Press Club Mag #49

MagAVRIL - JUIN 2013TRIMESTRIEL

N°49

Devant la multiplication des sources d’information celui-ci a-t-il toujours sa raison d’être ? Le Press Club et IPC lancent le débat avec

Anne-Claire Coudray, Florence Duprat et Jean-Claude Bourret.

FAUT-IL ENCORE UN JT ? Eléments de réponse avec Anne-Claire Coudray TF1 / LCI

INTERVIEWMÉMONA HINTERMANN

MEMBRE DU CSA« A mes débuts, la télévision

était un média de saltimbanques »

DÉBATQUELLE IMAGE POUR

QUEL DRH ?Edgard Added,

Président fondateur du Cercle de l’Excellence RH

FORMATIONLES RELATIONS

PRESSE 2.0Quand les relations

presse se digitalisent

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SOMMAIRE

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RÉGIE PUBLICITAIRE : SEEPP SA - Régis LAURENT - 7 rue du Général Clergerie - 75116 PARIS - Tél : 01 47 27 50 05 - Fax : 01 47 27 53 06Mail : [email protected] - Conception graphique et mise en page : Mandy Vuvan - Crédit photo couverture d’Anne-Claire Coudray : TF1

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Imprimé en France. Tous les visuels illustrant la revue sont fournis par la rédaction sous sa responsabilité

19 rue du Commandant Mouchotte 75014 Paris – Tél. : +33 (0) 1 44 36 44 04 – Fax : +33 (0) 1 44 36 44 01Site internet : www.pressclub.fr - Directeur de la publication : Olivier GalziRédactrice en chef : Isabelle Bourdet

LA VIE DU CLUB

L’ÉDITO

Par Annie LEMOINEHuffington Post, membre du Conseil d’Administration du Press Club ..............................................................................................................................................p.5

Débats, News, Annuaire... www.pressclub.frInfo +

La soirée des voeux du Press Club ...............................................p.6Quand le Press Club fait l’actualité ................................................p.8

BUZZ MÉDIA

2012 : Une année meurtrière pour les journalistes .........................................................................................................................p.12Anticiper et déminer les situations grâce aux signaux faibles .........................................................................................................................p.13Prix Bayeux Calvados des Correspondants de Guerre 2013..................................................................................................................................................................p.13

LES FORMATIONS

Les Relations Presse 2.0 .......................................p.19

› Faut-il encore un JT ? ..................................................................................p.10› Quel Medef pour demain : Le big bang patronal .....................................................................................p.10› Image et rayonnement du DRH : Quelle image pour quel DRH ? .........................................................................................................p.11› La deuxième vie de RMC : L’histoire d’une entreprise de média ........................................................................................p.11

BUZZ BUSINESS

Arianespace à le vent en poupe....................................................................................................... p.17

L’Excellence Française à son livre d’or .......................................................................................... p.17

LES DÉBATSInterview de Mémona Hintermann .....................................................p.14

Le Forum International de la Météo et du Climat fête ses 10 ans..........................................................................................................................p.16Franck LANOUX

Jean-Yves Le Gall

Avec un réseau de 21 clubs* ouverts 7j/7 de 07h à 23hClub Med Gym multiplie les bonnes raison de faire du sport

8 piscines, plus de 50 activités,

studios de cycling,

hammams et saunas, 2 Spas.

Renseignements auprès d’Isabelle Bourdet / PRESS CLUB01 44 36 44 03 - [email protected]

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PRESS CLUB DE FRANCE

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individuels en location annuelle...

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de la carte «CLUB»

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* 21 clubs au 01/01/2013

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ÉDITORIAL

En 2012, la carte de presse a été attribuée à 16933 femmes (et moi, et moi, pardonnez-moi l’intrusion mais à sa réception, je suis toujours aussi fière et heureuse) et à 20079 hommes. Rapport : 46 % contre 54%. Beaucoup mieux qu’à

l’Assemblée, c’est vrai. Oui MAIS. Là où il y a de quoi s’étrangler c’est sur les 567 cartes délivrées à des directeurs. 17 % seulement l’ont été à des femmes, chiffre en léger recul d’ailleurs.

Il n’y a aucune raison pour que du sol au plafond de la maison Presse, il n’y ait pas à tous les étages autant d’hommes que de femmes ! Alors, on fait comment ?

Et à la télé ? Si c’était pour maintenant tout de suite la parité dans la vitrine ? Autant d’expertes que d’experts sur les plateaux.

Allez, allez, un petit effort, nous le valons bien.

Je pense aux toutes jeunes femmes qui regardent la télévision. Même d’un œil, même en twittant. Ne leur donnons pas cette image ringarde de la société et au passage, essayons de leur faire croire que la télé est toujours dans le coup.

« Sur les 567 cartes délivrées à des directeurs, 17%

seulement l’ont été à des femmes, chiffre en

léger recul »

Par Annie LEMOINE, Huffington Post, membre du Conseil d’Administration du Press Club

URGENCE !

