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ANNEE. Nni 11.010 ABONNEMENTS Gee» 18 fr.: 6 mol. 34 fr.: I an 85 Dilemme cruel ! Cruelle énigme ! Comment vont-ils la résoudre ? I. TH1VRIER, dépoté de l'Allier. LES DEUX MÉTHODES LES TARIFS DES CHEMINS DE PER ternes la comparaison j - Mois elest qu'il est hien pisté coté ppm/ornant. - Oui, jute or, pue le nottstsu ministere du l'ai, ET MAINTENANT? Trouvant ses adeptes de France trop ignorants de la pure doctrine et trop pusillanimes pour la mettre en pratique, Mos- cou, jadis, avait institué sur eux une surveillance étroite, per- manente, impitoyable, qui avait dû à ces trois qualités d'être appelée ironiquement e FMI de Moscou ». Grâce à cet oeil toujours présent partout, aucune gaffe ne pouvait être commise et la barque communiste française marchait droit dirigée par ce moyen Magique qui lui venait du Nord, c'est-à-dire du Nord- Est, en ligne diagonale. Le ridicule aurait-il déjà tué cet ceil dont, depuis quelque temps, nous n'entendions plus parler ? Ou bien Moscou pensé que ses disciples français étaient tellement inaptes à le gomprendre et à saisir ses desseins profonds qu'il les a aban- donnés et laisse-la barque errer au gré des vents sur les flots de leur incertitude ? Ou encore puisqu'il est certain que ses directives ont dû être données a-t-il voulu leur jouer un bon tour et les mettre dans une situation quelque peu ridicule ? Toujours est-il que privés de la lumière de leur ceil 'suas- covite - du moins je le pense - nos bons communistes se sont fourrés profondément les doigts dons le leur propre. Sûrs que Muscats allait réprouver avec la dernière et /a plus bruyan- te indignation le paeleKellogg, ils se sont empressés, pour faire voir leur grand garçonnisme, de le réprouver d'avance et le plus bruyaminent possible pour qu'on sache bien, partout - eh ! mais - qu'ils n'ont plus besoin qu'on leur souffle à l'oreille comment il convient d'agir en telle ou telle circons- tance ! Et voilà que Mascon, froidement, au nom de qui ils ont e marché » leur fausse etimpagniô ! Dédaigneux tle leurs tapa- ge.. manifesta-Umm de Purisine, il adhèreo lui » au pacte dé Kellogg après les avoir encouragés, peut-être, à le dénigrer ! Avouez que c'est là un procédé bien inamical. Je sais M m an que Moscou, l aaussie crache », si j'ose par- ler ainsi, un,peu beaucoup sur le pacte avant de l'avaler, mais rouede on pour parler,Plus élégammett l l'endosse. EL s'il. l'endosse -1 tout en crachant dessus c'est sans doute qu'il y trouve quelque chose qui vaut la peine d'être endossé, quelque chose, qui entre dans ses vues ou qui favorise ses intérêts. Et mieux,- ou plutôt pis encore, c'est par l'inter- Modiaire e sur l'intervieûtion d'un gouvernetnent bourgeois, qui interdit toufes manifestations comnmnistes, et au moment même oit il en interdit que cette adhésion, cet endosSement se sont faits. Et vous direu que ce n'est pas là un sale tour joué à ces malheureux diSciples, si fervents, si dévoués, si pleins de tenoncement, qui ont manifesté constamment un si absoht détachement d'eLtiounernes et du bon sens eu face des ordres de Mostion ? Nous disons, nous, que c'est une indignité. Pauvres communistes, que vont-ils faire maintenant ? Dire -m'ils ont eu raison et que c'est Moscou qui a tort ou o vice- versa ? Ndissf ,t csits,strophiglieS, nos t, Les Compagnies anglaises de chernins de let, grâce d la rom- chemins de fer, en examinant pkiteuneu des Porosités et da sera,- leurs comptes, eues pas tarde a tué eh, Parlement ne turent que s'apercevoir que les transports au- Préssurer le public . tcmobiles sur route leur faisaient une concurrence de plus en plus Nous avorm.aignalé,i t Y u que, redoutable. dont leurs recettes pi- ,. testa. Is démsion des comPa- tissaient en proportion. os-tu anglet es de chemins de fer --detn .,,.,,.L_.,,.,,.L_de coi. devant le déficit de leurs re- nen, te nenenn,, mieux, et à meilleur comptes cettes ce aé pat ts trcidacter de dl- routes, viennent -1e Ant rn nnuin trennn no/n ion sur minuer tarifs-et de faire re- , pori, ; ri, boude pi son ;rué. 'unir lee vuvuileui3 te' ' accu' nt ses commodues. En maPere dant des avantages, Nous faisions` tre..nporte, fairvm'mso, ers' avec les procedes de nos comput,. fer anglais sont déjà très rapides, -mies où, ennemi du traeail et de et en n'ont nos faite mien re do .11étftitti un ne llquvuil len de multiplier les accidents en accélé m'eux Pont euulls!ert, u,ulà4 que tans la vitesse au-delà de certain d'augmenter les tarif, Per'°°1'que- ment à la cadenc- d'Une si-tg.... ne leur restait do, que la ictus ottav'e .1-mée e1 P.I.'s lutte sur le terrain des prix. Ellice ele--x fois dans l'ansée. l'ont compris et, d'un seul coup, Il est vrai eue les compagnies elles ont diminué de près de 50 p. ne peuvent réuss'r cette périodique 100 les prix des billets d'aller et ,xploitation supplément,re du pu. retour, dits e do fin d.e semaine bile que grâce à la complaisance qui sont valables du vendredi rua- des ministres, compiaisance que tin au bindi soir. C'est, pour les Fon veut esaérer, désintéressée et usagers, un avantage non négli- grâce surtout à rindifféreJec du geab/e et qu'ils apprécieront cer- Parlement où Fon ne veut rien tainem,ent, entendre des doléances du public r Chies nous aussi, les transports ni surtout rien voir de ce qui se automobiles sur route font concur Passe dans les chemins. Combien renee à nos corn.pagnies de che- sont-ils dams les deux Chambres arias de fer, qui ne l'ignorent pas, qui ont ainsi... Lotit bouché t Voi, puisçue, dans leur dernier rapport ci sur le même sujet de fort justes les conseils d'administration ont eu ;réflexions du Populaire t un couplet larrnoyant sur cette S 0 MUST E ItMeetIon au Admiuturat;e t 38, Rue Itoquelaène . TOULOUSE 0.43 - Compte Chèque. poetaux OR BUREAUX A PARIS I 3. Rue d'Amhoi.e. 3 (a* Arrendia.atuqua Tél85h5ne Ceattld 1 d d cIP"1 ous ruo:dàdotart ta: CC OU C WA APPRIS MA MC POLIT:OU: active. Me, ce out ne laissait pas de surprcudre N'In. venons de voit tu trt.ni.r- c'était, au-dessm du cliché mproduit par te anglaise, la manière des e busi- notre confrère, ce1te exclamation textuelle nessmen le manière française de quelqu'un a qui n'eu revient Pas est toute différente, autrement dit, Gravemem malade à 81 ans I si la manière anglaise est bonne, S'1! 1.SS,11nmr. too,,tteed,olot la seule bonne et efficace, la ma. ; fière nitre française est mauvaise etq "'''' " c d' ue nous semble , Mes, asses conforme à inopérante. la nature des choses._ Elle est même franchement détestable t on ne fait pas remon- ter les recettes, on ne comble, même atténue un déficit, en aug, mentant les tarifs, et encore bien moins en aggravant les dépenses par lin relèvement intempestif des émoluments des hauts fonction- naires. . e C'est, cependa.nt,. tout ce que rus a trouvé.jusqu rel, en France, pour améliorer la situation finam cière des compagnies de chemins de fer ! Ne nous étonnons donc pas qu'elle laisse touiours telle, ment à désirer, puisqu on ne peut attendre un résultat meilleur de notre manière. s. Queques candidais déçus On entend quelques gAnnomon,is de dents dan, le camp de l'Union nationa/e 1 Evidernment M. Ohé- ton est un frère et son choix est déclaré excellent par les thuriférai- res de M. Poincaré. Mais queloues députés bon teint s'étaient pous- sés. Pour être unionationalistes, on n'en est pas monts avide de maroquin LOUL,3 Roln, qui est conser- vateur, avait fait annoncer par les journaux qu'il était le seul homme I polit que capable de diriger le rni. nIstère du commerce. M. Le Tro.cquer, illustration N éteinte du Bloc ational, avait mo- bilisé tous ses amis pour faire le situer du président du Conseil. M. Landuy, ancien mmistre de M. M Ilerand était revenu tout ex- pe de Corse. immédiatement non c égtio et rival, M.. Piétri, s'était mis sur les rangs. 0.1 en posée et Dédaigneux, M. Poincaré s'a Pas Pris garde à tous ces dévoue- ments oui s'offraient. Il lui fallait un nMustre assez modéré pour avoir l'amiment de M. Marin. C'est au Sénat qu'il es, allé le chercher, alors °n'il n'avait qu'à se baisser pour en prendre au Pa. Tais-Bourbe,. Les députés unionistes en de- meurent pantois. C'était bien-lu peine de chanter si fort les louan- ges de M. Poincaré h Décidément en ce bas monde /c sèle et la ver- te sont Is'e, mal récompensés. Les ministsables de la majorité sont de fort méchante humeur, Si 1 occasion sen présente ils ne se, mot pas fichés de Jouer un tous de leur façon au président du rerzil qui Issu si cruellement L'U;don nationale commence à se devorer ele-meme. AU JOUR LE JOUR M. COTY ET LA DOUAIRIERE Ennemis du peuple. rdjottissesmous 1 M. Cota mem d acheter des malte. de tonnes de papier poin son journal. Où donc t En Angleterre, naturegement. Pour réaliser cette affaire, sens sucun oute Sort mantagetne pour hit, car, il bé- néficia de enlace cété d, détroit de nris d'am, et de réductions de Demis M. Co. a m un courtier:ou platét une courtière. lit quelle courtière l Ls duchesse douai- rière d'Uzès en 'motel.' La douairière, o,, recampenso de ses bens eitices. vo tomber une coquette con. mission. Duiee rets billets de mille au moins. Mu le mue, cette servante fidèle et dévouée do prétendant au adne de France est bren oopobk de renoncer aux mens., lités que la République, toujours bonne fille, lui alloue sac le budget de ses (amis secrets. MADAME LA L1EUTENANTE En tout ce.,I, timaitarr maous, déjà qu'elle mu s, poyor su beim tank, tout bat- tant neuf, pour suivre les chasses a muée. On sait qu'elle a le titre de lieutenent de louveterie. Mais, comme elle ne pou- vait, depuis belle lurette, monter n cheval, elle usait rhobitude d'utilMer un Mem tank réformé, «oh,cu au prix de la ferraille. Pour accompagner les chasseurs dans I forêt. Ses deux oion.oru foi,ui,nt futc- lion de mécaniciens et la vieille douairière .. Diane aus cheveux blancs et am ge- mem ankolesés cahotée dans celle guim- barde de le, pouvait ainsi se ropattre de earntocratique spectecle de tu catéc. Qaant M. Coiy, il nage dem ln joie lo Plus Pute. - Cette bonne daeltesse, cria.) duo,, les éehos fa' 0 _ut 0 gssnet un nillioo e/ . ht cei, oublie tom simPlemeet de dite tue la commission de la douairière sera ragée set les ressuesu salut,,, habitude, il prodigue l'argent... des outres. ETONNANT CTONNEMENT I, Petit partial dhier publiait, en pre. tA,, sauta du Fis-impéroPme douairière de Rassie, dent te te.' .1, ee assit, des pies précaires. Rien d'étonnant, roui -au pas, a ce ire .cëtte vieille eouteroine - elle e 81 an, - La chancelier MULLE.R Qi vient de conférer à Baden-Baden avec M. Stiesemann Ceux qui patent pour le Pôte Knw-York. 19 septembre. - Sitmedi prochain arra lut départe Monte- an:artee orge.- Montavidan, reimadMon saaniera ta temo de Graham, dm but de démuni. nav ai cette rem. constitue une partie du ai/ruinent antarctique op si elle n'eut qu'un archipel. L'onnédition dressera atm carte des xi. gions explorées, puia ene ira établir ses haies 'Ille de la Diceetion, d'ou. foie par la terre et ne les,,es. Leu avion. est'équipement uerent °enté, à Monte- vide°, à des pêcheurs de bajeines norvé- atens. L'eno'idinonut M'Id.. tnéono ouo celle du commandant Bord, dont un sa...d navire, charsé de vivres et d'équipements, vient de emitter Ne,York le 16 septembre. Les done expéditions sont les plus un. darnes et mieux étIMPàeô sot 1." vues Mardi, Tomes les deux emportent =2,==".= e LE MARI IDE MISS RUTH ELDER EST AU NOMBRE oss EXPLORATEURS Ner-York, 19 septembre. - On manda. do H 'allieWol u i.chN'wlY28suna tenir. Riel, Eider, devant la justice. l'a/eusse dé crcauté, a di/ engage comme membre lu roi, Sud. M. Womach rejoindra l'expédition Panama. Il n'a pas manqué de faire re- marquer que le terrible froid du pôle ne oon, vraiment pas Aie aussi froid que ln Stockholm, 18 septembre. - Se- ssaciacse Rcili Eider I . Ion les résultats connus des 27 condscriptirs sui ont voté samedi mANuvREs ! par l'ilnolation L'autre jour, lors dit rassemble- ment.' des troupes de l'arrondisse- ment do Constantine, en me oies marches indispensaiaks t h gloire de la mère-patrie, onze .1dats damnèrent foudroyés par l'insola- Lion. La responsabilité de cm regretta- bles iMeidents doit retomber tout entière sur te général' Brousseud, qui revenu des eaux aPrE's un long repos estival se sentut. tout h coup des ardeurs guerrieres et matonne manuvres et exercices. Ce gène-rat, centrairetnent aux instructions ministérielles oui pres- crisent une sioste obligatoire pour os saldatS pendant les houris /es plus aimantantes de la Pum,é, obligation à tous le chefs de corps e de prendre toutes diennsitions pour que les cadres si la tIllitipe ne restent pas inoceng dos entre 9 et 15 heures o. L'inévitable se produisit. An1refo:s, en Afrique, an ne toi- sa, il, manieuvres stuc, mai OU en oelobre. Le bon plaisir d'un gé.neral a change Cela. " Tant pis pour les onze vies hé: mairies inutdement .erillées Onze soldats joadroyés 13 IsiZes"e'tledépmarrptocp'ulPaired'"t perd 2. en ENVOYEZ se. LETTRES et COLLA AU MAROC, t, ALGÉRIE, A RARAR APAËNIQUE DU SUD MI AVION COMPAGNIE GENERALE AÉROPOSTALE "enèt.. Notre atm Emtle Vandervelde, le mili- tant bien connu du pars munier belge, te'e'ett muiulre des eeires étrongères de Pelgique, vient de publier dans h Revue Mondiale. un article dans lequel il,porie des enseignements qu'il a tirés de ea Ion- m. *trière poiitierie. L'article de VanderveLlt est intéressant Plue d'en titre. SI contient quelques sou- venirs d'une vie active que Fon est heu- reux d'a retro:mes ; mais. chose Plus M'Y penante,ii monAe comment la pensée d'un socialiste, resté fidèle a sm ré.' el a-i, doctnne q. 1 entme, ennchtt contact de Easpérience et se purPie 1tn, et a mesure da Gamme dous la vie. en se débarrassent de Fessaim des illusions que la jeunesse apporte à chaemi de nous. Convaincu, que nos amis trouveront pro- fit et plaisir u lim cet article, none en fai- Lorsque pareille question vous est posée, on comm.. par se dire qu'il sera fort intéressant d'y rdPondsei état u réfléchissant, on se rend compte, bien vite, qu'Il est imPossl- ble de le faire sans parler de .n haissa,ble moi , ou sans se borner à d'assez affligeantes banalités. Faut-il essayer, néanmoins ? Il y a plus que de quarante ans que je suis entré dans la vs Jétais alors un très jeune étu- diant de l'Université de Bruxelles. Avocat à dix-neuf ans, membre du parti ouvrier belge depuis sa fonda- tjon Il f, j'ai été,'suonessivement, un agrégé auquel on refusait une cbaire professorale, un it me- neur ia une surveillaient les gendar- mes, su député d'opposifion, contre qui, à l'époque de grandes grèves pour le suffraige unisersel, le parquet murait des instructions judiciaires; puis, brusquement, lorsque la guerre survint, un ministre d'Etat un mem- bre 'du gouvernement de libération nationale. Après l'armistice, je fus encore ministre de /a justice; Pnis I endemain des élections de 1925, qui huent un grand succès soeialigré, après avoir eé appelé à former le nouveau gouvernement, ministre des affaires étrangères. 'bleiu teeidejeir" pe'1heiutiÎ'e's ialuèrent ,mon dépe'lite'd disant que Je eia,vetis ohaagé, que je restais I e socialiste impénitent et incorrigi- ble desanciens jours, que je n'avare p. cessé d'être au gouvernement Phoinme de l'Internationale. En vérité, ils 000051 », tort, et j'ai pris cette critique pour un hommage. Au cours de mes qua- rante années de vie politique - sur les questions cardias/. s'entend - ma,enneiCnee de n'avoir pas chan- e. Ce que j'étais, socialiste jus- qu'aux moelles je le u, resté, traders tout, ri m'én Mais n'ai-je rien appris ? Si, des choses : servir d'un rè- g/einent parlementaire, mener une campagne électorale, se méfier dcs nouvelles de presse ou des démentlis officiels ; savoir comment il faut Pue ler à des fonctionnodres, ou trai- ter sue affaire au conseil ; acquérir quelque pratique da. l'art du lie d'innombrables séances sa. mar- quer trop d'impatience ou manifes- ter trop d'ennui. Et puis encore d'autres choses, mais cies choses que je savais déjà, avant que la pratique de la Pio me les ait confirmées; des chosm que tout le monde sait ; des choses qui ne résument pas une expérience de Mas- sants ans, mais une espérien. de denarante siècles; bref, quelques-unes Biamarek ou Otethe, les philosophes gr.s ou /es orateurs romains : la puisdance des impondérables ; la spi- rale ascendante du progrès ; la né- cessité de sérier les questions la prommrte du Capuole et de /a roche Tarpéienne ; I cheveu de l'occasion; la difficulté pour des vainqueurs de mettre à fruit leurs victoires.- Car, en définitive, c'est à ces lié- nérables lieux communs, et à d'ao. tees semblables, que l'on aboutit, lorsque l'on essaie de résumer d'un mot uuelques-unes des expériences de sa vm. Par exemple , que les heur, eu les j.n quo suivent un grand suc- cès sont presque toujours particuliè- rement ingrats et difficiles; que est plu populaire dans l'oppositio , mémo si l'on n'y obtient pas grand'. chose, qu'eu gouvernement où il an- rive - . fut notre roses 1918 -- d'enregistrer d'importants réAttliats; que st l'on choisit, par Outcte de libre volonté, les buts lointains de sa vie. c'est par un hasard des sircons- tances que Fon s'engage dam les che- mins oui doivent y conduise; que y a des hommes politiques qui «pé- rissant par la finance », il y en a d'autres, plu nombreux, qui résis. tent mal à l'influenee, et spéciale- ment à l'influenoe mondaine, des mi- 1Mux nouveaux ob ils se trouvent placés. Et ainsi de suite. Bref, rtlmdtevoau,de tout ce que peut m'avoir appris la vie politique, je ne voiaguère que ceci qui vadle peut-être, la peine d'être cité : c'est que, parmi les socialistes n1. révo. /utionnaires tont au moins, on croit plus facilement à la réalisation ra- pide de tout son idéal qu'a /d rSali- aotien- preeh.ino d'objectifs beau- coup Moins étendus. Aux temps- leintains crit en Belgi.. que comme ailleurs, les masses ou- vrires commençaient à s'éveiller et a venir art socialistne, si l'on m'avait dit qu'un demi-siècle plus tard le ré- gime cmaitabste aurait véen, je n'eusse fait, bien au contraire, adm eu. difficulté pour l'admet, Ju- les Guesde n'annonçait-il p, le triomphe du socialisme pour m0001 Marx et Engels eux-mêmes n'a. vaiont-ils pas c., dur cor.ae fer que I e coq gaulois donnerait ii, très brèv allénmee, te signal do la révoluti. Par contre, j'eusse In, me bien d'autres, plm que ereeillue l'on m'avait annonce, à dix ans, ou à LUTTE DE CLASSE EN SUÈDE Toute Is Bourgeoisie contre le Socialisme ti e p paysan 3 et les cosMmunistesa:.. Jusqu a /arment, les elus se re- partissent ainsi conservateurs, 67f parti paysan 26., libéraux 3: Pein populaire 27; social:démocrates 83; communistes, 6. On sait que la Chambre se compose de 230 députés. La ville de Stockholm votera vendredi prochain pour les 18 siè- ges, restant à pourvoir. LA BOURGEOISIE CONTRE LE PROLETARIAT Stockholm, 18 septembne. - Dans 24 cisconuriptions, sur 27, Sous les partis bourgeois ont cons- titué le carte/. Pans trois circonscriptions, les libéraux prohibitionnistes ont vote isolément. Le succès du parti bourgeois a pour cause, non seulement cette association solidaire, mais égale- ment la très intense propagande électorale qui a amené a. tunes environ 300.000 electems hotu, rroni" du n,mbor ées vo' ch aras des de,ni es éleumiuuus de 1924. Il convient do noter çue le car- tel des partis bomgeois se produit pour la première foie en Suède. Contre le front bourgeois, les so- cialistes ont déployé une très grenu de activité, rémasissant ainsi à ame- ner aux urnes 150,000 électeurs do plus qu'aux 'dernières élections. La lotte 'électorale a porté sur l'ensemble de Mutes Ies questions poniques, notamment la défense nationale, l'instruction publique, les problèmes sociaux. La propagande électorale des bourgeois a posé nettement la question de l'option entre le main- tien de l'ordre de choses actuel tt les réalisations eocialistes. LES RESULTATS DEFINIT1FS Stockholm, 17 septembre. - Après révision des chiffres. voici les résultats complets des élections pour /es 212 sièges Conservateurs. 67; gam, 8. Agraires 27, goba 4. Libéraux 3; sans changement. Parti populaire 27, perte 2. Social-démocrates 82; perte 14. Communiste. 6, gain 2. La non:concordance des chiffres entre les gai. et les pertes, est due au fait one deux sièges qui, auparavant appartenaiént aux ci, conuriptions dont les résultats sont donnés si-dessus, ont été at- tribués à la circonscription de Stoc, kholm qui élira vendredi 18 dépu- tés. Nous lisons dans te u Roodi- dien Les social-démocrates escomp- taient un succès. Une progression, même modé- rée des élus de leur fraction, de- vait leur permettre de reprendre le pouvoir qu'ils avaient déjà exercé dans la période d'après-guerre avec M. Brating. puis avec M. Sandler. Mais tous les partis non ou vriers s'étaient, cette fois, coalisés contre eux. Les conservateurs, /es lib.éraux, les paysans, les populaires avaient fait bloc pour écarter la taxation progressive des revenus et des héri- tages, l'école unique, le désarme. ment, l'assurance-chômage, etc... La ,salition antiouvrière porte donc en Suède, malgré la puissance indéniable du maté 'so- cialiste. ' dix mois de distance, los change., monts beaucoup moins essentiels, cm pendant, qui ont été la conséquence de la guerre mondiale. I/ arrivait OS.s souvent, deus l'ancienne Internatienale, qu'à suc d'une réunion les membres de l'Exécutif socialiste se trouvaient à la même table, buvant leur Mme, dans que/que Maison du Peupie. Si, dans cette réunion de cama- rade, quelqu'un surgimant eummn les tom.s sorcières do Macbeth avant dit L. tornps Sens Pilori., Un, catastrophe sa se Produire. gni mettra se. deasrs dessous la ta- ble des saleurs sociales. Vingt taie- nes s'kronleront. Les dernières mo- narchies de droit divin lernheront Pune après l'autre. L'Europe cosa- que sera gouvernée 1,1' de, Mine munisies. L'autre Buren, verra, partout, des sueialislés aeCéder pouvoir. Vous, 13ran5in. deviendrez Premier ministre de Suède. Vous, Stanning, presnier ministre de Da- nemark. lions, Ramsay Mae Donatd, premier ministre de Glande-Breta- gne. Karl Renner, rédacteur à l'Ar- boiter Zeitung, sutioétlera, romme chaneelie, de la Relnibiliens d'Ad-- trio/le. à t'empereur François-Jo- seph; Ebert l'ancien mairies sellier, remplacera Guillaume 11. Lénine, avent chimeé les Romanoff, rooren- dru au Kremlin, /a dictature d'Ivan /e a irtil doute que cet ho/Jose-eine fait ut des hommes qui, cependant, par- laient atee une entière sincérité de la Révolution prochaine, eût été accueilli comme une dérisoire plai- santerie. Et cependant- II est une ollose. en somme, dna nous eurons anprme, durimt ces dernieruu années, les nias formtda- blés, sans doute, de Chinoise ti Dea1 de ne plus nous étonner de rien, et, aussi, de a réaliser » une uns ne sommes P. au 8euli d'une révnlution, mais au Plein d'une révolution, de la Résolution, qui a commence avant noms, et qui gontinuera après nous, jusqu'à es nue le monde ait radicalement cbenge de fooe e. Pour qui verra, plus dard, les évènement, avos la perspective né- coseiaire, les omriem ',sonnais de 1832, les tisserands révokee de Silé- sie, Ire rcurdidttants dos barricades de juin 1148, les insurgés de la Com- mune de Paris, les hommes de la Reivolution russe de 1905 el, dé 1917 Ware:rent oomme les vagues d'assaut d'une même armée prolé- tarienne. Dans cette marche ascendânte de la Révolution sociale, 1.1 y a eu, et Il y aura naturellement, dei paliers ou Plutôt, deo haute el des bas t sis spinale dont parlait Goethe. E1 je crois bien que rares Sont les socia- listes aniourdInti qui ne conçoivent ose l'affranchissement deo travail- leurs comme une longue patienoe, en nieme te.pa qu'un iting efférli Augnete Comte avait raison de le dire : t. Las révolutinns brusques ne soni janiais profond. ; les résolus lieue rrofondos ne sont jamais brusques ». On ne peut douter. assurément, qu'il y ait encore, dans ce aieu monde, si contre lui-mémo, dm révolutions brusques 1 MUSS la Révolution, la vraie Revolution, cel- le qui se fan à la fois dans la tech- nique duo forces productives, danS 1m rapports de propriété, dans les Institutions jusidames os politiquer et, par contre-coup, dans l'état da- me des indiiidus ou des classes, cel- le-là est trop profonde pour être l'oeuvre don jour, le résultat de quelque Grand Soir. Pendant le demi-siècle. bientet, qu'Il moue, été donne de vivre, d'une vie consciente et agissante, rai au des changements immenses, dés retournements prodigieux s'a- péter dans /es conditions de ha- vait daru les notions de la propriété de la morale ou du droit. Ils ne sont men, OU peu de chose sans doute auprès de no qui attend les géné- rations qui viennent. Mais, précisé- ment parce qu'il s'agit da transfo, mations radicales, te facieur temps ne sailrait, etre néglige. Dans !et MCm politiques et socialeS, il ne suffit pas de savoir agir; il faut aussi savoir attendre. A condition, lumen entendu, que celte attente ne soit jamais passive; que, dans l'al- lente conune dans I action, et plus encore dans l'attente que dans Fac- tion, la volonté r.te teilleurs ten- due, bandée, neepeuse, m'été à foi- re flèche, lorsque l'heure vient d'emperler la déoision. C est, b tout prendre, ce que la nie rida appris de plus clair. Mais voici que, de nouveau, le truisme me guette. Cette chose si simple, combien de milliers d'hommes l'a- vident apprise, et dur, et redite avant ? [mile VANDERVEIJ)E. Le monument de Combeg Dans quelques circonscriptions, les résultats ne sont pas comPleta et il est possible qu'il y ait quel- Oran, 18 septembre. - La folie ques chaagements. des mancouvres, mise n'IR mode par M. :Napoléon Painlevé, ne séit pas seulement cru France. Les généraux d'Algérie en sont attraits, eux aussi. La Ba:belle, 19 septembre. - Poincaré, à la suite d'uns domarchS cffectuee auprès de lui par /es pars lementaires et le préfet de la Cita' rente-Inférieure, vient de designei officiellement M. Herriot Pouf Pliée, der à Pons, le 23 ostobre, l'inaugus ration do la statue élevée à la mils moire de M. Cembes, ancien l'aga - - dent du Conseil, 25 CENT. JEUDI 20 SEPTEMBRE 1928 Nous arons été les seuls avant 1914,-à lutter pour que la guerre soit mise hors la lob Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Nous arons été les seuls S 0 MUST E - Toulouseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1928/B315556101_MIDSOC_1928_09_20.pdfANNEE. Nni 11.010 ABONNEMENTS Gee» 18 fr.: 6 mol. 34 fr.:

