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MAXIME DRATLER PORTE- -FOLIO 2012

Portefolio 2012

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Maxime Dratler

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MAXIMEDRATLER

PORTE--FOLIO

2012

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SMALL

MEDIUM

LARGE

AUTRES

Archi<20Hôtel XS

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Le Périscope (PFE)Pauline

La WantzenauEurocampus

Chemin de gravitationPhotographie

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SSMALL

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SARCHI<20

1000 PATTESNotre projet se pose la question première de la fonction d’une construction dans ce Ried alsa-cien. Que doit-elle proposer ? Que viendrions-nous y faire ? Combien de temps y rester ? No-tre réponse sera à la fois simple et complexe. Simple, puisque notre projet s’évertue à y voir le moyen d’offrir à un maximum de person-nes la possibilité de jouir de ce paysage. Com-plexe, puisque désirant satisfaire le plus grand nombre d’utilisateurs, le projet se doit de réflé-chir sur les questions multiples des usages, des fonctions, des besoins, des moyens...

Promeneurs du dimanche souhaitant pique-niquer; cyclo-randonneurs cherchant un en-droit où bivouaquer;

photographe passionné d’oiseaux; jeunes se retrouvant pour une soirée et discuter autours d’un feu ou encore trio de jazz proposant un mini-concert acoustique sont autant de profils d’utilisateurs et d’utilisations que notre projet s’attend à combler...

Cet objectif de polyvalence peut sembler diffi-cilement imaginable avec un projet ne dépas-sant pas 20m2. Au contraire, cette contrainte dimensionnelle nous apparaît comme un atout, comme un véritable challenge que seule une idée radicale de la notion d’habitat permet de tirer profit. Notre projet fait donc le choix d’of-frir la totalité de ces 20m2. Pas de cloisons, pas de murs.

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mangerà deux

boire un coup,faire un feu

farnienter secanaper

se reposer,dormir

...sans compter l’imagination des utilisateurs

manger àsix

ranger monter

seprotéger

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Shôtel à Strasbourg

HÔTEL XSCe projet travaille sur la densité ainsi que sur l’utilisation maximale d’une parcelle de 52m2. Le site définit içi l’usage. Situé en plein centre historique de Strasbourg - La Petite France -, l’hôtel va tenter de donner vie à cette parcelle oubliée. Pour ce faire, j’ai décidé de reprendre et de jouer avec le langage de l’hôtel capsule japonais.

Le projet joue avec la structure porteuse pour profiter de différents niveaux de hauteurs et définir ainsi différents usages. Les capsule se posent la question de la surface minimale.

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MEDIUM M

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MDiplôme

Miroir de la musique en train de se faire

LE PERISCOPE

Notre projet a pour base une réflexion sur la place que doit s’accorder la musique dans la ville. Les lieux musicaux sont généralement excentrés des centres-villes car perçus comme une source de nuisance. Il nous semble essen-tiel de rapprocher les citoyens vers cet art.

À cette première réflexion s’ajoute également le sentiment que la musique, aujourd’hui, n’est plus entendue à sa juste valeur. La multi-dif-fusion, la reproductibilité, la quasi gratuité ou encore la dématérialisation sont autant de facteurs qui tendent à déprofessionnaliser le monde de la musique, perdant petit à petit sa crédibilité. S’il faut rapprocher les citoyens, il faut néanmoins les faire découvrir une des facettes les plus magiques de la musique, celle de la musique en train de se faire...

Défini sous le terme général de résidence pour 28 musiciens, notre projet est double. Il est d’abord un complexe professionnel dédié à la musique rock / électronique, associé à des lo-gements temporaires. Cette partie du program-me se devra de favoriser la création musicale ainsi que son enregistrement. Tout comme il devra permettre de réunir et de faire se côtoyer différents musiciens. En liant espaces de tra-vail musical et espaces de vie, la résidence offrira aux musiciens l’opportunité de se déta-cher du monde extérieur. A l’image du Yellow Submarine des Beatles, tout sera mis en avant pour vivre 100% musique.

