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80 80 Partenaires Exposants mag L’USF Trimestriel / Octobre 2014 / Nouvelle réunion commune entre les Commissions BI et BDD. / Commission Ressources Humaines - Déclaration Sociale Nominative : quels changements ? / Portrait de Simon Redondie (Gendarmerie Nationale). / Regards sur la Société Numérique. Utilisateurs SAP Francophones n°24 www.usf.fr « Un vrai vecteur de Business, retombées directes et concrètes… » « Les retours d’expériences sont concrets et débarrassés de tout discours commercial et marketing » « Visibilité des outils utilisés et comment les adapter » « Centralisation des prestataires… » « Qualité des ateliers, diversité et renouvellement des sujets… » « …Veille technologique et évolution des outils via des témoignages concrets… » « Convention orientée clients utilisateurs, plénières de grande qualité » 7 60 Convention USF : c’est vous qui en parlez le mieux ! « Riche en rencontre et échange » « Je trouve agréable, sur un moment assez court, de pouvoir rencontrer des personnes de mondes différents qui ont fait des projets différents » 7 Conférences Plénières + de 60 Ateliers Retours d’Expériences clients

Regards / Commission Ressources Humaines - Déclaration L ... · sur la Société Numérique. Utilisateurs SAP Francophones n°24 Un vrai veteur de usiness retombées diretes et

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8080 Partenaires Exposants

magL’USFTrimestriel / Octobre 2014

/ Nouvelle réunion commune entre les Commissions BI et BDD.

/ Commission Ressources Humaines - Déclaration Sociale Nominative : quels changements ?

/ Portrait de Simon Redondie (Gendarmerie Nationale).

/ Regards sur la Société Numérique.

Utilisateurs SAP Francophones

n°24

www.usf.fr

« Un vrai vecteur de Business, retombées directes et concrètes… »

« Les retours d’expériences sont concrets et débarrassés de tout discours commercial

et marketing »

« Visibilité des outils utilisés et comment les adapter »

« Centralisation des prestataires… »

« Qualité des ateliers, diversité et renouvellement des sujets… »

« …Veille technologique et évolution des outils via des témoignages concrets… »

« Convention orientée clients utilisateurs,

plénières de grande qualité »

7

60

Convention USF : c’est vous qui en parlez le mieux !

« Riche en rencontre et échange »

« Je trouve agréable, sur un moment assez court, de pouvoir rencontrer des personnes de mondes différents

qui ont fait des projets différents »

7 Conférences

Plénières

+ de 60 Ateliers Retours

d’Expériences clients

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SATISFACTION À L’ÉGARD DE SAP : LES RÉSULTATS DE LA GRANDE ENQUÊTE DE L’USF

La Note de Perspectives « Enquête de satisfaction SAP »

regroupe les résultats de l’analyse menée mi-2014

par TNS-Sofres à la demande de l’USF auprès de ses

adhérents, à partir d’un questionnaire détaillé. Cette

Note de Perspectives constitue la première grande

radiographie des utilisateurs de SAP.

Présentation lors de la Convention USF 2014,

le jeudi 9 octobre de 16h15 à 17h00.

AUDIT : LE GUIDE D’ÉVALUATION D’UN SYSTÈME SAP

Le Livre Blanc sur l’évaluation d’un système SAP

constitue la synthèse des résultats des travaux du

Groupe de Travail regroupant des adhérents de

l’USF, des experts de l’IFACI (Institut Français

de l’Audit et du Contrôle Internes) et de

l’AFAI (Association Française de l’Audit et du

Conseil Informatiques). L’ambition de ce guide

est de proposer un outil permettant d’acquérir une

« assurance raisonnable » de la qualité et du niveau

de sécurité d’un système SAP.

En téléchargement depuis l’espace documentation :

http://www.usf.fr/documentation.php

REVUE DES OUTILS ET SOLUTIONS AUTOUR DE SAP HANA

Aujourd’hui, les entreprises font face à une

augmentation constante du volume d’informations

qui ralentit les prises de décisions. Avec sa

plateforme HANA, SAP annonce qu’il est désormais

possible d’accélérer les processus, d’analyser en

quelques secondes des volumes d’informations en

constante augmentation, mais aussi de transformer

la manière dont les entreprises travaillent.

Dans une période de mouvement permanent, les

entreprises doivent faire face à cinq défis :

• Aller plus vite.

• Faciliter la prise de décisions.

• Améliorer les processus.

• Créer de nouveaux produits.

• Inventer de nouveaux Business Models.

Cette Note de Perspectives est dans la continuité

de la Note précédente sortie en octobre 2013 et

elle a pour objet de présenter les outils et solu-

tions existants autour de la plateforme HANA.

Présentation lors de la Convention USF 2014,

le mercredi 8 octobre de 17h45 à 18h30.

NOTES DE PERSPECTIVES ET LIVRE BLANC

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Enjeux• Regards sur la Société Numérique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p 4

Retours d’Expériences• Le Groupe Lesaffre donne la main

à ses utilisateurs pour le reporting . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p 9

• Le Groupe Vaillant dématérialise le traitement de ses bons de commande . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p 10

• Groupe BIA : des solutions mobiles pour les techniciens sur le terrain . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p 12

• Lacroix Electronics mise sur un hébergeur spécialiste de SAP . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p 13

• Monext réduit les fraudes à la carte bancaire grâce à l’analyse prédictive . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p 14

Commissions• CEI : optez pour l’innovation ! . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p 15

• Nouvelle réunion commune entre les Commissions BI et BDD . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p 16

• Commission Ressources Humaines - Déclaration Sociale Nominative : quels changements ? . . . . . . . . . . . p 17

Portrait de…• Simon Redondie (Gendarmerie Nationale) . . . . . . . . . . . p 18

Cette année, plus encore que les années précédentes, notre Convention s’affirme comme l’événement incontournable

de l’écosystème SAP, moment privilégié pendant lequel les adhérents de l’USF peuvent partager leurs expériences, échanger avec

les partenaires, et bénéficier de l’expertise de conférenciers prestigieux. L’attractivité de ce rendez-vous annuel se manifeste aussi par le fait que nous avons dû une nouvelle fois refuser, faute de place, la présence d’une dizaine de partenaires, à qui on ne peut que suggérer, pour l’année prochaine, de se manifester beaucoup plus tôt !

Cette édition 2014 est également emblématique car nous publions les résultats de la première grande enquête de satisfaction vis-à-vis de SAP et de ses solutions. Cette initiative de l’USF constitue une première pour l’association ; l’enquête a été réalisée, au premier semestre, auprès des sociétés adhérentes par TNS-Sofres. Près de la moitié de celles-ci (plus de 200, dont la grande majorité des grands comptes) ont répondu et complété le questionnaire qui a servi de base au recueil des opinions, ce qui témoigne un vif intérêt pour cette initiative unique. Nous avons souhaité couvrir un spectre très large de problématiques, depuis la performance des solutions SAP jusqu’à l’évaluation de la qualité de la relation commerciale avec l’éditeur, en passant par celle du support ou des aspects plus stratégiques.

Les résultats de cette vaste consultation seront accessibles dans une Note de Perspectives présentée à l’occasion de notre Convention USF 2014. Ils feront également l’objet d’une communication publique dans les médias. Sans en dévoiler les résultats, que je vous laisse découvrir, cette enquête sera très riche d’enseignements pour les adhérents de l’USF et sans aucun doute pour l’éditeur également. C’est la première photographie indépendante de la réalité des relations entre un éditeur, ses clients et son écosystème !

Claude Molly-MittonPrésident USF

mot du Président sommaire

L’USFTrimestriel / Octobre 2014

Utilisateurs SAP Francophones

n°24

www.usf.fr

mag

«  L’USF mag  » le magazine des Utilisateurs SAP Francophones. Édité par l’USF - 64, rue du Ranelagh - 75016 Paris. E-mail : [email protected] - www.usf.fr

Toute reproduction totale ou partielle d’un article du magazine « L’USF mag » est soumis à l’accord préalable du Club Utilisateurs SAP Francophones.

Ce magazine se veut être le reflet de la notion «  d’échanges et de partages  » chère à notre esprit, n’hésitez donc pas à nous faire partager vos avis et remarques. E-mail : [email protected]>

Directeur de publication : Claude Molly-Mitton.Rédacteurs : Philippe Rosé et Aurélie Chandèze, Best Practices International.Coordination : Élysabeth Blanchet.Conception graphique : [email protected]édits photos : USF / barbaradoux.com / Membres et partenaires USF / Thierry Boulley / C. Lebedinsky Challenges-REA / Mandarin Oriental / Lacroix Electronics / SAP.Impression : Imprimerie NPC.

