Petit Henry-Robert - Les juifs au pouvoir (1936)

8/14/2019 Petit Henry-Robert - Les juifs au pouvoir (1936)

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DEPOT : CENTRE DE EIITATION ET DE PROPAGANDE

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DU MME AUTEUR

LA DICTATURE DES LO GES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .ALEXANDRE DE YOUGOSLAVIE VICTIME D'UNE CONSPIRA -

TION MAONNIQUE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

LE DRAME MA ONNIQUE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

E:-; PHEPARATION :

DEVANT L'EMEUTE.

L'HISTOIRE SECRETE DE S TEMPLIERS.

LE S ARRIERES-LOGES.

Copyriglit by 1l.-R. P e t i t , 93, ru e Viclor -l/ll go T hi a i . ~(Sei n e) .

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Le juif et son troupeau

L'avnement au pouvoir du Front Populaire, manation desjuifs et des francs-maons, pose, pour nous Franais, dans tout e sonacuit, le problme juif.

La Fr a nce restera franaise si eIIe se dbarrasse de s smites, ouelle sombrera dans la dcadence et la boIchevisation si eIIe r est e sousl'emprise des hbreux.

La Chambre Rouge, sortie des lections des 27 avril et 3 mai1936, est et sera le j ouet docile du Judasme et de ses filiales.

Les principaux chefs du Front Populaire sont de s juifs _pursang, des demi-juifs ou des judasants apparents la race, soit pardes liens de famille, soit par des liens spirituels en raison de leursattach es avec les Loges, les Associations para-maonniques ou lesgroupements philosmites.

Depuis longtemps, l e Judasm e prpare l'avnement des siens aupouvoir en France. Aujourd'hui c'est un fait accompli.

Le Chef du Rassemblement Populaire, VICTOR BASCH, (juif)dans le journal La Victoire du 23 avril 1916, il y a vingt ans, crivait: Depuis le jour o vous avez t chasss de la terre de vos

Anctres, et que vous avez err travers le monde sans trouver ledfinitif abri, inlassa 'hlement vous avez affirm, avec vos Prophtes.au plus fort des infortunes, au plus cruel de s tortures, que le jourde la Dlivrance se lvera

Amis! tout le fait pressentir, le jour est proche et , aprs letonnerre des canons gants et les clairs des mitrailleuses, le Mess;e,votre M e ssie va surgir 1 ;)

La prophtie s'est ralise, le juif Lon Blum, est au pouvoir etavec lui, tout ce qu e la France contient de youpinerie

Les Commuuls tes

Le parti communiste franais, dont le chef est Marcel Cachin(mari une juive) est plac directement sous le commandement duKomitern de Moscou, lequel es t entirement dirig par des hbreux.Sur les 600 dirigeants et hauts fonctionnaires environ qui gouvernentla Russie des Soviets, i l y a 450 juifs, 130 mtques et judasants etseulement 20 Russes authentiques, alors que sur l'ensemble de l 'an

cien empire de Nicolas Il, la population isralite n'atteint pas 3 %.L'Humanit, l 'organe des Soviets en France, a t fonde avecles capitaux de douze financiers juifs : Lon Blum, Brahm, Bruhl,Casewitz, A. Dreyfus, Louis Louis Dreyfus, Herr, Pikart , Reinach,Rodrigues, Rouf et Sachs.


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Le parti communiste est soutenu par toute une srie de ligueshbraques qui apportent l 'arm e de la Rvolution un fort contingent de mtques et de mal franciss, telles: la Ligue Internationalecontre l'An ti-Smitisme (L.I.C.A.) (1 ) dirige par le Juif Lifschitzqui cache sa circoncision sous le no m de Bernard Lecache, la KuHurVerein des ouvriers juifs, Gezerd, organisation communist e juiveayant pour but principal, l 'migration des Juifs, ainsi que tous cescomits et syndicats au sein desquels on ne voit que juifs rvolu-tionnaires.

Les Socia l i s tesLa S.F.I.O. (section franaise de l 'Internalionale ouvrire) est

littralement truffe de youpins. Le chef du parti socialiste est lesuper smile Lon Blum, juif allemand donl le grand-pre, rescap

de qu e lque pogrome, est venu pour nolre lllalheur, faire souche enFrance et cr er, Paris, la tribu des Blum (2) (ce nom en allemandsignifie fleur ) .

A ct tlu juif talmudisle Lon Blum, nous voyons Viclor Basdl,hongrois mal naturalis, Emile Kahn, G eorg es Pikart, Ren Bloch,Jules Moch, BlumeI, Lon Brunswieh, Salomon Grumbacl{, le mn:lgcZiromski-Ziromska, '''ci1l et toules les tribus d e Lvy, de Salomon,d'Isaac, de Jacob el d'Abraham, veliues d'on ne sail o, pour faire 1aloi en France et nous soumettre au joug de la juiverie internationale.

Les Francs-l \ laonsAyanl fait la courle chelle et faisant prsentement office de

cavaliers servants la youpinerie, les francs-maons apporlenl loulleur appui aux juifs. Les Edouard Herriot, Daladier, les Paul-Boncour, les Chautemps et tous les sublimes chevaliers du Triangle, nesont-ils pas, dans le guignol parlementaire, les pantins stupides dontIsral tient le s ficelles?

L'ascension de la race au pouvoir fut nlerveilleuserncnL prpnre par la Franc-Maonnerie qui devient la bonne toul faire tlujuif.

Si la premire secte maonnique a t cre en 1717 par le pas-teur protestant anglais James Anderson, socinien sectaire, lui-mmeen rapport avec des juifs kabbalisles qui furent ses inspirateurs.toutes les obdiences maonniques rpandues dans l 'univers ont tl 'uvre de Juifs (Le Grand Orient de France, 16, rue Cadet, es tl 'hritier de cette maonnerie du dbut).

Puis le juif portugais Martinez Pasqualis a cr l 'Ordre de sMartinistes.

(1) La L.I.C.A. es t pour le s Juifs ce qu e la Ligue des Droits de l 'Homme es tpour les Francs-Maons.

(2) L'anctre Blum qu i de so n vrai no m s'appelait Karfunkelslein, avaitinstall rue du 4-Septembre une maison de vente de rubans et son petit commerce es t devenu une firme importante qui est la source de la richesse de latribu, mais rcemment, en quelques annes. la maison fit trois faillites successives. I l es t vrai que la faillite, pour le Juif. es t unc faon de s'enrichir plus vite.