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La deuxième partie du projet consiste en un espace public qui tente de promouvoir une nouvelle forme d’écoute de la musique dans laquelle la phase créative et de recherche se-rait dévoilée et magnifiée. Notre ciné-studio en sera ainsi la quintessence. Pas vraiment une salle de concert, pas vraiment un cinéma, pas plus qu’un studio, cet espace mettra en relation le public avec un groupe en train de compo-ser.

La phase créative est un moment intime où l’artiste se cherche et balbutie. Cest un mo-ment en équilibre instable, en proie à l’échec. Dans la mesure où notre ciné-studio trouve justement cet équilibre magnifique, comment arriver à ne pas le briser ?

De ce fait, l’écran du ciné-studio est remplacé par un miroir incliné à 45°. Dans cet espace sombre et intime, le public entendra et verra la projection de musiciens situés en contre-bas. Cet artifice nous paraît essentiel pour conserver l’intimité nécessaire aux musiciens pour s’abandonner à leur création. En outre, la musique sera vue en plan. Le miroir permettra de mieux dévoiler l’aspect technique - instru-ments, câbles..., mais surtout de dévoiler l’as-pect humain - symbiose, erreur, joie et tension qui fait toute la vie d’un groupe et de sa mu-sique...

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La place du Schluthfeld,actuellement un parking

Identifier visuellement le PériscopeLaisser le tram filer

Incliner le planCréer un dessus & un dessous

Système d’entréeParcours musical

Evider pour amener la lumière

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Que l’on soit un soliste armé de son ordina-teur, un duo synthé / batterie ou encore un groupe de huit musiciens, les studios doivent être flexibles. Cette pluralité d’usages doit également se retrouver dans les logements où l’on doit pouvoir vivre seul dans une commu-nauté. Avoir son espace personnel et partagé des moments conviviaux avec son groupe ou d’autres personnes ne trouveront pas nécessai-rement leur réponses dans des formes de loge-ments classiques.

Le projet redéfinit l’architecture des studios souvent représentés par des caves sans fe-nêtre ni lumière extérieure. Ainsi, comment concevoir des espaces isolés phonétiquement mais ouvert visuellement ? Qu’est ce que fa-ciliter la phase créative de la musique ? Notre architecture s’efface pour laisser place à une appropriation des lieux par les musiciens. Se positionner dans un lieu et s’y sentir bien est peut-être la première clé qui permettent à l’es-prit de s’évader pour pouvoir composer.

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Le studio est un plateau totalement libre afin d’offrir la plus grande adaptabilité et modu-larité. C’est un espace blanc, pour refléter au mieux la lumière sur le miroir et mettre en contrastes les instruments et les musiciens. La sonorisation est mobile. Chaque groupe/musi-cien gère la sonorisation ainsi que la lumière comme il l’entend en fonction de ses besoins et de ses humeurs.

A l’image d’une salle de cinéma, la salle d’écoute est plongée dans la pénombre. En plus de favoriser une ambiance facilitant le plaisir de l’écoute, cette pénombre permet aux musiciens de ne pas voir le public afin d’en oublier sa présence, le miroir ne reflète que dans un sens, du studio vers le public.

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MPôle d’art & piscine à Strasbourg

PAULINE

Notre projet part du constat qu’il existe aujourd’hui deux grands concepts de musée d’art contemporain. Le premier prend pour principe que l’exposition d’oeuvres d’art né-cessite l’atmosphère la plus en retrait possible. Cela s’accompagne d’une modularité entière de l’édifice, citons par exemple le Centre Pom-pidou de Renzo Piano & Richard Rogers, qui se résume à des plateaux pouvant s’organiser en fonction des oeuvres. L’architecture peut également se voir comme un espace totalement neutre s’effaçant le plus possible au profit des oeuvres qu’elle expose. Nous citons par exem-ple le Musée d’Art contemporain de New-York de SANAA où enveloppe et espaces intérieurs sont totalement blancs, s’effacent et sont prêts à accueillir n’importe quel types d’oeuvres.

