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Regards egards gards gards Regards Reg Reg Re Re gar gar gar gar Le magazine de la Plateforme de Donges Regards Sur un nez Projet d’investissement Des innovations techniques primées ! Avril 2016 Regard Regard Regard

Projet d’investissement Regards

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Page 1: Projet d’investissement Regards

RegardsRegardsRegardsRegardsRegardsRegardsRegardsRegardsRegardsRegardsRegardsRegardsRegardsRegardsRegardsRegardsRegardsRegardsRegardsLe magazine de la Plateforme de Donges

RegardsRegardsRegardsRegardsRegardsRegardsRegardsRegardsRegards

Sur un nez Projet d’investissement

Des innovations techniques primées !

Avril 2016

RegardRegardRegard

Page 2: Projet d’investissement Regards

Édito

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RegardsRegardsRegardsRegardsRegardsRegardsRegardsRegardsRegardsRegardsRegardsRegardsRegardsRegardsRegardsRegardsRegardsRegardsRegardsRegardsRegards un métier

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Regard sur

Zoom sur … un nez

Pour rappel, qu’est-ce qu’un « nez » ? Un « nez » est une personne volontaire pour être formée à

reconnaître des molécules présentes dans diverses odeurs.

Répartis sur une zone prédé� nie, nous travaillons conjoin-

tement avec l’organisme Air Pays de Loire, pour veiller à ce

que l’air reste sain et surtout pour alerter au besoin, de la

présence d’une odeur suspecte.

Pour mieux comprendre votre rôle, comment se déroule le travail d’un « nez » ?En mai dernier, j’ai suivi une formation de huit semaines

(deux jours par semaine) a� n d’apprendre le langage olfac-

tif et les démarches à e� ectuer. Durant cette période, on m’a

remis divers documents accompagnés d’un «  Référentiel

Odorant  ». Cette boîte, contenant des échantillons de

molécules diluées, me permet de m’entraîner chaque jour

à identi� er des molécules soufrées, aromatiques….

Tous les matins et tous les soirs, je dois respecter une olfac-

tion quotidienne pour véri� er que l’air environnant ne soit

pas chargé en odeur «  inhabituelle  ». Ainsi, de chez moi

j’ouvre une fenêtre ou une porte et j’hume l’air normale-

ment. Sans forcer. Dès lors, je m’interroge sur la présence

ou non d’une odeur particulièrement désagréable et/ou

forte.

Durant des olfactions complémentaires, comme des sor-

ties en extérieur (promenade, sport…), j’ai désormais le ré-

� exe d’analyser l’air qui m’entoure. A savoir qu’à telle heure

et à tel endroit, j’ai reconnu telle molécule de niveau  2,

4 ou 6. Ces niveaux permettent d’évaluer graduellement

l’intensité des odeurs.

Intégrés dans une démarche régionale, des colloques

entre les di� érents « nez » de Basse Loire, Pays de la Loire

et Pays de Normandie sont organisés chaque année. Ces

La plateforme de Donges a lancé en 2015, en s’appuyant sur Air Pays de Loire, un réseau de 16 volontaires formés pour reconnaître les odeurs des sites industriels. Jean-Pierre Gerbaud, salariés de la plateforme de Donges TOTAL et habitant de la ville de Donges, est l’un d’entre eux. Il nous explique en quoi consistent les relevés olfactifs auxquels chaque nez doit procéder.

événements sont l’occasion pour chacun d’échanger sur

son expérience personnelle, mais aussi de discuter avec des

représentants d’autres sites industriels. 

Vous êtes un salarié dongeois de la ra� ne-rie. Réalisez-vous des missions au sein du site industriel de Donges ?Oui. Grâce à l’apprentissage du langage olfactif, on m’a

déjà demandé d’intervenir à divers endroits, pour identi-

� er une odeur particulière. Le but étant de reconnaître une

molécule précise, pour pouvoir trouver sa source et recher-

cher une solution pour en réduire les e� ets olfactifs. 

Un référentiel odorant a été fourni à chaque volontaire

Sommaire

Zoom sur... un nez . . . . . . . . . . . . . .3

Des innovations techniques

primées :

• Valtex : Les terres souillées

� nissent en briques . . . . . . . . . . . . .4

• Des analyseurs en ligne

bien élevés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .5

Projet d’investissement . . . . . . 6-7

La communication digitale

de la Plateforme se développe ! . .8

2015 restera une année

doublement historique

pour la plateforme Total

de Donges.

Elle a connu, d’une part,

un premier arrêt complet

de ses installations pour

des travaux XXL. Un dé� technique et humain par-

faitement relevé.