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.Le juif Cagliostro (Joseph Balsamo ) " fond le Rite Egyptien.

. Ce fut un vritable co nsistoire isralite qui tablit le Rite Ecossais la fin du XVIII " sicle: ses promoteurs furent Isaac Long.John Mitchell, Hayes, Myers, Bu sc h, Samuel Mailer, Abraham Ca,'dosa, Barend-Spitzer, Zad oc, Bernhaim et Mose Cahen. Cette maonnerie d'invention esse ntiellement juive est celle professe par laGrande Loge de Franc e, 8, rue de Puteaux Paris.

L'hbreu Mose Hobbrook constitue en 1814, l 'Ordre des OldFellow, surtout rpandu en Amrique du Nord.

Vers la mme poque, les frres B edarride (juifs) fond ent il 'Rite de Misraim.

En 1838, le juif L emmi cre en Italie le Rite de Memphis .A New-York, en 1848, tait constitue une obdience ma o nni

que essentiellemenl juive et r se rve exclusivement aux juifs:l 'Ordre International es B'nai D'rith (les fils de J'Alliance). Le sig,'de l 'Ordre de D'na D'rith Paris est rue e la Boli e.

Bientt. pour amalgamer tous ces rites, devait se former, Charleston, so us J'influ ence du F : . Albert Picke, entour de nombr eux juifs, une sup er m ao nnerie connue sous le naIn de Ma o nnerie Pail adique.

A la ba se de t ous les coura!1ts maonniques, nOLIs trouvons lejuiLl! en est de mme Jlour les filiales de la F : . M:. et de tout es lessocits secrt es t endances rvolulionnaires et anU-chrtiennes.

La Ligue des Droits de l 'Homme

On Jlourrait remplir un fort volume en faisant l'historique d, .toutes ces socits et i l faudrait un rpertoire important pour numrer les juifs en faisant partie.

Nous citerons le cas typicIue d'une i1es plus importantes: LaLigue des Dr oits de l'Homme.

Elle fut fonde en 1898, lors de l'afTaire Dreyfus, par un group"de francs-ma o ns parmi lesquels figuraient Isaac Ranc, Joseph Rei

na ch ct le judasant Charles Richet. C'est une organisation pr-maonnique, au sein de laquelle, juifs et frres trois points viennelltrecruter.

Prsentem ent la Ligue des Droits de l 'Homme (on pourrait diredes droits d e l 'homme juif) est dirige par Victor Basch, prsident,Roger Picard, vice-prsident, Emile I{ahn, secrtaire gnral. Fontpartie du Comit Central, Lon Brunswicg, Odette Ren e Black, Fernand Coscos, Francis Delaisi, Samuel Grumback, Hadamar, J. Kaiser,Ruyssen, A. Philip, M. Milhaud, Justin Godart (juif d'honneur), A.Gouguenheim, Henri Schmidt, H. Se, Seignobos. Jolie brochette de

youpins!Chacun sait le rle prpondrant de la Ligue de s Droits d,'l 'Homme dans les dernires lections et l'appui, sans rserve, qu'ellefournit aux partis rvolutionnaires.

Il est certain qu'avant d'tre un succs du Front Populaire, la


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dernire consultation lectorale fut, avant tout, une victoire juivequ i permit la race smite toutes les esprances en laissant aupeuple franais tous les dsesp oi rs,

Nous pourrions nous amuser follement de voir le troup ea u d eFranais suivre aveuglment le juif, si l'ave nir de notre Pays n'endpendait pas.

Il est comique, au dernier d eg r, et tragique aussi, de voir leproltaire franais, stupide et inconscient, tendre le poing sesfrres eL excuter le signe de croix juif, car cc geste du poing tenduet crisp est fait en synagogue au cours des crmonies ritu elles.

Les mfaits d'Isral.

Sans rClnonter dans les Lemps loinlains pour numrer les cr i-mes du J u d a ~ m e ,dont le plus r e tentissant fut le marlyr du fils deDieu, clou sur la Croix el pour nlesurer les mfaits e la race maudite sur la France, i l est indispensable de connatre les grandes lignesde l'histoire des smites, call1ps su r le so l de notre Patrie.

Si lu Bible nous donne l'hisloire des hbreux dans l'antiquit(,,

les pripties de la dispersion de la race et son exil travers lemonde sont mal connus el imprcis.

Il es t pourtant tabli que les premiers juifs entrrent cn France la suile de la conqute de la Gaule par Jules Csar,

Dissmins sur le territoire, livrs eux- l l l l l lCS , ils commettentdes exactions et sont bientt rejels par les populations (lui les obligent vivre l 'cart de la chrtien l, C'est alors que se constituentles communauts juives de l'po(jlle fodale et du Moyen-Age,

Vers l 'an 820, Agobard, vque de Lyon, se plaint l 'EmpereurLouis le Dbonnaire, des Juifs qui pratiquent l'escroqu erie, l 'usure

e ( le trafic des jeunes filles qu'ils vendaienl comme esclaves auxSarrasins.Le s massacres en rgle des juifs se produisirent lors d e la pre-

mire croisade. Les hbreux qui exploitaient J'arme des croiss parle vol, l 'usure, la rapine furent extermins. Il tait logique de dlivrer d'abord la France des infidles avant d'aller les combattre auloin.

Philippe le Bel, au dbut de so n rgne, es t oblig de p e rscuterle s juifs. Le roi surprend temps leur vaste complot contre laRoyaut et la Religion, Le s excutants de cette vaste conspirationdevaient tre les Tenlpliers, ces llloines-soldats qui, sombrant ansl'apostasie, reniaient leur Dieu et leur souye ra in en faveur e Juda.

Dans toutes les mesures de rpressions que les l'ois de Franceliant obligs de prendre contre les juifs, les griefs suivants reviennenl

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comme un leit ll10tiv : usure, spoliation, accaparement, vol, profa .nation, exercice de la magie. crimes rituels, inversion sexuelle, etc ...

Tout au cours du Moyen-Age, les juifs sont en excration et bien.ouvent, ils ne durent leur salut, qu' la bi enveillante protection del'Eglise. Il faut reconnaltre que si les Papes, dans leur encycliquesse sont elforcs de limiter, d e contenir l'esprit de domination desjuifs en les tenant lo igns des fonctions sociales, ils accordrentdes moyens de scurit la ra ce qui, souvent, ne furent pas r e s p e ~ . -ls par la catholicit elle-mme.

