] d pe et d } éj ux

é t Ilé d I toit é.,su' d d',11 de Tl1

so loiigine dan alloouoo t dalqui cet été votées par le Corps lés

staff.s

Messieurs, je me s f sans doute tropétendu sur des oomscléeations éteosgéeo

avaux. l'avais Liait es quelque ru`-ama Je le faire.

. Je ni eo réfère, peur lo comprendre, àvos propres appréciations et à votre sensproclitique, .

- Il litait beaucoup question, suent-hier soir à Bruxelles, dans les cercles poli-tiques , d'un entretien que la princesseChauotte ..,ait en jeudi, aval le duod'Aumale et le prisse rte loioville, et danslequel aile aurait donné plus d'une preuved'ietalligrsea, bien que quelques pi ras-n.55es coco, itèrent sa raison comme ireépueablement perdue.

-a tome était à Tervueren lorsque lesprinces d'Orléans y sooi arrivés , et c'estails qui les a introduits dans la pièce eu setrouvait la P. incesse.

Charlotte, dit. elle en entrant familiù-remenr, voici mas oncles d'Angleterre qui

ment te dire bonjourli

sienAtl I mo oncle eurs , s'écria la

pri,cesse en allant vivement au devant dodue d'Aou le,

I,I après l'avoir embrassé, elle ajouta :

CtJ 11

t ai,,,, de srence , elletrcgpolit et tourna à droite et à gnu-chamuf fl ! Muselle se reimt bieo-

t- pa sauttor, et '"c"l

a dodn mari fë do, e A que.

4. mal p fit s dt la paroleLe d' riumaet toi, pa d 1,1 é

lcocue.

T ey I(,i ,I g d dea& I fm-,;Ila I de

aiau pr oe d¢ J ai Iec o

II

rat

deMeziquolu p 3t to td Mes

omme<t jutes cru dvlu à desseinann.eo ,,,jet U

e

n loituésdi demson a,,, si ai de

fia do Paragunp, de te Martin goe, SIl tutà peu près te tour dn Mexique, nommepour ablipor ors oncles à toanhee à la quels.

lu, coi finLérrO e le plue.Mais ça fut bien iuutilemont , elle 'y

paturst pas , et elle.même ne propas le ont qu'alla parais=ait avoir tons

lantmes p5 les lèvres.eLa prfta ieaae Charlottes parl, aesnree

nom a ntellige e et mon sur nue'md:e Illica.csse de tout ce qui sespu..di,

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ne b t ll P 1 outimmolant,naEtortie de 1

da las affectons de poitrine, de lappan-sot du sang, des berces intermit-

tentes, etc., etc., suivant l'indicationeiéd'cale.

Pastilles dormiras, et t iques de Vais,f h q des au J d ira t d

1 L tt 'et .t t It l cilsle donlies de Franne. 'les pnompalas

Théâtre des Voletâtes (à 8 la.

AUjused'hni, 5, septembre 1867.

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LA GRANDE DUCHESSEopéenhoulfe an 3 actes et 4 tabl¢aax.

. t,àv`ëtius

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iooob a été commis marchand et a serviau 7' hussards, au té' da ligne, au Si'd'artillerie, as 3- lanciers, aux zouaves dela garde.

DI. Dufayet, quia donné l'hospitalité àJacob, est devenu, do simple ouvrier, fa-bricant affineur de métaux. Il vend duplomb pour foudre les caractères typogra-

phBÎueDufayet avait rencontré en camp deChâlons Jacob qui, u liez lui, avaitopéré la g aven osa bonne dies desconditions

quiaient émerveillé les té-moinu dequi avaient

sc fais.

"eu'les uns, Jacob 'st un homme doué

d'une grande puissance magcét.que; pourles autres, n'est un charlatan. Ce qu il y ade certain, -et quo las enthousiastes luiont faitdplus de tort que les incrédules. Enraison e l'encombrement qui se produisaitdans le rue de la Roquette, le polies a faitsuspendre les sources. Depuis temps,le zouave n'a plus repris ses audiences àParis.

Depuis cette épogne, les j qui

avaient tac arts, les cures de Jacob ses ttournés c t .lui.

Jacob ne veuf ni répondre suc joursauqui

k

attaquent, m donner des rensetg e-ments d'aucune espèce. il dit fort simple-

ent- Que les Noumau disent ce qû ils

voudront aeln 'e.,t jan. t Jdrais seulement que lon ui étudiai séries.saluent et qua l'on na ma tuât pas pargélriatuoi,

Jacob ajoute- Quai qu'il arrive, je os vaux pas

que l'en puisse me faire le reproche d'avoirfait de oui même parler da moi. Je u'entpécha bicode rsonne d'écrire sur mon compte

o ou en mat; mms je ne veux mendira ; ma conscience me suffit.Quelques jonruanx ont demandé desenqudtes,

d'autres des poursuites... Pour-

quoi !.., Eu pareil las, l'opinion publiquesuffit.

Il faut toujours eu revenir à Vuaire età l'anecdote de Villars et de sot

eaau

mil.-ouCaMe

Celle anecdote est bien connue, mais la

réflexion qui la termine l'est moins :li L u tertain, dit Voltaire, qua Villars

avait faitdu

ba -. Eu vendant de l'eau deSmne, il p t it las hommes à la tempé-ance, et par là, il était supérieur amx opo.

thicairesA gourd bris, Voltaire dirait sens doute :. Je ne crois pas que I bleub

guérisse les nialldes> mais il ne leur r-uunne au

eauxcela, de ladi.1,

et est sopé ralor , ui 1 q I nseot tarc. remldcs et qui Da yuérmseotpas toujours.

Terminons en citant, sous tentes réser-ves, un bruit assez élues. mentionné parun

Le zouave Jacob, dort la raison aurait

troublée, entrerait dans uns maison deanté.

IL 'y aurait rie d'extraordinaire, enenBy

ale que las étages que les ..aie,,,

ont faits debondira

ajout Lanué la tête.

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