RÊVER DE VOLER - ecole.eugene.pottier.free.frecole.eugene.pottier.free.fr/iconito/docs/documents/livre_rever_de... · Mais en fait, Ce n'était qu'un rêve. Rêver de voler - 18

Classe de 6ème B, Collège Jean Moulin

Classe de CM2, Ecole Eugène Pottier

RRRÊÊÊVVVEEERRR DDDEEE VVVOOOLLLEEERRR

Editions

Collège Jean-Moulin St Jacques de la Lande (35)

Remerciements : à Alexandre Koutchevsky

Auteur et metteur de scène « Lumière d’août »

à l’ensemble des responsables et des personnels

de l’aéroport et de l’aéroclub qui nous ont accueillis chaleureusement

lors de nos nombreuses visites

Rêver de voler

6ème B Collège Jean-Moulin & CM2, Ecole Eugène Pottier St Jacques de La Lande - 5 -

Dis-nous, toi qui a lu tant d’histoires.

Raconte nous ta version sur …

Où commence le ciel ?

Rêver de voler


Le ciel est né au cœur d’une immense rose. Un âne volant se posa au cœur de la fleur. Une

amitié tellement forte commença. Ils construisirent ensemble le ciel. Cette histoire se finit sous une étoile, la toute première et la

plus brillante.

Euh ! Je pense que le ciel commence nulle part et ne finit jamais.

Ca me fait penser à l’ «art du calme» marié à la nature.

C’est une manie d’en parler, mais j’en ris. C’est si mauvais de l’oublier, mais tellement joli comme quand le petit ara se pose sur son nid.

Le ciel est blanc. Il n’y en a qu’un dans le monde qui s’appelle

Roland. Il est lent mais grand.

Il se promène en rang autour du grand monde grâce au vent.

Il rote tous les trente jours sur le grand Laurent, ciel d’une autre galaxie.

Rêver de voler

- 8 - 6ème B Collège Jean-Moulin & CM2, Ecole Eugène Pottier St Jacques de La Lande

Je suis dans un champ,

et le ciel est au-dessus de moi. Quand je joue aux billes, je regarde souvent le ciel.

Je dessine toujours le ciel en arts plastiques. Quand je joue au billard,

je regarde les nuages en forme de mygale. Après avoir embêté ces gaillards,

j’ai regardé le ciel.

Un âne est dans un avion, il mange du riz. L’eau coule sur lui,

et il voit Anne dans l’espace jetant de l’or. Il se dit que le ciel vient de l’espace,

et il redescend sur Terre. Il dit à ses copains qu’il sait d’où vient le ciel.

Ses copains montent dans le ciel. Ils voient une dame.

Ils ne savent pas qui elle est alors ils redescendent à terre. Ils disent que eux aussi,

ils savent d’où vient le ciel .

Rêver de voler


Quand Michel m’a dit « J’ai lu dans un livre que

le ciel commence en haut du chêne de Disneyland » J’ai aussi demandé à Mickey

où commence le ciel ? Il m’a répondu :

« Au-dessus de la tombe du loup ! » Ken a dit comme Mickey, donc je pense comme eux. Mais je suis allé au zoo,

et j’ai vu où commence le ciel.

« Océane, où commence le ciel ? - Pourquoi me poses-tu cette question ?

- Le ciel commence peut-être au-dessus de l’océan, ou peut-être qu’il commence aussi dans la bouche et peut-être que le ciel n’existe pas ».

Ca commence dans les champs Et dans un camp car il y a du vent.

A Sète, car la nature sent l’air des nuages. Il y a du ciel dans mon sang car il a besoin d’air.

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« Raconte-moi Marine où commence le ciel ?

- Eh bien mon cher Henri, viens par ici entendre mon récit…

Un jour, j’ai demandé la même chose à ma mamie et elle m’a dit :

Ma chère Marine, le ciel commence au bout de tes rêves et finit dans tes pensées.

Si tu as l’idée de le toucher, ce beau ciel étoilé, n’y compte point car tu n’iras pas loin.

J’aurais aimé t’aider, mais cela m’est impossible. J’aurais aimé te dire toutes ces beautés, les

rires étoilés et ses couleurs « étoile ». Mais je dois y aller.

Et ma mamie est partie. Voilà mon récit mon cher Henri. J’espère qu’il t’aura aidé ».

Les airs prennent les nœuds à partir de la couche d’ozone.

Si on la dépasse on va dans l’espace. Et si ça tremble un « WISS », ça bouge

lentement à SIX à l’heure. Et je ris de la vitesse.

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Le ciel commence au bout du beau kayak de Cyril.

C’est le Christ qui en a décidé parce que le kayak de Cyril va toujours très loin. C’est pour ça que l’on ne voit pas le

commencement du ciel.

Il commence au Pas de Calais, au bout de mon nez parce que je respire l’air.

Il est vide et sourd. Il passe dans un seau rempli de feuilles de saule

pleureur ou sur une dalle.

Le ciel commence dans la vie un mardi, dans un

bourg, sous une haie Que ce soit Melvin, Boumedhi ou quelqu’un

d’autre, chacun dit son avis. Il y en a d’autres qui disent que le ciel est infini,

c’est mal de ne pas donner son avis. La couleur du ciel est variée.

Elle vit du ciel qui est bleu ciel ou noir tout court.

Il n’y en a pas sur les autres galaxies. C’est la vie !

Rêver de voler


Je sais qu’il vient des Bourgs, venu d’un coin de rue où les « Ricard », les bar s’agitent, les « Clio » volent et glissent dans l’eau où les séjours les plus beaux se termineront.

A mon avis, le ciel commence dans le vide et

quand un bigot toque à une « big » porte, le ciel se lève pour un an.

Où commence le ciel ? Il ne commence nulle part.

C’est de l’air infini et hier, il l’était aussi. C’est le père de tout.

Le ciel commence dans les vagues Les vagues où voguent les nuages

En tout cas le ciel est une source de vie Qui nous fait sourire.

Rêver de voler


Le ciel commence sur la Terre car on ne peut pas le toucher

mais on peut le voir. Il n’est pas réel,

c’est une hallucination. Il y a du soleil quand le ciel est content,

la pluie c’est quand les nuages ont trop d’eau dans le ventre donc ils explosent.

Le ciel entoure la Terre. Zeus fait les éclairs. Poséidon fait les marées.

Le ciel commence là Où il y a de l'eau et de la terre,

Là où il y aune fête de carnaval dans un cercle, Il passe par la cervicale d'un dos, après il passe

la pointe d'un arbre qui s'appelle Carvalho, Il passe les serres des aigles Et il se termine dans l'espace.