Le juif, par sa malfaisance et le dgot qu'il inspirait la massedes peupl es , fu t en maints endroits lapid, proscrit, massacr. Parses excs, l'isralite a toujours t la cause des pogrmes dont 11eu t souffrir.

Le document cit ci-aprs donne la mesure de l 'esprit de four-berie du Juif.Louis XII, dclar le Pre du Peuple, avait tendu la Provence

les o rdonnances qui expulsaient les Juifs de France, mais beaucoupd'entre eux avai ent, dans ces rgions, suivi le conseil que leuravai ent donn leurs correligionnaires trangers, et firent semblant dese convertir. En 1489, au moment o il tait question d'une expu lsion, Chnmorre, rabbin de la Jussion d'Arles, avait crit, au nonl deses frres, aux rabbins de C o nstantinople pour d emander ce qu'ilfallait fair e e t il ava it r e u la l e ttre suivante date du 21 dcembre1489 :

c Bien aims frres en Moise, Nous avons reu vo tr e leUre par laquelle vous nous signifiez

les traverses et les infortunes que vous ptissez. Le ressentimentdesquelles nous a autant touch qu' vous autres. Mais l'avis des plu.grands rabbins et satrapes de notre loi est' tel que s'ensuit :

Vous dites que le roi de France veut que vous soyez chrtiens,fait es- le puisque autrement vous ne pouvez faire, mais gardez toujours la loi de Mose dnns le Cur.

Vous dites qu'on veut prendr e "OS biens, faites vos enfantsmarchans et par le m oye n du trafic "DUS aurez peu peu le leur.

VOliS YOllS plaign ez qu'ils altentenl contre vos vies, faites vo,enfants m decins el apothicaires qui leur feront perdre )a leur sanscrainte de punition.

Vous assurez qu'ils dtruisent vos synagogues, tchez qu e V03enfants deviennent chanoines et clercs parce qu'ils ruineront leurEglise.

Et ce 'l u e vous dites qu e vous supportez de grandes vexations, fait es vos enfants avocats, notaires cl gens qui soient d'ordinaire occups aux affair es publiques , cl paf ce moyen, vous dominerez l es chrtiens, gagnerez lenrs terres el 'vous vengerez d'eux.

Ne vous car tez pas de l'ordre que nous vous donnons, carvous verr ez pas exprience que d'abaisss que VOLIS tes vous sere?fort levs. > (v.S.S.V.F .P. Prince des Juifs de Constantinople,

le 21 de Casleu 1489) .


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La conduite des juifs l 'gard des chrtiens est le fruit naturel de deux grand es passions d'Isral, a dit Henri Delassus : la !:taineu Christ et de son uvre et l'ambition d'asservir le genre humain. >

C'est d'apr s Bernard Lazare aux juifs qu'il faut altribuer l 'origine et le principe du conflit qui depuis lors n'a cess e ntre la civili-sation m ode rn e e t la civilisation chrtienne, aprs avoir t prparpar eux durant de s sicles.

Aussi, d evo n s-nous les voir la base des lult es r eligieuses quiEnsanglantrent l 'Europe au XVI' sicle, Bernard Lazar e s'en faitgloire lorsqu'il d i t : C'est l' es prit juif qui triomphe avec le protes-la ntism e . ~. .Jusqu'al o rs r prouv par toute la chrtient, le juif va pourtant, force de dup eri e, obtenir droit de cit en Fran ce , C'est le 27 sep-tembre 1791, au co urs d'un des derniers votes de l'Assemble Cons-

tituant e expirante e t la fav e ur du principe de la D c laration desDroits de l 'Homm e, que la qualit de Franais lui es t reconnue.Il avait r e u, au pralabl e, ce droit de cit dans les loges ma

o nniques, a u fameux convent de Wilhelmsbad en 1782 o fureutarrts le plan de la Rvoluti on Fran a ise et dcid la mort du ,RoiLouis XVI (3) . .

D s lors, p o ursuivant leur rve messimiaque, les juifs vont sevautrer d a ns le c rime, dans le mass ac re, dans l'm eut e, La prioder vo lutionnair e devait leur p ermeltre de se signal e r par leurs crimese t leurs atrocit s .

Le s clubs e t l es

sections qu is

ment la terre

ur etti e

nnentle sas se mbl es so u s la menace du nl assac re. sont inspir s par des Juifs,

accourus de t o us les coins de l'E urop e, l 'odeur du ch a rnier fantas -tique qu e pr se nte la France r volutionnaire.

L'ignobl e juif Marat bnce dans so n journal les m ots d'ordre ducarnage, pen dant ' lu'au Templ e, le juif Simon es t le t o rtionnaire dujeune Dauphin.

C' es t l e juif Zalkind Hourwitz qui, le 10 ao! 1792, tira contreles Tuileri es le premier coup d e feu, journe au cours de laqu ell eprirent, de pa rt et d'autre, de n ombreux Franai s .

Le ma ssac r e dans les pri so ns tait organis par les juifs, les-quels se m ontl'ui ent, par leur cruaut e t leur dlir e du meurtre, lesplus cruels b ourr eaux.

Eliph"s L vi, dans ses crits, rapporte un pisode de ces massacres elTarents : Un personna ge hid eux, gigant es qu e, la longuebarb e, tait part out o il y avait des prtres gorger: Ti ens, leurdisait-il avec un ri ca nem e nt sauvage, voil pour l es Albigeois et lesVaudois, tiens voil pour les T emplier s, voil pOUl' la Saint Barthlemy, voil p O Ul" les proscrits des Cvennes:. ct il frappait avec ra gee t il frappait touj ours avec le sabre, avec le couperet, avec la m ass u e.Les arm es sc brisaient et se r en o uvelaient dans ses Butins ... :t

... Aprs la mort de Louis XVI, au Jnornent m me o il venail(3) Le r g ne du Me ss ie sera yellU, di sa it un des pres de la synagogue, quand

l e peuple sera jamai s dlivre de l' o ppr ession des souverains. (Eliphas Lvi ) .


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I I.......liait hbralqul, Il Juif le multipliait en attentat. tmorlltel; l'exem-ple de l'hbreu Knlgstein, dit Ravachol, est typique.

