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Pamphlet pour moi-même par pas Marc Aurèle sans quoi il n'aurait été, ou les confidences sur le clavier à une putain de meuf (qui a le don de m'énerver), (et à laquelle je ne veux plus jamais penser, ou tout du moins plus de cette façon). Assuré qu'à la différence de ta beauté ces fleurs vont un jour fâner, que ta vie soit parsemée de bouquets faisant battre ton coeur un peu plus fort, et imprimant sur ton si doux visage ce si joli sourire que je connais. Sois sans cesse celle que tu es, que tes yeux pétillent à jamais. Un pas chasse toujours l'autre, jeune femme aux cheveux chatains et bouclés n'arrétez jamais de danser. Sans quoi le monde s'arrêterait probablement de tourner … sa tête lorsque dans la rue à tes côtés il passerait. Petite fille un piti peu timide que tu es, l'ivresse mêlant la vertu sont des fleurs qu'il faut savoir récolter, sans quoi ce temps fait place aux soucis dont il faut savoir s'écarter. Par delà un bien comme un mal, me permettez-vous que je vous appel ma beauté ? Je ne sais pas ce qui est le pire pour un homme entre se retenir de pisser et se retenir de niquer ? L'art de tout gâcher, fait des briques de ma bêtise et du ciment de mon ignorance, est un édifice que j'élève chaque jour un peu plus haut. De combien de verres en trop dois-je souffrir de m'être mis dans ce malheureux état? Me réveillant tôt le matin, mon crâne me faisant mal, la première image que j'eus à l'esprit fût celle que jamais je

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Pamphlet pour moi-mêmepar pas Marc Aurèle sans quoi il n'aurait été,

ou les confidences sur le clavier à une putain de meuf (qui a le don de m'énerver), (et à laquelle je ne veux plus jamais penser, ou

tout du moins plus de cette façon).

Assuré qu'à la différence de ta beauté ces fleurs vont un jour fâner, que ta vie soit parsemée de bouquets faisant battre ton coeur un peu plus fort, et imprimant sur ton si doux visage ce si joli sourire que je connais.Sois sans cesse celle que tu es,que tes yeux pétillent à jamais.Un pas chasse toujours l'autre, jeune femme aux cheveux chatains et bouclés n'arrétez jamais de danser. Sans quoi le monde s'arrêterait probablement de tourner … sa tête lorsque dans la rue à tes côtés il passerait.Petite fille un piti peu timide que tu es, l'ivresse mêlant la vertu sont des fleurs qu'il faut savoir récolter, sans quoi ce temps fait place aux soucis dont il faut savoir s'écarter.Par delà un bien comme un mal, me permettez-vous que je vous appel ma beauté ?

Je ne sais pas ce qui est le pire pour un homme entre se retenir de pisser et se retenir de niquer ?

L'art de tout gâcher, fait des briques de ma bêtise et du ciment de mon ignorance, est un édifice que j'élève chaque jour un peu plus haut.De combien de verres en trop dois-je souffrir de m'être mis dans ce malheureux état?Me réveillant tôt le matin, mon crâne me faisant mal, la première image que j'eus à l'esprit fût celle que jamais je

ne me serais souhaité avoir, l'image d'une jeune fille comptant depuis peu pour moi, avec qui je passa un merveilleux après-midi, et qui le soir venu, une fois que j'eus trop bu, me rappela combien il peut être moche de se mettre dans de tels états.Ce qui me pèse et me torture le plus, c'est que je n'ai plus aucun souvenir de cette soirée, mon dernier est cette phrase que tu m'as lancé et qui me fît lâchement partir. Je ne sais que penser, ne me souvenant de rien je présume le pire ...J'écoute Tom Waits et sa voie torturée et cette mélodie triste appellent en moi des larmes qui ne sauraient couler, sans quoi jamais plus elles ne cesseraient tant qu'Amélie ne m'aura pardonné.Je me suis senti à l'aise ce soir là, et n'ai pensé aux conséquences qu'entraînent l'ivresse sans la vertu, voilà maintenant pour moi le temps des soucis desquels je n'ai su me préserver. Pourtant je portais en moi ce désir que dans cet écueil je ne voulais plus tomber, boire à ne plus se souvenir, et trembler le matin au réveil ne sachant ce que j'ai pu faire ou dire, monstrueuse chose que je ne veux plus connaître; de cette mauvaise herbe-ci je ne veux plus jamais paître, animal que parfois je peux être. Aucun mots même les plus beaux ne sauraient m'excuser, des plus belles fleurs à ma portée ce sont les pires que j'ai ramassé, celles appelées l'art de tout gâcher.

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Je n'ai jamais ressenti cela. Cette fille m'énerve au plus haut point, je pense à elle 23h30 sur 24.La plupart du temps je sors avec une meuf avant même de l'avoir vue ou tout du moins de la connaître, elle non, je tiens à prendre mon temps et au premier jour je le lui ai

confié, bien que sur un site de drague qui vend des vibros nous nous soyons rencontrés.Elle me plaît carrément trop. Lorsque je suis en face d'elle et qu'elle me parle ou me sourit je ne peux m'empêcher de lui dire intérieurement : « mais putain arrête de me regarder comme ça et d'être aussi belle !!! ».Elle m'énerve, on devait se voir aujourd'hui et là j'attends comme un con son coup de fil ne pouvant faire autre chose, et ça fait 4 heures et bien plus encore que je l'attends son putain de coup de fil, et j'arrête pas de me répéter : « mais bordel tu vas m'appeler, t'attends quoi, que je crève sur place ? J'ai qu'une envie c'est de te voir, de plonger mon regard dans le tien, de te raconter des conneries plus grosses que moi et te dire intérieurement qu'il faut que t'arrêtes d'être aussi belle, tes cheveux bouclés plongeant sur tes épaules avec cette mèche devant qui cache la moitié de ton visage et qui me fait putain de sacrément plus vouloir en voir, reste ton œil derrière une demi teinte se cachant, tes lèvres en forme de sourire et tes subtils grains de beauté posés sur ton corps qu'à cet instant je souhaite explorer ».