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Poèmes

La plupart de ces poèmes ont servi de matériau textuel dans la réalisation des

AEROCLIPS, poèmes audiovisuels à plusieurs voix sur une trame musicale. Les

auteurs disent leurs propres textes. Les images qui les accompagnent montrent leur ville ou le ciel qui la surplombe et les avions

qui le sillonnent. L'un des trois films fait suite à notre visite aux pompiers de

l'aéroport. Ces aéroclips sont visibles, et audibles, sur

Internet à cette adresse : http://aeroclips.over-blog.com

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Voler Planer ou Planeur Avion ou Aviron Hélice ou Elysée Aile ou Ailleurs Tant de mots et de verbes Faites que j'ai des ailes Pour voler et me balader Pour prendre mon planeur Et faire battre mon cœur

Mon rêve On allait décoller J'avais très peur L'hélice tournait

Quand j'étais dans le planeur J'ai vu une montgolfière Et des avions de chasse Ils allaient à une vitesse incroyable

Mais en fait, Ce n'était qu'un rêve.

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L’avion L’avion au fond du ciel clair Se promène dans les étoiles Tout comme les barques à voile Vont sur la mer C’est un moulin des anciens âges Qui soudain a quitté le sol Et qui, par-dessus les villages, a pris son vol Les oiseaux ont peur de ses ailes Mais les enfants le trouvent beau Ce grand cerfvolant sans ficelle Qui va si haut Mais plus tard, en aéroplane Je compte bien aller, sans panne Au paradis

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Je vois ma maison A bord de mon avion Je fais des loopings Car je fais partie du meeting Et tout à coup Je ne contrôle plus rien du tout A une telle vitesse Je stresse sans cesse Car je vais m’écraser Par ce temps ensoleillé

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Les pompiers Une alerte au feu Cette mousse envahissante Être pompier, un métier dangereux Même se glisser dans une fente La peur de secourir Parfois même de mourir Un sauvetage effrayant D’énormes brulures Un pilote en équipement Des pompiers très puissants Emportées par des flammes de la taille d’un mur Ces personnes paniquées Vont quand même être sauvées Par de fabuleux pompiers

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Dans le ciel Là, je suis dans l’avion En décollant, j’ai le mal de l’air Mais en faisant un looping et un tonneau J’ai la tête dans les nuages En regardant le ciel quand je suis sur la terre Je n’ai qu’une envie c’est de me perdre dans les nuages Mon rêve, pilote ou cosmonaute… De là-haut, le terre est infiniment petite Et l’horizon est à portée de main

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J’ai vu un avion J’ai vu un avion, volant dans le ciel Faisant des loopings et des étincelles J’ai vu cet avion et j’y suis monté Avec plus de peur que de curiosité Au décollage, m’a envahi Une étrange sensation De frisson et d’oubli Et puis, plus rien J’ai regardé en-bas et vu le paysage Ca m’a paru tellement beau Que j’ai cru à un mirage C’était ma ville, toute petite sous mes pieds Déjà une heure que je l’avais quittée Et l’avion redescendit Je fus triste de le quitter Triste de me poser Mais enfin, sur un signe de la main, Il partit

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J’ai volé J’ai volé dans un planeur Avec un aviateur J’ai volé dans un mirage Au-dessus des nuages J’ai volé dans un Boeing En faisant des loopings J’ai volé dans un hélicoptére En survolant des montgolfières Je suis monté à l’embarquement J’ai eu peur du risque d’accident Je suis monté dans un Airbus Incroyable sa vitesse L’avion a accéléré Et mon histoire est terminée

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Dans l’avion Ma vision, c’était un avion Rempli de passagers Prêts à décoller Qui montaient dans les airs Pour ne plus toucher terre J’ai eu très peur En entendant le réacteur Puis je me suis calmée Quand il s’est mis à voler Après son meeting Il a fait un looping Pour amuser Tous les passagers En quittant ce bel avion J’ai dessiné sur mon brouillon J’avais dans la tête plein d’images D’oiseaux de soleil et de nuages

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L’aviation Décollage, atterrissage, amerrissage, Tant de mots Tant d’expressions pour l’aviation Airbus, Concorde, Boeing, Tous ces avions Me font tourner en rond Merci avion D’avoir libéré la France En faisant débarquer Des soldats venus d’ailleurs Avion dépasse le mur du son Et donne nous des sensations Décollage, atterrissage, amerrissage, Tant de mots Tant d’expressions pour l’aviation

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Les avions Pendant l’embarquement Tout le monde qui passe est content Cinq minutes à attendre Que l’avion décolle Enfin l’avion vole

Quelques minutes plus tard L’avion part pour ce long voyage Qui durera des heures et des heures En espérant qu’il n’y ait pas de malheur

Pour quelques heures Il s’en est allé Il avait peut-être peur Mais il garde son cœur

A l’atterrisage il partit Pour enfin retrouver ses amis Ensemble ils ont fait la fête

Pendant que les jours s’écoulaient Et que les avions décollaient Alors il partit

Voilà c’était ma poésie Qui est finie pour aujourd’hui !

Rêver de voler


Les pompiers Je suis un pilote de ligne Un pilote de ligne en partance Pour un nouvel aéroport En route, un « Crac ». Que s’est-il passé ? La mort approche ? En tout cas nous approchons de la piste. Trop vite ! Là-bas les pompiers. Les roues ne sortent plus. Vont-ils me sauver ? Et là… le néant… Je suis blessé et à l’hôpital. Qui suis-je ? Que m’est-il arrivé ? Vous êtes en vie et en bonne santé. On vous a enlevé des flammes et on a sauvé votre âme.

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Cauchemar d’aviateur Le cockpit est vide Je suis tout seul dans l’avion Et pourtant il avance dans le vide J’entends une chanson Je n’arrive pas à la localiser La voix me dit de sauter Je n’y comprends rien Je ne sais pas d’où ça vient Maintenant il y a une turbulence Et il n’y a plus d’essence L’avion se secoue dans tous les sens Le crash est imminent J’aimerais que ça s’arrête maintenant Ouf, ce n’était qu’un rêve Il est tard, la nuit va être brève

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Les pompiers Nous sommes allés voir les pompiers Les pompiers étaient très sympa Si sympa que nous avons rigolé Un avion s’était crashé Là, personne ne rigolait C’était un planeur Qui avait pris feu Les flammes s’étendaient S’étendaient tant que les pompiers Ne pouvaient pas tous les sauver Sauf un, le pilote Qui put être sauvé par les pompiers

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Les pompiers Là-bas, une silhouette bouge Parmi ces avions en flamme Là-bas, cet homme en rouge Va sauver des âmes Un pompier fait de la mousse Pour attaquer les flammes rousses L’autre fait des étincelles En détrônant le feu de ses ailes

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Je suis dans un planeur Mon cœur bat très très vite Et j’ai le vertige Quand je décolle Je suis très content Et quand je suis dans le ciel Je fais des loopings Quelques secondes plus tard Je croise un SU-33 Qui vole trois fois plus vite que le son Dans l’aéroport, Tout le monde m’applaudit Même l’aviateur Je transpire beaucoup Car je ne sais pas comment atterrir Mais j’ai réussi Grâce au planeur Qui s’appelle « Roi du ciel » Ensuite j’ai retrouvé mes amis et l’aviateur Même les parents, mes amis et ma sœur

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Un avion Un avion ça nous fait penser à plein de choses On pense à l'hydravion Qui fait des amerrissages Au train d'atterrisage Qui fait des atterrisages On pense aussi au personnel de l'avion, Le pilote, le copilote, l'hôtesse de l'air Qui nous apporte un café, Le steward qui veille à notre sécurité Pendant qu'on est en train de rêver. Quand on rêve, on ne pense qu'à voyager Et on est tout content Quand il se met à décoller.

