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IDEA’NIM ASSOCIATION 2012 Politique de la Ville en France, Regeneration en Ecosse Arts et mobilité Christine COURTY 6, RUE DU B AIGNEUR – 75018 PARIS

Politique de la Ville en France, Regeneration en Ecosse...Aboutit »1. Les déclics sur les enjeux écologiques et urbains ont du mal à trouver leurs chemins, ignorant l’histoire

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IDEA’NIM ASSOCIATION

2012

Politique de la Ville enFrance, Regeneration enEcosseArts et mobilité

Christine COURTY

6 , R U E D U B A I G N E U R – 7 5 0 1 8 P A R I S

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Christine COURTY – IDEA’NIM Association © - Décembre 2012 Page 3

LES TRANSPORTS A GLASGOWentre INGENIERIE technique et ARTS EN MOBILITE.

2ème versant.

IntroductionCet article fait suite au premierversant sur la Politique de la Ville enFrance d’octobre 2012.Il a été réalisé durant une missiond'assistante dans le cadre du programmeEuropéen GRUNDTVIG : Apprendre toutau long de la vie. Il n'engage que sonauteur et ses observations.

Notre question en suspend :La prospective de la Politique de la Villeen France, la Regeneration en Ecosse,peut-elle être la production d'uneréflexion sur l'éducation à la cultureidentitaire, d'un territoire en expansion?

Cette production peut-elle faciliter lacohésion sociale, dans cette nouvelleconfiguration et son harmonisation avecla nature, dans une économie monde ?

« L'architecture du futur construira enimitant la nature, parce que c'est laplus rationnelle, durable etéconomique des méthodes » Gaudi.

« Comprendre de manière holistique lemilieu urbain afin d'en proposer unegestion ou un aménagement différents -et aux mesures finalement trèssectorielles auxquelles cette écologieAboutit »1.

Les déclics sur les enjeux écologiques eturbains ont du mal à trouver leurschemins, ignorant l’histoire et les traceslaissées par les acteurs de l’urbanisme,de la société civile et des chercheurs,comme nous le rappelle Cyria Emilianoff.L’Art reste un des témoins de cetteproduction, que la mobilité deséchanges, dans le temps, long, afavorisé.

De l’ouverture de ces derniers est néel’Université de Bologne en 1088.Carrefour entre les cultures, tournéesvers ses voisins les plus proches ou versl’Orient, elle a ouvert à des expériencesentre communautés ou l’espritparticipatif du citoyen, proche descommunes du Moyen-âge, semblereprendre, aujourd’hui, tout son sens.

La Regeneration en Ecosse, dansl’esprit de ses précurseurs nationaux,semble rejoindre ce modèle.

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LES TRANSPORTS A GLASGOWentre INGENIERIE technique et ARTS EN MOBILITE.

2ème versant.

IntroductionCet article fait suite au premierversant sur la Politique de la Ville enFrance d’octobre 2012.Il a été réalisé durant une missiond'assistante dans le cadre du programmeEuropéen GRUNDTVIG : Apprendre toutau long de la vie. Il n'engage que sonauteur et ses observations.

Notre question en suspend :La prospective de la Politique de la Villeen France, la Regeneration en Ecosse,peut-elle être la production d'uneréflexion sur l'éducation à la cultureidentitaire, d'un territoire en expansion?

Cette production peut-elle faciliter lacohésion sociale, dans cette nouvelleconfiguration et son harmonisation avecla nature, dans une économie monde ?

« L'architecture du futur construira enimitant la nature, parce que c'est laplus rationnelle, durable etéconomique des méthodes » Gaudi.

« Comprendre de manière holistique lemilieu urbain afin d'en proposer unegestion ou un aménagement différents -et aux mesures finalement trèssectorielles auxquelles cette écologieAboutit »1.

Les déclics sur les enjeux écologiques eturbains ont du mal à trouver leurschemins, ignorant l’histoire et les traceslaissées par les acteurs de l’urbanisme,de la société civile et des chercheurs,comme nous le rappelle Cyria Emilianoff.L’Art reste un des témoins de cetteproduction, que la mobilité deséchanges, dans le temps, long, afavorisé.

