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Déclaration B'Tselem au Conseil de Sécurité de l'ONU
Je me suis exprimé aux Nations Unies contre
l’occupation parce que j’aspire à la qualité d’être humain. Et les êtres humains, lorsqu’ils sont responsables d’une injustice envers d’autres êtres humains, ont l’obligation morale de réagir.
Je me suis exprimé aux Nations Unies contre l’occupation parce que je suis israélien. Et, au vu de ces liens, l’occupation est un désastre. La réalité ne changera pas si le monde n’intervient pas. Je soupçonne notre gouvernement, dans son arrogance, de savoir cela et, de ce fait, de s’occuper à répandre la peur d’une telle intervention. Une intervention du monde contre l’occupation est tout aussi légitime que n’importe quelle question de droits humains. Ce n’est pas un problème israélien interne, mais une question internationale, c’est flagrant. Au bout du compte, j’en suis sûr, Israéliens et Palestiniens mettront
fin à l’occupation, mais pas sans l’aide du monde. Voici une autre
conclusion : il n’y a aucune chance que la société israélienne de son bon vouloir et sans aucune aide, mette fin au cauchemar. De trop
nombreux mécanismes font un cas à part de la violence que nous mettons en œuvre pour contrôler les Palestiniens. Trop d’excuses se sont accumulées. Il y a eu trop de peurs et d’angoisse – des deux côtés – au cours des 50 dernières années. Qu’est ce que les Palestiniens sont supposés faire ? S’ils osent manifester, c’est du terrorisme populaire. S’ils appellent à des sanctions, c’est du terrorisme économique. S’ils utilisent des moyens légaux, c’est du terrorisme judiciaire. S’ils se tournent vers les Nations Unies, c’est du terrorisme diplomatique. Qu’attend le gouvernement : une lettre de reddition ou la disparition des Palestiniens ? Ils ne disparaîtront pas. Nous ne disparaîtrons pas non plus, ni ne nous tairons. Je me suis exprimé au Conseil de Sécurité de l’ONU contre l’occupation parce que je suis optimiste, parce que je suis Israélien, parce que je suis né à Haïfa et que je vis à Jérusalem, et parce que je ne suis plus un jeune homme et que chaque jour de ma vie a été marqué par le contrôle que nous exerçons sur eux. Et parce qu’il est impossible de continuer ainsi.
Hagai El‐Ad, directeur exécutif B’Tselem.
Palestine-Amitié - Besançon
Bulletin numéro 7 ‐‐ décembre 2016 prix 0,50 euro
Toujours et encore ...
Profitant de la situation catastrophique qui règne
au Moyen‐Orient, l’Etat israélien poursuit sa colonisation du
territoire palestinien comme jamais précédemment : C’est toujours plus de meurtres de Palestiniens ‐par l’armée ou les colons sans que ceux‐ci n’aient à rendre des
comptes‐, de démolitions de maisons, de vols de terres palestiniennes, de lois draconiennes surajoutées, de colonies de peuplement, plus de routes réservées aux juifs, plus d’arrestations d’enfants, plus de personnes en détention administrative (détenus sans inculpation ni jugement).
C’est toujours la population de la bande de Gaza qui vit dans une prison à ciel ouvert : des gens qui vivent encore dans les débris de leur maisons détruites pendant les bombardements de 2014, qui ne peuvent pas sortir sans autorisation de l’armée israélienne, qui ne peuvent pas aller pêcher sans risquer leur vie.
C’est encore la ville palestinienne de Jérusalem ( Jérusalem‐Est) qui est vidée de ses habitants et où l’Etat israélien détruit le patrimoine archéologique et spirituel musulman inscrit au patrimoine de l’Humanité, « avec une précision scientifique », précise un rapport de l’UNESCO. Cela au mépris des textes internationaux sur la protection des biens culturels des peuples et du statut juridique de Jérusalem défini par les Nations‐Unies.
Et cela en toute impunité… Ni les États européens, ni les États‐Unis n’osent sanctionner l’Etat israélien qui viole à longueur d’années le droit international et les droits de l’homme.
