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20:01 1 Par Dr HALIS Abderrahmane Cours : 2 eme année Licence Électrotechnique LET41 Filière : Electrotechnique UNIVERSITÉ FARHAT ABBAS Sétif Année Universitaire: 2019/2020

Par Dr HALIS Abderrahmane...20:01 1 Par Dr HALIS Abderrahmane Cours : 2 eme année Licence ÉlectrotechniqueLET41 Filière : Electrotechnique UNIVERSITÉ FARHAT ABBAS Sétif Année

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  • 20:01 1

    Par Dr HALIS Abderrahmane

    Cours : 2 eme année Licence Électrotechnique

    LET41

    Filière : Electrotechnique

    UNIVERSITÉ FARHAT ABBAS Sétif

    Année Universitaire: 2019/2020

  • 20:01

    2

    CHAPITRE V

    MACHINES ASYNCHRONES

    5.1 Introduction

    Les machines asynchrones sont très utilisées (on estime

    que 80% des moteurs de la planète sont des moteurs

    asynchrones) car leur coût est inférieur à celui des autres

    machines, de plus ces machines sont robustes .

  • 20:01 3

    Comme les autres machines, la machine asynchrone est

    réversible et de très nombreuses génératrices asynchrones

    de puissance inférieure à quelques 5MW fournissent un

    surplus d’énergie active aussi bien sur des réseaux

    terrestres qu’à bord des navires.

  • 20:01 4

    5.2 Principe du moteur asynchrone

    Un moteur asynchrone est un moteur possédant

    strictement le même stator qu’un moteur synchrone. Un

    ensemble de trois bobinages parcourus par des courants

    triphasés induisent un champ tournant statorique de

    vitesse de rotation en tours par minute Ns=60f/p, p étant

    le nombre de paires de pôles du bobinage

  • 20:01 5

    La différence notable avec le moteur synchrone réside

    dans le rotor. Celui-ci est constitué de conducteurs (des

    bobinages ou carrément des barres métalliques) disposés

    le long du rotor et court-circuités. Lorsque le champ

    tournant balaye ces conducteurs, il induit des courants

    qui entrent en interaction avec le champ et permettent à

    un couple moteur de se créer. Le rotor se met alors à

    tourner et se stabilise à une vitesse toujours légèrement

    inférieure à la vitesse de synchronisme.

  • 20:01 6

    Il est impossible pour le rotor de tourner à la vitesse de

    synchronisme puisqu’il serait alors baigné dans un

    champ fixe, et donc parcouru par un courant nul. En

    l’absence de courant, le couple serait nul, et la machine

    décélèrerait. La légère différence de vitesse justifie le

    terme de « glissement » du rotor par rapport au champ

    tournant

  • 20:01 7

    5.3 Parties principales

    Le moteur asynchrone triphasé (parfois appelé moteur

    d'induction triphasé) comprend deux parties : le stator

    (fixe) et le rotor (tournant).

  • 20:01 8

    Le stator comporte une carcasse en acier renfermant un

    empilage de tôles identiques qui constituent un cylindre

    vide; ces tôles sont percées de trous à leur périphérie

    intérieure. L'alignement

    de ces trous forme des

    encoches dans lesquelles

    on loge un bobinage triphasé

    (figure 5.1c)

  • 20:01 9

    Le rotor se compose d'un cylindre de tôles poinçonnées à

    leur périphérie extérieure pour former les encoches

    destinées à recevoir des conducteurs . Il est séparé du

    stator par un entrefer très court - de l'ordre de 0,4 à 2mm

    seulement. Il existe deux types de rotors : le rotor à cage

    d'écureuil et le rotor bobiné.

  • 20:01 10

    L'enroulement du rotor à cage d'écureuil (figure 5.2) est

    constitué de barres de cuivre nues introduites dans les

    encoches; ces barres sont soudées à chaque extrémité à

    deux anneaux qui les court-circuitent. L'ensemble

    ressemble à une cage d'écureuil d'où le nom de rotor à

    cage d'écureuil, ou simplement rotor à cage .