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LA VIE DU CLUB | ÉVÉNEMENT

La traditionnelle soirée des vœux du Press Club, à laquelle près de 150 d’entre vous nous ont fait l’amitié d’assister, nous a donné l’occasion de découvrir la couleur musicale de la radio Crooner qui, grâce à Jean-Baptiste Tuzet son créateur, nous a proposé tout au long de la soirée des « happenings » sympathiques.

LA SOIRÉE DES VOEUX DU PRESS CLUB

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01 | Denys Sappey - Pullman France et Olivier Galzi - I>Télé, Président du Press Club02 | Olivier Galzi - I>Télé et Karine Fauvet - LCI03 | Jean-Philippe Lustyk - Eurosport, Patrick Roger - Europe 1, Eric Angioletti, Yolaine de La Bigne - Europe 1, Néoplanète et Olivier Galzi04 | Ariane Warlin et Hubert Gallais - Mediameeting05 | Jean-Jacques Cros - France 3 et Patricia Cabot - Sales Partner06 | Isabelle Bourdet - Directrice du Press Club et Jean Miot - Valeurs Actuelles07 | Valérie Appert - Association des Journalistes Tourisme et Denys Sappey - Pullman France08 | Didier Adès - Owni.fr et Karine Berthier - Clubdd.fr09 | Caroline Pigozzi - Paris Match, Philippe Chauveau - Editions PC et Paul Lefèvre - W9, Planète Justice10 | Véronique Bonnet - Vera Verba et le dessinateur Rhodo11 | Un vigneron de Sauternes Barsac, Yolaine de La Bigne et Gérard Leclerc - La Chaîne Parlementaire 12 | Sylvère Cissé - Canal +, Georges Vincendet - Canal + et un vigneron de Sauternes Barsac13 | Jean-Baptiste Tuzet - Crooner, Olivier Galzi et Eric Giacometti14 | Anita Hausser - La Chaine Parlementaire, Jean Miot, Paul Lefèvre et Guy Lezec - France Télévisions15 | Dominique de Montvalon et un vigneron de Sauternes Barsac16 | Olivier Beaunay et Isabelle de Battisti - Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris17 | Eric Angioletti, ex-directeur des contenus programmes d’Europe 1, Antoine de Tournemire - VSD et Romain Desarbres - RMC Découverte18 | Caroline Mercier - Clair de Terre et Caroline Bruel - Club Méditerranée19 | Gérard Bernard et Christian Brincourt - Paris Match20 | Paul Lefèvre - W9, Planète Justice et Lisa Bartolucci - Groupe Le Figaro21 | Isabelle Bourdet et André Bercoff

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A l’occasion des vœux, les vignerons de Sauternes et Barsac nous ont fait découvrir quelques savoureux nectars des Château Rabaud-Promis, Château La Bouade et Delpeyrat ses spécialités.


QUAND LE PRESS CLUB FAIT L’ACTUALITÉ

Le Press Club a fait le buzz avec la conférence de presse des grandes loges maçonniques, le débat avec Pierre Kosciusko-Morizet et celui sur la crise de la presse.

Mag8

TROIS GRANDS MAÎTRES AU PRESS CLUB

A l’heure où les francs-maçons se trouvent placés sous les feux médiatiques, Marc Henry, Grand Maître de la Grande loge

de France, Jean Dubar, Grand Maître de la Grande Loge Symbolique et traditionnelle Opéra et Robert Guinot, Président du Conseil de la Loge nationale française, ont fait le point sur la franc-maçonnerie en France et en Europe au cours d’une conférence de presse qui s’est tenue au Club. Marc Henry a annoncé la tenue, le 6 avril au Palais Brongniart, d’un grand colloque public «L’Europe ! Et demain ? » sous la présidence et en présence du ministre Bernard Cazeneuve, avec des interventions de personnalités non-maçonnes ou maçonnes telles que le Vice-président du Parlement européen Miguel Angel Martinez, Elie Barnavi, Jean-Marie Cavada, Bernard Guetta, Elisabeth Morin-Chartier, Antoine Sfeir

PIERRE KOSCIUSKO-MORIZET : LE PRÉSIDENT DU NET ?

Pierre Kosciuko-Morizet, créateur de Priceminister a été l’invité du Club dans le cadre des nouvelles rencontres « Affaires numériques » animées par Christophe Bys de l’Usine Nouvelle. L’occasion pour lui de rappeler que