Pourtant beaucoup de voix s’élèvent en Israël pour dire que leur pays court à sa perte, comme Yaïr GOLAN, officier supérieur de Tsahal (l’armée israélienne) qui compare l’ambiance de l’Etat hébreu à celle de l’Europe de 1933, comme tous ces jeunes israéliens qui refusent de faire leur service militaire et comme ces 500 personnalités israéliennes (issues des milieux politiques, militaires, culturels) qui lancent un appel aux juifs du monde entier à se joindre à eux afin de développer une action coordonnée pour mettre fin à l’occupation et bâtir un nouvel avenir dans l’intérêt des générations futures.
C’est aussi à tous ceux qui sont épris de justice et de paix de faire pression sur nos représentants politiques en France et en Europe pour que des sanctions soient prises –et pas seulement des condamnations verbales‐ contre cet État, tant qu’il ne respectera pas le droit international et les droits humains.
Geneviève GRAPPE
Editorial
B’Tselem est une ONG israélienne et se présente comme le centre israélien d’information pour les droits de l’homme dans les territoires occupés. Le mot B’Tselem signifie « à l’image de » et provient du verset 1:27 de la Genèse : « Et Dieu a créé l’homme à son image. »
La Bande de Gaza n’est pas
située sur la Lune. Elle commence à 60 Km de Tel‐Aviv,
la ville occidentale, vitrine de l’occupant. Qui se soucie
des deux millions de Palestinien‐ne‐s enfermé‐e‐s
depuis 10 ans sur un minuscule territoire ? Pas la
grande majorité des médias qui ignorent la bande de
Gaza et contribuent souvent à la
diffamer : « terroristes », « intégristes
», « liste noire » …
Comment est‐il possible
qu’après 3 grands massacres (Plomb
Durci 2008‐9, Piliers de la Défense
2012, Bordure Protectrice 2014) qui
ont tué plus de 4000 personnes, en
ont laissé handicapées plusieurs
milliers, ont rendu inhabitables des
quartiers ou des villages en provoquant l’exode de
toute la population et ont pulvérisé en priorité
l’appareil productif pour tenter de transformer
définitivement les Gazaouis en assistés, tout continue
comme avant ? Le blocus de Gaza est un crime
ignoble. Gaza est une société normale dans une
situation totalement anormale.
Sarah et Pierre ont ansi donné leur témoignage
«Nous avons pu séjourner à Gaza du 23 mai au 9 juin
2016 dans le cadre de la deuxième mission « Éducation
et partage solidaire ». Notre tâche essentielle a été de
recueillir un maximum
d’informations et de témoignages
dans tous les domaines : la vie
quotidienne, les associations, les
partis politiques, la religion, les
agriculteurs, les pêcheurs, la
société civile, la jeunesse, les
Bédouins, le système éducatif…
Auprès de nos amis proches, nous
avons recensé les besoins les plus
urgents en matière de collaboration ou de solidarité.
Si quelqu’un vous dit « les Palestiniens pensent
que … », ne l’écoutez pas ! Vous constaterez que, dans
cette cage, les avis, les réactions, les façons d’être ou
de penser sont très diverses.
Si quelqu’un associe à Gaza le mot de terroriste, indignez‐vous !
Proposée par Palestine‐Amitié, une Soirée sur GAZA
avec Sarah Katz et Pierre Stambul (de l’Union Juive Française pour la Paix)
C’est un témoignage, illustré par leur montage photos, que Sarah et Pierre ont
présenté à Besançon, au Foyer des Oiseaux, le 7 décembre dernier, devant une salle
comble et un public intéressé. Cette même soirée avait eu lieu la veille à Belfort et le
lendemain à Champagnole. Dernièrement Sarah et Pierre ont publié « Chroniques de
Gaza‐ Mai juin 2016 » aux éditions ACRATIE. L'acquisition de cet ouvrage peut se
faire aupès de Palestine‐Amitié.
