Rapport d’activité 2014 - Syngenta...rons plus particulièrement nos efforts sur les petits exploitants, qui présentent le plus grand potentiel en matière d’accroissement du

Rapport d’activité 2014

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* Le Plan de croissance responsable

Assurer notre avenir ensemble

L’activité de Syngenta est au service de l’un des secteurs économiques les plus importants au monde : l’agriculture. Or, ce secteur est confronté aujourd’hui à un défi majeur pour notre planète : répondre aux besoins alimentaires d’une population mondiale en pleine expansion. Chaque jour, le monde compte 200 000 nouvelles bouches à nourrir alors que les ressources agricoles de la planète sont déjà soumises à une pression sans précédent. Avec le Plan de croissance responsable (The Good Growth Plan), Syngenta s’engage à aider les agriculteurs dans le monde entier à relever ce défi d’une manière durable.

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Le Plan de croissance responsable au cœur de notre stratégieLe Plan de croissance responsable fait partie intégrante de notre stratégie. Il nous engage à mieux comprendre les besoins les plus pressants des acteurs du monde agricole afin de développer des solutions adaptées pour les satis faire aujourd’hui et dans un avenir proche.

A travers notre offre intégrée (Semences, Phyto, Biocontrôle…), nous nous concentrons sur six enjeux cruciaux qui façonnent la durabilité future de l’agri culture afin d’offrir des solutions de meilleure qualité, plus productives et plus bénéfiques pour les économies rurales.

Dans le cadre du Plan de croissance responsable, l’efficacité des ressources doit soustendre la productivité actuelle, la résilience des écosystèmes est nécessaire pour soutenir la productivité future et une large transmission des connaissances est indispensable pour renforcer les communautés rurales. Il attire également notre attention sur les petits exploitants dans les pays émer gents. Sa mission globale consiste à améliorer la durabilité de l’agriculture et de notre activité.

Qu’avons-nous accompli au cours de notre première année ?Les objectifs de notre Plan de croissance responsable sont volontairement ambitieux et des efforts importants restent à mener pour les satisfaire pleinement.

En 2014, nous avions pour objectif d’asseoir les bases de notre activité. Nous avons constitué des réseaux de fermes repères et de référence, recueilli des données de base et clarifié la manière de suivre et vérifier au mieux les avancées réalisées. Cette première étape a fourni de précieux renseignements à nos équipes commerciales et de développement de produits.

Dans le même temps, nous avons créé des programmes de gestion des sols et pour la biodiversité afin d’améliorer les écosystèmes agricoles. En étendant notre activité aux petits exploitants des pays émergents, non seulement nous apportons à nos clients nos produits, mais nous leur permettons également un accès facilité aux marchés, au savoir, aux technologies, et à des programmes de formation pour plus de sécurité d’utilisation.

Ce rapport détaille les principaux faits marquants de notre travail au cours de cette première année, ainsi que nos priorités pour 2015, pour chacun de nos six engagements.

Le Plan de croissance responsableRapport d’activité 2014

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Pourquoi est-ce important ?L’humanité devra produire plus de nourriture dans les 50 prochaines années qu’au cours des derniers 10 000 ans et devra le faire en utilisant mieux les ressources. Le changement climatique pourrait rendre cette tâche encore plus difficile.

Comment avons-nous l’intention d’y parvenir ?Outre l’utilisation de notre assise technologique et de notre stratégie intégrée, nous allons collaborer avec nos parte naires. Au premier rang de ceuxci figurent les agriculteurs qui travaillent avec nos produits chaque jour. Nous concentrerons plus particulièrement nos efforts sur les petits exploitants, qui présentent le plus grand potentiel en matière d’accroissement du rendement et d’amélioration du niveau de vie.

Qu’avons-nous accompli au cours de la première année ?Afin de mesurer notre progression, nous avons développé un réseau d’environ 850 fermes de référence. Ces agri culteurs travaillent aux côtés de nos experts sur le terrain dans le but d’augmenter leurs rendements et de montrer ce que nos solutions permettent de réaliser sur l’en semble des cultures et des régions de nos marchés clés. Afin d’établir des points de référence illustrant ce que les agriculteurs sont actuellement en mesure d’accomplir, nous avons également recruté un réseau mondial d’un peu plus de 2 700 fermes repères.

Toutes les données relatives aux intrants et à la production sont recueillies, validées et analysées par une société indépendante, Market Probe. Ensemble, nous avons élaboré des outils de collecte des données et mis au point des indicateurs de mesure et des procédures opérationnelles. Ceuxci, à leur tour, ont été évalués de manière indépendante par PwC. Ce programme de collecte de données est sans précédent, tant en termes d’envergure que de rigueur, et offre à nos scientifiques et nos experts sur le terrain de nouvelles ressources. En outre, nous procédons actuellement à son élargissement en recherchant de nouvelles sources de données auprès des gouvernements et des ONG.

Quelles sont nos priorités aujourd’hui ?Les premiers commentaires des agri culteurs participants sont encourageants. L’année prochaine, nous analyserons les énormes volumes de données recueillies en 2014. Les résul tats de cette analyse seront ensuite utilisés pour affiner nos programmes. Ils nous aideront également à identifier les marges de progrès.