Priceminister « se place dans le top 3 des sites de e-commerce, avec une marge de 50 millions d’euros et une équipe de 250 personnes ». Une réussite qu’il estime devoir à un bon concept et à une diversification des produits. « Quand on est e-commerçant, a-t-il dit, il faut être généraliste ou multi-spécialiste. Avoir une offre large, cela permet de ne pas envoyer les clients à la concurrence ». Il a réagi également à la nouvelle fiscalité des entreprises et aux exils fiscaux. « Je pense qu’il y a une très mauvaise compréhension de l’entreprenariat et de l’entreprise en général à gauche comme à droite » a-t-il dit. « Beaucoup d’hommes politiques ne comprennent rien à l’entreprise. Il y a un dogme qui consiste à aligner le capital sur le travail. On mélange un retraité qui achète des actions du cac 40 avec un entrepreneur qui va bosser jour et nuit, embaucher et injecter le peu de chiffre d’affaires qu’il fait dans l’économie. Mais les entrepreneurs qui partent monter leur boite à l’étranger ont tort. Moi je ne le ferai pas ! ». Autre sujet, le blocage par free de la publicité. « Je désapprouve la méthode, a-t-il dit, parce que je suis très pro neutralité du net. Ce que dit Free c’est, on investit beaucoup dans les réseaux donc on veut une juste rétribution de la publicité. Xavier Niel a fait à sa manière mais je pense que c’est au gouvernement de prendre en main ce sujet ». A la question de la sécurisation des paiements en ligne, il a répondu qu’« on oublie de dire que dans 99.9% des cas ce ne sont pas des fraudes qui proviennent d’Internet. On vous vole votre numéro de carte sur un call center, au restaurant et avec on achète sur Internet. Ce n’est pas payer en ligne qui est risqué, le risque est d’avoir une Carte Bleue ! »

› LA CONFÉRENCE › LE DÉBAT

Jean-François Buherre - GLIF, Jean Dubar - GLTSO, Marc Henry - GLDF et Alain Juillet - GLANF

Christophe Bys et Pierre Kosciusko-Morizet

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Les médias sont des partenaires incon-tournables pour les professionnels de la communication. Une presse forte

fait partie du contrat de confiance que les communicants s’efforcent de nouer avec leurs publics. Or, la presse connaît aujourd’hui une révolution en profondeur qui invite cette profession à se réinventer. Nous avons demandé à nos intervenants quel était l’impact de cette crise de la presse pour les communicants ?

Marie-Laure Hustache, qui avant d’être directrice de communication a été journaliste, a souligné « qu’il y a aujourd’hui un lien et une porosité entre les métiers car le journa-lisme a fait école ». S’il y a une crise de la presse il y a également une transformation de celle-ci. « Un journalisme du XXIème siècle est en train de naître et un autre disparaît, il faut en tenir compte même si cela déclenche des réactions » a-t-elle dit. Comme celle de la revue XXI qui a lancé un manifeste pour un nouveau journalisme en critiquant vivement les journaux sur Internet.Eric Giacometti est revenu sur la spécificité du journalisme économique. La difficulté

selon lui est « le mélange des genres. Certains communicants a-t-il, dit pensent pouvoir dicter leurs désidératas aux journalistes en ce qui concerne le traitement de l’information ». Thomas Barbelet pense quant à lui que la crise de la presse est l’illustration de la crise des institutions et de l’opinion. « Si j’ai appris que l’opinion se faisait dans les médias a-t-il dit, je constate qu’aujourd’hui elle se fait sur Internet, dans la rue… La première difficulté pour nous communicants est que lorsqu’on s’adresse à un journaliste nous ne savons pas s’il va faire un papier sur son blog, une double page, s’il va tweeter, ou faire une brève sur le site de son média ». Or selon lui, les communicants peuvent être les alliés des journalistes. « Nous sommes ceux qui essayons de faire en sorte que l’entreprise ait une communication responsable, qui a du sens. Communicants et journalistes devons repenser à notre écosystème global » a-t-il dit.Interrogé sur les jeunes journalistes, Eric Giacometti a répondu qu’il y avait deux catégories. « Ceux qui maitrisent la com’, sont compétents mais manquent d’indépendance et d’esprit critique. Ils ont tendance à ne voir le monde que par Internet. Ils ne vont pas

enquêter sur le terrain ». Et ceux qu’il appelle les indignés. « Ils ont généralement BAC + 5 mais sont précaires, souvent pigistes et ont tendance à s’indigner, à vouloir changer le monde mais ils confondent souvent idéo-logie et indignation ». La jeune génération n’absorbe plus l’information communicante comme avant. « Les mots clés sont méfiance envers les institutions et esprit de dérision ; un jeune qui va découvrir un magazine d’entre-prise va le mettre à la poubelle ou il va rire. Pour eux la communication traditionnelle est terminée » a-t-il dit. Quant à la formation des journalistes Philippe Mabille a répondu que « cela prenait du temps de former un bon journa-liste. Aujourd’hui la difficulté est que l’on continue à faire le journalisme d’avant mais avec des nouveaux supports. Aujourd’hui on produit son article, on ne l’écrit plus, on y met des liens, des vidéos et les journalistes n’ont pas encore réussi cette mutation »

› LE DÉBATCompte-rendu : Isabelle Bourdet

Débat organisé en partenariat avec Communication et Entreprise, animé par Marc de Jode avec Thomas Barbelet - Directeur marketing et communication de Vinci Concessions, Eric Giacometti - Ancien chef de service économie du Parisien, Marie-Laure Hustache - Directrice de la communication de la Société des Agriculteurs de France, Philippe Mabille - Directeur adjoint de la rédaction de Latribune.fr

CRISE DE LA PRESSE : QUEL IMPACT POUR LES COMMUNICANTS ?

Voir le compte-rendu vidéo du débat sur www.pressclub.fr

Marie-Laure Hustache, Marc de Jode, Philippe Mabille, Eric Giacometti et Thomas Barbelet.

