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PALAZZETTO BRU ZANE CENTRE DE MUSIQUE ROMANTIQUE FRANÇAISE FESTIVAL ANTOINE REICHA, MUSICISTA COSMOPOLITA E VISIONARIO DAL 23 SETTEMBRE AL 4 NOVEMBRE 2017 Palazzetto Bru Zane – sabato 21 ottobre, ore 17 Il cantore degli strumenti a fiato Klarthe Quintet Marion Ralincourt, flauto Marc Lachat, oboe Julien Chabod, clarinetto Pierre Rémondière, corno Guillaume Bidar, fagotto

Palazzetto Bru Zane – sabato 21 ottobre, ore 17 · Reicha frequentò Beethoven e studiò la musica di Haydn prima ... La composizione di altre tre raccolte di quintetti per strumenti

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PALAZZETTOBRU ZANECENTREDE MUSIQUEROMANTIQUEFRANÇAISE

Palazzetto Bru ZaneCentre de musique romantique françaiseSan Polo 2368, 30125 Venezia - Italiatel. +39 041 52 11 005

bru-zane.com

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Palazzetto Bru ZaneCentre de musique romantique françaiseSan Polo 2368, 30125 Venezia - Italiatel. +39 041 52 11 005

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FESTIVALANTOINE REICHA, MUSICISTA COSMOPOLITA E VISIONARIODAL 23 SETTEMBRE AL 4 NOVEMBRE 2017

Palazzetto Bru Zane – sabato 21 ottobre, ore 17

Il cantore degli strumenti a fiato

Klarthe QuintetMarion Ralincourt, flauto

Marc Lachat, oboe

Julien Chabod, clarinetto

Pierre Rémondière, corno

Guillaume Bidar, fagotto

Contributi musicologiciLouise Bernard de Raymond, Hélène Cao, Gérard Condé, Bénédicte Gandois Crausaz, Fanny Gribenski, Étienne Jardin, Nicolas Southon

TraduzioniArianna Ghilardotti

Dopo la riscoperta di opere di Étienne-Nicolas Méhul e di Charles-Simon Catel, il Palazzetto Bru Zane prosegue nella sua esplorazione dei primi decenni del XIX secolo, interessandosi ora alla figura di Antoine Reicha. Ceco naturalizzato francese, Reicha frequentò Beethoven e studiò la musica di Haydn prima di trasferirsi nella capitale francese all’epoca dell’Impero. Del suo immenso corpus di musica da camera sopravvivono nel repertorio odierno soltanto i suoi pionieristici quintetti per strumenti a fiato. Ma la qualità delle altre sue partiture, in particolare quelle dei quartetti per archi, impone che oggi si presti maggiore attenzione a pagine che costituiscono un appassionante trait d’union tra il classicismo viennese e il romanticismo francese: tanto più che Reicha, teorico impareggiabile, spinse molto in avanti le ricerche erudite sull’arte di un contrappunto visionario e di un’armonia innovatrice.

Après la redécouverte d'œuvres d'Étienne-Nicolas Méhul et de Charles-Simon Catel, le Palazzetto Bru Zane poursuit son exploration des premières décennies du XIXe siècle en s'intéressant cette fois à Antoine Reicha. Compositeur tchèque naturalisé français en 1829, il côtoya Beethoven et Haydn avant de gagner la capitale française sous l'Empire. De son immense corpus de musique de chambre, seuls subsistent au répertoire ses quintettes à vent, pionniers dans leur genre. Mais la qualité du reste de ses partitions, en particulier celle de ses quatuors à cordes, mérite qu'on accorde aujourd'hui une oreille plus attentive à ces pages qui constituent un passionnant trait d'union entre classicisme viennois et romantisme français. Théoricien hors pair, Reicha poussa très loin les recherches érudites sur l'art d'un contrepoint visionnaire et d'une harmonie novatrice.