Le drame de mon métier J’aurais tant voulu évacuer cette fumée Pompier est mon métier Le courage de protéger J’en ai tant rêvé Voilà je vous ai révélé Mon secret émerveillé Mais aujourd‘hui mon étincelle s’est éteinte Et mon rêve s’est brisé…

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Ces héros légendaires Je me rappelle l'année Où l'avion s'est écrasé Mon papa était pressé D'aller éteindre le brasier La caserne était équipée Pour tout évacuer Les sauveteurs amateurs Ont rejoint les pompiers Ces héros légendaires A l'image de mon père

Les pompiers Ils ont rempli les pompes à eau dès qu’ils ont aperçu le feu. Ils ont armé les canons à eau puis ils ont fait feu. Grâce à la mousse et à cette eau Ils sont venus à bout du feu. Puis ils sont rentrés en héros Ils en avaient eu plein les yeux.

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Les pompiers Dès que l’alarme a sonné Les pompiers sont alertés Mais comme ils regardent la télé Ils vont mettre plus de temps à décoller Le feu s’est propagé sur un kilomètre carré d’herbe incendiée L’avion qui s’est crashé Transportait cent quatre vingt personnes âgées Et vingt bébés Mais les pompiers ont quand même réalisé Le rêve de tous ces passagers Qui était d’être sauvés ! Ils ont même réussi à regarder La fin du journal télévisé

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Le souffle coupé Je me rappelle la journée Où je devais décoller Ma maman m’avait grondée Car je n’avais pas rangé mes souliers Il faisait une telle froideur Que je n’avais plus idée de l’heure J’ai embarqué Et on a décollé A un moment, l’avion a tremblé J’en suis resté paralysée Les gens s’affolaient, tremblaient J’ai mis mon gilet Mais ça n’a rien fait L’avion est parti en chute libre Je me suis accrochée Mais j’ai été aspirée « Maintenant je ne suis plus qu’une étoile pour l’éternité… »

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Les pompiers Ils sont prêts à souffrir Ou même à mourir Avec leurs équipiers Prêts à vous sauver Ils enfilent leurs combinaisons Qui les aideront Contre la chaleur intense Et toute la fumée Quand il s’agit de se reposer Il faut vite se coucher Car quand l’alarme a sonné Il faut se bouger Ils sont là pour vous aider Quand votre avion s’est écrasé Car chaque seconde est comptée Quand les flammes sont lâchées

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J’ ai vu un hélicoptère Je me suis dit : « Et si je demandais à l’hôtesse de l’air si je peux aller admirer le paysage vu du ciel ? ». Et si on allait faire le tour du mur du son et ensuite le tour de la tour de contrôle pour voir si elle est si belle qu’on le dit ». Et voir si le décollage fait aussi si peur que l’on croit ». Et là, j’ai réalisé mon plus grand rêve : faire des loopings ! Et quand j’ai fait des loopings j’ ai cru que j’allais mourir . Mais non ! je suis bien, et réellement bien, vivante.

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L'avion Mon rêve est de monter à bord d’un avion Pour survoler les nuages Pour regarder les oiseaux voler Pour traverser le mur du son

Je voudrais voir pourquoi le décollage et l'atterrissage font si peur.

Ce dont je suis sûr, c'est que je ne voudrais pas mourir en avion, Mais le jour où je monterai à bord d 'un avion je n'y penserai pas, je ne penserai qu'à mon rêve.

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Dans l’avion Dans l’avion j’ai vu une fille mignonne Et dès que je me suis retournée Il n’y avait plus personne J’ai cru devenu folle Mais non, c’était bien la réalité J’ai continué mon chemin et j’ai trouvé une casserole Je me suis relevée Et j’ai vu ma maman qui m’appelait J’ai couru et je suis tombée J’ai senti que c’était la fin pour moi.

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Au meeting Un jour au meeting Des avions faisaient des loopings Il y avait des avions militaires Qui volaient dans les airs Il y avait aussi des avions de guerre Et des avions canadairs Un avion anglais Dont le pilote était français Attention au décollage et aux mirages Sur la piste d’atterrissage Dans le ciel du bleu, du blanc et du rouge Et toujours des avions qui bougent C’est la patrouille de France Comme nous avons de la chance !

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Aviation Quand on voit un avion rater son atterrissage Il faut aller le secourir Quand on voit l’avion prendre feu, Il faut aller l’éteindre En démarrant les jets d’eau Ces passagers effrayés Qui sont encore en vie Il faut aller les sauver. Il y a 500 passagers Et plus de 250 personnes sont blessés Mais avant d’y aller Il faut mettre une tenue Qui ne puisse pas prendre feu Ces flammes qui montent jusqu’au ciel, Il faut les étouffer.

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Mon hélicoptère Quand je suis monté dans mon hélicoptère J’ai vu un avion de guerre Un avion canadair dont l’hôtesse de l’air Avait le mal de l’air. J’ai croisé aussi un avion militaire Avec des lettres O.P.Q.R. Et un bombardier vert où il y avait mon grand-père et ma grand-mère. Pourtant le ciel était clair Mais quelle galère dans ce rêve imaginaire.

L’hydravion Avec un hydravion On peut se poser sur l'eau Et chanter une chanson Comme si on était un dieu Et on marchait sur l'eau Mais on ne peut pas atterrir Sur une aéromaison

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Les pompiers Au feu les pompiers, mon avion qui brule Au feu les pompiers mon avion brulé C’est pas moi qui l’ai brulé C’est ma petite sœur C’est pas moi qui l’ai brulé C’est ma petite sœur Au feu les pompiers venez faire des étincelles Venez nous sauver

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Des nouvelles

sur l’aviation

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Mon rêve devenu réalité

Chloé Bourdonnay - Dring ! ! ! ! Enfin, la fin des cours. Ah oui, je m’appelle Nora ,j’ai 20 ans, je fais mes études dans une école d’aviation. Le seul problème c’est que dans ma classe je suis la seule fille. Bref, sur le chemin du retour, quelqu’un m’envoie un SMS :

« Ce soir rdv à l’Aéroclub à 18:00 h » C’est Margot, ma cousine, qui n’est pas dans la même école que moi (dommage !). Toutes les deux on partage la même passion, l’envie de voler et d’avoir à portée de main le ciel tout entier.