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DÉBATS DU CLUB | AGENDA

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Aujourd’hui le JT est un moment d’antenne crucial dans la vie et l’audience d’une chaîne.

› Mais devant la multiplication des sources d’information celui-ci a-t-il toujours sa raison d’être ? › Les sacro-saints rendez-vous avec l’info seraient-ils dépassés ? › Faut-il le dépoussiérer ?› Faut-il s’en tenir à l’information ou développer la partie magazine ? › Où placer l’international ? › A quelle heure prendre l’antenne ?…

Autant de questions qui restent plus que jamais quotidiennes au sein des rédactions et directions d’antenne.

Ce débat organisé en partenariat avec Information, Presse et Communication et l’INA sera précédé d’une projection privée qui retrace l’histoire du JT.

L’occasion de s’interroger : Qu’en était-il avant ? Comment les présentateurs sont-ils devenus de vraies vedettes ? Comment a évolué l’information depuis le 29 juin 1949, date du premier Journal Télévisé créé par Pierre Sabbagh ?

En Juin prochain, auront lieu les élections à la présidence du MEDEF. Nous vous proposons une rencontre unique, en partenariat avec le Mouvement Ethic, La Tribune, le Syndicat des professionnels de la relation clients et la Fédération des services aux particuliers, avec les personnalités déclarées candidates à la présidence du MEDEF.

La première table ronde (9h00-10h30) proposera un constat des forces et faiblesses du patronat actuel avec la participation notamment des présidents de fédération et de chefs d’entreprise.

Après ce constat, nous réunirons autour de la seconde table ronde (10h30-12h00) l’ensemble des candidats à la présidence du MEDEF pour une session de « Regards Croisés ».

11 avril de 18h45 à 20h00

Animé par Marc de Jode – Journaliste

Animé par Jean-Marc Sylvestre – Journaliste économique

Faut-il encore un JT ? Quel Medef pour demain : Le big bang patronal

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17 avrilde 09h00 à 12h00

INVITÉS : Jean-Claude BOURRET – qui a présenté pendant plus de 20 ans le JT sur la troisième chaîne, TF1, la CinqAnne-Claire COUDRAY – Journaliste au service News de TF1 et LCI, joker de Claire Chazal au 20h00Florence DUPRAT – BFM TV

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DÉBATS DU CLUB | AGENDA

Les prérogatives des DRH n’ont cessé de s’étendre très au-delà des responsabilités historiques qui leur étaient confiées. Ces prérogatives progressent au plus haut niveau stratégique.

› Comment expliquer que, dans certaines entreprises, la fonction ressources humaines soit influente au plus haut niveau stratégique, alors que dans d’autres, elle en est à la gestion du personnel ?

› Qui sont ces DRH d’exception qui font du DRH un véritable codirigeant impliqué dans la stratégie globale de l’entreprise ?

L’image publique du DRH est controversée dans un environnement hostile, et pas toujours à la hauteur de sa réalité stratégique au sein de l’entreprise. C’est à partir de ce constat qu’Edgard Added, a décidé de créer Le Cercle de l’Excellence RH. Le caractère unique de ce cercle est de développer des actions destinées au rayonnement de la fonction DRH.Ce débat sera ainsi l’occasion de présenter le Cercle, ses ambitions, ses actions, ses membres, ses objectifs ainsi que les résultats en avant-première de l’étude Cercle de l’Excellence RH–Deloitte sur une nouvelle dimension du DRH.

En décembre 2000, alors que RMC est une radio moribonde avec ses 2 points d’audience, Alain Weill quitte le groupe NRJ pour la reprendre et partir à la reconquête des auditeurs. Douze ans plus tard, elle a atteint 8 points d’audience et entre dans la cour des grands. Une deuxième vie offerte à cette radio historique. Un cas rare dans l’histoire des médias. › Comment en est-on arrivé là ? › Comment cette radio a-t-elle pu trouver une place près des radios généralistes et s’imposer comme référence pour l’information, l’opinion et le sport, en phase avec ses auditeurs ? Nous verrons avec lui que la relance la radio a été basée sur un plan marketing très poussé et selon lui « une bonne dose d’inconscience et de désintérêt général d’une équipe ».Il nous racontera les secrets des coulisses, les stratégies de reconquête élaborées, les erreurs et les errances qui ont permis la renaissance de cette entreprise de média. L’histoire dit-il « d’une équipe qui a compris un marché, réuni les bons artisans et travaillé pour obtenir, mois après mois, de meilleurs résultats ». Nous l’interrogerons également sur les accusations de populisme portées régulièrement contre RMC et sur ces élites qui pensent être seules capables de s’exprimer dans les médias, sur les rappels à l’ordre du CSA notamment pour racisme et sexisme, sur le fait qu’il y a très peu de femmes à l’antenne et sur le lancement de RMC Découverte.

