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Numéro 10 — Samedi 7 Mars 1925. 5 Centimes Quatre-vingt-douzième année. Feuille Politique, Agricole, Commerciale, Industrielle, Scientifique, littéraire et d'Annonces CHEMINS DE FER. — Paris-Cherbourg : Départ de Valognes : 4 h. 21 m. (expr.) ; 8 h. 33 m. ; 10 h. 40 m. ; 2 h. 24 s. (expr.) ; 5 h. 31 s. ; 10 h. 30 s. Cherbourg-Paris. — Départ do Valognes : 6 h. 38 m. (expr.) (semaine seu- lement jusqu’au 28 mars inclus) ; 7 h. 16 m. ; 10 h. 40 m. (expr.) ; midi 17 ; 5 h. 17 s. (expr): 6 h 23 s.; 8 h. 42s. (expr.). Valognes {ville) Bar/leur. — Départ de Valognes-Ville : 8 h. 22 matin ; 10 h. 36 m. (le vendredi, jusqu’à S'-Martin).); 0 h. 48 s.; 6 h. 39 s. (jusqu’à S‘- Martin. — Bar/leur-Valognes (ville). — Arrivée à Valognes-Ville : 7 h. 36 m. de S‘-Martin) ; 8 h. 04 m. ; 3 h. 19 s. (le vendredi, do S‘-Martin) ; 5 h. 46 s. REDACTION et ADMINISTRATION: 25, rue Carnot, VALOGNES Le JOURNAL DE VALO&NES paraît le Samedi Les manuscrits non insérés ue sont pas rendus\ i * Les lettres et mandats concernant la rédaction et l’administration doivent être adressés à M le Directeur du Journal de Valôanes. ABONNEMENTS Ville : 3 fr. 50; Manche et limitrophes : 4 fr. ; autres départements : 4 tr. 50. Le. prix de l'abonnement se paye d’avance. Les recmvremenls se foui en Décembre. ANNONCES judiciaires, la ligne 1fr. 25 ; Diverses 0 fr. 40 ; Réclames 0 fr. 60; Locales 0 fr. 75 Les annonces sont reçues aux Bureaux du Journal, jusqu'au Jeudi soir. — Jonrnal légalisé : 0 fr. 50 — Registre du Commerce, Valogties, n° 288 — Chèques Postaux : Paris, 45, rue Saint-Roch, C. C. 23194 — ORGANISATION DE LA DEFENSE RELIGIEUSE Réunion du 15 Mars 1925, à VALOGNES Catholiques de l’Arrondissement de Valognes, Vous ôtes insLunment priés de venir assister aux CONFÉRENCES qui seront données sous la présidence de M. Edouard Lecarpextier, ancien bâtonnier du Barreau de Cherbourg, IM m niictie 1S* M ars 1 à 14 heures 30 Dans la Garage de l’Hôtel du Louvre, rue des Religieuses. Les questions traitées seront les suivantes : 1» LA QUESTION DE L’AMBASSADE DU VATICAN, par M. Camille HLAISOT, Député du Calvados ; 2" LES REVENDICATIONS CATHOLIQUES, par RI. VALLAT, ancien député do l’Ardèche, grand mutilé de guerre. Le Comité provisoire de DKFENSID RELIGIEUSE compte sur vous. Devant les menaces du socialisme qui gouverne et du communisme qui monte, il n'est: que temps do s'unir pour la défense de nos droits et de nos libertés les plus chères. Déjà, en un grand nombre de villes de France, des réunions de milliers de Catholiques ont ou lieu dans le but exclusif d'organiser les forces ................................... 1 ' religieux, en dehors de défendre la cuire, la Propriété que l’on veut supprimer. C’est TEglise qui est la gardienne séculaire do la Famille, c'est ello aussi qui, depuis vingt siècles, a su défendre et protéger la Propriété privée. Catholiques, sachez donc vous unir, vous organiser pour défendre vos droits de catholiques, la sécurité de vos foyers et do vos biens justement acquis par des années d'un dur travail. Le 11 Décembre dernier, la Ville de Cou tances, réunissait 3.000 électeurs, le 11 Janvier, l'Avranchin amenait 5.000 électeurs, le 1“' février, Mortain fournis- sait lui aussi plus de 5.000 électeurs venus manifester leur volonté de se grouper pour les légitimes revendications de tous ces droits. Catholiques de l'arrondissement de Valognes, vous avez rendez-vous à VALOGNES, pour soutenir la même cause . Vous no le céderez en rien aux Cqutançais, aux Avranchinais, aux Mortainais. Vous serez aussi nombreux, aussi disciplines, aussi résolus. . . . . ,. . . . , Seuls les Hommes et les Jeunes Gens sont invités à cette réunion ; ils devront être porteurs d'une carte nominative d'invitation qu’ils auront à taire vérifier au contrôle de l’entrée. Les cartes d'invitation, rigoureusement personnelles, ont été adressées cette semaine. Si quelques catholiques avaient été omis qu'ils veuillent bien excuser cet oubli et réclamer une carte au presbytère. llUUlUr» UU WHIlDmiUOS Ulll UU UOU Utl/llO IY7 u n i vnvxjmo.i v* -,. *.... catholiques, sous la direction des Invoques et sur le terrain religiei do toute considération d’ordre politique. Il s'agit, en effet, cl< Religion que i on veut abattre, la Famille que l'on cherche a détruit PATIENCE !... Ci'édults électeurs du Cartel des Gauches, ôtes-vohs contents do vos élus ? Vous ont-ils tenu leurs fallacieuses pro - messes ? Avec eux ot par oux, ce devait être la cherté de la vie sans délai disparue. Succès complet n’est ce pas ?... Depuis h ur avènement, c’est l’fxistence devenue impossib’o pour certains ; la gène chaque jour, croissante pour beaucoup ; un calcul quotidien de plus en’ plus ardu pour tous. Avec eux encore et par eux, la crue linan- ciôre allait è re conjurée. Par un remanie- ment complet des budgets, recettes et dé- penses allaient être équilibrées. CD devait être, d'une part, la diminution assurée des Impôts, et partant le contri- buable à l'abri désormais des inquisitions fiscales et libéré à jamais de toutes nouvel- les contributions. D’au'M p u‘t, a i d iv ht ô“ra la relève- ment du franc, et, pelant le rétablissement de notre crédit nation al. Itératif succès plus complet que le précé- dent, je vous 11 coiicè le aisém mt 1... La prosse no nous dit-elle pas, en effet, qu’en ce moment vos élus votent fébrile- ment une loi de finances, faite de SCO a r ti- cles où, piétinant cyniquement notre code et ses lois, ils donnent a l'inquisition pleine liberté pour l’exercice do ses caprices, et où ils instaurent une longue série de nouveaux impôts. C’est réussi ! Si voua notes plus con'ents tant pis I... Mais, par ailleurs, les errements de voire Cartel, de nouveau parti m guerie contre les catholiques, laissant libre cours aux théories et propagandes antireligieuses, les favorisant même jusqu'à tremper en quel- que sorte ses mains dans le sang, vous four- nissent peut être ample compensation ? Si oui : 4e vous plains. Mais patience !... les catholiques n'ont pas fait la guerre pour tout subir mainte- nant. Informations ifclf Fit. Les Seotairos confondus * 39 Religieux ont été injustement rayés de la liste électorale. Le Juge de Paix tes fait réintégrer. La Presse a signalé le cas de cos 39 Béné- dictins de Dourgne qui avaient été pureau nt et simplement rayés de la liste électorale par les tyranneaux anticléricaux do la Com- mune de Dourgne, qui détenaient la majo- rité à la Commission de révision do la liste électorale. Cos « tyranneaux » donnaient comme raison qu’ils ne connaissaient pas les reli- gieux et qu’ils ne pouvaient contiôler leur Identité. La « Ligue des Droits du Religieux Ancien Combattant » protesta aussitôt énergique- ment contre cette injustice nouvelle. Les Bénédictins eux mômes portèrent leur cause devant le Juge de Paix qui rendit un juge- ment annulant la décision arbitraire du maire anticlérical. Conclusion : Les eatholiqiioo ne doivent pet dre aucune occasion de résister à la persécution et ils doivent retenir que l’anti- cléricalisme, si mielleux qu’il soit, dans la haute sphère, ne manque pas de produire dans le peuple des effets odieux, ridicules ou brutaux dont les massacres de Marseille et ces radiations no sont que do trop beaux exemples,... pris hélas ! entre mille. L’initiative de la Bonne Presse permettra aux Catholiques de trouver à foison les éléments nécessaires pour répondre aux insinuations aussi perlides que mensongè- res des sectaires E chos Pour la. Ilbartâ. cathollqua. A Nantes, 80.000 hoinmos ; à Lavai, 25.000 ; des milliers à NimeB, à Perpignan el on d’aulres assemblées locales onl fail du l ' r mars un gran- diose plébiscile en favour des libertés catholi- ques. Partout, lo peuple français réclame l’abro- gatiou des lois de persécution. Lai chambra a voté la budgat Le « monslre », nom que reçoit déjà partout le not-dieanl budget sorti de la collaboration inco- hérente du carlel des gauches el du gouverne- ment, son esclave, a enlln vu le jour. Pour la première fois depuis cinquante ans, l'opposition tout entière a refusé de voter l'ensemble d'une loi de llnanoes qui, selon un moitié M . <Otampelier do Pubos, no constitue pas le budget de la Fran- ce, mais lo budget du carlel. Ce bloo de dispositions informes et tyranniques désorganisent nos tlnances publiques, troublent l'économie nationale el ruinent certains des plus mporlants prinoipos du Code civil. La ravltalllamant an pain Sur le rappori de M. Donou, la Commission fônaloriale de l'agricullure s’est prononcée pour le recensement des disponibilités appartenant aux agriculteurs récoltants, déduction faite des quantités nécessaires à la consommation fami- liale. La Commission a, d’autre part, accepté 1in- terdiction de l'emploi de la farine de froment pour la pâtisserie fraîche, la formoture des boulangeries uu jour par semaiue el la fabrica- tion des pâles alimentaires avec des farines de blé dur. Pour los portaura da fonda ruaaaa M. Ilorriol a soumis à la signalure du président do la République un décret créaut un Comité consultatif qui assistera l'Oflice des biens et inlé- s privés pour la représentation des porteurs de fonds russes auprès do plénipotentiaires chargés do poursuivre des négociations avec le gouverne- ment russe. L’haura «Télé commancaralf la 28 mara Les Belges demandaient, en raison notamment des horaires des trains, à è re d'accord avec la France en ce qui concerne le changement d'heure. U est arrêté, dès à présent, que l’heure d'éte sera appliquée le même jour en France et en Belgique. G'esi, parait-il, la date du 28 mars qui sera adoptée pour sa mise en vigueur. Il tel probable que l’Angleterre acceptera la même date. Lo prialdonl Eborf oaf mort Le président du Rolch, M. Eberl, est Le Livre d’Or du Clergé et des Congrégations vient de paraître Sous lo titre La Preuve du Sang, la Bon- ne Presse, 5, ru o B m rd , Paris, 8e, vient d’éditer le Livre d’Or du Clergé et des Congrégations. A ceux qui prétendent n’avoir jamais vu un prôtre dans la tranchée, il est bon de rappeler sans cesse la vérité, savoir : Prê- tres ot Religieux ont largement payé l’im- pôt du sang à la Patrie et magmttquement rempli leurs devoirs de citoyens-soldats. décédé samedi malin. Merlin lui a fait morcredi de grandioses funé- railles. C’esl le 29 mars qu’aura lieu la première consul- talion nationale pour l’éleclion de son succes- seur. Les nouvallis coupure* da OOO al da 1.000 francs Le peintre Emile Friant, membre de l’Inslilul, f H’ofesseur à l'Ecole naliouale des beaux-arts de >aris, a été chargé par l'Eial d'exécuter les nou- veaux bilUls de banque de 500 francs el de 1.000 francs. C’est dans son atelier nancéen du quai Ligier-Richer que le maîire a conçu et réalisé les tableaux qui illustreront les nouvelles grosses coupures. Las augmanlatlana daa tarifa postaux Voici les relèvements de tarifs poslaux qui onl été volés par la Chambre : Pour les lettres et papiers clos : de 20 à 50 grammes : 0 fr. 50 au lieu de 0 fr. 45 ; de 50 à 100 grammes : 0 fr. 75 au lieu de 0 fr. 00. Pneumatiques : jusqu'à 7 grammes : 1 fr, ; de 7 à 15 grammes : 1 fr. 50 ; de 15 à 80 grammes : 2 fr. 50. Le tarif d’affranchissement des imprimés affran- chis en numéraires jusqu’à 20 grammes : 0 fr. 05 au lieu de 0 fr. 04 ; celui des imprimés ordinaires est porté jusqu'à 50 grammes à 0 fr. 10 au lieu de 0 fr. 05. Le droit fixe de recommandation est porté : pour les lettres, paquets clos, caries postales ordinaires ot envois de valeurs déclarées : de 0 fr. 00 à 0 fr. 75 ; pour les objets affranchis à prix réduit, les enveloppes do valeur à recouvrer: de ü fr. 40 à 0 fr. 50. Lo droit fixe et uniforme sur les chèques postaux oat transformé en droit progressif de 0 fr. 10 pour mille, aveo minimum do perception de 0 fr. 25. Recommandations importantes aux abonnés au téléphone L Administration des P. T. T. mat les aboi - nés au Téléphoné, en garde, d'une part contre les agissements do prétendus inventeurs qui leur olh'cnt de muuir les récepteurs de leur installa- tion téléphonique d'appareils rudimentaires, qu'ils dénomment abusivement « Amp locateurs » d'autre part, entre la publicité faite autour de Certains dispositifs destinés à