18h00. Comme prévu nous étions à l’aéroclub. C’est un peu comme notre refuge.

Ici on partage un grand moment de complicité, on y repère les nouveaux avions et aussi,

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quand on peut, on y pénètre. Pourtant ce jour là, cela ne s’est pas passé comme prévu. Nous étions dans le hangar et nous avions repéré un très bel hélicoptère. Margot a essayé d ‘y rentrer mais, juste à ce moment là, un homme surgit et nous dit : - Que faites vous là ? - Heu…rien…, dis-je. - On regardait les nouveaux … - … Les nouveaux modèles ne sont pas à vous !

Mais cela vous intéresse l’aviation ? nous demanda l’homme d’un ton moqueur.

- Oui un peu, murmurai-je. - D’accord, je comprends pourquoi je vous vois

traîner toujours là, dit l’homme en prenant un air décontracté.

- Nous sommes chacune dans une école d’aviation, dit Margot .

- D’accord mais c’est interdit au public alors filez vite ! !

Nous partîmes. Je dis au revoir à Margot et elle disparut au loin. En rentrant chez moi, je n’avais plus qu’à me mettre les pieds sous la table et c’est ce que je fis. - Alors ça s’est bien passé ? me demanda ma mère. Je n’allais tout du même pas lui dire qu’un inconnu nous avait parlé sinon elle aurait fait une crise cardiaque ! ! - Oui oui, dis-je. - Hum ! dit mon père.

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Une semaine après nous nous retrouvons à l’aéroclub. Comme par hasard, l’homme de la dernière fois était là. - Hep les filles ! venez là s’il vous plaît, nous dit

l’homme. - Bonjour ! dit Margot. - Bon, il va falloir que cela cesse, vous partez et ne

revenez plus, compris ? - Euh… oui monsieur, dis-je - Bien ! Au revoir mesdemoiselles, dit le monsieur

en nous faisant signe de partir. Le lendemain matin, en cours, le professeur de recherche nous dit qu’il va y avoir un professionnel qui va nous présenter son métier. - Bonjour à tous, je m'appelle Gaston, je suis

pilote d’hélicoptère. - Bonjour !

Je crois qu’à ce moment là, j’allais

m’évanouir : c’était l’inconnu de l’aéroclub rencontré avec Margot. A la fin des cours, Gaston m’interpelle : - Quel changement de lieu… - Oui c’est vrai, répondis-je froidement. - Tant que j’y pense, rendez vous à l’aéroclub ce

soir pour un essai ! - Pas de problème, répondis-je, un peu surprise.

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Et voilà, c’est comme ça que cet homme est devenu mon chef pilote. Après des années, mon rêve s’est réalisé. Avec tant d’efforts et d’envie, je suis devenue meilleure pilote féminine de France.

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Destination le ciel

Howel René Je me suis toujours demandé ce que c’était la

vie dans le ciel, ces loopings, le vol en planeur, ces avions à réaction, ces acrobaties aériennes. Voler, c’est mon rêve, déjà quand j’étais petit tout le monde me disait que j’avais la tête dans les nuages. Mais moi, je ne les écoutais pas comme ça. Je croyais être un grand oiseau de fer. Je n’étais pas dans une famille très riche et ce n’était pas moi, Mark Desmon, qui en changerait les causes. Mais moi, j’étais décidé à voler. Un jour je reçus une lettre de mon oncle. Elle m’était destinée : « Bonjour cher neveu, j’ai appris que tu voulais voler dans un avion, viens me rejoindre à Hambourg, en Allemagne, je t’apprendrai comment piloter les avions. PS : Je t’ai laissé un billet de train, tu pars dans une semaine. »

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Quelle joie, je vais enfin apprendre à piloter un de ces beaux oiseaux. J’étais impatient de partir, de découvrir et de piloter. Surtout de piloter. Une semaine après j’étais arrivé à Hambourg ; je n’avais vu qu’une fois mon Oncle, c’était quand j’avais cinq ans. Il était venu à mon anniversaire. Mais le temps n’était plus aux explications, je devais apprendre à piloter. Mon oncle habitait dans une petite maison isolée dans la campagne . Il me dit :

« Bonjour cher neveu, je suppose que tu viens pour voler ? - Bien sûr oncle Sam, c’est bien pour ça que tu

m’as fait venir . - Oui, mais en échange, je veux que tu me

gagnes un concours ! - Un concours ?

C’est incroyable, je vais apprendre à voler et juste après, faire un concours de voltige !

Un mois après j’avais appris à voler, j’étais sur la ligne de départ, je me rappelais les paroles de mon oncle : « Tu vois, quand j’étais jeune, ma passion était aussi de voler. J’ai gagné tous les prix sauf un. Aujourd’hui c’est toi qui feras le plus grand des concours de voltige. J’ai perdu à cause d’une chose, il me manquait l’audace ! Maintenant c’est à toi de gagner ; je vois dans tes yeux cette passion qui n’existe pas en moi. »

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Il m’avait remonté à bloc, j’étais prêt à voler et à faire frissonner les spectateurs. Je commençai à monter dans le ciel et en même temps j’exécutai un superbe looping. La vitesse me faisait croire que le siège était en train de se déchirer tellement elle était énorme. Puis, en montant très haut, je coupai les moteurs. Là, je partis dans le vide. Tout le monde s’écartait du sol de peur de se faire écraser. Je retenais mon souffle. Est ce que je j’allais m’écraser ? Je me posais des questions. Me suis-je assez bien entrainé ? Puis plus rien, le vide absolu ; soit je m’écrasais soit je réussissais. La peur au ventre, d’un coup sec je fis un looping puis j’atterris. Toute la foule vint m’acclamer. J’étais ému, j’avais réussi à gagner la coupe qui était le plus beau cadeau que je pouvais offrir à mon oncle. Il en pleurait, tellement il était content. Après avoir donné la coupe à mon oncle je repartis en France, plus précisément à l’aéro-club de Rennes. Depuis me voilà un aviateur réputé dans toute l’Europe. Mais si on réfléchit bien, quand un rêve vous obsède, on s’y accroche, ça donne des ailes.

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Un amour d'aviateur

Carla Meunier Chez Erick pas de panique !

