Mai 2010

Projet visant l’atténuation des risques d’incendie en République

Démocratique du Congo via la distribution du produit «DETECT

INTERNATIONAL »

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1. Contexte

Depuis la nuit des temps, les préoccupations liées à la prévention des risques d’embrasement, en vue de s’épargner des dégâts matériels, des pertes en vies humaines ainsi que des charges financières énormes qui en résultent dans la prise en charge et l’indemnisation des sinistrés, ont toujours constitué un des défis majeurs autour duquel se focalise l’attention tant des Etats, des particuliers que de certaines organisations non étatiques dans la recherche effrénée des voies et moyens susceptibles de réduire autant que possible la survenance des sinistres s’y rapportant.

Conscient de cet état de choses, la République Démocratique du Congo a légiféré dans ce domaine à travers la promulgation de la loi n°74/008 du 10 juillet 1974 particulière portant assurance obligatoire des risques d’incendie de certains bâtiments, encore en vigueur à ce jour.

A cet effet, nonobstant le fait que les stipulations des articles 1, 2, 3 et 6 de la loi précitée font obligation à l’Etat, aux organismes étatiques personnalisés ainsi qu’aux particuliers, propriétaires-exploitants des bâtiments, de souscrire des polices d’assurances pour lesdits bâtiments, la mise en application de cette loi se heurte cependant à un certain nombre de pesanteurs.

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En considération de ce qui précède, il s’avère alors impérieux d’envisager la possibilité d’instituer un cadre réglementaire spécifique en termes de mécanismes de renforcement quant à l’application de la loi susvisée, cadre devant permettre par ricochet à la Société Nationale d’Assurances (SONAS), établissement public ayant le monopole d’exploitation dans le secteur des assurances en République Démocratique du Congo, de réaliser des plus values d’exploitation susceptibles d’être affectées au financement d’autres projets de développement, ce, conformément à sa vocation.

Dans cette perspective, le cadre réglementaire ad hoc susvisé, que sera appelé à prendre le cas échéant l’autorité assumant la tutelle technique de la SONAS, à savoir Son Excellence Madame le Ministre du Portefeuille, s’inspirant de l’expérience canadienne en la matière, devra s’appuyer sur la distribution sur l’ensemble du Territoire congolais, sous les auspices de la SONAS, en partenariat avec le Groupe Maluma sprl, du produit : « DETECT », objet du présent projet.

2. Solution globale et détaillée

Comme stigmatisé ci-haut, l’existence du cadre légal susévoqué n’a pas suffit pour mettre à l’abri les populations congolaises ainsi que les institutions étatiques contre les conséquences néfastes résultant des cas d’incendie.

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Concernant la SONAS, elle continue à faire fasse à des sinistres d’origine d’un incendie et dont l’indemnisation requiert la mobilisation des sommes importantes, alors que la situation pouvait carrément être évitée ou du moins atténuée, moyennant certaines mesures de précaution, à l’instar de ce que le Groupe Maluma sprl propose à travers le recours à l’usage du produit DETECT.

DETECT, avertisseur de fumée d’une fiabilité éprouvée, et fort des ses caractéristiques techniques détaillés ci-après, est la solution qui répond parfaitement aux préoccupations de la République Démocratique du Congo en cette matière.

Pour mieux appréhender l’utilité de ce produit en République Démocratique du Congo, l’échantillon de cas d’incendie qui suit tiré de la presse congolaise, en est très édifiant et traduit de manière éloquente le besoin réel d’épargner les congolais des aléas qui en résultent.