Augmenter de 20 pour cent le rendement moyen des principales cultures mondiales sans utiliser

plus de terres, d’eau ou d’énergie

Accroître le rendement des cultures


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Des fèves de qualité supérieure, un rendement plus élevé

Sur le marché du café, extrêmement concurrentiel à l’heure actuelle, chaque grain de café a son histoire : le lieu et la manière dont il a été cultivé peut aider à déterminer la qualité finale et le goût de la fève.

Avec des rendements de café dans le monde entier jusqu’à 50 pour cent endessous de leur potentiel, les producteurs cherchent à améliorer non seulement l’efficacité de leur culture, mais aussi la durabilité de leur production.

Notre modèle NUCOFFEE® au Brésil aide les agriculteurs à adopter une production de café durable et garantit la traçabilité du produit, tout en leur offrant des revenus supérieurs de 50 pour cent. Le modèle a été récemment étendu à de petits exploitants grâce au programme NUCOFFEE® SUSTENTIA™ qui fournit

le même niveau de soutien et la même qualité aux agriculteurs sur quelques hectares seulement.

NUCOFFEE® SUSTENTIA™ a conclu un partenariat avec UTZ Certified afin que les producteurs puissent obtenir leur certification sur la base de normes élevées en matière de culture, de condi tions de travail et de respect des personnes et de l’environnement. Pour l’heure, 183 par celles agricoles ont obtenu ce label, l’objectif étant d’atteindre 2 000 producteurs dans le programme au cours des cinq prochaines années.

Plus d’exemples sont à découvrir en ligne : www.goodgrowthplan.com


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Pourquoi est-ce important ?Les mauvaises pratiques agricoles rendent les sols vulnérables à l’érosion éolienne et pluviale, et des millions d’hectares deviennent ainsi infertiles. Chaque année une surface agricole pouvant produire 20 millions de tonnes de grain disparaît et près de 40 pour cent des terres arables existantes sont déjà gravement dégradées. La sensibilisation à ce problème et la promotion de solutions de conservation des sols sont essen tielles à l’adoption d’une agriculture durable : le remplacement des terres fertiles perdues peut en effet prendre des centaines d’années.

Comment avons-nous l’intention d’y parvenir ?Nous aidons les agriculteurs à augmenter durablement la fertilité et le rendement des sols avec un labourage minimum, la rotation des cultures, la couverture permanente des sols et une fertilisation améliorée, ainsi qu’à travers l’adoption de stratégies de protection des cultures susceptibles de mieux répondre à l’évolution de la structure des sols. Nous travaillons aux côtés d’experts de la conservation et de partenaires tels que la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification (UNCCD) afin de partager nos connaissances et de toucher tant les agriculteurs que les décideurs.

Qu’avons-nous accompli au cours de la première année ?Nous avons conçu des projets et des possibilités de formation pour aider les agriculteurs à travailler la terre de manière à réduire au maximum l’érosion des sols. La rotation des cultures et changer les pratiques culturales d’une année sur l’autre leur permettent, par exemple, de lutter contre les mauvaises herbes, les maladies et les insectes nuisibles tout en perturbant le moins possible les sols. En outre, une couverture permanente des sols au moyen de résidus de culture ou de plantes peut réduire l’érosion. Ensemble et avec le temps, ces techniques améliorent la santé des sols. Elles aident à réduire les pertes de nutriments et les dommages aux cultures, tout en augmentant la fertilité des sols et leur capacité à stocker l’eau. En 2014, nos programmes ont concerné plus de 800 000 hectares de sol, principalement en Amérique latine et en Europe.

Nous avons également contribué finan cière ment au lancement de la Soil Lea der ship Academy, avec l’UNCCD, qui a commencé à travailler début 2014. L’Aca demy a pour objectif de renforcer la politique internationale, la prise de décisions et les cadres en matière de con servation des sols et de gestion du rable des terres. Elle crée un réseau composé d’instituts de recherche, d’uni versités et de décideurs, et offrira des possibilités d’information et de formation pour les politiques et les agriculteurs du monde entier.

Quelles sont nos priorités aujourd’hui ?Nous collaborons avec des intervenants externes – des universitaires, des décideurs et des experts des sols – afin d’intro duire ces pratiques à l’échelle mondiale. Les responsables locaux évalueront les meilleures pratiques pour rendre le sol plus fertile, sélectionneront les projets les plus prometteurs, les adapteront aux conditions locales et les mettront en œuvre aux côtés des agriculteurs locaux.

Une fois les projets lancés, nous devons veiller à ce qu’ils fonctionnent. Nous avons conçu des systèmes de suivi visant à nous assurer que les données sont consignées avec précision, et nous continuerons à chercher des moyens d’améliorer le processus de reporting.