    Figure 5.2 Rotor à cage d’écureuil

  • 20:01 11

    Dans les moteurs de petite et moyenne puissance, les

    barres et les anneaux sont formés d'un seul bloc

    d'aluminium coulé. En général, les barres sont

    légèrement inclinées suivant l'axe du rotor afin que le

    nombre de barres présentes sous une phase statorique

    soit constant quelle que soit la position du rotor.

  • 20:01 12

    Ce procédé permet de diminuer la variation de la

    réluctance du circuit magnétique au cours de la rotation

    du rotor (ou « effet d'encoches ») et de diminuer ainsi les

    oscillations de couple. C'est cette inclinaison des encoches

    qui donne à l'ensemble barres plus anneaux de court-

    circuit la forme d'une cage d'écureuil déformée.

  • 20:01 13

    Le rotor bobiné comprend un bobinage triphasé,

    semblable à celui du stator, placé dans les encoches . Il est

    composé de trois enroulements raccordés en étoile;

    l'extrémité libre de chaque enroulement est reliée à une

    bague tournant avec l'arbre (figure 5.3).

    Figure 5.3 Les trois bagues de l’arbre moteur d’une machine asynchrone à rotor bobiné.

  • 20:01 14

    Ces bagues permettent, par l'intermédiaire de trois

    balais, d'insérer une résistance extérieure en série avec

    chacun des trois enroulements lors du démarrage du

    moteur . En fonctionnement normal, les trois balais sont

    court-circuités.

  • 20:01 15

    5.4 Le glissement : grandeur caractéristique du

    fonctionnement du moteur asynchrone

    Dès lors qu’on étudie le fonctionnement d’une machine

    asynchrone, on distingue deux vitesses de rotations :

    – Vitesse de rotation du champ statorique, dite vitesse de

    synchronisme : Ns (tr/min) ou Ωs (rad/s).

    – Vitesse de rotation du rotor : Nr (tr/min) ou Ωr (rad/s).

  • 20:01 16

    Le terme de « glissement », appelé g, décrit l’écart relatif

    entre ces deux grandeurs.

    On retiendra : ………………………….5.1

    Avec

    C’est une grandeur sans dimension qui rentre en compte

    dans quasiment toutes les formules importantes du

    fonctionnement de la machine.

  • 20:01 17

    5.5 Construction du schéma équivalent monophasé

    du moteur asynchrone

    5.5.1 Fréquence des courants induits

    Il est important, au préalable, de préciser l’expression de

    la fréquence des courant induits au rotor : fr .

    Concrètement, le rotor tourne à la vitesse Nr et est balayé

    par un champ à la vitesse Ns. La vitesse du champ relatif

    qui balaye les conducteurs rotoriques est donc : Ns–Nr .

  • 20:01 18

    Sachant que quand le rotor est à l’arrêt la

    fréquence des courants induits est f, la

    fréquence des courants du stator, on en

    déduit la formule donnant la fréquence

    correspondant à un glissement donné g :

    fr = g.f…………………………………5.2

  • 20:01 19

    5.5.2 Schéma équivalent monophasé

    La machine asynchrone est finalement

    constituée de deux ensembles de

    bobinages triphasés enroulés sur le

    même circuit magnétique.

  • 20:01 20

    Par analogie, on peut alors considérer qu’elle est

    équivalente, à l’arrêt, à un transformateur triphasé. On

    représente sur la figure5.4 le schéma de principe

    correspondant ainsi que le schéma monophasé équivalent

    obtenu à partir de l’analogie avec un transformateur.

    Figure 5.4 Schéma de principe de la machine asynchrone et schéma monophasé équivalent.

  • 20:01 21

    On note sur ce schéma les éléments d’imperfection

    classiques : résistances séries des bobinages primaires et

    secondaires, idem pour les inductances de fuites. Par

    contre, on représente le transformateur équivalent

    comme une simple inductance mutuelle entre le primaire

    et le secondaire.

