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| je. 12 janv. 20h & sa. 14 janv. 18h | symphonique TON KOOPMAN HAYDN/BEETHOVEN

NP 1 - Auditorium - Orchestre National de Lyon · Antoine Reicha, se souviendra de l’avoir entendu dire ... 4 5 Pierre-Laurent Aimard, piano Pierre-Laurent Aimard se produit dans

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NP 1

| je. 12 janv. 20h & sa. 14 janv. 18h | symphonique

TON KOOPMAN HAYDN/BEETHOVEN

L’Auditorium-Orchestre national de Lyon est un établissement de la Ville de Lyon, subventionné par l’État, soutenu par la Région Auvergne-Rhône-Alpes.Licences n° 1064009–1064010–1064011 – Photo couverture : Ton Koopman © DR

La saison 16/17 de l’Auditorium-Orchestre national de Lyon

est fleurie par Les Fleurs de Marie

28, avenue Maréchal-de-Saxe – Lyon 6e

Joseph Haydn (1752-1809)Sinfonia n° 1, en ré majeur, Hob.I.1I. PrestoII. AndanteIII. Presto

[15 min]

Ludwig van Beethoven (1770-1827)Concerto pour piano n° 4, en sol majeur, op. 58I. Allegro moderatoII. Andante con motoIII. Rondo : Vivace

[35 min]

Entracte

Joseph HaydnSymphonie n° 104, en ré majeur, Hob.I.104, «Londres»I. Adagio-AllegroII. AndanteIII. Menuetto : AllegroIV. Finale : Allegro spiritoso

[30 min]

Orchestre national de Lyon Ton Koopman, directionPierre-Laurent Aimard, piano

Les fleurs

de

Marie

Interlude propose un service de bar et de restauration légère avant et après le concert et pendant l’éventuel entracte.

Nous vous rappelons néanmoins qu’il est interdit d’emporter toute boisson et toute nourriture en salle.

Retrouvez Luc Hernandez et ses invités dans «Les Trésors cachés de l’ONL» sur RCF (88.4 & RCF.fr) les deux premiers lundis de chaque mois à 20 heures.

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Joseph HaydnSinfonia n° 1, en ré majeur, Hob.I.1Composition  : 1759 (?). Création  : à Dolni Lukavice par

l’orchestre du comte Morzin.

Quand il traça d’un trait vif la double barre finale de sa première symphonie, Joseph Haydn avait quelques raisons d’être content de lui, sans imaginer pour autant qu’il allait encore en composer une centaine dont les vingt dernières feraient oublier la majorité des précédentes. Il n’aspirait pas alors à devenir pour la postérité le «père de la symphonie», titre usurpé puisqu’il a eu des devanciers, et qui serait plus glorieux si la référence absolue, en matière de symphonie, n’était le corpus beethovénien à partir duquel on juge rétrospectivement du caractère primitif ou de la valeur prémonitoire de celles du xviiie siècle…La date de composition de celle-ci pourrait être un peu antérieure (1757  ?) et rien ne prouve qu’une ou plusieurs autres, perdues, ne l’aient pas précédée… Comme la plupart des symphonies de l’époque, issues des modèles de l’ouverture d’opéra napolitaine (nommée sinfonia, de structure vif-lent-vif ) et de la suite de danses, elle est brève et se limite à trois mouvements. On

a débattu des influences possibles germaniques ou italiennes qui ont agi sur elle. Le crescendo ascendant initial (renforcé par la succession de valeurs de plus en plus courtes) ou le brusque silence dans le premier mouvement et, partout ailleurs, l’alternance marquée de forte et de piano, désigneraient l’école de Mannheim ( Johann Stamitz ou Franz Xaver Richter). La tendance rétrospective au contrepoint, l’abondance des retards harmoniques évoqueraient Sammartini. Faute de pouvoir trancher accord a été trouvé en faveur du style viennois de l’époque : Georg Matthias Monn ou Georg Christoph Wagenseil.Peut-on au moins y déceler celui de Haydn ? Sa maîtrise se manifeste déjà dans l’enchaînement organique des séquences et des idées qui, semblant découler les unes des autres, assurent dans les deux Presto l’irrésistible avancée d’un discours nourri où tous les pupitres interviennent à leur tour : dès que menace le piétinement des formules, Haydn les distors ou les fait dévier de leur trajectoire. Le mouvement central, pour les cordes seules, est sans doute celui qui reflète le mieux la personnalité de Haydn : une mélancolie tonique qu’on a prise pour de la bonhomie.—Gérard Condé