éviter le contact direct des récepteurs et de l oreille. Les premiers de ces appareils, bien que vendus à un prix relativement elevé, consistent, le plus souvent , en une simple rondelle métallique, gros- sièrement façonnée et sm s valeur. Loin d'amélio- rer l'audition, ils affaiblissent, on qôuéral, l efficacité dos récepteurs téléphoniques. Ils n'ont rien de commun avec les véritables amplifica- teurs, la plupart du tempt à lampe, qui sout des appareils étudiés et conlruits scientifiquement et installés seulement par des électriciens spécia- listes. Les seconds, qui doivent, au dire des veilleurs , préserver l'oreille contre les contacts malsains, clou (1er les bruits extérieurs et augmenter la puissance des récepteurs, n'ont pas. eu général, les qualités qui leur sont p> Citées et uuiseut p>'es q c toujours à l'audition c les conversations télé- phoniques. L'emploi de ces divers appareils dans les postes d'abouiiement est rigoureusement interdit. Il est i nstammcui recommande aux abonnés, dans leur propre intérêt, de ue faire I acqu smon d appareils quelconques destinés à être, adjoint à leurs postes téléphoniques qu'après s'être reusei - gués auprès des Directeurs départementaux des T .T. T. sur les aoparcils dont l'installation est autorisée dans les réseaux téléphoniques u!r 1 Etal. Il leur est, en outie, rappelé que, sel >u les dispositions de l'article 67 de la loi du 22 mars 1924, il est interdit, sous peine d'une amende de ôUU fraucs, do modifier en quoi que ce soit les installations téléphoniques des r -seaux de l'Etal, sans autorisation préalablo de la Direction depar terne n talc des Postes et Télégraphes, et que les détériorations résultant de Ira ns formations irré- gulières sout à la charge des abonués. Services Télégraphiques et Téléphoniques Les services télégraphiques et téléphoniques sont ouverts à : Monlviron , Saint ■ Jtüin - du Corail, Saiut-Genniin lo Gaillard, Ouville et M outpinchoü. Retrait des diverses monnaies d’argent belges Les monnaies belges d'argent de 0 fraucs à l'effigie do Léopold Ier et de Léopold IL portaut un millésime antérieur à ItiGS, ainsi que ies monnaies belges d'argent de 2 fraucs, i frauc et 0 fr. 50 à l'effigie de Léopold II, cesseront d'avoir cours en France à partir du 1er avril 1925. jusqu'au SI mars 1925, ces pièces seront reçues on payement à toutes les caisses publiques ; elles seront, en outre, remboursées pour leur valeur uominale aux caisses des trésoriers payeurs généraux, des receveurs particuliers, des percep- teurs, dans les succursales et bureaux auxiliaires de la Banque de France, ainsi que daus tous les bureaux de poste. La Révision des tarifs de transports Le Conseil supérieur des chemins de fer a pris connaissance du rapport concernant l'étude géné- rale demandée par le miuistre des travaux pu- blics à la suite des réclamations s. ulevees contre les derniers relèvements de frais accessoires. Après une discussion a/iprofondie, le Conseil supérieur a approuvé des atténuations importan- tes. Les nouveaux taux de frais de gare pour les courtes distaucos dépasserout à peine les taux de 1924 c'est-à-dire les chiffres appliqués avant toute majoration. Pour les au tics fiais acccssoii es, le Conseil a réduit à 50 0/0 l'augmentation de ICO 0/0 qui avait clé mise en vigueur le 1er janvier dernier. ! loutcfois , en ce qui concerne le droit d'euiegis- tremeut des bagages, les taxes nues oui etc cal- culées eu vuo de donner, majoration, impôt et timbre compiis. uue perception lo ale de (J fr. 75 pour les bicyclettes et voitures d’enfants et de 1 liane pour les autres bagages. Afin de combler Je déficit résultant pour les budgets des réseaux de ces abaissements de taxes, lo Conseil supérieur a approuvé inc majoration géuèrale de 10 f,omis sur tous les tarifs de mar cbaudiscs, à I exception de celles déjà exemptées en decembie 1924, ce qui représente une augmeu talion de 0.45 0/0 des tarifs actuels. Ces modifications qui ne sout que temporaires vont entrer en vigueur dès qu'elles auront ete approuves par le ministre des travaux publics. Nouvelles Militaires Los parmlaalonn agrloolaa da printampa Lo général Nollel, miniglro do la guerre, vient d’adresser aux autorités militaires une circulahe à la suite du vote de la loi du 3 mars 1925, insli- luant des permissions agricoles supplémentaires Les bénéficiaires do ces permissions seront réparlis en deux séries échelonnées entre le l" mars et le 25 avril 1925. La première série aura lieu en mars, ta deuxiè- me en avril : élanl précisé que la durée delà per- mission est de 18 jours, sauf renonciation expresse de l’intéressé. Les militaires libérables qui, le cas échéant, feraient partie de la série d’avril pourront être autorisés à ne pas rejoindre leur corps d'origine à l’expiralion de leur permission : ils devront par suite être mis en roule de façon que leurs per- missions prennent (In le 28 avril. CHRONIQUE LOCALE Cour d'Assises de la Manche. — Rôle des affaires : Lundi 9 M ars.- Durand Gaston, 19 ans : Vols et tentative de meurtre, 5 témoins. Mardi 10 Mars. — lre Affaire. — Que- meraye, journalier à Les Veys : Attentat à la pudeur, 4 témoins. 2e Affaire. — Catherine, femme Prenpain, de Cerisy-la-Forèt : Coups mortels à son enfant, âgé de moins de 15 ans, 8 témoins. Mercredi 11 Mars. — Soulard Marthe, femme Bavard, ménagère à Saint-Gsorges- de-Rouelley, et Arthur Balavert, carrier : Assassinat, 9 témoins. Faites peser le pain. — La plupart des consommateurs semblent ignorer leur droits, en ce qui concerne l’achat du pain. Nous leur rappelons que dans le départe- ment de la Manche, l’arrêté préfectoral du 28 novembre 1921, sur la Police de la Bou- langerie, toujours en vigueur, stipule notam- ment ; 1° Que la vente du p tin de consommation courante ne peut se faire qu'au poids, que cette vente s’applique à des fractions de pain ou à des pains entiers, le détail étant obligatoire, môme par fractions 125 gram- mes 2“ Que le poids doit être constaté sans que l'acheteur ait à le demander, peu im- porte que le pain soit rassis ou non. Etant donné le prix qu’il a atteint, il n’y a aucune raison pour ne pas exiger la pesée, comme pour toute autre denrée alimentaire — d’autant plus que le pain, denrée de pre- mière nécessité, grève chaque jour le bud- get familial. Avis d’adjudication. — Les 11 et 18 Mars 1925, à 14 heures, adjudication à l’adminis- N ’O V B L IE Z PAS que c'est DIMANCHE prochain 8 MARS, à 20 h. 30, qu’aura lieu 1 unique représentation de « IVTOTST B É B É »» par la Troupe de la Gaîté du F.C.V. tration centrale du service d’apurement des comptes spéciaux du Trésor. 54, avenue de Tokio à Paris 16', des stocks de matériel agricole existant au Camp de Chartres, com- mune et hilte de Maizières-la-Grande-Pa- roisse (Aube) Les offres devront parvenir au service d’apurement les 10 et 17 Mars avant 18 heu res. Visite du matériel au camp tous les jours, sauf le dimanche d t 7 h. 30 à 11 h. 30 et de 13 h. 30 à 18 h. 30. Le Préfet de la Manche. LAMBRY. Herd-Book Normand. — Une tournée d’in-cription des animaux au Herd-Book Normand étant en préparation pour les arrondissements de Cherbourg et de Valo- gnes, les éleveurs intéressés sont priés d'adresser leur demande à la Direction des services agricoles. 10, rue de la Maine à Saint-Lo, le plus tôt possible. Etalons privés. — La commission sani- taire se rendra au Haras de Saint-Lo, le 14 mars proch tin, à 14 heures, en vue d'exami- ner les étalons de l'industrie privée que leurs propriétaires auraient été empêchés de présenter jusqu’ici. VALOGNES Conseil Municipal — Le Conseil Muni- cipal se réunira à l’Hôtel deVille, dimanche 8 courant, à 9 heures. Ordre du J our : Nomination du secrétaire ; Lecture du procès-verbal de la dernière séance ; Avenant au bail Bouvet ; Budget de la caisse des écoles ; Marché de fournitures scolaires. Ptllti. Marché de travaux à l'école de liIles. Binet ; Vote de supp'ément de crédit pour 1924 : frais de bureau de la mairie ; perception du terrage ; entretien des bâtiments ; entretien du cimetière ; Tarif des fosses ; Traitement du Receveur Municipal ; Service des eaux ; Proposition des Ponts- et-Chaussées ; Réclamations ; Règlement d’un sinistre au collège ; Affaires diverses el questions d’assistance. Une constatation. — Les séances de la Tragédie de Lourdes ont prouvé que Valo- gnes aime les beaux lt ! ms : Aussi le « Bon Cinéma », pendant les quelques séances de la saison, s’ingéniera-t-il à donner au public entière satisfaction. Et pour commencer, le 22 mars il présentera : Mademoiselle de la Seigliéro, comédie d'après le roman de J. Sandeau, mis en scène par Antoine et Dcno- la et comprenant parmi les principaux interprètes de ce film hors pair : M"'8 Dullos, de la Comédie Française,dans le rôle de Hélène de la Seiglière ; M. Granval, de la Comédie Française dans le iôle de Jasmin ; M. Lamy, de l’OJéon dans le rôle de maître Destournelles. Si la location de si beaux ftlms impose quelques sacriiices, l’assiduité du public saura tout compenser. Musique Municipale. — Concert public, Salle des Fêtes, le dimanche 22 mars, de 4 h à 5 heures. P rogramme : Le Bon Bourgeois, pas redoublé, F. Leroux ; Le Pré aux Clers. duo pour piston et basses (Solistes MM. Lelèvre et Lemaître), opéra de Hkrold ; Souvenir d'Amitié, valse, Ë. Nicaise ; Le Chûlet, air de lusse isoliste M. Guil- bert), opéra de A. Adam ; Gavotte des Petites Princesses, P. A ndré ; El Matador, Marche Espagnole, A n- drieu ; Le Chef de Musique : J eanne. Bal. — Le soir à 9 heures, grand bal à orchestre complet. Travesti ou u nue de ville. Prix d’entrée, 4 fr. Une tenue correcte est de rigueur. Cours de solfège et d'instruments gra- tuits. — Les jeunes gens inscrits sont in- formés que les cours commenceront le mardi 10 mars, à 8 heures, salle des répé- titions, rue Alexis-de-Tocqueville. Ceux qui désireraient se faire inscrire pourront se présenter au jour indiqué ci- dessus (dernier délai). POURQUOI FAUT-IL ALLER VOIR « MON BÉBÉ » ? Parce qu'il n'y aura qu’une seule repré- sentation à Valognes. Parce que Mon Bébé n’est pas un vaude- ville de quartier, mais une comédie fraîche et puérile, gentiment morale et attendris- sante et qui a le don de déchaîner le fou- rire par les situations ies plus imprévues. Parce que les représentations de Mon Bébé sont la propriété exclusive des tour- nées B aret, qui ne viennent pas à Valognes et parce que l'imprésario Charles Baret a bien voulu donner gracieusement au F C. V., l’autorisation de le jouer. Parce que vous aiderez ainsi une société locale. Parce que vous aiderez ainsi la diffusion du sport qui améliore la race humaine, aussi intéressante que les races chevaline et autres... Parce que enfin, vous en aurez pour votre argent, en assistant à trois heures de spec- tacle agréable. (Communique). Adjudication de travaux à l'Hôpital- Hospice. — Le maire de Valognes informe le public que le jeudi 2(1 mars, à 10 heures du matin, U sera procédé par lui, en la salle de la Mairie, en présence de 2 membres de la commission administrative de l’hospice et du receveur de l'établissement, à l'adju- dication au rabais sur soumissions cache- tées, des travaux de : Restauration de la conciergerie ; cons- truction d’une salle d’attente, d'un bureauet d’une salle de visites médicales. Le devis s’élève à la somme de 32.652 fr. 73 ; Le montant du cautionnement sera de 1.500 fr. Les devis descriptif, estimatif, cahier des charges et plan, sont déposés au bureau de M. l’Econome de l’hospice, ou chez M. Le Bouteiller, architecte d’arrondissement, 30, place du Château, à Valognes, où chacun peut en prendre connaissance. Gendarmerie. M. Charles Avoine, gendarme a cheval à Cerisy-la-Salle, est nommé à Valognes. — M. SéroR gendarme à cheval.à Valognes, est nommé à Saint-Lo (conducteur de side-car). Ces mutations seront effectives à dater du 8 mars prochain. Course cycliste. — C’est dimanche pro- chain 8 mars que se dispute, sur le parcours Cherbourg, Valognes, Bricquebec, Les Pieux, Cherbourg, l'épreuve du Critérium du Pre- mier E-sor, organisé par la Société Peugeot l'Aéro-Sports, avec le concours de l'Ouest- Eclair. Le départ sera donné à 14 heures, Place Marie Ravenel, à Cherb >urg, et les concur- rents traverseront Valognes vers 15 heures. L’arrivée à Cherbourg est prévue vers 16 heures 30. Passage de troupes — Un détachement du l rr régiment d’infanterie coloniale, composé d’un sergent et 24 soldats, canton- nera à Valognes, le mardi 10 mars courant- C.