Le deuxième concept prône l’idée que le bâ-timent est une oeuvre en lui-même et qu’ oeuvres d’art et espaces sont indissociables. L’architecture joue et parfois même contraint les oeuvres qu’elle exposent. Nous prenons ici pour exemple la Fondation Burda de Richard Meyer à Baden-Baden, dans lequel la lumière apparaît ici comme une oeuvre en soi modi-fiant la perceptions des expositions.

Ces deux façons d’envisager l’architecture des musées d’art contemporain s’appuie sur l’idée que l’art circule dans un système mondial. Une même oeuvre doit être accueillie par différents musées de part le monde. D’autre part, avec le développement des arts numériques, il est pos-sible depuis chez soi d’assister à l’exposition/déroulement d’une oeuvre d’art. Ainsi, l’art tend à ne plus avoir de lieux propres.

Notre projet s’inscrit dans une démarche dif-férente. Nous voyons le Pol’Art lui-même, comme un sujet de réflexion pour la création artistique.

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Chaque oeuvre sera créée dans et pour un lieu et exposée par celui-ci comme si l’un était in-dissociable de l’autre. La question de l’identité de l’oeuvre est donc fondamentale dans notre démarche, puisque oeuvre, bâtiment et site ne forment plus qu’un. Présents sur le site, les Compagnons du devoir, que nous voyons à la fois comme artistes et artisans nous semblent un bon moyen pour marquer cette identité. Cela se traduit dès la phase d’urbanisme par la volonté de lier Pol’art et Compagnons.

Nous voyons à travers le Pol’art, un lieu d’ex-position mais surtout un lieu de création artis-tique, celle en train de se faire, celle en train de devenir.

Le processus créatif et le laps de temps que représente la phase de conception constituent pour nous une oeuvre en soi.En ce sens, l’architecture du Pol’art doit être faite pour la mettre en scène.

Nous avons défini trois cibles d’individus pou-vant être en rapport avec le bâtiment. La pre-mière est l’artiste de métier voulant s’exposer. La seconde, est le visiteur curieux. Et la troi-sième est Mr Tout-le-monde souhaitant, pour une création quelconque, disposer d’un espace approprié. Ainsi, plus qu’un musée, le Pol’art est l’opportunité de proposer à tout un chacun l’accès à la création artistique. Véritable lieu ouvert sur la ville et ses habitants.

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LARGE L

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LUne porte pour une

communauté urbaine

LA WANTZENAU

Chaque commune de la CUS a ses propres qualités. Un pas vers une urbanisation poly-centrique permettrait de mettre en commun ces atouts, et d’assumer leur rôle dans la CUS. Répartir les activités et communiquer sur ces atouts permet de prendre conscience du terri-toire et de son identité géographique et cultu-relle. Une manière de se représenter une porte est de la voir comme un point dans un vide, une borne, un repère. En ce sens nous avons choisis d’appliquer cette idée à la Wantzenau, perçue comme le seul repère d’une urbanisa-tion proche.

L’entrée dans une ville est le plus souvent ac-compagnée par des zones périphériques. Leur densité augmente progressivement jusqu’au centre. Cet urbanisme laisse peu de respiration dans la séquence. L’axe «Wantzenau - Stras-bourg» bénéficie d’une situation différente. L’entrée dans la CUS est plus rurale. La suite de villages marque l’arrivée à Strasbourg. Le détachement urbain permet la présence de la forêt périurbaine ainsi que de grandes surfaces agricoles. L’offre en espaces verts publics y est diversifiée : Forets, promenades le long de leau, gravières et étangs de pêche, terrains de sports.

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De l’autre coté...

Lors de notre premier contact avec La Want-zenau nous avons perçu le paysage comme la qualité essentielle du site. Les champs, la forêt, l’eau le structurent. Le village est en relation étroite avec ces composantes, se developpant en lisière de forêt, au bord de l’eau et entre les champs. D’autre part, son aspect compact et unitaire lui donne une certaine image d’indé-pendance.