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ANNEE. Nni 11.010

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Dilemme cruel !Cruelle énigme ! Comment vont-ils la résoudre ?

I. TH1VRIER, dépoté de l'Allier.

LES DEUX MÉTHODES

LES TARIFS DES CHEMINS DE PER

ternes la comparaison j

- Mois elest qu'il est hien pisté coté ppm/ornant.- Oui, jute or, pue le nottstsu ministere du l'ai,

ET MAINTENANT?Trouvant ses adeptes de France trop ignorants de la pure

doctrine et trop pusillanimes pour la mettre en pratique, Mos-cou, jadis, avait institué sur eux une surveillance étroite, per-manente, impitoyable, qui avait dû à ces trois qualités d'êtreappelée ironiquement e FMI de Moscou ». Grâce à cet oeiltoujours présent partout, aucune gaffe ne pouvait être commiseet la barque communiste française marchait droit dirigée parce moyen Magique qui lui venait du Nord, c'est-à-dire du Nord-Est, en ligne diagonale.

Le ridicule aurait-il déjà tué cet ceil dont, depuis quelquetemps, nous n'entendions plus parler ? Ou bien Moscoupensé que ses disciples français étaient tellement inaptes à legomprendre et à saisir ses desseins profonds qu'il les a aban-donnés et laisse-la barque errer au gré des vents sur les flotsde leur incertitude ? Ou encore puisqu'il est certain que sesdirectives ont dû être données a-t-il voulu leur jouer un bontour et les mettre dans une situation quelque peu ridicule ?