-ts militaires logeront chez les habitants, de la rue Thiers. Arrestation. — En vertu d'un extrait de jugement rendu par le Tribunal de Valo- gnes, les gendarmes de Coutances ont ar- rêté Adrien Baudin, sans domicile fixe, né à Sam‘ .-Maurice-des-Noues, et Clément Lo- zier, carriers, travaillant actuellement à Courcy, condamnés chacun à 6 mois de prison pour vol. Société générale des transports dépar- tementaux. -- La Société générale des transports départementaux 10, rue de FAne.it n Quai, à Cherbourg) a l’honneur d’informer le public qu’à pariir de ce jour, la réception et la livraison des colis, baga- ges et messageries, se -fera à son bureau à Valognes. chez M. Louis Breton. Hôtel du Commerce, place Turin, aux heures de départ et d'arrivée de l’autobus de Carteret. M. Breton est le correspondant officiel de la Société. Pharmacie de service. — La pharmacie Lemarquand, rue des Religieuses, sera ou- verte le dimanche 8 mars. Objet perdu Perdu sur la grande route de Valognes à Blosville, une roue de secours auto, avec son support En informer M. Lc-crest, négociant à Valognes. Récom- pense. A réclamer 11 a été trouvé une certaine somme d'argent. La réclamer à la Mairie. — Un chiffre en métal a été trouvé lundi, rue des Rffigieuses. Un porteinonnaie renfermant une petite somme a été trouvé rue du Château Ré- clamer ces objets au bureau du journal. ETAT CIVIL DE VALOGNES Naissances Du 28 février : Simonne-Marguerite- Marthe Leroux, rue des Religieuses. Du 4 mars : Suzanne-Rosalie-Victorine Anquetil, rue de Poterie. P ublication de M ariage Auguste-Alain-Henri Boizet, pâtissier à Cherbourg et Alice-Albertine-Valentine Le- vavasseur, comptable à Valognes. Mariages Du 28 février : Louis-Jules Octave Coup- pey, cultivateur à Flottemanvilie et Marie- Louise-Joséphine Bazire, sans profession, à Valognes. balles de pailles pressées, lorsque, par suite d’un faux mouvement, il est tombé sur le poi- gnet gauche qui a ete luxé. Etal civil. — Naissances : Jeanne Anjot, rue Grande-Rue ; Jeanne Delabrousse, rue des Juifs. Décès. — Edouard Mariette, proprietaire, 72 ans, place Nationale; Marie liamelin, propriétai- re, 73 ane, rue Grande Rue ; Jacques Hamelin, cultivateur, 74 ans, au Bois de Montebourg. Marché du 28 février. — Beurre, 9 fr. 50 à 9 fr. 75 le demi-kilo ; œufs, 3 fr. 50 a 4 fr. la douzaine; poulets, 34 a 36 fr. le couple; Poules, 38 à 40 fr. le couple ; lapins gras, 13 « 18 fr. ; choux-fleurs, 1 fr. 25 a 1 fr. 50 pièce ; pommes de terre, 60 fr. l’hectolitre ; oignons, 1 fr. !e kilo ; choux à planter, 10 fr. le cent ; bois, 75 à 80 fr. la corde (3 stères); poissonnerie bien appro- visionnée mais prix eleves. Emondeville Renversé par une vache. — M. Cabrieux, ouvrier agricole chez M. Des- quesne, à la Cour, conduisait une vache. L ani- mal effrayé, entraîna M . Cabrieux qui fit une chute et se luxa l’epaule droite. Cet accident lui causera une incapacité de travail de 12 jours. Le Ham. Blessé en accrochant un ivagon. — Un wagon-citerne a déraillé sur la ligne départementale. M . Dumas, employé de chemin de fer, qui s'apprêtait a accrocher 6e wagon, reçut un coup de l'atteiage sur la figure, et un coup de tampon dans le côté. On dut le transporter à i’hôtel oit on lui prodigua les premiers soins. Fort heureusement les blessures ne présentent pas de gravite. Tombé de voiture. — En voulant monter dans sa voiture en marche, M. Arragon, chif- fonnier, est tombé si malencontreusement qu’il est passé sous la roue du véhiculé. 1! a été re- levé avec une fracture de la jambe. Saint Cyr. — Accident. — M. Pouchin Eugène, 40 ans, domestique agricole chez M . Durand, cultivateur à Saiot-Cyr, en enlevant le fumier «e trouvant dans une etable, s’est piqué ie pied gauche avec une fourche. Il en est résulté une plaie contuse qui lui occasionnera une incapacité de travail de 15 jours. Fonteaay-sur-Mer. Coup de hache. — En émondant des arbres, M . Guillotte s’est donné un coup de hache sur l’auriculaire. Inca- pacité de travail de 12 jours. Saint-Floxel. Voiturier blessé. — M. llouet, ouvrier agricole, conduisant les chevaux de M . Varette, cultivateur à Saint-Fioxel a eu la main prise dans 1 attelage. Il en résulté une blessure qui I empêchera de travailler pendant une douzaine de jours. Saint Marcouf. Accident. — Voulant faire rentrer une vache à l’etable, M. B.-A. Ti- phaigue est tombé sur le genou gauche. A la suite de cet accident il s’est déclare une hydar- throse. incapacité de travail assez longue. Contravention. — M. Michel André, domes- tique chez M . Jouanne, à Saint-Marcouf, te rendait chez son oncle, à Saint-Vaast. Rencontré dans cette localité, vers 8 h. i /2 du soir, avec sa becane dépourvue de lumière, les gen larmes lui ont dresse contravention. Quinéviile. — En défaut. — M. Joseph Pergeaux, cultivateur a Quinevilie, revenait de voir sea bestiaux à Saint-Martin-d’Audouville. Vers 6 heures 3/4 il passait au lieu dit la Mare aux Creveuil, à Lestre, monté sur sa bécane dé- pourvue de lumière. La présence des gendarmes en cet endroit lui valut un procès-verbal. Saint-Martin-d’Audouvillo. — Bénédic- tion d'une statue. — Dimanche dernier 1er mars, la paroisse de Saint-Martin, que M . l’abbé Feuillie, cure de Lestre, dessert avec le plus entier dévouement, était en fête. L’érection d’une belle statue du Sacré Cœur reunit dans l’église, aux divers offices, une assistance nombreuse et recueillie. Une gracieuse parure, pour cette occa- sion, fleurissait l’autel et déroulait aes guirlandes verdoyantes le long des murs du sanctuaire et de la nef. A l'issue de la grand’mesae, celebrée par M . l’abbé Piot, directeur honoraire de l’insti- tut Saint Paul, M. le doyen de Montebourg bénit solennellement la statue que tous ont pu a Imirer à l'envi. Le soir, après les vêpres, M. l’abbé Pinel, aumônier de l’Abbave, prononça éloquemment, devant un magnifique auditoire, le sermon de circonstance. Celte c» êmonie de famille laissera au cœur dea paroissiens ie plus touchant souvenir. Prime au naisseur. — Une orirae au REGIONALE Tamerville. — Argent trouvé. — Lundi dernier, 2 mare, une somme d'argent assez im portantes été trouvée à Tamerville, sur la voie pub ique. La réclamer a M. Jules Folliot, au Rocher, a Tamerville. Brix — Patronage Saint-Denis. Gran- des séances d Art Religieux, le dimanche 8 Mars, a 4 b. de l’après-midi et a 8 heures I 2 du soir. La Passion, en 12 tableaux vivants et lumi- neux, imités des grands maîtres de l'art chrétien. Composition, mise en scène, décors et costu- mes de M . li. Montmelien. — Musique d'accom- pagnement et chants par la chorale. Prix des places : Réservées, 4 fr. ; Premières, 3 fr. ; Deuxièmes, 2 fr. ; Troisièmes, ) fr. ; Eafants au-dessous de 10 ane, 0 fr. 50. Pour l>s billets, s’adresser soit au Patronage, soit chez MM. Yvetot, Lequertier, Eary, Levauf- fre (Haut-Brix), Levaulfre jDalasse), Rouxel. P lus de peur que de mal. — Un cycliste prenant part a la course dite du Premier-Pas Dunlop, M Leparquois, gravissait dimanche ap.ès-midi le Mont-a-la-Quesne, lorsqu’il fut heurté par la camionnette d’un « suiveur ». Le malheureux cycliste jete sur la roule disparut entièrement sous l’auto, sous les yeux épouvan- tés des témoins. Mais M. Leparquois sortit de dessous le véhiculé presqu indemne, il avait, en effet, quelques légères contusions et rassura de son mieux lea personnes qui se portaient à son secours ! Le cycliste avait heureusement passé entre les roues d une auto Tord, dont le châssis très elevé l’avait â peine incommodé... Heureux d'en être quitte à si bon compte, M . Leparquois reprit gaiement la route. MOHTEBOUR9 Tout le inonde à Lourdes !... Ce n est, en effet, rien moins qu’un voyage a Lourdes et à la portée de toutes les bourses, qui nous sera offert à Montebourg, S&llfi du Patro- nags Jeanue-d’Arc, le vendredi 13 mars, matinée à 4 h. 1 4, soirée à 8 heures par la tournée dea filma Credo, conosBton exclusive pour la région de La Tragédie de Lourdes. Nos lecteurs voudront voir en foule ce film sensationnel. Pour la première fois, avec l’au- torisation de Mgr Scbepfer, lea ceremonies de Lourdes ont été filmées. Ceux qui ont eu le bonheur d'aller à Lourdes voudront revivre les heures inoubliables qu'ils ont vécues au milieu de cea cérémonies uniques au monde. . Partout d’ailleurs, c.e film a fait des salles combles et provoque l’enthousiasme du public Chute. - M. Louis Leprevost, demeurant au bois de Montebourg, était occupe a décharger des nats- à M . seur de f 800 francs vient d'être allouée Auguste NoiV, eu livateur à Saint-Martin-d’Au- douviile, anciennement a Eroudeviile, pour un poulain sorti de son eievage, et devenu l’étalon Valparaiso, acheté. 18.000 fr. SAINTE-MÈRE - ÉGLISE Ravenoville. — Dimanche 1er mars a eu lieu la réunion annuelle dea anciens mobilisés. 19 membres étaient présents. Après l’approbation des comptes du trésorier, Rassemblée a procédé à la nomination du bareau. Ont été élus : Président, J. Boullot ; Vice-Président, A. Mauger : Secrétaire, Lecarpentier ; Trésorier, Eugene Leiong. Une demande de subvention formu'ée par M. Ledjreton Jules, en faveur d’un membre faisant une loDgue maladie et une autre par le prési- dent, en faveur d'un père de famille nombreuse, ont été accueillies favorablement. La question de retraite du combattant a été ensuite discutée. Chef-du-Pont — Accident en gare. M . Eugène Philippe, conducteur aux chemins de fer de l’Etat, rue de I Ermitage, à Cherbourg, conduisait un train, lorsqu en descendant des roues en gare de Chef-du-Pont, i! eut la main gauche fortement serrée. Il en résulta une bles- sure assez profonde. M. le docteur Hubert a ordonné un repos au blessé. Sainte-Marie du-Mont. — Mes chevaux n'ont peur de rien. — Telle est la déclaration que M. Alexandre Desire, domestique chez M. Lerevérend Armand, au village des Rivières, fit aux gendarmes qui le surprirent monte danB aa voiture, sans guides pour diiiger ses trois che- vaux. Les gendarmes ont verbalisé pour cette infraction aux règlements. De plus la plaque d’idenlite faisant defaut sur le vebicule, le pa- tron sera responsable des deux contraventions. Picauville. — Coup double. — Rencontrés par les gendarmes, a Pont-l’Abbé, avec leurs bi- cyclettes non éclairées, MM. Couppey Bernard, et Ribet Joseph, cultivateurs à Picauville, ont fait l’objet d’un procès-verbal. Même contravention a ete dressée à M. Yonnet Ernest, domestique chez M . Cotelle.à Picauville, rencontré le même jour, près la gare de Chef- du-Pont, circulant de nuit, sans lumière à sa becaue. Saint-Germain-de-Varreville. — Carnet de deuil. — Vendredi soir, 27 février, veuve Pierre Madelaine. mère de M. le Curé de Saint Geimain-de-Varreville, s’est éteinte pieu- sement, au Presbytère, à l’âge de 80 ans. Une nombreuse assistance, en se pressant mercredi aux obsèques de la vénérable défunte, avait tenu a s’associer au deuil du zélé Pasteur et a lui témoigner sa respectueuse sym- pathie en cette pénible circonstance. Un service sera célébré mardi prochain, 10 mars, en l’eglise de Saint-Garmain-de-Varreville, pour le repos de l’âme de Mme Madelaine Nous prions M . l’Abbé MaJelaine et la famille, de bien vouloir agréer nos respectueux compli- ments de condoléances. S AIN T-SAUVEUR-LE-VICOMTE Dans la gendarmerie. — M Deguillard, gendarme à cheval a Saint-Sauveur-!e-Vicomte, est nommé à Antrain (Ille-et-Vilaine). BRICQUEBEC Pas commode, le couvreur. — Dernière- ment M . Touzard, contremaître chez M. Clôt, entrepreneur a Bricquebec, travaillait sur un chantier, route de Valognes, avec deux ou- vriers, Pantbiou Charles, couvreur et Bourdon Bernard, manœuvre. Dans l’après-midi Touzard leur fit observer qu’ils avaient tort de profiter de l’absence du patron pour passer leur temps a l’auberge Guillotte. Voyant qu’ilB ne tenaient pas comble de l’observation le contremaître fit prévenir l'entrepreneur qui arriva alors que Panthiou était absent du chantier. Quand le couvreur parue M. Clôt l'informa qu’il lui diminuerait sa journée d’une heure. Furieux