Tamar Alon, 18 ans, et Tamar Zeevi, 19 ans, sont deux jeunes objectrices de conscience israéliennes. Convoquées le 19 novembre dernier au bureau de recrutement, elles ont signifié leur refus de servir dans l'armée d'occupation en raison de leur «refus de contribuer à l'oppression du peuple palestinien»
Elles ont été emprisonnées pendant une semaine. Libérées, elles ont réitéré leur refus d’effectuer le service militaire. Le lundi 28 novembre, elles ont été à nouveau condamnées pour dix jours. Ce scénario peut se renouveler plusieurs fois. Ainsi Tair Kaminer a déjà passé 166 jours en prison.
Vous pouvez lire la traduction en français de la déclaration de Tamar Alon sur : http://www.wri‐irg.org/en/node/26922 Elle commence ainsi : « Mon nom est Tamar Alon. J’ai 18 ans. Le 16 novembre 2016, j’ai refusé d’être incorporée dans les Forces de défense israélienne ; cette action causera probablement mon emprisonnement. ….
Je ne peux pas accepter les proclamations sur l’oppression d’une autre nation, sur le déni des droits humains fondamentaux, sur le racisme et la haine, qui sont essentiels pour l’existence d’Israël »
Vous pouvez relire la déclaration de Tair Kaminer en janvier 2016 : http://www.France‐Palestine.org/Pourquoi‐je‐refuse‐Declaration‐de‐Tair‐Kaminer
(communiqué AFPS – 30 novembre 2016)
Objection de Conscience : le refus de Deux jeunes Israéliennes
On ne revient pas indemne d’un séjour en Palestine quand on veut comprendre ce qui se passe là‐bas. Ainsi peuvent en témoigner ceux qui font les voyages de solidarité en Palestine qu’organise, depuis 2011, l’Association Palestine‐Amitié. Cette année encore ce sont quinze personnes qui, du 3 au 14 novembre dernier, sont allées à la rencontre des femmes et des hommes de ce pays saccagé, déchiré, humilié par une occupation militaire de plus d’un demi‐siècle.
Au fil des jours, au fur et à mesure des rencontres qui sont la base de tels voyages, on sent que la colère, l’indignation, la révolte envahissent progressivement les participants qui découvrent une réalité que taisent les médias en général et qu’eux‐mêmes n’imaginaient pas aussi dramatique. S’exprime aussi l’admiration vis‐à‐vis de ces gens de Palestine qu’on voudrait abattre mais qui restent debout, droits et dignes, malgré l’oppression et les injustices grandissantes qui leur sont faites. Ils continuent d’agir au sein de la société civile –associations, coopératives, syndicats…‐ pour que, malgré tout, vive encore ce reste de pays que les Israéliens ne cessent de morceler, de défigurer, de confisquer : implantations croissantes de colonies bétonnées qui poussent sur les collines de Cisjordanie et «fleurissent » dans des paysages de désert arrosés par l’eau que l’occupant a volée aux autochtones ; constructions de routes qui, tout en sillonnant le Territoire des Palestiniens, leur sont interdites … autant de preuves de violations flagrantes du territoire palestinien que nous avons pu constater et qui s’ajoutent à toutes les exactions commises quotidiennement par un occupant qui se moque des Conventions internationales et des Droits humains : démolitions de maisons, destructions de cultures
et d’infrastructures, expulsion de familles et de communautés entières tels les Bédouins, confiscations de terre, arrestations arbitraires et emprisonnements massifs, lois d’Apartheid croissantes... la liste est longue de toutes les injustices et violences infligées. Pas besoin d’analyse
pour comprendre la raison du comportement israélien vis‐à‐vis du pays occupé : il n’y a qu’à voir les colonies grandissantes qui tapissent –illégalement pourtant‐ les pentes des collines du territoire palestinien et il paraît évident que la conquête de la
terre est l’objectif principal pour créer le Grand Israël, cet Etat juif voulu par le sionisme d’origine. Peu importe ce qu’il advient du peuple autochtone non juif : le faire partir à tout prix, c’est l’objectif visé ! Comment alors parler encore d’une possible Paix entre ces deux peuples ?