La grunde guerre de 1914-18, prpare par ln Judo-Maonneri' "devait permettre la race abjecte de donner la mesure de ses crim es .C'est le Juif Princip qui assassinn l'archiduc Franois Ferdinand,' .\ utrichc, meurtr e qui fut le point de dpart du grand cataclysme.

Ce sont les Juifs qui ont fomenl et dirig la rvolution d'oclol ' i" 1917 cl 'lui tiennent encore la Russie entire sous le joug.

C'est un juif, Rerensky, qui a succd au Tsar et ouvert la voieau Bolchevisme. C'est le Juif Halphand, dit Parvus, qui fit convoyerLnine en Russie.

Ce sont 450 Juifs qui dirigent la Sovitie et soumettent ce mal

heureux pays la pins etIroyable terreur et aux monstrucuses 1"'1'-fculioD',Ce sont les Juifs Yourowski et Golostcheguine qui extermin

rent la famille imperiale Ikatrinembourg sur l'ordre du JuifJacob Sverdlof, prsident de la Tchea de Moscou. Le premier bourreau de celte Tchca, dont l'ardeur et la cruaut furent nOloires, estle Juif Mose Ouritsky.

En Allemagne, le spartakisme. eut pour chefs les Juifs KarlLlbknecht, Kurt Eisner, Hugo Huase et les Juives Rosa Luxembourg et Clara Zetkin.

Le mouvement sovitique bavarois eut pour instigateurs lesJuifs Kurt Eisner, Max Lowenberg, Kurt Rosenfeld et une douzained'hbreux affilis au,> B'na Brith.

La constitution de Weimar fut l'uvre du Juif Hugo Preuss.En Autriche, les chefs du socialisme, avant e t aprs la guerrl',

furent des Juifs: Victor et Fritz Adler, Ellenbogen, Fritz Austerlilz,Max Adler, Hert, Eckstein, Braun.

En Hongrie, le Jllif Bela Kun, qui fut un moment dictateurcommu"is!e, tait entOllr d'un comit de vingt-six commissaires dupeuple, dont dix-huit t ~ i e n tJ u i f ~ .

Enfin, en Amriq!le, le socialism a pour chefs des Juifs. Lapresse yiddisch !le New-York es t socialisle : l'UIl de ses reprsentants les plus qualifis est le Juif Abraham Cahen.

'l'o\1t rceIllment, en 1932, le prsident DOJllller tail assassin!lans l'Htel de l 'Mbreu muilinJillionnaire Rothschild par un certainGorglllofJ qul tai! peut-tre lui-mme jllif.

Hier, le roi AleXandre de Yougoslavie tombait il Marseille sousles balles du circonis Kelemen, atteutat qui faillit dclencher IInegQerre europenne.

~ n F,aQce, 'lui voyons-npus, J'heure prscnle, prparer laprochaine rvolllllon, en dressant les maSses con Ire le drapeau denos anctres, contre les nobles traditions de nos pres, contre lafamille, celle cellule vivante de la Patrie, contre tout ce qui estfranais et national? D'immondes youpins venus de tous les ghetto.d'Europe, lequell attendent, avee impatience, l'heure de la c u r ~ e


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>., .... ..::.

*11 doU livrer Mire bellu pays, comme 18 tnalhel!reuse ~ U U l e ,lIeurrapacit.

R e n l e r o n ~ - n o u snoire drijp eu \1 pour la loque s ~ n g \ 1 l n a i r ed"Soviels ? Renvers erons-nous nos aulels pour adorer de force le Jhovah des Juifs '? Abdiquerons-nous noIre ' civilisation cello-Iatipe poursupporler les lucuhrations orien lalo-bolcheviques du smitisme,Livrerons-nous la famill e fran a is e Il la domination de Juifs crasseux, pouilleux, syphllitlques c l dgo nrs d01\1 le seul id"l esl lapossession d e l'or pour J ouir de t o us les vice$ qu'il procure '!

Si r vo lu\i o!l fu i jamais Ilcessaire, c'esl bien celle qui devradcmain nous dparr"s, er pour louJours de la juiverie Infect. quienlrave la vilalil de noire PaIrie. '

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Atrocits juives-_ _ ' - " l E Z

Celle rvolution, bien fran aise, explosion d'lin lgitim e Qc


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. Chaque unit rouge tait accompagne d'un comtdnollilt"iTchereswitchaka, dont la seule mission tait de raliser cc pro-gramme. I l tait compos de commissaires spciaux, assists d'unpersonnel de femmes juives et de Chinois charg. de remplir lesfonctions d'excuteurs des haules uvres.

C'est un de ces comits qu'appartenait la fameuse VeraLcvinc, faile prisonnire par les troupes polonaises el condamne ilInor1 par une cour martiale, ayant t convaincue d'avoir conu clralis les supplices infligs .\ desofficierspolonais ..

4: Parlout o passaient les troupes e Budienny. des massacresmarquaient la trace de leur passage.Partout, ce n'taient que cadavres mutils, langues el yeux arrachs, malades gorgs dans leghpitaux. Ce sont ces soldats qui, dans les premiers jours de juin, i l

Berdiczevet Jitomir, gorgrent 620 blessset tout le personnelsanitaire des hpitaux de ce s villes. Ce sont eux qui, quelques j O U 1 " ~plu. tard, en quittant Proskuroy, arrtrent un train de la Croix-Rouge el tnassacrrenl les trenlcsix personnes qui composaient lamission sanitaire, dont le comte Grocholski.L'tat clans lequelfurentretrouvs les cadavres des malheureux lait tel qu e trois seulemenlont pu tre identifis.

Les tortures inventes par les membres tle la Tchereswit-l'haka et par les soldats du gnral Budienny dpassent, la vrit.l'imagination. Aux procds classiques de t'Inquisition, supplice de

l'eau, brodequins, cartlement. elc ... les Chinois el lesf C m nh!S

(Juives) de la Tchereswitchaika avaient ajou t de nombreux perfee-tionnelnents. Sur certains d'entre eux, faits prisonniers Kiev, ondcouvrit de petites cuillres en mtal aiguis. Ilsreconnurent qu,'ces instruments taient destins arracher les yeux de ceux qui leurtaient livrs pour subir la torture.