ORGANISATION DE LA DEFENSE RELIGIEUSE Informations

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Page 1: ORGANISATION DE LA DEFENSE RELIGIEUSE Informations

Numéro 10 — Samedi 7 Mars 1925. 5 Centimes Quatre-vingt-douzième année.

Feuille Politique, Agricole, Commerciale, Industrielle, Scientifique, littéraire et d'Annonces

CHEMINS DE FER. — Paris-Cherbourg : Départ de Valognes : 4 h. 21 m. (expr.) ; 8 h. 33 m. ; 10 h. 40 m. ; 2 h. 24 s. (expr.) ; 5 h. 31 s. ; 10 h. 30 s.

Cherbourg-Paris. — Départ do Valognes : 6 h. 38 m. (expr.) (semaine seu­lement jusqu’au 28 mars inclus) ; 7 h. 16 m. ; 10 h. 40 m. (expr.) ; midi 17 ; 5 h. 17 s. (expr): 6 h 23 s.; 8 h. 42s. (expr.).

Valognes {ville) Bar/leur. — Départ de Valognes-Ville : 8 h. 22 matin ; 10 h. 36 m. (le vendredi, jusqu’à S'-Martin).); 0 h. 48 s.; 6 h. 39 s. (jusqu’à S‘- Martin. — Bar/leur-Valognes (ville). — Arrivée à Valognes-Ville : 7 h. 36 m. de S‘-Martin) ; 8 h. 04 m. ; 3 h. 19 s. (le vendredi, do S‘-Martin) ; 5 h. 46 s.

REDACTION et ADMINISTRATION: 25, rue Carnot, VALOGNES

Le JOURNAL DE VALO&NES paraît le SamediLes manuscrits non insérés ue sont pas rendus\ i *

Les lettres et mandats concernant la rédaction et l’administration doivent être adressés à M le Directeur du Journal de Valôanes.

A B O N N E M E N T SVille : 3 fr. 50; Manche et limitrophes : 4 fr. ; autres départements : 4 tr. 50. Le. prix de l'abonnement se paye d’avance. Les recmvremenls se foui en Décembre.

A N N O N C E Sjudiciaires, la ligne 1 fr. 25 ; Diverses 0 fr. 40 ; Réclames 0 fr. 60; Locales 0 fr. 75

Les annonces sont reçues aux Bureaux du Journal, jusqu'au Jeudi soir.— Jonrnal légalisé : 0 fr. 50 — Registre du Commerce, Valogties, n° 288

— Chèques Postaux : Paris, 45, rue Saint-Roch, C. C. 23194 —

ORGANISATION DE LA DEFENSE RELIGIEUSERéunion du 15 Mars 1925, à VALOGNES

Catholiques de l’ A rrondissem ent de Valognes,Vous ôtes insLunment priés de venir assister aux CONFÉRENCES qui

seront données sous la présidence de M. Edouard Lecarpextier, ancien bâtonnier du Barreau de Cherbourg,

I M m n i i c t i e 1 S * M a r s 1 à 14 heures 30Dans la Garage de l’Hôtel du Louvre, rue des Religieuses.

Les questions traitées seront les suivantes :1» LA QUESTION DE L’AMBASSADE DU VATICAN, par M. Camille

HLAISOT, Député du Calvados ;2" LES REVENDICATIONS CATHOLIQUES, par RI. VALLAT, ancien député

do l’Ardèche, grand mutilé de guerre.Le Comité provisoire de DKFENSID RELIGIEUSE compte sur vous.

Devant les menaces du socialisme qui gouverne et du communisme qui monte, il n'est: que temps do s'unir pour la défense de nos droits et de nos libertés les plus chères. Déjà, en un grand nombre de villes de France, des réunions de milliers de Catholiques ont ou lieu dans le but exclusif d'organiser les forces

................................... ’ 1 ' religieux, en dehorsde défendre la

cuire, la Propriétéque l’on veut supprimer. C’est T Eglise qui est la gardienne séculaire do la Famille, c'est ello aussi qui, depuis vingt siècles, a su défendre et protéger la Propriété privée. Catholiques, sachez donc vous unir, vous organiser pour défendre vos droits de catholiques, la sécurité de vos foyers et do vos biens justement acquis par des années d'un dur travail.

Le 11 Décembre dernier, la Ville de Cou tances, réunissait 3.000 électeurs, le 11 Janvier, l'Avranchin amenait 5.000 électeurs, le 1“' février, Mortain fournis­sait lui aussi plus de 5.000 électeurs venus manifester leur volonté de se grouper pour les légitimes revendications de tous ces droits. Catholiques de l'arrondissem ent de Valognes, vous avez rendez-vous à VALOGNES, pour soutenir la même ca u se . Vous no le céderez en rien aux Cqutançais, aux Avranchinais, aux Mortainais. Vous serez aussi nombreux, aussi disciplines,aussi résolus. . . . . ,. . . .,

Seuls les Hommes et les Jeunes Gens sont invités à cette réunion ; ils devront être porteurs d'une carte nominative d'invitation qu’ils auront à tairevérifier au contrôle de l’entrée.

■ Les cartes d'invitation, rigoureusement personnelles, ont été adressées cette semaine. Si quelques catholiques avaient été omis qu'ils veuillent bien excuser cet oubli et réclamer une carte au presbytère.

llUUlUr» UU WHIlDmiUOS Ulll UU UOU Utl/llO IY7 u n i vnvxjmo.i v* -,. *....catholiques, sous la direction des Invoques et sur le terrain religiei do toute considération d’ordre politique. Il s'agit, en effet, cl< Religion que i on veut abattre, la Famille que l'on cherche a détruit

P A T IE N C E !...Ci'édults électeurs du Cartel des Gauches,

ôtes-vohs contents do vos élus ?Vous ont-ils tenu leurs fallacieuses pro­

messes ?Avec eux ot par oux, ce devait être la

cherté de la vie sans délai disparue.Succès complet n’est ce pas ?...Depuis h ur avènement, c’est l’fxistence

devenue impossib’o pour certains ; la gène chaque jour, croissante pour beaucoup ; un calcul quotidien de plus en’ plus ardu pour tous.

Avec eux encore et par eux, la crue linan- ciôre allait è re conjurée. Par un remanie­ment complet des budgets, recettes et dé­penses allaient être équilibrées.

CD devait être, d'une part, la diminution assurée des Impôts, et partant le contri­buable à l'abri désormais des inquisitions fiscales et libéré à jamais de toutes nouvel­les contributions.

D’au'M p u‘t, a i d iv ht ô“ra la relève­ment du franc, et, p e la n t le rétablissement de notre crédit nation al.

Itératif succès plus complet que le précé­dent, je vous 11 coiicè le aisém mt 1...

La prosse no nous dit-elle pas, en effet, qu’en ce moment vos élus votent fébrile­ment une loi de finances, faite de SCO arti­cles où, piétinant cyniquement notre code et ses lois, ils donnent a l'inquisition pleine liberté pour l’exercice do ses caprices, et où ils instaurent une longue série de nouveaux impôts.

C’est réussi ! Si voua notes plus con'ents tant pis I...

Mais, par ailleurs, les errements de voire Cartel, de nouveau parti m guerie contre les catholiques, laissant libre cours aux théories et propagandes antireligieuses, les favorisant même jusqu'à tremper en quel­que sorte ses mains dans le sang, vous four­nissent peut être ample compensation ? Si oui : 4e vous plains.

Mais patience !... les catholiques n'ont pas fa it la guerre pour tout subir m ainte­nant.

In fo rm a tio n s ifclf

Fit.

Les Seotairos confondus*

39 Religieux ont été injustement rayés de la liste électorale. Le Juge de Paix tes fait réintégrer.

La Presse a signalé le cas de cos 39 Béné­dictins de Dourgne qui avaient été pureau nt et simplement rayés de la liste électorale par les tyranneaux anticléricaux do la Com­mune de Dourgne, qui détenaient la majo­rité à la Commission de révision do la liste électorale.

Cos « tyranneaux » donnaient comme raison qu’ils ne connaissaient pas les reli­gieux et qu’ils ne pouvaient contiôler leur Identité.

La « Ligue des Droits du Religieux Ancien Combattant » protesta aussitôt énergique­ment contre cette injustice nouvelle. Les Bénédictins eux mômes portèrent leur cause devant le Juge de Paix qui rendit un juge­ment annulant la décision arbitraire du maire anticlérical.

Conclusion : Les eatholiqiioo ne doivent pet dre aucune occasion de résister à la persécution et ils doivent retenir que l’anti­cléricalisme, si mielleux qu’il soit, dans la haute sphère, ne manque pas de produire dans le peuple des effets odieux, ridicules ou brutaux dont les massacres de Marseille et ces radiations no sont que do trop beaux exemples,... pris hélas ! entre mille.

L’initiative de la Bonne Presse permettra aux Catholiques de trouver à foison les éléments nécessaires pour répondre aux insinuations aussi perlides que mensongè­res des sectaires

E c h o sPour la . Ilb artâ . cathollqua.

A Nantes, 80.000 hoinmos ; à Lavai, 25.000 ; des milliers à NimeB, à Perpignan el on d’aulres assemblées locales onl fail du l ' r mars un gran­diose plébiscile en favour des libertés catholi­ques. Partout, lo peuple français réclame l’abro- gatiou des lois de persécution.

Lai cham bra a voté la budgatLe « monslre », nom que reçoit déjà partout le

not-dieanl budget sorti de la collaboration inco­hérente du carlel des gauches el du gouverne­ment, son esclave, a enlln vu le jour. Pour la première fois depuis cinquante ans, l'opposition tout entière a refusé de voter l'ensemble d'une loi de llnanoes qui, selon un moitié M. <Otampelier do Pubos, no constitue pas le budget de la Fran­ce, mais lo budget du carlel.

Ce bloo de dispositions informes et tyranniques désorganisent nos tlnances publiques, troublent l'économie nationale el ruinent certains des plus mporlants prinoipos du Code civil.

La ravltalllam ant an painSur le rappori de M. Donou, la Commission

fônaloriale de l'agricullure s’est prononcée pour le recensement des disponibilités appartenant aux agriculteurs récoltants, déduction faite des quantités nécessaires à la consommation fami­liale.

La Commission a, d’autre part, accepté 1 in­terdiction de l'emploi de la farine de froment pour la pâtisserie fraîche, la formoture des boulangeries uu jour par semaiue el la fabrica­tion des pâles alimentaires avec des farines de blé dur.

Pour los portaura da fonda ruaaaaM. Ilorriol a soumis à la signalure du président

do la République un décret créaut un Comité consultatif qui assistera l'Oflice des biens et inlé- iù s privés pour la représentation des porteurs de fonds russes auprès do plénipotentiaires chargés do poursuivre des négociations avec le gouverne­ment russe.L ’haura «Télé commancaralf la 28 mara

Les Belges demandaient, en raison notamment des horaires des trains, à è re d'accord avec la France en ce qui concerne le changement d'heure.

U est arrêté, dès à présent, que l’heure d'éte sera appliquée le même jour en France et en Belgique.

G'esi, parait-il, la date du 28 mars qui sera adoptée pour sa mise en vigueur.

Il tel probable que l’Angleterre acceptera la même date.

Lo prialdon l Eborf oaf mortLe président du Rolch, M. Eberl, est

Le Livre d’Or du Clergéet des Congrégations vient de paraître

Sous lo titre La Preuve du Sang, la Bon­ne Presse, 5, r u o B m r d , Paris, 8e, vient d’éditer le Livre d’Or du Clergé et des Congrégations.

A ceux qui prétendent n’avoir jamais vu un prôtre dans la tranchée, il est bon de rappeler sans cesse la vérité, savoir : Prê­tres ot Religieux ont largement payé l’im­pôt du sang à la Patrie et magmttquement rempli leurs devoirs de citoyens-soldats.

décédésamedi malin.

Merlin lui a fait morcredi de grandioses funé­railles.

C’esl le 29 mars qu’aura lieu la première consul- talion nationale pour l’éleclion de son succes­seur.Les nouvallis coupure*

da OOO al da 1 .000 francsLe peintre Emile Friant, membre de l’Inslilul,

fH’ofesseur à l'Ecole naliouale des beaux-arts de >aris, a été chargé par l'Eial d'exécuter les nou­

veaux bilUls de banque de 500 francs el de 1.000 francs. C’est dans son atelier nancéen du quai Ligier-Richer que le maîire a conçu et réalisé les tableaux qui illustreront les nouvelles grosses coupures.Las augmanlatlana daa tarifa postaux

Voici les relèvements de tarifs poslaux qui onl été volés par la Chambre :

Pour les lettres et papiers clos : de 20 à 50 grammes : 0 fr. 50 au lieu de 0 fr. 45 ; de 50 à 100 grammes : 0 fr. 75 au lieu de 0 fr. 00.

Pneumatiques : jusqu'à 7 grammes : 1 fr, ; de 7 à 15 grammes : 1 fr. 50 ; de 15 à 80 grammes : 2 fr. 50.

Le tarif d’affranchissement des imprimés affran­chis en numéraires jusqu’à 20 grammes : 0 fr. 05 au lieu de 0 fr. 04 ; celui des imprimés ordinaires est porté jusqu'à 50 grammes à 0 fr. 10 au lieu de 0 fr. 05.

Le droit fixe de recommandation est porté : pour les lettres, paquets clos, caries postales ordinaires ot envois de valeurs déclarées : de 0 fr. 00 à 0 fr. 75 ; pour les objets affranchis à prix réduit, les enveloppes do valeur à recouvrer: de ü fr. 40 à 0 fr. 50.

Lo droit fixe et uniforme sur les chèques postaux oat transformé en droit progressif de 0 fr. 10 pour mille, aveo minimum do perception de 0 fr. 25.

Recommandations importantes aux abonnés au téléphone

L Administration des P. T. T. mat les aboi - nés au Téléphoné, en garde, d'une part contre les agissements do prétendus inventeurs qui leur olh'cnt de muuir les récepteurs de leur installa­tion téléphonique d'appareils rudimentaires, qu'ils dénomment abusivement « Amp locateurs » d'autre part, entre la publicité faite autour de Certains dispositifs destinés à éviter le contact direct des récepteurs et de l oreille.