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GILLES BABINET : « NOUS NE SOMMES QU’AU DÉBUT DE LA RÉVOLUTION NUMÉRIQUE »

Dans son dernier ouvrage « L’ère

numérique, un nouvel âge de l’humanité »,

Gilles Babinet explique que les périodes de

crise ont souvent précédé celles de forte

croissance économique et de progrès

social. Ainsi, l’avènement d’une nouvelle

économie de la connaissance a commencé

à bouleverser plus profondément et

durablement la Société que ne l’a fait la

révolution industrielle.

Gilles Babinet démontre que nous

sommes, bien qu’au paroxysme de la crise,

à l’aube d’une révolution de l’innovation

sans précédent, d’un changement de

paradigme majeur pour l’humanité. Il

identifie cinq domaines dont l’évolution

en cours, intrinsèquement liée au

numérique, va changer toute notre vie :

la connaissance, l’éducation, la santé, la

production et l’État. Toutes les fonctions

régaliennes vont être bouleversées et

commencent d’ailleurs déjà à l’être. Mais

aucun secteur n’est épargné par la

révolution numérique. Les changements

sont également d’ordre sociétal :

les Sociétés issues des révolutions

industrielles sont très hiérarchisées,

elles vont désormais être beaucoup plus

transversales, plus transparentes. À

travers les résultats d’une étude menée

auprès des entreprises du CAC 40, sur

leur degré de digitalisation, Gilles Babinet

a identifié les principales caractéristiques

des entreprises en avance par rapport à

celles qui sont plutôt en retard.

THIERRY MARX : ASSOCIER

LES MATIÈRES ET LES PROCESSUS

PHYSICO-CHIMIQUES

En matière culinaire, l’une des innovations

de ces dernières années est la cuisine

moléculaire, dont Thierry Marx s’est fait

une spécialité. L’association des cuisiniers

et des scientifiques apparaît naturelle : la

cuisine moléculaire est moins empirique

que la cuisine traditionnelle et demande

plus de rigueur. On aboutit ainsi à des

jeux de textures et de températures,

d’innovations dans le but de procurer des

sensations et émotions nouvelles à ceux

qui consomment les plats. En matière de

cuisine, l’innovation consiste à associer

la complémentarité entre les matières et

les processus physico-chimiques. Dans

son ouvrage « Répertoire de la cuisine

innovante », co-écrit avec Raphaël

Haumont, Thierry Marx explique que les

connaissances scientifiques ont ouvert le

champ des possibles de manière à ce que

les cuisiniers deviennent beaucoup plus

créatifs.

L’innovation en matière culinaire fait

même l’objet d’une structure spécifique :

le Centre Français d’Innovation Culinaire,

qui est un Laboratoire de recherche alliant

sciences et artisanat culinaire créé en

2013. Le CFIC est né de l’alchimie entre

Thierry Marx et Raphael Haumont, un

chercheur physico-chimiste. L’un des

objectifs du CFIC, avec ses chercheurs

pluridisciplinaires, est de répondre à

la question : « Comment améliorer le

contenu de nos assiettes ? ».

Thierry Marx Chef doublement étoilé.

Gilles BabinetEntrepreneur, Digital Champion de la France auprès de la Commission Européenne.

REGARDS SUR LA SOCIÉTÉ NUMÉRIQUECette année encore, la Convention USF accueille des conférenciers prestigieux qui proposent leur vision de la Société Numérique.

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DENIS PAYRE : UN ENGAGEMENT ET UNE VISION ENTREPRENEURIALE

Denis Payre a l’habitude de s’engager.

Il l’a fait une première fois en fondant

Business Objects, en 1990. Il l’a fait une

seconde fois avec la création de l’asso-

ciation Croissance Plus, réseau français

de dirigeants de petites et moyennes

entreprises et entreprises de taille inter-

médiaire françaises, née en 1997. Et une

troisième fois, avec le mouvement « Nous

citoyens », dont l’une des idées fortes

est que « la France est un surdoué qui

s’ignore, la mondialisation est une oppor-

tunité historique de création de richesses

et d’emplois pour notre pays ». Pour Denis

Payre, l’une des responsabilités dans la

situation économique et sociale actuelle

(dépense publique et dette publique hors

de contrôle, hausse des impôts, explo-

sion des règlementations) incombe aux

leaders politiques, au moins pour deux

raisons. D’une part, les dirigeants natio-

naux s’inscrivent aujourd’hui dans une

logique de carrière et non de mission.

Ils minimisent la prise de risque pour assu-

rer leur réélection. D’autre part, le pro-

fil des responsables politiques manque

de diversité. Près de 40 % des députés

sont des fonctionnaires (en activité ou en

retraite) alors qu’ils ne représentent que

20 % de la population. Les dirigeants poli-

tiques n’ont donc souvent pas le recul et

la diversité d’expériences nécessaire pour

imaginer d’autres solutions plus efficaces,

ne connaissant que le mode de fonction-

nement de l’administration française. Ils ne

connaissent pas l’entreprise où se créent les

emplois marchands. Ils ne connaissent pas

le monde et sont incapables de voir com-

ment tirer parti de la mondialisation. Pour

Denis Payre, il importe d’impliquer davan-

tage les entrepreneurs dans le débat public.

MICHEL GODET : « L’AVENIR N’EST PAS ÉCRIT »

Pour Michel Godet, l’avenir est une page

presque blanche qui reste à écrire. L’avenir

est ouvert et toute forme de prédiction

est une imposture. On a tendance à

surestimer la rapidité des changements,

notamment techniques, et à considérer

que l’on vit une période de mutations

sans précèdent, après laquelle rien d’aussi

important ne se produira. Dans la foulée,

certains vont même jusqu’à dire que l’on

serait rentré dans l’ère d’un monde fini et

que ce serait la fin de l’histoire. Ce biais

est naturel. L’avenir n’est donc pas écrit

et, comme le disait Sénèque : « Il n’y a

pas de vent favorable pour celui qui ne

sait où il va ».

Pour Michel Godet, il importe de

transformer ses faiblesses en forces, les

contraintes sont les mêmes pour tous,

un avantage est souvent une menace

potentielle et une menace est souvent

une opportunité. Les crises sont en fait

porteuses d’espoir. Michel Godet est

convaincu que le contexte actuel est

porteur de plusieurs bonnes nouvelles :

le monde d’aujourd’hui est une réalité qui

dépasse les rêves d’hier, l’espérance de vie

et les revenus n’ont cessé d’augmenter,

le développement durable est porteur de

sens et d’innovation… Michel Godet nous

rappelle aussi qu’un monde nouveau se

prépare, qu’il va falloir tout changer, que

nous sommes à l’aube d’une troisième

vague d’innovations et que, face aux

mutations, il faudra valoriser, innover et

former les hommes pour rester dans la

course. La confiance dans l’avenir passe

par l’innovation, assure Michel Godet…

Thierry Marx Chef doublement étoilé.

Michel GodetProfesseur du CNAM, Membre de l’Académie des Technologies.

Denis Payre Cofondateur de Business Objects, Président de « Nous citoyens ».

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MARC PFOHL ET ALEXANDRE MARTEL : « UNE RÉVOLUTION DANS LA FABRICATION DES OBJETS »

Marc Pfohl et Alexandre Martel, fonda-

teurs du site d’information 3Dnatives

(www.3dnatives.com), en sont convaincus

et s’attachent, avec leur portail sur

les technologies d’impression 3D,

à évangéliser les particuliers et les

entreprises : l’impression 3D apparaît

comme un formidable outil et promet

de révolutionner la manière dont nous

fabriquons les objets. Quelles sont les

applications ? Elles sont d’ores et déjà

multiples avec une transformation dans

la manière de fabriquer les produits et

de proposer des nouveaux services et de

nombreux secteurs sont déjà fortement

impactés : l’aéronautique, la joaillerie,

l’habillement (créer ses vêtements

personnalisés), l’agro-alimentaire (pour le

design des nouveaux produits), la santé

(fabrication d’organes), l’industrie (pièces

détachées)… Et quels sont les enjeux qui

se cachent derrière cette technologie ?

Essentiellement la naissance de nouveaux

business models. D’ailleurs, l’écosystème

autour de l’impression 3D est lui aussi

déjà très fourni : on trouve en effet sur

le marché des constructeurs de scanners

et d’imprimantes (pour les industriels

et les particuliers), des fabricants de

consommables, des éditeurs de logiciels

de création, des places de marché,

des spécialistes du prototypage, des

revendeurs et distributeurs et des sociétés

de services : signe qu’un marché gagne en

maturité. Selon Gartner, « le prototypage

3D permet aux sociétés de réduire les

risques associés à un design, une forme

ou une fonctionnalité d’un produit en

cours de recherche et développement. Il

peut également servir en support à de

nouvelles méthodes de fabrication, et

peut réduire les temps de développement

d’un nouveau produit ».

Marc PfohlCofondateur du site Web 3dNatives.

Alexandre MartelCofondateur du site Web 3dNatives.

