AGPMMARCHÉS, REVENUSET FACTEURS DE PRODUCTIONDans un contexte de prix déprimés pour la troi-sième année consécutive, la production maïsi-cole française 2016 fait de nouveau les fraisd’une année climatique difficile. Les résultatssont très hétérogènes et certaines exploitationsont durement souffert des caprices de la météo.Le Président de l’AGPM s’est donc personnelle-ment mobilisé pour que les producteurs de maïsles plus touchés aient pleinement accès auxmesures d’urgences mises en place par le gou-vernement. Mais au-delà, l’AGPM œuvre à redonner plus de visibilité aux producteurs.

En matière de PAC, après le succès de la mesure d’équivalence au verdissement, obtenue

pour les exploitations spécialisées maïs, l’AGPMa de nouveau accompagné les producteurs danscette démarche en 2016. L’AGPM réfléchitaussi aux outils de la PAC de demain et en par-ticulier à l’évolution des dispositifs assurantiels.

En matière de nouveaux débouchés, l’AGPMagit pour conforter l’utilisation du bioéthanol.Elle a ainsi obtenu en 2016, avec ses parte-naires, un avantage fiscal pour le E10 et la signature au mondial de l’automobile de lacharte E10, pour mieux informer sur l’étendue

du parc automobile compatible avec ce carbu-rant, contribuera à en augmenter la consomma-tion. Avec l’interdiction des sacs plastiques encaisse, l’AGPM voit l’aboutissement de 10 an-nées de mobilisation au service du développe-ment d’un nouveau débouché, le bioplastiqueissu de la chimie verte. Ces avancées montrentpar ailleurs la contribution du maïs à de vraisprogrès pour l’environnement.

L’atout environnemental est une conviction quia d’ailleurs été clairement affichée à l’occasionde la COP 21, à la fois à travers un dossier com-mun AGPB-AGPM-FOP dans le cadre d’ORAMAsur le rôle de la pompe à carbone des grandescultures face au changement climatique ; etdans le cadre de l’initiative 4 pour 1000 lancéepar le Ministère de l’Agriculture autour d’un programme pour une meilleure gestion du carbone des sols pour lequel l’AGPM a réponduprésente. Cela a permis de révéler lesqualités de la plante : productivité, aptitude àstocker du carbone dans le sol et efficacité desa photosynthèse.

MAIZ’EUROP’ EN BREF

S OMMA I R E

ARVALIS - Institut du végétalMaïs et autres

grandes cultures

P

Recherche &Développement

Syndicalisme& Économie

A.G.P.M.

CEPMLe maïs européen

ORAMAUnion Syndicale AGPB-AGPM-FOP

Gestion des moyenscommuns

AGPM-GIE

Agriculteurs maïs doux

AGPM - MAÏS DOUX

Agriculteursmultiplicateurs

AGPM - MAÏS SEMENCE

Agriculteurs irrigantsIRRIGANTS DE FRANCE

Organisation Fédérative de la Filière MaïsMAIZ'EUROP'

Prestationscommerciales

GERM-Services

Section Maïs de l'UFS

Interprofession Filière SemencesMaïs/Sorgho F.N.P.S.M.S.

Entreprises semencières

Maiz’Europ’ regroupe les différentes organisations de la filière maïs comprenant l’AGPM, cœurpolitique et syndical du groupe et ses trois sections (AGPM Maïs semence, AGPM Maïs doux etIrrigants de France), la FNPSMS, interprofession des semences de maïs et de sorgho, la sociéteGerm – Services (avec son laboratoire et ses prestations de service), l’AGPM-GIE, véritableCuma du groupe maïs et sans oublier l’organisation européenne : la CEPM. Ce rapport d’activité résume, pour chaque entité, les activités phares de l’année 2015-2016ainsi que les différentes actions de communication destinées aux agriculteurs, aux relais et augrand public.

MAIZ’EUROP’ EN BREF

� AGPM � VOYAGE D’ÉTUDE AUX USA� CEPM� IRRIGANTS DE FRANCE � AGPM MAÏS SEMENCE � AGPM MAÏS DOUX� FNPSMS� LABORATOIRE FNPSMS-GERM SERVICES� MAIZ’EUROP’