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Nella sua Autobiografia, Reicha andava fiero di essere il primo compositore di quintetti per fiati, ma fu in realtà preceduto da Nikolaus Schmidt e Giuseppe Maria Cambini. Gli si perdonerà volentieri questa sua svista, vera o presunta, perché, comunque, proprio lui diede un impulso decisivo al genere, con le quattro raccolte di sei quintetti ciascuna (op. 88, 91, 99 e 100). Se il loro linguaggio resta relativamente classico, esse offrono comunque un caleidoscopio di combinazioni sonore che non smettono di affinarsi con il tempo. L’ascoltatore odierno potrà immaginarsi nel foyer del Teatro Favart, dove Joseph Guillou (flauto), Gustave Vogt (oboe), Jacques-Jules Bouffil (clarinetto), Louis-François Dauprat (corno) e Antoine-Nicolas Henry (fagotto) difesero con passione queste creazioni intorno al 1810.

Dans son Autobiographie, Reicha s’enorgueillit d’être le premier compositeur de quintettes à vent, alors qu’il fut précédé sur ce terrain par Nikolaus Schmidt et Giuseppe Maria Cambini. On lui pardonnera volontiers son ignorance, feinte ou non, car c’est lui qui donna une impulsion décisive au genre, avec ses quatre recueils de six quintettes chacun (op. 88, 91, 99 et 100). Si leur langage reste relativement classique, ils offrent un kaléidoscope de combinaisons sonores qui ne cessent de s’affiner avec le temps. L’auditeur d’aujourd’hui pourra s’imaginer dans le foyer du Théâtre Favart, où Joseph Guillou (flûte), Gustave Vogt (hautbois), Jacques-Jules Bouffil (clarinette), Louis-François Dauprat (cor) et Antoine-Nicolas Henry (basson) les défendirent avec passion à la fin des années 1810.

Antoine Reicha

Quintette à vent op. 88 n° 2 en mi bémol majeur :1. Lento. Allegro moderato – 2. Menuetto : Allegro – 3. Poco andante – 4. Grazioso. Finale : Allegretto

Quintette à vent op. 100 n° 5 en la mineur :1. Lento. Allegro – 2. Andante con variazioni – 3. Minuetto : Allegro vivo – 4. Finale : Allegro

Durata del concerto / Durée du concert1h

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Le opereLes œuvres

Antoine Reicha : Quintette à vent en mi bémol majeur op. 88 n° 21. Lento. Allegro moderato – 2. Menuetto : Allegro – 3. Poco andante – 4. Grazioso. Finale : Allegretto

En 1817, Reicha publia ses six Quintettes à vent op. 88. Deux des quintettes étaient déjà composés en 1811, peut-être les nos 1 et 2, sans que cela soit certain. Entre 1817 et 1818, le recueil connut trois éditions, chez Boieldieu à Paris, Simrock à Cologne et Bonn, Schott à Mayence : signe que le succès fut au rendez-vous. La composition de trois autres recueils de quintettes à vent (op. 91, 99 et 100), tous publiés avant 1820, confirmerait cette bonne réception. Joseph Guillou (flûte), Gustave Vogt (hautbois), Jacques-Jules Bouffil (clarinette), Louis-François Dauprat (cor) et Antoine-Nicolas Henry (basson) s’emparèrent aussitôt de l’op. 88, qu’ils jouèrent régulièrement dans le foyer du Théâtre Favart dès sa parution. Le Quintette no 2 en mi bémol majeur montre le soin que Reicha apporte à l’écriture de chacun des instruments, traités en soliste à tour de rôle. Dans l’introduction lente du premier mouvement, après quelques accords solennels, c’est d’abord le basson qui se distingue. La forme rondeau du Poco andante fait entendre son refrain au hautbois, puis au cor. La flûte domine le premier couplet. Le second couplet, à l’écriture fuguée, est indiqué comme facultatif (s’il est omis, on s’arrête après le second refrain). Il tend en effet à déséquilibrer l’œuvre (le mouvement lent au complet dure

