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Le Vérone,Nouveau Bâtiment vente-privee

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Le Vérone,

SOMMAIRE 4 Le Vérone célèbre le mariage de l’architecture avec le digital 4 Le Vérone, une histoire d’Hommes 6 L’art au centre de la Cité 6 vente-privee en Seine-Saint-Denis 8 L’incarnation de la marque vente-privee :

ancrer le virtuel dans le réel 10 La mise en chantier 12 La réalisation de l’immeuble Le Vérone,

« un bâtiment icône » 14 Description :

Le parvis / Le socle de l’immeuble / La façade est / La façade sud / La façade ouest Des aménagements paysagers

16 Mobilier intérieur 18 Bluebus 20 & 21 Biographies : Jacques-Antoine Granjon & Jean-Michel Wilmotte

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Le Vérone, 4

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A Saint-Denis, face au Stade de France et bordant les quais de Seine, une œuvre monumentale inédite fait son entrée dans le paysage urbain parisien : la façade artistique du nouvel édifice de vente-privee, Le Vérone, signée Pucci De Rossi, célèbre designer et plasticien italien disparu en juillet 2013.

Tel un phare aux portes de la capitale qui accueille ses visiteurs, Le Vérone, réhabilité par l’architecte Jean-Michel Wilmotte, se singularise par sa résille en béton fibré constellée de 1950 points lumineux (LEDs) et parée d’un écran haute définition de 102 mètres carrés, le plus grand d’Europe. Installation pérenne, ce support de créations numériques et artistiques se situe dans un cône de visibilité exceptionnel pour les riverains et les centaines de milliers d’automobilistes qui pourront découvrir de nuit comme de jour, depuis les axes autoroutiers situés à proximité, cette véritable œuvre vivante, pensée pour s’intégrer parfaitement à son environnement.

Les jeux de lumière qui animent les contours de la matière noble, l’écran, et la profondeur donnée par la dentelle, sont une invitation à la discussion, un hymne à l’art et à la création aux portes de la capitale.

Le Vérone célèbre le mariage de l’architecture avec le digital

Baptisé Le Vérone en hommage à Pucci De Rossi, né dans cette célèbre ville de Vénétie, son nom fait aussi écho aux circonstances de cette ultime création. La veille de sa disparition, l’artiste ajustait les détails de cette ornementation de façade à la demande de son ami, Jacques-Antoine Granjon, PDG et fondateur de vente-privee. Ce projet témoigne du lien d’amitié qui unissait les deux hommes depuis leur première rencontre au Salon de Mars en 1990. De la chaise Luis Luis au portemanteau Rollingheads, ce sculpteur d’idées et de matières n’a cessé de transmuer les objets du quotidien avec humour. Les œuvres de Pucci De Rossi tiennent une place importante dans les locaux historiques de vente-privee.

Le Vérone, une histoire d’Hommes

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Le Vérone, 6

Présent en Seine-Saint-Denis depuis 1988 avec les entrepôts de sa première société de déstockage, Jacques-Antoine Granjon et ses associés font partie des entrepreneurs pionniers qui ont insufflé la dynamique économique sur ce territoire devenu, comme il le rappelle, « Un laboratoire expérimental où fleurissent les entreprises innovantes de demain ». Pour lui, l’entreprise permet « la création de valeur économique mais aussi sociale sur le territoire où elle est implantée, et doit s’inscrire dans son écosystème ». Une idée qu’il porte depuis l’origine, lorsqu’à la recherche d’un lieu proche de Paris, situé dans une grande artère et accessible facilement, il voit en ce département, à l’époque à l’état de friche industrielle, un territoire à explorer, pour les entreprises, mais aussi pour les architectes et les artistes.

