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Le saviez-vous ? La CSDM, c’est aussi pour les adultes! Plus de 23 000 adultes fréquentent nos salles de cours. Pourquoi? Voici quelques bonnes raisons… Seize de nos établissements accueillent les adultes qui désirent revenir aux études, acquérir un métier, actualiser leurs compétences, appren- dre à lire et à écrire, maîtriser le français, pour- suivre un développement personnel ou social, etc. Ces centres offrent des services et des cours très variés : alphabétisation, études secondaires, préalables pour le cégep, formation à distance assistée, tests de classement, etc. L’apprentissage du français est le plus important de nos programmes : 43 % de nos élèves y sont inscrits. Grâce au programme en concomitance, un adulte peut, en même temps, terminer les préalables qui lui manquent et recevoir une formation professionnelle. Il est possible d’obtenir son diplôme d’étu- des secondaires de chez soi. La formation à distance assistée permet de suivre ses cours à la maison, avec tout le soutien nécessaire. Plusieurs centres offrent aux parents des cours et des services en tous genres : aide aux devoirs, cours du samedi en francisa- tion, interprètes pour les remises de bulletins, etc. Les entreprises peuvent s’adresser au CREP pour offrir à leurs employés des cours sur mesure : préparation à la retraite, rédaction, communica- tion orale, résolution de pro- blèmes… Il y a une vie étudiante à l’éducation des adultes! Les activités sportives, culturelles et scientifiques sont nombreuses, et souvent remarquées. En 2005, le centre Yves-Thériault a rem- porté le 1 er prix national du Con- cours québécois en entrepreneuriat, pour son projet Salon des métiers d’arts et de la culture. En 2006, la CSDM était finaliste aux Prix cana- diens de la coopération interna- tionale, pour Le monde en tête. Renseignez-vous ! Centre Champagnat : 514 350-8800 Le 9 février, la CSDM a tenu une journée de réflexion très stimulante, où 200 participants ont discuté d’idées à la fois simples et rafraîchissantes pour augmenter le taux de réussite au secondaire. Ces idées sont actuelle- ment examinées par la Commission scolaire dans le but de produire un plan d’action sur l’école secondaire, et ce, avant les vacances d’été. En voici quelques-unes qui font aussi écho aux préoccupations des parents. Le premier cycle du secondaire et la transition du primaire au secondaire sont des moments déterminants. L’école devrait accompagner l’élève dans l’apprentissage de son « métier ». Le métier d’élève, c’est savoir organiser son travail, lire, prendre des notes, gérer son matériel etc. L’élève doit connaître le plaisir du travail. Certains disent qu’un élève échoue parce qu’il n’est pas motivé; le pédagogue, lui, sait que cet élève n’est pas motivé parce qu’il échoue. Il faut valoriser la réussite, le succès qui engendre le plaisir et la motivation. Chaque jour, dans les classes et les cours d’é- cole, la CSDM cherche à transmettre des valeurs qui lui sont chères. Pour nous, la par- ticipation démocratique, le respect, la justice et le droit à l’information tissent les liens de notre société, et doivent continuer à le faire. Évidemment, nous tenons aussi à prêcher par l’exemple. C’est dans cette perspective que nous venons de créer un poste d’ombudsman à la CSDM, une réalisation à laquelle mon équipe tient beaucoup. Il existe déjà, à la CSDM, plusieurs politiques et procédures qui visent à établir un climat de confiance et à prévenir ou corriger les situa- tions conflictuelles, lorsqu’elles se présentent. Dorénavant, l’ombudsman est là pour apporter une aide supplémentaire à toute per- sonne qui se sent encore lésée après avoir utilisé les recours habituels. En allant frapper à sa porte, cette personne trouvera un inter- médiaire expérimenté, attentif et crédible, qui saura l’informer et, au besoin, enquêter de manière impartiale. Les services de l’ombudsman sont gratuits et confidentiels, et s’adressent à tous ceux et celles qui sont en rapport avec la CSDM – pa- rent, élève, employé, partenaire ou fournisseur. De notre côté, nous croyons que par ses recom- mandations, l’ombudsman nous aidera à nous améliorer et à établir, entre vous et nous, un lien de plus, basé sur toutes ces valeurs aux- quelles nous tenons tant. Volume 1, numéro 2 École Irénée-Lussier Oui, l’école secondaire peut s’améliorer! 1 Diane De Courcy Présidente de la CSDM L’ombudsman, un lien de plus entre vous et nous

Oui, l’école secondaire peut s’améliorer!