Antoine Reicha: Quintetto per strumenti a fiato in mi bemolle maggiore op. 88 n. 2 1. Lento. Allegro moderato – 2. Minuetto: Allegro – 3. Poco andante – 4. Grazioso. Finale: Allegretto

Reicha pubblicò i suoi sei Quintetti per strumenti a fiato op. 88 nel 1817. Due erano già composti nel 1811 (forse il n. 1 e il n. 2). Tra il 1817 e il 1818 la raccolta conobbe ben tre edizioni, segno sicuro di successo: presso Boieldieu a Parigi, presso Simrock a Colonia e a Bonn, presso Schott a Mayence. La composizione di altre tre raccolte di quintetti per strumenti a fiato (op. 91, op. 99, op. 100), pubblicate tutte entro il 1820, confermerebbe tale buona accoglienza. Joseph Guillou (flauto), Gustave Vogt (oboe), Jacques-Jules Bouffil (clarinetto), Louis-François Dauprat (corno) e Antoine-Nicolas Henry (fagotto) fecero subito propria l’op. 88, che eseguirono regolarmente nel foyer del Teatro Favart sin dalla sua prima pubblicazione. Il Quintetto n. 2 in mi bemolle maggiore dimostra quanta cura Reicha riservasse alla scrittura di ciascuno dei suoi strumenti, trattato di volta in volta come solista. Nella lenta introduzione del primo movimento, dopo alcuni accordi solenni, il primo a distinguersi è il fagotto. Il rondò del Poco andante affida il proprio ritornello all’oboe e poi al corno. Il flauto domina il primo couplet, mentre il secondo, fugato, è indicato come facoltativo; se lo si omette, ci si ferma dopo il secondo ritornello. Esso tende in effetti a squilibrare l’opera (il movimento lento, se eseguito per intero,

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deux fois plus longtemps), dont les deux volets extrêmes font entendre une forme sonate concise. Mais Reicha est tenté par l’amplification des formes puisqu’il dote son menuet de deux trios, geste beethovénien caractéristique.

Quintette à vent en la mineur op. 100 n° 51. Lento. Allegro – 2. Andante con variazioni – 3. Minuetto : Allegro vivo – 4. Finale : Allegro

En 1820, Reicha publie à Paris son quatrième et dernier recueil de quintettes à vent, sous le numéro d’op. 100. Depuis le premier volume consacré à cet effectif (l’op. 88, édité seulement trois ans plus tôt), il a encore diversifié les combinaisons instrumentales, dont il offre un somptueux kaléidoscope. Le Quintette en la mineur op. 100 no 5 atteste son goût pour une écriture brillante. La virtuosité n’est cependant jamais démonstrative, même dans le Finale qui conclut la partition de façon étincelante. Chaque instrument est mis en valeur, dans des interventions assez brèves ou des épisodes solistes plus étendus. On songera en particulier à l’Andante con variazioni, qui place sur le devant de la scène le hautbois (thème) puis, lors des variations, successivement le cor, le basson, le hautbois, le cor, la clarinette et enfin la flûte dans la sixième et dernière variation, particulièrement volubile. Reicha ne néglige pas le travail formel et harmonique. Comme dans l’ensemble de l’op. 100, le

dura il doppio), il cui inizio e il cui finale evocano una concisa forma sonata. Tuttavia, Reicha è tentato dall’amplificazione delle forme, giacché dota il suo minuetto di due trii, secondo un gesto tipicamente beethoveniano.

