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19ème Salon du livre du Pithiverais
2000 personnes au rendez-vous lecture
Quatorze auteurs et illustrateurs invités dans les classes et sur la manifestation
Edito Le 19ème salon du livre jeu-
nesse du Pithiverais a eu lieu
les 4 et 5 février 2012 à la
salle des fêtes de Pithiviers.
Cette manifestation est orga-
nisée tous les deux ans par la
ville de Pithiviers et l’asso-
ciation Livrami. Nous vous
proposons un petit reportage
sur cette fête du livre à la-
quelle nous avons activement
participé.
Emre et Matthieu
Revivez avec nous tous ces moments auxquels vous n’avez peut-
être pas assisté. Suivez-nous à travers cette aventure avant, pen-
dant et après le salon...
POISSONS LECTEURS
Spécial Salon du livre 2012
Collège Denis Poisson Atelier lecture
6ème2,6ème4,6ème6 et 3ème10
Sur le stand du collège Denis Poisson : affiches des élèves et frise réalisée avec l’illustrateur Zaü.
Prix affiche : deux collégiens
récompensés
Confidences d’auteurs au
collège
Poissons au cœur du salon
Humour et rire au programme
Qu’est-ce que le Prix livra-
mi ?
Ce Prix de littérature jeunesse
est organisé dans le cadre du
salon par l’association Livra-
mi. Quatre romans sont sélec-
tionnés sur le thème du salon.
Le prix est lancé à la rentrée
scolaire, en septembre. Le
vote a lieu quinze jours avant
la manifestation.
Quinze classes de CM2 du
Pithiverais, des jeunes lec-
teurs de la bibliothèque de Pi-
thiviers et des adultes compo-
saient cette année le jury.
Chaque classe a une voix.
PRIX LIVRAMI 2012
Notre avis :
Un livre plein d’humour. A conseiller aux jeunes lecteurs
et aux adultes....
Le lauréat 2012 est Emmanuel Bourdier pour son roman
Vachement moi !
Madame Bonneau, maire de Pithiviers, lui a remis son prix lors de
l’inauguration du salon.
Emmanuel Bourdier est professeur des écoles à Traînou. Ce roman est
son quatrième livre, il a été plusieurs fois sélectionné.
Lucine, Alice, et Marine
CONCOURS AFFICHE 2012
Un concours pour l’affiche est lancé au mois de sep-
tembre. Tous les établissements scolaires du Pithive-
rais peuvent y participer.
M. Germain, professeur d’arts plastiques, a proposé
ce concours à ses élèves de 4ème. Le jury a retenu le projet de deux élèves du collège
Denis Poisson.
Les lauréats sont Kilyan Le Mouel et Axel Chate-
lain de 4ème 1.
Félicitations !
Les lauréats sur le salon, après la remise du prix.
Paul, le jeune héros, vit de drôles d’aventures. Son
surnom 13 NRV correspond à son code barres à
l’école. Un jour, Paul l’érafle en tombant. Le lende-
main, au moment de passer au contrôle, l’ordina-
teur détecte une vache. Monsieur Verzy, le con-
cierge, ne veut pas le laisser passer : les animaux
sont interdits au collège !
Paul réussira-t-il à prouver qu’il n’est pas une
vache ?
LES COLLÉGIENS EN ACTION
Nous y présentions notre projet
lecture : le Prix du jeune poisson
2012. Nous avions réalisé un dia-
porama « top des lecteurs ».
Nous proposions un flyer sur la
sélection de ce prix au jeune pu-
blic, futurs collégiens, ainsi
qu’aux adultes intéressés. Nous
exposions sur ce stand une sélec-
tion de livres sur le thème de
cette manifestation. Les visiteurs
étaient aussi invités à écrire un
message plein d’humour pour
garnir notre « arbre à paroles »
peu feuillu à cette période de
l’année.
Trois auteurs y dédicaçaient
leurs romans et leurs albums :
Agnès Laroche, Alexis Galmot,
Marcus Malte et Pascale Maret.