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Page 1: Oui, l’école secondaire peut s’améliorer!

Le saviez-vous ?La CSDM,

c’est aussi pour

les adultes!

Plus de 23 000 adultes fréquentent

nos salles de cours. Pourquoi?

Voici quelques bonnes raisons…

• Seize de nos établissements accueillent les

adultes qui désirent revenir aux études, acquérir

un métier, actualiser leurs compétences, appren-

dre à lire et à écrire, maîtriser le français, pour-

suivre un développement personnel ou social,

etc. Ces centres offrent des services et des cours

très variés : alphabétisation, études secondaires,

préalables pour le cégep, formation à distance

assistée, tests de classement, etc.

• L’apprentissage du français est le plus

important de nos programmes : 43 % de nos

élèves y sont inscrits.

• Grâce au programme en concomitance, un

adulte peut, en même temps, terminer les

préalables qui lui manquent et recevoir une

formation professionnelle.

• Il est possible d’obtenir son diplôme d’étu-

des secondaires de chez soi. La formation à

distance assistée permet de suivre ses cours à

la maison, avec tout le soutien nécessaire.

• Plusieurs centres offrent aux parents des

cours et des services en tous genres : aide

aux devoirs, cours du samedi en francisa-

tion, interprètes pour les remises de

bulletins, etc.

• Les entreprises peuvent s’adresser au

CREP pour offrir à leurs employés des

cours sur mesure : préparation à la

retraite, rédaction, communica-

tion orale, résolution de pro-

blèmes…

• Il y a une vie étudiante à

l’éducation des adultes! Les

activités sportives, culturelles et

scientifiques sont nombreuses,

et souvent remarquées. En 2005,

le centre Yves-Thériault a rem-

porté le 1er prix national du Con-

cours québécois en entrepreneuriat,

pour son projet Salon des métiers

d’arts et de la culture. En 2006, la

CSDM était finaliste aux Prix cana-

diens de la coopération interna-

tionale, pour Le monde en tête.

Renseignez-vous ! Centre

Champagnat : 514 350-8800

Le 9 février, la CSDM a tenu une journée deréflexion très stimulante, où 200 participantso n t d i s c u t é d ’ i d é e s à l a f o i s s i m p l e s e trafraîchissantes pour augmenter le taux deréussite au secondaire. Ces idées sont actuelle-ment examinées par la Commission scolairedans le but de produire un plan d’action surl’école secondaire, et ce, avant les vacancesd’été. En voici quelques-unes qui font aussiécho aux préoccupations des parents.

• Le premier cycle du secondaire et la transitiondu primaire au secondaire sont des momentsdéterminants. L’école devrait accompagnerl’élève dans l’apprentissage de son « métier ».Le métier d’élève, c’est savoir organiser sontravail, lire, prendre des notes, gérer sonmatériel etc.

• L’élève doit connaître le plaisir dutravail. Certains disent qu’un élèveé c h o u e p a r c e q u’ i l n’ e s t p a smotivé; le pédagogue, lui, saitque cet élève n’est pas motivé parcequ’il échoue. Il faut valoriser la réussite,le succès qui engendre le plaisir et lamotivation. ▲

Chaque jour, dans les classes et les cours d’é-cole, la CSDM cherche à transmettre desvaleurs qui lui sont chères. Pour nous, la par-ticipation démocratique, le respect, la justiceet le droit à l’information tissent les liens denotre société, et doivent continuer à le faire.

Évidemment, nous tenons aussi à prêcher parl’exemple. C’est dans cette perspective que nousvenons de créer un poste d’ombudsman à laCSDM, une réalisation à laquelle mon équipetient beaucoup.

Il existe déjà, à la CSDM, plusieurs politiques etprocédures qui visent à établir un climat deconfiance et à prévenir ou corriger les situa-

tions conflictuelles, lorsqu’elles se présentent.D o r é n av a n t , l ’ o m b u d s m a n e s t l à p o u rapporter une aide supplémentaire à toute per-sonne qui se sent encore lésée après avoirutilisé les recours habituels. En allant frapperà sa porte, cette personne trouvera un inter-médiaire expérimenté, attentif et crédible, quisaura l’informer et, au besoin, enquêter demanière impartiale.

