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Vers une meilleure compréhension des mécanismes impliqués dans l’impact causé par les rats introduits sur l’avifaune insulaire: influence des récents changements trophiques sur les îles méditerranéennes. Récents changements trophiques Goélands super- abondants i.e. Larus michahellis Plantes invasives i.e. Carpobrotus sp. Démographie Structure de population/Reproduction Condition corporelle/Survie Dispersion Utilisation de l’habitat/ressources Populations de rats noirs Impact causé aux oiseaux marins (puffins, pétrels) Schéma de l’hypothèse de travail Rats noirs (R. rattus) et oiseaux marins (pétrels et puffins) semblent, de manière assez originale, coexister sur les îles méditerranéennes depuis plus de 2000 ans (Ruffino et al. in press). Pourtant, les prédateurs introduits, et notamment les rats, sont mondialement reconnus comme étant l’un des principaux facteurs de risque d’extinction de ces oiseaux marins (e.g. Birdlife International 2000; Blackburn et al., 2004; Jones et al., 2008). Les îles Méditerranéennes ne font pas exception, et l’impact du rat sur l’avifaune marine locale y est bien documenté (Igual et al., 2007; Pascal et al., in press). Comment cette coexistence a-t-elle pu se maintenir depuis si longtemps? L’impact constaté à l’heure actuelle aurait-il été accru seulement durant ces dernières décennies? Serait-il le reflet d’importantes modifications des conditions trophiques survenues récemment sur les îles de Méditerranée? Si tel est le cas, comment les populations de rats noirs utilisent-elles ces nouvelles ressources d’origine allochtone, et comment se manifestent ces apports sur les paramètres populationnels? Directeurs de thèse: Eric Vidal, Frédéric Médail (IMEP-Aix Marseille III) Collaborations: S. Caut (Université Liège), J.L. Chapuis (MNHN-Paris), F. Courchamp (CNRS-Paris Sud XI), O. Lorvelec (INRA-Rennes), M. Pascal (INRA-Rennes), B. Pisanu (MNHN-Paris), Problématique générale + + - Méthodologie 1. Capture-marquage-recapture (long terme, dispersion entre habitats) 2. Régime alimentaire - Réseaux trophiques (ratios d’isotopes stables, modèles mathématiques) 3. Radiotélémétrie (microhabitat) 4. S.I.G. 5. Tests comportementaux Lise Ruffino Doctorante 2 ème année

Récents changements trophiques

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Vers une meilleure compréhension des mécanismes impliqués dans l’impact causé par les rats introduits sur l’avifaune insulaire: influence des récents changements trophiques sur les îles méditerranéennes. Lise Ruffino Doctorante 2 ème année. Problématique générale. - PowerPoint PPT Presentation

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Vers une meilleure compréhension des mécanismes impliqués dans l’impact causé par les rats introduits sur l’avifaune

insulaire: influence des récents changements trophiques sur les îles méditerranéennes.

Récents changements trophiques

Goélands super-abondantsi.e. Larus michahellis

Plantes invasivesi.e. Carpobrotus sp.

DémographieStructure de population/Reproduction

Condition corporelle/SurvieDispersion

Utilisation de l’habitat/ressources

Populations de rats noirs

Impact causé aux oiseaux marins (puffins, pétrels)

Schéma de l’hypothèse de travail

Rats noirs (R. rattus) et oiseaux marins (pétrels et puffins) semblent, de manière assez originale, coexister sur les îles méditerranéennes depuis plus de 2000 ans (Ruffino et al. in press). Pourtant, les prédateurs introduits, et notamment les rats, sont mondialement reconnus comme étant l’un des principaux facteurs de risque d’extinction de ces oiseaux marins (e.g. Birdlife International 2000; Blackburn et al., 2004; Jones et al., 2008). Les îles Méditerranéennes ne font pas exception, et l’impact du rat sur l’avifaune marine locale y est bien documenté (Igual et al., 2007; Pascal et al., in press). Comment cette coexistence a-t-elle pu se maintenir depuis si longtemps? L’impact constaté à l’heure actuelle aurait-il été accru seulement durant ces dernières décennies? Serait-il le reflet d’importantes modifications des conditions trophiques survenues récemment sur les îles de Méditerranée? Si tel est le cas, comment les populations de rats noirs utilisent-elles ces nouvelles ressources d’origine allochtone, et comment se manifestent ces apports sur les paramètres populationnels?

Directeurs de thèse: Eric Vidal, Frédéric Médail (IMEP-Aix Marseille III)Collaborations: S. Caut (Université Liège), J.L. Chapuis (MNHN-Paris), F. Courchamp (CNRS-Paris Sud XI), O. Lorvelec (INRA-Rennes), M. Pascal (INRA-Rennes), B. Pisanu (MNHN-Paris),

Problématique générale

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Méthodologie

1. Capture-marquage-recapture (long terme, dispersion entre habitats)

2. Régime alimentaire - Réseaux trophiques (ratios d’isotopes stables, modèles mathématiques)

3. Radiotélémétrie (microhabitat)

4. S.I.G.5. Tests comportementaux

Lise RuffinoDoctorante 2ème année