15 mai de 8h45 à 10h00

INVITÉS : Edgard ADDED, Président fondateur du Cercle de l’Excellence RH, Président du Groupe RH&M[1] Vincent LECERF, Vice-président du Cercle de l’Excellence RH, Executive Vice-president Human Resources Tarkett[2] David YANA, Associé DeloitteAnimé par Isabelle Bourdet – Press Club

Animé par Eric Angioletti – Journaliste

La deuxième vie de RMC : L’histoire d’une entreprise

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TINVITÉ : Franck LANOUX - Directeur Délégué auprès du Président de Nextradiotv, Directeur Général de RMC, Vice-président de RMC Découverte. Auteur de « La deuxième vie de RMC » Ed. du Rocher

23 avrilde 18h45 à 20h00

Image et rayonnement du DRH : Quelle image

pour quel DRH ?

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Pour vous inscrire aux débats :[email protected]

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Pour vous inscrire aux débats :[email protected]

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BUZZ MÉDIA | ACTUALITÉ

2012 : UNE ANNÉE

MEURTRIÈRE POUR LES JOURNALISTES

L’année 2012 s’est avérée particulièrement meurtrière, avec

un nombre de journalistes tués dans l’exercice de leurs fonctions en

hausse de +33 % par rapport à 2011.

L es zones les plus touchées sont le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord (26 morts), l’Asie (24 morts) et l’Afrique sub-saha-

rienne (21 morts). Seul le continent américain connaît une baisse - relative - du nombre de journalistes tués dans le cadre de leur exercice professionnel (15 morts).

Ces dernières années, le nombre de jour-nalistes tués s’est élevé à 67 en 2011, 58 en 2010, 75 en 2009. En 2007, ce nombre avait connu un pic historique avec 87 profes-sionnels des médias tués, un de moins que cette année. Les 88 journalistes qui ont perdu la vie en 2012 en lien avec leur activitéont été victimes de la couverture de conflits ou d’attentats, ou assassinés par des groupes liés au crime organisé (mafia, narcotrafic…), des milices islamistes ou sur ordre d’officiels corrompus.Le nombre historiquement élevé de jour-nalistes tués en 2012 est principalement imputable au conflit en Syrie, au chaos en Somalie et à la violence des taliban au Pakistan.

« L’impunité dont jouissent les auteurs d’exactions encourage la poursuite des vio-lations des droits de l’homme, en particulier de la liberté de l’information », a déclaré Christophe Deloire, secrétaire général de Reporters sans frontières. Les atteintes sont perpétrées contre les acteurs de l’information au sens large.

Outre ces 88 journalistes tués, les citoyens-journalistes et net-citoyens sont touchés de plein fouet (47 tués en 2012, 5 en 2011), notamment en Syrie. Sans leur action, le régime syrien serait en mesure d’imposer un black-out total de l’information dans cer-taines régions et de continuer à massacrer à huis clos

2011 2012 EvolutionJournalistes tués 66 88 33,00%

Journalistes arrêtés 1044 879 -16,00%

Journalistes agressés ou menacés 1959 1993 2,00%

Journalistes enlevés 71 38 -46,00%

Journalistes ayant fui le pays 77 73 -5,00%

Net-citoyens et citoyens-journalistes tués 5 47 840,00%

Net-citoyens arrêtés/interpellés 199 144 -27,00%

Les citoyens-journalistes et

net-citoyens sont touchés de plein fouet : + 840 %

de tués

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En 2013, nous avons déjà à déplorer la mort du photographe indépendant Olivier Voisin, touché par des éclats d’obus alors qu’il effectuait un reportage dans le nord de la Syrie.

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Tester vos connaissances en matière de signaux faibles grâce à un quizz : www.sophie-backer-conseil.fr

ANTICIPER ET DÉMINER LES SITUATIONS GRÂCE AUX SIGNAUX FAIBLES

Les signaux faibles sont des informations bien réelles dont nous ne tenons pas compte car nous ne les avons pas entrées dans nos écrans radars.

Issue de l’expertise journalistique de recueil et de traitement des informations, cette approche originale de captation des

signaux faibles se focalise sur les informations en latence, celles qui se cachent derrière les

informations apparentes. La crise dite de la viande de cheval porte en signal faible une exigence de confiance jamais atteinte dans le rapport à la nourriture. En cascade, d’autres secteurs d’activité économique doivent se sentir impactés : le traitement de l’eau, l’industrie pharmaceutique, les produits de beauté…

A la fois outil de veille, d’anticipation des évolutions, de déminage de crise, et de construction d’argumentaires pour une communication nouvelle – y compris à

l’usage interne et managérial-, l’approche en signaux faibles renouvelle la relation à l’information. Elle permet de se centrer sur les données utiles selon les circonstances et les objectifs. Aujourd’hui le pouvoir appartient à ceux qui savent détecter les informations riches de sens pour demain

Sophie Backer, ex-rédacteur en chef à RFI

La 20ème édition du Prix se tiendra du 7 au 13 octobre à Bayeux en partenariat avec le Press ClubCe prix sera l’occasion de revenir sur les difficultés des journalistes de terrain. Il récompensera les journalistes pour leurs reportages photo, radio, télé et presse écrite sur une situation de conflit ou un fait d’actualité concernant la défense des libertés et de la démocratie. Plus d’informations : www.prixbayeux.org

PRIX BAYEUX-CALVADOS DES CORRESPONDANTS DE GUERRE

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Elle vient d’être nommée au Conseil Supérieur de l’Audiovisuel. Mémona Hintermann, grand reporter à France Télévisions depuis une trentaine d’années, vient de publier son dernier livre, « Une vie peut en cacher une autre », co-écrit avec son mari journaliste, Lutz Krusche.