De l’ouverture de ces derniers est néel’Université de Bologne en 1088.Carrefour entre les cultures, tournéesvers ses voisins les plus proches ou versl’Orient, elle a ouvert à des expériencesentre communautés ou l’espritparticipatif du citoyen, proche descommunes du Moyen-âge, semblereprendre, aujourd’hui, tout son sens.

La Regeneration en Ecosse, dansl’esprit de ses précurseurs nationaux,semble rejoindre ce modèle.

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LES TRANSPORTS A GLASGOWentre INGENIERIE technique et ARTS EN MOBILITE.

2ème versant.

IntroductionCet article fait suite au premierversant sur la Politique de la Ville enFrance d’octobre 2012.Il a été réalisé durant une missiond'assistante dans le cadre du programmeEuropéen GRUNDTVIG : Apprendre toutau long de la vie. Il n'engage que sonauteur et ses observations.

Notre question en suspend :La prospective de la Politique de la Villeen France, la Regeneration en Ecosse,peut-elle être la production d'uneréflexion sur l'éducation à la cultureidentitaire, d'un territoire en expansion?

Cette production peut-elle faciliter lacohésion sociale, dans cette nouvelleconfiguration et son harmonisation avecla nature, dans une économie monde ?

« L'architecture du futur construira enimitant la nature, parce que c'est laplus rationnelle, durable etéconomique des méthodes » Gaudi.

« Comprendre de manière holistique lemilieu urbain afin d'en proposer unegestion ou un aménagement différents -et aux mesures finalement trèssectorielles auxquelles cette écologieAboutit »1.

Les déclics sur les enjeux écologiques eturbains ont du mal à trouver leurschemins, ignorant l’histoire et les traceslaissées par les acteurs de l’urbanisme,de la société civile et des chercheurs,comme nous le rappelle Cyria Emilianoff.L’Art reste un des témoins de cetteproduction, que la mobilité deséchanges, dans le temps, long, afavorisé.

De l’ouverture de ces derniers est néel’Université de Bologne en 1088.Carrefour entre les cultures, tournéesvers ses voisins les plus proches ou versl’Orient, elle a ouvert à des expériencesentre communautés ou l’espritparticipatif du citoyen, proche descommunes du Moyen-âge, semblereprendre, aujourd’hui, tout son sens.

La Regeneration en Ecosse, dansl’esprit de ses précurseurs nationaux,semble rejoindre ce modèle.

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Depuis, de nombreux cadres législatifsinternationaux, européens, ne cessent dese multiplier semblant laisser de côté, cequi fait sens pour le citoyen.

Ils peuvent, peut-être, être un frein à saparticipation dans l’élargissement de cetespace, que la mondialisation introduittout en contribuant à rendre moins floueles contours d’une planète mondialisée.

Méthodologie

Dans la complexité que nous percevons,il s’agit ici, de poser quelques élémentsde nos observations.

Nous tentons d’introduire des lienssonores, en pointillés. Ils sont, dansl’interstice des lignes. Une forme dehaïku (de trait) comme mouvementimmédiat dont il ne faut pas chercher lesens. Ils en sont dépouillés.

Définition :

Qu’est ce que la Regeneration enEcosse?Alex Neil2 la définit ainsi :“Regeneration is the holistic process ofreversing the economic, physical and socialdecline of places where market forces alonewon’t suffice. This holistic theme runsthroughout this Strategy and forms the basisfor the propositions and conclusions. “

Une vision ou la société civile,l’économie au service de la société (etnon uniquement des marchés),l’environnement, sont en étroiteinteractions.La notion de long terme, tout au longde la vie, pour améliorer lesconditions de vie et favoriser le bien-être des citoyens doit être la finalité.

Le processus mis en place depuis plusde dix ans, repose sur un préalable :

Une démarche individuelle qui peuts’inscrire dans un projet decommunauté, de société, qui développedes valeurs faisant appel à l’esprit decohésion.