Une chance pour nous de pouvoir
discuter avec eux, prolonger les
rencontres et obtenir une nou-
velle dédicace !
.
Des rencontres riches en émo-
tions et un salon rempli
d’éclats de rire.
Emré et Matthieu
Nous avons pu rencontrer les autres
illustrateurs et auteurs invités sur le
salon dont certains sont bien connus
des collégiens : Carl Norac, Phi-
lippe Barbeau, Jo Hoestlandt, Zaü
et Bernadette Despres.
Nous avons aussi effectué un petit
tour sur le salon qui nous a permis
de découvrir les différents ateliers
proposés tout au long du week-end.
Nous avons retenu l’atelier impri-
merie avec monsieur Tachot d’Or-
léans. Cet imprimeur fabriquait sur
place des caractères en plomb. Nous
avons pu admirer la magie du métal
en fusion.
L’atelier des Petits Débrouillards,
animé par de jeunes animateurs,
proposait des expériences scienti-
fiques surprenantes et passionnantes
sur la gravitation. Le Service En-
fance-Jeunesse du Coeur du Pithi-
verais, plus connu sous le nom de
ludothèque au collège, proposait
des activités ludiques pour petits et
grands.
Enfin, nous avons aussi bien
aimé l’animation du Petit
Théâtre Permanent de Paris.
Des comédiens procédaient à
des « enlèvements » sur le sa-
lon, invitant le public sous une
bulle de lecture.
Comme les années précédentes, les « jeunes poissons» tenaient un stand sur le salon.
Zaü sur le salon
Agnès Laroche sur notre stand
Nous avons rencontré l’auteur au C.D.I. après avoir lu son roman Mon Vaisseau Te mè-
nera Jeudi Sur Un Nuage.
CONFIDENCES DE MARCUS MALTE
Un auteur un peu secret...
Pour prolonger ses confidences, visitez son site :
http://www.marcusmalte.com/
POISSON REPORTER Nous avons accueilli sur le stand du collège Alexis Galmot, un des
scénaristes du Péril jeune de Cédric Klapisch. Son livre La bou-
langerie des dimanches a été sélectionné pour le Prix Livrami et
le Prix du jeune Poisson.
Qu’est-ce qui vous a donné envie d’écrire ? Sur les conseils d’amis, je me suis lancé dans
l’écriture. La boulangerie de la rue des di-
manches est mon premier texte pour la jeu-
nesse.
L’illustrateur Till Chartier est-il un de vos
amis ?
Non, je ne le connaissais pas.
Pourquoi avez-vous choisi les quatre saisons
de Vivaldi ?
Cette oeuvre est le fil conducteur de l’histoire.
Les quatre saisons correspondent aux princi-
pales étapes dans la vie de Jack.
Avez-vous l’intention d’écrire d’autres livres
pour la jeunesse,
Oui, mes filles m’encouragent à le faire.
Aimeriez-vous adapter la boulangerie au ci-
néma ?
Non, mais une version audio pourrait être envi-
sagée avec le concerto de Vivaldi.
Aimez-vous particulièrement la reli-
gieuse au chocolat ?
Non. Je l’ai choisie parce que c’est un
gâteau connu de tout le monde et fa-
cile à réaliser. La baguette est un
grand classique de la boulangerie.
Avez-vous eu des difficultés à faire
paraître votre livre ?
Non, mais l’éditeur a écourté l’histoire
qui se terminait aux Etats-Unis.
Emré
Interview.
Emouvante his-toire racontée avec beaucoup d’humour.
Interview sur le stand du collège
Marcus Malte au CDI
Avant de l’écrire, Marcus Malte avait consulté plusieurs blogs sur lesquels témoi-
gnaient des parents d’enfants malades du cancer. L’auteur a été très ému en les lisant
et a décidé d’écrire un roman sur ce sujet. Il s’est alors renseigné auprès de ses amis
infirmiers. Il a voulu faire une fin ouverte et laisser les lecteurs imaginer la leur. Son
fils lui a inspiré le titre de son roman. Un jour, en rentrant de l’école, il lui a parlé de
ce procédé mnémotechnique qui permet de retenir le nom des planètes. L’auteur l’a
noté dans un coin car il pensait qu’il s’en servirait un jour pour écrire un livre. Au dé-
part la phrase était « Mon Vélo Te Mènera Jeudi Sur Un Nuage», Marcus Malte en a
changé le premier mot. L’éditeur a accepté ce titre sans le modifier. Pour ne pas trop
émouvoir les lecteurs avec une histoire trop triste, il a inventé une passion pour son
héros.
