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Document à diffusion restreinte Rapport technique PP/1981-1983/2/7 .3 /03
RÉPUBLIQUE DE HAUTE-VOLTA Accroissement de la capacité des États membres d'évaluer leurs ressources en eau et de les gérer sur des bases scientifiques et promotion d'une politique de l'eau au service du développement économique et social
Projet majeur pour l'utilisation et la conservation des ressources en eau des zones rurales en Afrique au sud du Sahara
Jean-Claude Henry
N° de série : FMR/SC/HYD/82/124
iimo Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture
Paris, 1 9 8 2
REPUBLIQUE DE HAUTE-VOLTA
PROJET MAJEUR POUR L'UTILISATION ET LA CONSERVATION DES RESSOURCES EN EAU DES ZONES RURALES EN AFRIQUE AU SUD DU SAHARA
par Jean-Claude Henry
Rapport établi â l'intention du Gouvernement de la République de Haute-Volta par 1»Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture (Unesco)
U N E S C O
Rapport technique pp/l981-1983 n-!R/sc/HYD/e2/l24 (Henry) le 30 juin 1982
~P] Unesco 1932 Printed in France
TABLE DES MATIERES
Page
Introduction 1
Avant-propos 1
Influence du climat 2
Types de systèmes hydrauliques recensés . . . . 4
(a) Pompes à main 4
(b) Alimentation de parcelles agricoles avec les eaux pluviales 6
(c) Petits barrages et lacs collinaires . . 6
(d) Forages artisanaux 7
(e) Pour la découverte d'autres ouvrages . . 8
Annexes
1. Personnalités rencontrées 9
2. Questionnaire 10
INTRODUCTION
1. A la demande du Gouvernement de la République de Haute-
Volta, le Directeur général de l'Unesco a confié à
M. J.C. Henry une mission de- consultant en matière d'hydrologie.
Cette mission a été effectuée du 23 mars au 4 avril 1982. Le
consultant avait pour responsabilités de:
(a) Aider les services voltalques compétents à faire un
inventaire des types d'aménagement d'hydraulique
villageoise susceptibles d'amélioration, en utilisant
le questionnaire qu'il a établi à cet effet.
(b) Contribuer à l'élaboration de projets pilotes pouvant
entrer dans le cadre du Projet majeur pour l'utilisa
tion et la conservation des ressources en eau des zones
rurales en Afrique au sud du Sahara, afin de préparer
la participation de la Haute-Volta à ce projet.
AVANT-PROPOS
2. Il est utile de rappeler que le Projet Majeur se propose
de rassembler et d'étudier les informations concernant les
ouvrages hydrauliques de conception traditionnelle ou plus
particulièrement adaptés à être réalisés par des artisans
ruraux afin d'en favoriser la vulgarisation des caractéristiques,
le mode de fonctionnement et les avantages qu'ils peuvent
présenter, en vue d'en faire profiter les communautés rurales
des régions où.ces dispositifs ne sont pas encore connus.
3. On rappellera également que la première phase de ce projet
comporte la diffusion d'un questionnaire - dont un exemplaire
est joint en annexe au présent rapport - destiné à recueillir
les informations de base concernant les ouvrages jugés par
chaque pays participant comme susceptibles d'être portés à la
connaissance d'autres utilisateurs par l'intermédiaire du projet.
L'objet de la présente mission était d'étudier avec les
responsables nationaux du projet, la nature des ouvrages à
répertorier ainsi que la stratégie à mettre en oeuvre pour
révéler l'existence de tels ouvrages.
INFLUENCE DU CLIMAT
4.; La Haute-Volta, en raison d'un régime pluvial relativement
favorable - variant entre 400 mm de hauteur de précipitation
annuelle dans le nord et 1 400 mm au sud-ouest - a pu, jusqu'à
des temps récents, subvenir à ses besoins alimentaires en pra
tiquant des cultures pluviales traditionnelles sans avoir recours
aux cultures irriguées à une échelle significative. Ce n'est
que sous la pression de l'accroissement démographique, associée
à une longue séquence d'années sèches, que le besoin s'est fait
sentir d'exploiter d'une manière plus intensive les ressources
en eau assez peu favorablement réparties dans le temps et dans
l'espace.