Les premiers de ces appareils, bien que vendus à un prix relativement elevé, consistent, le plus souvent, en une simple rondelle métallique, gros­sièrement façonnée et s m s valeur. Loin d'amélio­rer l'audition, ils affaiblissent, on qôuéral, l efficacité dos récepteurs téléphoniques. Ils n'ont rien de commun avec les véritables amplifica­teurs, la plupart du tempt à lampe, qui sout des appareils étudiés et conlruits scientifiquement et installés seulement par des électriciens spécia­listes.

Les seconds, qui doivent, au dire des veilleurs, préserver l'oreille contre les contacts malsains, clou (1er les bruits extérieurs et augmenter la puissance des récepteurs, n'ont pas. eu général, les qualités qui leur sont p> Citées et uuiseut p>'es q c toujours à l'audition cles conversations télé­phoniques.

L'emploi de ces divers appareils dans les postes d'abouiiement est rigoureusement interdit.

Il est i nstammcui recommande aux abonnés, dans leur propre intérêt, de ue faire I acqu smon d appareils quelconques destinés à être, adjoint à leurs postes téléphoniques qu'après s'être reusei- gués auprès des Directeurs départementaux des T .T . T. sur les aoparcils dont l'installation est autorisée dans les réseaux téléphoniques u!r 1 Etal.

Il leur est, en outie, rappelé que, sel >u les dispositions de l'article 67 de la loi du 22 mars1924, il est interdit, sous peine d'une amende de ôUU fraucs, do modifier en quoi que ce soit les installations téléphoniques des r -seaux de l'Etal, sans autorisation préalablo de la Direction depar terne n talc des Postes et Télégraphes, et que les détériorations résultant de Ira ns formations irré­gulières sout à la charge des abonués.Services Télégraphiques et Téléphoniques

Les services télégraphiques et téléphoniques sont ouverts à : Monlviron, Saint ■ Jtüin - du Corail, Saiut-Genniin lo Gaillard, Ouville et M outpinchoü.Retrait des diverses monnaies d’argent

belgesLes monnaies belges d'argent de 0 fraucs à

l'effigie do Léopold Ier et de Léopold IL portaut un millésime antérieur à ItiGS, ainsi que ies monnaies belges d'argent de 2 fraucs, i frauc et 0 fr. 50 à l'effigie de Léopold II, cesseront d'avoir cours en France à partir du 1er avril1925.

jusqu'au SI mars 1925, ces pièces seront reçues on payement à toutes les caisses publiques ; elles seront, en outre, remboursées pour leur valeur uominale aux caisses des trésoriers payeurs généraux, des receveurs particuliers, des percep­teurs, dans les succursales et bureaux auxiliaires de la Banque de France, ainsi que daus tous les bureaux de poste.

La Révision des tarifs de transportsLe Conseil supérieur des chemins de fer a pris

connaissance du rapport concernant l'étude géné­rale demandée par le miuistre des travaux pu­blics à la suite des réclamations s. ulevees contre les derniers relèvements de frais accessoires.

Après une discussion a/iprofondie, le Conseil supérieur a approuvé des atténuations importan­tes. Les nouveaux taux de frais de gare pour les courtes distaucos dépasserout à peine les taux de 1924 c'est-à-dire les chiffres appliqués avant toute majoration.

Pour les au tics fiais acccssoii es, le Conseil a réduit à 50 0/0 l'augmentation de ICO 0/0 qui avait clé mise en vigueur le 1er janvier dernier.!loutcfois , en ce qui concerne le droit d'euiegis- tremeut des bagages, les taxes nues oui etc cal­culées eu vuo de donner, majoration, impôt et timbre compiis. uue perception lo ale de (J fr. 75 pour les bicyclettes et voitures d’enfants et de 1 liane pour les autres bagages.

Afin de combler Je déficit résultant pour les budgets des réseaux de ces abaissements de taxes, lo Conseil supérieur a approuvé inc majoration géuèrale de 10 f,omis sur tous les tarifs de mar cbaudiscs, à I exception de celles déjà exemptées en decembie 1924, ce qui représente une augmeu talion de 0.45 0/0 des tarifs actuels.

Ces modifications qui ne sout que temporaires vont entrer en vigueur dès qu'elles auront ete approuves par le ministre des travaux publics.

N ouvelles MilitairesLos parmlaalonn agrloolaa da printampa

Lo général Nollel, miniglro do la guerre, vient d’adresser aux autorités militaires une circulahe à la suite du vote de la loi du 3 mars 1925, insli- luant des permissions agricoles supplémentaires

Les bénéficiaires do ces permissions seront réparlis en deux séries échelonnées entre le l" mars et le 25 avril 1925.

La première série aura lieu en mars, ta deuxiè­me en avril : élanl précisé que la durée delà per­mission est de 18 jours, sauf renonciation expresse de l’intéressé.

Les militaires libérables qui, le cas échéant, feraient partie de la série d’avril pourront être autorisés à ne pas rejoindre leur corps d'origine à l’expiralion de leur permission : ils devront par suite être mis en roule de façon que leurs per­missions prennent (In le 28 avril.

CHRONIQUE LOCALECour d'Assises de la Manche. — Rôle

des affaires :Lundi 9 M a rs .- Durand Gaston, 19 ans :

Vols et tentative de meurtre, 5 témoins.Mardi 10 Mars. — lre Affaire. — Que-

meraye, journalier à Les Veys : Attentat à la pudeur, 4 témoins.

2e Affaire. — Catherine, femme Prenpain, de Cerisy-la-Forèt : Coups mortels à son enfant, âgé de moins de 15 ans, 8 témoins.

Mercredi 11 Mars. — Soulard Marthe, femme Bavard, ménagère à Saint-Gsorges- de-Rouelley, et Arthur Balavert, carrier : Assassinat, 9 témoins.

Faites peser le pain. — La plupart des consommateurs semblent ignorer leur droits, en ce qui concerne l’achat du pain.

Nous leur rappelons que dans le départe­ment de la Manche, l’arrêté préfectoral du 28 novembre 1921, sur la Police de la Bou­langerie, toujours en vigueur, stipule notam­ment ;

1° Que la vente du p tin de consommation courante ne peut se faire qu'au poids, que cette vente s ’applique à des fractions de pain ou à des pains entiers, le détail étant obligatoire, môme par fractions 125 gram­mes

2“ Que le poids doit être constaté sans que l'acheteur ait à le demander, peu im­porte que le pain soit rassis ou non.

Etant donné le prix qu’il a atteint, il n’y a aucune raison pour ne pas exiger la pesée, comme pour toute autre denrée alimentaire — d’autant plus que le pain, denrée de pre­mière nécessité, grève chaque jour le bud­get familial.

A vis d’adjudication. — Les 11 et 18 Mars 1925, à 14 heures, adjudication à l’adminis-

N ’O V B L I E Z P A Sque c'est DIMANCHE prochain 8 MARS, à 20 h. 30, qu’aura lieu 1 unique représentation de

« IVTOTST B É B É »»par la Troupe de la Gaîté du F.C.V.

tration centrale du service d’apurement des comptes spéciaux du Trésor. 54, avenue de Tokio à Paris 16', des stocks de matériel agricole existant au Camp de Chartres, com­mune et hilte de Maizières-la-Grande-Pa­roisse (Aube)

Les offres devront parvenir au service d’apurement les 10 et 17 Mars avant 18 heu res.

Visite du matériel au camp tous les jours, sauf le dimanche d t 7 h. 30 à 11 h. 30 et de 13 h. 30 à 18 h. 30.

Le Préfet de la Manche.LAMBRY.

Herd-Book Normand. — Une tournée d’in-cription des animaux au Herd-Book Normand étant en préparation pour les arrondissements de Cherbourg et de Valo­gnes, les éleveurs intéressés sont priés d'adresser leur demande à la Direction des services agricoles. 10, rue de la Maine à Saint-Lo, le plus tôt possible.

Etalons privés. — La commission sani­taire se rendra au Haras de Saint-Lo, le 14 mars proch tin, à 14 heures, en vue d'exami­ner les étalons de l'industrie privée que leurs propriétaires auraient été empêchés de présenter jusqu’ici.

VALOGNES

Conseil Municipal — Le Conseil Muni­cipal se réunira à l’Hôtel deVille, dimanche 8 courant, à 9 heures.

Ordre du Jour :Nomination du secrétaire ;Lecture du procès-verbal de la dernière

séance ;Avenant au bail Bouvet ;Budget de la caisse des écoles ;Marché de fournitures scolaires. Ptllti.Marché de travaux à l'école de liIles.

Binet ;Vote de supp'ément de crédit pour 1924 :

frais de bureau de la mairie ; perception du terrage ; entretien des bâtiments ; entretien du cimetière ;

Tarif des fosses ;Traitement du Receveur Municipal ;Service des eaux ; Proposition des Ponts-

et-Chaussées ; Réclamations ;Règlement d’un sinistre au collège ;Affaires diverses el questions d’assistance.Une constatation. — Les séances de la

Tragédie de Lourdes ont prouvé que Valo­gnes aime les beaux lt ! m s : Aussi le « Bon Cinéma », pendant les quelques séances de la saison, s’ingéniera-t-il à donner au public entière satisfaction. Et pour commencer, le 22 mars il présentera : Mademoiselle de la Seigliéro, comédie d'après le roman de J. Sandeau, mis en scène par Antoine et Dcno- la et comprenant parmi les principaux interprètes de ce film hors pair :

M"'8 Dullos, de la Comédie Française,dans le rôle de Hélène de la Seiglière ;

M. Granval, de la Comédie Française dans le iôle de Jasmin ;

M. Lamy, de l’OJéon dans le rôle de maître Destournelles.

Si la location de si beaux ftlms impose quelques sacriiices, l’assiduité du public saura tout compenser.

Musique Municipale. — Concert public, Salle des Fêtes, le dimanche 22 mars, de 4 h à 5 heures.

Programme :1° Le Bon Bourgeois, pas redoublé, F.

Leroux ;2° Le Pré aux Clers. duo pour piston et

basses (Solistes MM. Lelèvre et Lemaître), opéra de Hkrold ;

3° Souvenir d'Amitié, valse, Ë. Nicaise ;4° Le Chûlet, air de lusse isoliste M. Guil-

bert), opéra de A. Adam ;5° Gavotte des Petites Princesses, P.

André ;6° El Matador, Marche Espagnole, An-

drieu ;Le Chef de Musique : Jeanne.

Bal. — Le soir à 9 heures, grand bal à orchestre complet. Travesti ou u nue de ville. Prix d’entrée, 4 fr.

Une tenue correcte est de rigueur.Cours de solfège et d'instruments gra­

tuits. — Les jeunes gens inscrits sont in­formés que les cours commenceront le mardi 10 mars, à 8 heures, salle des répé­titions, rue Alexis-de-Tocqueville.

Ceux qui désireraient se faire inscrire pourront se présenter au jour indiqué ci- dessus (dernier délai).

POURQUOI FAUT-IL ALLER VOIR« MON BÉBÉ » ?

Parce qu'il n'y aura qu’une seule repré­sentation à Valognes.

Parce que Mon Bébé n’est pas un vaude­ville de quartier, mais une comédie fraîche et puérile, gentiment morale et attendris­sante et qui a le don de déchaîner le fou- rire par les situations ies plus imprévues.

Parce que les représentations de Mon Bébé sont la propriété exclusive des tour­nées Baret, qui ne viennent pas à Valognes et parce que l'imprésario Charles Baret a bien voulu donner gracieusement au F C. V., l’autorisation de le jouer.

Parce que vous aiderez ainsi une société locale.

Parce que vous aiderez ainsi la diffusion du sport qui améliore la race humaine, aussi intéressante que les races chevaline et autres...

Parce que enfin, vous en aurez pour votre argent, en assistant à trois heures de spec­tacle agréable. (Communique).

Adjudication de travaux à l'Hôpital- Hospice. — Le maire de Valognes informe le public que le jeudi 2(1 mars, à 10 heures du matin, U sera procédé par lui, en la salle de la Mairie, en présence de 2 membres de la commission administrative de l’hospice et du receveur de l'établissement, à l'adju­dication au rabais sur soumissions cache­tées, des travaux de :

Restauration de la conciergerie ; cons­truction d’une salle d’attente, d'un bureauet d’une salle de visites médicales.

Le devis s’élève à la somme de 32.652 fr. 73 ;

Le montant du cautionnement sera de 1.500 fr.

Les devis descriptif, estimatif, cahier des

charges et plan, sont déposés au bureau de M. l’Econome de l’hospice, ou chez M. Le Bouteiller, architecte d’arrondissement, 30, place du Château, à Valognes, où chacun peut en prendre connaissance.

Gendarmerie. — M. Charles Avoine, gendarme a cheval à Cerisy-la-Salle, est nommé à Valognes. — M. SéroR gendarme à cheval.à Valognes, est nommé à Saint-Lo (conducteur de side-car).

Ces mutations seront effectives à dater du 8 mars prochain.

Course cycliste. — C’est dimanche pro­chain 8 mars que se dispute, sur le parcours Cherbourg, Valognes, Bricquebec, Les Pieux, Cherbourg, l'épreuve du Critérium du Pre­mier E-sor, organisé par la Société Peugeot l'Aéro-Sports, avec le concours de l'Ouest- Eclair.

Le départ sera donné à 14 heures, Place Marie Ravenel, à Cherb >urg, et les concur­rents traverseront Valognes vers 15 heures. L’arrivée à Cherbourg est prévue vers 16 heures 30.

Passage de troupes — Un détachement du lrr régiment d’infanterie coloniale, composé d’un sergent et 24 soldats, canton­nera à Valognes, le mardi 10 mars courant- C.-ts militaires logeront chez les habitants, de la rue Thiers.