Toujours est-il que privés de la lumière de leur ceil 'suas-covite - du moins je le pense - nos bons communistes sesont fourrés profondément les doigts dons le leur propre. Sûrsque Muscats allait réprouver avec la dernière et /a plus bruyan-te indignation le paeleKellogg, ils se sont empressés, pour fairevoir leur grand garçonnisme, de le réprouver d'avance et leplus bruyaminent possible pour qu'on sache bien, partout -eh ! mais - qu'ils n'ont plus besoin qu'on leur souffle àl'oreille comment il convient d'agir en telle ou telle circons-tance !

Et voilà que Mascon, froidement, au nom de qui ils onte marché » leur fausse etimpagniô ! Dédaigneux tle leurs tapa-ge.. manifesta-Umm de Purisine, il adhèreo lui » au pactedé Kellogg après les avoir encouragés, peut-être, à le dénigrer !

Avouez que c'est là un procédé bien inamical.Je sais M man que Moscou, l aaussie crache », si j'ose par-

ler ainsi, un,peu beaucoup sur le pacte avant de l'avaler, maisrouede on pour parler,Plus élégammett l l'endosse.

EL s'il. l'endosse -1 tout en crachant dessus c'est sansdoute qu'il y trouve quelque chose qui vaut la peine d'êtreendossé, quelque chose, qui entre dans ses vues ou qui favoriseses intérêts. Et mieux,- ou plutôt pis encore, c'est par l'inter-Modiaire e sur l'intervieûtion d'un gouvernetnent bourgeois,qui interdit toufes manifestations comnmnistes, et au momentmême oit il en interdit que cette adhésion, cet endosSement sesont faits.

Et vous direu que ce n'est pas là un sale tour joué à cesmalheureux diSciples, si fervents, si dévoués, si pleins detenoncement, qui ont manifesté constamment un si absohtdétachement d'eLtiounernes et du bon sens eu face des ordresde Mostion ?

Nous disons, nous, que c'est une indignité.Pauvres communistes, que vont-ils faire maintenant ? Dire

-m'ils ont eu raison et que c'est Moscou qui a tort ou o vice-versa ?

Ndissf ,t csits,strophiglieS, nos t, Les Compagnies anglaises dechernins de let, grâce d la rom- chemins de fer, en examinantpkiteuneu des Porosités et da sera,- leurs comptes, eues pas tarde atué eh, Parlement ne turent que s'apercevoir que les transports au-

Préssurer le public . tcmobiles sur route leur faisaientune concurrence de plus en plusNous avorm.aignalé,i t Y u que, redoutable. dont leurs recettes pi-,. testa. Is démsion des comPa- tissaient en proportion.os-tu anglet es de chemins de fer --detn .,,.,,.L_.,,.,,.L_de

coi. devant le déficit de leurs re- nen, te nenenn,,mieux, et à meilleur comptescettes ce aé pat ts

trcidacter de dl-déroutes, viennent -1e Ant rn nnuin trennn no/nion sur

minuer tarifs-et de faire re- , pori, ; ri, boude pi son ;rué.'unir lee vuvuileui3 te' ' accu' nt ses commodues. En maPeredant des avantages, Nous

faisions`tre..nporte, fairvm'mso, ers'

avec les procedes de nos comput,. fer anglais sont déjà très rapides,-mies où, ennemi du traeail et de et en n'ont nos faite mien re do.11étftitti un ne llquvuil len de multiplier les accidents en accélém'eux Pont euulls!ert, u,ulà4 que tans la vitesse au-delà de certaind'augmenter les tarif, Per'°°1'que-ment à la cadenc- d'Une si-tg.... ne leur restait do, que laictus ottav'e .1-mée e1 P.I.'s lutte sur le terrain des prix. Elliceele--x fois dans l'ansée. l'ont compris et, d'un seul coup,

Il est vrai eue les compagnies elles ont diminué de près de 50 p.ne peuvent réuss'r cette périodique 100 les prix des billets d'aller et,xploitation supplément,re du pu. retour, dits e do fin d.e semainebile que grâce à la complaisance qui sont valables du vendredi rua-des ministres, compiaisance que tin au bindi soir. C'est, pour lesFon veut esaérer, désintéressée et usagers, un avantage non négli-grâce surtout à rindifféreJec du geab/e et qu'ils apprécieront cer-Parlement où Fon ne veut rien tainem,ent,entendre des doléances du public r Chies nous aussi, les transportsni surtout rien voir de ce qui se automobiles sur route font concurPasse dans les chemins. Combien renee à nos corn.pagnies de che-sont-ils dams les deux Chambres arias de fer, qui ne l'ignorent pas,qui ont ainsi... Lotit bouché t Voi, puisçue, dans leur dernier rapportci sur le même sujet de fort justes les conseils d'administration ont eu;réflexions du Populaire t un couplet larrnoyant sur cette

S 0 MUST EItMeetIon au Admiuturat;e t 38, Rue Itoquelaène . TOULOUSE 0.43 - Compte Chèque. poetauxOR BUREAUX A PARIS I 3. Rue d'Amhoi.e. 3 (a* Arrendia.atuqua Tél85h5ne Ceattld

1 d d cIP"1 ousruo:dàdotart ta:

CC OU C WA APPRIS MA MC POLIT:OU:active. Me, ce out ne laissait pas de surprcudreN'In. venons de voit tu trt.ni.r- c'était, au-dessm du cliché mproduit par

te anglaise, la manière des e busi- notre confrère, ce1te exclamation textuellenessmen le manière française de quelqu'un a qui n'eu revient Pasest toute différente, autrement dit, Gravemem malade à 81 ans Isi la manière anglaise est bonne, S'1! 1.SS,11nmr. too,,tteed,olotla seule bonne et efficace, la ma. ; fièrenitre française est mauvaise etq "'''' " c d'ue nous semble , Mes, asses conforme àinopérante. la nature des choses._

Elle est même franchementdétestable t on ne fait pas remon-ter les recettes, on ne comble,même atténue un déficit, en aug,mentant les tarifs, et encore bienmoins en aggravant les dépensespar lin relèvement intempestif desémoluments des hauts fonction-naires. .

e C'est, cependa.nt,. tout ce querus a trouvé.jusqu rel, en France,pour améliorer la situation finamcière des compagnies de cheminsde fer ! Ne nous étonnons doncpas qu'elle laisse touiours telle,ment à désirer, puisqu on ne peutattendre un résultat meilleur denotre manière. s.

Queques candidais déçus

On entend quelques gAnnomon,isde dents dan, le camp de l'Unionnationa/e 1 Evidernment M. Ohé-ton est un frère et son choix estdéclaré excellent par les thuriférai-res de M. Poincaré. Mais quelouesdéputés bon teint s'étaient pous-sés. Pour être unionationalistes,on n'en est pas monts avide demaroquin

LOUL,3 Roln, qui est conser-vateur, avait fait annoncer par lesjournaux qu'il était le seul homme Ipolit que capable de diriger le rni.nIstère du commerce.

M. Le Tro.cquer, illustrationNéteinte du Bloc ational, avait mo-

bilisé tous ses amis pour faire lesituer du président du Conseil.

M. Landuy, ancien mmistre deM. M Ilerand était revenu tout ex-pe de Corse. immédiatement nonc égtio et rival, M.. Piétri, s'étaitmis sur les rangs. 0.1 en posée et

Dédaigneux, M. Poincaré s'aPas Pris garde à tous ces dévoue-ments oui s'offraient. Il lui fallaitun nMustre assez modéré pouravoir l'amiment de M. Marin.C'est au Sénat qu'il es, allé lechercher, alors °n'il n'avait qu'àse baisser pour en prendre au Pa.Tais-Bourbe,.

Les députés unionistes en de-meurent pantois. C'était bien-lupeine de chanter si fort les louan-ges de M. Poincaré h Décidémenten ce bas monde /c sèle et la ver-te sont Is'e, mal récompensés.

Les ministsables de la majoritésont de fort méchante humeur, Si1 occasion sen présente ils ne se,mot pas fichés de Jouer un tousde leur façon au président du

rerzil qui Issu si cruellement

L'U;don nationale commence àse devorer ele-meme.

AU JOUR LE JOUR

M. COTY ET LA DOUAIRIEREEnnemis du peuple. rdjottissesmous 1

M. Cota mem d acheter des malte. detonnes de papier poin son journal. Oùdonc t En Angleterre, naturegement.

Pour réaliser cette affaire, sens sucunoute Sort mantagetne pour hit, car, il bé-

néficia de enlace cété d, détroit de nrisd'am, et de réductions de Demis M. Co.

a m un courtier:ou platét une courtière.lit quelle courtière l Ls duchesse douai-rière d'Uzès en 'motel.'

La douairière, o,, recampenso de sesbens eitices. vo tomber une coquette con.mission. Duiee rets billets de mille aumoins. Mu le mue, cette servante fidèle etdévouée do prétendant au adne de Franceest bren oopobk de renoncer aux mens.,lités que la République, toujours bonnefille, lui alloue sac le budget de ses (amissecrets.

MADAME LA L1EUTENANTEEn tout ce.,I, timaitarr maous, déjà

qu'elle mu s, poyor su beim tank, tout bat-tant neuf, pour suivre les chasses a muée.

On sait qu'elle a le titre de lieutenentde louveterie. Mais, comme elle ne pou-vait, depuis belle lurette, monter n cheval,elle usait rhobitude d'utilMer un Mem tankréformé, «oh,cu au prix de la ferraille.Pour accompagner les chasseurs dans I

forêt. Ses deux oion.oru foi,ui,nt futc-lion de mécaniciens et la vieille douairière.. Diane aus cheveux blancs et am ge-mem ankolesés cahotée dans celle guim-barde de le, pouvait ainsi se ropattre deearntocratique spectecle de tu catéc.

Qaant M. Coiy, il nage dem ln joie loPlus Pute.

- Cette bonne daeltesse, cria.) duo,,les éehos fa'0 _ut 0 gssnet un nillioo e/

. ht cei, oublie tom simPlemeet de ditetue la commission de la douairière seraragée set les ressuesu salut,,,habitude, il prodigue l'argent... des outres.

ETONNANT CTONNEMENTI, Petit partial dhier publiait, en pre.

tA,, sauta du Fis-impéroPmedouairière de Rassie, dent te te.' .1, eeassit, des pies précaires.

Rien d'étonnant, roui -au pas, a ce ire.cëtte vieille eouteroine - elle e 81 an, -

La chancelier MULLE.RQi vient de conférer à Baden-Baden

avec M. Stiesemann

Ceux qui patent

pour le Pôte

Knw-York. 19 septembre. - Sitmediprochain arra lut départe Monte-

an:artee orge.-

Montavidan, reimadMon saaniera tatemo de Graham, dm but de démuni.nav ai cette rem. constitue une partie duai/ruinent antarctique op si elle n'eut qu'unarchipel.

L'onnédition dressera atm carte des xi.gions explorées, puia ene ira établir seshaies 'Ille de la Diceetion, d'ou.

foie par la terre et ne les,,es. Leu avion.est'équipement uerent °enté, à Monte-vide°, à des pêcheurs de bajeines norvé-atens.

L'eno'idinonut M'Id..tnéono ouo celle du commandantBord, dont un sa...d navire, charsé devivres et d'équipements, vient de emitterNe,York le 16 septembre.

Les done expéditions sont les plus un.darnes et mieux étIMPàeô sot 1."vues Mardi, Tomes les deux emportent

=2,==".= eLE MARI IDE MISS RUTH ELDEREST AU NOMBRE oss EXPLORATEURS

Ner-York, 19 septembre. - On manda.do H là

'allieWol u i.chN'wlY28suna tenir.Riel, Eider, devant la justice. l'a/eussedé crcauté, a di/ engage comme membre

lu roi, Sud.M. Womach rejoindra l'expédition

Panama. Il n'a pas manqué de faire re-marquer que le terrible froid du pôle neoon, vraiment pas Aie aussi froid que ln Stockholm, 18 septembre. - Se-ssaciacse Rcili Eider I . Ion les résultats connus des 27

condscriptirs sui ont voté samedimANuvREs !

par l'ilnolation

L'autre jour, lors dit rassemble-ment.' des troupes de l'arrondisse-ment do Constantine, en me oiesmarches indispensaiaks t h gloirede la mère-patrie, onze .1datsdamnèrent foudroyés par l'insola-Lion.

La responsabilité de cm regretta-bles iMeidents doit retomber toutentière sur te général' Brousseud,qui revenu des eaux aPrE's un longrepos estival se sentut. tout h coupdes ardeurs guerrieres et matonnemanuvres et exercices.

Ce gène-rat, centrairetnent auxinstructions ministérielles oui pres-crisent une sioste obligatoire pouros saldatS pendant les houris /esplus aimantantes de la Pum,é,obligation à tous le chefs de corpse de prendre toutes diennsitionspour que les cadres si la tIllitipe nerestent pas inoceng dos entre 9 et15 heures o.

L'inévitable se produisit.An1refo:s, en Afrique, an ne toi-

sa, il, manieuvres stuc, mai OU enoelobre.

Le bon plaisir d'un gé.neral achange Cela.

"Tant pis pour les onze vies hé:mairies inutdement .erillées

Onze soldats joadroyés 13 IsiZes"e'tledépmarrptocp'ulPaired'"tperd 2.

en

ENVOYEZ se. LETTRES et COLLAAU MAROC, t, ALGÉRIE, A RARAR

APAËNIQUE DU SUD MI AVIONCOMPAGNIE GENERALE AÉROPOSTALE

"enèt..

Notre atm Emtle Vandervelde, le mili-tant bien connu du pars munier belge,te'e'ett muiulre des eeires étrongères dePelgique, vient de publier dans h RevueMondiale. un article dans lequel il,poriedes enseignements qu'il a tirés de ea Ion-m. *trière poiitierie.

L'article de VanderveLlt est intéressantPlue d'en titre. SI contient quelques sou-

venirs d'une vie active que Fon est heu-reux d'a retro:mes ; mais. chose Plus M'Ypenante,ii monAe comment la penséed'un socialiste, resté fidèle a sm ré.' ela-i, doctnne q. 1 entme, ennchttcontact de Easpérience et se purPie1tn, et a mesure da Gamme dous la vie. ense débarrassent de Fessaim des illusionsque la jeunesse apporte à chaemi de nous.

Convaincu, que nos amis trouveront pro-fit et plaisir u lim cet article, none en fai-

Lorsque pareille question vous estposée, on comm.. par se dire qu'ilsera fort intéressant d'y rdPondseiétat u réfléchissant, on se rendcompte, bien vite, qu'Il est imPossl-ble de le faire sans parler de .n

haissa,ble moi , ou sans se bornerà d'assez affligeantes banalités.

Faut-il essayer, néanmoins ?Il y a plus que de quarante ans

que je suis entré dans la vsJétais alors un très jeune étu-

diant de l'Université de Bruxelles.Avocat à dix-neuf ans, membre duparti ouvrier belge depuis sa fonda-tjon Il f, j'ai été,'suonessivement,un agrégé auquel on refusaitune cbaire professorale, un it me-neur ia une surveillaient les gendar-mes, su député d'opposifion, contrequi, à l'époque de grandes grèvespour le suffraige unisersel, le parquetmurait des instructions judiciaires;puis, brusquement, lorsque la guerresurvint, un ministre d'Etat un mem-bre 'du gouvernement de libérationnationale. Après l'armistice, je fusencore ministre de /a justice; Pnis

I endemain des élections de 1925,qui huent un grand succès soeialigré,après avoir eé appelé à former lenouveau gouvernement, ministre desaffaires étrangères.

'bleiu teeidejeir" pe'1heiutiÎ'e'sialuèrent ,mon dépe'lite'd disant queJe eia,vetis ohaagé, que je restaisI e socialiste impénitent et incorrigi-ble desanciens jours, que je n'avarep. cessé d'être au gouvernementPhoinme de l'Internationale.