COMMUNICATIONAU SERVICE DE LA PLANTEET DES PRODUCTEURS

� MAÏS CULTURE DURABLE� CET ÉPI M’ÉPATE TROISIÈME ANNÉEDE COMMUNICATION GRAND PUBLIC

� COP 21 LE MAÏS A FAIT VALOIR SES ATOUTS� PROMOTION DE LA CULTURE DU MAÏSAUPRÈS DES PROS

� PASSION CÉRÉALES, LA COLLECTIVED’INFORMATION SUR LES FILIÈRES CÉRÉALIÈRES

� PLEIN PHARE SUR LE MAÏS AU SIA

� Conseil d'Administration AGPMdu 5 octobre 2016

R a p p o R t d ’ a c t i v i t é s 2 0 1 5 - 2 0 1 6

Mais pour que ces facultés s’expriment pleine-ment, les facteurs de production sont néces-saires. Dans ce domaine l’AGPM, au côté de laFNSEA et des partenaires des autres grandescultures poursuit une véritable course d’obsta-cles et se heurte aux murs érigés par une ad-ministration perméable à l’idéologie dominantedu toujours plus de contraintes et d’interdits.La mobilisation a tout de même permis, dansle cadre du plan Ecophyto 2, de définir un pa-nier d’indicateurs pour une évaluation pluspragmatique de l’évolution de l’utilisation desphytos. En matière de biotechnologies, sil’AGPM a une fois de plus gagné son recoursau Conseil d’Etat – le 3ème en 7 ans – un nouvelarsenal règlementaire français et européen a étémis en œuvre pour priver les producteurs demaïs OGM. Alors que la Commission Euro-péenne doit se prononcer sur le statut légal desnouvelles biotechnologies, l’AGPM qui siège auHCB - au titre de la FNSEA, via la participationde sa secrétaire générale et de son directeur -contribue à sensibiliser la Commission de l’importance des nouvelles technologies d’édi-tion du génome et demande à ce qu’elles netombent pas aveuglément dans le champ de ladirective OGM, ce qui condamnerait leur déve-loppement en Europe.

En cette année particulièrement rude pourles producteurs et politiquement mouvementée,l’AGPM met les bouchées doubles menant àla fois des actions dans le cadre de la CEPM,tout en poursuivant sa stratégie au service dumaïs français.

CEPMAUGMENTERSA VISIBILITÉAU SERVICE DUMAÏS EUROPÉENEn 2016, la CEPM a accentué sa présenceà l’échelle européenne

principalement grâce à sa newsletter trimes-trielle et à sa participation aux groupes de dialogue civil pilotés par la Commission Européenne. La CEPM s’est donc mobiliséetoute l’année, et toujours avec l’appui du cabinet bruxellois Pact European Affairs, pourmultiplier les contacts avec les parlementaireseuropéens, les ONG, les services de la Commis-sion et les partenaires des filières agricoles afinde déployer sa vision de la place du maïs enEurope et défendre le revenu, la production etl’innovation.

La CEPM s’est principalement concentrée surles dossiers liés aux négociations commer-ciales, avec une année 2016 riche en discus-sions et rebondissements et donc de dangerspour la compétitivité du maïs européen, princi-palement sur TTIP et Mercosur sur lesquels laCEPM a pu rappeler ses inquiétudes sur lesconséquences d’un accord pour le maïs doux,le maïs grain, l’éthanol ou l’amidon. Par ail-leurs, la CEPM se mobilise fortement pour évi-ter un nouveau contingent à droit nul pour

l’Ukraine, devenue premier exportateur de maïsvers l’Union Européenne. Plus globalement laCEPM a dénoncé la non application des droitsde douane prévus dans des conditions de prixdéprimés de 2016 alors que le mécanisme ré-glementaire existe.

Concernant la PAC, la CEPM a continué à semobiliser sur le verdissement, principalementen répondant aux consultations publiques surson évaluation et sur la simplification. Par ail-leurs, la CEPM a initié sa propre réflexion envue de peser sur les discussions qui débutentpour la PAC post 2020.

Enfin, autre dossier majeur pour la CEPM, lavolonté de faire émerger au niveau européenune vision pragmatique et ambitieuse de labioéconomie et la contribution du maïs à cettedernière. Que l’on parle de contribution aux ob-jectifs de réduction d’émission de gaz à effet deserre, de stockage de carbone dans les sols, decontribution au développement des énergies re-nouvelables ou de place des carburants renou-velables dans les transports, le maïs est unepartie de la solution ! Mais pour cela, il fautpouvoir produire et les dossiers réglementairesautour des facteurs de production nécessitentdonc une attention particulière et un investis-sement de la CEPM et de ses membres au re-gard des débats européens, comme ce futencore le cas en 2016 sur les néonicotinoïdes,les perturbateurs endocriniens, le glyphosate ouencore les biotechnologies.

IRRIGANTSDE FRANCE UNE POLITIQUEDE L’EAU PRAGMATIQUE,LA PRIORITÉEn 2016, IRRIGANTS

de France a maintenu une forte mobilisation surl’irrigation et ses enjeux dans un contexte mé-téorologique délicat, alternant inondations prin-tanières et sécheresse estivale.

• L’année 2016 a connu des avancées avec lapublication de plusieurs rapports mettant enlumière le rôle clef de l’irrigation dans la production agricole et la nécessité de réviserla politique actuelle en matière de stockagede l’eau. IRRIGANTS de France maintient sesactions de lobbying auprès des parlemen-taires et veille à ce que ces propositions seconcrétisent, dans le contexte des électionsà venir en 2017.