Bonjour, je me nomme Erick Chram, j'ai quarante ans et je loge à Paris, en plein coeur de la ville, à Montmartre. Je suis pilote d'avion à Air France et je suis affecté sur les vols longs courriers à destination de l'Amérique du Nord et de l'Asie. J'ai fondé une famille avec Christine, trente-huit ans, professeur d'arts plastiques et de travaux manuels. Nous avons deux enfants : Jules, huit ans, qui est en CE2 à l'école élémentaire et Calvin, dix-huit ans qui est en terminale au lycée. A cause de nos métiers, Christine habite en Espagne, à Barcelone, et c'est pour cela que l'on doit faire obligatoirement une «garde-alternée» (s'arranger pour que les parents gardent les enfants une semaine sur deux). C'est très difficile de trouver deux écoles dans chaque pays. Christine doit me rejoindre bientôt dans le treizième arrondissement,

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en face des «Galeries Lafayette». Cela fait trois jours que nous attendons avec impatience son retour. Pour l'instant, je ne m'inquiète pas trop ; ma chère Christine sait toujours ce qu'elle fait, même si elle n'est pas tout le temps à l'heure ou si elle n'est pas là quand on le lui demande ! Stress, peur et angoisse « Lalalalala... Tiens je me ferais bien un petit jambon-pâtes ! dis-je. - Papaaa ! Es-tu allé chercher le courrier ? dit

Jules. - Non, mais j'y vais après avoir préparé votre

dîner, les garçons. Quand je revins d'aller chercher le courrier, j'avais, dans les mains, une étrange enveloppe rouge. Tout à coup, quelqu'un sonna à la porte. Je l'ouvris les mains pleines de papiers. Un homme, ça devait-être un journaliste, se trouvait derrière la porte et me dit : - Bonjour, vous êtes bien monsieur Chram ? - Oui, répondis-je assez étonné. - ... Votre femme a disparu ... Désolé... Je le remerciai de m'avoir prévenu et je fondis en larmes derrière la porte. Ensuite je me rappelai la

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lettre... J'ouvris le petit sceau rouge sang qui se décollait déjà doucement. Je glissai la lettre rose pâle dans mes mains, la dépliai et la lus : « Cher Erick, Ici Christine qui t'écrit. Désolée du retard mais il y avait du brouillard et le pilote ne pouvait pas atterrir... Il nous a posés à Madrid, enfin je crois... Gros Bisous chéri. Christine » Un amour retardé

Après avoir lu ce bout de papier rosé, j'appelai, avec mon portable, une nounou pour garder les deux gamins, car j'allais partir à la recherche de mon amour retardé. Je composai les touches de mon appareil téléphonique en voyant mes doigts moites. L'idée de penser que ma femme avait disparu me faisait peur. Il fallait que j'affronte cette épreuve mais je savais que j'y arriverais. Avant de partir je devais tout avouer aux enfants ; ce serait dur. A la fin, je pris une décision : donner la lettre aux enfants, laisser un petit mot derrière et partir. C'est ce que je fis. Il était dix-sept heures et je partis de la maison. Je pris ma voiture et je conduisis jusqu'à l'aéroport. Une fois arrivé, je demandai la permission à mon patron d'emprunter son jet privé. Il accepta.

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Je pilotai jusqu'à la chaîne des Pyrénées, puis j'activai mon code radar et je me fis guider par le tour de contrôle jusqu'à Madrid : - Ici Fox Victor Charlie Lima, Code radar ? - Fox Victor Charlie Lima, ici la tour de contrôle,

code radar : quatro, dos, tres, siété.

Une fois posé à Madrid je vis pleurer une femme qui ressemblait comme deux gouttes d'eau à la mienne. Elle semblait perdue. J'aperçus mon épouse et posai un baiser délicat sur ses lèvres. Elle me sourit et me rendit le salut. Je la reconduisis à Paris où l'on put être à nouveau réunis. C'était un grand amour mais un peu retardé...

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Le miracle de l'aviation

Maël Lecoursonnais

Malheureux entraînement

Bill se réveilla lentement et doucement. Aujourd'hui il a vingt ans, mais personne ne s'apprête à l'applaudir ou à lui fêter son anniversaire car il est seul, seul face à cette base, la meilleure base du monde. Il était 5h00 du matin, le soleil se réveillait et les premiers avions décollaient. Il prit son petit-déjeuner en cinq minutes puis il s'habilla en vitesse. Bill était aussi le capitaine de la meilleure équipe de l'école. Il arriva à la base et salua ses amis. Il prit un mirage 2000. « Fox-Mike, India, Roméo, je suis prêt à décoller. - Fox-Mike, India Roméo, pas de problème,

répondit la tour de contrôle. Le capitaine décolla pour un entraînement d'acrobaties. Des loopings, des tonneaux, des croisements étaient au rendez-vous. A

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l'atterrissage des applaudissements envahirent l'école. Pour Bill, ce qu'il venait de faire c'était de la rigolade, mais ces acclamations le rendaient très joyeux. Le midi il raconta le matin fantastique qu'il avait vécu. En arrivant à la cantine une dame lui proposa : - Steak-Pâtes ou Poisson-Riz ? - Steak-Pâtes s'il vous plaît, répondit-il.

Il termina son dîner par une île flottante.

- Hum délicieux ! Puis il arriva à la salle de musculation. Elle était très grande il y avait au moins cent haltérophiles... Pendant cinq heures il s'entraîna dans la salle. Le lendemain, comme d'habitude, il se leva à 5h00 du matin. Il prit son petit-déjeuner puis se leva et s'habilla. Le capitaine distingua quelques avions dans le ciel. Lui, il s'installa dans l'engin puis il commença l'atterrissage. Il fit des loopings, des croisements et des tonneaux comme d'habitude. Mais un problème surgit. Il sentit une odeur de fumée. Il remarqua que son moteur était en feu. L'avion était enflammé. Comment pourrait-il survivre ? Chance et malchance

Le pilote appuya sur le bouton du siège éjectable. - Mais que se passe t-il ?

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Son siège éjectable était bloqué. Il était bloqué ! Le capitaine n'était plus qu'à cinq cents pieds du sol ! Il retenta d'appuyer sur le siège éjectable. 1, 2, 3, 4 fois. Il réussit et, enfin, il s'éjecta ! Il avait eu de la chance ! De là-haut, il vit son avion s'écraser sur une falaise. Il se posa sur une montagne. On était le soir. Comment pouvait-il sortir d'ici ? Il était à presque trois mille mètres d'altitude ! Heureusement, il avait dix bouteilles d'oxygène, pour tenir au maximum un mois. La première nuit, il dormit dehors dans le froid . Le lendemain soir, il dormit dans une tente qu'il avait construite pendant la journée. Le troisième jour il construisit un abri puis une lance et deux casseroles. Pour se faire repérer, il écrivit dans la neige S.O.S.

Une semaine maintenant que le jeune homme était coincé dans les montagnes. Il ne mangeait pas des frites et des steaks mais des poissons crus ou des animaux de la montagne. Sa maison faisait cinq mètres carrés. Il y avait un lit, deux casseroles et son briquet porte-bonheur qu'il emmenait partout.

Deuxième semaine de solitude. Il ne lui restait plus que quatre bouteilles d'oxygène.