Je n'ai jamais autant eu peur et douté , elle m'habite totalement et ça m'énerve, putain mais tu vas appeler oui ou merde. En plus je t'ai envoyé un texto et toi avec tes 15 heures de forfait t'es même pas foutue de me répondre, non mais ça veut dire quoi, tu le fais exprès ? Ton truc c'est de prendre plaisir à ce que les mecs aient mal au bide toute la journée en pensant à toi ne sachant ce qu'ils doivent penser, torturés entre une peur indescriptible liée à un doute inqualifiable car aucune meuf autre que toi ne peut faire qu'un mec ressente cela, et l'envie terrible dans leurs rêves les plus sincères de te prendre dans leurs bras et te couvrir de tendres baisers, ce que pour l'instant

même dans ceux-ci je n'ose faire tant je ne sais que penser. En tout cas merci, grâce à toi je ressens des choses qui m'avaient toujours été cachées et que je saurai peut-être un jour exprimer.Je ne suis pas en train de dire que je t'aime, c'est juste que par toi je suis obsédé.Putain !!!... Que l'on me lobotomise et que cesse cette douleur, lorsque votre réel pour moi ne sera qu'un passé et que son nom à mes oreilles plus rien n'évoquera je serai en paix, loin des sentiments et émotions que peut produire une fille comme elle sur des gros cons fantasques comme moi.

Il faut faire des rêves pour qu'ils se réalisent.

Et là je vis le pire cauchemar de ma vie. Je suis l'aliéné de sa personne, les murs ne sont pas assez durs pour qu'à cette fille de penser ils me permettent d'oublier.Que la mort m'emporte sur le champ si ce téléphone dans les 2 minutes qui suivent ne sonne. Je ne peux dès lors plus me nourrir ou me faire plaisir que ce soit par un acte ou une pensée, condamné à attendre que madame daigne composer ces putains de chiffres sur son clavier.Excusez-moi de vous parler comme cela mais si avant je doutais de posséder une âme je crains fort de devoir maintenant croire en elle car il me semble que vous me l'avez volée, elle vous appartient désormais et si vous ne devez rien en faire d'autre que la torturer alors rendez la moi même froissée, espérant que le temps et de nombreux médicaments la lave de tout ses pêchés, le plus gros étant d'avoir un jour cru qu'il m'était possible de vous aimer et que ce sentiment puisse en retour être partagé.Et le téléphone reste muet... sale objet de souffrance qu'à certain putains de moments il est. Voici donc venue l'heure

de me suicider, ma lettre se résume à : je ne sais si je peux dire cela mais sachez que je vous ai aimée.Il est trop tard, aucune sonnerie ne venant me sauver...Vous ne tenez donc pas à moi... Bang !!! Le coup est parti. Sur le mur dégouline la cervelle. A vous plus jamais je ne penserai. Mais vous devez cependant savoir que dans ma prochaine vie à nouveau je vous reverrai, ne vous inquiétez pas s'il vous faut vous calmer, la vengeance je ne sais ce que c'est, mais faites attention car une fois encore je risque d'à vos pieds tomber.

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Elle est très intelligente, ce qui lui permet d'exceller dans l'art de manipuler. Elle jette la veille la promesse d'un rendez-vous le lendemain, sans dire exactement quand, et le lendemain ne donne signe de vie, laissant derrière elle comme unique piste que ce soir elle sera peut-être au BT. Son silence est la ligne qu'elle remonte patiemment après avoir attirée le poisson qui a reniflé l'appât suggéré. Si elle n'y est pas je casse tout, peut-être pas à l'extérieur mais au moins en tout cas tout ce qui est en moi. Et ça va pas être beau à voir, lorsque le lendemain étant complètement débilisé je baverai tentant de prononcer quelque chose mais ne pouvant sortir qu'un douloureux : »mmméeulllli », je serai certainement ailleurs, dans ce que vous appèlerai désormais pour le reste de ma vie « son petit monde à lui », vous ne le saurai jamais mais dans ce monde je jouerai constamment du piano à moitié affalé dessus et criant à peine et larmes perdues le mot que dans le votre je ne puis désormais exprimer.Faut quand même être vraiment très con pour s'infliger des moments de littérature comme cela, car même si les sentiments décrits sont une hyperbole de ce que je

ressents, il n'en reste pas moins que j'éprouve quelque chose, et que c'est nouveau pour moi. Merci donc aux Femmes de nous permettre de les regarder dans les yeux les imaginant nues si elles le savaient certaine nous tueraient. Personnellement je le fais jamais, pas assez d'imagination ou d'expérience pour ça.

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Ce n'est pas qu'elle m'avait oublié, c'est qu'elle n'a jamais pensé à moi.