Arrestation. — En vertu d'un extrait de jugement rendu par le Tribunal de Valo­gnes, les gendarmes de Coutances ont ar­rêté Adrien Baudin, sans domicile fixe, né à Sam‘.-Maurice-des-Noues, et Clément Lo- zier, carriers, travaillant actuellement à Courcy, condamnés chacun à 6 mois de prison pour vol.

Société générale des transports dépar­tementaux. -- La Société générale des transports départementaux 10, rue de FAne.it n Quai, à Cherbourg) a l’honneur d’informer le public qu’à pariir de ce jour, la réception et la livraison des colis, baga­ges et messageries, se -fera à son bureau à Valognes. chez M. Louis Breton. Hôtel du Commerce, place Turin, aux heures de départ et d'arrivée de l’autobus de Carteret.

M. Breton est le correspondant officiel de la Société.

Pharmacie de service. — La pharmacie Lemarquand, rue des Religieuses, sera ou­verte le dimanche 8 mars.

Objet perdu — Perdu sur la grande route de Valognes à Blosville, une roue de secours auto, avec son support En informer M. Lc-crest, négociant à Valognes. Récom­pense.

A réclamer — 11 a été trouvé une certaine somme d'argent. La réclamer à la Mairie.

— Un chiffre en métal a été trouvé lundi, rue des Rffigieuses.

Un porteinonnaie renfermant une petite somme a été trouvé rue du Château Ré­clamer ces objets au bureau du journal.

ETAT CIVIL DE VALOGNESNaissances

Du 28 février : Simonne-Marguerite- Marthe Leroux, rue des Religieuses.

Du 4 mars : Suzanne-Rosalie-Victorine Anquetil, rue de Poterie.

Publication de MariageAuguste-Alain-Henri Boizet, pâtissier à

Cherbourg et Alice-Albertine-Valentine Le- vavasseur, comptable à Valognes.

Mariages

Du 28 février : Louis-Jules Octave Coup- pey, cultivateur à Flottemanvilie et Marie- Louise-Joséphine Bazire, sans profession, à Valognes.

balles de pailles pressées, lorsque, par suite d’un faux mouvement, il est tombé sur le poi­gnet gauche qui a ete luxé.

Etal civil. — Naissances : Jeanne Anjot, rue Grande-Rue ; Jeanne Delabrousse, rue des Juifs.

Décès. — Edouard Mariette, proprietaire, 72 ans, place Nationale; Marie liamelin, propriétai­re, 73 ane, rue Grande Rue ; Jacques Hamelin, cultivateur, 74 ans, au Bois de Montebourg.

Marché du 28 février. — Beurre, 9 fr. 50 à 9 fr. 75 le demi-kilo ; œufs, 3 fr. 50 a 4 fr. la douzaine; poulets, 34 a 36 fr. le couple; Poules,38 à 40 fr. le couple ; lapins gras, 13 « 18 fr. ; choux-fleurs, 1 fr. 25 a 1 fr. 50 pièce ; pommes de terre, 60 fr. l’hectolitre ; oignons, 1 fr. !e kilo ; choux à planter, 10 fr. le cent ; bois, 75 à 80 fr. la corde (3 stères); poissonnerie bien appro­visionnée mais prix eleves.

Emondeville — Renversé par une vache.— M. Cabrieux, ouvrier agricole chez M. Des- quesne, à la Cour, conduisait une vache. L ani­mal effrayé, entraîna M. Cabrieux qui fit une chute et se luxa l’epaule droite. Cet accident lui causera une incapacité de travail de 12 jours.

Le Ham. — Blessé en accrochant un ivagon. — Un wagon-citerne a déraillé sur la ligne départementale. M. Dumas, employé de chemin de fer, qui s'apprêtait a accrocher 6e wagon, reçut un coup de l'atteiage sur la figure, et un coup de tampon dans le côté. On dut le transporter à i’hôtel oit on lui prodigua les premiers soins. Fort heureusement les blessures ne présentent pas de gravite.

Tombé de voiture. — En voulant monter dans sa voiture en marche, M. Arragon, chif­fonnier, est tombé si malencontreusement qu’il est passé sous la roue du véhiculé. 1! a été re­levé avec une fracture de la jambe.

Saint Cyr. — Accident. — M. Pouchin Eugène, 40 ans, domestique agricole chez M. Durand, cultivateur à Saiot-Cyr, en enlevant le fumier «e trouvant dans une etable, s’est piqué ie pied gauche avec une fourche. Il en est résulté une plaie contuse qui lui occasionnera une incapacité de travail de 15 jours.

Fonteaay-sur-Mer. — Coup de hache. — En émondant des arbres, M. Guillotte s’est donné un coup de hache sur l’auriculaire. Inca­pacité de travail de 12 jours.

Saint-Floxel. — Voiturier blessé. — M. llouet, ouvrier agricole, conduisant les chevaux de M. Varette, cultivateur à Saint-Fioxel a eu la main prise dans 1 attelage. Il en résulté une blessure qui I empêchera de travailler pendant une douzaine de jours.

Saint Marcouf. — Accident. — Voulant faire rentrer une vache à l’etable, M. B.-A. Ti- phaigue est tombé sur le genou gauche. A la suite de cet accident il s’est déclare une hydar- throse. incapacité de travail assez longue.

Contravention. — M. Michel André, domes­tique chez M. Jouanne, à Saint-Marcouf, te rendait chez son oncle, à Saint-Vaast. Rencontré dans cette localité, vers 8 h. i /2 du soir, avec sa becane dépourvue de lumière, les gen larmes lui ont dresse contravention.

Quinéviile. — En défaut. — M. Joseph Pergeaux, cultivateur a Quinevilie, revenait de voir sea bestiaux à Saint-Martin-d’Audouville. Vers 6 heures 3/4 il passait au lieu dit la Mare aux Creveuil, à Lestre, monté sur sa bécane dé­pourvue de lumière. La présence des gendarmes en cet endroit lui valut un procès-verbal.

Saint-Martin-d’Audouvillo. — Bénédic­tion d'une statue. — Dimanche dernier 1er mars, la paroisse de Saint-Martin, que M. l’abbé Feuillie, cure de Lestre, dessert avec le plus entier dévouement, était en fête. L’érection d’une belle statue du Sacré Cœur reunit dans l’église, aux divers offices, une assistance nombreuse et recueillie. Une gracieuse parure, pour cette occa­sion, fleurissait l’autel et déroulait aes guirlandes verdoyantes le long des murs du sanctuaire et de la nef. A l'issue de la grand’mesae, celebrée par M. l’abbé Piot, directeur honoraire de l’insti­tut Saint Paul, M. le doyen de Montebourg bénit solennellement la statue que tous ont pu a Imirer à l'envi. Le soir, après les vêpres, M. l’abbé Pinel, aumônier de l’Abbave, prononça éloquemment, devant un magnifique auditoire, le sermon de circonstance.

Celte c» êmonie de famille laissera au cœur dea paroissiens ie plus touchant souvenir.

Prime au naisseur. — Une orirae au

REGIONALETamerville. — Argent trouvé. — Lundi

dernier, 2 mare, une somme d'argent assez im portantes été trouvée à Tamerville, sur la voie pub ique. La réclamer a M. Jules Folliot, au Rocher, a Tamerville.

Brix — Patronage Saint-Denis. — Gran­des séances d Art Religieux, le dimanche 8 Mars, a 4 b. de l’après-midi et a 8 heures I 2 du soir.

La Passion, en 12 tableaux vivants et lumi­neux, imités des grands maîtres de l'art chrétien.

Composition, mise en scène, décors et costu­mes de M. li. Montmelien. — Musique d'accom­pagnement et chants par la chorale.

Prix des places : Réservées, 4 fr. ; Premières, 3 fr. ; Deuxièmes, 2 fr. ; Troisièmes, ) fr. ; Eafants au-dessous de 10 ane, 0 fr. 50.

Pour l>s billets, s’adresser soit au Patronage, soit chez MM. Yvetot, Lequertier, Eary, Levauf- fre (Haut-Brix), Levaulfre jDalasse), Rouxel.

P lus de peur que de mal. — Un cycliste prenant part a la course dite du Premier-Pas Dunlop, M Leparquois, gravissait dimanche ap.ès-midi le Mont-a-la-Quesne, lorsqu’il fut heurté par la camionnette d’un « suiveur ». Le malheureux cycliste jete sur la roule disparut entièrement sous l’auto, sous les yeux épouvan­tés des témoins. Mais M. Leparquois sortit de dessous le véhiculé presqu indemne, il avait, en effet, quelques légères contusions et rassura de son mieux lea personnes qui se portaient à son secours ! Le cycliste avait heureusement passé entre les roues d une auto Tord, dont le châssis très elevé l’avait â peine incommodé... Heureux d'en être quitte à si bon compte, M. Leparquois reprit gaiement la route.

MOHTEBOUR9

Tout le inonde à Lourdes ! . . .Ce n est, en effet, rien moins qu’un voyage a

Lourdes et à la portée de toutes les bourses, qui nous sera offert à Montebourg, S&llfi du Patro- nags Jeanue-d’Arc, le vendredi 13 mars, matinée à 4 h. 1 4, soirée à 8 heures par la tournée dea filma Credo, conosBton exclusive pour la région de La Tragédie de Lourdes.

Nos lecteurs voudront voir en foule ce film sensationnel. Pour la première fois, avec l’au­torisation de Mgr Scbepfer, lea ceremonies de Lourdes ont été filmées.

Ceux qui ont eu le bonheur d'aller à Lourdes voudront revivre les heures inoubliables qu'ils ont vécues au milieu de cea cérémonies uniques au monde. .

Partout d’ailleurs, c.e film a fait des salles combles et provoque l’enthousiasme du public

Chute. - M. Louis Leprevost, demeurant au bois de Montebourg, était occupe a décharger des

nats- à M.seur de f 800 francs vient d'être allouée

Auguste NoiV, eu livateur à Saint-Martin-d’Au- douviile, anciennement a Eroudeviile, pour un poulain sorti de son eievage, et devenu l’étalon Valparaiso, acheté. 18.000 fr.

SAINTE-MÈRE - ÉGLISERavenoville. — Dimanche 1er mars a eu

lieu la réunion annuelle dea anciens mobilisés. 19 membres étaient présents. Après l’approbation des comptes du trésorier, Rassemblée a procédé à la nomination du bareau.

Ont été élus :Président, J. Boullot ; Vice-Président, A.

Mauger : Secrétaire, Lecarpentier ; Trésorier, Eugene Leiong.

Une demande de subvention formu'ée par M. Ledjreton Jules, en faveur d’un membre faisant une loDgue maladie et une autre par le prési­dent, en faveur d'un père de famille nombreuse, ont été accueillies favorablement.

La question de retraite du combattant a été ensuite discutée.

Chef-du-Pont — Accident en gare. — M. Eugène Philippe, conducteur aux chemins de fer de l’Etat, rue de I Ermitage, à Cherbourg, conduisait un train, lorsqu en descendant des roues en gare de Chef-du-Pont, i! eut la main gauche fortement serrée. Il en résulta une bles­sure assez profonde. M. le docteur Hubert a ordonné un repos au blessé.

Sainte-Marie du-Mont. — Mes chevaux n'ont peur de rien. — Telle est la déclaration que M. Alexandre Desire, domestique chez M. Lerevérend Armand, au village des Rivières, fit aux gendarmes qui le surprirent monte danB aa voiture, sans guides pour diiiger ses trois che­vaux. Les gendarmes ont verbalisé pour cette infraction aux règlements. De plus la plaque d’idenlite faisant defaut sur le vebicule, le pa­tron sera responsable des deux contraventions.

Picauville. — Coup double. — Rencontrés par les gendarmes, a Pont-l’Abbé, avec leurs bi­cyclettes non éclairées, MM. Couppey Bernard, et Ribet Joseph, cultivateurs à Picauville, ont fait l’objet d’un procès-verbal.

Même contravention a ete dressée à M. Yonnet Ernest, domestique chez M. Cotelle.à Picauville, rencontré le même jour, près la gare de Chef- du-Pont, circulant de nuit, sans lumière à sa becaue.

Saint-Germain-de-Varreville. — Carnet de deuil. — Vendredi soir, 27 février, veuve Pierre Madelaine. mère de M. le Curé de Saint Geimain-de-Varreville, s’est éteinte pieu­sement, au Presbytère, à l’âge de 80 ans.

Une nombreuse assistance, en se pressant mercredi aux obsèques de la vénérable défunte, avait tenu a s’associer au deuil du zélé Pasteur et a lui témoigner sa respectueuse sym­pathie en cette pénible circonstance.

Un service sera célébré mardi prochain, 10 mars, en l’eglise de Saint-Garmain-de-Varreville, pour le repos de l’âme de Mme Madelaine

Nous prions M. l’Abbé MaJelaine et la famille, de bien vouloir agréer nos respectueux compli­ments de condoléances.

S AIN T-SAUVEUR-LE-VICOMTEDans la gendarmerie. — M Deguillard,

gendarme à cheval a Saint-Sauveur-!e-Vicomte, est nommé à Antrain (Ille-et-Vilaine).

BRICQUEBECPas commode, le couvreur. — Dernière­

ment M. Touzard, contremaître chez M. Clôt, entrepreneur a Bricquebec, travaillait sur un chantier, route de Valognes, avec deux ou­vriers, Pantbiou Charles, couvreur et Bourdon Bernard, manœuvre. Dans l’après-midi Touzard leur fit observer qu’ils avaient tort de profiter de l’absence du patron pour passer leur temps a l’auberge Guillotte. Voyant qu’ilB ne tenaient pas comble de l’observation le contremaître fit prévenir l'entrepreneur qui arriva alors que Panthiou était absent du chantier. Quand le couvreur parue M. Clôt l'informa qu’il lui diminuerait sa journée d’une heure. Furieux

Page 2: ORGANISATION DE LA DEFENSE RELIGIEUSE Informations

Panthiou aVu prit il Touzard, le gilla et lui porta tin coup de Irualln, puis les deux unta- goniates ae saisirent l\ liras le-corps et roulèrent a terre. M. Clôt s'interposant mit lin u la lutto. Cependant Panthiou prit une brique, et la lançant h la tète de Touzurd lui lit uun grave blessure à la tèfe. ICn outre il le saisit par les cheveux et lui en arraoha une poignée.

