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192 16e Congrès de pneumologie de la
onclusion.— Complication rare, mais grave, l’HTAP doit êtreecherchée au cours de la MG, surtout en présence de facteurs deisques.
oi:10.1016/j.rmr.2011.10.874
86névrysmes de l’artère pulmonaire révélateurs de
a maladie de Behcet : à propos de 2 cas.S. Hadj Sadok , M. Chemache , M. Jaafar , Y. Djillali , R. Alloula
Service de pneumologie, Rouiba, Algérie
’anévrysme artériel pulmonaire (AAP) est une affection rare deronostic sombre, il se définit par une dilatation de la paroi de’artère pulmonaire. L’angio-Behcet est la principale vascularite à’origine de l’AAP.ous rapportons 2 dossiers d’AAP, colligés dans notre service auours l’année 2010—2011.as 1.— Un homme de 32 ans présente une hémoptysie de moyennebondance avec une tuméfaction douloureuse du membre inférieurauche et aphtoses buccales récurrentes. La radiographie thora-ique objective une opacité oblongue juxta-hilaire droite avec despacités alvéolaires homolatérales. La TDM thoracique retrouve unnévrysme et thrombose de la bronche lobaire inférieure de l’artèreulmonaire droite avec hémorragie alvéolaire. Une pneumonecto-ie a été préconisée en plus d’une corticothérapie, mais l’évolution
tait fatale suite à une hémoptysie foudroyante.as 2.— Une femme de 26 ans présente une hémoptysie de grandebondance avec des aphtoses bipolaire récurrentes. Le téléthoraxbjective un élargissement gauche du médiastin supérieur avec despacités alvéolaires gauche. La TDM thoracique retrouve un ané-rysme avec thrombose de l’artère pulmonaire gauche. Outre leraitement médical à base de corticoïdes, une embolisation arté-ielle et un remplacement vasculaire avec résection pulmonaire ontté préconisés, mais l’évolution était fatale.’atteinte anévrysmale artérielle pulmonaire est une affection raree pronostic redoutable, la maladie de Behcet est la vascularite lalus fréquente en cause. L’angioscanner thoracique est l’examen dehoix pour le diagnostic. L’évolution est le plus souvent dramatiquear hémoptysies foudroyantes d’où l’intérêt d’une prise en chargerécoce.
oi:10.1016/j.rmr.2011.10.875
87rofil radioclinique et étiologique du syndromeave supérieur. Étude de 67 cas. Morad , H. Benjelloun , N. Zaghba , N. Yassine , A. Bakhatar ,. Bahlaoui
Service des maladies respiratoires, CHU Ibn-Rochd, Casablanca,aroc
e syndrome cave supérieur (SCS) constitue un motif assez fré-uent de consultation en pneumologie. Ses étiologies sont dominéesar l’origine maligne. Nous rapportons une étude rétrospective de7 cas de syndrome cave supérieur, colligés au service des mala-ies respiratoires du CHU Ibn-Rochd de Casablanca sur une périodellant de 2000 à 2010. Il s’agit de 55 hommes (82 %) et 12 femmes18 %). La moyenne d’âge est de 52 ans (18—79 ans). Le tabagismest retrouvé dans 55 cas (82 %). L’aphtose bipolaire est noté danscas (6 %). Le scanner thoracique objective un processus tumoralu lobe supérieur dans 12 cas (18 %), médiastinopulmonaire dans9 cas (28 %), des adénopathies dans 20 cas (29 %), un processus
édiastinal dans 12 cas (18 %) et une thrombose de la veine caveupérieure isolée dans 3 cas (5 %). La bronchoscopie montre unenfiltration tumorale dans 23 cas (34 %). Le diagnostic étiologiquest confirmé par la bronchoscopie dans 20 cas (29 %), la ponction
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francaise, Lyon, vendredi 27 au dimanche 29 janvier 2012
iopasie transpariétale dans 12 cas (18 %), la médiastinoscopie danscas (13,4 %), la thoracotomie dans 3 cas (5 %) et la biopsie gan-lionnaire dans 6 cas (10 %). La maladie de Behcet est la cause danscas (6 %), le carcinome bronchogénique dans 33 cas (49 %), le car-inome thymique dans 4 cas (6 %), le cancer de l’œsophage danscas (3 %), le lymphome malin dans 11 cas (16,4 %). La chimiothé-
apie est administrée dans 21 cas (30 %), les anticoagulants danscas (10 %) et une corticothérapie dans tous les cas. L’évolution estonne dans 9 cas (15 %), marquée par le décès de 33 cas (49 %). Àravers cette série, nous insistons sur la difficulté du diagnostic étio-ogique devant un syndrome cave supérieur et la fréquence élevéees étiologies malignes.