Le Père Abu Khalil, curé de Taybeh, que nous avons pu rencontrer nous a exprimé clairement sa pensée à ce sujet. Sa
dénonciation des exactions israéliennes que le monde tait est sans appel : « La Paix, ça veut dire la destruction du sionisme et cela, personne actuellement ne peut ou plutôt ne veut l’arrêter. Tout le monde se tait, y compris les catholiques qui ont peur, s’ils parlent haut, de passer pour des antisémites ». En effet, pour ce prêtre engagé pour la Justice et le Droit dus aux Palestiniens, la situation actuelle est absolument catastrophique en raison, non seulement de l’occupation mais aussi de la ségrégation qui devient la norme et surtout des extrémistes de tout bord qui viennent occuper le terrain et dont le sionisme favorise l’implantation.
Cette parole n’est pas unique : nous l’avons entendue maintes fois au cours de notre voyage « Nous, Palestiniens, ne sommes pas contre les Juifs, mais contre le sionisme et l’occupation qui nous ravage et nie notre existence.» C’est cette réalité qu’on nous demande de faire entendre avant qu’une terrible violence n’explose là‐bas.
Gisèle TUAILLON‐NASS
REGARD sur la PALESTINE : Réflexion sur le voyage de solidarité 2016 en Cisjordanie.
« Le Journal de Bord » de ce Voyage 2016, tenu par les participants au jour le jour, peut être consulté sur le Blog de Palestine‐Amitié
Destruction de maisons faite au bulldozer il y a quelques semaines (6 maisons qui abritaient 2 à 3 familles viennent d’être détruites !
Les participants au voyage de solidarité 2016 avec le Père Abu Khalil, curé de Tayeb
Témoignage ‐ VOYAGE Solidaire 2016.
(Extrait du Journal de Bord)
….Nous reprenons la route pour le village de Nabi Samuel, rattaché à Jérusalem depuis 1967…
On dit que c'est là que se trouve le tombeau du prophète Samuel. Pour ces raisons Israël a annexé ce village, l'a détruit pour en faire partir les habitants et a camouflé la destruction en restaurant les ruines pour faire croire à des fouilles d'un site vieux de plusieurs siècles
…Ce lieu chargé d'histoire et de culture palestinienne a été transformé par Israël en parc national de culture exclusivement juive niant ainsi toute trace palestinienne sur cette terre.
Du sommet de la mosquée qui domine ce village on peut voir la route qui coupe la Cisjordanie en deux et des colonies qui font du vin avec des vignes palestiniennes confisquées. Un peu plus bas, le village est reconstruit en tôle par une vingtaine de familles qui résiste. Les femmes se sont organisées en association pour faire revivre le village et y proposer
des activités… …La France s'était investie par
l'intermédiaire du consulat de Jérusalem dans la création d'un lieu de vie où le village pouvait se retrouver, partager sur les différents problèmes et avoir quelques activités, tels soutien scolaire ou activités culturelles. C'était un container que les gens du village avaient aménagé et où l'association des femmes avait son siège. C'était un lieu de vie, d'échanges et d'accueil qui, un matin de septembre dernier, a été détruit au bulldozer par les soldats israéliens. Nous allons, silencieux, sur les lieux du saccage.
Palestine‐Amitié, association loi de 1901 12 rue Wittman 25000 ‐ Besançon
mel : [email protected] http://palestineamitie.canalblog.com/ ‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐ Directeur de publication et rédacteur en chef Gisèle Tuaillon
Comité de rédaction G.Tuaillon, M.Bandelier, MP.Mataillet, D.Grandvuillemin Dépot légal: à parution, ISSN en cours
Palestine‐Amitié au quotidien
Le sentier d'Abraham
Lors des derniers voyages, les participants ont pu parcourir quelques kilomètres sur ce chemin légendaire, qui peu à peu est remis à l'honneur sur leTerritoire Palestinien.
Accompagnés de guides locaux, il est maintenant possible de marcher depuis Jenine jusqu’à Hébron où se situe le cénotaphe d'Abraham. La ville de Besançon participe avec d'autres collectivités comme la ville de Neuchâtel, le Grand Lyon ou le
département de l'Isère au développement touristique de ce sentier. Des haltes, des gîtes d'accueil sont maintenant organisés et gérés directement pas des associations locales ou par des Bédouins dans le désert.