Le but est de réduire les disparités etles inégalités, tant au niveau desrégions que des individus ens’appuyant sur la société civile tellesque les parties prenantes.

De cette participation dépendrait ledéveloppement économique qui auraitdes répercussions sur l’emploi.

L’articulation avec le bien-être desquartiers où l’environnement, ledéveloppement soutenable, seraientportés par les acteurs. L’hébergementet la mobilité en sont un des élémentsvitaux.

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Contexte

Glasgow se trouve à l'Ouest de l'Ecosse.La ville a été créée entre 1175 et 1178.Elle s'établit à partir de l'ancienarchidiocésaise et l'université deGlasgow.Depuis, elle s'est étendue, en annexantplusieurs villes limitrophes qui enconstituaient sa banlieue, par unphénomène de conurbation.Glasgow se développe au XVIIIe siècle,siècle des lumières écossaises.Centre important du commercetransatlantique du coton, du sucre et dutabac qui représente le grenier ducommerce britannique à la fin du siècle.Celui-ci est concentré sur la Clyde,fleuve qui se jette dans le Firth, àl'Ouest.En effet, le canal Monkland et le bassinde Port Dundas, créé en 1795, ouvrentl'accès aux minerais de fer et auxmines de charbon du Lanarkshire.

Le dragage en profondeur du canaljusqu'à Glasgow, permet l'accès de laville aux navires de haute mer.

Le développement de la constructionnavale et l'ingénierie du 19è Sièclerenforcent l'économie du textile et desproduits sidérurgiques, déjà secteur enpleine évolution.En 1975, la ville devient un district de larégion de Strathclyde puis une autoritélocale, en 1996.

L'architecture et le paysage de la villese planifient à partir de cette période.Quelques monuments restent le témoinde cette époque comme le KelvingroveMuseum, Mitchell Library ou le Councilde Glasgow.

De nombreux artistes, architectes,s'inspirent de ces évolutions tanttechniques que de ce que cela produitdans les transformations sociales dumonde moderne et en témoignent àtravers les Arts et les techniques.

11 Emelianoff Cyria. L'écologie urbaine entrescience et urbanisme. In: Quaderni. N. 43, Hiver 2000-2001. Écologie urbaine. pp.85-99.2 Regeneration strategy.pdf

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Aujourd'hui, Glasgow est résolumenttournée vers le secteur tertiaire, maisaussi vers l'industrie créative. Elle estdésignée Ville culturelle par L'Unesco en2009 et organisera les jeux duCommonwealth ainsi que la coupeInternationale de Golf en 2014.

Démographie. En 1900, la ville compte1 000 000 habitants. À partir des annéessoixante, de grands projets derénovation poussent les Glaswegiensvers les banlieues et les « New Towns ».

Les changements successifs des limitesadministratives de la ville entraînent ladiminution de la population jusqu'à 592000 habitants alors que la population del'agglomération atteint 1 200 000habitants.Le nouveau plan stratégique desservices de transports en communs’améliore. Il tente de faciliter la mobilitéentre les communautés en réduisant letemps de transport, entre différentesrégions ou quartiers.

De nos jours, la population de laconurbation s'élève à environ 2,3millions d'habitants pour 5, 254,800habitants sur toute l’Ecosse (selon lerecensement de 2001), soit 41 % de lapopulation.

L’âge moyen varie entre 44 et 60 ans.(13%) D’ici 2035, la population de plusde 75 ans devrait représenter 82%, cequi présente un défi pour les autoritéslocales.

La question des retraites est poséedans les débats concernant l'autonomiede l'Ecosse. Le référendum aura lieu en2014.

Le gouvernement écossais a adopté leprogramme Building for Excellence quiconstitue un modèle repris par plusieurspays européens.Faisant parfois référence à ce que lesprécurseurs écossais portaient commevision : un concept de ville-nature et uneéconomie humaine, où les habitantssont éco-participants.