Une autre de leurs mthodes consistait il enfoncer petitscoups, dans le crne de leurs victimes, des clous acrs. Souslasouffrance, lespatients perdaient connaissance. On 1.. ranimait, puisla torture recomTl1cnait jusqu' ce que mort s'ensuivit. Le plussouvenl, la boitecrnienne clatait en pleine agonie

La plupart des victimesdcouvertes sont affreusement muti-les. A certaines, la peau du dos a t dcoupeet ramene sur latte. D'autres ont le ventre ouvert ; on a fait des liens de leursentrailles arraches. A Vinnica et Kaerkov,o les victimes ont tparticulirement nombreuses, des corps ont t scis en deux ; d e ~membres cartels l'aide de chevaux portaient enCOre les cordesqui avaient serviau supplice .

Nous pourrions citer mille exemples des atrocits juives de cegenre, si, dans ce court expos, nous n'tions limits par la place.

Nous nous CQntenteronscle l'aveu suivant, extrait de la prfacedu livre anglais World Siignifiance ofthe Russian Rvolution>,crite pfir leJuif Dr Oscar Lvy :

Nosles Jlr., qui nous sommes possen sauveurs du monde,qui nous sommes f tnts d'avoir fourni au mone le Sauveur, nous


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ne sommes plus aujourd 'hui que le s corrupteurs du monde, ses destru c t e urs, ses inc e ndiair es , ses bourreaux. Nous qui avons promis devons conduire ve rs un nouv eau paradis. nous avons finalement

ahouti YOliS j e t e r dan s 'J11 nOtl\ 'e] e nfer. II n's a pas eu d e progrs.de progrs 11101':11 moi, ; qu e tout autre. Et c'est jus tement notreMo ral e qui a empch . o ut pr ogrs r e l ; bi e n p i s : qui fait obstacle loul e rec o nslru c tion d e ce mond e en ruin e s !

.T(' le l' l'g arde, ce monde, e t son horr e ur me fait frmir ; e t jefr mi s d'autant plus qu c je connais le s aut e urs spirituels de toute("dle horr e ur .. '

...Les Ju i f s !P e ut- o n t r ouve r av r il plus sin c re et co ndamnati o n plu s ter

rihl e !

La race maudite

Le .Juif, sui"ant l, caractre malfaisant qu'il a pris clans lasocit, S(' divis e ('n plusieurs cntgories ou sOlls-ra ces d 'un typeass ez diff r e nt les Lins des autr e s.

L e .Ju i f, at ta c h sa religion, so h culte, fo rme le petit gr o u p '

des d o cl e ur s e n th o togie . et fournit le s rabbins qui perptuent le .traditions dt's Sa g('s de Sion.L' inkl l ec tu e l co mp os e la cl a sse des Juirs, knbbnllist es, ta lmu

di s tes , el for me les prin ces du Rahal. C'est l 'esp ce la plus dangereus e, car ("cst du cerveau des knbbal1istcs et d e s ta lmudistes quesont sorties Ics obd ie n ce s ma o nniques. l es socits secrtes, lesth or ie s mar x is k s t 't h o lchcviCfues, ainsi que la pratique, dans lemauvais sens, d l'. tOllles le s sc iences oc c ul tes : magie noire, envoftteI11Cl l t8 , cri m es ri tuels, clc .. C'est du Kahn] qu'est sorH le plan dedominat ion mondiale d on t sont inspirs le s proto c les d es Sages l'leSion . C'est dans c elle ( ' ~d t S g o r i equ'i) faut placer un Karl Marx, unAdolphe C r l ~ m i l ' . I I X ,Ul l Trotsky, un L o n Blum.

Vi e nt l' n sllile le .fuif dl' lu ITIl'r eante, qui constitue Je conting l'nt le plil s imp or tant de la racc. Son chupe sordide de jadis estl ran s form l'\.' l ' n lII ag asin so mptut.'ux. C'est lu i qu'appart ienn e n t labanqut ' el Il ' COIllIIH' I'("e dl'S g randes v ill e s. Pur les t rusts , le s consort iUl I l S, i l touff e le ("OIllIlWl'Ce d es non-Juifs, i l avilie tous le.s Jntiersct d s ~ , r g u n i s l 'tOllks lt's pr u fes s ions. Une part ie du corps mdic!ll,pr ul'!!ss ion pourt:lIJ! re specta bl e, est devenue, par son influen ce, unr.Qflllllcrct.' r lw nl . S'il t's t av oca t, i l a v e ndu J'h o nneur de sa rob.:.I l l'st util e de SOU l i g l l t ' l" q l l t ' le Ju i f n 'app a r t ient j:J:mais un mtierpr o d u d e u r u U m anu el, l'ur il es t d 'or dinaire paresseux et cras se ux,et sn sc i en ce l' Cn.lI l1e rci ale - - le vol e t le blufl' - c o nsiste vivre riel 'e x pl o itati o n u proll:!l'int. On n e voit j amais un Ju i f cl.lHivnteurc t t r s rar e ment i l Sl ! fait o uvri e r.


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L'usure, l'exploitation, la rapine, voil le secret de l 'esprit dengoce de l 'hbreu. Aussi, toutes les professions oil sou esprit malfaisant pourra se donner libre cours seront-elles prement recher

ches par lui.On retrouve le type du Juif usurier de l'poque moyengeusenans le banquier moderne. A force de vols, i l est devenu le roi de lafinance. Par des coups de bourse, il pille l'pargne. C'est lui quimonte toutes les affaires scandale, krach, dbcle. Nous leretrouvons ln base de tous les scanilales politico-financiers (Panalua, Ollstric, Haneau, Stavisky, etc., etc., :). Parfois, avec la complicitdu gouvernement maonnique qu'il tient en tutelle, il fait figure .!egrand financier (Rothschild. Fould, Preire, Finaly, Dreyfus), et.pOUl' de s millial'ils vols la modeste pargne franaise, il donne

gnreusement, de temps en temps, quelques centaines de millefrancs aux pauvres; ce moment, il est class grand philanthrope.Le Juif dtrousseur, .celui qui, dans les sicles passs, suivait

les armes pour achever les blesss et dtrousser les cadavres, celuiqui, la faveur des victoires ou des dfaites, se livrait la rapineou an pillage, a sa rplique frappante de nos jours dans l'antiquai.-eet le marchand de biens. Tons nos chteaux ont t achets vil prixpal' des youpins qui les ont dvaliss de leurs joyaux et de lem'srichesses artistiques. La fortune des Jonas, des Bernheim (anti-quaires) n' a t leve que SUI' la dpouille des anciennes famillesfmuaises possdantes. Les marchands de biens, types frres Bernhl'im, Bernard Lvy, Bloch, Jlnl'l'Udl, Riem, Laflly et autres .. , ontachet, vil prix, la proprit foncire qu'il sont revendue poidsd'or, en la lotissant pour la revendre au x petits Franais. Tous lesgrands lotissements autour de Paris et des grandes villes sont l'omvre


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- '1-C'est le bas peuple juif, dont la France est devenue le grand

got collecteur qui, ilemain, formerait les chefs de soviets locauxet les jug es de s tribunaux rvolutionnaires, chargs des excutions

sommair es. C'est lui que les prin ces de la 'puissance isralite confiaient l e soin ile veng er la race de 19 sicles ile convoitise et de hain"contre le monde chrtien, car dans la rvolution universelle, que lepeuple d'Isral altend comme un Mess ie, par la destruction et dansle sang, i l doit faire sombrer jamais notre civilisation, nos liberts,notre culture, nos traditions et nos croyances.

