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SMART-INDUSTRIES Date : DEC 15 Périodicité : Trimestriel Page de l'article : p.16,17,18,...,25 Page 1/8 ARYSTA 8167066400501 Tous droits réservés à l'éditeur Bilan et perspectives En Une première édition avec plus cfe 3.500 visiteurs et 1.548 participants aux conférences. Un grand succès qui prouve que les industriels français ont envie de sauter le pas vers l'Industrie du Futur. Lensemble des présentations étant librement accessible sur le site www.smart-industries.fr, voici un petit résumé en images. Rendez-vous sur l'espace WebTV pour suivre l'intégralité des présentations et débats. C'est quoi lindustrie du futur ? Max Blanchet Senior Partner Roland Berger Les Usines de JL main seron' plus petites travailleront en reseau et seront localisées a proximite des cliei's Ces charge ments bou'eiersen' les paradigme^ de ta product on /nûustr/et/e

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Bilan et perspectives

EnUne première édition avec plus cfe 3.500 visiteurs et 1.548 participants auxconférences. Un grand succès qui prouve que les industriels français ont enviede sauter le pas vers l'Industrie du Futur.

Lensemble des présentations étant librement accessible sur le sitewww.smart-industries.fr, voici un petit résumé en images. Rendez-vous surl'espace WebTV pour suivre l'intégralité des présentations et débats.

C'est quoi lindustrie du futur ?

Max Blanchet

Senior Partner Roland Berger

Les Usines deJL main seron'plus petites

travailleront en reseau etseront localisées a proximitedes cliei's Ces chargements bou'eiersen'les paradigme^ de taproduct on /nûustr/et/e

Page 2: Page 1/8 · C'est quoi lindustrie du futur ? Max Blanchet Senior Partner Roland Berger Les Usines de JL main seron' ... tèrrain C est ce qui nous a pousses a creer entre I IT et

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Accompagner la TransitionPasser de I Usine d Aujourdhui a I Usine du Futur implique des changements profonds technologiques humains,orgamsationnels

Christian Tacquard

Directeur General cle GalapagosLocMana

f f Pour que notre usinef) j) soit Compétitive ii nous

faut intégrer les possibilites numeriques pourqu un coût de revient de 2euros par kilo passe a O 60demain Si nous n avionspas entame cette transitionnous serions restes sur lemarche uniquementfrancais et serions **en train de mourir JJ

Pascal DalozCoprésident AllianceIndustrie du Futur

tt nous fautaccompagnervers les emplois

de demain C est atcœur du programmeIndustrie du Futurapres la Manufactureit faut s inquiéter dela Cerveaufacture "9

Gilles VicardPresident de Vl Tèchnology etPDG de Neptune Tèchnologies

Nous devons nousassurer que nos èquipements puissent s in

terfaceravec les equipemente de procede dè nosclients maîs aussi avecleurs outils de pilotagecentral/ses Or aujourdhuinous ne pouvons garantircetinterfacage Lenjeude la normalisation est ..crucial dans I Industrie JJdu Futur

Benjamin GallezotDirecteur General deleguede la DGE

fft. Industrie du1)1) Futur e est un

mouvementmondial qui impliquedes partenariats etdes alliances commeavec nos voisinsallemands (avec leurprogramme Indus ••trie 4 OI "

Competitivité dans la mondialisationFace a une planete qui bouge quelle strategie européenne/mondiale mettre en place et comment font les autres pays

Lionel JaninCharge de mission duDepartement Developpement Durable chezFrance Strategie

M Nous ne sommesplus dans lamel/oration d un pro

cessus existant il fautavoir une organisationde la production **différente J*

François AsselinPresident CGPME

f f H faljt maîtriser|)|) les princ paux

maillons de lachaine de valeur Po jrchaque pas technotog:que /I faut travailleravec de nouveaux partenaires parfois issusde secteurs différentsEt le numerique nousforce a travailler avec ••d autres secteurs JJ

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Il sans confiance numériqueDevelopper des systemes informatiques permettant I échange d informations e est donner la qa-antie que les donneesseront protégées Quid dc la Cybersecunie ?