Malgré de nombreux efforts, la situationéconomique de certains quartiers,traduit, dans la réalité, le chômagepersistant et la fragilité des individus. Laparticipation citoyenne reste un défi.C’est un des enjeux des acteurs de laSociété Civile, mais aussi, desuniversitaires : apprendre à apprendrela critique comme nous le faisions dansles agoras ou dans les mouvementsd’éducation populaire. Une stimulationmilitante qui portera s’en doute un autrenom, pour éviter le désinvestissementcivique et politique.

Plusieurs projets sont en cours comme,à titre d'exemple, l'aménagement deClydebank.

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Les arts et la culture concourent audéveloppement des quartiers.Soutenant les communautés localesdans les changements qui s’opèrent,auprès des populations locales. Rendantplus attractive l’image du territoire pourceux qui souhaitent s'installer. Le citoyenest appelé à participer aux débats maisaussi à la co-création de cettetransformation.Les grands travaux d'infrastructurecomme : la construction du tramway àÉdimbourg reliera l'aéroport à laCapitale. L'aménagement des berges ducanal à Glasgow, la redynamisation ducœur de la ville qui restructure ses axesroutiers, participent au développementde cette mobilité et aura un impact surl’accueil des prochains jeux duCommonwealth de 2014.

Les déplacements d'hier etd'aujourd'hui.

Les transports en communappartiennent principalement au secteurprivé, avec des contrats avec legouvernement et l'état.La planification de l'aménagement duterritoire l'inclus dans sesdéveloppements et en fait une priorité,pour la mobilité. Ils vont de concert avecles dispositifs de la regeneration desquartiers et en sont un moteur. Toutcomme la culture.

L’histoire de la taxe. Au XVIIIe siècle,la Couronne recueillait des informationssur ses sujets à travers le prélèvementdes taxes qui concernaient alors lespropriétaires fonciers, les agriculteursdes zones rurales et les charretiers enville. Il s'agissait: d'horloge, des rouesde charrettes et des chevaux.L'assiette s'est élargie à d'autres formesde propriétés : celles des deux ouquatre roues.La ville semble avoir un rythmeséquencé, palpable. Dense à certaineheure de la journée, dans uneorganisation qui semble cadencée, àtravers une temporalité que l'on peut,parfois, percevoir, si l'on s'arrête. Celadonne le tempo à la circulation deshumains et des machines, auxtransports, à la vie sociale etprofessionnelle.

1. Le métro

de Glasgow date de 1896. Il possèdeune seule ligne qui fait le tour de la villeen contournant son centre.Ses rames sont rondes et épousent lesformes du tunnel difficile à creuser àcette époque.

Surnommé Clockwork Orange parcequ'il tourne en rond comme unehorloge. Ses wagons orange ont étéchangés en 1971 (l'histoire veut que cenom soit emprunté au film OrangeMécanique de la même année).

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Les arts et la culture concourent audéveloppement des quartiers.Soutenant les communautés localesdans les changements qui s’opèrent,auprès des populations locales. Rendantplus attractive l’image du territoire pourceux qui souhaitent s'installer. Le citoyenest appelé à participer aux débats maisaussi à la co-création de cettetransformation.Les grands travaux d'infrastructurecomme : la construction du tramway àÉdimbourg reliera l'aéroport à laCapitale. L'aménagement des berges ducanal à Glasgow, la redynamisation ducœur de la ville qui restructure ses axesroutiers, participent au développementde cette mobilité et aura un impact surl’accueil des prochains jeux duCommonwealth de 2014.

Les déplacements d'hier etd'aujourd'hui.

Les transports en communappartiennent principalement au secteurprivé, avec des contrats avec legouvernement et l'état.La planification de l'aménagement duterritoire l'inclus dans sesdéveloppements et en fait une priorité,pour la mobilité. Ils vont de concert avecles dispositifs de la regeneration desquartiers et en sont un moteur. Toutcomme la culture.