Marcus Malte nous a avoué qu’il avait souvent l’angoisse de la page
blanche. Il écrit aussi des polars pour les adultes. Il est en ce moment
en train d’en écrire un.
Amandine
ÉCHANGE AVEC PASCALE MARET
ECHANGE AVEC PASCALE MARET
Un roman émouvant sur l’esclavage.
Nous avons rencontré l’illustrateur Zaü au collège avec notre professeur d’arts plastiques, M. Issaurat .
Nous avons commencé par un échange de questions posées à Zaü. Son premier titre
est paru en 1967, il avait 24 ans. Il a illustré plus de 60 livres pour enfants. Il réalise la
plupart de ses illustrations à l’encre de Chine. Ses albums s’inspirent des paysages
qu’il a traversés au cours de ses voyages. Ses thèmes préférés sont l’écologie, la bio-
diversité et les droits de l’enfant.
Puis nous nous sommes mis au travail : réalisation d’une
frise géante à l’encre de Chine sur les conseils de l’illus-
trateur. Chaque élève réalisait sa partie : un animal , un
arbre, un village, une colline … Nous l’avons ensuite
coloriée avec des feutres .
Pour terminer cette rencontre, l’illustrateur nous a offert
un moment magique ! Il a dessiné une de nos cama-
rades. Son portrait prenait forme au fur et à mesure des
traits. Il a aussi réalisé un village en Afrique avec au
premier plan une femme et son enfant.
Silence respectueux pendant cette séance, suivi d’applaudissements.
Un plaisir partagé par tous que nous aimerions renouveler !
Vous pouvez retrouver de nombreux albums de Zaü au CDI et y découvrir ses magnifiques ré-
alisations… Adrien et les élèves de 6ème 4
DEUX HEURES AVEC ZAÜ
Les 6èmes 4 au travail
Nous avons retenu deux albums :
Pour écrire un roman, Pascale Maret s’inspire du réel, de tout ce qui l’entoure, de ce
qu’elle découvre lors de ses voyages. Elle préfère les romans d’aventure et les his-
toires de vie.
Elle travaille environ trois heures par jour. Avant de se lancer, elle « rêvasse » beau-
coup, trie ses idées puis trace la trame dans sa tête. Elle fait paraître environ un livre
par an. Elle est en train d’écrire un roman qui paraîtra en 2013. Le thème en sera la
danse : sa passion de petite fille. Elle voulait en faire
son métier.
Elle nous a avoué faire partie d’« une espèce en voie
de disparition »(genre dinosaure). Elle utilise encore
un cahier, un stylo plume (cadeau de son mari) et un
effaceur. Puis elle écrit avec le traitement de texte.
Elle aime beaucoup les rencontres avec ses lecteurs
parce qu’un auteur est souvent solitaire. Un auteur très sympathique.
Chloé 6ème10 Dédicaces au CDI
A propos de L’Encrier maudit
Pour créer ses personnages, elle s’est inspirée de son fils pour Thomas, de son voisin
pour Jules et d’un ami de son fils pour Kylian.
En écrivant ce roman et en choisissant de retourner dans le passé (ce qui n’est pas ha-
bituel pour un roman fantastique), elle voulait montrer le décalage entre sa génération
et celle de ses enfants : mode de vie et comportements différents, rappel par exemple
avec l’encrier qu’elle utilisait à l’école. Elle s’est inspirée de ses anciennes lectures
dont Le Club des cinq pour le souterrain.
Après avoir publié des romans aux sujets graves, elle voulait retrouver le plaisir de
l’aventure et sa jeunesse.