En vérité, ils 000051 », tort,et j'ai pris cette critique pour unhommage. Au cours de mes qua-rante années de vie politique - surles questions cardias/. s'entend -ma,enneiCnee de n'avoir pas chan-e. Ce que j'étais, socialiste jus-qu'aux moelles je le u, resté,traders tout, ri m'énMais n'ai-je rien appris ?

Si, des choses : servir d'un rè-g/einent parlementaire, mener unecampagne électorale, se méfier dcsnouvelles de presse ou des démentlisofficiels ; savoir comment il faut

Pue ler à des fonctionnodres, ou trai-ter sue affaire au conseil ; acquérirquelque pratique da. l'art du lie

d'innombrables séances sa. mar-quer trop d'impatience ou manifes-ter trop d'ennui.

Et puis encore d'autres choses,mais cies choses que je savais déjà,avant que la pratique de la Pio meles ait confirmées; des chosm quetout le monde sait ; des choses qui nerésument pas une expérience de Mas-sants ans, mais une espérien. de

denarantesiècles; bref, quelques-unes

Biamarek ou Otethe, les philosophesgr.s ou /es orateurs romains : lapuisdance des impondérables ; la spi-rale ascendante du progrès ; la né-cessité de sérier les questions laprommrte du Capuole et de /a rocheTarpéienne ; I cheveu de l'occasion;la difficulté pour des vainqueurs demettre à fruit leurs victoires.-

Car, en définitive, c'est à ces lié-nérables lieux communs, et à d'ao.tees semblables, que l'on aboutit,lorsque l'on essaie de résumer d'unmot uuelques-unes des expériences desa vm.

Par exemple , que les heur, eules j.n quo suivent un grand suc-cès sont presque toujours particuliè-rement ingrats et difficiles; queest plu populaire dans l'oppositio ,mémo si l'on n'y obtient pas grand'.chose, qu'eu gouvernement où il an-rive - . fut notre roses 1918 --d'enregistrer d'importants réAttliats;que st l'on choisit, par Outcte delibre volonté, les buts lointains de savie. c'est par un hasard des sircons-tances que Fon s'engage dam les che-mins oui doivent y conduise; quey a des hommes politiques qui «pé-rissant par la finance », il y en ad'autres, plu nombreux, qui résis.tent mal à l'influenee, et spéciale-ment à l'influenoe mondaine, des mi-1Mux nouveaux ob ils se trouventplacés. Et ainsi de suite.

Bref, rtlmdtevoau,de tout ce quepeut m'avoir appris la vie politique,je ne voiaguère que ceci qui vadlepeut-être, la peine d'être cité : c'estque, parmi les socialistes n1. révo./utionnaires tont au moins, on croitplus facilement à la réalisation ra-pide de tout son idéal qu'a /d rSali-aotien- preeh.ino d'objectifs beau-coup Moins étendus.

Aux temps- leintains crit en Belgi..que comme ailleurs, les masses ou-vrires commençaient à s'éveiller eta venir art socialistne, si l'on m'avaitdit qu'un demi-siècle plus tard le ré-gime cmaitabste aurait véen, jen'eusse fait, bien au contraire, admeu. difficulté pour l'admet, Ju-les Guesde n'annonçait-il p, letriomphe du socialisme pour m0001Marx et Engels eux-mêmes n'a.vaiont-ils pas c., dur cor.ae fer queI e coq gaulois donnerait ii, très brèvallénmee, te signal do la révoluti.

Par contre, j'eusse In, mebien d'autres, plm que ereeilluel'on m'avait annonce, à dix ans, ou à

LUTTE DE CLASSE EN SUÈDE

Toute Is Bourgeoisie contre le Socialisme

ti e ppaysan 3 et les cosMmunistesa:..

Jusqu a /arment, les elus se re-partissent ainsi conservateurs, 67fparti paysan 26., libéraux 3: Peinpopulaire 27; social:démocrates 83;communistes, 6.

On sait que la Chambre secompose de 230 députés.

La ville de Stockholm voteravendredi prochain pour les 18 siè-ges, restant à pourvoir.

LA BOURGEOISIECONTRE LE PROLETARIATStockholm, 18 septembne. -

Dans 24 cisconuriptions, sur 27,Sous les partis bourgeois ont cons-titué le carte/.

Pans trois circonscriptions, leslibéraux prohibitionnistes ont voteisolément.

Le succès du parti bourgeois apour cause, non seulement cetteassociation solidaire, mais égale-ment la très intense propagandeélectorale qui a amené a. tunesenviron 300.000 electems hotu,

rroni" du n,mbor ées vo'charas des de,ni es éleumiuuus de

1924.Il convient do noter çue le car-

tel des partis bomgeois se produitpour la première foie en Suède.

Contre le front bourgeois, les so-cialistes ont déployé une très grenude activité, rémasissant ainsi à ame-ner aux urnes 150,000 électeurs doplus qu'aux 'dernières élections.

La lotte 'électorale a porté surl'ensemble de Mutes Ies questionsponiques, notamment la défense

nationale, l'instruction publique,les problèmes sociaux.

La propagande électorale desbourgeois a posé nettement laquestion de l'option entre le main-tien de l'ordre de choses actuel ttles réalisations eocialistes.

LES RESULTATS DEFINIT1FSStockholm, 17 septembre. -

Après révision des chiffres. voiciles résultats complets des électionspour /es 212 sièges

Conservateurs. 67; gam, 8.Agraires 27, goba 4.Libéraux 3; sans changement.Parti populaire 27, perte 2.Social-démocrates 82; perte 14.Communiste. 6, gain 2.La non:concordance des chiffres

entre les gai. et les pertes, estdue au fait one deux sièges qui,auparavant appartenaiént aux ci,conuriptions dont les résultatssont donnés si-dessus, ont été at-tribués à la circonscription de Stoc,kholm qui élira vendredi 18 dépu-tés.

Nous lisons dans te u Roodi-dien

Les social-démocrates escomp-taient un succès.

Une progression, même modé-rée des élus de leur fraction, de-vait leur permettre de reprendre lepouvoir qu'ils avaient déjà exercédans la période d'après-guerreavec M. Brating. puis avec M.Sandler.

Mais tous les partis non ouvriers s'étaient, cette fois, coaliséscontre eux.

Les conservateurs, /es lib.éraux,les paysans, les populaires avaientfait bloc pour écarter la taxationprogressive des revenus et des héri-tages, l'école unique, le désarme.ment, l'assurance-chômage, etc...

La ,salition antiouvrièreporte donc en Suède, malgré lapuissance indéniable du maté 'so-cialiste. '

dix mois de distance, los change.,monts beaucoup moins essentiels, cmpendant, qui ont été la conséquencede la guerre mondiale.

I/ arrivait OS.s souvent, deusl'ancienne Internatienale, qu'àsuc d'une réunion les membres del'Exécutif socialiste se trouvaient àla même table, buvant leur Mme,dans que/que Maison du Peupie.

Si, dans cette réunion de cama-rade, quelqu'un surgimant eummnles tom.s sorcières do Macbeth avantdit

L. tornps Sens Pilori., Un,catastrophe sa se Produire. gnimettra se. deasrs dessous la ta-ble des saleurs sociales. Vingt taie-nes s'kronleront. Les dernières mo-narchies de droit divin lernherontPune après l'autre. L'Europe cosa-que sera gouvernée 1,1' de, Minemunisies. L'autre Buren, verra,partout, des sueialislés aeCéderpouvoir. Vous, 13ran5in. deviendrezPremier ministre de Suède. Vous,Stanning, presnier ministre de Da-nemark. lions, Ramsay Mae Donatd,premier ministre de Glande-Breta-gne. Karl Renner, rédacteur à l'Ar-boiter Zeitung, sutioétlera, rommechaneelie, de la Relnibiliens d'Ad--trio/le. à t'empereur François-Jo-seph; Ebert l'ancien mairies sellier,remplacera Guillaume 11. Lénine,avent chimeé les Romanoff, rooren-dru au Kremlin, /a dictature d'Ivan/e a

irtil doute que cet ho/Jose-eine faitut des hommes qui, cependant, par-laient atee une entière sincérité dela Révolution prochaine, eût étéaccueilli comme une dérisoire plai-santerie.

Et cependant-II est une ollose. en somme, dna

nous eurons anprme, durimt cesdernieruu années, les nias formtda-blés, sans doute, de Chinoise

ti Dea1 de ne plus nous étonnerde rien, et, aussi, de a réaliser »une uns ne sommes P. au 8eulid'une révnlution, mais au Pleind'une révolution, de la Résolution,qui a commence avant noms, et quigontinuera après nous, jusqu'à esnue le monde ait radicalementcbenge de fooe e.

Pour qui verra, plus dard, lesévènement, avos la perspective né-coseiaire, les omriem ',sonnais de1832, les tisserands révokee de Silé-sie, Ire rcurdidttants dos barricadesde juin 1148, les insurgés de la Com-mune de Paris, les hommes de laReivolution russe de 1905 el, dé 1917Ware:rent oomme les vaguesd'assaut d'une même armée prolé-tarienne.

Dans cette marche ascendânte dela Révolution sociale, 1.1 y a eu, etIl y aura naturellement, dei paliersou Plutôt, deo haute el des bas t sisspinale dont parlait Goethe. E1 jecrois bien que rares Sont les socia-listes aniourdInti qui ne conçoiventose l'affranchissement deo travail-leurs comme une longue patienoe,en nieme te.pa qu'un iting efférliAugnete Comte avait raison de ledire : t. Las révolutinns brusques nesoni janiais profond. ; les résoluslieue rrofondos ne sont jamaisbrusques ».

On ne peut douter. assurément,qu'il y ait encore, dans ce aieumonde, si contre lui-mémo,dm révolutions brusques 1 MUSS laRévolution, la vraie Revolution, cel-le qui se fan à la fois dans la tech-nique duo forces productives, danS1m rapports de propriété, dans lesInstitutions jusidames os politiqueret, par contre-coup, dans l'état da-me des indiiidus ou des classes, cel-le-là est trop profonde pour êtrel'oeuvre don jour, le résultat dequelque Grand Soir.

Pendant le demi-siècle. bientet,qu'Il moue, été donne de vivre,d'une vie consciente et agissante,rai au des changements immenses,dés retournements prodigieux s'a-péter dans /es conditions de ha-vait daru les notions de la propriétéde la morale ou du droit. Ils ne sontmen, OU peu de chose sans douteauprès de no qui attend les géné-rations qui viennent. Mais, précisé-ment parce qu'il s'agit da transfo,mations radicales, te facieur tempsne sailrait, etre néglige. Dans !etMCm politiques et socialeS, il nesuffit pas de savoir agir; il fautaussi savoir attendre. A condition,lumen entendu, que celte attente nesoit jamais passive; que, dans l'al-lente conune dans I action, et plusencore dans l'attente que dans Fac-tion, la volonté r.te teilleurs ten-due, bandée, neepeuse, m'été à foi-re flèche, lorsque l'heure vientd'emperler la déoision.

C est, b tout prendre, ce que lanie rida appris de plus clair. Maisvoici que, de nouveau, le truismeme guette. Cette chose si simple,combien de milliers d'hommes l'a-vident apprise, et dur, et rediteavant ?

[mile VANDERVEIJ)E.

Le monument de Combeg

Dans quelques circonscriptions,les résultats ne sont pas comPletaet il est possible qu'il y ait quel-

Oran, 18 septembre. - La folie ques chaagements.des mancouvres, mise n'IR mode parM. :Napoléon Painlevé, ne séit passeulement cru France. Les générauxd'Algérie en sont attraits, eux aussi.

La Ba:belle, 19 septembre. -Poincaré, à la suite d'uns domarchScffectuee auprès de lui par /es parslementaires et le préfet de la Cita'rente-Inférieure, vient de designeiofficiellement M. Herriot Pouf Pliée,der à Pons, le 23 ostobre, l'inaugusration do la statue élevée à la milsmoire de M. Cembes, ancien l'aga- -dent du Conseil,

25 CENT. JEUDI 20 SEPTEMBRE 1928

Nous arons été les seulsavant 1914,-à lutter pour quela guerre soit mise hors la lob

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 2: Nous arons été les seuls S 0 MUST E - Toulouseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1928/B315556101_MIDSOC_1928_09_20.pdfANNEE. Nni 11.010 ABONNEMENTS Gee» 18 fr.: 6 mol. 34 fr.:

LA LUTTEpour la Maison-Maude 8

UNE VIOLENTE ATTAQUEDE M. SMITH

OONTRE LES REPUBL1GAINS

Ohama, 19 septembre. Legouverneur de New:York, M. Al-fred Smith, candidat du parti dé-rnocrate am.éricain à la présidencedes Etats-Unis, a officiellement ou-yert sa campagne électorale enprononçant un discours à Ohama,dans le pays surnommé it la cein-ture de blé où son train spéciall'a transporté hier avec tout mnétatsmajor de sténographes et dereporters.

Le discours de M. Smith a étéécouté par dix mille personnes, as-semblées dans une grande salle deIn ville, ainsi oue par plusieurs mil-lions de personnes, car le gouver-neur et ses aides m'ont rien négli-gé pour qu.e chaque parole prosnoncée par le candidat démocratesoit entendue mir tous les pointsde l'Union Américaine, grâce à la

si Tout d'abord, a déclaré M.Smith, je proteste contre la décla-ration du parti républicain, d'aprèslaquelle ce dernier aurait emmtrédu courage ou de l'esprit de suitedans sa politique agraire,.

Je vous asssure qu il n existe pasla moindre cause, pour le parti ré-publicain, de se trouver satisfait desa politique depuis quelques art-nées en ce qui concerne l'agricul-ture aux EtatasUnis.

.Au contraire, j'amuse les repu,blicains de ne PaS avoir renieleurs pmmesses électorales, d'avoirdéçu fieespoir des fermiers améri-cains et de ne pas avom fait quoique cc sot pour mettre fin à ladétresse de la population agricole.

Les chefs républicains ont, parleur trahison de la confiance quiavait été mise en eux, métré deperdre tout l'appui des fermiers àleur égard. Ils ont semé le ventils méritent de récoltez /a tem-péte

On voit immédiatement l'irapor-tance de cette manifestation, quivise à enlever aux républicains leparti des fermiers sur lequel ilscomptent.

Le discours du gouverneur deNewsYork a été salué par des ac-clamations enthousiastes et l'ora-teur fut applaudi pendant une de.mi-heure. Certaines personnes dé.durentque iamais le talent °ramisro de M. Smith n'avait été em-pli:7f! 376emcoitraantt d'habileté et Ir

axent dam sa terasurgrl électoralen'ont pas caché leur grande joie'de voir le premier discours de leurcandidat si vivement apprécié, à°haire, dans ce pays du Middle.West, durit la Population Peur cléîeider du sort des prochaines élec-fions,

ON CRAINT DES TROUBLESAU COURS

DES PROCHAINES ELECT1ONSLondres, 19 septembre. Oc

mande de New-York au t Tintesqu'en vue d'éviter une répétitiondes incidents qui se produisirent àÇhicago, lors du premier tom desélections, au printemps dernier, onprocède à l'entraînement de dixmille hommes qui seront chargésde veiller à la sécurité publiquedurant les élections présidentielles

armât TORNfitELLE S'ETEND AL IA ETATS-UN1S

600 morts à la GuadeloupeParie 18 septembre. Le intrus-

the des columer a reçu un câblo-gramme daté du 18, de la Guadelou-pe, qui importe les nom eîles M'or-mations suivante, au sujet des ra-vages causés par le cyclone des An-tilles.