• 10 ans après sa promulgation, le bilan de laloi sur l’eau et les milieux aquatiques (LEMA)est mitigé quant à son application, en parti-culier sur les Organismes de Gestion Collec-tive (OUGC). Malgré une dynamiqueimportante, impulsée par les organisationsagricoles dans la mise en œuvre de cette réforme, certaines difficultés persistent sur leterrain, tels que les délais de réalisation desétudes d’impact et d’instructions des demandes d’Autorisations Uniques de

VOYAGE D’ÉTUDE AUX USADu 4 au 15 septembre 2016, l’AGPM a pu organiser un voyage d’étude aux USA pour lesmembres de son Conseil d’Administration.

Ainsi ce sont 27 profes-sionnels qui ont pu visiterune partie de la Corn Belt,échanger avec les farmerset les officiels américainssur les enjeux de la production de maïs, lesmarchés et les outils depolitique agricole dévelop-pés dans le Farm Bill. � Reunion a Washington avec les representants US

� Visites d’exploitations américaines

Un voyage qui sert in fine la cohésion de l’équipe professionnelle de l’AGPM et qui a étél’occasion de moments de convivialité puisqu’un groupe de 13 conjoints avait égalementfait le déplacement.

Prélèvement (AUP). La priorité d’IRRIGANTSde France sur ce dossier reste donc la sécu-rité juridique pour anticiper sereinement lacampagne 2017.

• Sur la problématique de l’énergie, les actionsmises en place par IRRIGANTS de France,suite à la fin des tarifs réglementés, ont per-mis d’apporter aux irrigants des éléments deréflexion sur les offres proposées afin de gérerau mieux cette phase de transition. Toutefois,IRRIGANTS de France reste très attentif auxévolutions des différentes composantes normalisées de la facture d’électricité.

AGPM MAÏSSEMENCE PRIORITÉAU REVENULa défense du revenu desproducteurs de semencesde maïs est la prioritéd’A.G.P.M MAÏS SEMENCE.Dans cet objectif, A.G.P.M

MAÏS SEMENCE mène des actions en particu-lier sur les axes suivants :

• Économie : réalisation d’études économiqueset communication d’indicateurs aux syndi-cats locaux dans leurs discussions de prix.

• Interprofessionnel : défense des intérêts desproducteurs pour un juste partage de la va-leur ajoutée entre les acteurs et implicationdans la construction de projets visant àconsolider la production française de se-mences de maïs et de sorgho.

• Gestion des risques : adaptation des contratsd’assurance et des différents outils de sécu-risation des risques, forte mobilisation sur ledossier « assurance socle » pour maintenirun outil adapté aux spécificités de la culturede semences et informer les producteurs, im-plication dans la construction du produit« coup dur » lancé par la F.N.P.S.M.S.

• Technique : implication dans le programmed’actions techniques de la F.N.P.S.M.S. pourmaintenir la compétitivité du réseau, l’accèsaux innovations et ce, sans distorsionsde concurrence. A.G.P.M MAÏS SEMENCEreste vigilante face à tout projet de réglemen-tation qui nuirait à la compétitivité de l’origine française.

• Réseau : conduite d’actions syndicalesconcertées avec les syndicats locaux et ac-compagnement du développement du réseauen s’impliquant dans la formation des anima-teurs et des administrateurs, et en dévelop-pant des outils de communication. De plus,en 2016, une enquête typologie a permis demesurer l’évolution des exploitations semen-cières et leurs attentes.

• Social : veille et accompagnement des pro-ducteurs vis-à-vis du droit du travail. A.G.P.MMAÏS SEMENCE défend une approche spé-cifique pour les contrats à très courte durée.Ce fut en particulier le cas en 2016 sur ledossier complémentaire santé.

AGPMMAÏS DOUX PRÉSERVERLA PRODUCTIONFRANÇAISEFace à un marché dumaïs doux mondialisé età la forte concurrence

des pays d’Europe centrale, A.G.P.M MAÏSDOUX se mobilise pour préserver la productionfrançaise tout en pérennisant un revenu aux pro-ducteurs. C’est dans cet objectif qu’A.G.P.MMAÏS DOUX s’investit sur les sujets suivants :

• Marché : défense des intérêts de la productionfrançaise dans le cadre des accords bilatérauxen cours de négociation entre l’UE et ses« partenaires » commerciaux. Il s’agit en par-ticulier de classer le maïs doux en produit sen-sible lors des négociations avec les Etats-Unis(TTIP) et le Mercosur.

• Économie : diffusion d’indicateurs écono-miques aux groupements de producteurs adhé-rents, aux niveaux macroéconomique (évolutiondes marchés, veille concurrentielle,…) et mi-croéconomique (observatoire des marges, évo-lution de la contractualisation, …).