L’histoire de la taxe. Au XVIIIe siècle,la Couronne recueillait des informationssur ses sujets à travers le prélèvementdes taxes qui concernaient alors lespropriétaires fonciers, les agriculteursdes zones rurales et les charretiers enville. Il s'agissait: d'horloge, des rouesde charrettes et des chevaux.L'assiette s'est élargie à d'autres formesde propriétés : celles des deux ouquatre roues.La ville semble avoir un rythmeséquencé, palpable. Dense à certaineheure de la journée, dans uneorganisation qui semble cadencée, àtravers une temporalité que l'on peut,parfois, percevoir, si l'on s'arrête. Celadonne le tempo à la circulation deshumains et des machines, auxtransports, à la vie sociale etprofessionnelle.

1. Le métro

de Glasgow date de 1896. Il possèdeune seule ligne qui fait le tour de la villeen contournant son centre.Ses rames sont rondes et épousent lesformes du tunnel difficile à creuser àcette époque.

Surnommé Clockwork Orange parcequ'il tourne en rond comme unehorloge. Ses wagons orange ont étéchangés en 1971 (l'histoire veut que cenom soit emprunté au film OrangeMécanique de la même année).

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Les arts et la culture concourent audéveloppement des quartiers.Soutenant les communautés localesdans les changements qui s’opèrent,auprès des populations locales. Rendantplus attractive l’image du territoire pourceux qui souhaitent s'installer. Le citoyenest appelé à participer aux débats maisaussi à la co-création de cettetransformation.Les grands travaux d'infrastructurecomme : la construction du tramway àÉdimbourg reliera l'aéroport à laCapitale. L'aménagement des berges ducanal à Glasgow, la redynamisation ducœur de la ville qui restructure ses axesroutiers, participent au développementde cette mobilité et aura un impact surl’accueil des prochains jeux duCommonwealth de 2014.

Les déplacements d'hier etd'aujourd'hui.

Les transports en communappartiennent principalement au secteurprivé, avec des contrats avec legouvernement et l'état.La planification de l'aménagement duterritoire l'inclus dans sesdéveloppements et en fait une priorité,pour la mobilité. Ils vont de concert avecles dispositifs de la regeneration desquartiers et en sont un moteur. Toutcomme la culture.

L’histoire de la taxe. Au XVIIIe siècle,la Couronne recueillait des informationssur ses sujets à travers le prélèvementdes taxes qui concernaient alors lespropriétaires fonciers, les agriculteursdes zones rurales et les charretiers enville. Il s'agissait: d'horloge, des rouesde charrettes et des chevaux.L'assiette s'est élargie à d'autres formesde propriétés : celles des deux ouquatre roues.La ville semble avoir un rythmeséquencé, palpable. Dense à certaineheure de la journée, dans uneorganisation qui semble cadencée, àtravers une temporalité que l'on peut,parfois, percevoir, si l'on s'arrête. Celadonne le tempo à la circulation deshumains et des machines, auxtransports, à la vie sociale etprofessionnelle.

1. Le métro

de Glasgow date de 1896. Il possèdeune seule ligne qui fait le tour de la villeen contournant son centre.Ses rames sont rondes et épousent lesformes du tunnel difficile à creuser àcette époque.

Surnommé Clockwork Orange parcequ'il tourne en rond comme unehorloge. Ses wagons orange ont étéchangés en 1971 (l'histoire veut que cenom soit emprunté au film OrangeMécanique de la même année).

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Il dessert un total de 15 stations (8 aunord de la Clyde et 7 au sud).

2. Réseau routier

Plusieurs autoroutes traversent la ville :M8 et la M77 vers le Sud, la M73 et laM74 qui relie à Londres. La M80 lescoupent. Ces axes conduisent vers lereste de l'Ecosse et les villes principalestelles qu'Édimbourg, Aberdeen,Inverness.Elles forment une plate-forme régionaledes villes les plus importantes del'Ecosse avec des pôles universitairesrenommés, répartit par compétences.Cela constitue, pour le pays, unenouvelle vitalité grâce aux nombreuxétudiants étrangers qui viennent yétudier.