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L’incendie aux cliniques universités de Kinshasa a causé de sérieux (Par BONGOS ROGER - Publié dans : Société)

Un incendie d'une rare intensité dont les causes restent encore inconnues s'est produit mercredi soir aux cliniques universités de Kinshasa (CUK) où l'on déplore de nombreux blessés et brûlés et beaucoup de dégâts matériels, a-t-on appris mercredi de sources sûres. Le feu serait parti du service des archives jusqu'aux laboratoires. Selon les sources, parmi des dégâts, on signale la perte des archives de cette formation médicale depuis 1954 jusqu'à ce jour. Les équipements des laboratoires ont été aussi touchés par le feu. Il en est de même du bâtiment de la maternité, des murs et des plafonds.

Les mêmes sources précisent qu'il y a eu la première séance d'évaluation faite par le ministre de l'Enseignement supérieur et universitaire, Léonard Mashako Mamba qui est descendu personnellement sur place, en compagnie des autorités de l'UNIKIN et de l'équipe dirigeante des cliniques universitaires à laquelle a été convié le colonel de la brigade d'intervention anti-incendie. Rien n'a filtré de cette première évaluation qui va se poursuivre jusqu'à jeudi et aucune perte en vies humaines n'a été enregistrée jusqu'ici, renseigne-t-on. Il a fallu 45 minutes à la brigade anti-incendie pour maîtriser l'incendie.

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La série continue Après la boulangerie UPAK, c’est MARSAVCO qui s’embrase! Par BONGOS ROGER /Congo Democrat.

Un incendie s’est déclaré dans les installations de MARSAVCO le lundi 15 février 2010 à minuit. L’ampleur du feu était moindre par rapport à l’UPAK qui a payé une facture lourde. C’est grâce à leurs extincteurs, que les travailleurs de MARSAVCO ont réussi à éteindre le feu. Heureusement, peut-on dire. Suite à un court-circuit du courant électrique, une partie de l’usine « Facilitas » où sont fabriquées les huiles et la margarine blue Band, un feu s’est déclaré dans les installations. Cette situation, n’a durée que l’espace d’une heure. Mais, dans ce peu de temps, quelques machines de fabrication s’étaient endommagées. Et, c’est grâce au secours des ingénieurs, que le feu s’est éteint, ce qui a permis de préserver les autres machines ou l’autre partie de l’Usine, notamment la Savonnerie.

On ne déplore pas des morts ni même des blessés, à part des émotionnés. Pour éviter des tels aléas, les observateurs préconisent que la Snel procèdent régulièrement au contrôle des dispositifs électriques dans chaque usine (pourquoi pas dans chaque maison), pour éviter à ce que les incendies embrasent toutes les usines de la ville de Kinshasa, étant donné que ça pourrait, un jour, provoquer beaucoup des morts. A n’en point douter, à Kinshasa, le courant électrique crée des dégâts, d’une manière ou d’une autre. Dans des maisons tout comme au sein des compagnies. Le récent drame de l’UPAK, devrait interpeller non seulement les responsables des usines, mais aussi la Société Nationale de l’Electricité qui en a une responsabilité. Cette dernière doit toujours prévoir des dispositifs de sécurisation. Par-dessus tout, la ville doit fournir beaucoup, alors beaucoup d’efforts, en vue de se doter des véhicules anti-incendie.

Un incendie s’est déclaré dans les installations de MARSAVCO le lundi 15 février 2010 à minuit. L’ampleur du feu était moindre par rapport à l’UPAK qui a payé une facture lourde. C’est grâce à leurs extincteurs, que les travailleurs de MARSAVCO ont réussi à éteindre le feu. Heureusement, peut-on dire. Suite à un court-circuit du courant électrique, une partie de l’usine « Facilitas » où sont fabriquées les huiles et la margarine blue Band, un feu s’est déclaré dans les installations. Cette situation, n’a durée que l’espace d’une heure. Mais, dans ce peu de temps, quelques machines de fabrication s’étaient endommagées. Et, c’est grâce au

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secours des ingénieurs, que le feu s’est éteint, ce qui a permis de préserver les autres machines ou l’autre partie de l’Usine, notamment la Savonnerie.