Des vérifications annuelles d’échantillons du sol permettront de suivre l’impact de nos programmes. Nous nous intéresserons aux terres où les principales pra tiques agricoles de conservation ont été mises en place et identifieront quelles terres tirent finalement parti de ces pratiques améliorées. Les données relatives au nombre d’agriculteurs et d’inter ve nants formés à l’agriculture de conservation, ainsi qu’au nombre de partenariats éta blis avec des acteurs locaux sont égale ment susceptibles de nous aider à préciser les éventuels gains sociaux et environnementaux. Les projets peuvent également fournir des données sur la gestion des ressources hydriques et des éléments nutritifs du sol, ainsi que sur les trajectoires des machines agricoles.

Améliorer la fertilité de 10 millions d’hectares de terres agricoles en voie de dégradation

Préserver plus de terres agricoles


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CONTIVO® pour des sols plus sains

En Hongrie, l’alternance de pluies torrentielles et de fortes sécheresses a incité les agriculteurs à rechercher des moyens de protéger leur sol : des pluies trop importantes peuvent l’éroder alors que des pluies trop éparses peuvent au contraire l’assécher, le rendant encore plus sensible à l’érosion en cas de précipitations et de vents importants.

Les techniques conventionnelles de labourage peuvent aggraver ces facteurs et contribuer au compactage des sols, empêchant l’infiltration des eaux là où elles sont nécessaires.

Notre système CONTIVO® aide les agriculteurs hongrois à adopter des techniques de labour de conservation qui laissent au moins 30 pour cent des résidus de culture de l’année précédente à la surface du sol avant la plantation.

Il associe des pratiques éprouvées en matière de labour de conservation à une technologie des semences innovante, un équipement adéquat et une utilisation appropriée des engrais et des protocoles de protection des cultures afin de préserver les sols tout en maintenant des rendements élevés.



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Pourquoi est-ce important ?L’agriculture durable s’appuie sur la biodiversité pour la reproduction des plantes, pour la pollinisation et pour la diversité de notre régime alimentaire.

Comment avons-nous l’intention d’y parvenir ?La meilleure façon d’améliorer la biodiversité dans les paysages agricoles consiste à accroître la qualité et le nombre d’habitats en bordure de champs. Nous aidons les agriculteurs à créer des habitats riches sur des espaces tels que les bordures des champs et les zones tampons. Le cas échéant, nous encourageons la reforestation en mettant plus particulièrement l’accent sur la protection des puits et des plans d’eau. Pour protéger la diversité des cultures, nous travaillons avec des groupes de conservation pour préserver les équivalents sauvages d’espèces cultivées et les intégrer dans les pratiques agricoles.

Qu’avons-nous accompli au cours de la première année ?Nous travaillons avec des partenaires dans le monde entier pour identifier les programmes prioritaires, les objectifs spécifiques à ces programmes et définir des protocoles pour leur mise en œuvre.

Au cours de la première année, nos efforts ont essentiellement porté sur la sensibilisation des décideurs et des agriculteurs quant au rôle de l’habitat en bordure de champs, ainsi que sur l’adaptabilité de l’approche de reforestation. Nous dis po sons d’environ 50 projets dans plus de 20 pays pour évaluer une variété de facteurs environnementaux et culturels. En 2014, ces programmes ont concerné près de 700 000 hectares de terres agricoles.

L’adaptation aux conditions locales des programmes pour la biodiversité nous permet d’approfondir notre compréhension de l’impact que des pratiques agricoles simples et pragma tiques peuvent avoir sur la qualité du paysage et sa résilience. Nous démontrons comment la gestion environnementale et l’agriculture intensive peuvent coexister, et de quelle façon une gestion proactive de surfaces relativement petites peut accroître la biodiversité de manière sensible. En outre, notre travail avec des experts de la conservation génétique nous révèle des opportunités de conservation, dans les fermes, d’équivalents sauvages d’espèces cultivées qui sont actuellement exclus de nombreux programmes de conservation officiels.

Quelles sont nos priorités aujourd’hui ?En se fondant sur le succès de l’OPE RATION POLLINATOR™ (Opération pollinisateur) pour accroître la biodiversité, notre approche multi fonctionnelle, à l’aide de bordures de champs et de forêts en gestion durable, intègre la protection des ressources naturelles et la valorisation des services écosystémiques.

La gestion proactive des espaces non cultivés dans les exploitations agricoles commerciales représente l’un des moyens les plus importants pour les agriculteurs de préserver leur capital naturel ainsi que les services écosystémiques fournis : cette approche est particulièrement adap tée aux structures agricoles fragmentées de régions telles que l’Europe et l’Asie. Les forêts en gestion durable présentent une approche viable en matière de paysages multifonctionnels pour les grands consortiums d’agriculteurs travaillant collectivement pour protéger leur source d’approvisionnement en eau et leurs rendements futurs.

En collaborant avec de nombreux acteurs du secteur, nous continuerons à dévelop per des outils pratiques axés sur la recherche, ainsi que des protocoles adaptés aux conditions locales et aux systèmes de culture. Notre expérience montre que le soutien précoce apporté par nos partenaires tout au long de la chaîne de valeur garantit une mise en œuvre réussie et permet de récupérer de la valeur au niveau communautaire.