• Technique : pilotage et financement d’un pro-gramme technique spécifique sur différentsthèmes (maladies, ravageurs et désherbage),animation d’un réseau de piégeage des rava-geurs aériens et collecte des observations deterrain sur l’état sanitaire des cultures pour ali-menter la rédaction des BSV. La filière maïsdoux est fortement mobilisée sur le dossierdes traitements insecticides en période de flo-raison, à travers l’élaboration, la diffusion et lesuivi de l’application d’une fiche de bonnespratiques de traitements. A.G.P.M MAÏSDOUX reste extrêmement vigilante face à toutprojet réglementaire qui pourrait fragiliser lapérennité de la production en France.

• Promotion : mise en œuvre d’actions de com-munication visant à développer la consomma-tion du maïs doux, à travers des actions grandpublic. Il s’agit ainsi de développer le marchéet par conséquent les surfaces à produire pourrépondre à la demande. A.G.P.M MAÏS DOUX,avec l’Unilet et des partenaires espagnols etitaliens, a déposé un dossier auprès de laCommission Européenne en avril 2016, dansle cadre du nouveau règlement sur les actionsd’information et de promotion concernant lesproduits agricoles. Malheureusement, ce pro-jet ne fait pas parti des dossiers retenus à l’is-sue de la phase d’instruction. Une réflexion esten cours sur les suites à donner en 2017.

FNPSMS 2015/2016 :UN NOUVEL EXERCICE RICHED'ACTIONSET DE NOUVEAUXPROJETS

Les 12 derniers mois écoulés depuis l'assem-blée générale de novembre 2015 à Toulouseauront en effet été denses. Voici l’éventail desgrands résultats de l’année.

• Un plan de production en semences de maïset sorgho au niveau structurel du marché mal-gré un stock élevé et la mise en œuvre d'un« Plan Qualité Permanent » tant l'enjeu et l'exi-gence d'un « sans faute » en matière de puretévariétale demeurent un objectif majeur ;

• Une veille économique sur la base d'indica-teurs et d'outils de suivi du marché toujoursplus affûtés et la mise en place d'une assurance « coup dur » afin de sécuriser davantage la filière ;

• Un audit Cofrac avec zéro écart qui aura vul'accréditation en matière d'inspection des cultures renouvelée mais aussi l'accréditationdes analyses de certification et de contrôledes enrobages de semences faisant du labo-ratoire FNPSMS le 1er laboratoire européen àêtre accrédité cofrac sur l'ensemble du process semences ;

• Des programmes techniques sur mais et sor-gho semence, sur maïs fourrage et maïs grainhumide porteurs de résultats, et pour lesquelsles journées de vulgarisation suscitent un in-térêt toujours croissant et aussi des voyagesde presse pour des journalistes européens trèsopportuns pour valoriser la génétique élite ;

• Un plan de communication très proactif àdestination de différentes cibles (grand public- professionnels - élus) mais aussi la mise enœuvre d'une nouvelle action visant à promou-voir le progrès génétique en maïs grain.

Sans compter de nouveaux projets avec des tra-vaux d'ores et déjà mis en œuvre avec enparticulier :

• La définition d'un nouveau cadre interprofes-sionnel pour accompagner la filière etses membres dans la détermination des produits bruts pour la production de maïs etsorgho semence ;

• La réalisation d'un 1er Congrès Européen duSorgho avec, en projet, la structuration d'unefilière et la mise en œuvre d'un plan de déve-loppement et de promotion pour le sorghoconsommation et semence ;

Ce nouvel exercice, riche d'actions et de projets,contribuera à l'évaluation, en lien avec son ob-jectif stratégique, de l'actuel plan triennal quiarrive à son terme fin 2016. Il s'agira ensuitede redéfinir un nouveau plan à 3 ans pour lapériode 2017/2019. C’est donc un nouveauchallenge pour renforcer le rang de 1er plan dela filière française de production de semencesde maïs et de sorgho sous l'autorité du Conseil

� Promotion du maïs doux à proximité desplages landaises

d'Administration et de son Président mais aussid'un nouveau Directeur pour la FNPSMS, en lapersonne de Thierry Gokelaere, qui succéderaà Luc Esprit le 1er décembre 2016.

LABORATOIREFNPSMS/GERM-SERVICESPASSAGE DE RELAISÀ LA DIRECTIONTECHNIQUEDepuis le 1er juillet dernier,

c’est Eric Piraube qui assure la Direction tech-nique du laboratoire en remplacement de DenisHoffmann qui aura passé 40 années au servicede la filière maïs et continuera à apporter sonexpertise jusqu’à fin 2017, sur les dossiers stra-tégiques pour la filière. Eric Piraube est Ingé-nieur Agronome, titulaire d'un Mastèrespécialisé dans le management de la sécuritéet des risques industriels, et d’un D.E.A. portantsur les nouvelles technologies de l’informationet de la communication. Il occupait depuis 8ans, au sein du laboratoire FNPSMS/GERM,une fonction d'Ingénieur en charge des dévelop-pements informatiques et statistiques et de larelation clients.