Les services de l’ombudsman sont gratuits etconfidentiels, et s’adressent à tous ceux etcelles qui sont en rapport avec la CSDM – pa-rent, élève, employé, partenaire ou fournisseur.De notre côté, nous croyons que par ses recom-mandations, l’ombudsman nous aidera à nousaméliorer et à établir, entre vous et nous, unlien de plus, basé sur toutes ces valeurs aux-quelles nous tenons tant. ▲

Volume 1, numéro 2

École Irénée-Lussier

OOuuii,, ll’’ééccoollee sseeccoonnddaaiirree ppeeuutt ss’’aamméélliioorreerr!!

11

Diane De Courcy

Présidente de la CSDM

L’ombudsman, un lien

de plus entre vous et nous

Page 2: Oui, l’école secondaire peut s’améliorer!

FUTURS ACROBATESÀ SAINTE-ODILE?

Pour une deuxième année consécutive, lecours d’éducation physique a initié lesélèves du 2e cycle à l’art du cirque.Ce projet très apprécié est né d’unpartenariat entre l’école, la CSDM

et la Ville de Montréal.

PARENTS BONS COMME… DU PAIN, À FRANÇOIS-DE-LAVAL

Une équipe de parents bénévoles aamassé près de 2 000 $ en vendant

des « baguettines » de pain!Cette aide formidable a contribué à

aménager la cour de l’école.

SPECTACLE DE CIRQUEÀ ALICE-PARIZEAU

Avec fierté, les élèves de 4e année ontprésenté aux parents un numéro spécialtémoignant de leur travail pour le projet

Cirque, mené en collaborationavec la Ville de Montréal et l’École

du cirque de Verdun.

De nos jours, quand l’existence même des commissions scolaires et de leurs élus est remise en question etque seulement 2 % des électeurs participent aux élections scolaires, nous devons, collectivement, prendrele temps de réfléchir.

Est-ce qu’une commission scolaire est essentielle? Non. Dans le monde entier, il existe plusieurs modèlesadministratifs. Posons-nous la question d’une façon plus utile : « Est-ce qu’une commission scolaire estessentielle pour assurer une gestion locale axée sur des besoins locaux et offrant des solutions pertinentes àchacun des quartiers et à chacune des écoles? » Oui, la commission scolaire s’assure que les décisions admi-nistratives sont accessibles à la population et n’émanent pas d’un bureau lointain.

Est-ce qu’une commission scolaire peut fonctionner sans élus? Certainement, puisque des milliers de per-sonnes dévouées et professionnelles assurent leur activité quotidienne. Seulement, les élus sont essentiels àla démocratisation des établissements scolaires et des processus décisionnels. Cette valeur primordiale denotre société nous distingue et, j’en suis convaincu, nous rassemble. Notre commissaire a des façons de faireou des politiques qui divergent de nos opinions? Très bien! C’est là que la démocratie entre en jeu, c’est àpartir de ce moment que nous apprécions notre pouvoir de citoyen, car nous avons le droit de l’influencer,de le convaincre ou, ultimement, de le remplacer aux élections!

La démocratie est un legs des générations précédentes. C’est à nous de la préserver et de l’améliorer.Participons aux instances et aux élections scolaires, et nous contribuerons à l’épanouissement de nos jeunesainsi qu’à celui de notre société.

« Les écoles de Bordeaux-Cartierville sont fières de vousoffrir le programme de développement sportif en milieuscolaire. » (page d’accueil du site web de ABC Sports,http://abcsports.groupecles.net) Cette phrase reflète bien le sen-timent des personnes qui ont investi beaucoup de leur temps et de leur âmepour démarrer un projet des plus stimulants, à la dernière année scolaire.

ABC Sports encadre nos jeunes du primaire et du secondaire pendant un certain nombre d’heures parsemaine dans une activité qui les intéresse et les motive, comme le basket-ball. Les élèves des écoles primaires,regroupés dans des équipes sportives, sont entraînés par les élèves des écoles secondaires du quartier. De leurcôté, les élèves du secondaire sont formés pour entraîner et arbitrer les équipes composées de plus jeunes.

L’idée semble simple et évidente, mais elle est en même temps unique et innovatrice. C’est grâce aux effortssoutenus des directions d’école, d’enseignants, de professionnels ainsi que du personnel de soutien de laCSDM et de partenaires que ce projet s’est réalisé. Aujourd’hui, nous comptons presque 400 élèves qui par-ticipent aux diverses activités.

Pour minimiser les frais, deux activités d’autofinancement ont eu lieu jusqu’à maintenant : un tournoi degolf, en août 2006, et un tournoi de basket-ball, en novembre 2006. Ce dernier a regroupé une soixantained’équipes, dont une de l’Ontario.