Augmenter la biodiversité sur 5 millions d’hectares de terres agricoles

Faire prospérer la biodiversité


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La restauration des cours d’eau

L’ÎleduPrinceÉdouard est la première province canadienne productrice de pommes de terre. Elle est notamment célèbre pour son sol sablonneux de couleur rouge. Toutefois, ses pluies abondantes et son vaste réseau de cours d’eau obligent les agriculteurs à prendre des mesures pour empêcher les terres labourées de se répandre dans les ruisseaux et les rivières.

Une pratique importante qui préserve les cours d’eau et réduit les risques de ruissellement des sols consiste à planter des bandes de végétation le long des cours d’eau et des propriétés agricoles.

Non seulement ces espaces contribuent à retenir les sols et les nutriments avant qu’ils rejoignent les cours d’eau, mais ils offrent également nourriture et habitat à diverses espèces sauvages ainsi qu’à des insectes pollinisateurs.

Le projet de restauration des cours d’eau de l’ÎleduPrinceÉdouard, mené en partenariat avec des experts de la Kensington North Watersheds Association et de la Bedeque Bay Environmental Management Association, aide les agriculteurs à mettre en œuvre des pratiques qui améliorent la biodiversité et préservent les sols dans les champs. Depuis le lancement du programme en 2012, plus de 21 000 arbres et arbustes ont été plantés et plus de 40 kilomètres de cours d’eau ont été restaurés.



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Pourquoi est-ce important ?Les petits exploitants jouent un rôle majeur en faveur de la sécurité alimentaire mondiale. Pourtant, souvent, leurs rendements sont faibles et leurs risques financiers élevés. Chaque jour, 180 000 personnes quittent les campagnes pour aller vivre en ville.

Comment avons-nous l’intention d’y parvenir ?En faisant de l’agriculture une source de revenus viable, nous créerons des commu nautés rurales dynamiques et pro ductives. Grâce au soutien de partenaires tels que l’USAID, nous fournirons aux agriculteurs les produits et l’expertise nécessaires pour augmenter sensi blement leurs rendements et leurs revenus tout en préservant le potentiel à long terme de leurs terres. Nous pouvons également améliorer la rentabilité grâce à des modèles d’activité innovants, en les aidant à financer des produits à fort rendement et à obtenir des débouchés commerciaux pour vendre leur récolte.

Nous disposons déjà de stratégies permet tant d’atteindre plus de petits exploitants. Nous sommes partenaires des plate for mes Grow Africa et Grow Asia du Forum économique mondial et continu ons de chercher de nouveaux partenariats et les occasions d’atteindre des petits exploi tants dans le monde entier. En 2012, nous nous sommes engagés à investir 500 millions de dollars en Afrique sur plus de 10 ans dans le but de répondre aux défis de la sécurité alimentaire et de la pauvreté tout en aidant à faire de ce continent un exportateur mondial majeur. Les petits exploitants y dominent la production

alimentaire et constituent une cible essentielle de notre investissement.

Qu’avons-nous accompli au cours de la première année ?Nous avons déjà touché 15,3 millions de petits exploitants indirectement, par le biais des ventes, pour la plupart en Asie.

Les recherches que nous avons menées nous ont donné une vision plus claire de ce qu’il convient de changer pour attein dre nos objectifs; les éléments qui ont le plus grand impact sur les petits exploitants sont issus de leur situation géographique. L’amélioration des rendements est pri mordiale, mais, dans le même temps, nous devons nous assurer que nos formations en matière d’agronomie et de sécurité tiennent compte des besoins locaux. L’augmentation des rendements ne consti tue pas le seul moyen d’améliorer le niveau de vie des agriculteurs. Tout en approfondissant notre compréhension du rôle de la formation dans la hausse de productivité, nous étudions la façon dont nos business models y contribuent aussi. Pour cela, nous avons déve loppé un cadre de mesure des meilleures prati ques avec le Sustainable Food Lab, un consortium d’entreprises, d’orga nis mes à but non lucratif et d’organisation du sec teur public qui travaillent ensemble à la promotion de la durabilité.

En collaboration avec le Sustainable Markets Intelligence Center (CIMS), un orga nisme à but non lucratif, nous avons réalisé une évaluation pilote de l’impact de notre programme FRIJOLNICA™ au Nicaragua. Le CIMS a interrogé 110 petits exploitants participant au programme et 40 petits exploitants en tant que groupe de contrôle, afin d’évaluer des domaines tels que

l’accès aux intrants et aux services et leur adoption, les revenus et la rentabilité, la sécurité alimentaire et le bienêtre perçu.

Il est apparu, par exemple, que les agricul teurs participant à notre programme dégageaient des revenus nets supérieurs et investissaient davantage dans leurs fermes que le groupe de comparaison. Ayant démontré la méthodologie en 2014, nous allons à présent envisager d’étendre de telles évaluations à nos modèles commerciaux. Les enseignements tirés de cette initiative et la recherche qui en découle nous permettront de mieux concevoir des modèles de marché pour l’amé lio ra ton du niveau de vie des petits exploitants.