D’autre part, l’annonce, en avril, d’un investisse-

ment de 400M€ apporté par le Groupe Total pour

moderniser le site de Donges d’ici 2020, a levé

toutes les inquiétudes qui pesaient sur lui, sur-

tout dans le contexte économique pétrolier extrê-

mement complexe que nous connaissons depuis

un an.

Les équipes de Donges sont ainsi entrées dans

l’année 2016 en préparant demain, enthousias-

mées par les nouveaux enjeux à relever avant

la mise en fonctionnement des nouvelles uni-

tés de fabrication et le contournement de la

voie ferrée, dans le respect de la Sécurité et de

l’Environnement.

Je suis heureux que la Plateforme de Donges s’ins-

crive encore durablement dans son territoire et

puisse permettre à son bassin socio-économique

de béné� cier de son dynamisme.

A l’aube de ce nouvel horizon, les équipes du site

s’emploient à innover et à répondre au plus près

des attentes de ses clients et parties prenantes,

ainsi que ce nouveau numéro de Regards vous

permet de le découvrir.

Bonne lecture,

Frédéric Pavard,

Directeur

Regards n°10Directeur de la publication : Frédéric PavardDirection de la rédaction : Sébastien Cherpion,

Nathalie Wambergue Rédaction : Sophie Louis, Flora LeclèreCrédits photos : Ra� nerie de Donges, Michel Labelle Conception graphique : www.lavoie-media.com Frédéric Pavard,

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Page 3: Projet d’investissement Regards

Dans une logique d’éco-

nomie circulaire, le ser-

vice Environnement de la

Plateforme a initié depuis

plusieurs années un projet de

réhabilitation des terres souil-

lées récupérées sur le site (tra-

vaux, etc.). Explications avec

Florence Brocard, en charge

du service.

D’où viennent les terres excavées ?Des di� érents travaux de fouille. Au total, nous récupé-

rons plusieurs centaines de tonnes de terres par an.

Quel est l’enjeu de ce projet très innovant ?Nous avons créé une véritable zone de traitement avec

des biopiles pour enlever la matière organique comme

les hydrocarbures, criblage des terres, analyses conti-

nues puis concassage. Nous sommes ainsi autonomes

pour traiter les terres récupérées sur les 350 hectares

que compte la ra� nerie.

Plusieurs domaines sont concernés par cette

innovation :

• Environnement  : cela représente une nette diminu-

tion du nombre de camions, qui venaient sur le site

récupérer les terres pour les acheminer vers les sites

de traitement adéquats. Un gain donc en émissions de

CO2 et en sécurité routière.

• Economie : nous diminuons de façon très sensible les

coûts de transport et d’élimination des déchets.

• Technique : nous avons développé ce projet avec des

partenaires spécialisés dans les matériaux.

Des innovations techniques primées !La R&D* sur la Plateforme de Donges existe ! Sensibilisées à l’optimisation et à l’analyse des techniques utilisées, les équipes du site adaptent en permanence les process. Deux beaux exemples d’innovations, tous deux primés en 2015 parmi des centaines de projets Total internationaux. Revue de détail…

Frédéric HaspotFlorence Brocard

Pro� tant du Grand Arrêt que la

Plateforme a vécu en mai et juin

2015, le service Analyseurs du

site a mis en place un prototype

de système d’analyseur en ligne

bien particulier. Explications avec

Frédéric Haspot, pilote du projet

pour Donges.

Pourquoi un tel prototype sur le site de Donges ?Primo, les unités de la ra� nerie de

Donges o� rent l’avantage de pou-

voir traiter des pétroles bruts assez

atypiques et variés, appelés «  bruts

d’opportunité », intéressants à traiter

en termes de marge, ce qui est intéres-

sant sur un marché contraint !

Plusieurs présentent des caractéris-

tiques particulières et il était néces-

saire d’avoir un outil qui mesure les

impacts et les réactions physico-chi-

miques de certains bruts ensemble.

Le système créé par le département

R&D et la Direction Industrielle du

Groupe est destiné à évaluer le carac-

*R&D : Recherche et Développement

tère corrosif des bruts lorsqu’ils sont

chau� és. Car deux bruts dits « acides »

ensemble peuvent ne plus être corro-

sifs et vice-versa…

Pour franchir l’étape « essais en labo-

ratoire » vers les « tests en réel », l’ins-

tallation a été faite l’été dernier, alors

que toutes les unités étaient stoppées

ou mises en veille.

Comment procède-t-on à la mise en place d’un outil si novateur ?Déjà, grâce à une grande transversa-

lité et réactivité des équipes Total et

Entreprises Extérieures  ! Le calendrier

des travaux du Grand Arrêt était déjà

bien dé� ni depuis plusieurs mois et

quand le prototype a été � nalisé et

qu’il était possible de le mettre sur le

site, il a fallu bousculer un peu le plan-

ning du Grand Arrêt.