  • 20:01 22

    Les relations de maille s’écrivent :

    Au primaire :

    Au secondaire :

    soit donc :

    Figure 5.4 Schéma de principe de la machine asynchrone et schéma monophasé équivalent.

  • 20:01 23

    Il faut bien noter que, lorsque la machine tourne, les

    fréquences des courants et des tensions au primaire

    (c’est-à-dire au stator) et au secondaire du

    transformateur équivalent ne sont pas les mêmes.

    Figure 5.4 Schéma de principe de la machine asynchrone et schéma monophasé équivalent.

  • 20:01 24

    En pratique, pour construire un schéma équivalent final

    simplifié, on divise l’équation de maille secondaire par la

    grandeur g, ce qui fait apparaître une inductance de fuite

    équivalente à la fréquence f.

  • 20:01 25

    Les fréquences du primaire et du secondaire étant alors

    identiques grâce à cette manipulation, on ramène les

    éléments d’imperfection au primaire du transformateur.

    On retiendra donc le schéma monophasé équivalent

    simplifié représenté sur la figure 5.5.

    Figure 5.5 Schéma équivalent monophasé simplifié de la machine asynchrone.

  • 20:01 26

    5.6 Diagramme du cercle

    Pour les moteurs de grande puissance, les essais en charge

    ne sont pas toujours possibles.Grâce au diagramme de

    cercle normalisé UTE on peut déduire :

    - La puissance utile ,

    - Les intensités primaire et secondaire ,

    - Le facteur de puissance,

    - Le rendement,

    - Le glissement,

    - Le couple transmis.

    On peut ainsi prédéterminer les paramètres du

    fonctionnement en charge.

  • 20:01 27

    5.6.1 Diagramme du cercle simplifié

    Hypothèses :

    - Les résistances et inductances de fuite du stator sont

    négligées

    - Les pertes mécaniques sont négligées

    - La tension d’alimentation est constante

  • 20:01 28

    Pour simplifier le diagramme de cercle on néglige toutes

    les pertes sauf les pertes par effet Joule au rotor Pjr , d'où

    la représentation schématique du moteur asynchrone

    simplifié de la figure (fig.5.6).

    Figure 5.6 Schéma équivalent simplifié de la machine asynchrone ramenée au stator.

  • 20:01 29

    D'après les équations suivantes, on peut établir un

    diagramme de cercle (fig.5.7) équivalent à la figure

    (fig.5.6).

    Figure 5.6

    Figure 5.7 Le lieu de M est un cercle.

  • 20:01 30

    On a :

    - le courant à vide , tel que , tel Xm = Lm

    - le courant secondaire ramené au stator;

    Tels que X= L

    - le courant primaire I1 = I0 + I’2 avec I’2 = mI2 , m : est le

    rapport de transformation.

  • 20:01 31

    Traçage du cercle (figure 5.8):

    1- Faisons coïncider la tension avec l’axe réel que nous

    représentons verticalement.

    2- Mettons en place OA=Io (voir essai à vide)

  • 20:01 32

    3- De l’extrémité M de I’2 traçons une droite

    perpendiculaire à AM et coupant la droite Ax en B

    4- Tracer le cercle de diamètre AB hypoténuse du triangle

    rectangle AMB

    Figure 5.7 Le lieu de M est un cercle.

  • 20:01 33

    On démontre que le segment AB est constant et donc le

    cercle est unique pour un moteur donné :

    On voit sur le schéma 5.6 que les relations de maille

    s’écrivent : ,

    soit donc :

  • AB AM MB

    A B

    M

  • AB AM MB

    A B

    M

  • AB AM MB

    A B

    M

  • AB AM MB

    A B

    M

  • AB AM MB

    A B

    M

  • 20:01 39

    Quand la charge du moteur varie le point M tel que

    (AM┴BM) se déplace sur le demi-cercle de diamètre AB.

    On a :

    AM=I’2=mI2

    AB = V1 / L = m²V1 / L2 tel que:

    L2 = La réactance de fuite du rotor

    L = La réactance de fuite du rotor ramenée au stator

  • 20:01 40

    A tension et fréquence constantes le segment AB est

    constant, car il ne dépend que de V1 et X2. Le point M tel

    que AM ┴MB décrit un demi cercle de diamètre AB

    lorque la charge varie ou lorsque le glissement g varie.