On compte encore 70 morts dansès emmure de Sainte-Anne ; 5 dPort-Losis; 58 au Gosier; 8 an La-mentin; 16 à Batiteyhtabaull; 23Morne-à-PEau; 50 à Sa-François. Letotal des morts declares à ee jourest donc de 660.

Dec arrhes de daAasomesst et utservies rat 500 spécial on1 été or-ganisés aussitôt dont Ille et notam-ment h Pointe-d-Pilre.

Le ministère des colonies prendNoirs inwures pour orgainwr etassurer le redaillonimi en /lyres

e pipo 0h00.On annonce, d'autre part, que h

/sapeur « MaCOViS mouillé ru radede Basse-Terre, télégraphie que leemelt,00 a passé suai la Guadeloupe1e 14 septembre, détruisant toutesles résolies. Les vapeurs EePéran-te s Antinna sont partis avezdes vivres pour les sinistrés.L'OURAGAN S'AVANCE VERS

LE SUI) DES ETATS-UNISNew-York, 19 septembre. L'ou-

ragan,gui a ravagé la mer dm Ca-meot et les Meg. dc la Floride,semble avoir diminué d'intensité,mais s'avance encore avec une gran-de violence le long des côtese laCaroline, après aVOi r fait Slln sonpn.ssage un millier de mate..

La tornade continue d faire ragekluns ta direction eh nord vers Dcap Rateras. Elle a sure aujour-d'hui la désolation et la mort sur/a côte orientale de la Floride oùsuiVant des nouvellee de Meut ily aurait 159 merls.

Le bureau météorologique Men-em que pendant Les dernieres vine-mimera heure, il ml tornbe 30 cen-timètres' dem h Savannah (Geor-gie; et 20 centimètres it CharlestoniCaroliire du Nord). L'ournewn au-tait este 18 morts dans les Ites du-Caiman.

lin Floride, /a Croix-Roue et Incimmunisa frêne de somme estimentquo le bilan du désastres est de 250tes et plusieurs viII etr d, Mos-sis, Ou.ant aux dégâts matériels, onne saurait les évaluer °maternentploie.) «mitaine de milliers de

dollars près Ils dépassent certaine-Inent en Floride 10 mi/lions de dol-lars. On Mt même que dus la seulerégion de Pen Brooli, Iee dégâts'élèveraient. d 5 mrlhons de Mois

Le gouverneroent a reçu Pins-tructIon de proclamer la loi mar-tiale,

IJAIZigi LES MES DES TURCSCalltr0 part, un câblogramme de

la plus grande des tirs des Toresdit que les ettorités s'occupent deporter Bromes am sinistres de latornade.

Saltnay pale» avoir le plus souf-fert. Un bâtiment, Miro son équi-page de 18 hommes, a été perducorps et biens, d Ambergia. Les tlesCeich sont Completwnent deaa-té..

AU MEXIQUEtin Violent cyclone approche de

la Vert Cruz. Le baromlare baisseet la pluie tombe à torrents. Le portest fermé.

L'OPINIOND'UN METEOROLOGIQUE

Paris 19 septembre. Un Guade-loupéen de Paria, amie qui nousparlions de le catastrophe, nous adit; « Presque toutes les arme., Is

vrai dire, nos !les subissent dm tor-nades qui dévastent les cultures,font tomber tes ronstructiOns légè-res et amènent souvent mort d'hom-me. Mais de mémoire d'homme onria vu une tornade aussi violente,rapahte comme trolle-ri de jeter basdos immeubles en ciment armé. »

De mémoire d'homme, sans doute,car la météorologie noue apprendqu'autrefois i/ s'en produisit de pa-reilles. En 1780, les annales de nosAntilles français00 vol enregistréd'épouvantables rova,ges. Ce cata-clysme fut longtemps connu sous lenom de grand ouragan. Le 18 octo-bre 1024, le baromètre d.etscendit688 .nnillimêtres. Actuellement il a

dû rester aux aborde de 730.Et croyez-mrro demandons-

nous à un spécialiste Ms questionsatmosphériques que reloua durerh/remuas? lion. Le déséquitilire co-ter lot fune ers pritaeore,pètes et .ntrifumes, ne mentait tar-der. C'est une loi amenante qui metIv aux pires enteras. Mais quelleslongues angoisses poter nos compa-triotes dela Guadelowe qui sei-n/nt Ponraman pendant vingt-qm-tee et pout-être quarante-huit heu-res !

L'AMBASSADE ALLEMANDEEN RUSSIE

succédera

A M. de brotkdorft-iinizau?

DÉPLACEMENTS

amompagné de Mme Baldwin, quiavait quitté Fontainebleau, . cematin, en autornobile,a près avoirvisité le château, est arrivé à Pa-ris, à 12 h. 50, à l'ambassade d'Anpic loror.

M. et Mnre Baldwin séjournesroue cette semaine à l'ambassade,niais on svmligrie que la visite dupremier ministre anglais n'a abso-lument rien d'officiel. M. Baldwinparaissait en excellente santé et sesoumettait de bonne grâce, dans lacour de l'ambassade, aux exigea-ces des photographes.

L'ambassadeur d'Angleterre, sirWilliam Tyrrell, offira demain, enfibonneur du premier ministre, undéjeuner intime, auquel assisteraM. Poincaré.

LE VOYAGE DE M. SCAPIN1Paris 19 septembre. M. Geor-

ges Scapini, député de Paris, pré-sident de l'Association des aveu-gles de guerre, invité par d'Amr.man legton à son congres, qui doitw tenir en °Cubes, à San Antonio(Texas), a quitté Paris ce matin, à9 h. 401 .

11 s'embarquera au Havre à borddg 11e-de-France o et arriveraà New -York au début de la semai-ne prochaine.

Après avoir assisté au congrèsde l'Américan legion et fait unesérie de conférences dans les di.vers Etats, M. Scapini reviendraen France vers le /5 novembre.

Au Ministere du Commerce

Paris Di septembre. M. le rai-nid0 du commerc.e a reeu ce ma-tin les représentants de tous IncgroupemenD professionrel du com-merce de détail. Dans cette réunion,le ministre s'est borné ir prendrecontact avec lm représentants qua-lifiés du commerce.

M. Georges Mdus. président de laFaideration des cominerçants détail-lants de France, et M. Planque, pré-sialrot du comté de l'alimentationparisienne, se sont fad les interprè-tes de tous leurs collègues Po.,p.romeltre leur contours le phisoorrlial gu0000eaonllunobru dacommerce comme iD l'avaient laitIi l'égard de hl. Bokanowski, à lamémoire duquel ils ont tenu à ren-dre hommage

la quesllou du Désarmera

REUNIRA-T-ON A PARIS lertiREPRESENTANTS DES GRANDES

PUISSANCES NAVALES

Genève, 19 septembre. L'inté-rêt de la journée co concentre surla troisième commiroion où le dé-bat va reprendre dans lapait-midisur le projet de rosoluttem de M,Paul-Bonceur.

D'après dés soudages, la résolu-tion sera votée par la roMmission.Il am sera prObableunent pas demême de la proposi.tIon verbale fai-te hier soir par M, Lendon, prési-dent de la commission préparatoiredu désarmement, tendant h la réu-nirtn b Paris ou aillmsm, en sa pré-sence, des représentants des gran-des puissances navales. Cette 'deecontinue de remontrer une très vi-ve roppneition du côté britannique,et, d'autre part, on regrette géné-ralement que M. London a.it for-mulé cette propoeition dans etcséance publique, sens avoir pres-senti les puissances intéressées.LES MINISTRES DES AFFAIRES

ETRANGERES QUEUEENT GENEVEGenève 19 septembre. M. Aris-

tide Briand, accompagné du diree-tour de son cabinet, M. Perolon, aquitté Genève pour Pont,i it 13 h. EhM. Zalwki, ministre dee affaires,étrangères ale Pologne, quitte Gene.. l

veQuant S M. Marinkeile, minis-

tre des affaires étrangères de You-goslavie, 11 repartira demain jeuepour Paris, où il demeurera une di-zaine de hum Il se propose, aucoue de son passage, d'apposer sasignature au bas du perte Briand-Maltage

UN PEU DE TOUT

LE CONSEIL DE CABINETDE DEMAIN

Paris, 19 septembre. Les miels-Ires. se réuniront demain 20 septem-bre en conseil de cabinet, au minis-tère des finances, sous la présidencede M. Poincaré. M. Briand y fera unexposé des pou., rs rri se Sontpoursuivis et des décisions quirotervenues à Wenn, ou sujet del'évacuation de la Rhénanie.

M. Laurent Eynac soumettra aur noctl le Ion

"rém.g"ni"""servides de Itaéronautique quel areçu mission d'élaborer. M. LéonPerier proposera les mesures parlesquelles le gouvernement viendraen aide Mi populations éprouvéespar le mime qui s'est a.bettu sur

Guaddoupe et la Martinique.Le consefl dectdera enfin de citer

à l'ordre de la nation r MM. MauriceBukanowski, Lefranc, Ilanin. VidalPI Viles, victimes de l'accident d'a-vintion de Toua

LA BATAILLE REPRENDEN CHINE

Berlin, 19 septembre. Les jour-naux mettent en avant les difteren-tes personnalites connues commesuccesseurs evereels de M. Broch Londres, 19 seleembro. Le medorff-Ramtzau au poste Wareassa- empote/nt du « Times a à Pékindeur d'Allemagne d Moscou. I télegraphle :

00 »man, entre auires, de leu-1 s Les débris des artnenn nordisteschancelier Wirda et des ministres 1cvairot Me repoussées sans combatd'Allemagne à Angora et I Beleade.ljusqu'à l'est du fleuve Louan et

Le journal la a Jumdentsche e or. tedme mlle hommes s'étaient rengante de l'Ordre de la Jeune Alleina; dus sans condition aux armées deOpe, affirme que la candidature du , Moukden, y compas deux trainsgénétal von Seeekt est sérieusement 'blindés et cinq cents Russes. E sem-matisse.. Iblait que test était flot, mais Pin-

to r BeCiner Tageldatt 3 déclare, t vraisemblable ne eessera jamaispar contre, une c-tte nouvelle est / dans ce ma,fankiaste et qu'il n'est pas du tout a Voici que 30.000 hommes des ar-question d'envoyer à Moscou M rom- moles du Chantoung. oui s'éteent enmandant en chef de la Iteiehswehr. MM du canin nationaliste depuis

Nankin jusqu'à Lanoheou sans nrome ess yer de

retitsleu'natt MaiMe-

nant.repris comme et omnnent dese retourner eunDe leurs anciensalliés avec me fureur et une déter-

UN TAMPONNEMENT EN CORSEUn tué, cinq blessés

Bastia, 19 septembre. Un trainde marchandises, venant -de PontaLewis, a tamporme, au pont de Pru-nelli di Cameront le train automo-trice Bastia-Calvi. L'automotrice futréduite en mmttes, le mécanicienJacques Grimaldi d ' de 52 ans, m' , ge

arie fut tué et cinq voyageurs furetaiblessés, dont deux grièvement.

Les secours ont été promptemen,t

LE MIDI SOCIALISTE

mination rarement vues dans les1

en grandi/ombre d San litai Rouan.On compte déjl plusteurs halasapte aanot 3.0,1,.10. to.te reo:

acharnée. »

DU uCAITNNuirem.L'expose du chancelier

Berlin, 19 septembre. Le cabi-net du Reich s'est réuni Mer pourentendre mi exposé très (Mené quele chancelier Muller a fait des né-gociations de Genève et de sesWheinges ro Mies Ive al. Si/Wel/Man

Dadem.Baden.Diaprée les Journaux, le soin de

fixer les nouvelles démamhes à fairepar l'Allemagne en vue de la conti-

ou éden' pour arboreoeleserifs""

.

Le se sdreraing eietat Ramike reeé-sentait le département des affairesétrangères.

A l'issue du conseil de cabinet, uncommunique a été publie rosant quele cabinet du Reroh, à l'unanimité. aapprouvé l'attitude du chancelier etde ln delegation all.emande h Ge-nève II a félicité M. Muller Pour lafaçon adroite et efficace aven la-Miette il avait mené les négociations.

EN ANGLETERRE

tes trois Partis se préparent

a la comme électorale

Londres, 19 septembre. Toutindique qu'et mens dévérimnentsimprévus, les élections générales enGodBtg t I'prochain. Dès d présent, nous tuer'mes h la veille des conwro annuelsdes trois Partis elitiques el certainmilieux lancent des ballons d'essai,On narle notamment d'un cartel en-tre travadhstes et libérgao.

Pour roltellre fin 5 ces rumeurs etavant même que le Labour Party aitfait ri/maitre au Congres de Birmin-gham son programme politique, leo Dely Hertel » écrit me mutin ruelm travaillistes -Se veulent des libé-raux sous aucune forme, et en au-cune mrcons arme.

e Le Labour Party, écrit en subs-tance l'organe travailliste, n'a quefaire d'un parti moribond, mené perun homme qui n'a plim h confiancePublique et qui ne peut même pluscompter sur la loyauté d'une partiede ses perlisens >a Dès maintenant, l'organe du perti

annonce le programme électoral leLabour Party lancera un défi auxcapitalistes et h tous les partis capi-talistes sans distinction. Ce défi serafranchement socialiste.

Le a Daily (Ironie/0r écrit d'au-tre Part lY Les libéraux s'apprêtent égale-ment au combe et se vantent que,cette foie i/s ne seront pas divisés.Leur campagne promet d'être, sinontrés heureuse, du moine très effi-cace. Une visite à domicile sera faiteà tous les électeurs inscrits et auxMeetrices susceptibles d'être inscrites sur les registres électoraux.

« Ce seras en somme, un véritablerecensement que rendent parotidetes formid,ables disponibilités dtifonds Lloyd George. a Organisons,organisons encore m, est le mat d'or-dre des /ibéraux mil feront appelaux Mecteurs indépendants, et se dé-fendent de vouloir faire un cartelavec les travaillistes.

La a MornIng Post » n'en croitd'ailleurs rien et se demande si leromité directeur du parti libéra/ estencore en mesure de dérider dePavenir du parti. Tout dépendra, se-Ion ce organe, du contrer/fi dm fondsde combat.

'LA RUBRIQUE TRAGIQUE

Lu accidenls Il avait amena avec lui sa jeuneha., me cm., m. me enfant

de sept ans. Dans un tourmnt présde chemins de Izr cle Saint-Nicolas, h elmuffeur,'inex-périrnenté, n'arriva pas à redressersa voiture qui capota. La fillette futtuée sur le t Ident légèrement blessé.

UNE AUTOMOBILE CAPOTEUn mort, quatre blessés

Limogw, 19 septembre. Hiersoir, près de Morterolies, une voi-ture automobile appartenant d unhôtelier du département des Landes,M. Hom ui, q se rendait Paris encompagme de sa femme et de sestrois enfants, a heurté, damme des-

coup e e jeunemon.

cente rapide, une grosse pierre quinadn,lisesLe pal:guet deBfins d

astia de t-, se trouvait sur l'acromentte de lales hos aux en-quête.

I,e chef de gare de Barchetta aété dirigé sur Bastia et écroué d la Une jeune tille de 17 ans, mille Louiseremisera d'arrêt. Les vietimes ont été Houx, tut tu, roue,u et jeuramenes à Bastia, quatre autres voyageurs furent bleu'0m LONDRESe Til,ar ENFONCE S 8sse5

5é de Bessines,Le docteur Musentrendit aussitôt sur Ica lieux de

tr.tÎêve'd:'in'prgrig'Îlsdïir5e1dtBerke

route. M. Houx n'ayant pu redresserson ardu, celle-ci roula encore 80 ml-tres et robots au bas de la descente.