REGARDS SUR LA SOCIÉTÉ NUMÉRIQUE (suite)

Utilisateurs SAP Francophones

n Programme des conférences plénières

Mercredi 8 octobre 2014

• Michel GODET - Professeur du CNAM, Membre de l’Académie des Technologies : « L’avenir en confiance par l’innovation :  des virages et des mirages technologiques »

• Gilles BABINET - Entrepreneur, Digital Champion de la France auprès de la Commission Européenne : « Révolution numérique, ses impacts sur les sociétés humaines et les sociétés commerciales »

• Marc PFOHL et Alexandre MARTEL - Fondateurs de 3Dnatives : « L’impression 3D révolutionne la fabrication numérique »

Jeudi 9 octobre 2014

• Christiane FÉRAL-SCHUHL - Ancien Bâtonnier du Barreau de Paris : « Ombres et lumières juridiques de la Société Numérique »

• Denis PAYRE - Cofondateur de Business Objects, Président de “Nous Citoyens”

• Henri VAN DER VAEREN - Managing Director SAP France et BeLux et remise des SAP Quality Awards France

• Thierry MARX - Chef doublement étoilé : « Quand l’innovation se cuisine »

“ LA SOCIÉTÉ NUMÉRIQUE”

CONVENTION USF 2014

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Je suis donc tentée d’inviter le législateur à ne pas céder

à la tentation de vouloir adapter le droit aux technologies,

car chaque fois qu’il apporte une réponse à une question

précise soulevée par la technologie, la solution risque

d’être partielle ou incomplète car les technologies sont

galopantes. En outre, la multiplication et l’inflation des

textes, la cohabitation des textes de droit commun

et de droit spécifique finissent par rendre illisible la

réglementation applicable.

La Société Numérique comprend-elle des zones de

non-droit qui sont condamnées à le rester ?

La vraie difficulté doit se concentrer sur le caractère

décentralisé et transfrontière de l’Internet qui

s’accommode mal de l’application de règles de droit

national. Par exemple, le cloud permet le transfert de

données vers des pays tiers : des données peuvent être

envoyées de Paris à Los Angeles afin d’y être traitées

et conservées en Inde. Comment les règles nationales

peuvent-elles appréhender ce montage juridique ? C’est

pourtant notre réalité quotidienne. De la même façon, le

mode de gouvernance d’Internet n’est pas compatible

avec les règles nationales.

À mon sens, la priorité est de renforcer les moyens mis

à la disposition des autorités chargées d’enquêtes afin de

favoriser une collaboration effective et efficace, au-delà

de nos frontières nationales, pour collecter les éléments

de preuves, où qu’elles soient localisées, pour identifier

et appréhender les auteurs d’infractions. Ces derniers

n’hésitent pas à recourir à l’anonymat pour escroquer

et abuser des particuliers comme des sociétés, pour

diffuser des contenus illicites… Ils n’hésitent pas non

plus à se délocaliser en dehors du territoire national pour

commettre leurs infractions.

La monétisation des données

est-elle inéluctable ?

La monétisation des données existe déjà avec les

services d’accès payants aux contenus informationnels,

aux produits et services en ligne (vidéos, musicaux,

livres dématérialisés…). Va-t-elle s’étendre aux données

personnelles ? Il est vrai que l’on évoque leur monétisation

en faisant valoir que leurs propriétaires doivent pouvoir

gérer et contrôler directement leurs données personnelles

et bénéficier de gains en retour. Mais l’idée n’est pas

nouvelle et n’a pas vraiment progressé en dix ans, même

si de plus en plus d’entreprises invoquent la volonté de

s’engager dans cette voie au nom de la transparence, de

la protection de la vie privée et du partage des valeurs.

CHRISTIANE FÉRAL-SCHUHL : « INTERNET EST UN BIEN COMMUN »

En quoi notre Société Numérique

devient-elle aussi une société

plus juridique ?

Le droit est progressivement devenu

omniprésent dans notre société. Il investit

tous les actes de la vie professionnelle et de

la vie privée. Le citoyen a pris conscience

qu’il est un sujet de droit et que chacun de

ses actes, aussi anodin soit-il, a des effets

juridiques. Le développement important

du droit consumériste, des actions de

groupe, par exemple, témoignent, s’il en

est besoin, de la place grandissante du

droit dans notre quotidien. Et si le droit

est aussi important, c’est parce qu’il est

un élément fondateur et structurant de

toute société.

Parallèlement, les technologies ont modifié

profondément, ces trente dernières

années, nos comportements et notre

environnement culturel, économique,

social, sociétal, institutionnel, et, bien

sûr, juridique. Dans ce contexte, il paraît

parfaitement logique et cohérent de

confronter le droit aux nouvelles questions

soulevées par les technologies.

Le renforcement de la

réglementation

est-il un mal nécessaire ?

Le renforcement de la réglementation

ne me paraît pas indispensable. Notre

arsenal législatif en matière pénale

est parfaitement opérationnel depuis

la loi Godfrain (1988). Bien sûr, nous

avons quelques hésitations quant à

l’applicabilité de certaines dispositions de

droit commun. Par exemple, comme le

vol suppose la soustraction de la chose,

la question s’est posée de savoir s’il était

possible, juridiquement, d’évoquer « le vol

de données » alors que, techniquement, il

s’agit de «copiage» ? Mais globalement,

lorsque l’on analyse la jurisprudence, le

droit résiste plutôt bien aux nouvelles

questions soulevées par les technologies.

Christiane Féral-SchuhlAvocat Associé chez Féral-Schuhl/Sainte-Marie Ancien Bâtonnier du Barreau de Paris.

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La raison tient sans doute à ce que le

modèle économique existant convient très

bien aux acteurs concernés : la collecte et

la conservation de données personnelles

permettent à des prestataires de services

de constituer des bases de données d’une

valeur commerciale considérable en

contrepartie de la gratuité d’accès à leurs

sites, services, réseaux…

Par ailleurs, un autre modèle économique

prend de plus en plus d’importance : la mise

en commun des biens informationnels,

du partage des données… C’est dans ce

contexte que se développe l’open data.

Nous connaissons déjà les portails qui

mettent à disposition de tous l’ensemble

des informations publiques ou encore les

licences libres, les creative commons,

autant de concepts qui ont une incidence

économique forte en restaurant des

notions comme l’enrichissement collectif,

l’échange, la contribution à la création de

valeurs économiques.

Comment peut-on définir la notion

de bien commun par rapport

aux principes de la propriété

intellectuelle ? Le bien commun

peut-il se définir comme un bien

qui n’appartient à personne ?

Les notions de biens communs et de

propriété intellectuelle sont antinomiques.

Aucun mécanisme de propriété ne vient

entraver l’accès du bien commun par la

communauté des utilisateurs. Chacun

peut librement y accéder et en bénéficier.

Dans l’univers numérique, l’utilisation

d’un bien commun par une personne

ne prive pas l’autre de son usage. Au

contraire, l’enrichissement du bien

commun doit bénéficier à tous. On peut

donc effectivement considérer que le bien

commun n’appartient à personne.

La propriété intellectuelle vise à protéger

l’auteur d’une œuvre et ses ayants droit.

Mais l’auteur peut décider de la diffusion

« libre » de son œuvre en renonçant à

son droit de repentir (droit de retrait de

son œuvre) et, plus généralement, à ses

prérogatives sauf une : personne ne pourra en ses lieu et

place s’approprier son œuvre, y compris les contributeurs

successifs (c’est le principe des œuvres libres).

Peut-on assimiler bien commun et open data ?

Les deux notions ont une filiation évidente, même si la

notion de « bien commun » n’a pas encore de définition

de référence. L’open data, ou « ouverture des données »,

s’inspire de la philosophie du « bien commun » : l’air,

l’eau… sont des biens communs qui doivent être librement

accessibles et exploitables par chacun.

L’open data concerne aussi bien des données d’origine

publique (l’État, une collectivité publique, un service

public…), par exemple des données sur le transport, la

météo, la cartographie, les statistiques, que des données

du secteur privé. En effet, une entreprise peut décider

« d’ouvrir » ses données (les rendre donc accessibles à

des tiers, clients, prestataires…) et/ou de réutiliser des

données ouvertes par d’autres (partenaires, y compris

des concurrents, des institutions…).

Il s’agit d’une décision stratégique de l’entreprise,

généralement dans un objectif de communication (la

transparence en publiant des données qui peuvent

rassurer les clients, les actionnaires, les investisseurs,

favoriser une image d’ouverture, de coopération) et/ou

d’innovation (volonté de développer de nouveaux produits

ou services…).

Mais une telle décision a des conséquences techniques,

et c’est au DSI que reviendra le soin d’analyser le cadre

technique d’ouverture des données ou de réutilisation de

données ouvertes : la qualité des données qui doivent offrir

des garanties de précision, de mises à jour, de portabilité…

Le développement d’applications dédiées peut s’avérer

nécessaire tout comme un travail d’homogénéisation des

formats de données…

Cette décision impacte également la structure et la valeur

du patrimoine informationnel, notamment si l’entreprise

envisage de rendre gratuites certaines données dont

l’accès était auparavant payant. Il lui faut donc réfléchir

aux solutions alternatives pour compenser le manque à

gagner. L’exercice d’évaluation des enjeux d’une démarche

d’ouverture des données reste donc très délicat.