Les moyens que doivent employer le s Juifs pour parvenir leurs fins nous en trouvons ln pr


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les excutants sont des Juifs (Daja Bela-Baumgartner, clc.l, moins


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Rentr chez lui, midi, i l apprend, non sans stupeur, que safemme, elle aussi, payer la dme Isral.

Madame a fait sa commande la Maison Potin (propritaires:

Worms, Katz, Smoliac, Herzog, Salomon, Ruhenstein, ' ' 'ehlolT ) .Cet aprs-midi, on emmne hb acheter des chaussures chezAndr ou chez Raoul (maisons juives), puis on finira la journe enpassant voir les soldes aux Gal eries Lafayette (Bader).

~ f o n s i e u rdoit aner la Bourse, un ami lu i a conseill un placement de tout repos, au fait c'est ce vieux Ahraham ...

Qu e l n'est pas l'ahurissement de notre Franais moyen en pnt rant dans le temple du Veau d'Or, de constater que les hox sontc nliremcnl tenus pal' d e s Juifs. L 1'enyahissement de la youpineriees t elTarant, il es t complet, int g ral, maximum. Toutes les tributsd'Isral ont ici leurs reprsentants dans les Lvy, les Bloch, lesLilZ;ll'd, les Rou cn, les Finaly, les Roths child, elc.,.

Une prom e nade dans le centre de la capitale permettra, decons taler, notr e Franais moyen, qu e t O li S le s magasins des artresprincipales sont occ.ups par des descendants d e Juda. La Mode, lestailleurs, les parfumeries, les chapeliers, le s gr:tnds cafs, les tablissements de cn'dit et de plaisirs sont la proprit de Juifs qui exploi-lent le goym, Celui-ci, bon serf, paie largement il ses souverains etmaiLres une diln e royale.

Si, aprs une journe d'pre travail et d' efforts laborieux, pourarracher sa maigre suhsistance 11 Ia rapacit des Juifs, i l pren,ifantaisie notr e pauvr e bougre d'all e r se distraire, il s'ap e rcevrabientt que le youpin est maltre de ses distractions; le thtre et 10c inma sont sa possessi on.

Chacun sait que Abraham (Odon), VoIlera (Thtre de Paris,Marigny, Luna Park ), Bernstein (Gymnase), Lehmann (Chtelet),Max Murrey, alias Rappoport (Varits), Rosenherg (Sarah-Bernhardt), etc., sont le s directeurs des scnes sus-nonc es .

Au Cinma, les Natan, les Goodchaux , Osso, Braunherger, J.Hack, A. Gance, Diamant Berger se partagent la production franaise :P , tandis que les vedetets de l'cran et de la scne, i m p o s ~ sde force a u puhli c, sont Marie Bell, ,Jane Marna c, Mireille, S. Simon,l\'Iarie Dubas, p o ur le s femmes ; et, pour le s hommes : G. BePT,Alexandre Monthus (Brunswick). Mortimer, Armand Bernar,I,Michel Simon, Harry Baur (F : , -M:. l , Sanson Fuinsilber, Jean-PierreAumont, etc,

En rentrant chez lui, ds qu'il tou che un objet familier, le Fran.ai s es t certain !le toucher quelque ch ose qui lu i a t vendu par le.Juif; en posant la main sur le comnllltateur lectrique, i l reoit lalumi re de Juda souo la forme de la Lamp. Philipp ou Mazza.

Enfin seul, il croit tre dlivr de l'ohsession ju ive ; il regardedes livres qui sont l, prs de lui ; maldiction! Isral est l quil ' a t tend: Fran c is CUICO, Maur oy (Herzag), H. Duvernois, J. Kessel,~ h , H, Hirsch, Romain Coolus, p, Wolff, Francis de Croisset (Wie-


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ner), Mato Roussou (Falnsilber pre ) , B ernard, etc. Il court sabibliothque chercher quelques livres d'auteurs classiques qui, ceuxl , ne sont pa s circoncis. Hlas! trois fois hlas! toute notre litt

rature es t entre les mains Jes Ju i fs : Corneille, Racine, Moliro,Victor Hugo et tant d'autres ont t rdits par Calmann -L vy ,A1ean, Fer enczy, Lvy, Kr31uer, Natan, Laj e llness e.

Pauvre Franais m oye n qu i croit dur comme fer que ses anctres ont pris la Bastille, en 1789 , pour le librer de l'esclavage , c ' estdu moins ce que lui ont ense ign l es livres falsifis qu'il lisait surles banc s de l'cole.

La Grande Rvoluti on n'a pa s aboli la dlm e royale, celle-ci enchangeant de bn fici aire a douhl , tripl, quintuple mme, et e ll .est dsormais perue par le Juif so us form e de spoliation , d'agio, d espc ulation, de vol, d'escr oq ueri e, d'usur e.

Documents juifs,

Manifeste de l 'All iance i8 . a ~ l I t ennlve .se l lefille fui fonde, en 1860, pnr le juif I1z ek Aaron dit ~ r m i C 1 / x

membre du Gouv ernemenl provisoire trauais de 1848, franc-maondu 33' degr, minislre de la Juslice el d'un des chefs du Judaismem ondial.

Voici le lexie du manifeste publi lors de sa constitulion :L'uni on que nous dsirons fonder n e sera pas une union fran-

aise, anglaise, irlandai se ou all ema nd e, mais un e Union juive uni-verselle.

D'autres peuples et races sont diviss en nationalit s ; n OlisSllis n'Avons pas de citoyens, mais exclusivement de s eoreHgion-naires.