Ce roman dénonce les dangers du clonage.
Nous vous conseillons :
A découvrir au CDI
Rencontre avec Pascale Maret
La passion d’écrire
La classe de 3°10 a accueilli Pascale Maret au CDI, le jeudi 2 février, à l’oc-
casion du salon du livre.
Pascale Maret est devenue écrivain parce qu’elle aimait les histoires. L’auteur a
précisé qu’autrefois elle était professeur de
français et qu’elle a abandonné ce métier
pour se consacrer à l’écriture. Nous nous
sommes intéressés à sa technique d’écriture
et à son inspiration pour écrire ses romans.
Pascale Maret a répondu que pour son pre-
mier roman, Esclave, elle s’était inspirée de
sa fille, que nous pouvons apercevoir sur la
couverture de la première édition. Elle est
restée à l’ancienne technique d’écriture : le
manuscrit.
L’auteur nous a appris que ses personnages n’étaient pas obligatoirement réels
mais qu’ils pouvaient posséder le caractère de personnes proches. Lui ayant de-
mandé si elle choisissait elle-même le titre et l’illustration de ses romans, elle
nous a répondu qu’elle proposait mais que l'éditeur avait toujours le dernier
mot.
Elle nous a aussi dit qu’elle ne voyageait plus pour le moment (Pascale Maret a
en effet suivi son mari dans plusieurs pays comme le Venezuela ou la Birma-
nie) car cela était difficilement compatible avec la scolarité de ses enfants.
Ayant vécu en Birmanie, elle nous raconte dans son dernier roman Vert jade,
Rouge sang, la vie d’un enfant « esclave » dans les mines de jade. Elle n’a pas
été témoin de certaines scènes racontées dans son roman, car l’accès aux mines
est interdit aux étrangers.
Pour finir, Pascale Maret nous a montré le début de son prochain roman ainsi
que différentes illustrations de la première de couverture de A vos risques et
périls publié a l’étranger.
Une rencontre très riche.
Retrouvez l’auteur sur : www.la-charte.fr/sites/pascale-maret
Un roman plein d’humour sur la téléréalité.
Roman sous l’Occupation au Chambon-sur-Lignon, village de protestants. Ses habi-tants organisèrent un ma-quis et accueillirent de nom-breux juifs.
L’auteur au CDI
Ce roman noir plonge le lecteur dans le monde
des mines de jade en Birmanie. L’auteur détaille
l’épouvantable travail dans la mine, les condi-
tions de vie terrifiantes. Pour tenir, les mineurs
s’endettent et ne peuvent plus s’échapper. Pas-
cale Maret y dénonce aussi la corruption de
l’Etat birman.
Les fantastiques histoires d'Agnès Laroche !
A emprunter au C.D.I !
Pour en savoir plus sur l’auteur, consulter son blog : http://agneslaroche.blogspot.fr/
Agnès Laroche, l'auteur du Fantôme de Sarah Fisher, nous a rendu vi-
site le vendredi 3 février 2012 au collège Denis Poisson.. Nous avons profité de
ce moment pour poser toutes nos questions sur son livre et sur sa vie. Voici les
confidences qu'elle nous a dévoilées.
Agnès Laroche est devenue écri-
vain grâce à son mari. En effet, ils ont
écrit des histoires ensemble et ils ont ga-
gné de nombreux prix. Cependant Agnès
Laroche a voulu écrire son premier ro-
man seule, elle ne savait pas comment
l'annoncer à son mari. Elle lui a alors
proposé d'écrire un roman fantastique
sachant bien qu'il n'aimait pas ce genre ;
c'est comme cela qu'elle a écrit Tim sans
dragon (l'histoire d'un garçon qui voulait
absolument un dragon pour son anniver-
saire...).
Il faut savoir que ce ne sont pas les auteurs qui choisissent les titres ou illustra-
tions de leurs romans, mais les éditeurs. Pour son roman Murder Party, on lui
avait proposé une illustration représentant un gâteau planté d'un couteau duquel
dégoulinait du sang ; elle a pu donner son avis et dire que cette image était trop
réaliste, « écoeurante » et qu'elle ne se voyait pas le présenter ainsi sur des sa-
lons. L'illustration a donc été remplacée par un revolver qui tire une bougie d'an-
niversaire.
