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République Algérienne Démocratique et PopulaireMinistère de l’Enseignement Supérieur et de la recherche scientifique

Université Mentouri ConstantineFaculté des science de l’ingénieur

Département d’électroniqueMaster 1 électronique biomédicale

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• Un casque antibruit est un casque dans le

but essentiel est la réduction de l’intensité

du bruit perçu, principalement dans une

situation de travail.

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• Le principe général de fonctionnement est décrit par le

synoptique suivant:

Le son capté par les microphones qui sont positionnés sur chaque oreillettes du casque.

Un signal externe vers l’entrée du casque.

Une sommation entre le signal sortie par les microphones et le signal externe.

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• Le montage étant stéréophonique,

le schéma de la figure 3 est

évidemment symétrique et nous

n’étudierons donc que sa partie

supérieure, dédiée au canal gauche.

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Un filtrage pour les basses fréquences. Seulement les hautes fréquences peuvent passées.

Un amplificateur inverseur a un gain unitaire et une phase inverse « une amplification ».

Un filtrage. Le potentiomètre sert à régler le gain pour qu’il soit le même que le signal entrant au casque.

un bruit ambiant naturel.

Un bruit ambiant amplifié et inversé en phase.

Une sommation des deux signaux. « résultante nulle ».

Amplificateur inverseur pour assurer l’atténuation maximale du bruit.

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• Le circuit imprimé, dont le tracé présenté sur la

figure 4, supporte tous les composants du

montage.

• Le montage des composants est à faire en suivant

les indications de la Figure 5.

• On va bien respecter le sens des composants

polarisés que sont les condensateurs chimiques et

à insérer correctement les circuits intégrés dans

leurs supports.

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• Les microphones doivent être fixés sur les écouteurs du casque, perpendiculairement à leur axe. La fixation est le point le plus délicat : opter pour de la colle est un moyen assez sûr pour que ça tienne bien.

• Le câble reliant les microphones au montage devra impérativement être de type blindé à un conducteur central. Leur position exacte n’est pas très critique mais, dans la mesure du possible, il faut que la partie sensible au son de chaque micro se trouve à peu près au vertical du trou de notre oreille. (figure suivante)

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• On Place dans un environnement raisonnablement bruyant et, en manœuvrant le potentiomètre P1 et l’interrupteur S1, on détermine les positions les plus efficaces de ces deux réglages.

• Si on n’y parvienne pas, on vérifie si on n’a pas interverti les canaux droite et gauche au niveau des liaisons aux micros et aux écouteurs du casque. Si tel est le cas en effet, le système peut devenir totalement inopérant.

• Une fois cette efficacité vérifiée avec le casque, on peut, si on le désire, raccorder une source sonore externe aux entrées prévues à cet effet et savourer son écoute dans le silence le plus total !