Internet est-il lui aussi un bien commun ?

Le principe même de la neutralité de l’Internet, notamment

le refus de discriminer et de limiter l’accès au réseau,

assimile bien sûr Internet à un bien commun.

REGARDS SUR LA SOCIÉTÉ NUMÉRIQUE (suite) Christiane Féral-Schuhl :  « Internet est un bien commun » (suite)

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Partenaire Gold XL de la Convention USF 2014

N° STAND : 70

Pour répondre aux attentes de ses

utilisateurs, le Groupe a mis en place BI 4 et

Sybase IQ, afin de permettre des analyses

à la demande et un reporting performant.

Entreprise familiale, le Groupe Lesaffre

commercialise ses levures et produits

de fermentation dans plus de 180 pays.

L’entreprise gère l’ensemble de ses

activités avec SAP R3, notamment le suivi

de ses 49 sites de production. Courant

2012, une enquête de satisfaction menée

auprès des utilisateurs fait remonter un

certain nombre de motifs d’insatisfaction

autour du système de reporting, alors

basé sur SAP BW. Les critiques portaient

notamment sur la qualité des données, le

niveau de détail fourni et la rigidité des

outils. « Les rapports avaient une structure

fixe,  ils étaient difficiles à changer et cela 

prenait du temps », explique Peter Otvos,

Directeur global du programme SAP.

En 2013, l’entreprise décide donc d’initier

un projet de refonte de son système

décisionnel. « Le projet a été divisé en

deux grandes phases : une première phase 

de modélisation des concepts, suivie d’une

phase de mise en œuvre, elle-même divisée

en deux parties », décrit Peter Otvos. « La

première partie de l’implémentation avait

pour objectif de parer au plus urgent, en

fournissant ce qui était le plus demandé

par les utilisateurs : le reporting comptable 

et  financier,  les  ventes  et  les  achats.  Les 

autres domaines (reporting produits,

stocks…) étaient prévus pour la deuxième

partie de la mise en œuvre ».

Sur le plan technique, Lesaffre choisit de

mettre en place deux nouvelles solutions :

SAP BusinessObjects BI 4 pour la partie

analyse et Sybase IQ, côté base de données.

« Côté analyse, nous voulions rendre les

utilisateurs satisfaits en leur proposant des

outils intégrés à leur bureau. Nous utilisions

déjà Business Objects pour d’autres

applications non-SAP et ces solutions

étaient très bien notées en interne. » Pour

la base de données, le Groupe a également

considéré SAP Hana, mais la solution n’a

pas été retenue car la volumétrie ne le

justifiait pas. Sybase IQ a été privilégié pour

les gains de performances que la solution

apportait : « Les rapports sont très rapides

à obtenir », se réjouit Peter Otvos. En outre,

une fonctionnalité de BI 4 permettant

d’extraire directement les données de l’ERP

a été particulièrement appréciée : « Celle-ci

évite d’avoir à déplacer au préalable les

données dans BW, qui était devenu un

goulet d’étranglement. »

La mise en œuvre a été accompagnée par

les consultants du Groupe Sopra. Quatre

personnes sont intervenues sur la première

partie du projet. Le déploiement a, quant

à lui, mobilisé entre sept et huit personnes

en équivalent temps plein, dont plusieurs

utilisateurs métiers qui y consacraient

environ une journée par semaine.

Alors que la première partie de la mise

en œuvre est achevée et que la seconde

s’apprête à démarrer, le Groupe entrevoit

déjà les premiers bénéfices. « Dans chaque

usine, nous avons entre deux et trois

contrôleurs, qui auparavant n’arrivaient

pas à obtenir le niveau de détail qu’ils

souhaitaient. Désormais, ils peuvent eux-

mêmes effectuer leurs propres analyses »,

assure Peter Otvos.

En bref :

Le Groupe Lesaffre fabrique des levures et autres produits de fermentation, principalement pour les métiers de la boulangerie et de la nutrition.

Quelques chiffres : • 7 700 salariés.

• 80 filiales, réparties dans 40 pays.

• Chiffre d’affaires 2013 : 1,56 milliard d’euros.

Le Groupe Lesaffre donne la main à ses utilisateurs pour le reporting

Témoignage dePeter Otvos

Directeur global du programme SAP Groupe Lesaffre

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Partenaire Platinium de la Convention USF 2014

N° STAND : 51

Témoignage deThierry Tournier

Directeur Administratif et Opérations de la filiale française du Groupe Vaillant

En 2013, la filiale française du Groupe

Vaillant, spécialiste du chauffage, a décidé de

dématérialiser le traitement de ses 130 000

bons de commande annuels. Auparavant,

celui-ci était réalisé manuellement dans le

service Administration des Ventes. Cette

étape était très chronophage et parfois source

d’erreurs. Le Groupe Vaillant a souhaité

faire évoluer ce processus pour gagner en

productivité, améliorer le processus allant

de la prise de commande à l’encaissement et

répondre à sa démarche environnementale

de réduction des consommables.

La société cherchait un outil compatible

avec son ERP SAP et son outil de CRM

Salesforce. A la suite d’un appel d’offres,

la solution SaaS d’Esker a été retenue.

« Au niveau du Groupe, nous privilégions

les solutions externalisées car c’est plus

simple à gérer », précise Thierry Tournier,

Directeur Administratif et Opérations de la

filiale française du Groupe Vaillant.

« Nous avons fait le choix de la

dématérialisation pour supprimer le volume

exponentiel de papier qui s’amassait dans

nos bureaux. En plus du gaspillage, la

gestion manuelle des bons de commande

engendre beaucoup de perte de temps au

moment de la réception et de la diffusion

interne des documents, sans compter les

heures perdues à archiver et à rechercher

les documents au sein de notre service

Administration des Ventes », ajoute-t-il.

La solution mise en place a permis au

Groupe d’automatiser intégralement le

traitement de ses bons de commande,

faisant gagner un temps précieux aux huit

personnes de l’équipe Administration des

Ventes.

Le processus mis en place comporte

plusieurs étapes :

• Les commandes arrivent par fax

directement dans la solution puis celle-ci

en extrait les informations importantes ;

• Ces informations sont ensuite analysées

en fonction de règles d’attribution

prédéfinies afin de pouvoir transmettre

la commande aux bonnes personnes. Ces

règles examinent notamment le nom du

client, les produits concernés, la zone

géographique et le niveau d’urgence

(date et mots-clés).

• Une fois la commande traitée, celle-ci

est automatiquement archivée avec

toutes les données renseignées dans SAP.

Les utilisateurs peuvent ainsi accéder

directement aux documents originaux

depuis l’ERP et en copie dans l’outil CRM

en cas de besoin, un lien direct qui est

très apprécié.

« Notre besoin était moins sur la saisie que

sur l’assignation des commandes à la bonne

personne et sur la traçabilité. Avec cette

solution de dématérialisation, nous n’avons

plus besoin d’avoir une personne qui trie

les fax et les distribue, un par un, aux

personnes concernées. Cette répartition se

fait automatiquement selon un ensemble

de règles d’affectation sur lesquelles nous

avons la main », ajoute Thierry Tournier.

Le déploiement de la solution s’est effectué

courant 2014, le même mois que celui de

l’outil de CRM. Malgré quelques réticences

à l’idée de quitter le papier, la solution a été

rapidement adoptée.

« Nous avons eu une demi-journée de

formation au démarrage. Aujourd’hui

En bref :

En France, le Groupe Vaillant est un acteur majeur du marché de la chaudière murale gaz avec ses marques Saunier Duval et Vaillant. Le Groupe propose également des systèmes solaires, des pompes à chaleur, des systèmes hybrides et des ballons thermodynamiques.

Le Groupe Vaillant dématérialise le traitement de ses bons de commande

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oursl’équipe utilise la solution sans aucun

problème, en s’appropriant au fur et à

mesure ses différentes fonctionnalités »,

indique Sophie Meunier, Responsable du

service Administration des Ventes.

Après cinq mois d’utilisation, l’entreprise

a déjà pu observer un certain nombre

de bénéfices. Le plus évident d’entre

eux était la suppression du papier. Le

Groupe consommait auparavant près

de 300 ramettes pour le traitement des

commandes : la dématérialisation a

permis non seulement de réduire les coûts

d’impression et d’archivage, mais aussi de

faire gagner du temps aux équipes. « La

recherche de documents a été nettement

facilitée », ajoute Sophie Meunier. « Si nous

avons un client au téléphone, il n’est plus

nécessaire d’interrompre la communication,

nous avons un accès immédiat à la copie

en PDF ». Côté clients, cela renforce donc

le professionnalisme, tandis que pour les

équipes, la solution a apporté de vrais gains

de productivité. De cette façon, l’entreprise

a pu améliorer son cycle « Order-to-

Cash » afin de traiter plus rapidement les

commandes client, de livrer plus vite et

d’encaisser les créances dans le respect

du cadre de la loi de modernisation de

l’économie (LME), tout en évitant les retards

liés à d’éventuels litiges administratifs. Le

nombre d’erreurs a également diminué

grâce à l’automatisation de traitements

auparavant effectués de manière manuelle.