Ludwig van BeethovenConcerto pour piano n° 4, en sol majeur, op. 58Composition : 1804-1806. Première audition privée  :

Vienne, chez le prince Lobkowitz, en 1807. Création

publique  : Vienne, Theater an der Wien, le 22 décembre

1808, avec le compositeur au piano. Dédicace : à l’archiduc

Rodolphe.

Pianiste virtuose, Beethoven possédait un génie de l’improvisation qui surpassait, aux dires de ceux qui l’ont entendu, celui de la composition. L’un de ses amis viennois, le compositeur Antoine Reicha, se souviendra de l’avoir entendu dire «À présent je veux composer comme j’improvise», expliquant par là les incongruités formelles de ses œuvres de maturité. On ne doit jamais oublier que les formes que nous appelons «classiques» n’ont été codifiées qu’après coup et que ni Mozart ni Haydn ne pouvaient être guidés par le souci de respecter ou de transgresser des principes d’architecture encore virtuels.Beethoven, après eux, se trouve (comme Weber) dans une situation différente : il a des modèles qu’il imite d’abord en les gauchissant à sa manière. Mais il comprendra vite qu’une composition bien ordonnée peut être complètement vide et qu’il faut retrouver une nécessité au discours musical : stimuler l’attention et la soutenir par une cohérence organique beaucoup plus subtile que le respect d’un programme consensuel. Exactement ce qui se passe dans l’improvisation, où les symétries inutiles sont délaissées au profit des suggestions fructueuses. C’est le modèle de l’improvisation qui permettra à Beethoven de dépasser dans ses deux derniers concertos pour piano la réussite des trois premiers.Tout se passe, au départ, comme si le soliste proposait l’ébauche d’une idée ; l’orchestre la reprend évasivement avant de lui donner sa forme intrinsèque, de la développer, de s’en éloigner au profit d’un motif aux contours beaucoup plus affirmés puis de susciter le retour du piano pour recentrer le propos. Vient alors, au lieu d’une reprise variée de l’exposition, l’exposition proprement dite, comme l’esquisse précède le tableau. Ce qui suit sera dans le même esprit, accueillant de belles inspirations mélodiques, et le piano brodant librement autour du thème

principal tellement réduit à l’essentiel qu’on n’en perçoit que la pulsation motrice.Le mouvement central emprunte aussi à la vie : c’est une scène d’opéra sans paroles : à la violence inquisitrice du récitatif des cordes, le piano répond avec une telle douceur que le rapport de forces s’inverse. Et, coup de théâtre, une sorte de fanfare orchestrale lance le piano dans un rondo-sonate dont le second thème, polyphonique, semble anticiper sur le finale de la Neuvième Symphonie. Au fil du mouvement, la virtuosité quasi improvisando sert une inépuisable fantaisie d’inspiration.—G. C.

Symphonie n° 104, en ré majeur, Hob.I.104, «Londres»Composition  : Londres, 1795. Création  : Londres, 4 mai

1795, sous la direction du compositeur lors d’un concert

à son bénéfice.