  • 20:01 41

    Essai à vide et en court-circuit

    a- Essai à vide

    On fait tourner le moteur à vide alimenté sous sa tension

    nominale. A une échelle donnée les valeurs I0 et φ0=90°

    donne un premier point Mo du cercle simplifié

    correspondant au point de fonctionnement à vide .

  • 20:01 42

    b- Essai en court-circuit à rotor bloqué

    L’alimentation sous tension nominale ne peut se faire à

    rotor bloqué pour les moteurs très puissants car les

    intensités seraient très élevées.

  • 20:01 43

    On alimente le moteur donc sous une tension réduite Ucc

    après avoir court-circuité et bloqué le rotor de telle sorte

    que le courant de court-circuit ne dépasse pas le courant

    nominal du moteur. On mesure ainsi sous tension réduite:

    P’cc , I’1cc, Ucc

  • 20:01 44

    NB : cos φcc est indépendante de la tension

    d’alimentation

    Le courant étant proportionnel à la tension stator ,on

    peut déterminer les valeurs de court circuit que l’on

    aurait trouvées sous la tension nominale :

    Pcc =(U/Ucc)² P’cc

    I1cc =I’1ccU/Ucc

    cos φ1cc = P’cc/√3UccI’1cc = Pcc/√3UI1cc

  • 20:01 45

    On obtient ainsi un second point Mcc du cercle ,celui du

    moteur au démarrage ou à l’arrêt (g=1) sous tension

    nominale ; φ1cc étant constant , le point Mcc est fixe par

    rapport à V1

  • 20:01 46

    C- Tracé :

    On choisit une échelle pour les intensités a = A/cm ,une

    échelle pour les puissances b = aV en W/cm, une échelle

    pour les couples c = b/Ω =aV/Ω en Nm/cm

  • 20:01 47

    Pour un régime de fonctionnement représenté par le

    point M (figure 5.8):

    la puissance active absorbée est P1 = 3V1I1cos φ1, TM =

    I1cos φ1 ,d’où la puissance absorbée est P1=3V1.TM; donc

    à partir de ce diagramme on peut mesurer :

    I1 = OM : Courant absorbé

  • 20:01 48

    I2 = AM/m : Courant secondaire

    φ1 = (OM,V1) : déphasage entre I1 et V1

    cos φ1 = MT/OM : Le facteur de puissance primaire

    φ2 = (AA’,AM) : déphasage secondaire

    cos φ2 = MT/AM : Le facteur de puissance secondaire

    S1 = 3V1 OM: La puissance apparente absorbée

  • 20:01 49

    P1 = 3V1.TM : puissance active absorbée

    Q1 = 3V1.OT : puissance réactive absorbée

    Pjr = 3V1 NT : Les pertes par effet Joule au rotor

    Pm = 3V1 MN : La puissance mécanique

    Pu = Pm = 3V1 MN : La puissance utile

  • 20:01 50

    Pr = Pem = P1 = 3V1.TM : La puissance électromagnétique

    Cem = 3V1.(TM)/s : Le couple électromagnétique

    Cm = Cem = 3V1.(TM)/s : Le couple électromagnétique

    η = NM/MT : rendement

    g = A’M/ A’Mcc: glissement

  • 20:01 51

    5.7 Écoulement des puissances et rendement

    La machine asynchrone possède un « écoulement des

    puissances » plus complexe que les deux autres types de

    machines étant donné qu’elle présente deux types de

    pertes Joules : les pertes Joules rotoriques PJr et

    statoriques PJs. Mis à part cela, On recense les pertes fer,

    Pf , et les habituelles pertes mécaniques communes à tous

    les types de machines : Pm.

  • 20:01 52

    On représente alors l’écoulement des puissances sur la

    figure 5.9. On notera une donnée importante : la

    puissance transmise au rotor : Pr

    Figure 5.9 Écoulement des puissances et rendement de la machine asynchrone.