Au préalable un travail de fond a été

réalisé entre la recherche et le service

inspection de la ra� nerie pour dé� nir

le positionnement des points de me-

surage (chambre de passage soudée

sur la tuyauterie).

Les services Production et Mainte-

nance ont étudié les emplacements

les plus adéquats pour la pose des cof-

frets analyseurs au sol (2 exemplaires

de la sonde), le service Système a créé

les synoptiques de lecture et d’analyse

des informations.

VALTEX : Les terres réhabilitées � nissent en briques

Des analyseurs en ligne bien élevés

Comment les terres nouvellement net-toyées peuvent-elles être utilisées ?Nous avons procédé depuis plusieurs mois à la fabri-

cation de « pilotes » en béton et regardé comment ils

évoluaient avec le temps, accompagnés des avis des

experts adéquats  : une dalle en ciment de 675m2, 50

blocs encastrables, tels de gros blocs de jeux Légo pour

enfants  ! Nous projetons également la création de pi-

lotes routiers (routes, chemins…).

Ce projet peut-il intéresser d’autres socié-tés proches de la Plateforme ?Bien entendu, de nombreux confrères sont ou peuvent

êtres intéressés par notre savoir faire et notre station de

traitement des terres. Néanmoins, selon les règles euro-

péennes liées aux déchets, dès que des terres souillées

quittent les limites d’un site, c’est pour être acheminées

en tant que déchets, et en tant que tels, elles doivent

être envoyées vers des sites de traitement o� ciels.

Donc pour le moment, nous traitons uniquement les

terres récupérées dans notre enceinte.

Prix du PublicInnovation

Awards

1 erPrix ex-aequoComitéTechnologie

Quels résultats, après 6 mois de fonctionnement ?Déjà, le système global fonctionne

bien ! Les changements de bruts sont

bien identi� és, les données sont bien

lisibles. Leur analyse est prometteuse

et permet d’envisager des optimisa-

tions dans le traitement des bruts. Des

mélanges inédits jusque-là pourront

voir le jour.

Tout cela nous permet d’avoir une

réelle vision du comportement du

matériel, du métal sous l’action de

certains produits à haute tempéra-

ture. Cette analyse � ne induit notam-

ment une connaissance plus grande

de l’usure du matériel.

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les innovationsRegard sur

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Page 4: Projet d’investissement Regards

Projet d’investissementAnnoncé en avril dernier, le plan pour le ra� nage de Total en France comprend la modernisation du site de Donges. Un investissement de 400 millions € a� n d’assurer à la plateforme de nouveaux débouchés rentables, avec la construction de deux nouvelles unités de fabrication. L’équipe Projet se constitue progressivement. Laurent Lemaire, qui fut responsable du département Production du site, vient de l’intégrer, en tant que pilote…de l’intégration. Explications.

Le projet de modernisation de la plateforme de Donges permet également de consolider l’activité du Port Maritime, dont 50% du tra� c sont liés à Total.

Concrètement, quelles unités vont être construites ?Quelles seront leurs fonctions ?La première unité, dite d’ « hy-

drotraitement  », va permettre

de retirer le soufre et l’azote du

gazole, avant son traitement

par une autre unité. Le produit

sera ainsi de meilleure qualité et favorisera la production

de produits légers.

Il faut en e� et comprendre que le marché demande de

moins en moins de produits lourds (� oul domestique par

exemple) et de plus en plus de produits légers, tels que le

gazole dont le marché français est dépendant. De même,

les spéci� cations européennes évoluent et il faut s’y

adapter.

La seconde unité produira, à partir de gaz naturel, de

l’hydrogène, nécessaire au fonctionnement de la première

(hydrotraitement). Nous passerons un contrat de fourni-

ture à long terme avec une entreprise spécialisée dans le

gaz industriel.

Où en est le projet à ce jour ?Nous sommes en phase de process Design Package pour

l’unité d’hydrotraitement  : suite à un appel d’o� re, nous

avons choisi le procédé de la société française Axens. C’est

ce bailleur de licence qui dé� nit aujourd’hui le schéma de

l’unité et la taille des équipements nécessaires. Cette phase

se terminera dans les prochaines semaines.

Laurent Lemaire

Et après, quelles seront les étapes ?Pour l’unité d’hydrotraitement, la prochaine étape, pla-

ni� ée sur 2016 et 2017, permettra d’aller plus loin dans

le détail, d’a� ner à +/- 10% le coût � nal du projet. Cette

phase sera suivie de l’EPC-Enginiering, Procurement,

Construction  : on entre dans le concret avec les der-

nières études de détail, la construction de l’unité et son

démarrage.