Quintetto per strumenti a fiato in la minore op. 100 n. 5 1. Lento. Allegro – 2. Andante con variazioni – 3. Minuetto: Allegro vivo – 4. Finale: Allegro

Nel 1820 Reicha pubblica a Parigi la sua quarta e ultima raccolta di quintetti per strumenti a fiato, col numero d’op. 100. Rispetto al suo primo volume dedicato a tale formazione (l’op. 88, pubblicata solo tre anni prima), egli ha ulteriormente diversificato le combinazioni strumentali, di cui offre un sontuoso caleidoscopio. Il Quintetto op. 100 n. 5 attesta il suo gusto per una scrittura brillante; tuttavia, il virtuosismo non è mai fine a se stesso, persino nel Finale che conclude questa partitura in maniera scintillante. Ogni strumento è valorizzato, per mezzo di interventi piuttosto brevi o di episodi solistici più ampi. Si pensi in particolare all’Andante con variazioni, che colloca in primo piano l’oboe (tema) e successivamente, nel corso delle variazioni, il corno, il fagotto, l’oboe, nuovamente il corno, il clarinetto e infine – nella sesta e ultima variazione, particolarmente ricca – il flauto. Reicha non trascura il lavoro formale e armonico. Come in tutta l’op. 100, il Quintetto n. 5 comincia

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Quintette no 5 commence par une introduction lente. Au noble sostenuto de ce lever de rideau succède le dynamisme de l’Allegro. Dans cette forme sonate comportant un certain nombre d’irrégularités (par exemple, un ordre différent des thèmes dans la réexposition), la légèreté et la vivacité évoquent Rossini autant que les classiques viennois. Quant au Minuetto, il comporte d’étonnantes modulations en mi bémol majeur et mi majeur, fort éloignées du ton principal de la mineur. Mais l’esprit reste celui d’un aimable badinage, car, chez Reicha, la spéculation marche toujours de concert avec le plaisir du jeu.

con un’introduzione lenta. Al nobile sostenuto con cui si leva il sipario fa seguito il dinamismo dell’Allegro. In una forma sonata che comporta un certo numero di irregolarità (per esempio, un diverso ordine dei temi nella ripresa), levità e vivacità fanno pensare a Rossini nonché ai classici viennesi. Quanto al Minuetto, esso comporta stupefacenti modulazioni in mi bemolle maggiore e in mi minore, a grande distanza dal la minore della tonalità principale. Ma lo spirito rimane quello di un amabile scherzo, giacché in Reicha la speculazione astratta va sempre di pari passo col piacere del divertimento.

Il compositoreLe compositeur

Antoine Reicha (1770-1836)Originario di Praga, Antoine Reicha (o Antonín Rejcha) fu, oltre che uno stimato compositore, uno dei più importanti teorici e pedagoghi della prima metà del XIX secolo. Orfano di padre in giovane età, ricevette la sua prima formazione dallo zio, il compositore e violoncellista Joseph Reicha. Nominato Leiter del teatro di Bonn nel 1785, lo zio portò con sé il nipote, il quale ottenne un posto di flautista nell’orchestra di quell’istituzione, accanto al giovane Beethoven, allora violista. Questa fase della sua vita ebbe termine nel 1794 con l’occupazione della città da parte dell’esercito rivoluzionario francese. Antoine si recò allora ad Amburgo, poi a Parigi e infine a Vienna, ove completò la propria formazione, in particolare, presso Salieri. Nel 1808 si insediò definitivamente in Francia. Benché considerato come un compositore di musica «tedesca», grazie alla sua sapienza nel contrappunto nel 1818 fu nominato professore al Conservatorio di Parigi. Fu in questo periodo che scrisse la maggior parte delle sue opere teoriche, tra le quali il Traité de haute composition (1824-1826), pervaso da una costante preoccupazione per l’equilibrio e per la razionalità, e in cui Reicha dà prova di un’eccezionale chiaroveggenza riguardo al futuro. Il suo insegnamento aperto al progresso influenzò profondamente artisti come Berlioz, Liszt, Gounod e Franck. Naturalizzato francese nel 1829, nel 1835 ottiene la consacrazione definitiva con la chiamata all’Institut de France. Oggi pressoché dimenticata, la sua opera (che comprende numerosi brani per pianoforte e per strumenti a fiato) oscilla tra l’espressione di una levità ereditata dal classicismo e un gusto marcato per la sperimentazione teorica, al limite della visionarietà (Quatuor scientifique, fughe per pianoforte).