  • 20:01 53

    5.8 Expression des puissances et des couples

    sous tension et fréquence constantes

    L’étude du schéma équivalent monophasé permet de

    trouver facilement l’expression des diverses puissances

    mises en jeu et du couple de la machine.

    5.8.1 Expression du courant I2′

    On voit sur le schéma que : , soit donc :

    …………5.3

  • 20:01

    54

    5.8.2 Puissance transmise au rotor : Pr

    Cette puissance s’écrit : Pr = 3 .V1.I1.cosϕ - Pf - PJs

    On peut également exprimer directement la puissance

    transmise au rotor sous la forme :

    C’est-à-dire : …………5.4

    …5.3

  • 20:01 55

    5.8.3 Expression particulière des pertes Joules rotoriques : PJr

    Les pertes Joules au rotor s’écrivent, en grandeurs

    ramenées au stator,

    On préfère souvent à cette expression, la relation

    particulière qui les relient à la puissance transmise au

    rotor :

    PJr = g.Pr………………………………..5.5

    Puisque

  • 20:01 56

    5.8.4 Expression du couple électromagnétique : C

    Le couple est le quotient de la puissance mécanique

    fournie au rotor par la vitesse de rotation. On écrit alors :

    Il suffit alors de remplacer l’expression de Pr (equation

    5.4), on obtient ainsi :

    si le glissement est faible, on retient :

    ………………………………5.6

    Remarque : On calcule aussi le couple de démarrage en remplaçant

    g par la valeur 1.

  • 20:01 57

    5.8.5 Couple maximal

    On s’intéresse souvent à la valeur maximale de ce couple.

    Pour la trouver, on cherche la valeur de g qui maximise

    l’expression de C, valeur ensuite implantée dans

    l’expression précédente. On retiendra uniquement le

    résultat :

    Si on néglige la valeur de la résistance des bobinages

    statoriques, et c’est souvent le cas, on obtient la formule

    simple à retenir :

  • 20:01 58

    5.8.6 Caractéristique et expression simplifiée du

    couple

    On représente sur la figure 5.10 la représentation du

    couple en fonction du glissement.

    Figure 5.10 Caractéristique couple/glissement de la machine.

  • 20:01 59

    TD5

    Exercice 5.1

    Un moteur asynchrone à 6 pôles est alimenté par une

    source triphasée à 60 Hz. En charge, il tourne à une

    vitesse de 1140 r/min. Calculer sa vitesse de synchronisme

    et son glissement.

    Correction:

  • 20:01 60

    Exercice 5.2

    On s’intéresse à un moteur asynchrone triphasé dont les

    indications de la plaque signalétique sont :

    fréquence : 50 Hz, tensions : 230/400 V, intensité

    nominale : In= 2A, cosn = 0.8, Vitesse : Nn= 1450tr/min,

    nombre de pôles : 4.

    1) Que vaut la vitesse de rotation de synchronisme : Ns(tr/min) ?

    Correction:

  • 20:01 61

    Exercice 5.2

    2) Calculer alors la valeur du glissement nominal : gn.

    3) Représenter un schéma équivalent monophasé de la

    machine. On précisera la signification des divers éléments

    introduits, sachant que la résistance par phase au stator

    vaut R = 30 mΩ.

  • 20:01 62

    Exercice 5.2

    4) Un essai à vide sous tension nominale donne les valeurs

    suivantes : P0 = 130 W, I0 = 0,8 A. On supposera que les

    pertes mécaniques et les pertes fer sont de valeurs

    équivalentes. Calculer alors le détail de ces pertes. En

    déduire la valeur des deux des éléments introduits dans le

    schéma.

  • 20:01 63

    Exercice 5.2

    5) Calculer la puissance consommée par le moteur au

    régime nominal : Pn.

  • 20:01 64

    Exercice 5.3

    Correction:

  • 20:01 65

    Exercice 5.3

  • 20:01 66

    Exercice 5.3