Quelles sont nos priorités aujourd’hui ?Nous concentrerons nos efforts en 2015 sur nos petites exploitations agricoles de référence. Nous procédons à l’adaptation des protocoles visant à améliorer la produc tivité des petits exploitants et dévelop pons nos formations pour les aider à travailler de manière plus productive et en toute sécurité. Nous examinerons plus avant la nécessité d’inclure ou non plus de fermes de référence ainsi que la meilleure façon de communiquer les enseignements tirés sur ces fermes aux autres petits exploitants.

Les données issues de nos fermes repères et de référence guideront l’éla boration de produits et de solutions adaptés aux besoins des petits exploitants.

Accompagner 20 millions de petits exploitants afin d’augmenter leur productivité de 50 pour cent

Responsabiliser les petits exploitants


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Aller au-delà de l’agriculture de subsistance

Environ 70 pour cent des haricots rouges consommés en Amérique centrale sont produits au Nicaragua, principalement par de petits exploitants qui possèdent environ un hectare de terres.

Lorsque ces agriculteurs n’ont pas accès à la technologie et au savoirfaire nécessaires, leurs rendements sont faibles et ils ont beaucoup de mal à récolter suffisamment de haricots pour vivre décemment.

En 2007, nous avons fondé, en par te nariat avec l’entreprise d’intrants agricoles RAMAC, FRIJOLNICA™ afin de former les petits exploitants à l’amélio ration des rendements grâce à de meilleures pratiques agricoles, telles que l’utilisation de produits phytosanitaires et une meilleure gestion des sols.

Le soutien supplémentaire apporté par Esperanza Coop et la Banque inter américaine de développement a depuis contribué à élargir la portée du pro gram me, lequel aide désormais les agriculteurs à accéder à des services de crédit essentiels au développement de leur activité.

FRIJOLNICA™ a aidé les agriculteurs participant au programme à doubler leurs rendements par rapport à la moyenne nationale, ce qui a permis à de nombreux petits exploitants de sortir de la pauvreté. Le nombre d’agriculteurs formés est passé de 300 en 2007 à 12 000 en 2014.



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Pourquoi est-ce important ?Nous partageons une responsabilité, celle d’améliorer les conditions de travail et la santé des agriculteurs. Ceci s’applique particulièrement aux petits exploi tants, surtout dans les pays en déve lop pe ment, qui souvent ne bénéficient d’aucun accompagnement quant à l’utilisation efficace, responsable et sécu risée de produits de protection des cultures.

Comment avons-nous l’intention d’y parvenir ?L’agriculture est le deuxième employeur mondial. C’est un secteur où les horaires sont souvent longs et le travail pénible, mené dans des conditions difficiles. Nos programmes de formation visent à sensibiliser les agriculteurs aux risques associés et à leur expliquer comment gérer ou prévenir ces risques efficacement. Chaque année, nous formons des agriculteurs par l’intermédiaire de nos équipes commerciales et d’accompagnement, ainsi que dans le cadre de partenariats avec des organisations locales et les distributeurs.

Qu’avons-nous accompli au cours de la première année ?Nous avons défini des données de base permettant de mesurer notre progression et avons amélioré la qualité de la tenue des registres et des preuves de l’existence de nos activités de formation. En 2014, nous avons touché 4,7 millions de personnes – 74 pour cent d’entre elles étant de petits exploitants – grâce à des programmes de formation dédiés à la sécurité ou dans le cadre de nos activités commerciales, qui incluent une partie dédiée à la sécurité.

En travaillant avec des partenaires externes, nous améliorons nos pro grammes et concepts de formation, nous tirons également des éléments de réflexion de nos recherches auprès des petits exploitants et des analyses issues de nos fermes de référence. Nous avons également commencé à aborder la sécurité au travail plus activement par le biais de nos forces de vente.

Quelles sont nos priorités aujourd’hui ?Nous travaillons avec nos partenaires pour faire en sorte que toutes nos formations soient d’excellente qualité et dont l’impact sur les attitudes, les connais sances et les comportements peut se mesurer, en mettant plus particulièrement l’accent sur les petits exploitants. Nous cherchons également à établir de nou veaux partenariats avec un nombre croissant d’organisations. L’une des grandes leçons que l’on peut retenir de 2014, tirée de la formation des forma teurs, tient à la nécessité de mettre da vantage l’accent sur l’enseignement des techniques de transmission des connaissances et sur le contenu des cours.

Former 20 millions d’agriculteurs à la sécurité au travail, notamment dans les pays en développement

Aider les Agriculteurs à travailler en sécurité


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Une utilisation sécurisée des produits phytosanitaires

Au Bangladesh, les représentants commerciaux saisissent l’occasion de visites commerciales classiques pour former les petits exploitants à une utilisation sécurisée des produits phytosanitaires.

Ils ont adapté leur argumentaire de vente pour y intégrer des consignes sur les « 5 règles d’or » d’une utilisation sécurisée des produits phytosanitaires. Les consignes de sécurité sont adaptées aux besoins des producteurs et les messages sont renforcés à l’aide de supports très visuels de formation, des affiches, des dépliants et des démonstrations interactives.