Antoine Reicha (1770-1836)Originaire de Prague, Antoine Reicha (ou Antonín Rejcha) fut, outre un compositeur reconnu, l’un des plus importants théoriciens et pédagogues de la première moitié du XIXe siècle. Orphelin de père très tôt, il reçoit sa première formation chez son oncle, le compositeur et violoncelliste Joseph Reicha. Nommé Leiter au théâtre de Bonn en 1785, l’oncle emmène son neveu avec lui, lequel obtient une place de flûtiste dans l’orchestre de l’institution, aux côtés du jeune Beethoven, lui-même altiste. Cette période de sa vie s’achève en 1794, avec l’occupation de la ville par l’armée révolutionnaire française. Antoine se rend alors à Hambourg puis à Paris et enfin à Vienne, où il complète sa formation auprès de Salieri et d’Albrechtsberger. C’est en 1808 qu’il s’installe définitivement en France. Bien que perçu comme un compositeur de musique « allemande », sa science du contrepoint lui vaut d’être nommé professeur au Conservatoire de Paris en 1818. C’est à cette époque qu’il rédige l’essentiel de ses ouvrages théoriques, dont le Traité de haute composition (1824-1826), animé d’un souci constant d’équilibre et de rationalité, ouvrage dans lequel il témoigne d’une exceptionnelle clairvoyance de l’avenir. Ouvert au progrès, son enseignement influença profondément des artistes tels que Berlioz, Liszt, Gounod et Franck. Naturalisé français en 1829, il reçoit en 1835 l’ultime consécration avec l’élection à l’Institut. Aujourd’hui méconnue, son œuvre (dont de nombreuses pièces pour piano et pour vents) oscille entre l’expression d’une légèreté héritée du classicisme et un goût prononcé pour l’expérimentation théorique, à la limite du visionnaire (Quatuor scientifique, fugues pour piano).

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Gli interpretiLes interprètes

Klarthe QuintetMarion Ralincourt, flautoMarc Lachat, oboeJulien Chabod, clarinettoPierre Rémondière, cornoGuillaume Bidar, fagotto

Nato dall’incontro di cinque personalità musicali fuori dal comune, il Klarthe Quintet si è costituito allo scopo di partecipare a quel grande appuntamento di confronto musicale che è il Concorso internazionale dell’ARD di Monaco di Baviera, per la categoria del quintetto di fiati. L’ensemble vince la sfida, ottenendo il terzo premio, oltre al premio Bayerischer Rundfunk Klassik online e al premio speciale per la migliore interpretazione del Quintetto per fiati di Onslow del Palazzetto Bru Zane. A questa messe di riconoscimenti si aggiungono quelli conseguiti dai cinque strumentisti a titolo individuale, che fanno del Klarthe Quintet una delle formazioni più premiate della sua generazione. La loro carriera prosegue sotto auspici altrettanto favorevoli: si esibiscono al Festival di Auvers-sur-Oise, al Festival Racinotes in Svizzera, ai microfoni di France Musique... Il loro primo disco, prodotto dall’etichetta Klarthe Records, dà ampio risalto al repertorio francese per quintetto di fiati, con opere di Taffanel e di Onslow, una creazione di Karol Beffa e una di Jean-François Verdier.

Klarthe QuintetMarion Ralincourt, flûteMarc Lachat, hautboisJulien Chabod, clarinettePierre Rémondière, corGuillaume Bidar, basson