M. Touzurd a reçu les soina du docteur Briens qui a dû suturer la plaie.

Quinze jours auparavant. Panthiou et le contremaître Touzard avaient déjà eu une dis­cussion à propos du travail.

M. Touzard a porté plainte.Mm' Guillotle a luit l'objet d'un procèa-ver-

bal pour avoit servi è boire aux deux ouvriers de M, Clôt qui étaient déjà en état d’ivreBse.

Orage. — Un violent orage s’est abattu la semaine dernière sur notrs bourgade, causant des dégftla matériels importants. La tondre est tombée sur la maison de M. Vautier, notaire à Bricquebec, démolissant la chemines qui fut eventrée de part en part, et occasionnant des dégèts à la toiture.

La foudre est tombée sur les Ois de distribu­tion du courant électrique endommageant un transformateur. De ce fait, la bourgade s'est trouvée pendant plusieurs jours privée d'elec- tricité.

Oans la devanture. — La semaine der­nière, une camionnette Ford, qui stationnait devant la statue Le Marois, est partie seule, par suite de la déclivité do lu chaussée. Kilo heurta violemment un trottoir, puis vint défoncer la devanture du magasin de Mm" Yvelot, marchan­de ' i nouveautés. Les dégèts sont assez impor­tants.

Décès. — Mercredi est décédé, è l’Age de 88 ans, M. Levéel Krnest, doyen du Conseil Muni­cipal, où il était entré le '20 janvier 1878. M. Levéel était le frère de l'artiste oherbourgeois qui dota Cherbourg de la belle statue de Napo­léon.

Course cycliste. — Dimanche lfi mars, Club Vélooipédique Cheibourgeois. Parcours, 49B kilométr a, venant de Barneville et se dirigeant vers Quettetot, Lee Pieux, Cherbourg. Traversée dans la commune à partir de 13 h. 40.

Sottevast. — Anciens Combattants. — Les A. C. ont répondu on nombre à la convo­cation qui leur avait été adressée et environ 40 d’entre eux assistaient à la réunion qui avait lieu dimanche dernier. Le renouvel­lement du bureau figurait à l'ordre du jour.

Voulant prouver la conllance qu’ils avaient en leur bureau, ils ont réélu à l’unanimité les membres sortants.

Président : M. de Loizellerie.Vice-Président : M. Pinchon.Secrétaire : M. Mabiro.Trésorier : M. Levieux.Plusieurs vœux ont été émis et seront

transmis au Groupe Régional.

Deux nouvelles inscriptions pour la Caisse do Retraite du Combattant ont été recueillies, ce qui porte à 11 le nombre des adhérents.

Nécrologie.— M, Alexandre Couppfy est décédé dimanche, en son domicile à Sotte­vast, à l’âge de 77 ans.

Son inhumation a eu lieu mercredi en l'église de Sottevast.

A l’occasion de ce deuil, nous adressons à la Famille nos sincères: condoléances.

Toute la série. — M. Hamel Léon, aOx Roquiùres, à Sottevast, a été gratifié d’une triple contravention pour défaut de lumière à sa bicyclette, défaut d'appareil sonore et de surface rélléchissante rouge à l’arrière.

BARNEVILLEConcours cle taureaux. — Résultats du

concours organisé par le Comice Agricole de Barneville, le 1er mars :

Taureaux de 4 dents. — 1" prix, 400 fr., M. François Simon, à Baubigny.

Taureaux sans dents. — 1er prix, 300 fr., M. Félix Deslonchamps, àSaint-Georges-de- la-Rivière ; 2°, 300 fr.. M Albert Lecheva- lier, maire de La Haye-d’Ectot ; 3° 250 fr., M. Joseph Néel, a Saint-Georges-de-la- Rivièro ; 4”, 200 fr., M. Raymond Legriffon, à Portbail ; 1,'“ mention, M. Charles Bau­douin, à Sénoville ; 2e M. Albert Legriffon, à Barneville.

Portbail. — Les phares ne fonctionnaient pas. — M. Guillemin Paul, boucher à Port­bail, rentrait vers 7 heures du soir, avec son auto non éclairée, car ses phares ne fonctionnaient pas. Les gendarmes se trou­vant sur son chemin lui ont dressé procès- vorbal.

Après le divorce. — La discorde régnait depuis longlemps dans le ménage Vautier, des scènes se renouvelaient fréquemment ayant pour motif l’inconduite de la femme. Lo mari, Vautier Eugène, 30 ans, journa­lier, intenta une action en divorce et, d'après le jugement intervenu, la femme devait quitter le domicile conjugal. Cepen­dant ne tenant aucun compte de la notifica­tion qui lui fut faite, elle resta à la maison.

Une nouvelle discussion éclata entre les époux, dans la nuit de lundi à mardi. Au matin, le mari, au paroxysme de la colère, assomma sa femme à coups de bâton et lui porta un coup de couteau qui [ atteignit au sein droit, puis il alla se constituer pii- sonnier à la gendarmerie.

Arrêté aussitôt, Vaulier a été écroué mercredi à la prison de Valognes.

Les blessures de la femme Vautier ne présentent pas de gravité.

Saint-Georgos-de-la Rivière. — La lan­terne n'était pas éclairée. — M. Beaumel, boucher à Barneville, avait arrêté sa voiture près du débit Grenier oit il était en­tré. Passant par là, vers 7 heures 1/4 du soir", les gendarmes aperçurent la voiture

sans lumière. Us verbalisèrent contre le boucher qui avait bien une lanterne a son véhicule, mais avait omis de l’éclairer.

giiETTEHOUPas de chance. — M. Hamel qui fait le

courrier de Le Vast à Quettehou, avait eu l’épaulo droite fracturée il y a quelques mois. La semaine dernière en retournant à son domicile, il tomba à l’entrée de la rue des Halles et se fractura l’épaule gauche. Plusieurs semaines de repos lui seront né­cessaires.

Courrier supprimé. — A partir du 1er avril le courrier de Le Vast à la gare de Quettehou sera supprimé. Le service sera assuré par l’autobus de Cherbourg à Saint- Vaast.

Saint-Vaast-la-Hougue. — Récompense. La médaille d ’honneur des chemins de fer vient d’être décernée à M. Laporte, inspec­teur de l’exploitation à Saint-Vaast. Tous nos compliments.

Et le fana l 1 —• MM. Jupille Ernest, entrepreneur de maçonnerie, rue Grande- Rue, et Jupille Henri, maçon, rue de Verrue, rentraient de leur travail à bicyclette. Bien qu’il fût 7 heures 3/4, ni l’un ni l’autre n’avaient muni leur bécane d'une lumière Au passage à niveau les gendarmes se trou­vèrent à point pour relever la contraven­tion.

CHERBOURQUne auto dans le bassin. - - Mardi soir un

taxi automobile est tombé dans le bassin du commerce. L’auto appartenant à M. Renouf et dans laquelle ne se trouvait fort heureu­sement. pas de voyageurs, revenait de la gare et reprenait sa place de stationnement près du pont tournant, quand une rafale s’engouffrant dans la capote, précipita l’auto dans le bassin. M. Renouf se trouvait à terre et, n ’eut aucun mal, mais la voiture retirée le lendemain, à l'aide d’une grue, est dans un piteux é ta t .

A noter qu'au moment de la chute, l’auto est tombée d'abord sur un homardier, qui a été détérioré.

P a r o i , p a r l à .Concours national do muslquo de Caan

Le gouvernement ayant lixé les élections des conseillers généraux au 19 et 26 juillet prochain pour toute la France, le Comité d'organisation se voit obligé de changer les dates du Grand Concours National de Mus ique.

La proximité de la fête nationale ne per­mettant pas d’avancer les fêtes, le Comité a décidé de prendre la date définitive du di-

’ manche 9 août pour le concours national

de musique, suivi du challenge national de la Fédération Musicale de France pour lequel le journal te Malin ofTre quarante mille francs d'objets d’arts.

En conséquence :lu Le concours de solist'S et de solfège,

ainsi que l’épreuve du certificat d’aptitude à femploi de musicien, auront lieu le lun­di 10 août dans la matinée.

2° La clôture des adhésions est lixée au dimanche 17 mai.

3" Lu tirug i au sort des sociétés adhéren­tes aura lieu à Caen, le dimanche 24 mai.

4° Le morceau imposé sera envoyé le 4 juin.

7.000 invitations aux sociétés musicales ayant été lancées avant que ne soit paru le décret concernant les élections cantona­les, les sociétés voudront bien prendre note des changements ci-dessus et s’y conformer. Celles qui n'auraient pas reçu d’invitation sort priées de s'adresser à M. Marcel Petit, à Caen, 27, p’ace Saint Sauveur.

i,es adhésions doivent être adressées à Mj|,Piquet, sécrétaire général du concours à Caen, 34, rue de l’Engannerie.

Le Congrès de la Fédération Musicale de France aura lieu à Caen le Samedi 8 août.

Daatructlon do* «anglloraA une question de M. Alexandre Dumas,

député, demandant s’il est une restriction apportée à la législation sur la chasse, en ce qui concerne la destruction par les cultiva­teurs des sangliers qui dévastent leurs récoltes sur les terrains où ils n'ont pas le droit de chasse, le ministre de l’agriculture a répondu comme il suit :

« Le droit de repousser ou de détruire, même avec des armes à feu, les bêtes fau­ves, notamment Rs sangliers, qui porte­raient dommage à ses propriétés, a été formellement reconnu au propriétaire et au fermier par l’article 9 de la loi du 3 mai 1844 sur la police de la chasse. Aucune restriction ne peut être apportée à l’exerci­ce de ce droit de défense des récoltes par les arrêtés préfectoraux relatifs à la police de la chasse, et ce droit peut s’exercer, sans permis de chasse, en toute saison et. même la nuit, à l’affût, pourvu que le dommage soit réel ou imminent. »Un •alzlàm a aveugla da

guarra recouvra la vueAyant connu par la presse la série de

prouesses opératoires du Dr Bonnefon, de Bordeaux, un habitant de Montereau (Seine- et-Marne, M. Henri Noël, réformé à la suite drtfiefisures de guerre « pour perte totale et définitive de la vision », allait soumettre son cas au savant praticien. Celui-ci déclara une opération possib e, mais avec des chan­ces de succès très limitées.

M. Noël accepta l’opération, qui vient de

réussir au delà de toutes les prévisions. En effet, M. Noël, qui a regarde Montereau, de son œil à peine cicatrisé, perçoit aisément les visages et les objets qui l'environnent et distingue même, au moyen d’une loupe, les caractères d’imprimerie. Dans quelques semaines, lorsqu’il pourra porter des verres correcteurs, la résurrection visuelle sera un fait accompli. C’est le seizième aveugle de guerre auquel le Dr Bonnefon a rendu la vue.

O n D e m a n d e

Un OUVRIER T ypographeA l’imprime rie du Journal de Valognes.

P L U S D EH E R N I E S ! . .m au vaise Santé

Toute personne qui souffre d'un mal de dos, même léger, doit craindre que ce mal de dos ne soit le signe d’une laj- blesse ou d'une maladie des reins et doit se soigner en conséquence.

Dès que les reins fonctionnent mal, la santé devient mauvaise. Beaucoup de ma­laises, comme la lassitude le matin au ré­veilles maux de tête, les vertiges, l’inapti­tude au travail, ontpourcauséle mauvais fonctionnement ou la faiblesse des reins.

Dès que les reins sont fortifiés, les malaises disparaissent, car l ’acide urique est alors chassé régulièrement. C’est pour­quoi les Pilules Foster sont si efficaces lorsque la santé laisse à désirer. Elles sont souveraines contre le mal de dos et contre l'acide urique. Il suffit de les essayer pour ressentir leurs bons effets. Elles n'ont aucune action sur le cerveau, le cœur ou l’estomac, elles peuvent être continuées sans danger, et, dans les cas de rhuma­tisme, de sciatique, de goutte, d’hydro- pisiefenflure des chevilles) elles donnent des résultats souvent inespérés. La boîte 5 fr. 6o, la double boîte p fr.*6o. Toutes pharmacies ou franco H. Binac, Phar. macien, 25, rue St-Ferdinand, Paris-17.

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Etude do M" LEPELLETIER,Commissaire-Priseur à Valognes.

M de Mobilier Agricole mort et vif, par suite de cessation

complète do faisance-valolr, à VA- LOGNES, à la Victoire (route de Montebourg). Le Mercredi Jl Mars 1925, à une heure, M. Noël Boutru- cub, propriétaire, fera' vendre : Mo­bilier vif. — Chevaux : Cheval do 12 ans, très doux, parfait limonier ot at­telé â tous usages ; une Jument demi-sang, bai, âgée do 7 ans, tiès bonno de service (avec carte), pleine d'un étalon percheron ot à forme le 16 avril ; poney de 4 ans, très doux et bien attelé. — Bestiaux : Une vache de 5 ans, pltdne du 3 mois ; une vache d'herbage, de l ans ; une génleae de 3 ans, pleine do 6 mois ; une génleae de 3 ans, pleine do 4 mois ; 3 génleaea bonnes à faire saillir ; uno génleae de 6 mois ( Ces vaches et génisses d'une très bonne origine) 9 très belles brebis (prêtes à mettre bas). — Mobilier mort. — Charrette fourragère à l et 2 che­vaux avec tous accessoires à l’état do neuf; bennaau â un cheval ; équipa gea de limon et do devant, très bon état : harnais divers ; belle bricole en cuir jaune pour cheval ; fau­cheuse Derring, à 2 chevaux ; b a­ratte tournante, pour 12 kilos de beurre. Bon lot do bols de charron­nage, en chêne; échalas pour pom­miers, tuyaux en ciment, augos, oru- ehea en cuivre, etc,

ARGENT COMPTANT.