Nous sommes par conséquent en mesure de former plus de petits exploitants sur comment travailler en sécurité tout en les aidant à augmenter le rendement de leurs récoltes. Nous procédons actuellement à la formalisation de cette approche afin de la reproduire dans toute la région.



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Pourquoi est-ce important ?Il est de notre responsabilité de nous as su rer que notre chaîne d’appro vi sionne ment respecte les normes d’éthi que les plus élevées, particulièrement dans les pays en développement. Offrir des conditions de travail justes et attra yantes contribuera également à enrayer l’exode rural qui mine actuellement les efforts visant à améliorer la production agricole.

Comment avons-nous l’intention d’y parvenir ?Les normes de travail sont une priorité pour toutes nos opérations, agricoles ou industrielles, et nous nous attendons aux mêmes engagements de la part de nos fournisseurs. Les contrats passés avec nos fournisseurs sont très stricts, par exemple en ce qui concerne l’interdiction du travail des enfants. Grâce à des formations accélérées ou des inci tations financières, nous encourageons nos fournisseurs à respecter nos standards.

Depuis 2004, nous travaillons avec l’ONG Fair Labor Association (FLA) pour le con trô le des exploitations semencières dans les domaines suivants : travail des enfants, hygiène et sécurité, connaissance du droit du travail, salaires et avantages sociaux, horaires de travail, harcèlement, mauvais traitements et discrimination. Notre pro gramme de normes de travail inclut désor mais plus de 28 000 fournisseurs en Inde, en Europe de l’Est et en Amé rique latine, et nous sommes en bonne voie pour inclure tous nos fournisseurs d’ici à 2020.

Qu’avons-nous accompli au cours de la première année ?Notre programme dispose désormais d’approches adaptées pour nos fermes se mencières, nos fermes floricoles et nos four nisseurs de produits chimiques afin de ré pondre aux objectifs sociaux et de sécurité.

En 2014, nous avons étendu notre programme de contrôle des semenciers aux Philippines : il couvre désormais un peu plus de la moitié des 50 000 fermes d’approvisionnement. La FLA procède à des vérifications en toute indépendance et contrôle le nombre d’agriculteurs participant au programme. Nous travaillons à l’heure actuelle à l’obtention de son accré ditation par la FLA.

Nous avons également lancé un pro gramme visant à certifier la conformité de nos fermes floricoles avec la norme dévelop pée par les Global Good Agricultural Practice (Global GAP ou bonnes pratiques agri coles mondiales) pour évaluer la santé des travailleurs agricoles, leur sécurité et leur bienêtre.

Les fournisseurs de produits chimiques jouent un rôle majeur dans notre capacité à répondre à la demande. Nous passons tout le temps nécessaire à nous assurer qu’ils appliquent des normes strictes en matière de santé, de sécurité et de con ditions de travail. Les normes de santé et de sécurité sont suivies par le biais de notre programme d’évaluation des fournis seurs. Sur la base de notre expérience dans le développement de normes communes pour l’industrie chimique, nous avons établi un partenariat avec la China Crop Protection Industry Association afin de parrainer et de contribuer à la mise en

place d’ateliers d’hygiène et de sécurité en Chine. Avec nos principaux four nis seurs de produits chimiques en Asie, nous avons également lancé une initiative à longterme qui vise à élaborer et à mettre en oeuvre les meilleures pratiques en matière de gestion de la sécurité des processus.

En 2014, nous avons effectué une évaluation de la durabilité sur l’ensemble de nos marchés d’approvisionnement direct et indirect afin d’identifier les priorités et de revoir notre protocole d’évaluation des conditions de travail.

Quelles sont nos priorités aujourd’hui ?Sur la base de l’expérience que nous avons acquise dans le cadre de notre collaboration avec la FLA et d’autres sociétés pour améliorer les normes de la filière semencière, nous allons à présent travailler aux côtés d’autres fabricants de produits chimiques et de nos fournisseurs sur un programme d’engagement qui évaluera et améliorera les pratiques d’approvisionnement durable en produits chimiques, y compris au niveau des aspects environnementaux et sociaux.

Nous développerons plus avant notre processus d’évaluation des fournisseurs afin d’y inclure les pratiques de travail et nous rechercherons de nouvelles pos sibilités de développer des initiatives et des par te na riats en matière d’hygiène et de sé cu rité au sein de l’industrie chi mi que. Nous définirons et déter mi nerons également des objectifs clairs pour l’éva luation des conditions environne men ta les, d’hygiène, de sécurité et de travail dans notre chaîne d’appro visionnement et en assurerons le suivi par rapport à ces objectifs.

Promouvoir des conditions de travail équitables tout au long de notre chaîne d’approvisionnement

Prendre soin de chaque travailleur


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Donner l’exemple

Il y a vingt ans, Renukamma Umapathi et son mari cultivaient quelques produits sur 1,5 hectare de terres dans le Karnataka, un État situé dans le sud de l’Inde.

Alors même que toute la famille travaillait dans les champs, y compris les enfants, leurs revenus étaient insuffisants pour payer les frais de scolarité de ces derniers.