En 1996, il rachète les anciennes imprimeries du journal Le Monde pour y installer sa société d’alors, qui deviendra en 2001 le siège de vente-privee. Depuis, l’entreprise n’a cessé d’investir sur le territoire pour accompagner sa croissance : elle compte aujourd’hui 5 bâtiments en Seine-Saint-Denis et emploie 338 collaborateurs issus du département. Le Vérone devient le 6e et dernier site en date de vente-privee sur le territoire.

vente-privee en Seine-Saint-Denis

Depuis l’origine, le fondateur de vente-privee porte l’idée de l’art au centre de la Cité, et dispose des espaces offerts de l’entreprise qui lui permettent d’exposer des œuvres monumentales au regard de tous. La poésie résonne également au sein de l’entreprise où les 2 800 collaborateurs évoluent dans un cadre de travail inédit au milieu d’œuvres d’art contemporain, qui décadrent les esprits et insufflent la culture de la création dans la vie de l’entreprise. « Le Vérone », paré d’une résille représentant la calligraphie insoupçonnable des initiales de vente-privee, VP.com, en est l’ultime incarnation. Les œuvres contemplatives projetées sur l’écran et l’animation des 1950 LEDs de la résille, seront vues journellement par les riverains et automobilistes circulant notamment sur cet axe majeur menant à l’aéroport Charles de Gaulle et au Parc des Expositions de Villepinte.

L’art au centre de la Cité

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Le Vérone, 8

Situé face au Stade de France dans l’axe de l’autoroute du Nord, ce bâtiment est unique par sa situation géographique. Une tour tripode de neuf étages jouissant de l’une des plus belles visibilités d’Europe : une cimaise géante à ciel ouvert exposée à plus de 350 000 véhicules par jour. A l’instar de l’entrepôt historique de vente-privee au Blanc-Mesnil, en bordure de l’autoroute A1, où trône l’œuvre de David Mach (It Takes Two), deux sumos portant un container rose, de l’installation d’un entrepôt dédié au vin et à la gastronomie en bordure de l’A6 à Beaune, ou encore du rachat de théâtres parisiens, vente-privee s’incarne dans le réel à travers des représentations fortes qui créent un lien émotionnel avec le grand public. En résonance, c’est un moyen de projeter l’identité de l’entreprise, dont la créativité fait partie intégrante.

L’incarnation de la marque vente-privee : ancrer le virtuel dans le réel

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Le Vérone, 10

Des attaches dans la région marseillaise et admiratif du Mucem – une œuvre architecturale qui fait la nouvelle aura de la Cité Phocéenne – le fondateur de vente-privee a eu l’idée d’habiller la Tour tripode d’un voile de béton interprétant fidèlement le dessin original de Pucci De Rossi. En 2014, il se met en quête d’un maître d’œuvre aguerri pour rénover les 9 600 mètres carrés de cet immeuble de bureaux, et suffisamment humble pour accepter le travail dans le respect de l’œuvre de l’artiste ayant imaginé cette façade.

A la faveur d’une rencontre avec Jean-Michel Wilmotte, le PDG de vente-privee évoque ce projet auquel il demeure très attaché. Membre de l’Académie des Beaux-Arts ayant su faire de son métier une expression de la culture, l’architecte et urbaniste comprend qu’il s’agit d’une commande particulière comme il en existe peu : perpétuer la mémoire d’un artiste à travers sa dernière création. La réponse de Jean-Michel Wilmotte est aussi simple qu’évidente : « Réalisons ce projet ensemble ».

La mise en chantier

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Le Vérone, 12

La Tour tripode est un vestige de l’urbanisme des années 1980, très en vogue à l’époque, aujourd’hui obsolète. Le défi est à la hauteur des enjeux (cf. dossier en annexe) comme l’explique Jean-Michel Wilmotte : « La rénovation de la tour Le Vérone a permis de transformer cet immeuble à fort potentiel en un bâtiment icône dans le quartier, un point de repère social et visuel qui renforce la notion d’identité et d’appartenance à la commune de Saint-Denis ».

La partition architecturale qu’il engage nécessite la protection de la structure tout en optimisant les surfaces. In fine, le noyau central est réhabilité, les plateaux conservés et les cloisons retirées. Entre le rez-de-chaussée et le premier étage, le béton est découpé à la scie de diamant dans le but d’offrir un volume plus important au hall d’entrée, où sont exposés une banque d’accueil dessinée par Ron Arad, des tableaux ainsi que des luminaires spectaculaires, complétant le caractère artistique du bâtiment.