Il aura pour mission de poursuivre le dévelop-pement du laboratoire dans sa dimension inter-professionnelle et européenne et de garantirl’excellence des prestations conduites pour lecompte de ses clients et partenaires de la filière.Parmi ses dossiers de rentrée, Eric Piraube re-prendra l’animation du Comité Technique et desnombreux dossiers conduits par cette instancequi fédère les responsables de laboratoiressemenciers autour de problématiques de filière.Il aura également pour mission de poursuivre lafeuille de route établie jusqu’en 2018, qui viseun objectif clair : être un laboratoire expert, auservice des filières semencières et des grandescultures, reconnu au niveau européen.

MAIZ’EUROP’ UNE DÉMARCHE QUALITÉ ADAPTÉELa qualité au service de la satisfaction de nospartenaires (agriculteurs, entreprises, institution-nels) est profondément ancrée dans la politiquede Maiz’Europ’. Cet engagement passe par uneamélioration continue de nos compétences et denos technologies, des ressources humaines dé-diées, des collaborateurs impliqués et sourced’améliorations. La culture syndicale de la filière,capable d’observer les évolutions règlementaireset de les traduire en actions, imprègne profon-dément notre démarche qualité en perpétuelprogrès. Cette année, de nouvelles accréditationsCofrac viennent renforcer la reconnaissance dulaboratoire de la filière FNPSMS-Germ-Servicesauprès des instances officielles françaises(DGAL, Gnis-SOC) et européennes (ESA, EFSA).Ce laboratoire est le premier laboratoire euro-péen à être accrédité sur tout le process semence. C’est un beau résultat, au service del’excellence de la semence française, source deproductions agricoles de qualité.

Maiz’Europ’ mène depuis plusieurs années dif-férentes actions de communication visant desobjectifs bien distincts :

• démontrer la durabilité du maïs auprès desélus et des habitants des communes maïsi-coles ; c’est le périmètre des actions MaïsCulture Durable

• travailler l’image du maïs auprès du grandpublic dans le cadre de la campagne Cet épim’épate

• promouvoir la culture et le progrès génétiqueauprès des agriculteurs à travers les cam-pagnes « Ma vache, mon maïs fourrage etmoi » et « Le maïs grain, entreprendre pourlongtemps ».

Par ailleurs, Maiz’Europ’ participe activementaux activités de la collective Passion Céréales,avec plusieurs administrateurs, dont le Prési-dent de l’AGPM, qui sont membres de sonconseil d’administration.

MAÏS CULTURE DURABLE La démarche Maïs Culture Durable a étéconçue en 2012 pour montrer tous les atoutséconomiques et environnementaux du maïs.Cette action est pilotée et financée par les troispartenaires : FNPSMS, Gnis et UFS. Elle metainsi à la disposition des agriculteurs, maisaussi du grand public, des argumentaires pédagogiques facilement disponibles sur desoutils digitaux : le site internet www.maiscultu-redurable.com, le compte Twitter @MaisDura-ble et la chaine Youtube.

Créé en avril 2012, le site internet reçoit 40connexions par jours environ. Il est enrichi aufur et à mesure des sujets en lien avec l’écono-mie et l’environnement. Sa vidéothèque, égale-ment disponible sur Youtube, comporte 11vidéos dont les deux dernières réalisées en2016 : l’une sur le maïs en alimentation ani-male et l’autre sur les bioplastiques de maïs.

En complément, le compte @MaisDurable quitotalise, au 25 octobre 2016, 1 145 abonnésdiffuse en continu de l’actualité informative oudivertissante sur le maïs.

L’objectif de Maïs CultureDurable est égalementde s’adresser aux élus locaux des régions maïsicoles à traversles thématiques del’économie et de l’envi-ronnement.

COMMUNICATIONAU SERVICEDE LA PLANTE

ET DES PRODUCTEURS

La brochure « Le maïs, culture du développe-ment durable » a été envoyée à quelques10 500 maires en fin d’année 2015. Cet outilde lobbying est régulièrement mis à jour etcomplété par la collection de publicationsAGPM « Plein phare pour le maïs en région »dont les éditions Grand Est, Auvergne-Rhône-Alpes, Occitanie, Bretagne et Normandie ontété mises à jour en 2016.

SUR LE TERRAIN : DES ACTIONS AUPRÈS DES ÉLUSET DU GRAND PUBLIC

Chaque année, un stand Maïs Culture Durablevient au contact du public dans les régionsmaïs pour mieux faire connaître cette céréale.En 2016, il était présent aux Journées biodi-versité à Bourg-les-Valence (11 et 12 mai) puisau salon de l’agriculture d’Aquitaine, qui s’esttenu à Bordeaux Lac (du 14 au 22 mai).