A MES DÉBUTS, LA TÉLÉVISION

ÉTAIT UN MÉDIA DE SALTIMBANQUES

Votre livre, Une vie peut en cacher une autre, entremêle des portraits d’hommes et de femmes qui tentent de tracer leur voie dans un monde en crise. Vous êtes-vous vous-même sentie affectée par la crise, dans l’exercice de votre métier ?Bien sûr, la télévision n’a pas été épargnée. Nos missions sont désormais beaucoup plus brèves et on ne part plus avec une équipe de quatre personnes comme nous le faisions

encore quelques années auparavant. La plupart du temps, nous partons seulement à deux, le caméraman et la personne qui réalise les interviews. Poussé à l’extrême, ce modèle économique peut engendrer des difficultés. Quand le JRI doit faire le montage en plus du tournage, on se heurte à des contraintes qui pèsent sur le travail des deux personnes. A force, c’est compliqué et usant.

Les personnes rencontrées au cours de votre travail d’enquête se sentent parfois usées elles aussi et traversent des moments de doutes et de désillusions. Comment expliquez-vous leur sentiment ?Les gens sont bousculés par la crise dans leur propre vie. Les valeurs que l’on croyait sûres n’existent plus. Un diplôme ne garantit plus une profession. Au cours de l’enquête, j’ai pu entrer dans cette « galaxie jeune » qui,

INTERVIEW DE MÉMONA

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Un professeur de collège craque sous l’effet du burn-out; une jeune diplômée fait naufrage dans l’univers sans pitié des medias ; un cadre supérieur, jeté au chômage essaie de réaliser son rêve de jeunesse. Ballotés par la crise, tous ont douté, pleuré, dégringolé, mais tous, au cours de cette année d’enquête, ont appris à refaire surface. A eux tous, mais aussi à chaque lecteur, Mémona Hintermann et Lutz Krusche adressent un message d’espoir : « Vous pouvez surmonter la crise ».

Editions JCLattès, 310 pages, 18 €

LE LIVRE :

en réalité, est peu connue de l’intérieur. On sait qu’ils galèrent, que c’est dur pour eux, mais quand on les suit pendant plus d’un an, la situation est carrèment dramatique la plupart du temps. Des jeunes très diplômés enchaînent quelques CDD, se retrouvent sans rien ensuite et n’ont plus d’argent pour payer un loyer… La question métaphyisque que l’on se pose, nous, les parents, c’est : « vous a-t-on préparé à ça ? » La solution est peut-être de vivre au moment présent. Il existe une possibilité de s’en sortir. Même si on n’a pas le métier de ses rêves, il vaut mieux déployer une bonne dose d’imagination et essayer, même si c’est dur.

Vous travaillez pour la télévision depuis les années 80. Comment avez-vous perçu l’évolution de ce media ?Quand j’ai débuté, c’était encore un média de saltimbanque. La presse écrite était la référence. Quand un homme politique voulait faire entendre sa voix, il allait démarcher les journalistes print. Aujourd’hui, la radio et la télévision donnent le la. D’où la responsabilité du média audiovisuel : nous devons exercer une certaine régulation pour ne pas faire n’importe quoi. Nous sommes à un moment carrefour où il faut réfléchir à la maîtrise de cet outil dans le champ civique.

Vous venez d’être nommée conseillère au CSA pour six ans. Dans quelles circons-tances l’avez-vous appris ?Je ne m’y attendais pas du tout ! C’était un mercredi, le 9 janvier, j’étais en reportage à Limoges. Un collègue, Denis, m’envoie un message sur mon iPhone : “le CSA, ça ne t’intéresse pas ?” Le même soir, à la maison, coup de téléphone. C’était Jean-Pierre Bel, le président du Sénat. Il m’apprend la nouvelle, je suis nommé au CSA. Je pense

à une blague mais il me répond : « non, non, c’est bien vrai, ça va être annoncé dans dix minutes ». Elodie, ma fille, est allée chercher une bouteille de champagne. On a patienté dix minutes, l’annonce a été faite. On a débouché le champagne et les coups de téléphone n’ont pas cessé. En réalité, j’ai candidaté tard, sans trop savoir comment faire. Comme quoi les miracles existent ! Ma nomination prouve aussi que l’on à pas besoin d’être pistonné pour faire valoir ses compétences.

Quel va être votre rôle au sein de cette instance ?J’ai été nommée présidente de deux groupes de travail. Le premier concerne la diversité : nous voulons qu’elle soit plus ouverte. Il faut que le jeune qui vient de province ou les personnes âgées s’y retrouvent. Le second, tout nouveau, porte sur l’audiovisuel et sa place dans l’éducation. Je suis aussi vice-présidente de deux commissions. L’une sur la déontologie : en tant que chaîne publique, nous devons veiller à fournir une information rigoureuse sans essayer d’aller au rythme d’une chaîne tout info. L’autre commission touche à la santé et aux handicaps. Par exemple, il s’agit de surveiller ce que les médias exposent en terme de bons comportements alimentaires.