Grâce aux excellentes équipes des écoles du quartier, Cartierville est devenu un chef de file dans le domainedes projets sociocommunautaires scolaires. Il ne nous reste donc qu’à applaudir et à participer!

Viken Afarian514 [email protected]

Commissaire scolaire / Cartierville

ABC Sports :

un projet unique

et rassembleur

de notre quartier

— Viken Afarian

etBénévolat

engagement

Dossier

Bons coups

chaud

LOUISBOURG ENCORECHAMPIONNE AU PANIER !

En février, l'équipe masculine du 3e cyclea remporté le championnat régional demini-basket, au tournoi de Katimavik.

Cette équipe détenait déjà le titreprovincial pour 2004 et 2005!

IL ÉTAIT UN SOIR,À LA DAUVERSIÈRE…

Au soir du 22 février, les jeunes du se-condaire se sont plongés dans un universfantastique. Jacques Pasquet et Claude

Gravel ont animé pour eux une soirée decontes titillant leur imagination fertile.

Je suis mère québécoise d’origine syrienne.Le but principal de mon engagement, c’est la réussitescolaire de mes enfants. Cela me permet de mefamiliariser avec le milieu scolaire du Québec,ses valeurs, son fonctionnement, l’organisationde l’école et son projet éducatif.— Maysoun, parent bénévole, école Évangéline

«

»

Je trouve important de m’impliquer à l’école,

ça me permet de suivre l’évolution de mon

fils. Celui-ci est fier de ma présence quotidi-

enne, et je lui transmets ainsi l’importance de

l’éducation et de l’implication sociale.

— Nathalie Rock, parent bénévole,

école François-de-Laval

«

»

S’impliquer à l’école de son enfant,

ça veut dire quoi?

Savez-vous que plusieurs activités de l’école de votre enfant sont possiblesgrâce à des parents bénévoles? Que la majorité des bibliothèques d’écolereçoivent de l’aide de parents bénévoles? Que des parents peuvent don-ner leur avis ou leur accord sur ce qui se passe à l’école en siégeant auconseil d’établissement (CÉ)?

Oui, même en 2007, il est possible de donner du temps à nos écoles!Plusieurs d’entre elles ont même un organisme de parents partici-pants (OPP). Imaginez! Si chaque parent donnait une heure debénévolat par année, à nous tous, nous offririons plus de 100 000 heures ànos écoles. Une quantité phénoménale de projets verraient le jour, et lesenseignants auraient un soutien important.

Il est vrai que nous ne pouvons pas tout faire. Et nous devons respecter noslimites en tant que parent au sein de l’école. Nous sommes cependant despartenaires de premier plan.

Voici quelques suggestions sur la façon de vous impliquer : accompagnervotre enfant à une sortie avec l’enseignant, participer à une campagne definancement, offrir vos services à la bibliothèque, distribuer les collations.

Toutes les petites choses que vous ferez auront un impact direct sur l’envi-ronnement quotidien de votre enfant. Alors, n’hésitez plus, offrez de votretemps à votre direction d’école, et vos enfants en sortiront gagnants!

— Christine Fournier, présidente Comité central des parents

CARNAVAL DANS LA COURDE L’ÉCOLE GILLES-VIGNEAULT

Fidèle à ses traditions, l’école a tenuson carnaval annuel.

De nombreuses activités amusantesont été proposées aux élèves.Une joyeuse façon de rendre

hommage à l’hiver!

ÉVANGÉLINE SUR LA ROUTE !Durant l’année scolaire, l’école a fait unetournée des autres écoles primaires. Lesélèves ont apprivoisé l’école secondaire

par des matchs d’improvisation,de soccer et de basket-ball. L’événement

le plus attendu était le grand rallye!

Parents

commissaires Claude Bouchard . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . [email protected]

Manon Ricard . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . [email protected]

Nous avons été élus par le Comité central des parents pour représenter tous

les parents pendant un an au Conseil des commissaires. Nous épaulons les

parents qui font appel à nous et, au besoin, nous défendons leurs droits.

C'est un travail exigeant, mais si valorisant !

— Manon Ricard et Claude Bouchard, parents commissaires

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CSDM Spreads 1a21.doc 07-04-23 10:46 Page 1

Page 3: Oui, l’école secondaire peut s’améliorer!

Depuis l’automne dernier, la CSDM travailleà renouveler les bulletins du primaire et

du secondaire. Ce processusavance très bien!