Une exposition très intéressante était présentée par la ville en novembre dans le cadre de la semaine de la solidarité. Une mission de la ville de Besançon, à laquelle participera Palestine‐Amitié, sera organisée en février et fera le point, entre autre, sur les possibilités actuelles de ce sentier.
Participation au MarchéSolidaire de Noël
Palestine‐Amitié toujours présente au Marché Solidaire de Noël à Besançon ( 5 jours durant cette année) : moment de rencontres et d'échanges, certes,
mais aussi l'occasion d'acheter des produits palestiniens : faïences ,boules décorées d'Hébron, crèches de Bethléem, sacs et objets brodés de Ramallah, livres (recettes de cuisine, poèmes, etc), savons de Naplouse et bien sûr de l'huile d'olive, sans oublier le fameux Zaatar de «chez Fayez et Mouna» rapporté lors du dernier voyage .
http://palestineamitie.canalblog.com/
Une Bouteille à la Mer
Dans le cadre de la Semaine de la Solidarité Internationale(SSI), très forte participation à la projection du film "une Bouteille à la Mer" le 16 novembre au Foyer des Oiseaux. En deuxième partie , des
témoignages, donnés parfois avec beaucoup d'émotion, par des personnes ayant participé aux voyages de solidarité en Palestine. La question de fond reste entièrement posée :
Aujourd'hui un dialogue est‐il encore possible entre Israéliens et Palestiniens?
actualités BDS
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Deux livres, en idée cadeauxà commander chez votre libraire
Journal Officiel du 24/11/2016 : étiquetage des produits issus de colonies. La France met en application la disposition européenne votée en 10/2015, stipulant l'obligation d'étiqueter la provenance exacte « produit originaire du plateau du Golan (colonie israélienne) » ou « produit originaire de Cisjordanie (colonie israélienne) ». Au‐delà du pas en avant que représente cette mesure, il convient de s'interroger sur la pertinence de cette décision qui permet la commercialisation, malgré tout, de ces produits illégaux.
*‐*‐*‐* Soutien du Collectif Palestine de Besançon à Richard SROGOSZ, Président du collectif BDS 57 qui passera au TGI (Tribunal de Grande Instance) de Metz le 26/01/2017. Il est accusé d'avoir incité les pharmaciens à ne pas se fournir en produits TEVA (médicaments génériques israéliens). Adresse de la pétition http://relaxepourrichard.wesign.it/fr
*‐*‐*‐* 14/02/2017 – Maison des Syndicats 4b rue Léonard de Vinci (Théâtre de l'Espace à Planoise) BESANCON à 20 H. Rencontre avec Bilal, universitaire palestinien en stage à Besançon. Après un exposé sur la situation politique en Cisjordanie, il animera une discussion sur l'avenir de son pays.
*‐*‐*‐* Il est prévu un travail BDS concernant certaines de nos banques/assurances qui investissent dans les territoires occupés en toute illégalité par Israël (Crédit Agricole, Société Générale, BPCE, BNP ‐ et AXA) .
*‐*‐*‐* Appel pour la suspension de l'Accord d'Association Union Européenne/Israël signé en 1995. Cet accord implique une totale détaxation des produits exportés d'Israël vers l'Union Européenne. Il est grand temps que l'UE exerce les pressions nécessaires en vue du respect du droit international par l'Etat d'Israël et suspende l'Accord d'Association qui le lie à lui. Il est temps de mettre fin à l'impunité d'un Etat qui viole les droits de l'homme.Une pétition est en ligne http://cnpjdpi.org/appel/index.php?
Aux éditions 'la Fabrique'
« un boycott légitime »
d'Armelle Laborie et Ayal Sivan
pour le BDS universitaire et culturel de l'État d'Israël; Boycotter, désinvestir dans
tous les domaines
Aux éditions ' Scribest'
« Jérusalem Hôtel»
de Philippe Guiguet Bologne un recueil de poèmes qui vont au‐delà de l'engagement, des poèmes qui nous emmènent dans un univers