Il me faut croire que lorsque j'écris je mens. Si le contraire était vrai, hier soir je ne la lui aurai laissé, par un quelconque moyen me serai imposé, car il aurai du m'être impossible qu'un autre que moi puisse l'approcher. J'y suis allé sans trop d'espoir, habité par un certain pessimisme, et il me suffit de les voir pour déjà ne plus vouloir y croire, au premier instant j'ai laissé tombé, me disant qu'elle était venue avec quelqu'un, un pote, que moi j'étais pas censé être là et que là je les faisais chier, que je lui gâchais sa soirée par ma présence importune et déplacée. Ils s'étaient peut-être rencontrés simplement une heure avant, je ne voulais savoir, l'occasion pour moi était trop bonne de voir ce que je voulais, me donnant une bonne raison d'arrêter de douter, maintenant je n'ai plus à penser à elle, de sa main mise me voilà délivré, le cœur un peu lourd, certes, mais ce qu'il y a en moi de déception je le supporte grâce au détachement avec lequel je prends la chose est qui n'est pas vrai. Ce qui fait de moi un menteur, le plus grand affabulateur, un déserteur faible et lâche travestissant ses passions par l'usage du verbe et s'effaçant le temps des actes et choix venu. Il est bien beau de savoir aligner trois mots qui sonnent à l'écran, que fais tu lorsque l'objet que

tu voulais nous faire croire quasi sacré se trouve devant toi par un autre travaillée. Tu trouves dans ta souffrance un objet de plaisir, cela te permet de livrer tes états d'âmes en des termes qu'il te semble jolies mais qui ne sont que torture et insultes faite à l'Humanité, n'aurais-tu pas préféré dans le creux de l'oreille après l'amour en d'autres termes lui confier, plutôt que grimaçant seul au matin devant ton PC déçu par ta soirée. C'est ça, va te faire un autre café, et comme vient de te dire Gainsbarre, il faut croire que de tout t'en as vraiment rien à cirer. Dans la vie rien n'est donné, il faut agir comme un voleur, les choses il faut aller les chercher, les occasions se saisissent mais il faut avant tout savoir se les faire présenter. Celui qui veut quelque chose fait ce qu'il a à faire en vue d'obtenir ce parfait, si le moment venu il ne bouge pas sa chance part au loin l'éloignant de son destin, celui en lequel il n'a jamais cru nous laisse t-il à penser, car sinon il aurait agit; il aurait exercé sa liberté le rendant maître pour un temps, en vue d'autres meilleurs, de la grande insensée. La vie est faite d'épreuves qui en soit n'en sont pas, nous en avons besoin pour nous donner l'impression d'être fort et d'avancer, en évitant les pièges qui pourraient faire cesser ce foutu manège de tourner. Je me l'étais dit sans trop m'en persuader, je sais maintenant que je ne crois en rien, que m'importe ce qui m'arrive, les yeux je n'ai qu'à baisser pour ne plus voir et moi même et ce monde et tout oublier, morale de la faiblesse s'étant acceptée préférant baisser les bras, ne sait-on jamais si il levait les poings nous pourrions les lui couper. Par souci d'économie donc, du non-agir il fait son choix, sachant que c'est le mauvais mais n'en a t'il pas toujours était ainsi, de sa minabillité il se suffit, ceci étant plus facile que de tenter de réellement écrire sa vie, lui restant celle vécu par procuration et le faisant s'enliser dans une réalité mystifiée par sa mauvaise-

foi et son goût pour l'auto-méprisation caractérisée. Il faut choisir: écrire , ou vivre ses amours décriés, l'un comme l'autre apportent leurs satisfactions, demande toi celles que tu préfères, celles que tu te souhaites, cesse de te réfugier derrière ce que tu appelles ton art, ou fais au moins semblant d'y croire, car pour l'heure tu n'as rien, et ne me dis pas que ce que tu n'as pas dans ton cœur ce matin ne te manque et aurai pu être ton plus grand bien. Ne voulais-tu pas connaître le sentiment que quelqu'un puisse aussi penser à toi, ne veux-tu donc pas avoir pour te confier une oreille attentive et intime qui saurai t'écouter. Tu n'as aucune excuse, ne t'en cherche pas, c'est vrai le ridicule ne tue pas, mais il n'était pas la peine que tu fasses de cela ta mollassonne épée, avec l'ombre de toi-même pour seul bouclier. Tu dois maintenant savoir et le penser que lorsque tu écrira ce sera comme professer, n'écris que ce que tu sais être vrai, ce sera parfois dur car la vérité sait blesser, et ne dis plus jamais que tu aimes si tu ne peux le prouver, autrement que seul avec tes mots sur ton clavier, qui d'ailleurs lus par d'autres que toi ne seront jamais, ou bien un ou deux amis acquérant conviction que tu es la merde dont ils n'osaient se doutaient. Si au moins t'insulter pouvait te faire changer, mais tu reste sourd à tous tes propos, persuadé d'être le martyre de ce que tu ne veux voir mais qui est ta liberté , ta force agissante, celle de la vie qui véritablement se vit et qui cherche à s'échapper de sa condition d'esclave comme tous ainsi nait, point de départ à tout ce qui pense et qui le sachant tient à s'en détacher, évidence partageant le monde entre les faibles et ceux qui savent se dominer. Avoir conscience de sa faiblesse ne rend pas plus fort et bien au contraire si cette conscience ne sert l'effort permettant de fuir cette condition. Esprit sans consistance que tu es, sors la tête de ton trou et affronte, combat,