Les commerciaux ont également bénéficié

de cette mise en place : la solution leur

permet en effet de recevoir une copie

par mail à chaque fois qu’un client passe

une commande. « L’outil leur donne de la

visibilité sur le suivi de leurs commandes »,

souligne Sophie Meunier.

Enfin, un gain plus inattendu est apparu

au niveau de la logistique, alors que

le projet initial était purement axé sur

l’Administration des Ventes. « Quand un

même client passe plusieurs commandes le

même jour, nous pouvons plus facilement

les identifier et les regrouper avant de les 

transférer dans notre système de gestion

d’entrepôt (WMS), ce qui nous permet

d’optimiser la préparation de commande,

en complément de ce qui existe déjà dans

le WMS. » De cette façon, l’entreprise peut

plus aisément faire en sorte que ses clients

reçoivent toutes leurs commandes en

même temps, selon les dates de livraison

demandées, améliorant ainsi l’OTIF (Order

on Time In Full / Livraison complète à la

date demandée).

Satisfait de la solution, le Groupe Vaillant a

décidé d’étendre son utilisation à d’autres

domaines, au premier rang desquels la

logistique et le service Crédit-recouvrement.

Pour l’instant, la dématérialisation n’est

mise en œuvre qu’en France, mais la

solution étant un choix du Groupe, celle-ci

pourrait également être mise en œuvre

parmi les 24 autres filiales européennes qui

le souhaiteraient. Une étude est par ailleurs

en cours pour l’intégration d’un lien vers

Esker dans l’outil Salesforce afin de rendre

les données accessibles par le service

Crédit-recouvrement sans intervention de

l’Administration des Ventes.

Quelques chiffres :

• Plus de 12 000 collaborateurs.

• Chiffre d’affaires 2013 : 2,3 milliards d’euros.

• 11 sites de production, répartis principalement en Europe.

• 5 sites de R&D.

Source : Esker

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rsTémoignage de

François Heimann DSI du Groupe BIA

Le Groupe BIA commercialise et entretient

des équipements destinés aux exploitations

minières et aux carrières, aux travaux

publics, à la manutention industrielle et au

recyclage. Au fil du temps, sa présence s’est

étendue de la Belgique aux Pays-Bas et

dans une vingtaine de pays d’Afrique de la

Mauritanie à la Zambie.

Afin de supporter sa forte croissance, le

Groupe a décidé en 2012 de refondre son

système de gestion pour mettre en œuvre

les meilleures pratiques de la maintenance

industrielle et s’adapter aux tendances

comme la gestion de données en mobilité.

Son ancien système mis en place en 2003

démontrait en effet ses limites, avec notam-

ment l’impossibilité de gérer les multidevises

ou de grands projets miniers complexes.

BIA a choisi alors de retenir les solutions

SAP, au plus proche de ses besoins et offrant

de larges possibilités d’évolution. BIA a

également choisi l’intégrateur SOA People,

partenaire SAP leader en Belgique, pour

son expérience éprouvée dans la réalisation

de projets complexes auprès d’entreprises

similaires, dont des projets en mobilité.

Trois grands objectifs avaient été fixés pour la

partie mobilité, dès le départ de la définition

du projet global fin 2012 : gagner en qualité

des données et circulation de l’information,

optimiser l’activité de maintenance et

obtenir une meilleure visibilité pour mieux

décider.

Le projet global de mise en œuvre du sys-

tème d’information a démarré début 2013.

Le projet de mobilité a quant à lui démarré

fin 2013, avec un premier go-live effectué le

1er mars 2014 auprès de 75 collaborateurs

belges et néerlandais. BIA a équipé ses

techniciens de PC à écran tactile amovible,

dotés de caméras, d’appareils photo et de

l’application de mobilité SAP Work Manager

(ex-Syclo). L’outil de formation SAP WPB a

permis de faciliter nettement l’appropriation

de l’application, en mettant à disposition pour

chaque processus un film et un document

Word associé, ainsi qu’un quizz pour tester

le niveau d’acquisition des connaissances.

Après avoir réalisé leurs premiers pas

en formation, ces techniciens accèdent

désormais directement aux informations et

aux outils dont ils ont besoin pour organiser

leurs interventions et les mener à bien :

ordres de travail, informations techniques,

accès au catalogue des pièces de rechange,

plan de réparation, liste des pannes… Ils

peuvent également saisir leurs comptes-

rendus de missions et valider les ordres

effectués. Une grande partie des données est

alors enregistrée automatiquement : date,

statut, nom du technicien, coordonnées du

client, durée d’intervention… Une fois saisies

et validées, les données sont envoyées

directement aux systèmes ERP et CRM dès

qu’une connexion réseau est disponible, en

transitant par SAP Netweaver qui se charge

d’orchestrer et de rediriger les flux.

Les bénéfices de la solution mobile SAP

se sont vite manifestés. Les techniciens

ont ainsi gagné entre 15 et 45 minutes de

temps de travail par jour. Ils peuvent mieux

préparer leur planning et sélectionner en

amont les outils appropriés à l’intervention.

Une fois sur le site, ils accèdent rapidement

à toutes les informations pertinentes. Ce qui

permet de réduire nettement le temps et le

taux de résolution des pannes.

La solution a également permis d’optimiser

la gestion des stocks : l’inventaire est désor-

mais mis à jour au fur et à mesure et les

pièces de rechange sont mieux utilisées.

Enfin, la fiabilité et la qualité des données

saisies dans l’ERP ont nettement augmenté,

facilitant la facturation des interventions et

fournissant une vraie traçabilité.

Pour François Heimann, DSI du Groupe BIA,

trois facteurs ont contribué au succès de ce

projet :

• Le respect des standards, en privilégiant la

simplicité et la lisibilité des interfaces.

• La conduite du changement, avec une

formation complète des techniciens et

un déploiement petits groupes par petits

groupes.

• L’adoption d’une stratégie mobile en

plusieurs étapes, le déploiement de SAP

Work Manager étant la première d’entre

elles (avant le CRM et les tableaux de

bords).

En bref :

Mise en place de l’ERP SAP (modules FI-CO, SD, MM, WM, PS, PI et WPB), du CRM (Sales Manager), de la Business Intelligence et de solutions de mobilité basées sur SAP Work Manager (ex-Syclo) pour les techniciens en intervention sur site, en partenariat avec SOA People.

Quelques chiffres : • 1 200 collaborateurs,

dont 900 techniciens hautement spécialisés.

• Chiffre d’affaires : 415 millions d’euros en 2013.

Groupe BIA : des solutions mobiles pour les techniciens sur le terrain

Partenaire Gold de la Convention USF 2014

N° STAND : 48

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Partenaire Gold de la Convention USF 2014

N° STAND : 15

Sous-traitant électronique pour les

secteurs industriels, domotique, médical,

automobile, aéronautique et défense,

LACROIX Electronics gère l’ensemble de

ses activités avec l’ERP SAP.

En 2011, la société décide de confier

l’exploitation de son système SAP, alors

effectuée en interne, à un partenaire

hébergeur. Entreprise industrielle fonction-

nant 24h/24 et 7 jours sur 7 sur certains

sites, LACROIX Electronics a des exigences

précises concernant cet hébergement.

« Nous n’avons quasiment pas de fenêtres

d’arrêt », explique le DSI Loïc Goulard.

« Il nous fallait donc un partenaire solide,

capable d’assurer un monitoring en continu,

adapté à notre fonctionnement en 3x8 ».

En croissance régulière, la société désirait

également que son hébergeur soit capable

d’accompagner le développement de ses

activités. « Il fallait qu’il puisse aisément

nous allouer de l’espace, de la mémoire

ou des processeurs supplémentaires »,

précise Loïc Goulard. De ce fait, l’entreprise

s’oriente vers des acteurs disposant d’une

taille suffisante pour fournir les ressources

nécessaires, tant au niveau matériel

qu’humain.

« Le troisième critère était la sécurité de

nos systèmes », ajoute le DSI. « Pour une

entreprise comme la nôtre, il n’est pas

vraiment pertinent d’héberger un système

SAP sur un site industriel, surtout dans le

cadre d’un PRA (Plan de Reprise d’Activité).

Les hébergeurs répondent mieux à ces

exigences en proposant un hébergement

sécurisé sur plusieurs sites distants de

plusieurs kilomètres. »

Après avoir consulté cinq hébergeurs,

l’entreprise choisit finalement de s’appuyer

sur le Groupe Ciber, convaincue notamment

par la qualité technique de l’hébergement.