'

Londres, 19 septembre. Un trainélectrique de Million, qui arrivait en

t'e'rreIdt'enit'a's"derrer enlit gé g Clore; u-sza'e 24"eUn wagon a ère télescopé, une yin,. anoir-L,ross nléecuLsr.aiv,%ir

prodi-guéIode Irulaine de personnes ont été blessées,pour /a plupart IWO-raflent, et trans-portées h l'hôpital.EN ITALIE, UN WAGON HEURTE

UN TRAIN DE MATER/AUXRome, 19 septembre. En gare

de Sema., un wagon détaché pourla manceuvre d'un Iran de marchan-dises, a dewendu precipitanmentune forte pante conduisant à la garede Carmone, prés d'Iserniu, avantque le personnel de manuvre aitPa Parrot... Le wagon s heurté untrain de matériaux stabomentgare de Carpione et sur lequel setrouvaient plusieurs ouvriers alfec.tés aux travaux de manutention dela ligne.

Sept ouvriers ont été tués et deuxblessés.

Et ceux de la route

UNE FILLETTE TUBESaint-erriez. 19 septembre. En

varonces chez ses parents, le jeuneBrogard, élève à PEcole des arts etmetters d'Angora, avait ers 1 auto-mobile de son erre pour Râler faireune petite promenade.

UNE JEUNE FILLE TUERHazebrouck, /9 septembre.

carrefour du Menegat, à Ochetemele,une automobile mente Par M. Fmcoin, brasseur à Cassel, dans la-quelle se trouvaient Mlle MadeleineDevulder, âgée de 20 ans, et/0111e Dehouniinck, toutes deux de-murant à Frotreouck, est entrée encollision avm une autre automobilerondulte par NI. Anal, Dubrenco,

unie leclé

Crteie:ctiVei F2rléiesl.a. e"UNE MOTO ET UNE AUTO

SE RENCONTRENT DANS LA NUITVerdun, 19 septembre. M. /O-

MS Galure plombier I Dun-sur-Meuse, rentrait, la nuit, à motocy-clette h son domicile, lorsqu'à pro-sinisé de Monmy, alors qu'il enn-pruntaa la route nationale n. 61, samdcbine, non klairée, est entrée ennullision avec une automobile égale-ment non éclairée.

Goinard, neleush gr n, emo .1blessé, Itql1n0èMbé quelques heuresMus tard d l'hôpital de Strucy, où davait été transporté

La Vie de la Femme et du Foyerle Commerce des fourrures

Bien que Pontormo soit encrai.,cette année, et comme 10 compensa-tien du pros maussade des étés, lesfourrures ont déjà fait leur appari-tion.

Ce lux.e d'autrefois s'est dé/nome--Me, grâce aux adroits artifices del'imiustrie des fourreurs, mais lavraie fourrure est toujours rare etelle romporte, dans tout le vêtementqui l'amempagne ou que, du moins,elle recouvre,. me élégance rareaussi. Quoi qu'd en soit, authentiqueou de contrefaçon habile, /a bellefourrure est de plus en plus chere,celle-ci suivantt la hausse de celle-làpar esprit.., d'imitation et pour nese point hisser déprécier. Cepen,dont, II wt bien certain que ce n'estpoint la chasse en Sibérie ou dansles Amériques qui a produit Pénomme stock de paleterie précieuse onréputée telle qui se vend dans lescentres de la mode demis quelquesannées. 11 y a par m bers et meliera des peaux vulgaires, celles dulapin, par exemple, ou du « tigre dupauvre », le chat, qui, travailléesavec un art merveilleux, prennent las'y méprendre, même à dire d'expert,l'aspect des plus natales fourrures.Lou très belles fourrures authenti-ques, les loutrw de mer, les zibeli,nes de prernier choix., les renards sr-gentes, ne perdent jamais de leurvaleur commerciale, qui est très éle-vée. Les prix des pelleteries com-munes subissent, au çontraire, desfluctuations énonnes, résultat desvariations de /a mode. Tous les troisou erstre ans, les fourreurs lancentune nouvelle mroation; aussitôt, cettefourrure subit me hausse ronsidé-rabe, cent pour cent et même davan-trige, tandis que Il pelleterie précé-demment recherchée subit, par con-tre-roup, une baisse Plus ou moi.sensible.

Il y a quelques années, la zibelineelant è la mode, les peaux, mêmecommues, de cette espèce atteigni-rent des prix fantastiques; la vogues'étant atténuée, une baisse de 25 à30 et se produisit sur cet article. Lepetegris, également délassé, a subila même dépréciation. En revanche,l'hermine monte toujours, la modebd restant en bonne moyenne fidèleet 1m prix en atteignent de julischiffres. Comme le temps modifie lescours lent égard. Il y a une herr-faine d'ornées, les Ostiaks des bordsde l'Obi offraient de superbes peauxde ce petit marrnifere pour 25 ko-uroks, C'est-à-dire pour 60 centimes.Dix ans plus tard, à la foire debiten en demanelait 7 francs la MO.:Aujourd'hui, ero prix ont décuplé. .

Au point de vue zoologique, lesvariations dc la mode Sont très uti-les. Elles donnent un peu de répitaux especos qui ont été traquées surcommande pendant plusieurs annéeset leur permettent de se reconstituer.Néanmoins, certaines régions ont edépeuplées d'animaux à fourrureprecielme. /I est vrai que eektenuttion n'a aucune importanro pour

I AU PAYS DE IIIUSSOLIDI

LA BOTTE EST PLUS DUREQUE JAMAIS

Rame, 19 septembre. Le grandconseil fawiste, qui tient séance ener moment, invite le secrutaine etles Directoires it poursuivre avecune intransigeance politique et mo-mie toujours phis rigide (on sait ceque cela »out dire), Son uvre dopenétration éducative dors /e peu-ple italien, de façon que le partisoit toujours plus roPabledee sont but principal n la défense011m continuité du régime.

LES EFFECTIFS DE LA MILICEFASCISTE

Rous, lé septmtibre. Au grandronsel fmciste, le général Dayan,chef drotalsnajor de la milice, a luson rapport sur le développementdo la milice. Celle-ci est composéede 11071 officiers et de 289.000 che-mises noires.

Outre M mille° ordinaire, il exis-te des mlicos spéciales pour leschemins de houles porta, /ro protesles forêts, les routes pour la Libyeet ses confins et poar la défenseantiaérienne.

L'organisation de Pinstructienpréliminaire a maintenant atteintson plein deyeloppement.

Le général Bazan a ensuite parlede l'emploi des chemins noires encaS de guerre,

Une révolution

dans l'automobile

UN NOUVEAU MOTEURFONCTIONNANT AU PETROLEWashington, 19 septembre. On

fait grand bruit, depuis quelquetennis, aux Etats-Unis, d'u.ne décou-verte peut-être appelée à révelution-ner Pise/strie automobile. Il s'ope-ra» d'un moteur d'une conceptionentiéreinent neuve, marchent au pé-trole.

Après cinq années de recherch.et d'expériences, les plans dôfinitifsd'un de ces appareils ont eté arrêtéset on ewere sortir le premier am-ilèle dans un an.

Se construction a été confiée au

'1,CtZalnen.e . National Advisoryeel Fur Aéranuntico »,

Locmm

Son principe est fonde sur un Per-fectionnement du moteur Diesel

sance de 1 HP par 900 grammes de

Le noententl moteur est

otpartit/rode-

drieZel Pz:nedot lot

-irneratteec,rert.

nie,,get, il

001m acpo'

Irent'er,a1COZia'%iiea'010ele lrid'air dors le eyllndre, s millaarimeraet brûleral, dégageant les gaZ Prûel-seurs, en lieu du système MM.

d'""""Autre avantage f l'extrême bon

narehé DI pétrole brut;

le consommateur, en raison des ap-prêts. Le lievre blanc de Sibérieconstitue, comme le chat ou le le-Innd'Europe, une r(serve inépuisable.On a noté, il y a quelques anném,qu'a cette mime foire d'Irbit, ei estle grand marché des .fourrures del'Asie septentrionale on viennents'approvisionner les maisons dumonde enticT, il s'est vendu 709.000peaux de lièvres blancs I Et, cepen-dant, les catalogues de modes nefont mention ni de col ni d'echarpesde cats lièvres-là. Elles ont crase.blablement été transformées en four-rures d'hermine et elles se sont ven-dues sous ce nom à Paris et I lb.100010e, bien qu'elles soient d'unblanc crayeux que l'on ne remarquepas chez la véritable hermine etqu'elles soient d'une usure rapidealors que les exemplaires au/lient,mies soient très résistants.

Et le renard noir on le renardbleu existent-ils vraiment b 1,011 est-ce une chimère, conme le dahliableu noie merle blanc

Je crois, nous disait un four-reur parisien à qui nous posions taquestion, qu'il y a des renards detoutes couleurs; il y en a même desblancs très au nord. Ceux-là ne con-servent leur pelage blanc que pen-dant la saison des neiges. Il y a desrenards noirs dont la -fourrure estMes estimée, bien que le Prol n'aitPo. la sonffiesse de la marte fine etmoms en a e de la mbebne. Quanteu. renard bieu, c'est presque un ac-cident; il habite les lamions polairesde l'ancien et du nouvean monele. Ontrouve de ces ren.ands en hiver cou-leur bleu de glace, tandS qu'en eteils reprennent un pelage naturelbrun roux. I

La zibeline,- puisque ce. proposnoua y ramène, est un petit cernas,sier sauvage, 000 sorte de putois. Le

elage est brun marron, de qualitéstrot diverses. Pour lm avoir belles,11 faut prendre les zibelinm en hiveret cette atome est périlleuse, dou-loureuse mêm.c, parce qu'elle s'ac-complit par le froid le pros intense.On part trente ou quarante avec desprovisionS pour plusieurs mois, siDm veut aboutir à une ohasse frac-tueuse. L'animal se prend au piègeet au filet et aussi on le chasse auterrier. Ses ruses, sa souplesse etmn agilité sont ininmenatbles. Maisle produit d'une chasse pareille estune petite fortune pour la tribu etles pemx sont vraiment de choix.

Un autre renseignement que nousavons tiré de l'intéressante conver-mtion du maitre-fourreur est

chinchillaCrost un écureuil tout à fait

mignon, très doux et qui s'apprivoisefacilement On W trouve dans l'Amé-rique du Sud, au Pérou et au Chi/i.Sa fourrure est l'objet d'un grandcommerce à Valparaiso et à San-tiago. E en vient aussi d'Australie.Voilà une jolie fourrure, exquise dehucnen du on sen oolr,is, Elle luttrès à la mode autrefois n c'était lefeurrare préférée de l'impératrice.1-oséphine. Elle est moins recherohéeaujourd'hui.

Marcel FRANCE,

aPaSa que le président du

P0183 #011Y etre sian et concision, voilà ce qui mira t usec e

iè d 13 dgrosse p ce e qui, ans sa ohute, a

Marchê des Vins

Pas d'id-Lires.Olomm. 16 septembre.

Bordeaux, 19 septembm.Vins Edams. Algérie, 10., 220 à 230:

230 02é0; 12., 245; 13°, 255: Ealna-gm, 11.5 à 12., 235 à 250: Portugal, 1105à 12., 230 à 245.

V/ns roues. Algérie, 10., 2101 235;110, 230 à 245; 12., 240 à 255; Espagne.1155 à 12c, 235 à 255; Portugal, 1155 à12., 235 à 255.

Ces prix s'enmdent l'hecto,- nu, Beydema, plein à l'arrivée, droits mannes.

Alemis. Alcool libre rectifié, nu, 100.//hecto, 1,575; rhum, 54s, l'hecto, louéRéunion, 800; Guadeloupe, 810, Marti,que, 825: smérieux 925.

itux concours de droit

LES 0EPARTEMENT5 TRIOMPHENTPans, 19 semendre. Les dupartemena

miment de remperter en concours mené-ral, mye» 00000 les étudiants des Facultésde Dmit, un succès remarquable.

Le premier prix a, en effet, été embuaM. Rend Weill, de 10 Incubé de Mont-

pellier, et h second prix a été mérité ParM. jean Cerbonnier, de I« Faculté deBordeaux. Paris ne Dem nom alsrlèmeranz, avec une seconde mention dewmero

M. SM,Le »Set à...« était quelque peu ardu,

« fies valeurs dro/m contenues dans unbiun paraphernal r. Emams tout ch suite.p., les profanes, qu'un bien parapheur./me un bien qui ne hie pis wro« de lo dstde la femme mariée. Or, ce syjet a êtéumté brommes da mimés/ace etd'érudition en, im étudiants des départe-mssbs. Il 'se( t s55 55 ions, as lire le

La vertu des plantes

VIGNEOMS vinifemo

La vigne fait partie de la fatelldes Ampélidées. Le fruit Ils la vigou raisin, est rafralchimant e/lii; il conytent am personnes d'uni

0Son usa oge est cnseillé da5nsrpisie, le scorbut, les engorgement)du foie et de la rate, les me/0dt05

inflarnmateires, principalement lagastrite, l'entérite. Mangé le matin,à Jeun, en assez grande quantité,donne de bons résultats dans la gra«mile, la goutte, les maladies du rein,et peut Dit/naphte en peu de jourhdes constipations hs pins ulaini5trest

Le vétille suc exprimé du rai.sin vert étendu Wenn et édulcoré0000 do sucre, forme une limonade/três utile dans les cas d'irritation dlI'estemac et de l'intestin, ainsi epsdans les lierres inflammatoires tpilotes m bilieuses.

Le verjus, additionné de miets'emploie avec succès, à Pexterieuraon gargarismes contre t'angine, lesuleeratio. de la gorge, le ramelli.cernent des q000ives,

f r riet.ss ,ralicsitrita n'Ire ." Colis 1Prinrrgititernden1obuslion très' edficace contre le relni'meer,nîetoux, les affections de poitrinr.

pommade pour les /évres. Faiafes cuire, dans un pot de terre ver-nissé, jusqu'à consistance d'ongueatavec 30 gr. de jus de raisin, 25 gr,de beurre frais, 12 gr. de cire coteet 10 gr. d'erminette, et passez en-suite dans un linge fin.

Le vin, mêle d l'huile d'olive, estun bon détersif des plaies et ulcères.Le vin blanc lardé, en fomenta,lions, est très efficace contre reniéema des mains.

Le vinaigre est utile, à l'inférieurecomme rafraîchissant. Dans la IuMdenBie exlerne, on s'en sert en carigansmes, dans l'esquinanMe (mauxde gorget en fomentations pour desterger les blessures, Inc plaies; enfrictions contre les douteurs, la mi.graine.

L'eati-desie possède toutes 105propriétés du vin, Demi-titre d'eau,desie, dam lequel on fait diswudre/00 gr. de camphre, donne de telsbons résultats, en compresws renou-velées, sur /es contusions, les foulu-res, les efforts, ainsi que sur le siè0des douleurs névralgiques ou remmatismales

Infusion de feuilles de vigne. esFeuilles de vigne sèches, 30 gr.; mabouillante, 1 litre. Laissez infuser àvase clos jusqu'à refroldissementi

passez; exprimez. Trois à. quatre taseses par jour, sucrées à veonteDiarrhée, dysenterie, hémorragleipassives, rétentions d'urine, obstrue,lions viscérales, goutte,- brormisserhydropisie.