Actuellement, nous termi-nons une large consulta-tion de tous les

conseils d’éta-

blissement de nos écoles primaires et secondaires.Au moyen d’un DVD, les membres de ces conseils– parents, enseignants, directions et personnel –ont pu se prononcer sur huit points du bulletin.Par exemple, nous leur avons demandé quelle for-mule ils préféraient pour nommer les compé-tences disciplinaires. Pour chaque question, ils ontpu choisir une réponse parmi un certain nombrede propositions présentées par le ministère de l’É-ducation, du Loisir et du Sport, le Comité centralde parents et la CSDM.

Certains ajouts ont aussi été suggérés. Ainsi, nousenvisageons la possibilité, si cela est jugé pertinent,d’annoncer les principaux contenus d’apprentis-sage à venir. Il serait aussi possible d’apprécier lecomportement de l’élève lorsqu’il se trouve auservice de garde ou participe à des activités para-

scolaires.

Toutes les réponses de ce sondage seront bien-tôt colligées, puis analysées par le Comité con-seil sur le développement pédagogique. Celui-ciest composé de commissaires, d’un représen-tant du Comité central de parents, des représen-tants des associations de directions d’établisse-ment ainsi que des syndicats de professionnelset d’enseignants.

Une nouvelle version du bulletin sera ensuitesoumise à une seconde consultation, pour êtreenfin adoptée, dans sa forme finale, par le Con-seil des commissaires, en août. Notre but : vousacheminer un bulletin revu et amélioré, clair etcompréhensible, grâce auquel vous pourrezaisément suivre l’évolutiond e v o t r e e n f a n t e td e s e s r é s u l t a t sscolaires. ▲

De nombreuses études l’affirment : quand l’école s’ap-puie sur sa communauté, les élèves réussissent mieux.La CSDM croit aussi dans cette équation, confiantequ’une école ancrée dans son milieu, où parents, béné-voles et intervenants du quartier s’impliquent, offre auxjeunes un miroir dynamique et positif de leur société.

L’école communautaire émerge d’une volonté del’établissement scolaire, des parents et de la com-munauté de mettre à contribution leur expertiseau profit des élèves.

Quelques exemples de projets

• La Maison de la visite invite les enfants du Sault-au-Récollet et leurs familles à des activités éducatives quifavorisent leur bien-être.

• La Maison des enfants de l’île de Montréal, un lieu deparole et d’écoute pour les enfants, fournit des services à23 écoles primaires.

• Une cinquantaine d’organismes locaux aident 5 000élèves de 150 écoles primaires à faire leurs devoirs.

• Le Cirque du Soleil travaille avec des écoles duquartier de Saint-Michel pour encourager la per-sévérance scolaire. ▲

Ce document est imprimé sur du papier recyclé.

Micheline Pothier

Directrice générale

de la CSDM

Un nouveau bulletin pour juin

Une école ancrée dans son mondePremière classe est un bulletin

d’information de la Commission scolairede Montréal publié par le

Service des communications,3737, rue Sherbrooke Est,

4e étage Nord, Montréal Québec) H1X 3B3 ;

514 596-6118.Dépôt légal : Bibliothèque

nationale du Québec.Bibliothèque nationale du Canada ;

ISSN 1911-5695.

www.csdm.qc.ca

Notre « plan vert » : un début prometteurDésirant pousser encore plus loin, la Commission sco-laire a adopté, en 2006, un « plan vert » qu’elle a aussitôtentrepris de mettre en œuvre. C’est ainsi que depuisquelques mois, elle multiplie les gestes pour contribuer,à la mesure de ses moyens, au Protocole de Kyoto et aumieux-être de la planète.

Déjà, plusieurs projets sont en très bonne voie.

En voici quelques exemples…

• Des démarches sont en cours pour offrir, en collabora-tion avec Vélo-Québec et l’École des métiers de la cons-truction, des supports à vélos à tous les établissementsscolaires.

• Un projet pilote est en préparation pour étudier lapossibilité de fournir de la vaisselle réutilisable àtoutes les cafétérias.

• L’imprimerie de la CSDM n’utilise plus que du papierrecyclé (à un minimum de 30%) et a encore augmentéles impressions recto-verso qui représentent maintenant96% de toutes ses impressions (auparavant : 86%).

• Quarante projets ont été acceptés pour verdir descours d’écoles primaires.

• Dans toutes ses transactions financières, la CSDMapplique désormais les principes éthiques environ-nementaux de sa nouvelle politique d’achats de bienset services. ▲