« Nous avons visité les centres de données,

ceux-ci fournissaient un niveau de sécurité

qu’une  entreprise  peut  difficilement 

atteindre par elle-même, qu’il s’agisse de

l’accès aux salles, au réseau ou encore de

l’alimentation électrique ». Le DSI cite en

particulier l’installation électrique de l’un

des data centers visités, combinant deux

opérateurs différents et un générateur

électrique sur le même site.

LACROIX Electronics a également apprécié

l’expertise du Groupe Ciber autour des

systèmes SAP. « Là où un hébergeur

classique se contente d’assurer la

disponibilité des systèmes, un partenaire

disposant de compétences SAP peut

amener un conseil sur les performances de

l’ERP, en nous indiquant par exemple que

tel paramétrage génère des tables trop

volumineuses », souligne Loïc Goulard.

Un autre point qui a fait peser la balance est

la localisation des data centers de Ciber en

Allemagne, l’un des pays où est implanté

LACROIX Electronics. « Connaître la loca-

lisation du centre et savoir qu’il était en

Europe était un plus, surtout quand il s’agit

de données sensibles », insiste le DSI.

En 2011, la transition a pris environ un

mois, avec une bascule à blanc. « La

bascule s’est effectuée sur un week-end.

La durée dépend surtout de la taille des

bases de données à migrer ». Depuis,

l’entreprise n’a jamais eu de problèmes à

déplorer tant en termes de disponibilité que

de performances.

La société avait apprécié le rapport qualité/

prix proposé à l’époque, jugé compétitif.

« C’est toujours le cas aujourd’hui, cela a

joué dans notre décision de renouveler le

contrat », ajoute Loïc Goulard. En juillet

2014, la société vient en effet de re-signer

avec Ciber pour une période de trois ans.

En bref :

LACROIX Electronics est une division du Groupe LACROIX et est spécialisée dans le développement, la production et l’intégration d’ensembles et sous-ensembles électroniques.

Quelques chiffres :

• Chiffre d’affaires 2013 : 180 millions d’euros.

• 2 050 collaborateurs.

• 4 usines (France, Allemagne, Pologne et Tunisie) et 5 bureaux d’études.

LACROIX Electronics mise sur un hébergeur spécialiste de SAP

Témoignage deLoïc Goulard

DSI chez LACROIX Electronics

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rsTémoignage de

Annabelle Gerard Responsable Business Intelligence

et Data Mining chez Monext

Entreprise spécialisée dans les services de

paiement, Monext gère près d’un milliard

de transactions chaque année pour le

compte de 5000 clients, des établissements

financiers et des commerçants.

En 2012, la société décide de renforcer

son système de lutte contre la fraude,

notamment pour faire face à une montée

des transactions frauduleuses en ligne. Dis-

posant d’un historique conséquent de tran-

sactions sur plusieurs banques et plusieurs

types de cartes, l’entreprise souhaitait

exploiter ces données pour améliorer ses

modèles prédictifs. « Entre un porteur de

carte Visa Classique et un détenteur d’une

carte Gold, les comportements peuvent

être très différents », souligne Annabelle

Gerard, Responsable Business Intelligence

et Data Mining chez Monext.

Dans ce but, l’entreprise a évalué les

solutions d’analyse prédictive de six

éditeurs lors d’un benchmark de six mois.

Plusieurs critères ont été examinés, comme

l’évolutivité, les coûts de maintenance,

l’architecture technique, les performances

et la facilité d’usage. « Il nous fallait une

solution adaptée à notre contexte, celui

d’une PME », explique Annabelle Gerard.

«  Elle  devait  être  suffisamment  simple 

d’utilisation pour ne pas nécessiter une

personne à plein temps derrière, et

suffisamment  performante  pour  pouvoir 

s’intégrer à nos systèmes sans ralentir le

temps de traitement des transactions ».

De par le volume de données concernées,

la solution devait aussi être en mesure de

répondre aux contraintes du Big data.

A l’issue du benchmark, l’entreprise a

retenu la solution SAP InfiniteInsight (à

l’époque Kxen). « Un consultant est venu

passer une journée chez nous pour bâtir un

Proof of Concept », se souvient Annabelle

Gerard. « À l’issue de celui-ci les résultats

étaient déjà satisfaisants ». Monext a

aussi apprécié la possibilité d’exporter les

modèles en Java une fois créés : « Cela

nous permettait d’intégrer directement les

nouveaux algorithmes dans nos systèmes

de traitement en temps réel ».

En août 2012 démarre la mise en place de

la solution. Celle-ci est effectuée en binôme

afin de bénéficier d’une double expertise :

le Data Mining et la lutte contre la fraude.

Les données anonymisées sont analysées

afin d’identifier des critères différenciant

les fraudes des transactions normales. Ces

critères sont ensuite formalisés à travers

des modèles déployés dans les systèmes

opérationnels. À l’heure actuelle, une

vingtaine de modèles ont été développés.

Ce projet a permis d’obtenir des gains

très concrets : « Nous avons observé en

moyenne 30 % de réduction des fraudes sur

les transactions traitées », pointe Annabelle

Gerard. Pour certains clients commerçants,

la fraude a même été réduite de 60 %, leur

permettant des économies importantes.

En gagnant en précision, l’outil a aussi

réduit le nombre de faux positifs, évitant

de bloquer par erreurs des transactions non

frauduleuses. De ce fait, les commerçants

ont amélioré leur qualité de service auprès

de leurs propres clients.

De son côté, Monext a pu accroître sa

maîtrise en matière de lutte contre la

fraude, tout en démontrant sa réactivité

auprès de ses clients. « Aujourd’hui, nous

utilisons également l’outil pour proposer aux

entreprises qui le souhaitent des analyses

ponctuelles de leur taux de fraude », ajoute

la responsable BI.

L’entreprise envisage désormais d’exploiter

l’analyse prédictive dans d’autres

contextes, notamment pour émettre des

recommandations à ses clients. « En

analysant leur historique, nous pouvons

identifier  par  exemple  des  pics  de  ventes 

saisonniers ou évaluer la part de clientèle

en provenance d’un pays donné », illustre

Annabelle Gerard. Ces informations

peuvent être utilisées pour conseiller les

clients et les aider à augmenter leur chiffre

d’affaires.

En bref :

Filiale du Crédit Mutuel Arkéa depuis 2010, Monext est une société spécialisée dans les services de paiement : émission de cartes, autorisations de paiement, contrôle et traitement des transactions, systèmes de crédit…

Quelques chiffres :

• Chiffre d’affaires 2011 : 67 millions d’euros.

• 480 collaborateurs.

Monext réduit les fraudes à la carte bancaire grâce à l’analyse prédictive

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Participer à un projet CEI (Customer Engagement

Initiative) permet d’influencer la conception des

futurs produits SAP et de pouvoir exprimer ses

besoins en amont.

Chaque année, trois cycles CEI sont organisés,

généralement en mars, juin et octobre. L’intérêt,

pour les clients SAP, est d’analyser en amont les

spécifications des nouvelles fonctionnalités, de

prioriser le backlog de l’équipe de développement,

de valider les interfaces utilisateurs durant les sprints

et de tester (à distance ou dans les SAP Labs).

Les projets CEI durent environ dix-douze mois et la

collaboration avec SAP peut s’exprimer de différentes

manières : conférences téléphoniques, entretiens,

ateliers avec l’équipe SAP…

CEI : OPTEZ POUR L’INNOVATION !

Quelques exemples de projets CEI

• Bouygues Telecom a participé

à la spécification et tests de la nouvelle

fonctionnalité de SSO ABAP.

• Danone a co-créé une solution CRM

sur SAP HANA avec l’équipe de

développement SAP.

• L’Oréal et Moët Hennessy International

ont participé à la spécification et tests

d’une nouvelle solution

de « Supply Chain Planning » dans Excel.

Comment participer aux projets CEI ?

Le troisième cycle CEI démarre

du 6 octobre au 31 octobre.

Pour s’inscrire : https://influence.sap.com

Pour toute question sur la CEI : 

[email protected] ou [email protected]

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Cristina Pisica-Donose Présidente de la Commission Bases de Données - USF

L’idée de cette nouvelle rencontre Cross-Commissions est

née après l’atelier sur BI4 organisé en juin 2014 par la

Commission BI. « Lors de cette session, SAP a présenté

ses recommandations pour l’utilisation de BI4 avec SAP

BW. Ensuite, nous avons voulu les confronter aux retours

d’expériences des adhérents et il s’est avéré que le sujet

intéressait également les membres de la Commission

Bases de Données », explique Pascal Betsch (Valeo), alors

Président de la Commission BI SAP.