Des ponts enjambent ces routes pouraller d'un côté dans le Westend et del'autre au Sud de la ville.L'A82 conduit de Glasgow à Argyll etl'ouest des Highlands.Un flot constant de véhicule se déversesur Glasgow où à sa périphérie. Créantune forme de densité bruyante, mêmesi, de nombreux réseaux parallèlescontribuent à en diminuer les effets.Les espaces dédiés à d'autresrespirations sont les espacespiétonniers. Ils organisent ladéambulation vers les zonesmarchandes.

Kelvingrove Park, Queen's Park,Botanic Gardens, Pollok Parkconstituent les principales zones vertesde la ville et sont des lieux de détentespour les familles qui veulent s’éloignerdu stress.

Des manifestations culturelles sontfréquentes. Ces espaces jouent ainsi,une fonction de desserrements de laville.

Les bus. Un réseau de transports encommun confère à la ville, au momentd’affluence, à une forme de ballet entreles bus des différentes compagnies quidesservent la ville. Un interstice entredeux temps.

Le temps de la socialisation va prendrele relais, le métronome de l'organisationde la journée ne s'est pas encore arrêté.La cloche sonnera à 11h du soir.L’heure où chacun, à l’injonction deregagner sa famille, sa maison ou sonappartement.

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Il dessert un total de 15 stations (8 aunord de la Clyde et 7 au sud).

2. Réseau routier

Plusieurs autoroutes traversent la ville :M8 et la M77 vers le Sud, la M73 et laM74 qui relie à Londres. La M80 lescoupent. Ces axes conduisent vers lereste de l'Ecosse et les villes principalestelles qu'Édimbourg, Aberdeen,Inverness.Elles forment une plate-forme régionaledes villes les plus importantes del'Ecosse avec des pôles universitairesrenommés, répartit par compétences.Cela constitue, pour le pays, unenouvelle vitalité grâce aux nombreuxétudiants étrangers qui viennent yétudier.

Des ponts enjambent ces routes pouraller d'un côté dans le Westend et del'autre au Sud de la ville.L'A82 conduit de Glasgow à Argyll etl'ouest des Highlands.Un flot constant de véhicule se déversesur Glasgow où à sa périphérie. Créantune forme de densité bruyante, mêmesi, de nombreux réseaux parallèlescontribuent à en diminuer les effets.Les espaces dédiés à d'autresrespirations sont les espacespiétonniers. Ils organisent ladéambulation vers les zonesmarchandes.

Kelvingrove Park, Queen's Park,Botanic Gardens, Pollok Parkconstituent les principales zones vertesde la ville et sont des lieux de détentespour les familles qui veulent s’éloignerdu stress.

Des manifestations culturelles sontfréquentes. Ces espaces jouent ainsi,une fonction de desserrements de laville.

Les bus. Un réseau de transports encommun confère à la ville, au momentd’affluence, à une forme de ballet entreles bus des différentes compagnies quidesservent la ville. Un interstice entredeux temps.

Le temps de la socialisation va prendrele relais, le métronome de l'organisationde la journée ne s'est pas encore arrêté.La cloche sonnera à 11h du soir.L’heure où chacun, à l’injonction deregagner sa famille, sa maison ou sonappartement.

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Il dessert un total de 15 stations (8 aunord de la Clyde et 7 au sud).

2. Réseau routier

Plusieurs autoroutes traversent la ville :M8 et la M77 vers le Sud, la M73 et laM74 qui relie à Londres. La M80 lescoupent. Ces axes conduisent vers lereste de l'Ecosse et les villes principalestelles qu'Édimbourg, Aberdeen,Inverness.Elles forment une plate-forme régionaledes villes les plus importantes del'Ecosse avec des pôles universitairesrenommés, répartit par compétences.Cela constitue, pour le pays, unenouvelle vitalité grâce aux nombreuxétudiants étrangers qui viennent yétudier.

Des ponts enjambent ces routes pouraller d'un côté dans le Westend et del'autre au Sud de la ville.L'A82 conduit de Glasgow à Argyll etl'ouest des Highlands.Un flot constant de véhicule se déversesur Glasgow où à sa périphérie. Créantune forme de densité bruyante, mêmesi, de nombreux réseaux parallèlescontribuent à en diminuer les effets.Les espaces dédiés à d'autresrespirations sont les espacespiétonniers. Ils organisent ladéambulation vers les zonesmarchandes.