Afin d’accroître les revenus de sa famille, Renukamma a transformé une partie de ses terres afin de produire des semences pour Syngenta. En 2006, elle a participé à un programme de formation initié par Syngenta et la Fair Labor Association sur l’abolition du travail des enfants, le droit du travail et les questions d’hygiène et de sécurité. Elle a été encouragée à envoyer ses enfants à l’école.

Depuis lors, ses enfants ont obtenu leur diplôme et son entreprise a grandi : la hausse de ses revenus lui a permis de doubler la taille de ses terres et de rénover et meubler la maison familiale. Renukamma est aujourd’hui un employeur respecté de sa communauté. Elle encourage les autres exploitants à adopter des normes de travail équitables et des mesures de sécurité, y compris l’utilisation d’équipements de protection et des pratiques de stockage sûres.



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Afin de mesurer les progrès réalisés pour chacun des engagements du Plan de croissance responsable en 2014, nous avons entrepris et nous évaluons les actions suivantes :

Accroître le rendement des culturesNous avons établi un réseau de fermes repères et de référence, regroupées en fonction de conditions agro climatiques homogènes et de caractéristiques d’exploitation. Les fermes de référence utilisent un ou plusieurs produits ou protocoles recommandés de Syngenta et ont un lien direct avec Syngenta. Les fermes repères sont choisies au hasard par une société indépendante et représentent des pratiques conven tion nelles d’exploitation agricole pour chaque groupe. 2014 étant l’année de référence, tous les groupes sont indiqués comme « ≤0 % » en termes de rendement des terres, d’efficacité des nutriments et d’efficacité des pesticides. Par la suite, nous indiquerons le pourcentage d’augmentation obtenu dans les fermes repères et de référence, au niveau de chaque groupe, par rapport à l’année de référence. Des informations supplémentaires sont publiées en ligne.

Mesurer l’impact du Plan de croissance responsable


Au cours de la première année du rapport sur le Plan de croissance responsable, notre attention s’est portée sur l’établissement des fondements d’un processus rigoureux. Nous avons identifié des indicateurs de performance, conçu des processus de reporting et recueilli des données pour chaque engagement. Nous prévoyons de publier des indicateurs supplémentaires dans les années à venir. Nous rendons compte de notre progression dans notre rapport annuel ainsi que sur le site Web du Plan de croissance responsable.

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Préserver plus de terres agricolesNous rendons compte du nombre d’hectares de « terres agricoles touchées », c’est à dire des terres bénéficiant d’une gestion durable des sols et de pratiques telles que les labours légers, la rotation des cultures et la couverture permanente des sols. Ces pratiques améliorent la fertilité des sols, d’après les connaissances scientifiques de pointe et les évaluations élaborées conjointement avec des tiers.

Faire prospérer la biodiversitéPar cet engagement, nous avons pour objectif de promouvoir des écosystèmes sains, fonctionnels et résistants. Nous rendons par conséquent compte du nombre d’hectares de « terres agricoles touchées », c’est à dire des terres bénéficiant des pratiques d’accroissement de la bio diversité. Citons à titre d’exemple les bordures de champs multifonctionnelles, la restauration et l’entretien des forêts en gestion durable et l’agroforesterie.

Responsabiliser les petits exploitantsNous rendons compte du nombre de petits exploitants agricoles touchés indirectement grâce aux ventes et directement par l’intermédiaire des activités de nos équipes sur le terrain.

Aider les agriculteurs à travailler en sécurité Nous rendons compte du nombre de personnes ayant assisté à des activités de formation sur la sécurité, sur la manipulation et l’utilisation responsables de produits phytosanitaires, à savoir : les travailleurs et les exploitants agricoles, les distributeurs de produits, les employés et toute autre personne susceptible d’être en contact avec des produits phytosanitaires. Nous fournissons également des informations sur le pourcentage de petits exploitants agricoles formés. Cette année, conformément aux pratiques antérieures, nous rendons également compte du nombre de pays disposant de programmes de toxicovigilance et par le biais desquels les médecins traitants peuvent recevoir des conseils pour contrer les effets sur la santé d’une mauvaise utilisation de pesticides, qu’elle soit accidentelle ou intentionnelle.

Pour plus d’informations et de données, visitez le site : www.goodgrowthplan.com

Prendre soin de chaque travailleurNous rendons compte du nombre de fermes semencières incluses dans le Syngenta Fair Labor Program. En particulier, nous rendons compte du nombre de fermes visées par la vérification de la Fair Labor Association (FLA). Le pro gramme évalue les pratiques de travail dans les exploitations, notam ment en matière d’hygiène et de sécurité, de travail des enfants, de connaissance du droit du travail, de salaires et traitements, d’horaires de travail, de harcè lement, de mauvais traitements et de discri mination. Confor mément aux pratiques antérieures, nous rendons également compte du nombre d’évaluations HSEQ (hygiène, santé, environnement et qualité) réalisées auprès des fournisseurs.