Un échange avec un auteur très sympathique autour d’un livre passionnant.
.
Merveille et les 6èmes 3
Dédicace au CDI
Sarah Fisher se réveille dans une grange. Elle se rend compte qu’elle est morte et revoit deux mains s’appro-cher d’elle alors qu’elle est au bord d’une falaise. Elle dé-cide de revenir parmi les vivants pour mener son enquête...
Prix du jeune Poisson 2012
A propos du Fantôme de Sarah Fisher Nous avons ensuite demandé à Agnès Laroche de nous parler de son livre Le Fantôme de Sa-rah Fisher. Elle nous a expliqué que lorsqu'elle était petite, elle allait souvent chez sa marraine qui habitait dans un château. L'idée du fantôme lui est venue de là car sa marraine lui racon-tait qu'une femme, Mademoiselle Dubellot, avait vécu dans ce château et qu'elle avait été décapitée pendant la Révolution française. Sa marraine avait l'impression que cette femme était toujours là, des choses étranges se passaient dans ce château (des traces de pas sur l'es-calier fraichement ciré, un vase qui se soulève tout seul...). Elle a choisi le nom de Fisher en s'inspirant d'un personnage de série télévisée, quant à Sarah, elle trouvait que cela pouvait faire anglais, car son roman se déroule en Angleterre. Agnès Laroche a elle-même choisi le titre de ce roman, et est satisfaite de la première de couverture, elle trouvait en effet que la robe était bien faite, que la falaise présentait plutôt bien le début de l'action, cependant la fille représentée semble un peu trop âgée par rapport à Sarah.
Une rencontre inoubliable
L’auteur nous a avoué que dès son plus jeune âge, il avait un don pour « raconter
des histoires ». Il a commencé à faire des petits livres pour ses amis à leur anni-
versaire. En primaire, il était le plus petit , et malheureusement il se faisait har-
celer par un certain Jacky. Pour y échapper, Philippe Lechermeier a eu l’idée de
lui raconter des histoires. Ainsi, pour que Jacky ne le frappe plus, il avait l’obli-
gation de lui raconter une histoire tous les matins. L’auteur s’est d’ailleurs ins-
piré de cette mauvaise aventure pour écrire Le Journal secret du petit Poucet.
Philippe Lechermeier nous a également annoncé qu’il écrivait un tome 2 des
Lettres à plumes et à poils, qui s’appelle-
ra Lettres à plumes, à poils et à pétales. Il
nous a alors raconté en la mimant
« L’histoire du jardinier et de la rose ».
Le premier recueil, qui a eu beaucoup de
succès, a reçu le Prix Tam-Tam 2012.
L’auteur, pour écrire Princesses oubliées
ou inconnues, s’est inspiré de ses filles et
de son entourage (il a d’ailleurs beaucoup
pensé à une de ses anciennes voisines, qui
était assez désagréable, pour créer la princesse de Petsec. Ce superbe album est
illustré par Rebecca Dautremer.
Un de ses futurs projets est de réécrire la Bible, illustré par Rebecca Dautremer à
nouveau. Il pense que ce texte sortira fin 2013.
Nous avons vraiment apprécié cette rencontre avec Philippe Lechermeier. Elle
clôt notre année scolaire.
Pour prolonger les confidences de l’auteur, consultez son très beau site :
www.philippelechermeier.fr
Nous vous conseillons vivement la lecture de ces livres :
Les élèves de 6ème6 ont eu la chance de rencontrer au CDI le vendredi 11 mai
Philippe Lechermeier. Voici ses confidences.
Retrouvez au CDI quelques souvenirs…
Un week-end sur le salon très sym-
pathique en compagnie des auteurs
et des illustrateurs.
Des rencontres inoubliables et des
souvenirs plein la tête...
Poissons reporters