5. On remarquera par ailleurs que les eaux souterraines sont
généralement présentes à une profondeur relativement accessible,
sinon en quantité importante, sur l'ensemble du territoire.
Cette ressource presque partout permanente assure les besoins
en eau potable des populations et des troupeaux, ces derniers
bénéficiant également des mares qui peuvent subsister au delà
de la saison des pluies. Si le débit des puits est généralement
très faible, leur multiplication n'a pour limite que les crédits
disponibles.
6. Dans ces conditions physiques, on ne peut s'attendre à
découvrir la grande variété d'ouvrages d'ëxhaure, de captage
- 2 -
ou de stockage des eaux que les climats plus arides imposent
aux habitants:
- les précipitations assurent bon an mal an une récolte
céréalière;
- le fonçage des puits presque toujours possible requiert
cependant trop d'efforts en raison de la profondeur pour
que ceux-ci soient assez nombreux pour assurer les besoins
en eau de cultures vivrières;
- la saison sèche est trop longue pour que la récolte des
eaux pluviales sur toiture ou sur impluvium soit adoptée
en milieu traditionnel;
- l'absence quasi-générale d'écoulement permanent dans les
cours d'e.au et la présence de l'onchocercose dans les
vallées plus favorisées par les débits font que les moyens
d'exhaure traditionnels ne se sont pas développés;
- on remarquera également l'absence de sources hormis celles
auxquelles donnent naissance les affleurements gréseux de
Banfora et qui sont mises à profit pour l'arrosage de
cultures.
7. Il est normal de constater qu'en raison d'une relative
abondance des précipitations associée a un gisement peu favorable des eaux de surface, l'habitant n'a été ni contraint ni encouragé
par la nature à employer ses dons inventifs à l'élaboration de
techniques originales pour assurer l'alimentation en eau de son
foyer ou de ses cultures.
8. Cependant, sous l'effet conjugué de la pression démographique
et du déficit pluvial observé au cours des dix dernières années,
un effort très important a été consenti par les autorités pour
augmenter et sécuriser les points d'eau en milieu rural par la
mise en place de campagnes de fonçage .de puits et de forages
équipés de pompes à main afin d'atteindre les objectifs de la
décennie de l'eau potable: eau potable abondante et de bonne
qualité pour tous d'ici 1990.
- 3 -
9. Par ailleurs, un très grand nombre de petites retenues
collinaires (plus de 300 réalisées en Haute-Volta) ont été
construites. Ces retenues sont destinées à emmagasiner les
eaux de ruissellement dans les marigots et à assurer en partie
les besoins en eau des troupeaux tout en favorisant la mise en
valeur agricole des bas-fonds ainsi que la pêche.
10. En marge de ces programmes, on a pu voir un certain
nombre d'initiatives prises par diverses organisations, gou
vernementales et autres, pour améliorer les techniques de
l'eau, allant des systèmes de puisage jusqu'à la conduite des
eaux pluviales vers les cultures, en passant par la création
de petits barrages de conception rustique.
11. Ce sont ces activités qui, bien qu'elles ne soient pas
nécessairement traditionnelles, devront être étudiées de plus
près pour constituer la contribution de la Haute-Volta au
Projet Majeur, car elles en rejoignent tout à fait l'esprit
et elles peuvent - peut-être après une mise au point - sans
doute servir de modèle afin d'en assurer une plus large dif
fusion.