Dix-septième jour d'amertume et de détresse. Il était 18h57 et 53 secondes quand Bill aperçut deux hélicoptères de la sécurité et des secours. Il essaya de faire en sorte qu'ils le remarquent. Mais malgré tous ses efforts, ils repartirent sans l'avoir remarqué.

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Troisième semaine et plus que deux bouteilles d'oxygène. Vingt-deuxième jour et il avait déjà construit son moyen de transport depuis bien longtemps. Devinez ce que c'était ? Une luge bien sûr, il n'y a que ça qu'on peut construire et qui glisse sur la neige. Ce jour-là alors qu’il faisait sa chasse du matin, il découvrit une grotte. Il y entra. Il entendit des ours. Soudain l’un d’eux lui sauta dessus. Il l'esquiva et le tua. Il repartit en vitesse pour que les autres ours ne le rattrapent pas. En arrivant à son camp, il mangea l'animal. Il en conserva pour les autres jours. Le lendemain après-midi, il réécrivit S.O.S. vu que l'autre avait été effacé par le vent.

A 16h01, les secours le cherchant toujours, arrivèrent à l'endroit où se trouvait Bill. Le capitaine fit des signes. Les secouristes le remarquèrent. L'aviateur retourna dans sa cabane car il croyait que les secouristes ne l'avaient pas vu. Mais soudain il entendit un bruit assourdissant. Le rescapé se retourna et vit l'hélicoptère. Il courut vers l'appareil et y entra. L'engin survola la vallée. Bill raconta son histoire tout en survolant ce paysage où il avait vécu depuis un mois. Une arrivée mouvementée

Il était 16h53 quand il arriva à l'école d'aviation. Des applaudissements terribles envahirent le hangar. Il se rappela de son arrivée à

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son entraînement. C'était il y avait déjà un mois. C'était les bons souvenirs. Non je rigole ! Bon, revenons à l'histoire. Bill passa une interview et fit un discours en remerciant les secouristes. En arrivant à sa maison le capitaine alluma la télévision, prit un paquet de pop-corn et regarda les informations : - Bienvenue sur le journal télévisé présenté pa

Patrick Poivre D'Arvor. Voici les titres : un aviateur a été secouru après un mois de solitude dans les montagnes.

En regardant ces images et en entendant ces mots il se souvint de ce périple dans le massif montagneux. Le lendemain matin, en passant dans une rue piétonnière, une jeune fille qui le croisait lui adressa : - Demain 18h00 au «restaurant gourmand». Bill, dans son rêve, annonça d'une voix rassurante : - O.K. À demain. La nuit Bill rêvait de son histoire incroyable. Pendant la nuit il se réveillait au moins quinze fois. C'était la première fois qu'il vivait ça. On était le 10 juin 2008 au matin, il commenca l'entraînement avec un mirage 2000 puis avec un rafale. A 16h00 pile quand il rentra chez lui, il prit son goûter : deux brioches et un verre de lait. De 16h15 à 17h25 il alla dans sa salle de musculation. Enfin il mit son costume romantique. Il prit sa

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Ferrari noire. Il alla au restaurant. La femme était habillée d'une jupe écossaise, d'un kéfier rouge et noir et d'un débardeur noir. - C'est tout à fait mon style, se dit-il. A 18h00 ils se mirent à table. A 23h30 Bill raccompagna Laure chez elle. Bill était amoureux.

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Un destin changé

Hannah Tabarnoust

Mon histoire Bonjour, je m'appelle Kim Smith, j'ai vingt et un ans, une sœur et voilà l'histoire de mon père, mort dans un crash d'avion il y a dix ans . - Salut les puces, ne vous inquiétez pas, je reviens

dans dix jours. Ce n'est pas si loin l'Amérique. - Mouais, c'est louche, répondis-je d'un air

douteux à mon père . - Et puis je vous ramènerai un souvenir. Allez, hop,

en route vers l'Amérique ! Au revoir. CLAC et la porte se referma, sèchement. - Ouinnnnnnnn, et ma sœur fondit en larmes,

comme d'habitude !! ... Cinq jours plus tard, aucune nouvelle. Je n’étais pas sensée en avoir mais j'étais inquiète.

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Le lendemain, aux alentours de midi, une voiture se gara devant la maison. Un homme vêtu de noir en sortit. DING DON…G . - J'y vais, dis-je . - Bonjour petite. Ta maman est là ? Merci ! - Euh... oui euh MAMAN ! C'est pour toi ! - Bonjour monsieur, entrez je vous prie. - Euh... HEU ...BON j'irai droit au but. Votre mari

est mort. Je vous épargne les détails mais cette période a été particulièrement dure ... Une illusion ? - Wahou, un avion ! dit Hermina presque endormie

dans ce champ, non loin de moi. - Eh petite sœur ne t'endors pas, c'est presque

l'heure du diner, dis-je . - Eh ! regarde, il se pose, allez viens on va le voir ! - Non attends, c'est pas très pru... TROP TARD !

Attends moi au moins ! Ma sœur Hermina se jeta sur l'avion maintenant posé . Un homme en sortit. - Salut ! dit l'homme. Je m'appelle Matt Nalter. Nous commençâmes à parler de tout et de rien, de notre père mort dans ce fameux crash, de notre mère, de nous...

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Je jetai un rapide coup d’œil à ma montre . - OUAAAAAA ! maman va nous tuer il est vingt

heures vingt-deux ! On devait être à la maison à dix-neuf heures trente ! criai-je dans les oreilles de ma sœur .

- Oups ! - Eh bien passe me voir demain à l'aéroport ! me

lança-t-il alors que j'étais déjà dans la course. - A plus ! ... Le lendemain ...

Neuf heures pile. Je courais chercher mon manteau pour aller faire un tour avec Matt, l'homme d'hier ! Rendue là-bas…

- Ferme les yeux, dit Matt. Et il me mit dans un avion . J’éprouvai une sensation très agréable, j'ouvris les yeux et j’aperçus la mer. Nous étions en altitude ! Je crois que c’était le bonheur. Trois années plus tard… - Matt, Matt, Je l'ai eu, je l'ai eu, j’ai eu mon

brevet de pilotage ! - Mais c'est génial ! Heureusement que j'étais là

pour t'apprendre ! Et pour te convaincre de le passer...

- Allez viens, on va faire un tour... En avion !

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Décollage 3.2.1… - On est en haut déjà ! A travers mon casque, j'entendais les douces paroles qu'il murmurait. - Veux-tu m'épouser ? Je m'évanouis quelques minutes puis je sentis un baiser sur mes lèvres. Nous atterrîmes BRRRR… Je lui dis : « OUI ». Quelques mois plus tard je me retrouvai dans une belle robe blanche qui était celle d'une mariée, c’était la mienne ... Avec l’avion dont nous étions les pilotes nous prîmes la direction de notre lune de miel . Nous vécûmes heureux pour TOUTE notre vie !