Cette nnieme tisane, en lotions, estun reartede précieux pour les mand'yeux invétérés.

GREVE DES MINEURf

EN ANGLETERRE

Londres, 19 senne-due. Poufprotester contre /a MM-observation,par certaines compapies> des .e-geinAn/s pris po ne el concerne le3Lourer welémentaires 395 mi-neurs du Lancashire se sont mis en

D'autre part, aprês avoir MO con-gédiés, il y a une semaine, 2000 ou-vriers des'asinro de Guest KingNettlesfold, â Dow/ais, out. pu re-prendre la travail Mer, 20080 autrescependant attendent une reprise del'activité afin de pouvoir reprendre.à ieur leur le travail.

Enfin le charbonnage de Duf rynRanhdda, S Port Tallibut (Pays de'Galles), oit Ion ne travalllait PICdepuis 9 mois, reprendra son ex-ploitation dans 15 jours. 1.000 mieneurs peurront drocenehe dans lepuits.

Chrenleee de â

PROGRAMME DU 20 SEPTEMBRE

RADIO-TOULOUSE

A 12 h. 45, concert. .

Première postie :

A 12 h.,55, deuxième partie nD,mumvertures de Suppé.

A 13 h. 5, troisième partie Chase

A 13 h. 30, umsième partie r Accondé...

A 20h. 30, concert.Première punie t GuimmA 20 h. 45, demirone nase Chanta

opem, opérette.A .21 heures troisième p.,. n Gr.4

concret. Trente' musimens, ms la dimoion du mwatm Pujol.

A 23 heures, le Murad sana painml'Afrique du Nord.

TOULOUSalYRENEESA 20 h. 30. causerie rom les roba

par M. joseph Beyt

Première partie d«041'.:carde : s Le Père Lehmanad s,cers en marre secs, de pan Alennt, P

eerde Art et Théâtre, de Teicase.

ANIS MATABOFIC

les lamésts de ce concours.Ainsi donc, le palmarès départemental

Decazeville. Hier, vers midi, un am apparaît choque année plus brillant et leschient qui a eu des suites funestes shst résultats chi concours général des FacultésProduit à un plan incliné, à la mine de de Droit viennent confirmer d'éclatante fa.Bourran, de la. Société Commentry-Four- çon rend c./nomme d'es IraaSSchambault-Decamville L e câble d'untreuil ee déroulant a.ait fait tomber une

atteint à la tête Raymond Fumel, âgé de19 ana

Transper./3 aussitôt à l'hapital de laCompagnie, dans un état désespéré, la vic-1time y succomba quelques heures après. !

»oa Lorca. -- Au cours d'une corridaCemera-dmPieuerga, un des gradins de

/a plaze s est effondré. On signale onmort, neuf blessés grièvement et douzep r gerement.

isos Remiremont. Deus la forêt duBal/on d/A/sece, M. Jules Claudel, voittorier à Fresse-sur-Moselle, a découvert unchampignon d'espèce comestible, pesant10 k. 150 et ayant 0 m. so de diamètre.

am Londres. célèbre chevs/ decourses a Epinard », qui était pam pour'Amérique, en 1924. afin de participer à

trois grandes épreuves et qui était restéaux Etats-Unie comme étalon depuis cetteépoque, rentre en France aujourcl.hun Ilest arrivé à Londres hier, ayant fait levoyage de New-York en compagnie ducélèbre cheval américain Billy-Barton r,qui doit être engagé dans le grand natio-nal de L'uerpool de l'an prochain.

e.itec le Nargue Tel (1,110"t G Tourne SM

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 3: Nous arons été les seuls S 0 MUST E - Toulouseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1928/B315556101_MIDSOC_1928_09_20.pdfANNEE. Nni 11.010 ABONNEMENTS Gee» 18 fr.: 6 mol. 34 fr.:

Chronique de ToulouseLes obsèques de Paul VIVTOR

Lue obsètaee purement civiles desaneluit la pleine eenfiaeoe de ses550Cm regretté et tpcopeihiqoe ascIi nIrels. Il souligna parcivoiricemoetPeul Vicier5 adjeiest ne mairu de le seetiment du deveir quel savaitce,., lr,e 50 cniceier rio Crédit san. altier à cens bieaveiilaaee aussi diii.

ente 10e diaveèle, es couds harcrrangrb ers hnutas qoalités marries et au.

M. Acteur, direotror do rasenaside olrédrt moniaipai, succéda à M.Vigrceau. Il retraçai, rctee dePuai Virlee au mie de l'udmieistaa-tien à laquelle il nppaeteeuil. ilmenton sortent anar quel lent etquellle pitié agises,nse cl aveu en as.camer lu tto,hr délicate entes toutesde s'000nper des nvancr sur peu-siens en faveur des nsoeednete préoie pur la gaeeee. de lenes valsaIs.

Per nom du geeupe eavialiete dorenton Perd eotee enecrueede Mcchnrd, mit en lumière laotien d smilitnnt, son aedvoaielassablrporcr tant ce qui r000hcit n la viede perte, ara prieironeneeurrgs'mente nou jrnnes, en modestie dansIre viatoirea donc il é rit nu decpins notifruelienve. L s couvruir det'ietor planera sans errer en.drssordru lotIr' Incurve.

lii. Cnrbou, aeprierrreant le es.crave mooraipal rapprin mm ira'Çiraoe te menrrest accueillant data1m fvnotivne pnrfois icpautrs qnilur ,rroomhaieot u in macrio pursuite dec cuuléontions dvrcc cl omitolrevgé Il orst p foira preuve de mlcdrerruolrtéo d'oennnisataar et

piripni, net ers lire hier npris-msdrmiliro d'ocre aIl lrrnm eatsidi-

raelrrsemblement avait été prie auaemiails du défont, car Beeonedel.

La fniuda de la sUce arssisoa bma rie airnuscér oh il 'habitait caro eufamille avait reçu 0es dimeatien

si e ciraunotnece .. plante e cartes,tIrs rire nacres tomme d'nmgeut,no bec ,lrsqurllrsreoeuit0000rMmotir IleaeaenOqrs.

Dc a.rrolrtnunrs oorlrenoue afleerre155e le losrreil ronnioipal. lvrai esun,oipal Ir paoseanel de I notroc, la si odront du poesonarl ets.sn 00, poblros. l'ndmiaieteatiando Ceéd't mnniripnl, Irrio trédit mauinpnl, las rorlitnntstaeialieaa du anutun Perd, In Logoi'tdaecnonirsOviale, l'Erole des11ev mArte, In Fédérntiaa dcn Pirnrtt litres des morte dv la genndc

leacamcl d'ndmsnisnrationrc pip lies dv la léatinn étaient

jeacriec par des hrnrrv.neels porte von-pas Ires va dinparéas tue le ohnc mar.te r,ree.

A b heaes'a. le carotte se veinaare 's rrcmedi sIre drapeau rond'sl''i' saur al,nne.

lr.rrsl est tendait pac la lnmsl'acrut et le agira da Taolonne.

s dra ,djcincs eI drr membres d'udménmtratrr,r ici a'senieat dé-

',b'et de 00marssympathie paur trt roi.

ris' r Parti eat iota n aeoompa 'ttorxa iiouch, r seinre do 'se I, rie esecr'nré et s1mpatbiqnc dm0,00 tvuiouroser, par enanide Inav. cris P,sol Vreto' à sa dransère parole au nom dv porte eminiiete

divaormeol de Farci VUlve acred'1'l-,cdétrcC de Tantouse, le Palace

tr,,.,rci eetcrésratés.lrr.a délégatiaet do cous les

are ,,,rcrricipaae, Oatrvi, pompiere.sis 'telesis des lImon Arts, de 'sdsrruas, du Crédit moovipni, dotLoarsaccfaerriqrcrr. de la l°édies.rna des Pi'eec ra noises dos mare rie

la ocrer mes do Comiti drs Pu clic,de In Nation, do Midi So'iaiicts,

cr0., et P5 nambeacca aecsiu do laOr ''n rt un ursc svau,nrman acm rot Ire mililsuts et l'on pruc dors

accroc upecoe auucl rIa l'arrtomne tendre que darrc'inc penarior. joce, dc 'rotures r é'* vceaolsmsm . vomoen'll'ritcrSel nrmcvoil.

i.e roatl'grs'niv l'ininécae,.r,vnt avenu déjà odi,lué rtersaraPacr000 la Ioule revuviir

le dépouillo mvrirllr da Pc il

tout en lserrt de In bulle de.1.55 Cabnrtr, dans ans 0000eeaiuu

Irde la boule une le carpe mea dé'aeé qrseccd le' ed'rno crrprio'ea Ccci

Serrons été t,rlreenie

AU CIMPTIIIR1Vo tir brrlc mas imvoraeto di'

marcs',, diverere prrseunalitée qui parfoires fveotioan uns irai iii puce pur'tivuliirervooc en eoeteetuerveatve.'es clirpnerr, évoqair-ret sas ndmiru'bret q,ealisés d'esprit et de ooe,cec'e'cpriselbreen h eu bamille rplorvcbars proinadu aratimeato do spmccotl,ie dans matIe heure doulvoroosa.

A,, unes de 1. legs i'Harmanissovine. M. Clrrltreéoan rappels mm.seau, Panl Vcotor était aresu h usareiasnaeie pvtcaaé pur no hemie irelsictiele de bretta rt do libseaf. Ily no-arcs-nové auprOe de rampagaras uiuoèrea l'sdial qu'il poorsus''nuit. Ii relleboro arec cou de 1051vtee acrboar à lrvévrmsnt d'ove lsccaOsniro pl,rc faotrr,cnl r.

F eeaite votre ami Vignrvrs. es,pvéaentaet l'udmioirtrnciaa. dos fi'aseocu dant fe'sait nrcc'r natrereesurndo, fit recors l°lcommr droites jacte Cuir pue mao iutjgrité avec

La ifiort de rau 1'ICTO

Lu Frldopst Ou dr 'hurle adressa àla Fédérative rie in H nto.,garrene500 vivre epmpnlhiou et rot isolas'-eaellre cvanloléencrr 5s I'vavaoiaa dost",rcba de lerra vegr'rlté m'litr,,t 00x1'V etc,. sdloiel a, mac r dc Pou-

P, or ia péqlomnitoo do lAodr,le tvevitsirr adiaini r

A. Ifiehose.

Feuillets Garonnais

CAPéJ)IDAT UNJIiLEb race c4sd , q cc oc I

Fer 50cr InertIe, ci le. lai.N'eol-ec pat m saule 110e l'Ogcrnne

do la rue pnpaod, cc ne cri pat tait,tiras le tnnnpa de lu choir I pIlé,nrrrume 'de tael d'antre' t rosacés,rAp ionrit 1,0, viaairra al encre.

1,0 Val le ildenlla roi dl barsternpr des deal e ceeuar,.

t rai sa lclultir dattes si lobap.Ire, a,,s,i h la a-astloatiaco Putubc.

}'ternel eacyagenr I'Porc cure lrntlattd par ir liar l par.

luis euhmregtl torciovre saors'aottvtrieoee anpe's'uat; tvsI000n.. lue-

La rnrr000lorca pet I r immole »lr' ra premiire cvmmaviOcr, qo'il

navupe rtiigiroaemaet, pam.dçacmses boaenve, In, srrv,t etruqar lois, dehirota as rannelnge,

aéatmnblr vI rambrra 04-

irssriparalo e banc, élncrcluart becStnci, etrrpecu, pelit ehepeta, are'Pré' o igoel Oaloi de P,,léve cr0 tutq'r'rsrr pveqrrrttr t...

O sesncs mIse frises,'Pets-trot leurs' ne rois'PI dr piler mc bas'rcne

Orerasr Séaetrnr!,.,.011e ardmaln prière, dopera long-

tOcsrpt déjà, sou dieux du iuilpmps,Puorgnrrl, t ntensa.

t J&enaieeeaugucm, bar, laiest dvldslger o, v'er,roaillirrnt antoi.. asic. timcrelie iosaos.

siée qrsi esyrca tara ahurac, loO ialsv

las et nprbe'la aartiae de Pouce erslrerc de se boissong,'Orsut, ii uc rangea qa'ls riargeoLarr dans nacat vrlle t'nruerr qoigrain en appareitee ccc ireteat eue,.peonriia..Pa prepagonda iateos'traIci Ore du partresus trnolxcerl parles eieaftata que luira 0000uccoeoc.fa oie doit cor ne un modela 000e

i-,reiaa cilona'rocr et imar d- quaI rat muer soc in bri'lre.Malin, natal camarade Eciliiroc.

cl ,aclic cooq mols per0000ee. I mon une impr'avisution joillbe dopar ana ohac,dv après midI acnarr eu cour du moaril moaiacpal

r ,t,naéresoùissolrildaedaiodaaotaelancllrdeTaalousaadres»u lebrllacslc ,eisaegartté Parrl exprima ed'ea k I ami et nu frire

q aétroocrdniteoalrurepduqnenauephorcec.Iilisonbrrfoucc par av aig rlisr o'rntrnata dm blroa de txoloa les acascrrlaaos '00e

pernice éuhonre clnna lavonveasianupportenunt à In famille, h ltctcellale Midi Sooialinle r, adeanre rayure00e deraibus dais in doaloorsou hammaer de cas eandoléaocve nitristiee.ne 5000m 'r de Foui Virtor dontaran os eroecrrncpl,s la bon cl fineoarire dune nrtte assirao qoi futauoei la c'eoor, restera parmi nana,car 'r 15 vrai lomhvun due morts,cool l'cepaic des vicanire r,.

Itt anal d'ailleurs deoraive sourit',nomor dma pote.

l°tlai prdongr oC'rn ml ace eaitmill...Vo tans Ire saira erroer, combe

Lauie Xi, Ponant sou ecocere.elrri,arc dil que éacigaoi movcnollr dracool' rcvo, pcoale000 rI béat, il miroet rrrlbqram re diauoI dox s msa rai,.

Posr atlrooltir l'crrana laie roua.moula leu' di000 cl I iv Ilemmeal toc.icones de la piaule cor éloigné, Il lesr', avec des airs ai da,,u, na 000.

lctel Pc iront pisés, brAit dv in corIaies de grim5cec ru mIl dc r000

locrrvt y omoum trcrracvir par lotritayrne Iilrra da e' pape, ferrenIveivrana 1er u Omar r eec Ovin ittOc'rvnclr 000q,,r co Itogagr usarl

'rVaot mvpneeprre mmc sole'

151 vuve sn,crae I rnanqcob, r0000rrIO ooup ii ce IrOove lire rend',det.

Voeu d aillocr,'r rve,mevl me env.dirtol unique, duo rsd,oevuecxvesdu bip, du Gvop'Iiav, cépobicoinftot, 5I15axtf, lrlrpedïqne, es pi

Merissn SPVIGNOLilellrm Pnc.boeesse

iIer_S,nasiesrtetp fllmosescé lEn.fsaclicicnt Mater le eacat.i3O5

Eu-Caesrrsee sécu lorIot ra lotesEx.Ceadidsl DémolI 5e 1925;Ec'Eassdidat Dépssfl se 1120

15MO vain de mincvritdlCaedlcl.t assiqose tire raalécaecu

lsrssrtcorlrlmsrcrrselc te Taltépatsliqsep

Cstadidet Prrpfiesrbtes qaelre.vienult die dliétorla avnalurisasa gal, tO,»tnrcrcmrvt, vo

vase rire, peorleeetrenl, dtmarrchr,celle ondrrr icmcnmoansv, candbdalnoiqoo d,r parti rt,Iicsl bavillvo.nlairs, cet bisa dc ?e55uer,

PI 100 boit crut dix anlrer dolé-grtés de 10x5 cr505, qu'vtt.ro qrc'ilsfaicoiret donc, peedsot co lempe.Itd'tas J000hir?

dente, lis cet les Secivo rcrr)plimrcl'sl,ruba, rues oie e, Ils 000pervrrtortie rai 51e coeur I...