De nombreux objets dessinés par l’Agence Wilmotte font partie intégrante du projet, notamment des luminaires : les spots Insolit, 544 suspensions « Grafa » éditions Artemide (installées pour la première fois dans un bâtiment, réalisées en production spéciale, en couleur noire) ou encore les éclairages encastrés « Linealuce » éditions iGuzzini et les lampadaires « Aloa » édités chez EClatec.

Les aménagements des espaces intérieurs font appel à des matériaux évoquant une ambiance industrielle : béton (brut ou enduit) au sol et au mur, enduit noir mat et acoustique au plafond, inox brossé et habillage en bois.

La réalisation de l’immeuble Le Vérone, « un bâtiment icône »

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Le Vérone, 14

Le parvis : il est agrandi afin d’installer une statue monumentale de 4 mètres de hauteur « Le Cyclope », une sculpture en bronze noir de l’artiste Thomas Houseago qui « monte la garde » de l’entrée principale. Devant l’entrée secondaire, un palmier noir en caoutchouc de 7 mètres de hauteur, « Le Black Palm Saint-Tropez » de l’artiste Douglas White, s’intègre parfaitement au caractère plus minéral et sobre de la façade ouest.

Le socle de l’immeuble : il est aménagé en cours anglaises grâce à des douves creusées autour du socle de l’immeuble de manière à faire entrer généreusement la lumière dans les espaces intérieurs nouvellement créés du restaurant, de la cafétéria et de la salle de sports (niveau patio, R – 1).

La façade est : la plus visible, elle est réalisée dans une résille en béton fibré ultra-haute performance (BFUP, 42 tonnes), une seconde peau rapportée à un mètre de distance de l’existant dont le motif interprète le dessin de Pucci De Rossi. A la demande de l’ABF (Architecte des Bâtiments de France), la résille devait être apposée telle une sculpture, raison pour laquelle sa taille n’épouse pas exactement la façade originelle de l’immeuble. Sa conception est confiée au bureau d’études Guillaume Lamoureux et Romain Ricciotti, ces ingénieurs composant 87 modules sur-mesure fixés par des bracons métalliques. Cet élément architectural renforce l’identité du bâtiment, véritable phare aux portes de Paris, sur lequel sont « accrochés » des événements poétiques. Le système d’éclairage intelligent, basse consommation, incorpore 1950 points lumineux (LEDs) et permet d’éclairer la résille ou de l’animer numériquement. Un écran haute-définition, le plus grand d’Europe, est également intégré à la façade, support de 102 mètres carrés sur lequel seront projetées des œuvres artistiques qui distillent de la poésie.

La façade sud : elle est également « pensée comme un totem ». Pour la première fois, des panneaux photovoltaïques ont été fabriqués dans une teinte spécifique de couleur or. Ces cellules intégrées sur 307 mètres carrés optimiseront l’efficacité énergétique de l’immeuble en permettant la protection solaire des vitrages existants et généreront l’autosuffisance énergétique de la résille et de l’écran. L’effet cuivré sous les rayons du soleil habille cette façade arrière de l’édifice.

La façade ouest : dans le respect de l’esthétique originelle, la tour s’habille de cassettes métalliques thermolaquées noir-gris anthracite. Ce dispositif s’ajoute au complexe d’isolation thermique extérieure performant.

DESCRIPTION Des aménagements paysagers pensés par Neveux Rouyer Paysagistes accompagnent « Le Vérone » en donnant clarté et simplicité formelle à son assise grâce à un environnement végétal varié comptant plus de 30 essences. En clin d’œil au secteur d’activité de vente-privee, créateur du modèle de la vente événementielle en ligne, le jardin suspendu planté de cerisiers du Japon renvoie une image rythmée par les saisons. Le rose tyrien des pétales sera un rappel de la couleur phare de vente-privee.