DES PARTENARIATSAVEC LA PRESSE

Un partenariat avecle magazine Cam-pagne & Environne-ment a été conclupour une année. Lelectorat, composé deleaders d’opiniondont les ministères,entreprises agricoleset enseignement, esten effet dans le cœur de cible de Maïs CultureDurable. 4 parutions sont prévues entre juin2016 et février 2017. La page de juin a été dé-diée au thème « Maïs, culture de l’intensifica-tion écologique » et celle de septembre a étéconsacrée à la réalité et aux atouts de la mo-noculture de maïs.

CET ÉPI M’ÉPATE 3ÈME ANNÉE DE COMMUNICATIONGRAND PUBLIC

La campagne « Cet épi m’épate », lancée en2014, s’est poursuivie gardant les mêmes ob-jectifs ambitieux et les mêmes messages. Ils’agit de faire découvrir les usages méconnuset variés du maïs auprès du grand public enmontrant que la plante est source d’ingrédientsvégétaux, pour un quotidien plus agréable, pra-tique et naturel. En 2016, ces messages ontété portés par une forte présence dans les mé-

dias (presse écrite, radio, web) et par des évè-nements (bus maïs en région et prix Ima-gin’Maïs’). Au regard de l’investissementfinancier et humain, les actions ont été évaluéesà chaque fois que cela a été possible.

DANS LES MÉDIAS

La campagne dans la presse écrite quoti-dienne, s’est concentrée sur les visuels Flo-rence, Victor et Nathan, en privilégiant la presseQuotidienne Nationale et Régionale (62 titresen région et 4 quotidiens nationaux) pour unediffusion régionale de 4,8 millions et une diffu-sion nationale de 750 000 exemplaires. Deplus, le magazine Science et Vie Hors-Série surl’Agriculture à l’occasion du SIA a complété ledispositif.

L’impact des annonces publicitaires dans lapresse régionale, mesuré par une enquête TNS,a révélé d’excellents résultats :

• 36 % des lecteurs se souviennent d’avoir vules annonces (dans la norme de ce qui estclassiquement observé)

• 66 % des personnes interrogées sont capa-bles de relier les visuels au maïs (très au-des-sus de la norme : 25-30%).

• 85 % des personnes jugent les visuels plai-sants (au-dessus de la norme : 70-75 %) etles textes des annonces sont également jugéspositivement.

• Plus intéressant encore, la méthodologie TNSmesure le pouvoir de persuasion de la cam-pagne à court et long terme. Dans les deuxcas la campagne performe avec des résultatsbien au-delà des moyennes.

PARTENARIATAVEC LE QUOTIDIENGRATUIT DIRECT MATIN

Afin de faire découvriraux citadins les diverses utilisationsdu maïs, 6 articleslui sont consacrésd’octobre à décembre2016 dans le journalgratuit Direct-Matin.

Ce média, distribué à l’abord des transports encommun à Paris et dans 9 autres grandes villes,traite des divers usages du maïs dans la ru-brique « Bon à savoir » de la page 2. Il est éditéà 900 000 exemplaires.

A LA RADIO : RTL AVEC LE RENDEZ-VOUS« PARLONS MAÏS »

Un partenariat a été conclu avec la radio RTL :à travers l’émission « Parlons maïs » chaque dimanche soir à 19h, dans le RTL Soir Week-end (500 000 auditeurs). Là aussi, cette actiona pu être évaluée auprès de 212 auditeurs etles résultats sont au rendez-vous avec 48 % dereconnaissance après 3 mois d’écoute seule-ment (sachant que c’est une minute par semaine). Et encore plus intéressant, 42 % deceux qui se souviennent de l’émission ont enviede se renseigner et 27 %... l’auraient déjà fait !

SUR LA TOILE

Suite au succès obtenu avec le youtuber Gonzague en 2014 (près de 850 000 vues à

ce jour) et Poisson Fécond en 2015 (plus de1 million de vues), la chaine Univers du top, aconsacré sa vidéo de rentrée au maïs, montrantà quel point cette plante accompagne chacund’entre nous du lever au coucher. En ligne depuis le 1er septembre, cette vidéo compte aujourd’hui plus de 800 000 vues.

ÉVÉNEMENTS

Dans les régions maïsicoles un bus aux couleurs du maïs a fait son « road-trip » et astationné une journée entière dans 3 villes aucœur de régions de production de maïs : le12 octobre à Strasbourg, le 14 octobre à Lyonet le 17 octobre à Toulouse. Et le bus a faitun arrêt le 20 octobre à Paris, au siège deMaiz’Europ’.

Ces journées ont permis d’accueillir 625 visi-teurs au total. Tous ont participé à un quizz surle maïs et sont repartis avec la brochure « C’esttous les jours maïs » ainsi que des recettes decuisine. 11 journalistes ont participé aux ani-mations et dialogué avec les ingénieurs Arvalisdes régions concernées.