TYPES DE SYSTEMES HYDRAULIQUES RECENSES
(a) Pompes à main
12. A la faveur des entretiens que nous avons pu avoir avec
les spécialistes des equx souterraines de la Direction de
l'Hydraulique (HAER), du Comité Interafricain d'Etudes Hydrau
liques (CIEH) et du Directeur du Centre National de Perfection
nement des Artisans Ruraux (CNPAR), nous avons pu examiner trois
types de pompes à main de fabrication nationale, dont deux
modèles sont susceptibles d'être produits par des artisans
villageois.
- Pompe Volenta
13. Un prototype de cette pompe d'origine néerlandaise, réalisé
dans les ateliers.de la Mission catholque de Saaba, fait l'objet
- 4 -
d'essais de longue durée dans un village situé près de
Ouagadougou, sous la conduite de l'HAER. Cette pompe, entiè
rement construite à partir de matériaux disponibles sur le 3 -1 marché local, aurait un débit variant entre 0,25 et 2 m h
selon la hauteur de refoulement. Elle est destinée à des
forages allant de 10 m à 70 m de profondeur.
14. Il serait souhaitable de communiquer au Projet les carac
téristiques de cette ponpe, y compris le prix de revient pour
des petites séries (ARCOMA), car, aisément démontable et d'un
entretien à la portée d'un artisan villageois, elle semble
être particulièrement bien adaptée aux conditions rurales pour
la fourniture d'eau potable.
- Pompe à chaîne et rondelles
15. Une pompe à chaîne et rondelles en caoutchouc, fabriquée
à Ouagadougou par ARCOMA est à l'essai à Kombissiri. Cet
engin, réalisé avec des matériaux disponibles en quincaillerie,
des roues et chambres à air de cyclomoteurs hors d'usage,
permet à un homme de monter l'eau de quelques mètres à partir
d'un puits peu profond ou d'une mare avec un débit suffisant
pour arroser un demi-hectare de jardin potager.
16. Une brève étude dans des conditions d'utilisation rurales
devrait pouvoir indiquer si ce dispositif mérite une plus large
diffusion dans les régions où la coutume consiste à monter
l'eau avec un seau ou un arrosoir et de porter celui-ci à la
parcelle.
- Pompe à main type "Mission Evangélique"
17. Dans la concession de la Fédération mondiale des Eglises
évangéliques à Ouagadougou sont installées deux pompes à main
très rustiques, dont l'une sert aux habitants des alentours pour
monter l'eau d'un puits peu profond. Cette pompe, réalisée dans
les ateliers de la mission avec de simples fournitures de plom
berie, pourrait sans doute faire l'objet d'une diffusion assez
large pour l'arrosage de jardinets en raison de son faible coût
et de sa rusticité, une fois démontrée sa solidité.
- 5 -
(b) Alimentation de parcelles agricoles avec les eaux pluviales
18. Deux actions distinctes ayant pour objet la construc
tion d'ouvrages de dérivation du ruissellement pluvial vers
des parcelles cultivées sont signalées: l'une sous la
conduite de la Direction de l'Hydraulique, l'autre par des
cultivateurs qui, bénéficiant de l'appui de l'OXFAM, mettent
à profit une technique à l'origine conçue pour assurer les
besoins en eau de jeunes plantations sylvestres.
19. Ces techniques, particulièrement intéressantes en zone
sahélienne, peuvent contribuer à augmenter sensiblement le
rendement des cultures pluviales et devront sans aucun doute
faire l'objet d'investigations dans le cadre du Projet afin
de mettre en commun les expériences acquises dans différentes
régions et de définir la technologie la mieux adaptée et la
mieux reçue par les populations.
20. Les informations concernant l'expérience HAER sont sans
doute disponibles à Ouagadougou. En ce qui concerne l'expérience
OXFAM, il s'agit, semble-t-il, d'une action menée par quelque
130 cultivateurs de la région de Dassa en collaboration avec
les autorités locales.