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« A partir du projet architectural, il m’a été demandé de présenter des produits, avec en toile de fond l’œil esthète de Jacques-Antoine Granjon qui préfère à l’uniformité les meubles modulables, les ruptures de style, les matières riches et nobles », explique Dominique Choay, PDG d’Etat de siège qui accompagne depuis de longues années vente-privee. Le mobilier de l’immeuble Le Vérone ne déroge pas aux habitudes de l’entreprise : selon l’identité d’un espace de travail, son usage, ses occupants, des atmosphères spécifiques sont imaginées mettant à l’honneur l’esthétisme et le confort réunis dans un design léché. vente-privee a choisi des maisons classiques et renommées et des designers pointus tels que Christophe Pillet pour la chaise Meridiana, Bill Stumpf et Ron Chadwick qui ont imaginé ensemble l’emblématique Aeron (premier siège de travail ergonomique) ; ou encore Robbie & Francesca Cantarutti auteurs de l’aérienne chaise d’extérieur Forest. Pour parfaire ce décor, des meubles sur mesure ont été réalisés, notamment les tables du restaurant (chêne massif aux nœuds apparents sur base acier) et leurs banquettes à l’américaine mais dossiers bas. Et pour répondre au souhait de donner un esprit industriel aux tables des salles de réunion, Etat de siège a fait réaliser sept tables en noyer ou chêne massif dont les planches extérieures restent bordées par l’écorce de l’arbre, pièces uniques pouvant réunir jusqu’à dix collaborateurs voire plus pour la plus grande. Même les tables de visio-conférence situées dans des espaces étroits ont été créées spécifiquement en demi-lune.

MOBILIER INTÉRIEUR

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Des navettes électriques au service des collaborateursL’ouverture de l’immeuble Le Vérone, le 6e bâtiment de vente-privee à la Plaine-Saint-Denis, a fait l’objet d’une réflexion au sein de l’entreprise, notamment à propos de la mobilité des collaborateurs intersites et vers les réseaux de transports en commun. Pour la première fois, vente-privee s’est associé à Bluebus (Groupe Bolloré) qui fournit des minibus 100 % électriques « made in France » pensés aux couleurs de l’entreprise. Ces véhicules assurent matin et soir les déplacements entre Le Vérone et les lignes B et D du RER.

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Jacques-Antoine Granjon, PDG et fondateur de vente-priveeEntrepreneur dans l’âme, Jacques-Antoine Granjon fonde dès 1985, sa première société Cofotex S.A., spécialisée dans la vente en gros de fins de séries. En 2000, il voit dans Internet « la possibilité de faire entrer le monde entier dans une boutique virtuelle présentant des catalogues numériques ». Jacques-Antoine Granjon imagine alors un concept totalement innovant : une plate-forme web dédiée à la vente évènementielle de produits de marque.

C’est ainsi qu’en janvier 2001, Jacques-Antoine Granjon et ses 7 associés lancent en France vente-privee.com, alors que l’e-commerce démarrait à peine en Europe. Il va ainsi transposer sur Internet son expérience du déstockage de fins de séries de grandes marques de la mode et de la maison en misant sur un double concept : l’événement et l’exclusivité, tout en plaçant la satisfaction du client au centre de son dispositif. Une stratégie « consumer-centric » qui permet à vente-privee de remporter tous les prix du « Service client de l’année » dans sa catégorie depuis sept années consécutives.

Ce n’est qu’à partir de 2004, lorsque le taux d’équipement des ménages en ADSL s’est développé, que s’est réellement dessiné le succès qu’allait devenir le site. Aujourd’hui vente-privee compte 30 millions de membres à travers 8 pays européens, emploie plus de 2 800 collaborateurs et a réalisé en 2014 un chiffres d’affaires de 1,7 milliard d’euros.

En 2011, Jacques-Antoine Granjon lance l’Ecole européenne des métiers de l’Internet (EEMI) avec Xavier Niel (Free) et Marc Simoncini (Meetic), établissement qui forme ses étudiants à l’e-business et l’e-commerce. En 2013, avec les mêmes protagonistes, il soutient #101projets : 101 projets de startup les dotant chacune de 25 000 euros. Passionné d’art contemporain, il est nommé en 2012 Président du Conseil d’Administration du Palais de Tokyo. Collectionneur éclairé et mécène, la culture est son terrain d’expérimentation.