Né de la rencontre de cinq personnalités musicales hors du commun, le Klarthe Quintet s’est formé avec l’ambition de prendre part au grand rendez-vous de la compétition musicale que constitue le Concours international de quintette à vent de l’ARD à Munich. Défi relevé pour l’ensemble qui repart avec le troisième prix, ainsi que le prix Bayerischer Rundfunk Klassik online et le prix spécial pour la meilleure interprétation du Quintette à vent d’Onslow du Palazzetto Bru Zane. À cette moisson de distinctions s’ajoutent celles que les cinq musiciens ont obtenues à titre individuel, faisant ainsi du Klarthe Quintet l’une des formations les plus primées de sa génération. Leur carrière se poursuit sous des hospices tout aussi cléments. Ils se produisent lors du festival d’Auvers-sur-Oise, du Festival Racinotes (Suisse), sur les ondes de France Musique... Leur premier disque, produit par le label Klarthe Records, fait la part belle aux œuvres de musique française pour quintette à vent avec Taffanel, Onslow et deux créations de Karol Beffa et Jean-François Verdier.

PER SCOPRIRE REICHA Tutte le pubblicazioni su bru-zane.com

Musica da cameraSolisti della Chapelle Musicale Reine ElisabethBrani per pianoforte, Trio n. 2 in re minore op. 101, Trio per tre violoncelli soli, Quartetto op. 95 n. 1, Quintetto in fa maggiore con due violeALPHA CLASSICS /PALAZZETTO BRU ZANE /CHAPELLE MUSICALE REINE ELISABETHNovità settembre 2017

QuartettiQuartetto ArdeoQuartetti op. 49 n. 1, op. 90 n. 2 e op. 94 n. 3PALAZZETTO BRU ZANE /L’EMPREINTE DIGITALE2014

Opere per pianoforte soloIvan Ilić pianoforteSonata in do maggioreSonata sul «Flauto magico»Practische Beispiele (estratti)CHANDOS – con il sostegno del Palazzetto Bru ZaneNovità settembre 2017

CONVEGNOIL PROFESSOR REICHA: COMPOSITORE, TEORICO, DIDATTADal 10 al 12 novembre 2017Complesso monumentale di San Micheletto – LuccaLa collaborazione con il Centro Studi Opera Omnia Luigi Boccherini prosegue durante questa stagione con un convegno dedicato ad Antoine Reicha. Numerosi ar tisti e autori trassero profitto dai metodi e dai testi del compositore teorico e insegnante ceco naturalizzato francese. In queste giornate di studio verranno trattate la didattica di Reicha e la sua durata nel tempo.

PARTITUREIn coincidenza con l’uscita in disco di brani di musica da camera registrati dai solisti della Chapelle Musicale Reine Elisabeth, il Palazzetto Bru Zane pubblica in edizione moderna la partitura e gli spartiti di due lavori poco noti di Reicha, il Trio op. 101 n. 2 in re minore e il Quintetto con due viole in fa maggiore: due brani che ereditano il classicismo dell’Età dei Lumi, in cui Reicha si dimostra sensibile anche ai fremiti del nascente romanticismo.

TRATTATIIl Palazzetto Bru Zane presenta un lavoro di digitalizzazione dei primi tre trattati di Reicha, disponibili online su bruzanemediabase.com:Traité de mélodie (1814)Cours de composition musicale ou Traité complet d'harmonie pratique (1818)Traité de haute composition musicale (1824).

COLLOQUEPROFESSEUR REICHA : LE COMPOSITEUR, LE THÉORICIEN ET L'ENSEIGNANTDu 10 au 12 novembre 2017Complesso monumentale di San Micheletto – LucquesLa collaboration avec le Centro Studi Opera Omnia Luigi Boccherini se poursuit cette saison avec un colloque dédié à Antoine Reicha. De nombreux artistes et auteurs bénéficièrent des méthodes et textes de ce compositeur, théoricien et enseignant tchèque natura lisé français. Ces journées aborderont la nature de sa pédagogie ainsi que sa portée dans le temps.

PARTITIONSEn lien avec la parution discographique de pièces de musique de chambre enregistrées par les solistes de la Chapelle Musicale Reine Elisabeth, le Palazzetto Bru Zane publie en édition moderne le conducteur et les parties séparées de deux partitions peu connues de Reicha : le Trio en ré mineur op. 101 n° 2 et le Quintette avec deux altos en fa majeur. Deux pièces héritières du classicisme des Lumières dans lesquelles Reicha témoigne aussi des frémissements du romantisme naissant.