«Une nouvelle symphonie en ré, la douzième et dernière des anglaises. L’auditoire était très satisfait et moi aussi, la soirée m’a rapporté 4000 florins. Une telle chose n’est possible qu’en Angleterre», nota Haydn dans ses carnets sans pressentir qu’il n’écrirait plus d’autres symphonies après elle. Mais celle-ci n’en marquait pas moins le point final d’une grande aventure. La solennité de l’introduction semble un écho de l’apothéose londonienne d’un artiste longtemps confiné dans la cour du prince Esterházy, et le thème du finale inspiré d’une mélodie qui pourrait-être aussi bien britannique que croate rappelle le caractère universel de l’art  : «Ma musique est comprise dans le monde entier», aurait répondu Haydn à Mozart inquiet pour son ami qui ne parlait que sa langue maternelle. Mais ce sont surtout les points de suspensions nostalgiques qui jalonnent l’Andante et le second développement inattendu du finale qui révèlent une réticence à finir, une envie de prolonger autant que possible, de suspendre le temps ou l’échéance. Et la cadence d’une rudesse presque caricaturale qui clôt l’œuvre ressemble au juron proféré pour contredire une larme échappée.Les symphonies en ré majeur sont légion à

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Pierre-Laurent Aimard, pianoPierre-Laurent Aimard se produit dans le monde entier sous la direction de chefs tels qu’Esa-Pekka Salonen, Vladimir Jurowski, Péter Eötvös, Sir Simon Rattle et Riccardo Chailly. Il joue au Carnegie Hall et au Lincoln Center à New York, au Konzerthaus de Vienne, à la Philharmonie de Berlin, au Festival de Lucerne, au Mozarteum de Salzbourg, à la Cité de la Musique à Paris, au Festival de Tanglewood, au Southbank Centre à Londres… Il est par ailleurs directeur artistique du Festival d’Aldeburgh (Royaume-Uni).En 2015-2016, Pierre-Laurent Aimard est artiste en résidence à l’Orchestre symphonique de Vienne et joue les concertos pour piano de Beethoven sous la baguette de Philippe Jordan. Il participe également à un vaste projet autour de Stockhausen pour Musica Viva à Munich, qui aboutira notamment à des concerts à Paris et Amsterdam. Il donne aussi des récitals à Francfort, Amsterdam, Sydney, Tokyo et Londres.Pierre-Laurent Aimard est né à Lyon en 1957. Il a étudié le piano auprès d’Yvonne Loriod au Conservatoire national de musique et de danse de Paris et auprès de Maria Curcio à Londres. Il a remporté le premier prix du Concours Olivier-Messiaen en 1973 et a été nommé premier pianiste solo de l’Ensemble intercontemporain par Pierre Boulez à l’âge de dix-neuf ans.Il a travaillé étroitement avec les compositeurs György Kurtág, Karlheinz Stockhausen, Elliott Carter, Pierre Boulez et George Benjamin. Il a collaboré avec György Ligeti afin d’enregistrer l’intégrale de son œuvre. Plus récemment, il a joué en première mondiale Responses  ; Sweet Disorder and the Carefully Careless d’Harrison Birtwistle, ainsi qu’Epigrams de Carter.

l’époque classique, mais est-ce le hasard qui a relié la première et la dernière par le choix du même ton, ou Haydn aurait-il gardé un souvenir assez précis des œuvres qui ont marqué sa jeunesse ? La mémoire d’un artiste de cette envergure en était capable, sinon comment aurait-il pu produire autant sans jamais se répéter.En trente-six années les dimensions d’une symphonie ont presque triplé, tout comme l’effectif orchestral enrichi de deux flûtes, deux clarinettes, deux bassons (distincts cette fois des violoncelles), deux trompettes et timbales. Haydn ne se contente plus d’instrumenter, il

crée des effets purement orchestraux. Surtout, il développe ses idées avec une sorte d’ostentation malicieuse comme s’il soufflait à l’auditeur  : écoutez ce que je vais faire de ce petit motif !Mais s’il était besoin de découvrir un lien secret entre ces deux symphonies, c’est au cœur de leurs Andante qu’il faudrait le chercher  : cette mélancolie active, cette énergie douce-amère évoquée plus haut, qui tient du trait de caractère plus que de l’esthétique.—G. C.