Le Vérone est la seconde intervention artistique de vente-privee dans le 93. En bordure de l’autoroute A1, au Blanc Mesnil, juste devant la plateforme logistique de vente-privee, Jacques-Antoine Granjon a déjà installé l’une de ses œuvres : le tango de sumos portant un container rose (It Takes Two), une œuvre signée de l’artiste David Mach. Spécialement peinte en rose à son initiative (la couleur phare de la société), elle avait fait l’événement lors de la FIAC en 2006.

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Jean-Michel Wilmotte, ArchitecteArchitecte, urbaniste, designer, et membre de l’Académie des Beaux-Arts, Jean-Michel Wilmotte fonde son agence à Paris en 1975. L’agence Wilmotte & Associés est aujourd’hui implantée en France, au Royaume-Uni, en Italie, en Corée du Sud et au Brésil. Elle intervient sur tous types de programmes, et traite toutes les échelles de projets.

L’agence Wilmotte & Associés fédère aujourd’hui 220 collaborateurs et a développé une expertise dans cinq domaines : l’architecture, l’architecture d’intérieur, la muséographie, l’urbanisme et le design. Au fil des années, Jean-Michel Wilmotte a su faire de son métier un art et une expression de la culture avec un rayonnement international.

Parmi ses réalisations significatives, l’agence a notamment rénové à Paris le Collège de France (2004) et le Palais de la Mutualité (2012). Elle a également livré l’Institut du Cerveau et de la Moelle épinière à Paris (2010), le centre culturel de Daejeon à Séoul (2015), le stade Allianz Riviera à Nice (2014), des bureaux pour le géant Google à King’s Cross, Londres (2015), ou encore le Centre de Gestion Sportive Ferrari en Italie (2015). Jean-Michel Wilmotte s’est aussi affirmé comme concepteur urbain en dessinant des schémas directeurs et des aménagements urbains et paysagers, comme la réflexion sur le développement du Grand Moscou, ou dernièrement un parc écologique à Bakou dans le cadre des premiers Jeux Européens (2015). L’agence Wilmotte & Associés a par ailleurs développé une expertise dans le domaine de la muséographie en concevant des projets pour d’importantes institutions, parmi lesquelles le Musée du Louvre (1987-2006) et le Musée d’Orsay à Paris (2011), le Musée d’Art islamique à Doha (2008), ou encore le Rijksmuseum à Amsterdam (2013).

Actuellement, l’agence travaille sur plus de 150 projets dans 24 pays : le Centre Spirituel et Culturel Orthodoxe Russe, la réhabilitation de l’hôtel Lutetia, le réaménagement de la Halle Freyssinet destinée à devenir la vitrine parisienne du numérique, des bâtiments tertiaires sur le nouveau site du Ministère de la Défense (Paris), l’Université européenne de Saint-Pétersbourg, un parc des expositions et de convention à Sao-Paulo au Brésil, le Mémorial de l’esclavage au Congo…

En 2005, Jean-Michel Wilmotte crée la Fondation d’entreprise Wilmotte dans le but de sensibiliser les jeunes architectes aux problématiques de réhabilitation du bâti ancien, avec les technologies d’aujourd’hui. Par le biais du Prix W, elle propose tous les deux ans aux étudiants et jeunes diplômés en architecture de réfléchir à la reconversion de sites historiques.

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CONTACTS PRESSE

vente-priveeAgence Self Image / Sylvie Poillevé / spoilleve@selfimage.fr / + 33 (0)6 69 46 59 24

Design et Home Living – Architecture & UrbanismeAgence 14 septembre / 158 ter rue du temple 75003 Paris / 01 55 28 38 28Design & Home Living / Émilie Reboul / emiliereboul@14septembre.fr / +33 (0)6 11 34 18 16Architecture & Urbanisme / Guillaume Ackel / guillaumeackel@14septembre.fr / +33 (0)6 12 29 58 58