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Ma petite histoire...

Vyria Cagniart

Bonjour! Je m'appele Julien, j'ai 16 ans et je suis en 3ème. Je suis fou amoureux d'une fille de ma classe. Elle s'appelle Julie. Elle est passionnée par l'aviation et moi aussi. Souvent, je l'entends parler avec ses copines et elles disent : - Super ! Hier j'ai regardé un documentaire sur

les aviateurs de France ! Il y avait : Roland Garros,...

Moi aussi je l'avais vu ce documentaire ! Il était sur la 5 ème chaîne à la télévision. Depuis tout bébé (enfin depuis que j'ai 6 ans ), je rêve la nuit que je suis pilote. J'imagine ce rêve aussi pour l'impressionner. Mais le problème,... je suis un handicapé. J'ai une jambe plus courte que l'autre.

Plusieurs personnes du collège se moquent de moi parce que je voudrais être pilote plus tard. Ils disent derrière mon dos :

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- Hahnium ! Il veut être pilote alors qu'il est un « handicapé » ! Comme je ne suis pas un handicapé, je peux l'être !

Ils sont très méchants avec moi. Peut-être que je suis un handicapé, mais je suis très intelligent ! J'ai même le niveau d'un pilote en intelligence ! Les autres se moquent de moi parce que j'ai une jambe plus courte que l'autre mais eux ne sont pas mieux que moi. Revenons sur « mon amoureuse ». C'est la deuxième de la classe, je suis le premier de la classe . Elle ne se moque pas des handicapés ! Son caractère : douce, calme, intelligente, gentille, parfois têtue,... enfin, je l'aime. Je n'ai jamais réussi à lui dire ma flamme. J'ai oublié de dire qu'elle avait déjà un « petit ami ». Dommage pour moi ! Lui, il déteste l'aviation. 20 ans plus tard...

Coucou ! Ca fait longtemps que l'on ne s'est pas vu ! Alors maintenant, j'ai 36 ans. J'avais dis que j'était un handicapé ? Bien sûr que je le suis ! Mais... J'ai eu mon permis de pilote. Avant, j'avais mon permis de voiture. Je l'ai toujours d'ailleurs ! Je me demande ce qu'elle est devenue mon amie d'enfance ! Elle s'appelait Julie. Je suis encore célibataire. Hahaha ! Ce fut le plus beau jour de ma vie quand on m’a dit que je passais mon permis.

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Quand je demanderai à Julie un mariage, ce sera le deuxième plus beau jour de ma vie ! Mais là, je suis en train de rêver à propos de Julie ! Trois mois plus tard...

Je suis dans mon avion. Je dois me poser à terre. De tout en haut, j'ai vu une fille. Elle était avec mon patron. Bizarre... Je me pose. Je suis sorti de mon avion. J'ai eu un flash. Comme si je connaissais cette fille. Elle m'a dit qu'elle s'appellait Julie. Oh ! Comme mon ancienne amie ! Elle m'a dit : - On se connait ? Je crois que je t'ai déjà vu, mais

au... Collège ! Non je rêve ! On parlait toujours des avions en classe. C'est Julie et moi Julien ! J'ai cru un instant que j'étais mort dans un crash d'avion. J'étais dans les nuages. Miracle

Nous avons pris un café. On s'est parlé de nous. Je ne croyais jamais que l'on allait se rencontrer ! J'étais dans les nuages... Ensuite, je me disais que ça allait être le deuxième plus beau jour de ma vie. Mais là, je ne rêvais pas ! Elle avait toujours le même caractère.

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Elle était ici, à l'aéroport, parce que elle aussi elle était pilote. Juste au moment où j'allais lui dire « Je t'aime », elle m'a coupé la parole pour me dire : - On va faire un tour en avion ? C'est toi qui

pilotes ! Je veux voir comment tu pilotes ! - O.K. ! Nous sommes montés dans l'avion. Ce qui m'avait fait le plus plaisir, c'était qu'elle avait confiance en moi. Après, pour se poser, il y avait des jeunes gens. Ils ne ressemblaient pas du tout à des pilotes ! Tout d'un coup, elle ne s’est plus intéressée à moi. Ensuite, je me sentais seul, sans elle et sans avion. J'avais mal au ventre, je croyais qu'elle allait partir. Avec les jeunes gens, on s'est baladé. Julie avait l'air de bien connaître ces personnes. Ensuite, ils sont partis pendant quelques secondes aux toilettes. Alors, pendant ce temps, j'en ai profité pour lui dire que je l'aimais. Mais je ne l'ai pas dit d'un coup comme ça ! J'ai attendu le coucher de soleil. Elle et moi on s'est regardé dans les yeux, et...crotte !!! Les jeunes gens sont revenus ! A mon avis, Julie avait compris que je l'aimais. Elle m’a fait un signe. Ceci voulait dire : moi aussi je t'aime... Elle est revenue vers moi, elle m’a bandé les yeux et m'a emmené dans un hangar. Il y avait un avion. C'était écrit « je t'aime ». - M...mer...merci ! ...Il...ne...il ne fallait pas !

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J'étais tout ému. Nous avions pu faire un tour avec l'avion. Il n’était que pour moi et Julie ! Mon rêve depuis tout petit ! ... Voici mon histoire...

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L’aqua-jet

Wilfried Yang

Il était une fois un jeune garçon prénommé

Jimmy. Agé de 16 ans, il venait de perdre son père dans un terrible accident de travail. En effet, son papa était décédé à cause d’une explosion survenue dans son laboratoire. Mais avant de mourir, son fils lui a juré qu’il continuerait ses recherches pour créer un avion qui puisse voler et en même temps découvrir les poissons qu’il y a au fond de l’océan… Cette invention serait un « aqua-jet » !

Mais comme Jimmy ne connaissait rien en mécanique, il décida donc de s’inscrire dans une école où l’on apprenait l’art de la mécanique. Là-bas, il fit la connaissance de deux personnes qui étaient là pour aider les personnes en difficulté. Le garçon se nommait John et la fille, Julie. Ils étaient de vrais experts en mécanique et comme Jimmy avait besoin d’aide, il fit appel à leurs connaissances. Mais les experts ne comprenaient pas pour quelles raisons

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il voulait de l’aide. Alors, le jeune garçon leur expliqua toute son histoire… Après l’avoir écouté attentivement, les experts en la matière ont accepté de l’aider, cependant, il fallait les rémunérer et cette aide valait cinquante euros. Mais comme ils avaient trouvé l’histoire de Jimmy émouvante, ils ont décidé de lui faire un prix spécial et de descendre le montant à vingt-cinq euros. Ce dernier, tout content, rentra chez lui en sautillant.