La télévision d’aujourd’hui en cache une autre, qui se dessine peu à peu. Quelles nouvelles voies s’esquissent ?La télévison du futur sera une télé connectée, raccordée à Internet. Le CSA est en train d’entreprendre une réflexion de fond sur les nouvelles technologies, par le biais d’une commission spéciale. Il est aussi grand temps de montrer que ce média créé du lien, un lien humain. Cette démarche

sera renforcée par le nouveau collège du CSA. Personnellement, j’ai constaté qu’il y avait vraiment une volonté d’ouvrir l’institution sur la société.Par ailleurs, le rôle du CSA est d’être l’avocat des citoyens. Il faut défendre les gens qui nous font confiance

Propos recueillis par Laurie Zénon – Club de la

Presse de Montpellier [email protected]


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L e jury qui s’est réuni au Press Club, partenaire de l’événement, a choisi parmi plus de 100 candidats les 10 lauréats qui seront exposés sur le parvis de l’Hôtel de Ville de Paris du 28 mars

au 1er avril, ainsi que les 3 lauréats. La remise des prix aura lieu le samedi 30 mars à 16h30 sur le parvis de l’Hôtel de Ville

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LE FORUM INTERNATIONAL

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DE LA MÉTÉO ET DU CLIMAT FÊTE SES 10 ANS

De gauche à droite : Michel Hontarrede de Météo France, Anne Guillaume de Météo Climat / UMPC, Isabelle Bourdet du Press Club de France, Nathalie Rihouet de France 2, Sylvie Hugues du Magazine « Réponses Photo » et Thierry Bourque d’Olympus.

Pour sa 10ème édition, Le Forum International de la Météo et du Climat, l’événement de sensibilisation au changement climatique, organise pour la 1ère fois un concours photos météo amateurs sur le thème « Les phénomènes météorologiques extrêmes ».

Les partenaires du concours photo : Météo France, Olympus, le magazine « Réponses Photos » et le Press Club de France www.forumeteoclimat.com

1er prix : Cyril LeroyPhoto : « Coup de foudre sur le clocher de l’église de Vandenesse-en-Auxois (Côte d’Or)» prise le 29 juin 2012.Prix : Appareil photo Olympus OMD EM-5 + 1 an d’abonnement au magazine « Réponses Photo »2ème prix : Alain CabaniéPhoto : « Tornade dans le Sud Toulousain » prise le 23 avril 2012Prix : 2 livres « Water » et « Power » + 1 an d’abonnement au magazine « Réponses Photo »3ème prix : Benjamin OrgogozoPhoto : « Orage dans le massif du Dévoluy (Hautes Alpes) » prise le 23 juin 2012Prix : 1 an d’abonnement à « Réponses Photo »

1er prix

2ème prix

3ème prix

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BUZZ BUSINESS | ACTUALITÉ

ARIANESPACE À LE VENT EN POUPE

L’EXCELLENCE FRANÇAISE A

SON LIVRE D’ORDepuis quatre ans, le Prix de l’Excellence Française met à l’honneur des secteurs d’activité dans lesquels la France se distingue. « Le Livre d’Or de l’Excellence Française » est un prolongement sur papier glacé de cette belle initiative.

C e livre, préfacé par Pierre Cornette de Saint Cyr, met en lumière les atouts dont dispose la France dans

un monde de plus en plus ouvert à la compétition et à la concurrence. Il raconte l’expérience et le savoir-faire d’hommes et de femmes de talent, lauréats du Prix de l’Excellence Française 2012, qui par leur désir d’entreprendre et leur volonté d’innover portent haut les couleurs de la France. « La France ne doit pas être frileuse de ses succès. Elle se doit de conserver ces personnalités d’exception et de les encourager à poursuivre sur les traces de ceux qui réussissent », insiste Maurice Tasler, Président de l’Excellence Française.Le Press Club sera partenaire et accueil-lera en octobre prochain une journée de l’Excellence Française. L’occasion de rencontrer ceux qui font rayonner cette excellence à travers le monde

A riane 5 a mis en orbite en ce début d’année deux satellites de télécommu-nications – Amazonas 3 pour l’opérateur

espagnol Hispasat et Azerspace/Africasat-1a pour l’opérateur public azéri Azercosmos OJSC. Ce 54ème lancement réussi d’affilée est égale-ment un record ; celui de la masse injectée, plus de 10,3 tonnes, vers l’orbite de transfert géostationnaire. Rappelons qu’Ariane 5, qui sera remplacé vers 2020 par Ariane 6, est le seul lanceur sur le marché commercial capable de lancer deux charges utiles simultanément.