décide, et obtiens. Ne serais-tu pas fier, ou au moins satisfait puisque de fierté tu ne veux entendre parler, de savoir que ce que tu as entre les mains t'appartiens car tu l'auras décidé, et quand bien même ne l'aurais-tu obtenu ton vouloir se serai manifesté, entends-tu oh toi honteux représentant de ton espèce, il aurait été préférable que tu sois singe en haut d'un arbre, plutôt qu'être Homme sur cette terre, car tu n'en as que l'apparence, ne te donnant que l'air; allez, oui, de l'air, ouste, retire toi loin dans ton inquiétante forêt, et profite de ton séjour pour méditer sur ce qui t'as conduit là par mépris de la vie, celle dont tu ignores tout, celle que tu ne connaitras jamais car ne mens pas tu le sais , la désillusion est ton fond de commerce et tu penses à tord en profiter. Ne pourrais-tu pas romancer si réellement ce genre d'inepties vraiment écrire tu voulais, te sent-tu obliger de vivre toutes les plus basses passions pour oser prétendre pouvoir les exprimer. Pourquoi prendre ce chemin, tu vois bien qu'il est tout cabossé, et que dans les ornières tes pieds se prennent et te font basculer. Tu as assez souffert, tu sais ce que c'est, sers t'en alors, et cesse cette folie qui consiste à toujours tout devoir gâcher. Pour exprimer ta douleur sers-toi de ton passé, et ne fais plus de ton beau présent ce qui ne sera plus et que tu auras rendu douloureux pour servir une cause dont nous pouvons douter. Tu as de l'imagination mais tu ne veux t'en servir, ce que tu écris il faut que tu l'ai vécu, sans quoi pour toi ce ne serai que vil contrefaçon, tu as peur que l'on puisse te préter des mots que tu n'aurai su par ton être éprouver à raison, faisant de ceux-ci des mensonges pour faire style dont l'essence a toi même serait en fait ignorée. Tu fais bien de le penser, il est tellement plus simple d'échouer, et dire par la suite que cela t'es égal par le contraire tiraillé, donnant raison à ce regard qui fait ce que tu es et qui pourrait s'appeler

tristesse. Ne voudrais-tu pas l'oublier, le laisser derrière toi, il n'est jamais trop tard pour commencer. Si seulement tu savais observer, tu verrai que le reste du monde aussi se sent mal et que de ta prétendu souffrance comme celle des autres il pourrait se passer, s'il doit y avoir un quelconque putain de foutu bon dieu, te voir heureux serai l'un de ses plus grands soucis, tu en fais son cadet, et si alors bon dieu il y a et qu'il te regarde aujourd'hui, sache que dans toute sa puissance il ne peux plus rien et fait par cela de toi le premier échec de de sa vie faite d'éternité. Ce que tu ferai pour un autre fais le pour toi même, et cesse d'éprouver du plaisir à transformer tes peines en textes parjuranta vie, celle qui n'est pas vraiment tienne, dont il te semble disposer et de ceci tu sais que c'est faux, c'est ce qui malheureusement te permet d'écrire, pourquoi as-tu choisi cette voix ppparmites celles qui t'étaient proposées, il faut croire que de pathos et thanatos tu t'es épris, il sont comme tes frères et Nyx béni tes nombreuses insomnies, celles que tu as par les actes de ta journée choisi de te donner et qui font que tu ne puisse plus fermer un seul oeil t'empêchant alors de rêver par peur que les plus beaux puissent devenir une réalité. Devient idéaliste, le réel n'est rien d'autre que ta volonté, crois en toi et tes pensées, tes désirs et ce qui te semble être vanité, si tu aimes et si cela est vrai alors fais de ce sentiment l'opportunité de voir un jour ce possible devenir ton bien à jamais. Celle-la tu l'oubli, ce fût court et il ne s'est rien passé, tu sais pourtant d'ores et déjà que tu vas mettre du temps à l'oublier, ce mensonge fait à toi même et qui ne pourra plus la persuader que tu l'aimais. Aucune autre qu'elle ne pourra lui ressembler, tu as fais un choix, ne te reste plus qu'à l'assumer, tu sais ce qu'il te faut faire pour ne plus jamais recommencer de fermer ta gueule quand de l'ouvrir aurait pu tout sauver. Cache ta peine si tu

dois la revoir, ne lui dit pas ce que tu sais, si elle te sourit sourit aussi même si dans le cœur de tous tes sourires aucun n'y est. Tu ne lui a fais aucune peine et la tienne est devenu ton pêché, cesse de penser à elle, elle est la leçon que tu t'es infligé, préméditée à raison, espérant avoir tord mais le désirant par facilité, car un bien laissé là et une chose dont on n'a plus à s'occuper, ses rires sont devenus tes larmes et crois moi beaucoup vont couler, lorsque pensant à elle tu te diras les avoir choisi car tu préfère cela à aimer. Complet toi donc dans ce chantre que tu élèves au rang de parodie, tu fais de ta vie un enfer alors qu'elle pourrait être un paradis.

Seul la musique compte dans la vie.

Aurait-il pu en être autrement ? Si tu te poses encore cette question c'est que tu n'as rien compris, à quoi te sers t-il d'écrire si tu ne crois pas en ce que tu dis. Rien n'est jamais fait sauf une fois accompli, il suffit de le vouloir et d'agir en vue de la fin que l'on s'est choisi. Mais le vouloir est une chose qui t'es inconnu dès lors qu'une difficulté imprévu te demande un peu de doigté pour faire que ce que tu désire devienne ton passé, celui dont tu aurais aimé te souvenir mais que tu viens de couper sous tes pieds, endoloris par cette pénible marche que chaque jour tu subis sur le chemin chaotique du nom de ta vie, parsemé des cailloux écorchant tes genoux conséquence de tes nombreuses chutes survenues lors de tes rares prises de conscience impromptues, celle qui te disent honte à toi tu ne mérites que la souffrance, engendrée par ta formidable inconsistance, lorsque la nuit la femme de tes rêves met ton courage en balance, et que ta connerie fait pencher cette dernière vers le vide abyssale de ta foutue intelligence tournée vers l'écrire ne te permettant