A ers neallante, ta croc présr,rlrtNos' Sé'rrstc,rr, , r rcncc 'r ssresl:Pope, jeta, é!rlrMs., ermroe croc

L? t'1Il! CbiPljO-p

tari mimua crus It Cap t da nivItt do1utile 111001 r compère, oègrrecsOl vu

Ettrase OhT,LIPibfIsMoire le l'eabnunr

Ceosdislalssc,'qcsr dat Parti S. F. L O,rI dcc vraie rl'isisbbtrelna

0001 dommage, Joeuhir, quo noir'oranyce pars ddlIgaé' eéaatonlul.,,

Jasi la rtue'lalioe tira mollo, qucvoue voteriez pnem r aatrv téta'tsar 'r qui tara Irsoftrceaunti,la 7 orlmhre povoheio.

Ponce tIan nerlainemmel un fac.ç,ce inteliipsel, t'mtul leu nitoaltave

Lsllv ltd réau'ltm de la dleigeaainado fevigool rot tout, raut cria, mccdehort de ce qui! s lié evtcomau dodire I In gatvcir, mn fuI ou ntiveoaI'

tYnt'llrvcre il y s dma gmnn qui avgiiOOI ehm rote ml lacet v'rOt paedl carres,

le pcueea fayotte r'grta nasal lalix, voire bbstvlra de osodidal ccvi-

to abbvndsnt, que la bon dieu ru-diraI voat amI au se sabelc garde,ccvi, ml noue prlrcrvr do b piqèrados mcssetiqaocs I

DEREP.l'OEG'ellD.

hue quesliofi . ucos

LE FltLi)N DE9011IIEMEObI-il aouot que, anol nonel en

buaea poillugue do rnneenea ci doImldaisar, D. LlaOvt eoutrvat Pava leranlou d'Aciciguam. oaeacra Lataal,rl,b racadidolcire du rayliala 'doéta.lOgre, t uvaiocna r vo rlpolclietin t

F4115 qaaoAov, ri'dva In pccnsrrarrehtqlec p t)uem jm,trgc't roque s La Drci000hc m, rils.teàcc'o.ebbtmcve dr sac dèpulm, Isut md.prieé d'elle, la répecre qOr Iv dioe_ge'gO t r utac donesca pet..,

Chez les Mutilés

REUNiGai 0go tdIpotFtCIAIRpS tapL'ARTICLE Il DE L'ATELIER LIEFABRICATION P'AIOTILLEOIE P0L,crlTlONfu.

On cons r"s a'iasé'veCalma ccuu;an, d00005samrs

dc la Pdddsal,an dv, mnc lés las riarrun dcT'sisueeb, as ria Ilcabon dat uxullisil,, dvl'Ers,, s'esc bonn la mo,odl I avpsoarlana.III h, lu, risos le eslis du 0,00 Lubies, lusDnlsu, énf°ilarse

A l'a,d,, n,. i.,,.,'O.,,,o,,..........

l'Uccioo daa ,un lrsr,es dIE dO5. tcr0 m,Osidmc do aiscyn. anar 500mo 55'av mues lus vma,sdo, P ara. mao 50 Larorulceuna,

Lnprvsidvnidnslaralsai,u,lrsmsreielasmms,udvsd'si,esnanseosi o,md unmb,o 51 dauva h eurulomenace talla00, admraierrer,a, do C,55,vasaon do Toalausa, serr,em, do l'er,l

la go scion, varIa a,aaosraavc serrer,

Arois vas divleeasleoe, la roisid,rrs de,.na è anaoaln à ceeola è Ballcla,, il 's.

las p,énndnnts Orelasce du timni,00500 é5 »rlaoa hrs ur,'.à ris00005 d'ue.

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50.55 Spésrsnlenan de I, RégiOfll Rue Lafaystte (1h11 Plats di Copilale) TOULSOLISE

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Les oamtrades pci uns ét,i dlsi'goés per le drmuirr Caogrès de jrslud

o,nsd Ides é dl itpeàp ccci te00,0,0 è s sains é» à d0el,se,en do e»' Focs I'Aelilterbe, le Renien,srsda Esvabvh Oubriat, cor la C. o. as ci I'AéraseaUsesebrife per araa,,Alidoral do à Hoo,s-

SOUEBE'F. srvmnbsipe fésietruimf le,t0000eilro usé uov Sinac'oO do

C. A, da I Assesiselou dc Tmlaase,dulutsc,ee lai s eh vnntealév rua dose sd.

las mses,udss Dine, oc LI.bae, sa do,aisr, ,sreAairs do di,mcnu,. si,iberacean u"iI u'aa.ispos la soebonso de

Il d,,,50 lsniors des lycose edreseiv» IM. la P',, civrr dorure qo'il coi délèaué, mela sépuasu erecabIe da oelni n,

Dèalsasaavy Ioroa en"é 0e sasers u,, é',,,, dvmiu,olisnn, s.., dii bi,bi lsuds, cour I'cypl,vurino de Oeils lui asdc, édera O qUI mcm pa,abrmv, lisser ho'es,lo asosenos naivaud,onnsshnsneuss

triai ev oaedsua, sanocodns 000Cm,vsracaodsnoa dovoursam lai 0005ran 5elnnicrnr, ecavuns sons ,sisuo, la dinananSd'essoyisl,u, api 5v deasn troc annrns è le

45. OivOma, do lu cnonrn.II Iarn psrt è l'asevmblis do l'obI nués ès

yanmaedeisrsurmnuiie, in prisse,,d'une 100mo eIsvesis anle debdcué do s Fvdérsiiaa. ,,mvnnbsmceld'an lrslrra peUr l'ovnirco mmm. nvm euxe,saoci050n, drpere plot de sis ucuit asiooe,rr d'uv0 miéonsia dv nsmersdat. usibar dcouvssnirlsvoove,,'ourrl'hob es ei.

lu000ie mus les vemoeudvs au'sua,,; la sella dseIsat houlaaes daaorl5501 dnnpeisn,s, msi. l'ssvrssa, var m va

Paaeneurorseacs iea,ca,osb,mcsce.t,s,rdasuoear la ,noaiea. 051,5 oomeredasconse I, dérao,cn le rias tesusd I scia

étuis Pincés dons le ar ès lemplseec Indèli0ui de l'Uuiva, nuens imo ssma,néet)anauae050; veira 's sans laI 000 isunéessptsulsd,o,s,n,a n'usons mI,ospes

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pbuen Wiloan, 14. S,dor'flormeis, Os.mcnrcvl quai dc Toenie, 74, sa, ssdi,srooail I trânorssm lu ollnnrsoér, sété bmosdf mtrcaoscoé oint la phanu-sér pse 110e enta rondcmblr par laebm.,aslrlcc Dmnlcon, derararalll A Lu-

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Sur plaisIr dc M. Jeuc Lse, Igé1m SA ans, domaurent runnte dc Renel,Cd, u-o crqumlIe est xmrmtrlecneirm

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Et il tourna rue Daunou, pendantque Juliette, de son pas rapide, con-tinuait, toujomes tout droit, dans ladirecte000 de la rue Castiglione, de/a rue de Passif des Tuileriess;

XIII

ltNE VIEILLE CONNAISSANCE

Il y avait ding un moment nue lceonemandmt André attendait sur lalerame, au bord de Peau.

Il se savait d'ailleurs en avance ;et, dans cet espace Mses restreint

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Depuis dix ans je seidfrais terri-blement de rhumatismes dans lesgenoux et susse de maux de reins.Certaines crises étaient plus gravesla dernière m'obligea de rester onan couchée. Piqûres, médicaments,tisanes, etc., rien ne me soulageait.

Lisant continuellement dans lesjournaux les attestations élogieuse,je me décidai à essayer la Potion etle Baume du Chartreux dom Marie,aidés une Oum suivie ponctuelle-ment, je suis radicalement guérie, ily a de cela un an, &Puis, /e melivre aux durs travaux des champset je fais le ménage sans ressentiraucune silloni fatigue.

Ma gnerison a étonné les habitantsde Neuilly-en-Thefie, Inc tout leenon.de croyait bien eme je resteraisinfirme toute me vie et on vient deloin pour nie demander des rensei-gnements.

S'affirme que les seuls médica-ments à qui je dois la fin de dix an-elées de torture ce sont la Patton etle Baume du Chartreux dom Marieet je serais heureuse si mon exemplepouvait servir à tous ceux qui souf-trent.

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s'éten.d entre l'escalier et l'orale-gcrie, Il faisait les cent pas... en.priumenesus., en flâneur indifférentpendant que son mem tentât en tu-multe, à la pensée de sotie 0101f il.lait enfin revoir.

Et, à ce moment, deux peux ar-dents, dent il ne soupçonnait pas levoisinage et l'âpreté, le couvaientconnue ne proie.

Larsqu'll avait tourné mer le quaides Tuileries, pour entrer dans lejardin, il n'avait pas remarqué unhomme apfsuyé parapet...et qui,en Papesses-me, avaet eu un tresse],lement de surprise, en mêmetemps que, dans 1e regard, une lueurde joie farouche.., de joie haineuse.

C'était un personnage grand, mai-gre, très béun, avec des yeux trêsnoirs...

Un type oriental bien accusé, mati,que les fatig.s; l'âge peul-Streles vices hâlé, ridé, par-cheminé... en lui donnant cetteteinte particesliése qu'on remarqueaux individus qui vivent la nuit-

... Qu'on remarque aussi, auraitajouté un noSie,ier expert, auxhabitues des prise..

Quel Age 101'ait-1/ donc ? Queutantems_ claquanle ans I Sa fistule amcusast pres.que d'avantage, mais savigueur, son Stastleité de bête car-postière pouvaient falre crolre à

lbmoins.

était prMentiense-amen plittét qu'élégamment vêtu...et fa coupe dc rIo jantleie Seeribleal

gpiefflismosimmIlleeipshgagainerwassammrallielb

quelque peu hiserse, surtoutperce qu'elle était taillée à l'extrê-me mode , non pas d'aujourd'hui,mais d'hier.

Pourtant, lersqu'il se redressaist,portant Iman, il pouvait 0me1mont, si on n'y regardait pas aveeune certaine attention, faire allusionsur la gêne peed-être la misère

que treillissaient quelques détailsde sa prétentieuse toilette.

Mais le policier expert qui eûtbien regardé aurait constaté tleeelinge était du linge américain, decelai qu on lave avec sa grosse aongles, dans sa cuvette, avait de leremettée au 001 ou aux mn.nches,brillant comme s'il sortait de chesla isLynchisseuse...

Il y aVell Ion Cell dllmere geais-Seene ana borda du dupes.., lepantalon, malgré son pli au fer, fenait poche au genou... l'extrêmiléde /a manche de la januete s'effilo-chait presque, là, par dersière-

Ei le policier amuit conclu ebohème.., otite la redoutable espèce113101,011e « 10 vol s pour trouver,Par dimPorte Miel moyen, l'argentde son souper, 00 1001 gin et de sesvise,

Aussitôt Miel avait aperçu le com-mandant André, aussitôt qu'il aVieiteu se tressaillement de surprise etde joie hainelese, cet homme, lors'

avec des allures debêle cleasseme, s'était mis sur lu

Piste de celui qui devenait de ce 1110.ment un gleier traqué.

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Et on aurait pu l'entendre mur-murer .

C'est Ni, Il a mes peu clamepour que je ne m'y trompe me...

D'aiSleurs cette rosette d'offi-cier de la Légion d'honneur_ oui,lI o.1 e.re e000'nobeo'nnt dabs les1,001s grades...

... Aloi il a fait son chemin, &-Mils T.aoà, aq.ao elsefi ra-mi-gay depuis qu'il m'a fait assas-siner par l'autre l'autre que je n'aijamais pu retrouver-

... Mais le voilà, lie Kerhoel... C'estbien ho, ou alors, c'eut qu'il a un

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... Arlette... Elle doit être morte,celleskt Nulle part.., personne n'apu eue donner de ses nouveles...personne n'a pu settemen me ré-pondre e Ont, Arlette Saphir, 10 0000'ends ce e

... Cl pourtant.., chaque fois tuej'ai remis le pied ici.., ce que j'aiolorrchè, ce que l'ai que, tonne ceque j'ai couru les cabarets de nuits,

mfiend j'avais dos vêlements pro-

frd'erhOers.d..1.7.a.ndladq'utre:jgoVel'te..Il eut un regard pour sa danse

que e

je paye de mine elj'ai encore l'air d'un fêtard, mal ba-billé. Demain, si je ne quitte pasees loques, c'est elles qui me mâte-ront, et je resseenhierai un men-0.1. Avec ça, il me reste deuxlouis... Mente le 011m en os.,, deux

piéces de cent seps Oh I le sais,

,..Eh bien, fibil en fronçant smsourcils noirs, Goal le moment de

était maintenant A demi cachéP00 un arbre de la terrasse on ilestait salive le conemmdant André.

Et tout en le regardant assezintrigué d'edams aller el veau'dans cet étroet espace e

Y a-t-il quelque chose à essayeravec celai-là / Non. Pas moyen doIn faire chanter... Ce que te nni5 delui, c'est trop vieux... Cl puis, tre'est-ce que jr, raconterais 7 C est nem,dans cette affaere-là, qui m éledindon de la farce... Ils m'ont roulecomme un jobard.

...D'ailleurs, est-ce lui que je re-tro-nye ici?.,, Lui ou eue/fente/te quilui ressemble 7

.,Del dirait bien... je bdcrais...mais je ne suis pas sûr...

...Ça vaut-il seulement la peinem'assurer en le suivant... en le

remisaat.., en demandant ensuitesn commette... N n emporte que...ce n'est pas là M. de Enlace ont-ciers. on ancien MEM.; de ma-rine-

-S'admets 000,1 heis. A 01101 0010me sert-il d'avoir MS la semellemes dernières bottines à ie suivre 7...

.Itien à bore avec lui... pas mê-me un coup de raccroc... H n'avaitpas le sou.., il n'a certainement profait fortune... Alors si j'en arrivelà... c'est ailleurs, c'est à une antre

bourse poil tant donner la poêlé-

...Je perds ici mon tempg..#E,110, rse,dirsa pour gagner roma-

lier qui conduit à la terrasse...Mais avec un cri étendre, il se blot-

tit â nouveau derrière l'arbre 0111 ledissimulait,

gronda-bit entre sesdents, non, je ne le pends Pas

venait de voir, gravissant ceteseafies une Femme

Ah I il la recomissait

Et s'il eût douté encore de la fidlité de sa minidaire, il n'hésitait latatFmaintenant.

L'homme décoré de la resttle LIVla Légion d'honneur l'avait anselaperçue, celle qui arrivait...

Aussitôt, il avait aooêléré sonc'est premue en courant...

avec un élan de jeunesse... avec oacri d'amour qu'il était allé à etc.Ms mains tendues en l'eMPelttaSellette.

(A mime./

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Talaiétfe.80CIALISTEI&r

En paseal 8 DARFICAll

aledeterediralq-e-s-Em.miumulugraiitom izrz.E.1 .T2 illiZEMEM;13-31,1-muirrliiimaa mr:Icalk-rmurgraursemwershuseds,_v_.,7.Era

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