Kelvingrove Park, Queen's Park,Botanic Gardens, Pollok Parkconstituent les principales zones vertesde la ville et sont des lieux de détentespour les familles qui veulent s’éloignerdu stress.

Des manifestations culturelles sontfréquentes. Ces espaces jouent ainsi,une fonction de desserrements de laville.

Les bus. Un réseau de transports encommun confère à la ville, au momentd’affluence, à une forme de ballet entreles bus des différentes compagnies quidesservent la ville. Un interstice entredeux temps.

Le temps de la socialisation va prendrele relais, le métronome de l'organisationde la journée ne s'est pas encore arrêté.La cloche sonnera à 11h du soir.L’heure où chacun, à l’injonction deregagner sa famille, sa maison ou sonappartement.

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Buchanan Station dessert les lignesextérieures à Glasgow avec troisprincipales compagnies, tandis que leréseau local est distribué par septcompagnies.

Le nombre de passager par journéereste stable voire même est enprogression en taux de fréquentation.C'est le moyen de déplacement le plusfréquenté avec les trains.

4. Réseau ferroviaire

La ville possède deux gares. GlasgowCentral qui dessert le Sud de l'Ecosse etl'Angleterre et Queens Street Station quidessert le Nord et l'Est du pays.

Le réseau ferroviaire urbain de la ville etsa région compte 13 lignes et 191 gares.Il améliore ses infrastructures pourrépondre aux besoins locaux etrégionaux. Aujourd’hui, c’est le cas deCentral Station.

5. Transports aériens

L’aéroport de Glasgow, situé à unedizaine de kilomètres à l'ouest ducentre-ville, à Paisley, est le deuxièmeaéroport d'Écosse après celuid'Édimbourg, et le huitième duRoyaume-Uni.

Glasgow Prestwick est, quant à lui, situéà une quarantaine de kilomètres au sud-ouest du centre-ville, quatrièmeaéroport d'Écosse, il y développe desvols low-cost.

6. Le port

Aujourd'hui, il entretien les liens avecles ferries, vers l'Irlande ou les Iles.

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Buchanan Station dessert les lignesextérieures à Glasgow avec troisprincipales compagnies, tandis que leréseau local est distribué par septcompagnies.

Le nombre de passager par journéereste stable voire même est enprogression en taux de fréquentation.C'est le moyen de déplacement le plusfréquenté avec les trains.

4. Réseau ferroviaire

La ville possède deux gares. GlasgowCentral qui dessert le Sud de l'Ecosse etl'Angleterre et Queens Street Station quidessert le Nord et l'Est du pays.

Le réseau ferroviaire urbain de la ville etsa région compte 13 lignes et 191 gares.Il améliore ses infrastructures pourrépondre aux besoins locaux etrégionaux. Aujourd’hui, c’est le cas deCentral Station.

5. Transports aériens

L’aéroport de Glasgow, situé à unedizaine de kilomètres à l'ouest ducentre-ville, à Paisley, est le deuxièmeaéroport d'Écosse après celuid'Édimbourg, et le huitième duRoyaume-Uni.

Glasgow Prestwick est, quant à lui, situéà une quarantaine de kilomètres au sud-ouest du centre-ville, quatrièmeaéroport d'Écosse, il y développe desvols low-cost.

6. Le port

Aujourd'hui, il entretien les liens avecles ferries, vers l'Irlande ou les Iles.

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Buchanan Station dessert les lignesextérieures à Glasgow avec troisprincipales compagnies, tandis que leréseau local est distribué par septcompagnies.

Le nombre de passager par journéereste stable voire même est enprogression en taux de fréquentation.C'est le moyen de déplacement le plusfréquenté avec les trains.