21. L'OXFAM rapporte également une expérience de récolte d'eau
de pluie sur un impluvium près de Gorom-Gorom. L'eau, d'abord
stockée dans un réservoir, est ensuite conduite vers une
parcelle cultivée d'une dizaine d'hectares. La nature de
l'impluvium et ses dimensions ainsi que les détails de construc
tion du réservoir offrent un intérêt certain dans le cadre du
Projet Majeur.
(c) Petits barrages et lacs collinaires
22. On signale l'existence de deux ou trois petits barrages
construits par des équipes villageoises de Yako (Dassa). Ces
ouvrages, basés sur l'expérience acquise par des volontaires
belges dans cette localité, seraient destinés en premier lieu
à l'alimentation en eau du bétail, mais la possibilité d'inté
resser les femmes à la culture de jardins potagers est aussi
envisagée. - 6 -
23. Il serait intéressant d'étudier les conditions de réali
sation techniques et sociologiques de ces barrages, ainsi que
les conséquences éventuelles de l'absence de toute étude
hydrologique préalable. En outre, on devra accorder de l'inté
rêt aux modalités de l'utilisation de la ressource en eau ainsi
créée.
(d) Forages artisanaux
24. La fourniture d'eau potable de qualité bactériologique
acceptable aux communautés rurales implique le plus souvent
l'exécution de forages, car la protection sanitaire des puits
ouverts est toujours aléatoire.
25. Il est bien évident que les différents programmes de
forages exécutés à l'aide de machines rotatives modernes
seront poursuivis et devront même être amplifiés si les
objectifs de la décennie de l'eau potable doivent être
atteints. Il serait cependant du plus grand intérêt d'étudier
les cas rapportés de forages à la percussion réalisés par des
équipes villageoises sous l'impulsion de la Mission Catholique
de Titao, car dans les régions où l'eau est plus près de la
surface, ces forages autorisent l'espoir de voir augmenter
sensiblement le nombre de points d'eau au delà du strict
minimum nécessaire à l'alimentation en eau potable, en
favorisant ainsi la création de jardinets.
26. Cette investigation portera non seulement sur la technique
du forage et son prix de revient, mais également sur les cri
tères d'implantation du forage en l'absence - si cela est le
cas - d'étude hydrogéologique préalable. L'expérience
acquise avec les pompes sera aussi d'un grand intérêt.
(e) Pour la découverte d'autres ouvrages
27. Il existe sans aucun doute de nombreuses autres initiatives
de ce type. On signale, par exemple, deux cas de récolte des
eaux pluviales sur toiture:
- 7 -
- à Dissin, près de Ouessa
- à Marita, sous-préfecture de Dano, près de Diébougou,
où une mission utiliserait un réservoir d'une capacité
de dix mètres cubes.
28. Les fonds dont dispose le responsable national du Projet
Majeur, M. Savadogo Kandaogo, Chef du Service hydrologique,
HAER, dans le cadre de son service ne permettraient pas de
parcourir le pays à la recherche de tels ouvrages, en suppo
sant que l'on puisse en découvrir ainsi, ce qui n'est pas du
tout évident. On devra donc, chaque fois que l'occasion se
présente, exploiter les informations recueillies auprès des
personnes plus particulièrement en contact avec le milieu
rural, aussi bien dans le cadre de l'administration que des
organisations non-gouvernementales. Une première démarche
dans ce sens s'est révélée prometteuse, le responsable du
Peace Corps à Ouagadougou ayant offert de diffuser immédiate
ment le questionnaire préparé par le Projet à l'ensemble des
volontaires.
29. Chaque ouvrage susceptible d'intéresser le Projet devra
faire l'objet d'une brève investigation sur le terrain. Ces
déplacements ne coïncideront pas toujours avec les exigences
du service et il y aura lieu de prévoir des frais de déplace
ment et de carburant en plus de ceux qui sont mis à disposi
tion pour le service.