Au niveau national : le prix Imagin’Maïs pro-pose à des étudiants une réflexion prospectivesur les différents usages possibles des res-sources issues du maïs pour répondre demainaux besoins de la vie quotidienne dans le cadredu développement durable. Ils devront publierun article et réaliser une vidéo « Imagin’Maïsen 180 secondes » pour présenter leur travail.Ce concours, ouvert depuis le 1er septembre (etqui se clôturera le 15 décembre), fait appel àun jury pluridisciplinaire constitué d’experts(production, technologie, industrie, économie)qui analyseront les dossiers des candidats. Troisprix pourront être décernés lors d’une remiseprévue mi-février : prix de la créativité, prix dela faisabilité et prix de la durabilité, pour cha-cun doté de 2 500 €. Suite à l’envoi du com-muniqué de presse, l’information a déjà étérelayée par une dizaine de titres de la presserégionale ou agricole.

PROMOTION DE LACULTURE DU MAÏSAUPRÈS DES PROSMa Vache, mon maïs four-rage et moi est une actionconduite par la FNPSMS, leGnis et l’UFS et destinée à soutenir la cultureet à valoriser le progrès génétique apporté parla recherche semencière.

Initiée en 2014, cette campagne à destinationdes éleveurs s’est poursuivie avec la créationd’une nouvelle affiche-journal et le développe-ment du digital. Les messages et la démarcherestent inchangés : de véritables éleveurs lea-ders expliquent pourquoi le maïs fourrage estun pilier de leur élevage.

La nouvelle affiche journal, mettant en scèneles témoignages de Claudine et Gérard Guibert,installés dans le Cher avec 72 vaches laitières,est parue pour le Sommet de l’élevage et toutdébut octobre ils sont devenus les héros d’unevidéo partagée sur la page facebook (dynami-sée pendant l’été par un concours photos). Leséleveurs utilisateurs de maïs fourrage ont étéprésents dans les numéros de Réussir lait éle-vage de septembre, octobre et décembre (dif-fusé à 46 000 exemplaires), et l’affiche a étéencartée dans le magazine « Relation Culture »d’octobre dans les régions laitières (soient2776 exemplaires). Par ailleurs, des bannièrespublicitaires ont été utilisées en septembre surla newsletter « Pro du Lait » et le site Internetde La France Agricole.

� C’est la rentrée 8 produits aux ingrédients innatendus avec UNIVERS DU TOP

COP 21 LE MAÏS A FAIT VALOIR SES ATOUTSA l’occasion de la COP 21 l’AGPM, avec ses partenaires, a investi les débatsafin de montrer les divers atouts de la plante pour répondre aux enjeux cli-matiques d’aujourd’hui et de demain. L’AGPM était présente à l’évènementSolutions COP 21, organisé au Grand Palais, en contribuant à l’animation dustand de la collective Bioéthanol. Le maïs a marqué aussi sa présence dansla revue Campagne et environnement qui était partenaire de l’évènement.

Enfin, les experts maïs épisode 4 sur le thème : « Les atouts du maïs dans laperspective du réchauffement climatique » est paru en janvier 2016 et a étéenvoyé à l’ensemble des parlementaires français.

� Bus maïs à Lyon Place Carnot, 165 visiteursvenus découvrir la céréale

Concep

tion /

Im

pre

ssio

n A

GP

M-G

IE -

10/1

6- C

rédi

t Pho

tos

: Mai

z’Eu

rop’

Siège social : 21, chemin de Pau - 64121 MONTARDON - Tél. + 33 (0)5 59 12 67 00 - Fax. + 33 (0)5 59 12 67 10Site de Paris : 23-25 avenue de Neuilly - 75116 PARIS - Tél. + 33 (0)1 47 23 48 32 - Fax. + 33 (0)1 40 70 93 44

Page Facebook :https://www.facebook.com/Ma-vache-mon-mais-fourrage-et-moi/

Le maïs grain entreprendre pour longtemps estune nouvelle action démarrée cette fin d’annéepour soutenir les surfaces de maïs grain. LaFNPSMS et l’UFS ont souhaité mettre en lu-

mière les diverses qualités dumaïs, tant agronomiques quetechnico-économiques, à tra-vers une campagne quis’adresse aux agriculteurs. Lemessage souligne le progrèsgénétique et ses bénéficesen termes de sécurité, derentabilité et de durabilité.

Cette campagne a été déclinée dans la Franceagricole (magazine et web) durant la période duchoix d’assolement (du 23 au 14 octobre). Pa-rallèlement un communiqué de presse a été en-voyé à la presse agricole.