oi:10.1016/j.rmr.2011.10.876
88a prévalence de l’hypertension artérielleulmonaire : expérience du service deneumologie de l’EHU d’Oran. Lellou , A. Belghitri , D. Terfani , M. Bouhadda , N. Gueza
Oran, Algérie
ntroduction.— L’hypertension artérielle pulmonaire (HTAP) est unealadie pulmonaire rare et grave, caractérisée par une augmen-
ation des résistances artérielles pulmonaires qui aboutit à unensuffisance cardiaque droite. Elle est définie par une pression arté-ielle pulmonaire supérieure à 25 mmHg au repos.bjectifs.— Décrire le profil épidémiologique des hypertensionsrtérielles pulmonaires pris en charge au niveau du service de pneu-ologie de l’EHU d’Oran.éthodes.— Il s’agit d’une étude descriptive prospective des cas’HTAP, diagnostiqués par une pression artérielle pulmonaire sys-olique élevée à l’échocardiographie durant la période 2009—2011.’analyse statistique a été réalisée par le logiciel épi info 6.04.ésultats.— Entre 01/09/2009 et 31/08/2011, 32 cas ont été inclusans cette étude. L’âge moyen des patients était de 66,6 ± 2,1 ansextrême 37—81) et une sex-ratio de 1,7. Plus de la moitié des cas58 %) ont été enregistrée durant l’année 2011. La notion de taba-isme a été retrouvée chez 63 % des cas. Le facteur de risque le plusncriminé était l’HTA systémique dans 47 % des cas. L’ensemble desas présentait une dyspnée (44 % de classe IV de la NYHA).’HTAP était primitive dans 6,3 % soit 2 cas alors que l’HTAP, duedes maladies respiratoires hypoxémiantes, occupait plus de 62 %
es cas suivi, les cardiopathies gauches avec 31,3 % des cas.onclusion.— L’hypertension artérielle pulmonaire reste une mala-ie rare, elle est méconnue des médecins même par les spécialistes,os malades n’ont pas bénéficié de traitement spécifique qui resterès coûteux.
oi:10.1016/j.rmr.2011.10.877
89omplications thromboemboliques au cours de lauberculose pleuro-pulmonaire. Feki , S. Azzabi , H. Smadhi , M.A. Baccar , J.B. Amar ,. Dahri , H. Gharsalli , H. Aouina , L. Gharbi , H. Bouacha
Service de pneumologie, hôpital Charles-Nicolle, Tunis, Tunisie
ntroduction.— Les infections respiratoires et particulièrement lauberculose ont été décrites comme des facteurs de risque de sur-enue de complications thromboemboliques du fait des troublesémostatiques qu’elles peuvent engendrer.ut.— Déterminer les sièges les plus fréquents de la maladie vei-
euse thrombo-embolique (MVTE) chez les tuberculeux ainsi quees difficultés rencontrées lors du traitement anticoagulant.atients et méthodes.— Tout patient atteint de tuberculose pulmo-aire ayant de facon concomitante une maladie thromboembolique