30. Deux sources d'information ont été citées plus haut
(OXFAM et Peace Corps). Il est utile d'indiquer que l'Unicef,
dans une publication intitulée "Technologies Villageoises en
Afrique de l'Ouest et du Centre" (1978) cite une cinquantaine
d'organisations présentes en Haute-Volta ayant un rapport
avec ces technologies. Par ailleurs, on rappellera que le i
CIEH dispose à Ouagadougou d'un centre de documentation sans
égal en Afrique et que ce même organisme collabore étroitement
avec le Projet Majeur.
- 8 -
ANNEXE 1
Personnalités rencontrées
Ministère du Développement Rural
S. Exe. M. Dominique Ido, Secrétaire d'Etat
M. Nikiéma, Directeur, Hydraulique et Aménagement de l'Espace Rural
M. Savadogo Kandaogo, Chef du Service Hydrologique, Correspondant du PHI et du Projet Majeur
M. A. Poisson, Hydrogéologue, Conseiller technique Forages'(HAER)
M. Tagnan, Directeur,: Centre National de Perfectionnement des Artisans Ruraux (CNPAR)
Comité Interafricain d'Etudes Hydrauliques (CIEH)
M. Abdou Hassan, Secrétaire-Général
M. M. Meunier, Directeur Technique
M. Ali, Chef de la Documentation
MM. Ativon, Diluca, Lahaye, Lidon, Ingénieurs
Programme des Nations Unies pour le Développement et Agences des Nations Unies
PNUD : M. M. Widstrand, Représentant Résident
Unesco : M. A.F. Sar, Représentant Résident pour la Haute-Volta, le Mali et le Niger
FAO : M. Philippe Auguste, Représentant Résident
OMS : M. T. Niyungeko, Ingénieur sanitaire, Décennie Internationale de l'Eau Potable
Organisations non-gouvernementales
OXFAM: MM. Gormely et Twoes, du bureau de liaison de Ouagadougou
Peace Corps: M. Garberson, Directeur-adjoint
Société Africaine d'Etude et de Développement (SAED): M. Soumana Traoré, Directeur
Les membres de la mission catholique de Saaba et de
la Fédération mondiale des églises évangéliques.
- 9 -
ANNEXE 2
PROJET REGIONAL MAJEUR SUR L'UTILISATION RATIONNELLE ET LA CONSERVATION DES RESSOURCES EN EAU DES ZONES RURALES EN AFRIQUE (AU SUD DU SAHARA)
QUESTIONNAIRE
Ce questionnaire est conçu pour faciliter le choix d'ouvrages d'hydraulique rurale pouvant servir de modèles afin de disséminer en d'autres regions . v
d'Afrique leur code de construction et d'utilisation. Nous vous demandons de bien vouloir remplir un questionnaire pour chaque type d'ouvrage que l'expérience montre corne étant bien accepté par les usagers sz bien adapté à son rôle. Les forages sont écartés de cette enquête, en raison du matériel nécessaire à leur réalisation, cais les informations ccncerrant des installations de pompage associées aux forages (pompes à main ou aurres) sont d'un grand intérêt pour tous dès lors qu'une solution satisfaisante a pu être apportée à l'entretien sur le plan local.
1. Pays
2. Situation géographique (coordonnées ou ville la plus proche)
3. Pluie moyenne annuelle (mm)
- 10 -
U. Utilisation
U.l Eau potable a) humains "a) "bétail
oui. non. c) les deux
i) Hombre- d'usagers:
toute L'année?" (oui non.) si non, durée approximative-
ii) nombre« d'animaux:
toute l'année7 (oui non) si non, durée approximative
iii) En cas: de fourniture saisonnière, quelle est la source complémentaire?