On ne déplore pas des morts ni même des blessés, à part des émotionnés. Pour éviter des tels aléas, les observateurs préconisent que la Snel procèdent régulièrement au contrôle des dispositifs électriques dans chaque usine (pourquoi pas dans chaque maison), pour éviter à ce que les incendies embrasent toutes les usines de la ville de Kinshasa, étant donné que ça pourrait, un jour, provoquer beaucoup des morts. A n’en point douter, à Kinshasa, le courant électrique crée des dégâts, d’une manière ou d’une autre. Dans des maisons tout comme au sein des compagnies. Le récent drame de l’UPAK, devrait interpeller non seulement les responsables des usines, mais aussi la Société Nationale de l’Electricité qui en a une responsabilité. Cette dernière doit toujours prévoir des dispositifs de sécurisation. Par-dessus tout, la ville doit fournir beaucoup, alors beaucoup d’efforts, en vue de se doter des véhicules anti-incendie.

Incendie de l’Hôtel des monnaies (Banque Centrale du Congo). Il y a à raisonner !

L’incendie qui s’est déclaré, dans la nuit du mercredi 21 au jeudi 22 avril 2010 au deuxième niveau souterrain de l’Hôtel des monnaies, est dû à une surtension créée par une décharge électrique.

Incendie à l'usine de panification de Kinshasa (Upak)

Dans la nuit de vendredi 5 à samedi 6 février 2010, un grave incendie a ravagé le dépôt de l'usine de panification de Kinshasa (Upak) connue communément sous le nom de Mama Poto, dans la commune de Ngiri-Ngiri. Près de 60.000 sacs de farine de froment ont pris feu à cette occasion dramatique.

Face à cet incendie qui a ravagé une partie de ses installations industrielles, l'Upak se donne le temps de faire aboutir toutes les démarches et enquêtes susceptibles de démontrer la cause ou l'origine exacte de cet incendie déplorable.

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Cet incendie à l'usine Upak remet à jour la question de la dotation de la ville de Kinshasa d'un service anti-incendie capable d'intervenir efficacement pour limiter des dégâts en cas de sinistre. Les destructions causées sur le bâtiment de cette usine auraient été moindres si la capitale disposait d'un dispositif moderne du service anti-incendie. Ce n'est pas le cas malheureusement.

Le moment est venu de mettre sur pied une stratégie conséquente pour éviter que pareil drame ne survienne dans l'avenir.

Rombaut Ot.

Dans le même ordre d’idées que ci-dessus, et pour compléter notre récit au sujet de l’utilité du produit avertisseur d’incendie « DETECT », que propose le Groupe Maluma sprl à la République Démocratique du Congo en vue de lutter contre la survenance de ce genre de drame, il sied de noter les déclarations dont la teneur suit, faites par les chefs des pompiers du Canada à cet effet.

• Les chefs de pompiers du Canada publient d'urgence de l'information sur la sécurité à domicile après une fin de semaine meurtrière marquée par six décès

TORONTO, le 29 mars /CNW/ - Six personnes ont trouvé la mort en fin de semaine dans quatre incendies de résidences distincts, à Montréal et à Toronto, ce qui amène les chefs de pompiers du Canada à agir en distribuant de l'information susceptible d'aider les propriétaires et les locataires à faire les bons choix afin d'assurer la sécurité de leur domicile.

Tandis que les chefs du service des incendies des deux villes continuent d'enquêter sur chacune de ces tragédies, l'ACCP rappelle de toute urgence aux Canadiens que les avertisseurs de fumée en état de marche sauvent des vies. Un graphique qui avait été publié dans un récent envoi postal à plus d'un million de domiciles canadiens, produit par l'ACCP avec l'appui de Kidde Canada, a été publié de nouveau, accompagné des conseils suivants :

1) Installez un avertisseur de fumée par étage et dans le corridor menant aux chambres à coucher. 2) N'enlevez jamais un avertisseur du plafond à la suite d'une fausse alerte. 3) Au moins une fois par an, remplacez les piles de tous les avertisseurs de fumée par des piles neuves. 4) Remplacez systématiquement les avertisseurs de fumée qui ont plus de 10 ans.