Contre amiral Riban Gilles AfchainDG adjoint de I AgenceNationale de Securite desSystemes d information

Responsable protection deI information Areva

f f lt faut faire de ta()() securite a partir de

briques dont aucuneri est fiable Du coup taseule solution est oe seposer la problématiquede ta securite des laconception d un projet

I image I espion mmnage et le sabotage

Lazare PejsachowiczPresident du Clusif

Que ce soit pourles secteurs deI eau des smart

grid du nucleaire Cequ il faut absolumenteviter e est le cyber _terrorisme i

Gérard PeschExpert Securite GlobaleClub GSI

f f Le plus a|)() craindre ce

sont les crisessystemiques avec leseffets dommo Chacunpeut proteger son outilmaîs tout le monde estdépendant d autresfournisseurs ou __sous traitants JJ

Stéphane CorblinResponsable de I architectureReseau et Securite au sem duService Systeme d Informationde la Direction de I Administralion et des Moyens SIAAP

« Lexploitant a besoindes remontées dutèrrain C est ce qui

nous a pousses a creerentre I IT et Le process unezone d échange d informalions la plus sécurisée mm

Jean-Luc PlanchetResponsab/e etudes suretesecurite MOA RATP

f f La prise en compte|)|) de la surete de

fonctionnementn implique pas la priseen compte de ta cybersecurite A i inverse lacybersecurite ne doit pasobérer ta surete de fonctionnement de nos mm

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Garantir la continuité numérique

La revolution industrie le implique un I en total transparent entre toutes les etapes du cycle de concept on a la production [Pl M MPS FRP machines robots ]

Matthieu BreardTooling Technical Manager - Sidel

Nous devons faire face a desentreprises qui copient nosequipements Le choix est

simple ii faut migrer vers une chainenumerique complète pou''avoir unavantage compétitif grace a mmIinnovdtio i Jt

Bernard BoimeProgram Manager, Factory of thé Futur

Airbus Group Innovations

La continuité numeriqueest pour nous un axestrategique Elle va au delà

des phrases traditionnelles avecI ambition d assurer une continu/te en suivi operationnel et erconfiguration nes 33 WO avionsque nous devrions vendre ••a ici vingt ans ^^

Pascal CastoriadisResponsable du Departement Methodes Numeriques Snecma

Nous avons uie devise reussiraujourd hut pour préparer demaine est a dire donner du concret a

court terme et en même temps garder uncoup d avance C est I essence cl une ••continuité numérique reuss e *•*

Alain-Philippe FavreResponsable service Informatique Industrielle-Seb

Les MES est aujourd hui ie carrefour incontournable des échangesde donnees entre tes systemes

automatises et les systemes de ._gestion comme I ERP et le PLM JJ

Jimmy JolloisConsultant Transformation Numerique - VinciConsulting

M La continuité numerique imposede concilier une approche qiobaleet un plan de marche humble Les

metiers peuvent travailler ensemblemaîs la maturité technologique ^mexige une vue d ensemble JJ

Romain Bottan

Responsable de la securite de la plateformeBoost Aerospace

^ur un standard partage parThaïes AII bus et Dassault iles' possible d avoir d autres

types de donnees d échanges quece soit pour le Pl M ou les ERP avecbeaucoup de disparités au --niveau de la SupptyCha/n JJ

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Les nouveaux outils de l'Industrie du FuturImpression ID Fab ab Cobo tq i_e capteurs intelligents mobilite composites de neuve les tèchno ogies appara ssent

Benoit SacilottoFlexi France (Groupe Tèchnip)

M La cobotique nous a permis dediminuer la penibilite des tacheset d amel orer la repetabilite sur

certaines operations cles comme lepliage de cables d acier de plus mmde 80 mm de section JJ

Karine GosseDirectrice du CEA List

Securite de I operateur et qual tefinale sort hees une action surI effort de I operateur a des cense

quences sur le produit lui même Lamajorité des industries conjuguent i intelagence de ' operateur et I assistance au mmgeste et a I effort Js

Jean-Philippe JahierDirecteur Innovation et Déploiement Nouvalles Tèchnologies - Thaïes Alenia Space

« La fabrication additive estintéressante pour les petitsvolumes Nous parvenons a

realiser des pieces avec des cyclespàiticulieremen courts et desperformances en masse mmspectacu'a/res JJ

Olivier GibaruArts & Metiers Lille

f f Nous travaillons a remettre|)|) ' humain au cœur du systeme au

travers de plusieurs techno'oqiesCe qui pose la question de la standard/sat/cn ries échanges cle donnees ••

Nicolas OranceNicolas Orance - Directeur strategie et eleveloppement du Pole Aeronautique et Defense

Daher

f f Nous avons intègre des briques|)|) technologiques chez nos opera

teurs en commençant avec descobots Maîs I usine du futur e est aussiœpenser te management avec un ••effort sur les qenerations Xet Y *'

Dominique GhiglioneResponsable R&D materiaux et procedes duCET/M

f f Les composites font lobjet d une|)|) forte attente en termes d allege

ment dans des domaines inattendus engins de chantier et autres ^—metiers de travaux publics JJ