Notre projet s’inscrit dans une volonté de se tourner vers les qualités du site plutôt que de vouloir s’accrocher à des électrons libres que représentent le quartier du Golf et la zone in-dustrielle. Notre choix est conforté par le fait que de nombreuses barrières entravent ce dé-veloppemet (axe routier très fréquenté et voie ferrée). En se plaçant en retrait notre proposi-tion utilise les terres agricoles comme filtre en-tre l’habitat et l’espace dédié à la circulation.

Nous créons donc un axe transversal. Cette transversalité va à l’encontre des schémas de développement urbains linéaires. Elle mini-mise l’impact de notre réponse dans la séquen-ce d’entrée dans la CUS. Toutefois le rôle de porte est assuré par un équipement phare (gare multimodale).

La prolongation du tramway venant de la Ro-bertsau est la moelle épinière de notre axe transversal. Il se fractionne en trois zone de typologie et d’importance différentes.La première est la plus proche de l’axe routier majeur. Elle permet d’assurer une présence visuelle et d’acueillir des équipements d’in-fluence pour CUS. Les deux autres zones sont composées d’équipements correspondant aux besoin des deux communes environnantes. Aux bords de l’Ill, un écoquartier est projetté donnant des logements de qualité à proximité de la nature environnante...

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gare multimodale

hôtel

parking relai

salle de spectacle

centre commercial

centre sportif

crèche

ateliers d’artistes

place de marché

logement individuel

éco-quartier

cinéma

Centre de La Wantzenau

Le Woerthel

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LUn campus universitairebi-national à Strasbourg

EUROCAMPUS

L’Eurocampus tente de réfléchir sur l’iden-tité qui ressort de l’Eurodistrict Strasbourg/Ortenau. Le travail entre dans une logique globale & rhénane à travers laquelle chaque eurodistrict serait connecté, lié les uns avec les autres.

L’Eurocampus tente de voir à travers le Rhin un territoire tourné vers l’enseignement. Dès lors, une cohérence et un échange se créé en-treBasel (pôle scientifique), Freibourg (pôle sciences humaines) et Karlsruhe (pôle scien-tifique). L’Eurocampus assure la diversité de l’enseignement en promulgant des études orientées politique, droit & histoire. Ce choix entre dans une logique de mettre à profit les institutions européennes, ainsi que le sym-bole que répresente la ville de Strasbourg pour un campus bi-national.

Le projet réfléchi sur les moyens à disposition pour connecter les points universitaires pré-sents et pour mailler le territoire. Il en découle un travail sur le réseau routier & ferroviaire mais aussi avec sur le développement d’un tram/train.

Le site de l’Eurocampus, se projette sur l’ile du port du Rhin, symbole d’une symbiose France/Allemagne. Il tente de dialoguer avec les infrastructures existantes. Est-il possible de concilier quartier urbain avec zone portuaire ? L’Eurocampus mise sur la mixité, la diversité, la perméabilité afin de redonner à Strasbourg un site actuellement oublier. L’Eurcocampus est en lien avec la ville (frange verte, vues, accès), et en même temps en lien avec le ter-ritoire (gare multimodale, tram...) C’est avant tout le projet d’un réel quartier urbain, une réappropriation de l’eau.

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AUTRES A

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ASculpture in-situ

CHEMIN DE GRAVITATION

Ce travail est situé à Fanano (Italie). Ce pe-tit village, perdu dans les montagnes, offre à voir de nombreuses sculptures dispatchées. Le long du parcours, certainnes sont néanmoins peu misent en valeurs...

A l’origine, la scultupre est composée de deux grosses pierres qui reposent sur une pente d’herbe.

D’où viennent-elles ? Quel a été leur impact sur l’environnement ?

En réutilisant la typologie du pavage vernacu-laire, notre nouveau socle permet aux visiteurs de graviter autours de la sculpture and d’en supposer son histoire.

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APHOTOGRAPHY

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APHOTOGRAPHY

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