Etude do M” René FRANÇOIS,Notaire à Montebourg.

VENTE D’HERBEA FRESVILLE, le Lundi 16 Mars

JT‘'5, à 3 heures du soir, M” François, Notaire, procédera, requête de M. Charles DUCHEM1N', à la vento do l’Herbe à dépouiller des Clos Jaquet, conteront en totalité, environ (i hec­tares 40 aies.Jouissance jusqu'au Ier Décembre

1925.Réunion des Amateurs, à l’Eglise

de Fresville, à 3 heures.

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De gré à gré, pour cause de santé,

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Notaire.

Etude do M» Louis SOREL, notaire à Saint-Sauveur-te-Vieomte.

Suivant acte reçu par M" Sorel, Notaire à Saint-Sauveur-le-Vicomte, le 26 février 1925, portant cotte men­tion : Enregistré à Saint-Sauveur-le- Vicomte, lo 2 Mars 1925, folio 18, case 66, Reçu 242 fr. 31. Signé Platei,. M118 Augustine LEMAR1NFL, Epinière, demeurant à Rauvillo-la-Place, a vendu à M. Paul ANGOT, jardinier et MM Marie T1RKLLK, son épouse, demeurant ensemble à Rauville-la- Plact ,1c Fonds de Commerce d'Epi- oerle, Mercerie et de Débit de bois­sons qu’tdle exploite A Rauville-la- Plaoe,comprenant: Le nom commer­cial, ta clientèle et achalandage, les droits attachés à la licence, le m até­riel et les marchandises.

Les oppositions s'il y a lieu, de­vront être faites dans les dix jours de la seconde insertion et seront re­çues à Saint-Sauveur-le-Vicomte, en l ’étude de M» Sorel, Notaire, domi­cile élu par les parties.

Pour première insertion : SOREL.

Etude do M» Charles MEURY,Licencié en droit, notaire à Valognes.

Adjudication VolontaireA Valognes. en l’Etude, le Mercre­

di 11 Mars 1925, à 2 heures de l’après-midi.

Maison à usage d ’ H ab itatlonSise à VALOGNES, rue Saint-

Malo, n° 79, composée de cuisine et cabinet au rez de-chaussée, grenier dessus, cour fermée devant, jardin derrière dans lequel puits commun et cellier. Le tout borné par la rue Saint Malo. le Bureau da Bienfaisan­ce et M. Piédagnel.

Pour tous renseignements, s’adres­ser à M” Meury, notaire, tous les jours do 2 heures à 5 heures.

Même EtudeAdjudication Volontaire

A Valognes. en l’Etude, le Mardi 17 Mars 1925, a 2 heures d’après- midi

IMMEUBLESsis

1. — Commune de SAINT-GERMAIN DE-TOURNEBUT

Au Mont-Roti.Premier Lot

Meiaon d'habitation, comprenant grande cuisine, salle au rez-de-chaus­sée, cellier à côté, grenier sur le tout.

Cour formé» devant dans laquelle petites étables, Jardin derrière.

Le tout borné par M. Bienaimé Le- eonte et M. Octave Lemarois, d'une contenance d’environ 8 ares 50 cen- tiaires.

Deuxième LotHorbaga planté nommé le Clos

Janet, d'une contenance d'environ 34 ares 04 centiares, borné par MM. de la Hautière et Cuquemelle et un chemin.

Troisième LotBaux harbagoi clairs, réunis,

nommés les Clos Lelièvre d’une contenance d'environ 70 ares, bornés par MM. do la Hautière et Lemarois, Mu,» veuve Ferrand et le chemin du Mont- Rôti.

Quatrième LotBaux pléoas se tenant, en herbe,

plantées de pommiers en plein rap­port, nommés Clos Renard, d'une contenance d’environ 80 ares, bor­nées par une chasse, le chemin du Mont-Roti et M. Lemarois.11. — Commune de TAMERVILLE

il la ColicherieCinquième Lot

Pléoa da lorro en herbe plantée nommée le Pré Catoire ou Purga­toire d une contenance d'environ 60 ares, bornée par MM. Bienaimé Le- conte, Charles Jaunet, Auguste Le- poittevin et une chasse.

f or et 2“ lois libres de location.Jouissance réelle rapprochée pour

les autres lots.Pour visiter, s'adresser sur place et

pour tous autres renseignements à M" Meury, notaire.

Môme Etude

VEN TE M O BILIEREA SAINT - G ER M A IN-DE-TOUR­

NEBUT, au Mont-Roti, au domicile de feu M. .Ferdinand LECONTE, le Dimanche 22 Mars, à 1 heure 1/2 d’après-midi, M” .Meury vendra :

Mobilier comprenant :ln UstaniDsa da culalne : Vais­

selles diverses, assiettes, plats, sou­pières, saladier, fourchettes, cuil­lères, pots, terrines, garde-manger, plate al aaalallaa anciens fleuris.

2" Cuivras : Quatre cruches, plais en cuivre rouge, bassinoire, casse­roles, bassin à bouillie, chaudrons, poêle ot lèchefrite, cafetière.

3" Etain : Pichets avec couvercle, de 1 litre, 1/2 litre, 1/4 de litre, grands piafs longs bordure fleurie, 5 plats longs, 6 grandes assiettes, série de mesures

-1° Mouble : Chaises, fauteuils en paille, table de cuisine, baneelle, vaisselier, horloge et sa boîte, alcô­ve, lit de fer et rideaux, lits de plu­mes et literie diverse, armoires nor­mandes, guéridon.

5» M atériel de oava : Bon pressoir à vis, moulin à pommes, tonneaux, barriques, baquets, etc.

6» Divers : Balance et série de poids de cuivre, lampes, etc., outils de jardinage, baratte à beurre, échelle, Et quantité d'autres choses.

Argent comptant.

Etude de Mc Léon THIEBOT,Docteur en Droit, Notaire à Valognes.

PREMIERE INSERTION

Aux termes d'un acte r< çu par M ' THIEBOT, notaire à Valognes, le 3 mars 1925, enregistré audit lieu le lendemain, folio 66, case 289, par le receveur qui a perçu les droits.

M. Mathurin-Mai'ie LE MOING, pâ lissier, demeurant à Valognes, rue des Religieuses, n° 15.

A vendu à M. Auguste Alain-Henri B01ZET, pâtissier, demeurant à Cher­bourg, rue Tour-Carrée, il0 30.

La fonds da commerça da pâtls- serio al confisaris, exploité par M. LE MOING, à Valognes, rue des Re­ligieuses, n° 15, ensemble les élé­ments incorporels ; l'enseigne, la clientèle et l’achalandage 'y atta­chés, le matériel et objets mobiliers servant à son exploitation, et les élé­ments corporels.

L’entrée en jouissance a été fixée au 1er avril 1925.

Les oppositions, s'il y a lieu, de­vront être faites, au plus tard, dans les dix jours do ladouxiômc insertion et seront reçues à Valognes, en l’étu­de do M" Thiébot.

Pour première insertion, THIÉBOT.

Etude de M' Léon THIÉBOT,Docteur en Droit, Notaire à Valognes.

BA IL par AdjudicationLo Mardi 7 Avril 1925, à 2 heures

30 (heure légale), en l’étude,

Des IMMEUBLESCi-après, situés à FRESVILLE et

EMONDEVILLE.Premier Lot

La Terre & Ferme de Gonnevillesituée à FRESVILLE, triage de Man- deville, comprenant :

Balte malaon d’habitation compo­sée de salle à manger, grande cuisine, laverie, laiterie, cellier ; cinq pièces au premier étage ; chambre mansar­dée et greniers. — Cours, pressoir, 4 étables, remises, écuries, box. hurets; grand Jardin et diverses plècai da terre en herbage clair et planté.

Le tout d’une contenance d’environ 20 hectares 40 ares.

Deuxième LotUne pièce dite le Clos du Four, te­

nant 2 hectares 60 ares, sise à FRES­VILLE, à environ 1 kilomètre de la ferme du 1er lot.

Troisième LotTrois pièce» de terra en het luge

et un prè, avec petit bâtiment et ja r­din, le tout tenant 5 hectares 32 ares, sis à EMONDEVILLE, près la Cour.

Tous ces herbages sont de première qualité. — Bons abreuvoirs.

Pour visiter la ferme, s'y adresser, le vendredi, de 1 heure à 4 heures et pour tous renseignements, s’adresser à l’étude, 16, rue de Wéléat.

. . . . . . . . . . . . . . . . . . — " " NFlorimond MŒRMAN

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S’adresser au bureau du journal.

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Prix de la saillie (pourboire, écurie compris) : 50 Ir.

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S'adresser au bureau du journal.

Etude de M' Paul CALVARIN,Notaire à Valognes

(Successeur de Mc Chevreuil).

BAIL aux EnchèresEn 6 Lots,

A VALOGNES, en l’Etude de Mc Calvarin, le Vendredi 27Mars 1925, à 2 heures de l'après-midi,

Des P ièces de T erreCi-après désignées, dépendant de la

succession de M. Léon Mouchel.Sur MONTAIGU-LA-BRISETTE

Le Clos Mignot, 55 a. 30 cent. ;Le Pré de Haut, 26 a. 24 cent. ;Le Closdu Colombier, 38 a. 30cent.; Le Jardin, 42 a. 15 cent. ;Le Clos de la Croix, 34 a, 65 cent. ;

Sur TAMERVILLE Le Clos Carré, 45 a. 40 cent.

Jouissance : Pâques 1925 Pour tous renseignements, s'adres­

ser à M» CALVARIN, notaire.

Même EtudeA VENDRE de Gré à Gré

Une MAISON 0 HABITATIONSise à VALOGNES, quartier du

Bourg-Neuf, composée de cuisine, salle à manger ; autre salle ; deux chambres, grenier, cellier, cour, deux grands jardins avec puits.

Libre de location : Saint-Michel 1925.

Pour tous renseignements, s'adres­ser à l'étude de M» CALVARIN.

Etude de M" SOREL. Notaire à Saint-Sauveur-le-Vicomte.

Location par AdjudicationLe Jeudi 26 Mars 1925, à 2 heures

et demie de l'après-midi, en l'étude, requête de M1”' veuve Jouannh et de ses enfants.1° De la Terre et Ferme du Neufbourgsituée à NEHOU, contenant 27 hec­tares.2 ° De la Terre el Ferme de Routardsituée également à NEHOU, conte­nant 32 hectares.

Jouissance à Saint Michel 1925. Pour visiter, s ’adresser à Mnt

veuve Jouanne, à Néhou et pour tous renseignements au notaire.

A V E N D R EPrès BAYEUX,

Belle FERME herbagère3 0 I ie c t » i* e s » . Bons bâti­

ments. Rivière traversant la pro­priété.

A CERISY-LA FORÊTDqIIq r r n M f 3 0 h e c t a r e s DGIIG ILnlIlL presque tout her­bages. Libre à Saint-Michel prochain.

S'adresser à M. DIÏLAUNE, à Valo­gnes.

Etude de M" Maurice LE BRAS, Notaire à Cherbourg.

ADJUDICATION VolontaireA CHERBOURG, en l'Etude, le

Lundi 23 Mars 1925, à 2 heures du soir,

D E Ü M E N SCi- près,

Dépendant de la succession de Mmr Le Reculi.ey de la Huberderie.

Commune de La Glacerie1° Une Maison de maître, village

de l'Eglise, bâtiment à usage de pres­soir, emplacements et ruines de constructions.

Un jardin potager et une pièce plantée de pommiers.

2° Une ancienne maison, située au hameau de l’Eglise, dite « Maison Contant ». Cour et jardin potager.

3° Une pièce de terre en partie plantée, au Village de l'Eglise, appe­lée le Bios Gain ou Pièce des Jardins.

4° Une pièce de terre en herbe, plantée, sise même Village de l'Eglise, dite le Clos de Haut.

5° Une pièce de terre en herbage clair, touchant le Clos de Haut, nom­mée le Clos du Chêne.

6° Une parcelle de terrain inculte sise au Village de l’Eglise, appelée le Jardin Gnues'ain.

7° Une pièce de terre labourable, quai'iierdu Val Joly, appelée le Four- nel ou Clos de l'Etoile.

8ttUne pièce de terre nature de pré, quartier des Traînes, nommée Le Marais.

9° Une parcelle de terre en hois et landages, même quartier desTraines, nommée Le Bas de la Grande Lande.

Four plus de détails, consulter les affiches; pour visiter les l"r et 2e lots, s’adresser sur place, le Mardi, de 2 heures à 4 heures ; et pour tous ren- soigneuiînts, s’adresser à M''Le Bras, Notaire.

Etude de Me BEAUGRAND, notaire à Sainte-Marie-du-Mont.

VENTE D’HERBEA dépouiller,

A BOUTTEVILLE, au Château de Reuville, le lundi 16 Mars 1925, à 4 heures du soir, requête de M. René V1EL.

1er Lot. — La pièce La Veuve, 5 hectares 60 ares.

2° Lot. — La pièce La Veuve, 2 hectares 60 ares.

Bons abreuvoirs. — Conditions or­dinaires.

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La JOUVENCE de l'Abbé SOURY, préparée â la Pharmacie Mag DUMONTIER, a Houen. se trouve dans toutes les Pharmacies; le flacon, francs, plus impôt

| Bieo exiger la Véritable JOUVENCE de l'Abbé SOURYavec la s ig n a tu re Mag. DUMONTIER

(Registre du Commerce Rouen N° A. 6.829 et A. 11.512