TRAITÉSLe Palazzetto Bru Zane présente un travail de numérisation des trois premiers traités de Reicha, disponibles en ligne sur bruzanemediabase.com :Traité de mélodie (1814)Cours de composition musicale ou Traité complet d'harmonie pratique (1818)Traité de haute composition musicale (1824).

Domenica 22 ottobre, ore 15.30Facciamo a chi soffia più forte?Concerto-laboratorio per famiglie con bambini dai 7 agli 11 anniLaboratorio a cura di Diana D'AlessioMusiche di REICHAKlarthe Quintet

Martedì 24 ottobre, ore 18Conferenza di Maria Teresa Arfini: Antoine Reicha, un innovatore del primo OttocentoIngresso libero

Venerdì 27 ottobre, ore 20Con clarinetto Musiche di REICHA, ONSLOWQuartetto MandelringLaura Ruiz Ferreres, clarinetto

Sabato 4 novembre, ore 17Verve romanticaMusiche di REICHA, REBERTrio MediciIn collaborazione con la Chapelle Musicale Reine ElisabethFinale con brindisi

Concerti fuori festivalDomenica 5 novembre, ore 15.30I racconti di Mamma OcaConcerto-laboratorio per famiglie con bambini dai 4 ai 7 anniLaboratorio a cura di Remo PeronatoEnsemble Musagète

Giovedì 30 novembre, ore 20I fiori malandriniCanzoni licenziose da caffè-concertoNorma Nahoun, sopranoMarie Gautrot, mezzosopranoI GiardiniFinale con brindisi

Martedì 5 dicembre, ore 18Conferenza di Andrea Penna: Musiche e drammaturgie ispirate all'opera e alla figura di Dante AlighieriNell'ambito dell'uscita del CD con libro Dante di GodardIngresso libero

Prossimi concerti al Palazzetto Bru ZaneProchains concerts au Palazzetto Bru Zane

Domenica 14 gennaio, ore 15.30In viaggio con mamma e papàConcerto-laboratorio per famiglie con bambini dai 4 ai 7 anniLaboratorio a cura di Isabella MoroMusiche di BIZET, FAURÉ, DAVID Remo Peronato, oboeSimone Tieppo, violoncelloGabriele Dal Santo, pianoforte

Sabato 20 gennaio, ore 17Testamenti musicaliMusiche di FAURÉ, CHAUSSONQuartetto HermèsFinale con brindisi

Domenica 21 gennaio, ore 15.30Alla scoperta del quartettoConcerto-laboratorio per famiglie con bambini dai 7 agli 11 anniLaboratorio a cura di Diana D'AlessioMusiche di FAURÉ, CHAUSSONQuartetto Hermès

Giovedì 8 febbraio, ore 18Conferenza di Emilio Sala: «Una sorta di epidemia artistica»: la nascita dell'operetta a Parigi sotto il secondo imperoIngresso libero In occasione dello spettacolo 2 operette in 1 atto di Offenbach e Hervé (11 e 12 febbraio)

Domenica 11 febbraio, ore 17Lunedì 12 febbraio, ore 202 operette in 1 attoMusiche di OFFENBACH, HERVÉFlannan Obé, Raphaël Brémard, tenoriChristophe Manien, pianoforteNell'ambito del Carnevale di VeneziaFinale con brindisi (domenica 11 febbraio)

Domenica 25 febbraio, ore 15.30Io dentro, io fuori. Storie in musicaConcerto-laboratorio per famiglie con bambini dai 4 ai 7 anniLetture e laboratorio di e con Sabina Italiano (BarchettaBlu) e i musicisti dell'Ensemble Musagète

Per saperne di più sui compositori e le opere del patrimonio musicale romantico francese, consultate la nostra banca dati online

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