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2014 2013 2012

Accroître le rendment des cultures1

Nombre total de fermes de référence 860 – –Nombre total de fermes repères 2 738 – –Nombre total de groupes2 205 – –

Performances des fermes de référence par rapport à l’année

de référence 2014 3

Performances des fermes de référence par rapport à l’année

de référence 2014 3

2014 2013 2012 2014 2013 2012

Indice du rendement des terres :≤0 % 183 – – 183 – –>0 – <5 % – – – – – –5 – <10 % – – – – – –10 – <15 % – – – – – –15 – <20 % – – – – – –≥20 % – – – – – –

Indice de l’efficacité des nutriments :≤0 % 183 – – 183 – –>0 – <5 % – – – – – –5 – <10 % – – – – – –10 – <15 % – – – – – –15 – <20 % – – – – – –≥20 % – – – – – –

Indice de l’efficacité des pesticides :≤0 % 183 – – 183 – –>0 – <5 % – – – – – –5 – <10 % – – – – – –10 – <15 % – – – – – –15 – <20 % – – – – – –≥20 % – – – – – –

1 2014 première année du rapport2 Nombre de groupes comportant soit des fermes de référence soit des fermes repères3 Nombre de groupes comportant des fermes de référence et des fermes repères par fourchettes de pourcentage

d’augmentation en matière de rendement des terres, d’efficacité des nutriments et d’efficacité des pesticides depuis l’année de référence 2014. Les données du Département Américain de l’Agriculture (USDA) sont utilisées comme points de comparaison pour les fermes de référence et les fermes repères des groupes situés aux ÉtatsUnis

Mesurer l’impact du Plan de croissance responsable

Le tableau cicontre présente le nombre de fermes de référence, de fermes repères et de groupes dans le réseau. Il indique également la répartition des pourcentages d’augmentation en matière de rendements des terres, d’efficacité des nutriments et des pesticides au niveau de chaque groupe.

Chaque groupe présente des conditions agroclimatiques homogènes et contient des fermes de référence et/ou repères ayant des caractéristiques d’exploitation similaires. Les fermes de référence utilisent un ou plusieurs produits ou protocoles recommandés de Syngenta et ont un lien direct avec Syngenta. Les fermes repères sont choisies au hasard par un organisme de recherche indépendant et représentent des pratiques conventionnelles d’exploitation agricole pour chaque groupe.

Les performances des fermes de référence et des fermes repères par rapport à l’année de référence 2014 représentent la répartition des pour centages d’augmentation atteints dans les fermes de référence et repères par rapport à l’année de référence et pour chaque groupe. Le tableau a pour objet de révéler les tendances au fil du temps dans les fermes de référence et les fermes repères. 2014 étant l’année de référence, tous les groupes sont indiqués comme « ≤0 % » cette année.


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2014 2013 2012

Préserver plus de terres agricoles1

Hectares de terres agricoles touchées (m) 0,8 – –

Faire prospérer la biodiversité1

Hectares de terres agricoles touchées (m) 0,7 – –

Responsabiliser les petits exploitants1

Petits exploitants touchés indirectement par le biais des ventes (m) 15,3 – –Petits exploitants touchés directement par l’intermédiaire des activités des forces de vente sur le terrain (m) 3,3 – –

Aider les Agriculteurs à travailler en sécuritéPersonnes formées à l’usage de pratiques sûres (m) 4,7 2,8 3,0

Dont : petits exploitants 1 74 % – –Pays disposant de programmes de toxicovigilance pour les produits Syngenta 100 100 85Représentation des ventes de protection des cultures 93 % 93 % 92 %

Prendre soin de chaque travailleurFermes semencières incluses dans le Syngenta Fair Labor Program 2 28 361 22 895 17 625 Évaluations HSEQ auprès des fournisseurs de produits chimiques 72 86 74Evaluations HSEQ auprès des fournisseurs formulation, remplissage et conditionnement et production de semences 3 74 38 35Évaluations HSEQ auprès des entrepôts/fournisseurs de services logistiques 156 157 1151 2014 première année du rapport2 Nombre de fermes incluses dans la vérification de la Fair Labor Association (FLA)3 L’industrie des semences est incluse depuis 2014

Pour plus d’informations et de données, visitez le site : www.goodgrowthplan.com


© 2015 Syngenta AG, Bâle, Suisse.

Tous droits réservés.

Edition : février 2015.

L’information contenue dans ce document a été publiée dans le Rapport Annuel 2014 de Syngenta. Les résultats du Plan de croissance responsable (The Good Growth Plan) pour l’année 2014 sont détaillés dans la partie dédiée aux infor mations nonfinancières qui incluent « The Good Growth Plan and Corporate Responsibility » publiées en anglais sur www.syngenta.com/ar2014.

Photo page 7 gracieusement offerte par les membres du personnel de la Kensington Water Sheds Association (Canada).

® Marques déposées par une entreprise du groupe Syngenta

™ Marques appartenant à une entreprise du groupe Syngenta

Le logotype Syngenta, « The Good Growth Plan » et la signature « Bringing plant potential to life » sont des marques déposées par le groupe Syngenta.

Numéro d’article 17300.030

* Exprimer le potentiel des plantes

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Documents

Rapport d’activité 2014 - Syngenta...rons plus particulièrement nos efforts sur les petits exploitants, qui présentent le plus grand potentiel en matière d’accroissement du