pourtant la tant et si recherchée délivrance, car ces mots tu les as choisi tu n'es pas de ceux pouvant se cacher derrière cette ignorance, celle qui pourrait te faire dire je ne savais et si j'avais su j'aurai agi autrement, mais une fois passé il est trop tard, lorsqu'un choix devient se présentent ses conséquences, tu auras beau regretter cela ne changera rien, en espérant que te serve de leçon ce fait marquant ta substance pour que ne se reproduise ce même en latence. Sache qu'il n'est point nécessaire de faire toutes expériences, tu savais avant que cela arrive que te taire était le point de départ de ton errance. Cours, cours, va plus vite, tu ne sais où te mènent tes pas, car si tu savais tu ne serai pas si pressé et tu serai déjà loin de là. Il te reste le fossé, la pluie y disséminera ton être et ce qui aurait pu être toi, celui que tu n'as jamais voulu voir, en lequel tu n'as osé croire et dont pourtant la présence aurait du guider tes pas. Tu pourrais avoir ce que tu veux mais il faut croire que cela ne t'intéresse, ce que l'on a pas gagné on ne peut le perdre, tu ne sais comment te qualifier alors je vais te le dire, tu es un monstre et que cela te rassure tu ne fais peur à personne si ce n'est d'autres que toi. Les monstres n'ont pas de cœur et le tien n'a jamais battu pour d'autres sentiments que la peur, celle par laquelle il te semble connaître le vivre mais qui n'en est pas, personne ne peut se souhaiter ce qui t'anime et ce par quoi tu mourras. Drôle de question, un tien vaut mieux que deux tu l'auras, mais tu préfère la quantité bien que sachant que faite de vent et qu'elle te manquera. Hier soir tu lui as dit adieu dès le premier regard, elle n'aurait peut-être voulu l'entendre mais cela jamais tu ne le saura, ceci faisant ton désespoir tu doutes de la réponse à la question qui aurai pu être votre histoire, celle que tu as terminé et qui te fera à jamais et sans cesse dans ce qui reste de ta pauvre vie broiller du noir. Si il en existe une seule autre

comme toi je ne veux le savoir, tant il me semble impossible que cela puisse être, dernier coup de pelle remplissant le trou de cette vie que je vais mener à l'étroit sous une épaisse couche de terre bien au froid dans ce cercueil en bois faisant mon désespoir, car bien qu'écrivant cette insulte je ne suis pas moins mort à la différence de toi qui fût heureuse dans ses maudits bras. Que tout ça et le reste brulent en enfer, accompagnant mon âme meurtrie en sa demeure éternelle, celle où se rejoignent les infâmes et tout ceux de cette espèce, ceux qui de leurs vivants ont nié la vie même et tout ce qui aurait pu les détourner du feu ardent de Sa Tristeté, celui qui dicta la conduite des vilains que la terre a porté et que personne ou ceux qui ne le connaisse ne veulent rencontrer. Tu as fait un pacte sans savoir a qui tu t'adressais, il est maintenant trop tard, il n'existe aucune assurance pouvant rendre caduque le contrat qu'avec ton sang tu t'es empressé de signer. La prochaine fois tu sauras, mais je doute, car jamais me semble t-il il n'y en aura. Tu es un grand garçon qui aurait préféré être mort-né, car tu aurais gagné le paradis sans avoir à devoir bien te conduire pour en justifier, mais la malchance fit que tu pleura, signifiant ta première et sans plus aucune autre pareil inspiration, celle que chaque jour tu maudis et qui permit que ne cesse à peine nait ton incarnation. Tu es comme moi fait de chair, d'os et de sang, j'aimerai te dire je t'aime mais ne me vient qu'un vas t'en. Rien ne sera plus pareil, il y avait un avant, contredisant ta figure blême exprimant ce maintenant, celui de ta fausse peine car pour avoir de la peine il faut d'abord avoir des sentiments. Cela t'amuse tu es content, tu dictes ta complainte la pianotant innocemment, ne sachant qu'aucun mot ne peut remplacer un véritable amant. Tu as raison d'écrire car te relisant dans dix ans, aux côtés de bobonne tu repenseras

regrettant cette soirée qui te coûta ce qui aurait pu être le plus beau de tes plans. Et alors bobonne te demandera si tu l'aime et ne sachant que répondre tu lui mentira en pensant à celle à qui pour la même tu aurai dis oui sincèrement. Ne t'engage plus jamais, tu la ferai souffrir silencieusement, de ne jamais t'entendre lui dire je t'aime avec le vrai pour accent. Couche tant que tu veux mais jette tout de suite tout ce qui pourrait s'accrocher même le simple temps d'un instant. Peut-être l'as tu pensé mais arrête d'y croire, tu n'as jamais su aimer et ne le saura jamais, cette illusion doit te quitter sur le champ. La trace que tu vas te tirer t'y aidera certainement, tu vas bientôt t'en rendre compte te dégoûtant la tête dans les chiottes tes tripes vomissant.

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Mon édifice doit vraiment s'élever très haut, chaque jour qui pour moi s'écroule est comme un nouvel étage le faisant bientôt culminer au niveau des nuages là où n'est jamais allé oiseau, ange ou simple pénitent.

Le monde n'est pas mal fait, il se fait du mal.

Je ne peux même pas dire avoir abandonné car dans cette course je n'ai osé me lancer déclarant par avance forfait, dans la cour des grand je n'ai jamais su jouer, enfant malheureux et têtu désirant le rester.