Biographies

Ton Koopman, directionArtiste associé de l’Auditorium-Orchestre national de LyonTon Koopman est né à Zwolle (Pays-Bas) en 1944. La passion pour la musique baroque l’a conduit à créer en 1969, à l’âge de vingt-cinq ans, son premier orchestre baroque. Il a fondé l’Orchestre baroque d’Amsterdam en 1979, puis le Chœur baroque d’Amsterdam en 1992. Au clavecin et à la tête de l’Orchestre et du Chœur baroques d’Amsterdam, il s’est produit au Concertgebouw d’Amsterdam, au Théâtre des Champs-Élysées et à la salle Pleyel à Paris, au Musikverein et au Konzerthaus de Vienne, à la Philharmonie de Berlin, au Barbican Centre et au Royal Albert Hall à Londres, au Lincoln Center et au Carnegie Hall de New York, au Suntory Hall à Tokyo, etc. Ton Koopman a enregistré l’intégrale des cantates de Bach et les œuvres complètes de

Buxtehude. Il est souvent invité à diriger les grands orchestres d’Europe, des États-Unis et du Japon, tels que l’Orchestre philharmonique de Berlin, l’Orchestre du Concertgebouw d’Amsterdam, l’Orchestre symphonique allemand de Berlin, l’Orchestre symphonique de la Radio bavaroise à Munich, l’Orchestre de la Tonhalle de Zurich, les Orchestres symphoniques de Vienne, Boston, Chicago et San Francisco, l’Orchestre philharmonique de Radio France, l’Orchestre de Cleveland, etc.Ton Koopman enseigne à l’université de Leyde. Il est membre honoraire de l’Académie royale de musique de Londres. Depuis sa première venue en mars 2010, Ton Koopman a dirigé à plusieurs reprises l’Orchestre national de Lyon ; en avril 2011, il a donné à l’Auditorium la Passion selon saint Jean de Bach à la tête de l’Orchestre et du Chœur baroques d’Amsterdam.

P.-L. Aimard © Marco Borgreeve

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Leonard Slatkin, directeur musicalDirecteur musical de l’Orchestre national de Lyon (ONL) et du Detroit Symphony Orchestra (DSO), Leonard Slatkin mène en outre une carrière intense de chef d’orchestre invité, en plus de ses activités de compositeur, d’auteur (avec Conducting Business) et de pédagogue.Parmi les temps forts de la saison 2015/2016, citons un festival Brahms de trois semaines à Detroit  ; des engagements avec le St. Louis Symphony, le Pittsburgh Symphony, le Los Angeles Philharmonic et l’Orchestre symphonique de la NHK (Tokyo)  ; des débuts avec l’Orchestre philharmonique de Chine (Pékin) et l’Orchestre symphonique de Shanghai  ; et une tournée d’été au Japon avec l’ONL. Leonard Slatkin a fait plus de 100 enregistre-ments, qui lui ont valu 7 Grammy Awards et 64 nominations. Il a dirigé les principaux orchestres mondiaux, et sa carrière lyrique le mène sur des scènes prestigieuses, du Metropolitan Opera de New York à la Staatsoper de Vienne. Il a été directeur musical du New Orleans Sympho-ny, du St. Louis Symphony et du National Symphony (Washington), et chef principal du BBC Symphony (Londres). Il a été premier chef invité du Royal Philharmonic et du Philharmo-nia (Londres), du Pittsburgh Symphony, du Los Angeles Philharmonic au Hollywood Bowl, et du Minnesota Orchestra.Né à Los Angeles dans une éminente famille de musiciens, Leonard Slatkin a commencé l’étude de la musique par le violon et a étudié la direction d’orchestre avec son père, puis avec Walter Susskind à Aspen et Jean Morel à la Juilliard School. Il réside à Bloomfield Hills (Michigan), avec son épouse, la compositrice Cindy McTee. Titulaire de la National Medal of Arts, la plus haute récompense conférée à un artiste par le gouvernement américain, Leonard Slatkin est aussi chevalier de la Légion d’honneur.

Leonard Slatkin est représenté par R. Douglas Sheldon (agent général, représentant pour les Amériques et l ’Asie) chez Columbia Artists Management Inc. et par Julia Albrecht (agent pour l ’Europe) chez Konzertdirektion Schmid.