« Nous avons des sujets en commun », affirme Cristina

Pisica-Donose, Présidente de la Commission Bases de

Données. Parmi ceux-ci figure notamment la base de

données en mémoire HANA. « Il s’agit d’une base de

données, mais elle s’applique toujours sur une base

applicative », observe Pascal Betsch. Dans l’univers

décisionnel, SAP propose aujourd’hui trois grands

outils : HANA, l’entrepôt de données BW et la suite

décisionnelle BI4. « Chacun doit trouver sa place dans

le contexte particulier des entreprises », ajoute Pascal

Betsch. « L’apparition de HANA et de HANA Live incite

à repenser l’architecture des systèmes décisionnels et

la répartition des contenus métier entre les systèmes

sources et les entrepôts de données. Notre objectif est

d’aider les adhérents à s’y retrouver en clarifiant le rôle 

et le positionnement des différents outils ». De son côté,

Cristina Pisica-Donose a constaté que les outils de reporting

préconfigurés fournis avec HANA Live augmentaient

l’intérêt des clients pour les bases de données.

La réunion commune qui s’est déroulée le 16 septembre

2014 s’inscrit dans cet objectif d’aider les adhérents de

l’USF dans leurs choix. « Il est inutile d’aborder ces

problématiques en doublon dans deux Commissions »,

estime Cristina Pisica-Donose. « Au contraire, en mettant

en commun nos expertises, nous pouvons aborder un sujet

sous des angles différents ». En travaillant ensemble, les

Commissions peuvent aussi proposer plus de contenus aux

participants. « S’il y a beaucoup de retours d’expériences,

les adhérents viendront plus facilement assister aux

Commissions et nous aurons de plus en plus de thématiques

à traiter. C’est important de faire participer des utilisateurs,

c’est toujours constructif et cela permet d’analyser le sujet

avec un autre point de vue ».

L’organisation de la réunion a été confiée à Olivier Gallet

(Sanofi). Il succède à Pascal Betsch à la présidence de la

Commission BI SAP, en raison d’un changement de poste

de ce dernier. L’agenda a été scindé en deux parties : la

matinée a été consacrée à un retour d’expérience sur SAP

BI4 et l’après-midi à HANA Live, la solution de reporting

en temps réel intégrée à l’ERP, une démonstration étant

prévue. « Il ne faut pas pénaliser une Commission au profit 

d’une autre en ne parlant que de HANA », fait remarquer

Cristina Pisica-Donose. « Les retours d’expériences sur

BI4 intéressent aussi les membres de la Commission BDD

car les utilisateurs de cette solution peuvent interroger

des bases HANA », ajoute-elle.

Selon Pascal Betsch, la majorité des déploiements de

HANA à l’heure actuelle s’inscrivent encore dans le cadre

de projets tactiques, même s’il existe des clients avec une

démarche stratégique. « C’est sans doute plus fréquent

dans le B2C, souvent confronté aux problématiques de

Big data en temps réel, que dans le B2B aux approches

généralement plus structurées mais moins agiles. »

Pour Cristina Pisica-Donose comme pour Pascal Betsch,

les sujets abordés vont être de plus en plus transverses.

« Nous voyons aussi se développer le sujet de la mobilité.

Nombre d’évolutions en cours signifient des changements 

pour  les  clients  :  face  à  ceux-ci,  nous  essayons 

d’apporter une vision pragmatique ». À court terme, ces

problématiques devraient être abordées à travers des

demi-journées communes. Ces évolutions réduisant de

plus en plus les frontières entre solutions et technologies,

des rapprochements entre Commissions ne sont pas

exclus à plus long terme.

NOUVELLE RÉUNION COMMUNE ENTRE LES COMMISSIONS BI ET BDD

Après le succès du premier atelier Cross-Commissions en 2013, qui avait réuni près de 60 participants, les Commissions SAP BI et Bases de Données ont organisé de nouveau une session commune, le 16 septembre 2014.

Pascal Betsch Président de la Commission BI SAP - USFDSIG VALEO - BW Competence Center Manager (BI)

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Le premier janvier 2016 entrera en vigueur la DSN

(Déclaration Sociale Nominative). Il s’agit d’une

transmission unique, mensuelle et dématérialisée des

données issues de la paie, ainsi que la transmission

dématérialisée de signalements d’événements. La DSN est

conçue comme une simplification par rapport à la situation

actuelle dans laquelle les entreprises doivent transmettre

plusieurs déclarations à plusieurs destinataires, avec des

échéances différentes.

Concrètement, la DSN remplace quatre déclarations :

• L’attestation de salaire pour le versement des indemnités

journalières (DSIJ).

• L’attestation employeur destinée à Pôle emploi (AE).

• La déclaration et l’enquête de mouvements de main

d’œuvre (DMMO et EMMO).

• La radiation des contrats groupe pour les contrats en

assurance complémentaire et supplémentaire.

Une complexité supplémentaire

Si la date butoir du premier janvier 2016 s’impose à toutes

les entreprises, pour les plus grandes organisations,

l’échéance interviendra plus tôt : le premier avril 2015. Les

premières déclarations sociales nominatives seront donc

produites début mai 2015 avec les données concernant

le mois d’avril. « Cette évolution réglementaire ajoute de

la complexité pour les systèmes SAP car cela introduit

des changements organisationnels et fonctionnels dans

les entreprises », précise Patrick Cilia, Secrétaire Général

de l’USF et Président de la Commission Ressources

Humaines.

La mise en œuvre de la DSN a en effet des conséquences

sur les systèmes SAP existants. « Il ne s’agit pas

simplement d’une accélération du rythme de production

des déclarations (mensuel et non plus annuel), c’est une

philosophie différente, il faut en effet signaler toutes les

évolutions dans les déclarations, ce n’est pas une simple

gestion d’un stock d’informations, il faut intégrer chaque

événement, qui sont des données volatiles », explique

Patrick Cilia. Par exemple, un événement tel qu’une

rupture de contrat de travail devra être transmise dans

un délai de cinq jours.

SAP a été plus réactif que lors du passage à la N4DS

Comparé aux difficultés que certains adhérents avaient

connues à l’occasion du passage de la norme DADS-U

à N4DS, l’éditeur a beaucoup mieux anticipé : « En

particulier parce que l’USF s’est mobilisée pour

prévenir SAP des impacts et a posé les bonnes

questions afin d’anticiper, rappelle Patrick Cilia,

nous ne voulions pas connaître une fois de plus les

désagréments dont nous avons été victimes lors du

passage à la N4DS ». Rappelons que la livraison du

produit final par SAP avait été trop tardive et qu’il subsistait

des erreurs structurelles dans les développements, ce

qui a conduit les entreprises à mobiliser des ressources

supplémentaires (voir Magazine de l’USF, n° 14, mars

2012). Cette fois, l’éditeur a été nettement plus réactif :

« SAP a initié les développements en 2013, et nous a

informé régulièrement de l’état d’avancement des

développements, lors des réunions de la Commission

Ressources Humaines, l’éditeur a donc été attentif à la

problématique DSN et a intégré les contraintes de nos

entreprises », assure Patrick Cilia.

En 2014, certaines grandes entreprises ont été pilotes

des développements réalisés par SAP. L’éditeur a livré le

prototype en mai 2014 et cela a donné lieu à des échanges

entre les entreprises pilotes et l’éditeur, dans le cadre de

plusieurs réunions et ateliers. Ces évolutions du cadre

légal sont intégrées dans la maintenance SAP « mais il

peut y avoir des surcoûts en interne ou dans le cas d’une

Tierce maintenance applicative », souligne Patrick Cilia.

COMMISSION RESSOURCES HUMAINES - DÉCLARATION SOCIALE NOMINATIVE : QUELS CHANGEMENTS ?

La DSN (Déclaration Sociale Nominative) s’imposera à toutes les entreprises en 2016. Cette évolution réglementaire impose de modifier les systèmes SAP.

Patrick Cilia Secrétaire Général et Président de la Commission Ressources Humaines - USF DCSI/F2I/FIH - Bouygues Telecom

La DSN en bref

•  La DSN instituée par la loi de simplification du 22 mars 2012 est l’un des chantiers majeurs du Pacte national pour la croissance, la compétitivité et l’emploi.

•  La DSN vise à rassembler l’ensemble des formalités administratives adressées par les entreprises aux organismes de protection sociale et à remplacer les déclarations sociales périodiques ou événementielles existantes.

•  La DSN remplace quatre déclarations existantes.

•  La DSN s’applique à toutes les entreprises à compter du 1er janvier 2016.

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trai

t de

L

e Capitaine Simon Redondie aurait pu ne

jamais s’intéresser à SAP… Entre 1999

et 2002, après une classe préparatoire

aux Grandes écoles, il étudie à l’École

Polytechnique de l’Université de Nantes,

dans la section « Systèmes Informatiques, logiciels

et réseaux ». Avec une formation généraliste, il

sort diplômé en 2002 et intègre le Crédit Mutuel

pour le compte d’une société de services. « Ce fut

un début de parcours classique, résume Simon

Redondie, mais je me suis vite senti bloqué dans

mon évolution ; je ne voyais pas mon avenir dans

le domaine des serveurs d’impression ». Il quitte

alors son poste mais se trouve en concurrence

avec des consultants plus expérimentés, dans un

contexte de tension sur les salaires d’embauche.