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?Les metiers a recruter, les formations a mettre en œuvre I organisation des postes sont des aspects fondamentauxpour que cette mutation soit acceptée par tous

Michel RocheEx Michelin, directeur cle RM Europe

Consulting

f f Les Hommes sont et serontIp IP toujours plus au cœur de ta

performance durable desentreprises Les bnques techno-logiques existent maîs il faut lesHommes pour mettre le tout **en musique JJ

Laurent CarraroDirecteur General des Arts et Metiers

U Nous fo/m/ons des jeunes a unmetier maintenant nous devonsles formera un avenir avec X

metiers, sans savoir quels serontces metiers C est notre/rieter &«de formateur qui se transforme JJ

Frédéric PapelardConseiller Industrie CCI Alsace

Les entreprises qui réussissentbien ont un nom ce sont lesen Reprises libérées Elles font

éclater les strates hiérarchiques _ _responsabilisent leurs equipes jj

Isabelle Martin

Secretaire confédérale chargée des politiquesindustrielles CFDT

« Le plus a craindre ce sont les crisessystemique^ avec les effets dominoChacun peut proteger son outil, maîs

tout le monde est dépendant d autres **fournisseurs ou sous-traitants JJ

Marcel Grignard

President de Confrontations Europe

« Trop o entreprisses pensent encoreque la revolution numerique ne tesconcerne pas ll faut que tes opporlu

mies apportées par cette revolution .»soient beaucoup alus visibles JJ

Michel Jeannerod

CGPME

f f I1 y 3 u" problème essent/e1

IP Ip qui est le niveau de forma-tion du personnel dont nous

avons besoin Avec en creux laquestion de savoir si I on pourratrouver le personnel adéquat «Apres de chez so' JJ

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Ils ont déjà fait le pas de L'Industrie du FuturIls ont franchi le pas de I Industrie du Fu ur que ce soit dans la partie organisationnelle de production ou de conception

Laurent BraunsResponsable Production - Arysta

f f Nous /ouiions un suivi de nosVw Ignes de conet tionnement CDTI

prendre leur fonctionnement leurperte sachant qu elles sort physiquement séparées pour des raisonsde cortam/nat/cn possible

Jean-Claude ReverdellDirecteur General SEW

/Vous s/nchronisons les flux physiques et les flux d informationscar nous souhaitions avoir la maîtrise des f MX de la receptionaux expéditions Nous gérons ce que I on appelle jne usine ••

étendue avec des fournisseurs exterieurs **

55

Olivier OffnerDirecteur Tèchnique BALM

Avec ? p nssance 215 variantes de cuisines pourproduire 350 cuisines nous gérons tous les mmjours // millions d informations uniques JJ

Julio RibeiroDSI - CCIAG (Compagnie de

Chauffage cle Grenoble)

Nous voulions raccorder le maximumd usagers tout er

étant eco responsablePour cela nos diversescentrales de productionse devaient de conmun/quer entre elles de _ftmaniere automatique 55

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Hervé HussonResponsable Automatisme et Informatique Industrielle Terreal

f f Nous avions besoin d /ndlW V cateurs de performance de

nos lignes et usines Avec tavolonté de standardser ces maraleurs dans lensemble du groupece qui nous permet de c^mpa —_rer les s/tes entre eux ™"

Sylvie Guinard

Présidente Thtmonnier

f f Lentreprise au sens general ètait auparavant autonomeIP Ip dans les actions internes de mooern/sdt/on Aujourd hui

avec ta revolution numerique elle doit s inscrire dans _ _un écosystème et e cst beau ouo plus compliquée *™

Julien Desplat

Directeur Logistique Oscaro

Dans un environnement de fluxtendu il nous fallaitrespecter les delais

et engagement de livraison sachant que nousavons plus de 400 000 references ne serait ce quepour les consommablesAujourdhui nous avonsun taux de service de m^plus de 99 90 % "

Bruno Bouygues

Directeur General Gys

Nous avons rapidement oec/dede digitaliser nos flux sans tropsavoir pourquoi tout en sentant

bi°n que nous devions le faire vis a visde la concurrence A jjouro hu/ celadevient un avantage concurrentiel

Thomas DalançonExpert Simulation et Robotisation des Moyens cl assemblage

Renault

f f La mise en œuvre des dernieres tèchnologies|p|p numeriques pour cpt im ser I utilisation des

capacites de production nd ust neil es est un axe'i Industrie 4 O maieurpnur les cinit<~uc*eL rsautomobiles JJ