PASSION CÉRÉALESLA COLLECTIVE D’INFORMATIONSUR LES FILIÈRES CÉRÉALIÈRESLa collective Passion Céréales rassemble lesproducteurs de céréales (AGPM et AGPB), lescoopératives et négociants ainsi que les acteursde la première transformation des céréales.Forte de 6 collaborateurs et d’un réseau de 50agriculteurs porte-paroles en région, cette asso-ciation est, après 10 années d’existence, un ac-teur reconnu des relais entre nos filières et legrand public : journalistes, bloggeurs, ensei-gnants, influenceurs… L’AGPM s’investit active-ment dans ces travaux : le Président de l’AGPM,Daniel Peyraube est le trésorier et ChristianSchneider, Thierry Vandame et Pierre Vincens(membres du bureau AGPM) siègent égalementau Conseil d’Administration de Passion Céréales. L’Association est une véritable inter-face d’information entre les professionnels descéréales et la société. Sa mission est de faireconnaître au grand public les produits céréalierset le travail quotidien d’hommes et de femmespassionnés par leur métier, tout en valorisantl’acte de production. Passion Céréales diffuseses informations via des relais aux acteurs de lafilière, journalistes, enseignants, collectivitésterritoriales, pouvoirs publics, qui constituent

ses principales cibles. Les actions mises enœuvre sont diverses et variées : rencontres « Filières contributives » permettant aux profes-sionnels de rester à l’écoute des préoccupationsde la société, relations presse ciblées, promo-tion des produits notamment à travers des recettes et des publications (Ôdélices, le presti-gieux « mook » sur les céréales CERES), des outils pédagogiques destinés à l’enseignement(publication périodique Epok Epi, mallettes pédagogiques), des sites Internet richementdotés de publications et de vidéos… En plus deces actions nationales, le programme en régionss’est déployé à travers des conférences organisées dans 9 régions fin 2015 et destinéesà un public varié (élus, chefs, étudiants, universitaires, blogueurs, journalistes, institu-tionnels, agriculteurs, acteurs économiques…)ayant donné lieu à 84 retombées de presse. En2016 les plaquettes régionales ont été actuali-sées et des courtes vidéos sur les chiffres descéréales ont été réalisées à la suite de la réformeterritoriale ainsi qu’une belle carte des nouvellesrégions céréalières.

De la région à l’Europe, il n’y qu’un pas qui aété franchis par la collective avec succès. Eneffet le projet, « Les céréales européennes, despaysages à savourer », déposé par Passion Céréales et Intercéréales en réponse à un appeld’offre européen, a été retenu par la Commis-sion Européenne et bénéficiera donc d’un finan-cement. Le programme, qui se déroulera surdeux ans, vise à sensibiliser et informer les européens sur l’ancrage territorial des produc-tions céréalières et leur caractère durable. Lesactions se dérouleront en France et en Belgiqueavec le déploiement d’une application mobiledestinées aux automobilistes et aux famillesainsi que des animations sur les aires d’auto-routes relayées par des relations publiques et del’affichage dans les médias. L’AGPM, qui a suivile dispositif depuis sa genèse, viendra prêtermain forte à ce beau projet.

Pour en savoir plus : www.passioncereales.frwww.lecoledescereales.fr

Et aussi : www.maiscultureduarable.comwww.cetepimepate.fr

PLEIN PHARE SUR LE MAÏS AU SIAL’Odyssée Végétale, qui rassemble denombreux partenaires (dont Brasseurs deFrance, le Cedus, Terres Oléopro, PassionCéréales, le GNIS, l’UIPP, Interfel) est de-venue une étape incontournable du SIA,aussi bien pour le grand public que pourles personnalités politiques. Cette année,le maïs était particulièrement bien repré-senté et l’agriculture high-tech était àl’honneur. L’espace de l’Odyssée Végétaleabritait également un espace privatif enmezzanine « La terrasse des Céréales » auservice des Présidents de l’interprofessioncéréalière pour l’accueil des personnalitéspolitiques. Le Président de l’AGPM et d’au-tres élus de l’AGPM y ont reçu de multiplesdélégations. François Hollande, ManuelValls, Stéphane Le Foll, Nathalie Kos-ciusko-Morizet, Bruno Le Maire, AlainJuppé, Emmanuel Macron,… ont ainsi étéinvités à découvrir les innovations et lesproblématiques de la profession céréalière.Daniel Peyraube a pu ainsi sensibiliser cespersonnalités à nos enjeux les plus importants : la grande diversité des maïs et de leurs usages,l’accès aux facteurs de production (l’eau, les produits phyto, les innovations biotechnologiques),les situations de distorsion de concurrence, ont ainsi été au cœur des échanges.

� Daniel Peyraube offre au premier Ministre unstylo en rafle de maïs, symbole des nouveauxusages

� Modèles d’autocollantspour les remorques remplies de maïs

� Tout est bon dansle maïs, un nouveaudépliant grand-public

� Le Présidentde l’AGPM présente les innovationsagricolesà Alain Juppé

� Accueildu Présidentde la République

Par ailleurs, l’espace del’Odyssée a accueilli, à troisreprises une animation invi-tant le grand public à décou-vrir les divers usages du maïset à déguster du pop-cornfrançais.

� Animation grand-public � Espace de l’Odyssée Végétale