« Nous étions au pire moment de l’éclatement

de la bulle Internet, j’en étais conscient et j’étais

vraiment prêt à bouger », se souvient Simon

Redondie.

Il se résout à quitter la région nantaise et est

séduit par les offres des postes de la Gendarmerie

Nationale, qui recherchait des informaticiens

contractuels. Après le passage obligé, pour

toutes les recrues, par la formation militaire, à

l’école des Officiers de Gendarmerie de Melun, et

un stage sur le terrain, il décroche son premier

poste dans l’équipe en charge du projet SIRH

(système d’information ressources humaines)

de la Gendarmerie Nationale. « À l’époque, je ne

connaissais absolument pas SAP, j’en avais juste

entendu parler, mais je n’avais jamais vraiment

étudié ce que l’on pouvait faire avec », se souvient

Simon Redondie. Sa mission principale, après

une formation à l’outil : être l’interface entre les

équipes internes et les prestataires en charge de

l’intégration « intergiciel » (middleware) de SAP

(Logica et Bull). « Bref, mettre de l’huile dans les

rouages », résume le Capitaine. « La polyvalence de mon

école et ma culture informatique m’ont mené vers des

aspects plus techniques tels que l’administration SAP. J’ai

beaucoup travaillé, au sein du centre de compétences

pour  mettre  en  place  des  outils  afin  d’améliorer  notre 

quotidien, par exemple pour la gestion de projets ou des

tickets d’incidents. »

Le SIRH (seul système SAP à la Gendarmerie Nationale)

constitue une énorme machine qui gère 100 000

personnels actifs plus 20 000 réservistes. « Nous avons en

effet une organisation très complexe avec pas moins de

12 500 unités géographiquement très étendues, réparties

sur 3 400 adresses postales différentes » détaille Simon

Redondie. Le SIRH, baptisé Agorh@, est évidemment

stratégique : « Nous utilisons vingt modules fonctionnels

de la solution RH, nous alimentons l’annuaire d’entreprise

et toutes les autres applications se basent sur notre

arborescence des unités de la Gendarmerie Nationale »,

ajoute Simon Redondie. Une simplicité apparente qui

cache, en fait, une réelle complexité : « Les règles RH

sont très volatiles, autant, voire plus que dans le secteur

privé ; on croit à tort qu’un militaire est géré comme un

autre militaire, mais ce n’est pas vrai… »

Cette initiative SIRH est née au début des années 2000,

lorsque le Général Brachet, à l’époque sous-directeur des

systèmes d’information de la Gendarmerie Nationale,

a défini les trois grands piliers de la modernisation des

systèmes d’information : un intranet accessible par tout

le personnel, un annuaire pour la gestion des identités

des 120 000 militaires, et un SIRH pour l’alimenter

automatiquement. Ce dernier est en production depuis

2007, avec une montée de version vers ECC6 en 2009.

Le centre de compétences (une cinquantaine de personnes

y travaillent : des techniciens, des spécialistes fonctionnels

et des chargés du support de niveau 1) porte bien son

nom : « Nous ne faisons plus appel à des intégrateurs,

nous essayons de tout gérer en interne et lorsque nous

Entretien avecle Capitaine Simon Redondie

Officier concepteur, architecte et chef de projet technique SIRH* Gendarmerie

…Simon Redondie (Gendarmerie Nationale)

Simon Redondie participe activement à plusieurs Commissions, contribue aux livrables et il a été désigné l’adhérent le plus actif lors de la Convention USF de Nantes.

Son parcours en bref :

• 2000 : Classe préparatoire aux Grandes Écoles.

• 2002 : École Polytechnique de l’Université de Nantes.

• 2003 : Consultant au Crédit Mutuel.

• 2004 : Engagement dans la Gendarmerie Nationale.

• 2009 : Adhérent USF.

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ait

de…

avons besoin d’une expertise pointue pour quelques

jours de conseil, nous la trouvons sur le marché, souvent

grâce à l’aide de SAP », précise Simon Redondie. Il aime

d’ailleurs rappeler ce qui, pour lui, fait la différence entre

un technicien et un expert : « Un expert vous fournit la

solution en quelques minutes, un technicien peut chercher

pendant des semaines… et ne rien trouver, c’est pour cela

que l’on fait appel à de vrais experts pour débloquer des

situations ! Le technicien cherche, l’expert trouve… »

L’USF est évidemment un vecteur d’acquisition d’expertise

et de connaissances. Le Capitaine de Gendarmerie

participe activement à la Commission Technologie et

assiste, de façon plus occasionnelle, aux travaux des

Commissions Service Public et Ressources Humaines. Il

a également participé à la rédaction du Livre Blanc sur

l’implémentation de SAP dans le service public et, plus

récemment, à celui sur l’audit des systèmes SAP.

« Mes connaissances sont davantage techniques que

métiers.  Pouvoir  contacter  d’autres  adhérents  afin  de 

rencontrer des responsables fonctionnels a une grande

valeur pour nous, nous avons un intérêt commun

à  échanger  :  avec  l’USF,  c’est  le  futur  possible  qui 

rencontre le concret d’aujourd’hui », s’enthousiasme

Simon Redondie. « Dans nos domaines, il y a tellement

d’informations à ingurgiter et de connaissances à assimiler

qu’une association comme l’USF est indispensable.

D’autant que, à la différence des consultants externes qui

gèrent plusieurs projets dans des secteurs différents, nous

risquons de nous enfermer dans notre quotidien. L’USF

nous permet d’en sortir, de remettre en cause ce que l’on

croit  savoir  :  il  y a  toujours quelqu’un qui a  fait mieux 

que nous ! À l’USF, on obtient la bonne information pour

savoir quel chemin choisir et éviter les fausses routes,

sans discours commercial. »

Le temps passé à s’investir dans l’USF n’est, au final,

pas une contrainte, surtout en regard de ce que cet

investissement apporte en connaissances. « Entre les

réunions des Commissions, la participation au Printemps

et à la Convention, cela représente moins d’une dizaine

de jours par an », calcule Simon Redondie, plus le temps

consacré à la co-écriture des livrables. Rançon de cet

investissement dans l’USF : Simon Redondie a gagné le

prix de l’adhérent le plus actif lors de la Convention

USF de Nantes, en 2010 ! « Ce fut une surprise

totale », se souvient-il.

Et, avec l’aval de sa hiérarchie, il n’est certainement

pas prêt à décrocher. Car à la Gendarmerie

Nationale, se profilent toujours de nouveaux

chantiers d’envergure, comme pourrait l’être celui

de la paie avec les solutions de SAP. « Nous avons

confiance dans  la robustesse de notre SIRH ainsi 

que dans la solution paie de SAP. Nous avons

conforté cette opinion en consultant d’autres

adhérents de l’USF qui l’ont mis en œuvre »,

explique Simon Redondie.

Le Capitaine a ajouté d’autres cordes à son arc de

compétence : « Je me suis rapproché de certains

métiers, me suis formé à l’audit des systèmes SAP

et à leur sécurité, et travaillé sur les autorisations/

habilitations, ainsi que sur la supervision des

processus métiers, avec une certification E2E300 

(business process integration and automation). »

Simon Redondie est parvenu à la moitié de sa

période d’engagement dans la Gendarmerie

Nationale. Son « CDD de vingt ans » prendra fin

dans une dizaine d’années. Et après ? « On verra,

mais  j’ai  une  certitude  :  je  continuerai  dans  les 

environnements SAP, j’ai toutes les clés et l’USF

y est pour beaucoup ! », conclut Simon Redondie.

* SIRH : Système d’Information des Ressources Humaines

Simon Redondie : L’USF nous permet de sortir du quotidien, de remettre en cause ce que l’on croit savoir : il y a toujours quelqu’un qui a fait mieux que nous ! À l’USF, on obtient la bonne information pour savoir quel chemin choisir et éviter les fausses routes, sans discours commercial.

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Utilisateurs SAP Francophones

Parus précédemment :

> Livre Blanc - Montée de version ECC6

> Livre Blanc - BI

> Livre Blanc - Support Utilisateurs

> Livre Blanc - BI volume 2

> Livre Blanc - Compétence Utilisateurs

> Livre Blanc - SAP Solution Manager

> Livre Blanc - SAP au sein du Service Public

> Livre Blanc - Pratiques commerciales avec SAP (CIGREF - USF)

> Livre Blanc - SAP Solution Manager volume 2

> Note de Perspectives - SAP Business Objects BI 4 - 2013

> Livre Blanc - SAP Profitability and Cost Management (PCM) - 2013

> Note de Perspectives - SAP HANA - 2013

> Livre Blanc - Pratiques commerciales avec SAP (CIGREF - USF) volume 2 - 2013

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