irr) Qualité* "bactériologique : satisfaisante oui non
h.Z Eau agricole oui non
a) arrosage- de jardins potagers b ) irrigation des cultures
i) superficie totale (ha)
ii) nature des cultures
iii) nombre de familles approvisionnées
U.3 Eau industrielle : nature de l'entreprise, agro-industrie,
pisciculture, autre
5. Ressource en eau
a) cours d'eau perenne
b) cours d'eau saisonnier
c) ruissellement des toitures
- 11 -
d) ruissellement sur iinpluviun
e) lac ou nare
f) eau souterraine
1. Forage 2» Puits 3. Galerie drainante h. Puisard
6*. Nature de L'ouvrage
6.1 Prise d'eau gravitaire sur cours d'eau
a) avec dispositif de réglage du débit en tête
b) avec réglage du niveau aval
c) avec stockage artificiel
capacité m
d) avec ouvrage en rivière (seuil ou autre)
e) épandage naturel des eaux de crue
f) culture de décrue
g;) recharge des eaux souterraines
6.2 Barrage
a) en terre, aaçonnerie, enrochements, autre
b) capacité utile (m.)
c) hauteur de l'ouvrage (s(sax))
d) superficie du bassin versant (ha, ka )
oux
oui.
oui
oui
oui
oui
oui
non
non
non
V
non
non
non
non
e) évacuateur de crue oui non
• • • / • • •
- ' 12 -
f) organes de prise d'eau oui non
g) canal ou autre dispositif en aval oui non
h) durée du stockage mois
i) la pêche est-elle une activité inportante? oui non
6.3 Dispositif d'élévation de l'eau (eau de surface)
a) hauteur (a(max))
b) débit (m /jour)
c) source d'énergie : humaine, animale, autre
d) pompe, roue, seau, autre ,
• t.
6.h Ecoulement sur toiture
a) bâtiment public ou privé
b) le toit est-il conçu spécialement pour remplir cette fonction oui
c) nature du réservoir
d) aire approx. de toiture (m )
e) capacité du réservoir (m )
•3
f) volume d'eau récoltée annuellement (litres, m")
g) le réservoir est-il le facteur limitatif? oui non '
5.5 Impluvium et réservoir
a) nature le la surface:- naturelle, préparée, artificielle
- 13 - . . . / . .
b) superficie approximative (m , ha)
c) capacité du reservoir (m"0
3 d) volume d'eau utilisé annuellement (m )
e) nature du réservoir
f) le réservoir est-il naturellement étanche? oui non sinon, comment est réalisée l'et anché" it é?
g) moyen d'accès à l'eau : pompe, puits, autre.
6.6 Puits, forages, puisards
Il existe sans doute plusieurs milliers de puits ou forages dans vot: région, prière d'indiquer l'existence d'un ouvrage seulement lorsque celui-ci est un exemple original ou particulièrement bien adapté
• a) profondeur maximum du plan d'eau (a)
b) diamètre du puits (m)
c) formation géologique.
V
d) nature du dispositif d'exhaure:
ponpe, seau, autre
/ • • • / • •
14 -
e) source d'énergie : humaine, animale, autre
f) débit (m3/jour)
6*k-T Galeries drainantes
a) profondeur- en dessous de la surface du sol (m)
Ta) longueur (m)
c) diamètre- (m)
d) écoulement permanent ou saisonnier?
e) débit maximum (m /jour)
débit minimum (m /jour)
f) formation géologique,
T. Origine de l'ouvrage
a) ce type d'ouvrage est spécifique à la région oui non
très répandu oui non
d'importation oui non
- 15 -
b) realise par le3 usagers
par des artisans locaux
par une entreprise
par 1 'administration
c) il est: entretenu par les usagers
par des artisans locaux
par 1'administration
d) le propriétaire de l'ouvrage est privé
les villageois
1'administration
oui
oui
oui
oui.
oui
oui
oui
oui
oui
oui
non
non
non
non
non
non
non
non
non
non
8. Remarques genérales
Veuillez, dans la mesure du possible, fournir une "brève description de l'ouvrage, accompagnée soit d'un croquis, soit d'une photographie, ainsi que vos commentaires indiquant les mérites du système qui, à votre avis, pourraient en justifier la vulgarisation en d'autres régions de l'Afrique.
- 16 -