4. Réseau ferroviaire

La ville possède deux gares. GlasgowCentral qui dessert le Sud de l'Ecosse etl'Angleterre et Queens Street Station quidessert le Nord et l'Est du pays.

Le réseau ferroviaire urbain de la ville etsa région compte 13 lignes et 191 gares.Il améliore ses infrastructures pourrépondre aux besoins locaux etrégionaux. Aujourd’hui, c’est le cas deCentral Station.

5. Transports aériens

L’aéroport de Glasgow, situé à unedizaine de kilomètres à l'ouest ducentre-ville, à Paisley, est le deuxièmeaéroport d'Écosse après celuid'Édimbourg, et le huitième duRoyaume-Uni.

Glasgow Prestwick est, quant à lui, situéà une quarantaine de kilomètres au sud-ouest du centre-ville, quatrièmeaéroport d'Écosse, il y développe desvols low-cost.

6. Le port

Aujourd'hui, il entretien les liens avecles ferries, vers l'Irlande ou les Iles.

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Conclusion temporaire….

L’Art et la mobilité sont de plus en plusconjoint tant l’importance d’uneéducation sensible dans l’expériencepratique des artistes, des étudiants, desenseignants, des personnels techniquesde l’éducation et de la formation, destravailleurs, participent à la créativité et àl’innovation3.

En effet, c’est le lieu ou peut se créerréflexions philosophiques, politiques,sociales et esthétiques dans laconfrontation de nos altérités.

C’est un espace privilégié ou seconfronte, dans l’interaction, des valeursqui sous-tendent notre identité et latransforme.

L’éducation à la culture est le vecteurd’une vision systémique. C’est unnouveau paradigme pour les générationsfutures.

L’apprentissage de l’altérité, tout au longde la vie, étaye ce chemin est enconstitue sa trace, son sillon.

Cette démarche, volontaire, pours’approprier d’autres codes, d’autressignes culturels, ne va pas de soit. Toutle corps est engagé. Le déplacement duregard joue sa partition dans la créationd’une écologie humaine, qui s’écrit dansla durée.Elle secoue et évite l’immobilismesociétal en refondant le questionnementque l’œuvre, en retour, peut produire.Ces codes deviennent, au fil du temps,des signifiants, indicateurs d’espacesgéographiques en mutations.

En Ecosse comme en France, lesquestions sur l’éducation à la culture età la mobilité font l’objet d’enjeux pournos sociétés qui semblent de plus enplus cruciaux.

Il est important que le bien-être deshabitants se voit de façon concrète etque cela ne soit pas uniquement lemiroir des productions desinvestisseurs, sous le plafond de verrede la CCTV.

Le développement durable pour qu’ilsoit soutenable, implique unchangement profond dans lescomportements qui transcendent leslobbyings. C’est toute l’œuvre que lanature, à revisiter, nous offre à produire.

3 Ii Network transport.pdf

Ressources documentaires :

Page 11: Politique de la Ville en France, Regeneration en Ecosse...Aboutit »1. Les déclics sur les enjeux écologiques et urbains ont du mal à trouver leurs chemins, ignorant l’histoire

Christine COURTY – IDEA’NIM Association © - Décembre 2012 Page 11

http://fr.wikipedia.org/wiki/Glasgow#Voies_de_communication_et_transportshttp://www.scotlandsplaces.gov.uk/search_item/index.php?service=RCAHMS&id=107118&image_id=SC549331http://www.clydeport.co.uk/sites/glasgow_harbour/specials/map.php?filename=http://www.clydeport.co.uk/cms_uploaded/GH_maps_central.jpg&filename2=http://www.clydeport.co.uk/cms_uploaded/GH_maps_centralp.jpeghttp://www.clydewaterfront.com/visiting-the-waterfront/our-proud-industrial-pasthttp://www.glasgowharbour.com/http://urbanglasgow.co.uk/archive/glasgow-s-miles-better-25__o_t__t_844.htm

Les photos des transports ont été prises en Août 2012, à partir d'une fresque murale dans le Westendde Glasgow, retraçant la vie des transports de la Ville. Note de l'auteur C.COURTY

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