Pour l’unité de production d’hydrogène, nous lancerons

début 2016, un appel d’o� res pour choisir, dix mois plus

tard, le fournisseur.

En parallèle de ces étapes, nous travaillons déjà à l’élabo-

ration des dossiers administratifs et à l’intégration du pro-

jet dans le site.

Vous êtes en charge de l’intégration du projet : en quoi consiste cette fonction ?Les unités neuves vont devoir s’intégrer au sein d’un site

existant, en fonctionnement, qui possède ses propres ca-

ractéristiques et contraintes. Nous devons veiller à ce que

cette imbrication se fasse harmonieusement, à toutes les

phases du projet.

Ainsi, je veillerai, durant la phase d’étude, que les équipes

en charge du design des deux unités partagent avec

celles de la plateforme, qui connaissent parfaitement les

unités. Idem durant la constitution des dossiers o� ciels

d’autorisation.

Je dois préparer aussi la phase de construction des unités,

la gestion des travaux pour perturber le moins possible le

quotidien du site, la préparation du démarrage et le fonc-

tionnement courant de l’HDT et du SMR : exploitation, main-

tenance, inspection, ordonnancement, laboratoire, etc.

Tout cela doit être coordonné en amont, tout au long de la

vie du projet et je serai le le correspondant interne privilé-

gié des équipes internes.

Quels risques, quels écueils devons-nous éviter ?Que les unités ne soient pas correctement intégrées en

termes d’utilités, de rejets ou de qualité des charges ou des

produits ! La phase d’intégration doit aussi permettre d’ob-

tenir en temps et en heure les autorisations nécessaires.

Le projet va avoir un impact fort sur le fonctionnement du

site, il faut en faire un succès total pour obtenir les résultats

attendus : un site plus performant.

Les travaux représenteront

2 millions

600 emploisd’heures de travail,

de temps plein sur 2 ans

soit l’équivalent

©Michel Labelle

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La communication digitale de la Plateforme se développe !L’année 2016 marque un tournant dans la stratégie de communication digitale. En e� et dans une volonté de répondre davantage aux attentes des riverains, la Plateforme de Donges va prochainement mettre en place unsystème d’envoi de newsletter et informant par SMS.

Un nouveau site internet, pour de nouvelles fonctionnalitésDepuis 2015, le site internet

de la plateforme a muté. En ef-

fet, le Groupe TOTAL a souhaité

uniformiser ses di� érents sites

par une nouvelle charte digitale

qui se veut plus moderne et plus

intuitive. Cette nouvelle version a

permis à la Plateforme de Donges

de revoir son contenu et surtout de

développer de nouveaux services

web.

La newsletter, une autre manière de communiquerUne newsletter, ou lettre d’information, est un docu-

ment envoyé de manière périodique par courrier élec-

tronique aux personnes s’étant préalablement inscrites. 

En  local, ce nouveau moyen de communication per-

mettra aux inscrits de recevoir au minimum deux ar-

ticles inédits et un récapitulatif des nouveautés postées

sur le site internet. Le but principal de ce service est de

créer un véritable lien de proximité et de partage avec

les riverains qui le souhaitent.

Toute personne intéressée par ce service peut d’ores et

déjà s’inscrire en remplissant le formulaire disponible

sur le site internet de la Plateforme.

de la plateforme a muté. En ef-

fet, le Groupe TOTAL a souhaité

uniformiser ses di� érents sites

par une nouvelle charte digitale

qui se veut plus moderne et plus

intuitive. Cette nouvelle version a

permis à la Plateforme de Donges

de revoir son contenu et surtout de

développer de nouveaux services

La newsletter, une autre manière de

Liens utiles• Site internet : www.donges.total.fr

• Formulaire d’inscription aux nouveaux services web : www.donges.total.fr/formulaire-dinscription-la-newsletter

Gagner en réactivité grâce aux informa-tions par SMSLa Plateforme de Donges étant un site industriel à haut

risque, elle est soumise à deux procédures de sécu-

rité  : le POI et le PPI. En complément des informations

générales rappelées dans le dépliant encarté dans le

magazine municipal de janvier, la Plateforme éto� e son

dispositif d’information avec la mise en place d’un sys-

tème d’envoi de messages d’informations aux riverains,

via les canaux de télécommunications.

Chaque personne qui se sera préalablement inscrite via

le site internet pourra recevoir sur son téléphone por-

table un court message, l’informant d’un incident envi-

ronnemental l’impactant. Des services gratuits et sans

engagements.

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