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5) Avec votre famille, préparez un plan d'évacuation en cas d'incendie.

Des recherches démontrent que dans la majorité des incendies meurtriers survenus au Canada, on constate que les avertisseurs avaient été soit enlevés, soit manipulés. Une étude menée par Underwriters Laboratories, une organisation indépendante et sans but lucratif d'essai et de certification de la sécurité des produits, a également permis de constater qu'avec les matériaux très inflammables utilisés aujourd'hui dans l'ameublement intérieur, les occupants ont moins de trois minutes pour s'échapper d'un incendie. Il est donc essentiel de disposer d'une alerte précoce.

3. Financement, Coûts et Modalité de Règlement

En raison à la fois des pratiques généralement observées en la matière que des options devant être préalablement levées au cours des discussions qui auront lieu le cas échéant entre le Groupe Maluma sprl et l’Etat Congolais, nous émettons les réserves d’usage quant au contenu de cette rubrique.

4. Présentation de la société opératrice

Ce projet est piloté par la société connue sous le label de « Groupe Maluma », dont le logo est présenté sur la page de garde du présent document. Elle est basée tant à Montréal au Canada qu’à Kinshasa en République Démocratique du Congo.

Au Canada : enregistré sous le numéro 3748871 Canada inc.

Ses activités portent notamment sur les domaines ci-après : Ø Cabinet de marketing et communication ;

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Ø Consultant indépendant pour la RDCongo; Ø Import – Export.

En République Démocratique du Congo :

Elle s’identifie sous la dénomination de GROUPE MALUMA sprl, ayant son siège social sis, n° 7347, av. Kabasele Tshiamala (ex-Flambeaux), C/de la Gombe, à Kinshasa, immatriculée au Nouveau Registre de Commerce sous le numéro 54438 et à l’Identification Nationale sous le numéro 01-9-N49530R, Numéro d’impôt 0317880.

Ses activités en RDC portent notamment sur : Ø Le commerce général d’import – export ; Ø Le secteur immobilier(Construction) ; Ø Location des échafaudages.

Elle représentée auprès des tiers par son Directeur Général, Monsieur Claude MALUMA MUNGONGO, Tél 00243/0816390582, Email : m.maluma@sympatico.ca

5. Réalisations à l’actif du Groupe Maluma en RDC

Ø Initiateur et facilitateur des contacts ayant abouti à la visite en RDC en 2004 du très honoré Monsieur Jean-Chrétien, Ancien Premier Ministre du Canada ;

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Ø Auteur et acteur principal dans les négociations qui avaient permis le financement en 2004 par l’ACDI (Agence Canadienne de Développement International) de l’élaboration de l’actuel code minier de la RDCongo ;

Ø Promoteur culturel de certains groupes musicaux congolais.

6 Présentation du produit

DETECT est un produit d’origine canadienne, Il présente les caractéristiques ci-après :

Ø Hauteur : 11.2In ; Ø Hauteur assemblée : 11.2 In ;

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Ø Largeur du produit : 7.5 In ; Ø Modèle : 0918KCA N° UGS du catalogue en ligne : 939701 N° UGS du magasin :

1000416674 ; Ø Poids de l’article : 0.7 Lbs ; Ø Profondeur de l’article : 2In

Il s’agit au fait d’un avertisseur de fumé non encombrant, devant être placé au plafond ou dans un quelconque emplacement en hauteur d’un bâtiment. Son action consiste à déclencher une alarme dès le début de la manifestation d’une fumée d’origine d’un d’incendie afin de permettre une intervention rapide, empêchant ainsi au feu de se développer et de s’épargner des dégâts subséquents, souvent énormes, voire irréparables.