En aucune circonstance, un Juif n e devi endra J'ami d'un chr-tien ou d'lin musulman, nvant qu'arrive le m ome nt o ln lumired e la foi juive, la se ul e religion de la rais on, brill e ra Bur le m ond eentier.

Dispers s parmt l es autres nnlions. ((ui d e p u i ~un t emps irnmp-morial furent h os tiles il n os dr o it s ct nos int r ts, n Olis dsironspremirement tre et rest er immuablement juifs .

Notre nationalit, c'est la religion de nos pres et n ous n e r e ~connaissons aucune autre nationalit.

Nous habit ons des pay s trang er s e t ne snurions nou s inquiterdes ambitions changeantes de pays qu i n ous sont entirem ent tran-gers, pendant qu e n os pr ob lm es moraux et matri els sont en dang er.

L'ens e ignem ent juif doit s'tendre toute la terr e, Isralit es!qu elque part qu e le deslin vous conduise, disp ers s comme vous


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l'tes sur toute la terre, vous devez toujours vous regarder commefaisant partie nu peuple lu.

Si ,"OtiS vous rendez compte que 1:\ foi de vos pres est v o t r"~unique patrimoine;Si vous re connaissez qu'en dpit rle ,g nationalits que VOllS 3.\,( 'Z;adoptes vous restez et formez toujours el partout une seule el unique na lion ;

Si YOllS croyezque le judasme est la seu1e eL unique vrit religieuse et politi(Iue ;

Si vous h 's convnn.;,.usde celn. I S l ' a ~ l i t e sde l'Univers,Alors, veni 'Z, entenez notre appel, et envoyez-nous votre adh-

SIOn.

Notre enlise est grande et sainle, eL son succs es t assur. Lt'catholique. I ~ ( ) Irc enlie mi de Lous les temps, gi t dans la poussire.morklkmr-ilt r,.:tpp la tte.

L e filet qu'Isral jelle actuellement sur le globe terrestre s'largit ct s'leno, ct le s graves prophties denos livres saints vont enfinse raliser.

Le temps es t proche oit Jrusalem va devenir la maison d ~prire pour toutes les nations et tous les peuples, o la bannire deDieu unique d'Isral sera dploye et hisse sur les rivages les plu,lointains.

Meltons profit toutes les oe('asians.N o t I ' l ~puissance est immense, apprenons adapter cette puis

sance notre cause.Qu'avez-volis craindre?Le jour n'est pas loign ail toutes les richesses, tous les tr

sors de la terre deviendront la proprit des enfants d'Isral.

Rsum du Ta l m u d

M. Auguste Rahling, professeur l'Universit de Prague, aappris l'hbrt'lI pour pouvoir traduire le Talmud. Voici de s extraitsde son travail :

l ' Les mes des juifs ont le privilge d'tre une part de Dienmme. Les [unes des autres peuples de la terre viennent du diablect sont semblables celles des bmtes.

4" La domination sur les autres peuples doit lre le partage desjuifs seuls.

5 ' En alll'II(I,,"t la venue du Messie, les juifs vivent dans l'late guelTe continuelle avec tous les autres peuples.

Quand 1:1 victoire sera definitive, les peuples accepteront la foijuive, mais les chrtiens seuls ne participeront pas cette grce;ils seront al! contraire entirement extermins, car ils desc,endcntdu diable.

Un juil' est de la substance de Dieu; et un non-juif qui frappeun juif mrite la mort.

8 Les juifs seuls sont des hommes, les autres nations ne sontque des varits d'animaux. Le chien vaut mieux que le non-juif.


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Les non-juifs sont no n seulement des chiens, mais des nes. Le!;mes des non-juifs viennent de l 'esprit impur, el d es mes d'Isral,viennent de l 'esprit de Dieu.

! l ~ Les non-juifs n'ont cl crs que pour servir les juifs l l l l l tt' f jour, sans St ' clL'iourner de leur sen'ice.

1" Il es t d t ~ f en d l 1nu juif de louer la science ou la vertu d'unc hrtien (5).

1 " Il n'c!.>t pas juste d ' ns ~ r d t' misricorde envers se s t 'nnt'mis.12 L'hUlnllle (l e juif) doiL t'n tOtlt It 'mps trc r l l S t ~ .1:1" L e juif pe ul dirt ' au non -j uif qu' i l l 'aime s'il le juge nces

sa in ' l ' l s'il a peur.1-1- " L e ju i f pl'ul ll'c hypocri te ; tYl 'C le non-juif .1;)" Les


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tine pierre, et on doit rendre vaine tous les moyens qu'il peui employer pour en sortir. Quand on le voil tomber dans une rivire ouen danger de 1110rt, on ne doit p:J.s le sauver. ~ f a i m o n i d senseignf"

d e frapper d e mort lout non-juif qunnd on en 3. le pou 'voir. Il estjust e d'exterminer de sa main tout hritique ; celui qui rpand lesang des impie s offre li n sac.rifice Dieu. (Sous le n om d'impies. oncO lllpr end J s us ct ses partisans ) . Ceux qui nienl l 'enseignementd ' Isra l, parLiculi{\rcmcnl les adeptes du Nazaren, doivent tre ns morl. cl c'esl toujours une bonne u\'re que de les excuter : si onne le peul pas, on doil lcher d'occasionner leur mort. .l\fais celuiCJui 11iC L1IlC rUil e d' lsral sera jug comme s'il avnit tu le mondeenlier. Si 1111 ju i f peut Lromper les non-juifs et leur faire croire qu ' i les l lui-m m e un n o n-juif, cela lui cst permis, etc., etc.,. (7).

Par r es pect pour nos lecteurs, nous n o us abst e nons der c p r o ~

dllir e l ' l ' qll C' le Talmud enseigne, eonseille, prescr i t aux juifs en Cf'qui rcgard e le six.ime commandement e Dieu,

Le fa ta l d i scours du r abb lu Relcbborn11 Y a analogie [r"ppanle enlre les Prolocoles el les discours du

Rauuin Rcichhorn, prononc Prague en 1869, sur la lombe dugrand rabbin SiIlH!On-bcn-Ihuda, ct publi par ReadclilT, qui a payd e sa vic ce tte 'divulgation.