Ce texte ne serait-il pas dirigé contre la pire personne que vous connaissez ? T'es tu seulement dans ces mots reconnu toi qui ne te connais...

C'est vraiment super utile une jolie formule qui n'existe

que lorsque pensée, à la différence d'un regard aimant dans lequel se plonger. Les écrits restent alors que les sentiments s'effacent, et les écrits n'étant lus sont pires que n'importe quel bel instant vécu, quand bien même celui-ci n'eut-il été que simple et fugace.

Cesse de nous faire croire que tu souffres lorsque ce que tu nommes souffrance est en fait complaisance, tu es attiré par ton mal qui aujourd'hui te semble un bien car il te permet décrire pensant par cela oublier, construisant quelque chose d'inutile qui n'a pour seule valeur que le temps qu'il te fallu y passer. Mais il ne sert à rien d'écrire si c'est pour sur toi-même te lamenter et te donner raison de ne pas avoir su agir lorsque le moment t'était encore donné; ce qui là aurait pu être ton véritable bien et par lequel tout changer. Ce n'est pas à ses paroles que l'on reconnaît un Homme, il n'y a qu'à voir ces singes habiles sachant parler et même correctement le verbe manier, mais qui ne seront jamais Homme ne fusse qu'un moment ou pour le moindre pet.

Je vais bientôt rentrer dans ma campagne déçu par celui que je suis et blessé par les non-actes que je sais si bien exprimer, et qui font de ma vie cette chose qu'aucun d'avec la sienne ne voudrait échanger, quand bien même il serait sur son lit de mort et pourrait par la même être sauvé.

Je suis un cinéaste dont aucun film ne sortira jamais tant et si bien je ne sais les monter. Et pourtant des films je m'en fais, commençant toujours par une belle histoire d'amour qui ne demande qu'à exister, mais dont le scénario étrange tourne à l'horreur, avec pour hémoglobine de sombres pensées projetée à l'écran et ternissant l'image de

soi faisant de ces films les pires des navets.

Je ne puis lui faire l'outrecuidance d'attendre qu'elle m'appelle, c'est à moi de le faire et de m'excuser, de quoi je ne suis sûr de savoir, penser le contraire serai vraiment se surestimer. Je ne sais plus depuis bien longtemps voir lorsqu'une fille m'aime en secret, c'est un mal mais qu'importe, des filles je n'en vois jamais, ceci est peut-être un bien car de tous les mâles je suis certainement le dernier. Me reproduire serait une insulte à l'évolution professée, ce coup du sort apportant à l'humanité la plus fragile des pierres qui la fera s'écrouler.

Je prends ma vie comme un jeu auquel je ne tiens à gagner. N'en connaissant aucune de ses règles je me laisse donc facilement mener, mes nombreux trains de retard me faisant perdre dès lors que j'essaie.

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Une nouvelle journée commence, à 18 heure il est vrai, mais à minuit ne suis obligé de me coucher.Écrire hier me fit faut-il croire du bien, branlette extra-conjugale avortant celles qui auraient pu être vraies.J'ai fais cette nuit un rêve à moitié érotique, et même dans mes rêves il me faut être embarrassé par la technique. Une meuf se frottait sur moi, nous y prenions du plaisir, mais je ne pouvais regardant cette scène m'empêcher de me dire : ouai bon, c'est bien beau mais d'un simple point de vue anatomique je me demande comment elle peut se satisfaire, il faudrait qu'elle se mette autrement, le bas de son dos confinant au haut de son cul n'est pas une zone érogène, en même temps c'est vrai je sais que ce n'est qu'un rêve, ce plaisir en définitive

je peux donc lui laisser voyant bien que ça lui plais.

Si la sœur de cette gamine au dernier moment ne l'avait appelé qu'aurais-je fais ? Me serais-je contenté de boire une bière chez moi avec elle, ou aurais-je essayé de me la sauter ? Je fus un peu refroidi en apprenant qu'elle n'avait que 19 ans, et demi, certes, mais bon, 19 ans quand même. J'ai une sœur qui a son âge, et je ne peux pas me taper ma sœur, c'est vraiment dégoûtant.

Je ne suis pas sûr de devoir me qualifier de salop, car de moi elle n'attendais rien, mais bon c'est vrai, dans tout le temps de cette soirée j'aurai au moins pu aller la voir une simple petite fois, en toute naissante amitié, mais je me suis mit en tête que tranquille je devais la laisser. Et puis après tout elle non plus n'a cherchée à me rejoindre, je ne peux m'en vouloir pour ce qu'elle m'a aussi fait. Fillette je ne pourrais plus vous écrire de doux mots, je serai capable de le faire mais plus de croire en ces pensées. J'ai de la chance mais ne veux l'accepter, offrant les lots de mon destin à qui voudra bien se présenter.