Orchestre national de LyonFort de cent quatre musiciens permanents ayant le privilège de travailler et répéter dans la salle de concert (2100 places) qui lui est dédiée, l’Orchestre national de Lyon, l’un des plus anciens de France (1905), est actuellement dirigé par le chef américain Leonard Slatkin, par ailleurs titulaire de l’Orchestre symphonique de Detroit (Michigan).Apprécié pour la qualité très française de ses cordes, qui en fait l’un des interprètes reconnus du répertoire français (Ravel, Debussy, Berlioz,…) mais aussi des grandes formes symphoniques du xixe, il explore également le répertoire du xxe siècle et passe régulièrement commande à des compositeurs d’aujourd’hui. Pionnier en ce domaine, il s’illustre avec brio dans des ciné-concerts ambitieux (Le Seigneur des anneaux, Matrix, Pixar) ou accompagne des œuvres majeures du cinéma muet (Chaplin, Fritz Lang, Murnau,…).Au-delà des très nombreux concerts qu’il donne à l’Auditorium, l’Orchestre se produit dans les plus grandes salles et capitales européennes. Premier orchestre symphonique à s’être produit en Chine, il a donné en 2016 une série de concerts au Japon, notamment trois programmes à Tokyo. En 2017, il effectuera une tournée américaine et se produira notamment dans la salle new-yorkaise mythique de Carnegie Hall.L’Auditorium de Lyon, impressionnant monolythe de béton et d’acier, inauguré en 1975, d’un confort exceptionnel, accueille de très nombreuses phalanges internationales et les plus grands solistes de la scène musicale. Les nombreux    partenariats qu’il a su nouer avec des manifestations tels le Festival Lumière, Ambronay ou Jazz à Vienne, ont permis d’ouvrir largement la salle à tous les genres musicaux et tous les publics. Chaque année, ce sont près de 250 000 spectateurs qu’il accueille dans ses murs.

Établissement de la Ville de Lyon, l ’Orchestre national de Lyon est subventionné par le ministère de la Culture et de la Communication et par la Région Auvergne-Rhône-Alpes.

L’Orchestre national de LyonLeonard Slatkin directeur musical

L’Auditorium-Orchestre national de LyonNN directeur général ; Denis Bretin secrétaire général ; Mathieu Vivant directeur de production ; Stéphanie Papin directrice administrative et financière ; Christian Thompson délégué artistique ; et l’ensemble des équipes administratives et techniques.

VIOLONS I

Violons solos supersolistesJennifer GilbertGiovanni RadivoPremier violon soloJacques-Yves RousseauDeuxième violon soloJaha LeeViolons du rangAudrey BesseYves ChalamonAmélie ChaussadePascal ChiariConstantin CorfuAndréane DétienneAnnabel FauriteSandrine HaffnerYaël LalandeLudovic LantnerPhilip LumbusAnne RouchRoman Zgorzalek

VIOLONS II

Premiers chefs d’attaqueF. Souvignet-KowalskiCatherine MennesonDeuxième chef d’attaqueTamiko KobayashiViolons du rangBernard BoulfroyLéonie Delaune Catalina EscobarEliad FloreaVéronique GourmanelKaé KitamakiDiego MattheyMaïwenn MererSébastien PlaysHaruyo TsurusakiBenjamin Zékri

ALTOS

Altos solosCorinne ContardoJean-Pascal OswaldAlto co-solisteFabrice Lamarre

Altos du rangCatherine BernoldVincent Dedreuil-MonetMarie GaudinVincent HugonValérie JacquartSeungEun LeeJean-Baptiste MagnonCarole MilletLise NiqueuxManuelle Renaud

VIOLONCELLES

Violoncelles solosNicolas HartmannÉ. Sapey-TriompheVioloncelle co-solistePh. Silvestre de SacyVioloncelles du rangMathieu ChastagnolPierre Cordier Dominique DenniStephen EliasonVincent FalqueJérôme PortanierJean-Étienne TempoNN