Une fiabilité qui n’a pas échappé à Eutelsat Communications qui a signé avec Arianespace un accord de long terme portant sur 4 lance-ments de satellites en 2016 et 2017. « Nous sommes d’autant plus heureux qu’il s’agit là d’un engagement à long terme entre nos deux sociétés, garantissant à Eutelsat

la certitude d’un accès à l’espace fiable et disponible pour les années à venir. Cet accord valide ainsi notre approche basée sur la qualité, la fiabilité et la tenue de nos enga-gements » a commenté Jean-Yves Le Gall, Président-directeur général d’Arianespace

L’année 2013 a bien commencé pour Arianespace (membre

du Club) qui a réussi son 54ème

lancement d’Ariane 5 d’affilée et signé un accord avec Eutelsat.

Arianespace

sera présent au prochain salon du

Bourget du 17 au 23 juin 2013

Jean-Yves Le Gall est Président Directeur Général d’Arianespace, première société mondiale de service & solutions de lancement. Sa mission est de défi nir la stratégie de la société et de développer et entretenir une étroite collaboration avec ses clients internationaux. A ce titre, il représente Arianespace auprès des gouvernements européens, des agences spatiales et des partenaires industriels de la société. Jean-Yves Le Gall est aussi Président Directeur Général de Starsem, fi liale euro-russe d’Arianespace, chargée d’exploiter et de commercialiser le lanceur Soyuz.

ZOOM SUR

Excelllence FrançaiseLe livre d’Or 2012De Maurice Tasler - Verlhac Editions - 250 pages, 39.95

Depuis combien de temps travaillez-vous sur ce dossier ?Philippe Henry : Cela fait un peu plus de sept ans. Cet outil sera quasi unique dans l’ouest de la France et très innovant. Le mariage du rail et de la route, beaucoup en parlent mais finalement, en dehors des grandes plateformes (Le Havre, Lyon, Rennes…) peu concrétisent cette combinaison qui s’inscrit pourtant parfaitement dans le Grenelle de l’Environnement.

Quels objectifs souhaitez vous atteindre ?PH : Notre initiative va supprimer 3 220 camions de nos routes. D’après les calculs des spécialistes, ce sont 310 000 tonnes de CO2 en

moins qui s’échapperont dans l’atmosphère. On ne peut pas considérer cela comme négli-geable !

Comment voyez vous l’avenir de cet outil spécifique ?PH : Avec son bilan carbone extrêmement positif, le fret ferroviaire est le moyen de transport le mieux adapté à la politique envi-ronnementale de développement durable. Le train retrouve sa pertinence. Les industriels sont de plus en plus à l’écoute. La hausse des carburants, la redevance « poids lourds » rendent la route moins concurrentielle. Il s’agit de créer de véritables autoroutes du fret, déployer et fluidifier le maillage ferroviaire

RAIL ET ROUTE : LE PARI ORIGINAL ET PROMETTEUR DU PAYS DE CHÂTEAU-GONTIER

PUBLI-REPORTAGE

Fait peu banal, le Pays de Château-Gontier (membre du Press Club) en Mayenne s’est battu pour faire revenir les trains de marchandise dans sa gare. Depuis ce début avril c’est une réalité et la combinaison entre le rail et la route va supprimer la présence de 3200 camions sur les routes par an ! Entretien avec Philippe Henry, Président de la Communauté de communes du Pays de Château-Gontier.

Plus d’infos : www.chateaugontier.fr

Philippe HENRY, Maire de Château-Gontier, Président de la Communauté de communes du Pays de Château-Gontier et vice-Président du Conseil Général de la Mayenne

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LES FORMATIONS DU PRESS CLUB

Avec l’avènement du Web 2.0, le métier des relations

publiques en général et des relations presse en parti-

culier se digitalise. Les journalistes travaillent différem-

ment, utilisant largement le Web, notamment Twitter

comme outil de travail. Sont par ailleurs apparus les e-influenceurs,

blogueurs en tête, avec lesquels les codes de communication sont

spécifiques. Nous aurons donc pour objectif de :

1 | Comprendre les nouveaux mécanismes de diffusion et de

propagation de l’information ainsi que les interactions on/off line

2 | Identifier les nouveaux leviers d’influence (Twitter, les blogs)

3 | Connaître les outils pour analyser et prendre part aux

conversations qui vous concernent

4 | Créer du contenu adapté à ces nouvelles pratiques

Le Press Club et Idaos, à travers son institut de formation Digital Academy, ont lancé un cursus de formations sur la thématique des médias sociaux. Après «Tout sur Twitter », le deuxième volet sera consacré aux relations presse 2.0.

La formation sera animée par un expert de la Digital Academy.Prix de la formation : 490 € HT par participant (éligible au DIF)Inscriptions : Isabelle Bourdet Tél. : 01 44 36 44 04 - Email : [email protected]

COMPRENDRE ET MAITRISER LES RP 2.0

Alternant exposés et ateliers de mise en pratique,

la demi-journée s’organisera autour de trois temps forts :

Les nouvelles pratiques des journalistes

Twitter, nouveau support au service de vos RP

Les us et coutumes des RP blogueurs

Mardi 16 avrilde 9h00 à 13h00

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Documents

Press Club Mag #49