De quelle force suis-je le jouet ? Toute détermination est une chose qu'il faut absolument ignorer. Je me trompe peut-être mais libre je tiens à rester, même si de liberté ma route n'en ait aucunement pavée. Un jour peut-être déciderais-je de me battre et de le gagner, le libre est un territoire qui se conquière difficilement voir jamais, de son cheval fou il faut savoir se délester, le laisser en lisière de bataille et poursuivre à pied, à hauteur d'Homme et de Raison en sachant qu'il ne faudra tomber, sans quoi l'épaisse armure que la vie nous a fait nous constituer risque à terre de nous piéger, et de voir l'ennemi par un trou de celle-ci nous transpercer sans que nous ne

puissions rien faire si ce n'est le regarder, en pensant à la mort que nous avions tant et si bien insulté, et qui fait que nos veuves ne cesseront de pleurer. Je ne puis me résoudre à aimer la vie pour moi seul, il me faut un autre, une jeune et jolie mie pour faire que mon laissé-aller se transforme en « agit !!! ». Pour toi je serai capable de tout, du meilleur même s'il me sera difficile, mais pour cela il faut que ce toi soit mienne sans quoi rien je ne saurai saisir, perfide illusion qui évidemment sait qu'elle ne sera jamais, comme il est bon de parfois se rassurer, bien que sachant que ce cela fasse de nous bien moins que ce qui n'a jamais été, faisant de n'importe quel minable un être nous surpassant, et qui connaîtra un bonheur qui toujours à nos yeux sera caché.

Le problème est que si j'étais moi-même les gens risqueraient de m'aimer.

Un petit peu de positif non de dieu !!! Heureusement qu'il y a Vive la fête, et leur excellent titre BMW, celui qu'à fond le matin au réveil je mets et sur lequel je danse et ne peux m'empêcher de chanter. J'aurai dû me méfier en apprenant qu'elle aussi était danseuse, je retrouvais le même dans ce qui m'avait quitté, signe qui ne trompe pas et dont je n'ai su m'aviser. Doit-on s'inquiéter des signes qui nous rendent esclave car n'existant que dans notre vouloir et qui déterminent nos choix ? Ou alors ce qui est n'est pas ce que nous pensions, un réel qui encore nous échappe, qui fût bien mieux compris par ceux qui il y a longtemps nous permirent d'être à ce jour, mais nous ne comprenons plus rien aujourd'hui à ce qui leur fallu tant et tant de temps à saisir. Les dieux doivent par ce fait être au désespoir d'avoir donner intelligence aux Hommes qui ne veulent plus les voir. Leurs esprits courroucés feront

tomber eau et éclairs dont nous ne sauront jamais nous faire pardonner, nous par qui plus aucune arche ou para-tonnerre ne pourra plus nous protéger. En restera peut-être au moins deux par qui se refera l'humanité, sur des bases incertaines mais qui seront toujours mieux que ce que nous n'avons jamais fait. Arrêtons de nous mentir, regardons les choses en face et voyons comme nous prenons plaisir à nous détruire, nous ne méritons plus la vie dès que de l'enfance nous avons décidé de sortir. La vie est un art que bien peu d'artistes ont su traduire, que ce soit par les mots les couleurs ou leurs derniers soupirs. Mourir sur scène est un privilège difficile à saisir, sans quoi jouer son quotidien serait l'apanage du moindre imbécile qui de sur les planches ne voudrait plus partir. Mais l'on ne nous apprend plus qu'à mentir, à travestir le beau le bien et par la même ses désirs, faisant de nous les assassins de ce que nous ne saurons plus jamais traduire, l'amour de notre prochain comme de nous-même qui n'existe même plus dans les plus lointains de nos souvenirs.

De quoi puis-je être encore capable de parler, tout ce que je dis je ne l'ai jamais vraiment pensé. Je ne sais rien, n'ai jamais su et ne saurai jamais. Et je ne puis le cacher de tout ce qui est je ne veux rien savoir, ceci est mon boulet, prisonnier préférant son cachot humide aux rayons du soleil qu'est la liberté. De quoi suis-je accuser ? De rien, c'est moi qui seul y suis allé. Je n'avais été prévenu et pourtant le savais, je suis cette chose qu'il ne faut jamais questionner, car de réponses censées inévitablement je ne pourrai vous faire disposer. Je cultive l'ignorance et récolte des pensées de sens vides qui ne sauraient nourrir ma descendance avorté. Les graines que je porte sont stériles et d'aucune autre ne suis capable de me procurer, si le vide était un plat je serai obèse d'en avoir trop consommé. Mais

le vide en substance est incapable d'élever les regards que je ne saurai vous porter, car mes yeux seraient alors contagieux et risqueraient de compromettre votre âme à jamais.

Papa aimerai corriger tes fautes mais il ne sait écrire, et pour ce qui est de tes problèmes de math de tous les nombres il ne connait que le zéro, certainement par identification mais là n'est pas le propos; je n'aurai jamais penser qu'aucun spermatozoïde puisse être aussi sot. Je parle à mes couilles et me sers de ce qu'elles contiennent pour écrire, encre qui dort et qui ne deviendra jamais par elle-même plume ou stylo, tant aucun œuf ne puisse prendre plaisir à lire ces mots.

Tension probable qui rend fragile ce bateau, celui qui pourrait te permettre de traverser ces larges flots, te conduisant d'ici à ailleurs, et tout ailleurs te sera plus profitable que cet ici où tu es seul et où la mer monte chaque jour d'un niveau. La noyade te guette et tu as raison car la seule intoxication que nos poumons doivent connaître est celle de l'air et grand jamais celle de l'eau, surtout lorsqu'elle est noire et qu'elle n'inspire que terreur en porte à faux. Déjà tes chevilles sont mouillées et tu commences à ramer dans cette galère où tu risque de t'enchaîner bientôt, ne devient pas mouton suivant le tam-tam hypnotique te faisant oublier que tu navigues sur place pour un autre que le seul qui doit compter, tu es maître de ton cap et si récifs il y a alors c'est à toi de les voir venir, sans quoi tu boufferas le plancton par la racine et ne pourra plus de l'eau la tête sortir.

Par quelle ironie du sort m'a t'il un jour été permis d'exister, mes parents ce soir là n'auraient-ils pu

s'empêcher de baiser ?