CONTREBASSES

Contrebasses solosBotond KostyákVladimir TomaContrebasse co-solistePauline DepassioContrebasses du rangDaniel BillonGérard FreyEva JanssensVincent MennesonBenoist NicolasNN

FLÛTES

Flûtes solosJocelyn AubrunEmmanuelle RévilleDeuxième flûte Harmonie MaltèrePiccolo Benoît Le Touzé

HAUTBOIS

Hautbois solosJérôme GuichardClarisse MoreauDeuxième hautbois Ph. Cairey-RemonayCor anglais Pascal Zamora

CLARINETTES

Clarinettes solosRobert BianciottoFrançois SauzeauPetite clarinetteThierry MussotteClarinette basse Nans Moreau

BASSONS

Bassons solosOlivier MassotLouis-Hervé MatonDeuxième basson François ApapContrebasson Stéphane Cornard

CORS

Cors solosJoffrey QuartierGuillaume TétuCors aigusPaul TanguyYves StockerCors gravesJean-Olivier BeydonStéphane GrossetPatrick Rouch

TROMPETTES

Trompettes solosSylvain KetelsChristian LégerDeuxièmes trompettes Arnaud GeffrayMichel Haffner

TROMBONES

Trombones solosFabien LafargeCharlie MaussionDeuxième trombone Frédéric BoulanTrombone basse Mathieu Douchet

TUBA

Tuba soloGuillaume Dionnet

TIMBALES ET PERCUSSIONS

Timbalier soloAdrien PineauDeuxième timbalier Stéphane PelegriPremière percussionThierry HuteauDeuxièmes percussionsGuillaume ItierFrançois-Xavier Plancqueel

CLAVIERS

Claviers soloÉlisabeth Rigollet

HARPE

Harpe soloÉléonore Euler-Cabantous

ABONNEMENTS & RÉSERVATIONS 04 78 95 95 95

prochainement à l’auditorium

| di. 15 janv. 11hmusique de chambre TILL L’ESPIÈGLE

Guillaume Connesson SextuorFranz Hasenöhrl Till Eulenspiegel, einmal anders ! d’après Richard StraussSergueï Prokofiev Quintette en sol mineur, op. 39

Musiciens de l’Orchestre national de Lyon : Jaha Lee, violon – Jean-Baptiste Magnon, alto – Pauline Depassio, contrebasse – Thierry Mussotte, clarinette – Philippe Cairey-Remonay, hautbois – François Apap, basson – Guillaume Tétu, cor – Élisabeth Rigollet, piano

Tarif : 16 € / réduit : de 8 € à 11 €

| me. 18 janv. 15h & je. 19 janv. 20hciné-concert jeune publicBUSTER KEATON

James W. Horne et Buster Keaton Sportif par amour [College]États-Unis, 1927, 1h02, N&B / avec Buster Keaton, Anne Cornwall, Flora Bramley, Harold Goodwin

Musique de Timothy Brock (création mondiale – commande de l’Auditorium-Orchestre national de Lyon, de l’Institut Lumière et de Lobster Films)

Orchestre national de Lyon Timothy Brock, direction

En coréalisation avec l ’Institut Lumière. Dans le cadre du festival Sport, littérature et cinéma.Tarif (18/01 15h) : 16 € / réduit : 8 à 13 € / – 12 ans : 5 € Tarif (19/01 20h) : 16 € / réduit : de 8 € à 11 €

| sa. 21 janv. 10hjeune public – à partir de 3 ansCOMPTINES CUIVRÉES

Musiciens de l’Ensemble de cuivres et percussions de l’Orchestre national de Lyon : Joffrey Quartier, cor – Christian Léger et Michel Haffner, trompette – Charlie Maussion, trombone – Guillaume Dionnet, tuba – Guillaume Itier, percussions et arrangements

Landy Andriamboavonjy, narration et chant

Tarif : 16 € / réduit : 8 à 13 € / – 12 ans : 5 €

www.auditorium-lyon.com

College Buster Keaton © United Artists / DR