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Impression numérique :Le futur au présent

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Sommaire

La question du jour.

Quelques points à travailler.

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La question du jour

La question du jour : en quoi le

numérique peut-il représenter une

réponse aux problèmes de la

presse quotidienne ?

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• Petit rappel, qui n’en est peut-être pas un :

– Aujourd’hui, les presses numériques les plus performantes peuvent imprimer :

• Des journaux dans des qualités satisfaisantes.

• A une vitesse d’environ 3 000 exemplaires à l’heure, en fonction des formats et de la pagination.

• A des coûts machines et consommables qui se rapprochent de l’acceptable.

La question du jour

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• Pour répondre à la question du jour, l’impression numérique peut apporter UNE réponse, pas LA réponse.

– Une alternative crédible à l’offset dans certaines configurations.

Vers une complémentarité offset/numérique.

– Une alternative de production, sous réserve de repenser l’offre produit.

L’évolution des usages n’attend pas.

– Une alternative de distribution, sous réserve de repenser les rapports PQN/PQR.

le portage en région devient possible pour la PQN.

La rupture numérique

L’outil de production devient créateur de valeur

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• L’impression numérique appuie là où ça fait mal :

– Le modèle de production : • Désengagement : un transfert de l’actionnariat est possible

vers des prestataires qui imprimeront tous les formats.

– Le modèle de distribution :• Géo-localisation : les centres sont situés au plus près des

clients, d’où des économies de coûts de distribution et le développement du portage rendu possible.

– L’offre produit :• Enrichissement de l’offre : la variabilité des données

permettra un micro-zonage éditorial et publicitaire.

– Le modèle social :• Reclassement : des ouvriers du Livre sont potentiellement

transférables dans ces nouveaux centres, sous des conditions contractuelles à définir.

La question du jour

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• La rupture numérique apporte une profonde innovation dans le schéma de production de la presse :

– Elle rapproche le moyen de production du client final,

– Elle permet d’adapter l’éditorial au contexte géographique : l’outil industriel devient créateur de valeur.

– Elle propose des machines automatiques…

– … qui impriment tous types de formats…

– … qui réalisent d’autres types de travaux le reste du temps : l’outil de production est utilisable 24/24, 7/7…

– … et, comble du cynisme… qui sont moins rapides que l’offset et donc, parfaitement adaptées à un marche en décroissance.

La question du jour

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Sommaire

La question du jour.

Quelques points à travailler.

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Quelques points à travailler

• La compétitivité des machines : – Le rapport prix/vitesse est défavorable.– Retrouver la logique de la loi de Moore.

• Le prix de l’encre :– Malgré une chute du prix à la tonne saisissante

depuis que nous avons commencé à discuter, il est encore trop élevé aujourd’hui.

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• Les mentalités :– Les éditeurs comprennent l’intérêt de l’offset d’un

point de vue tactique : géographique.– Ils n’ont pas encore perçu la richesse que propose

le numérique en matière de variabilité des données.

• Par ailleurs, il ne faut pas opposer Offset et numérique => risque de blocage psychologique inutile.– L’exemple de la démarche du SPQN.– L’exemple Corse :

• Vers une complémentarité offset/numérique.• Vers une complémentarité PQR/PQN

Quelques points à travailler.

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• Last, but not least : l’aspect social.– L’organisation sociale fait partie de l’équation qui

se dessine et ne peut être écartée.– Il est nécessaire de poser les bases d’un nouveau

modèle social pour introduire le numérique.

Quelques points à travailler

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Conclusion

• Une opportunité de marché :

– L’impression numérique représente une réelle opportunité de marché pour la presse quotidienne.

– La réalité de l’opportunité est liée

• Aux efforts que feront les producteurs pour adapter leur offre au marché.

• À la capacité des éditeurs à saisir (et non subir) le changement et à le mener socialement.