Après ces pages jamais vous ne me croiraient, mais je m'aime bien plus que vous ne saurez pour vous même la même chose avouer.

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Mes basses sont meilleurs que les sienne, ce qui aurait donc rendu tout amour impossible, je ne suis pas en train de me chercher de veilles excuses, c'est important la musique et de pouvoir la traduire avec du bon matos. Et puis cette petite chose en dit long sur celui dont les basses sont médiocres, c'est là le signe d'un total manque de respect et pour soi, ses amis et pour les musiciens que l'on pense à tord aduler. Comment le matin me réveillant à ses côtés, dans sa chambre, aurais-je pu écouter mon morceau des réveils joyeux avec un caisson ne pouvant restituer les sourdes et énormes vibrations que produit grandiosement BMW ? Non, il m'eut été impossible, ce n'était donc pas une fille pour moi.

Lorsque Laurent cherche à se persuader de quelque chose il est très doué, vraiment très fort, à ce niveau peut-on encore parler de mauvaise-foi ? Il devient nécessaire de forger un concept nouveau qui pour l'instant ne s'appliquera qu'à lui seul étant évident qu'il est impensable qu'aucun autre être raisonnant sur terre ait pu un jour connaître une telle production intellectuelle réflexive en négativité, tant intellectuelle ne lui est associée que par cynisme pour donner à l'Histoire un air de comédie...divine., car faisant un enfer la vie de celui qui par elle devient sa Pensée.

« ...moi j'arrive à la fin de ma journée, la fin de mon rêve... »

V-L-F

Le paragraphe avant celui-ci est l'expression-même de son précédent !!! Merci Laurent, très bel exemple, balèze.

Merci ma petite conscience; qu'il est vrai j'ignore totalement ne naviguant qu'à l'aide de mon subconscient.

(Nous sommes maintenant dans les pensées de la fille qui le regarde, lisant allongée sur le lit de celui qu'elle observe avec perplexité.) :« ...Depuis tout à l'heure je lève les yeux de mon bouquin pour lire vite fait les trucs qu'il écrit, et plus ça va plus je me dit que je couche avec un type complètement névrosé, bon, c'est vrai, malgré sa vielle éruption cutanée dans le dos -seule chose que je vois en ce moment de lui- il est plutôt mignon et parfois il serai presque un bon coup, et puis il est pas mal comme pot de fleur, il réagit à la musique, y'a qu'à le voir danser sur son fauteuil tout en pianotant ces choses qui m'inquiètent, ce qui soit dit en passant il est vrai anime un peu cette pièce et les longues après-midi ennuyeuses que je passe avec lui. Putain qu'est-ce que je fou avec lui, non mais bordel est-ce qu'un jour je tomberai sur un mec normal, je lui demande pas d'être « exceptionnel », juste d'avoir ce qu'il faut où il faut, fait chier !!! … Bon, pense à autre chose, tu te remets à lire ton stupide bouquin, et tu te dis le temps d'un moment que la fille qui dans une page ou deux va se faire tendrement baiser par ce superbe gorille c'est toi..., …, …, huhummm, …, …, …, …, ((haa!3!3!3)!27)!729..., …, …, …, …,

ten...dre...ment … … baisée..., … … …, … …, … h...infini»

Papa t'avait dit qu'il était nul en math.

Le plaisir, grand question. Il peut se manifester d'une multitude de façons, il est cette impression du vécu qu'il faut savoir reconnaître dans l'étant sans quoi elle ne peut-être connue, aucun souvenir ne peut prétendre à cela, c'est à tord que l'on nomme ce qui nous semble participer de ce ressentir créé comme une main tendue en désespoir d'un passé qui ne sera plus et qui sur l'instant fut cette chose qu'il nous sembla avoir reconnu. Ceci fait de cela la poéthique de notre vie, et toute poésie est monsonge car elle n'existe pas en vrai. Ou alors il faut être sûrhomme, béni par les dieux et le sachant, et vivant comme en rêve comprit tout ce qu'il souhaite dans la mesure et les devenus de son infini, avec pour acquis la certitude que le temps de sa vie le sera aussi. Une fois devenu tout possible n'est plus et devient un il fallu, faisant de ce qu'il est un fût devenant donc exprimable car tombant dans la colonne des vrais de tout ce que peut-être inclus dans un raisonnement qui souhaiterai par quiconque être défendu et donc inévitablement ne choisira la thèse de l'exclu.Ceci est l'expression bien mal poéthisée d'une notion incomprise dont nous pouvons douter qu'il l'ait un jour surprise. Il est donc même incapable de cela.

Dire au-revoir à Amélie en écoutant The lucky one d'Au-revoir Simone, ça apaise, et vous plonge dans le bain du pathos, entre rire et pleurer, mais juste en arrière-fond, dominé plutôt par un je ne sais quoi vous dégoûtant tellement que ça vous empêche de le voir et d'y penser, occultant de votre conscience cette idée.

En conclusion je pense pouvoir dire que je ne suis donc qu'un sale porc qui aurait bien besoin de méditer sur l'amour qu'il me sembla lui porter, car j'ai préféré écrire plutôt que vivre ma destiné. Tout choix détermine notre condition, vous devez le sachez.Et si par chance dans le public se trouve une jeune fille, de préférence mignone, qui sur le plan sentimental est complètement désoeuvré, faisant par cela qu'elle serai capable de sortir même avec un raté, …, et bien qu'elle ne fasse pas sa timide, je l'attends avec impatience dans ma loge, j'ai de quoi boire et fumer.

Fin de l'histoire