Voici, d'aprs la version fournie dans la Hussie Juive. d c" ols l


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Par l'loge infatisable du rgime d ~ m o c r a t l q u ,nous dlvlseronlles chrtiens en partis politiques, nous detruirons l 'unit de leursnnlions, nous y smerons la discorde. Impuissanls, ils subironl 1.loi de notre Bp.nque, toujours unie, toujours dvoue notre caus".

Nous pousserons les chrtiens aux guerres en exploitant leurorgueil el leur slupidil. I l . se massacreronl el d blaicronl la placeoit nous pousserons les ntres.

Ln possession de la terre a tOll jOUl 'S procur l'inllucnec et lepouvoir. Au nom de la jusLiec sociale e l de l'galit. nous Inurcell\.'l'ons le s grandes propri t s ; nOl i s en donnerons les fragments auxpaysans qu i les dsirent de loules leul's forces, el qui seront bienttcndctt6s par l 'exploitation. Nos capitaux. nous en rendront Jlmitres.Nous serons notre lour les grands propritaires, et la possessi(}n

e la terre nous ass lll'Cra le pouvoir.Efforons-n ous de rempla ce r dans la circulation l 'or par le pa

pier-monnaie; nos caisses absorberont l'or, el nous rglerons la"ale ur du papier, Ce qu i I)O!IS rendra mailres de toutes les existences.

Nous complons parmi nous des oraleurs capables de feindrel'enlhollsiasme el de pe rslIader les fOllles; I)OlIS les rpandronsparmi les peuples, pour leur annoncer les changements qui doiventraliser le bonheur du genre humain. Par l 'or c t par l ~ fl,atlcrie,nous gagnerons le Proltariat, qu i se chargera d'anantir le cl;lpita

lisme goyim. Nous prometlrons aux ouvriers des salAires qu'ilsn'onl jamais os rver, mais n o u ~ l ~ v e r o l l saussi le prix des c,host'sn c ~ s s a i r e s ,lellemenl que nos profils seronl encore pills grands.

De celle mani re nous prparerons les Rvolutions que lesgoyim feront eux-lHmes el dont nous cueillerons les fruits.

Par nos railleries, par nos attaques, nous rendrons leurs prtres ridicules, et puis odieux; leur religion aussi ridicule, aussiodieuse que leur clerg. Nous serons alors matres de leurs me .Car notr e pieux allachement noh'e religion, nolre culte, en prouveront la supriorit, el lu suprioril de nos mes.

Nous avons labli dj de no s hommes dans toules les positions importantes. Efforons-nous e fournir aux goyim des avocatset des mdecins; les avocats sonl au couranl de Lous les inlrls ;les nldeein$ une fois dans la Jnaison, de viennent des confes$eurse t des direcleurs de conscience.

Mais surlout accaparons l 'enseignement. Par l n O l i S rpudonsle3 i d e ~' lui nQUS sonl utiles el I)OUS p ~ l r i r o n slcs cerveau,. notregr,

Si l 'un des nlres lombe malheureu'enlenl dans les grilTes dola justice chez les goyim, courons son aide; trouvons autltnt detmoignages qu'il en faul pour le sauver de ses juges, en allendan!que nous soyons nous-mmes les juges.

Les monarques de la chrtien l, gonfls d'ambitions et de Va-nil, s'entourent de luxe el d'armes nombrims . Nouo leur fournl-


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rons tout l'argent qllll rllclll.me leur folle, et DOI!I le. tiendrons erilaiss e .

Gardons-n OliS d'empcher 1 ~ madage de nos homm es avec l e ~Iilles chrtienn e s : car, par e ll es, n o us p ntrerons par le s cerclesles p lus ferm s . Si nos filles pous e nt des goyim, e ll es n e n o us se-ront pns moins utiles, ca r le s enfants d'une mre juive sont n o u ~ .Pr o pa geo ns l'i c d e J'union libr e, pour d truire chez les f emmeschr ti e nne s l' a tta chem ent aux prin c ip es et aux pratiques de leu:"religion.

Depuis des sicles, les fils d'Isral, mpriss, perscuts. ontlravaill . se fray er une voie v e rs la puissance. Ils lou ch ent au but.Il s co ntrl e nt lu vi c co nomiqu e u cs chrtiens maudit s , le ur inIlu en ce es t pr po nd rante sur la p o litiqu e et sur les murs.

A "h eu r e vo ulu e. fix e d'avan ce, nous d c hnin e r ons la Rv o lu-ti o n qui, ruinant toutes les classes de lu chrLient, n o u! asservirad finiLhem e nt les c hr tiellS. Ainsi s' acco mplira la pr cml csse deDieu, fait e su n peuple.

Ayant publi ce document, Rrad e lif fut tu.Lis ez les Pr oloco ls ; vous y retrouv e rez, avec d'autr es dvelop-

p e ments, avec d e te rribles prcisi ons , les ollnes id e s, e ns e ignrse n I s ral d epu is d es sicles.

EL r egardez le m o nde, r egal' d ez la Russi e, regard ez vot r e payl !Ne voyez-vous pas, dlail par d tail , l' exc uLion du pl a n 1

.Comprenez-vous entre quell es mains vous et votr e patrie~ l ~ s

to mbs ?

.L e programme d e . Pro toco les des Sages de Sion

Voici donc cc que les Sages d e Sion ont prmdit (rsum dnprogramme m ag is tral nonc dans Ics Pr otoco ls ).

I l fau t :1 " Corrompre la jeune g n rati o n par de s c n s e i ~ n e m e n l s~ u b -

ve rsifs ;2" D truire la vie de famille;:1" Domin e r les gens par leurs vices;4 " Avilir les arls et prostitu er la l i t trature;5 Miner le re spect pour la rel igion; discrdit e r auLant q U l ~

pussil.Jle les pr tr es e n rpandant sur le llr compt e es histoiressca ndaleus es ; enco urager la c h au te c ritique ;) afin de saper 111bas e de s c r oya nces et provoqu e r de s sc hi s me s et des di s put es d a n~le se in Je l 'E g li s e ;

6 " En co ura ge r le lux e cfi'rn ; les m oes fa nla s li


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La Pense des Morts

L'Antismitisme n'est point un Syndicat d'hommes po litiquescherchant s'emparer du Pouyoir pour les jouissances qu'il pro-cure. C'est le groupement naturel e t logique de toutes les f orces na-tional es unies contre J'ennemi commun: le Juif, le parasite, l'agioleur el le tratre.

Edouard DRUMONT.,