Le lendemain matin, ses deux amis John et Julie lui demandèrent à quel moment il comptait commencer la création de l’engin et il leur répondit : « Dans quatre ans ». Mais les experts ne comprirent pas pour quelles raisons Jimmy souhaitait attendre aussi longtemps pour pouvoir réaliser le rêve de son père donc ils lui demandèrent : - Mais pourquoi repousses-tu le projet à dans 4

ans ? - Car je ne suis pas encore prêt. Je ne suis pas

encore assez expérimenté pour créer l’ « aqua-jet » dont mon père rêvait tant. Je veux prendre mon temps pour apprendre et je veux que ce projet soit une vraie réussite !

Alors, les experts lui dirent : - OK ! Pas de problème, c’est toi qui vois et quand

tu seras prêt, fais–nous signe !

Pendant ce temps-là, John et Julie ont eu le temps d’aider d’autres personnes et donc ont gagné

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pas mal d’argent. Le projet de Jimmy coûtait dans les dix mille euros donc, touchés par son histoire, ses amis ont décidé de l’aider financièrement. Ils ont été très généreux puisqu’ils lui ont remis la somme de trois mille euros. Jimmy a été très touché par ce geste.

Les années passèrent et Jimmy et sa mère avaient eu le temps d’économiser donc la construction de l’ « aqua-jet » pouvait débuter. Le jeune garçon se sentait enfin prêt pour attaquer le projet. Avec les économies, Jimmy a pu tout acheter : le moteur, les hélices, du cuir, du bois, de la peinture… Tout ce qui était nécessaire pour construire l’avion. Mais avant de commencer le travail, Jimmy et ses amis ont d’abord réalisé une maquette de l’avion qui leur servirait de modèle et ce n’est qu’après avoir fait cette maquette qu’ils entamèrent le projet jour et nuit sans relâche pendant plusieurs mois. Tous leurs efforts fournis ont été récompensés puisqu’ils ont réussi à créer l’incroyable machine : l’ « aqua-jet » !

Quelques années plus tard, l’ « aqua-jet » a été testé et présenté à des milliers de personnes. Cet avion qui pouvait voler et qui pouvait aller sous l’eau a fait le tour du monde et a été reconnu comme la plus belle invention de tous les temps. C’était un

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événement qui a rendu célèbre Jimmy. Il était donc très heureux mais le plus important pour lui, c’était d’avoir accompli le rêve de son père et donc, même si son papa n’était plus là pour le féliciter, notre héros savait pertinemment que son père le regardait de là-haut et qu’il était fier de son fils.

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Notre passion : l'aviation

Séverine Grasland

Rémi, enfant de onze ans, habitait à Ezanville

où il allait à l'école. Dans la cour il discutait avec ses deux copines Sophie et Françoise. Ils parlaient souvent des avions car ils étaient passionnés par l'aviation. Dans la classe la maîtresse annonça que toute la classe irait visiter l' aéroport de la ville. Mais Rémi, Sophie et Françoise étant punis ne pouvaient aller à la sortie. Alors Rémi eut une idée ! « Et si on y allait cette nuit ? » Les deux copines de Rémi trouvèrent que c'était une idée géniale. Ils se donnèrent rendez-vous à l'aéroport, devant le hangar à avions à 21h00. 17H00, les trois enfants rentrèrent chez eux et allèrent se préparer pour l’ excursion. 17h30, Rémi fit ses devoirs puis joua sur l'ordinateur. 18h45, Rémi prit son sac à dos et mit dedans : une lampe torche, un sandwich, une barre chocolatée, une corde, de l'eau et un casque de pilote d'avion.

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- Voilà je suis prêt ! 19h45, Rémi mangea. 20h30, Rémi était impatient, puis il partit pour l'aéroport tout excité. Après un bon quart d'heure d'attente ses deux compagnons arrivèrent. - Allez on rentre ! Les enfants rentrèrent facilement car Françoise était très forte pour ouvrir les serrures avec un trombonne ! Une fois rentrés, ils restèrent devant tous ces avions. Mais rapidement Rémi sauta dans un d'eux et prit les commandes. Il rêvait qu'il était dans un avion de chasse et qu' il allait s' écraser. Il essayait de redresser son avion quand soudain Françoise le réveilla. Ensuite ils allèrent vers d'autres avions plus gros et plus puissants. Et là, les trois enfants furent émerveillés par ces gros tas de ferraille à moteur. Il y avait des avions de toutes les tailles et de toutes les couleurs. Les enfants avancèrent pour mieux voir les avions. Ils n’osèrent même pas les toucher tellement ils étaient beaux ! Puis après cette grande aventure les trois amis mangèrent pour reprendre des forces. Après dix minutes de repos, il y eut un grand bruit sourd. Dans la précipitation Rémi, sans faire attention, oublia un papier, mais quand il voulut aller le chercher un gardien le surprit et le prit par le bras. - Que fais-tu là toi ? dit le gardien.

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Rémi répondit qu'il était avec des amies et qu'ils étaient rentrés par effraction. Ensuite Sophie et Françoise sortirent de leur cachette. Mais Rémi lui expliqua aussi qu'ils adoraient les avions et que c'était leur passion à tous les trois. Le gardien, se sentant seul et étant gentil, eut l'idée qu'ils pourraient peut-être aller dans les avions et regarder un peu comment ils étaient et qu'après ils rentreraient chez eux avec lui en voiture (car la nuit la rue n'est pas très sure). Rémi désigna un bel avion et monta dedans. Il recommença son rêve (où il allait s'écraser et essayait de redresser son avion mais n'y arrivait pas...). Il imagina qu'il arrivait à atterrir à la destination prévue. Mais après le gardien l'appela et Rémi descendit de son petit nuage. Françoise à son tour monta dans un avion et fit un rêve. Son rêve était qu'elle était la plus grande aviatrice connue dans le monde. Mais son rêve s'arrêta là. Elle descendit. Sophie avait mal au ventre et ne voulut pas aller dans un avion. Mais après tout cela, le gardien démarra sa voiture, les trois enfants assis sur la banquette arrière. Le gardien déposa Françoise, mais il ne fallait pas faire de bruit car les parents ne savaient rien de la petite escapade. Il déposa Sophie, puis vint le tour de Rémi. Rémi ouvrit la porte le plus doucement possible et défit son manteau, il referma la porte puis monta les escaliers quatre à quatre. Mais quand il monta, il entendit un bruit. Il ouvrit la porte de sa chambre

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et vit sa maman pleurer et son papa en train de la consoler. - Mais que vous arrive-t-il ? dit Rémi. Puis soudain la maman de Rémi se jeta sur lui et l'embrassa. - Mais où étais tu passé ? dit la mère de Rémi. Puis il expliqua tout ce qui s'était passé à ses parents. Et au lieu de le punir ils lui achetèrent un avion pour ses 18 ans. Ensuite Rémi fut pilote dans l'armée de l'air. Sophie devint une mécanicienne pour avions et Françoise entra dans une entreprise de formation de pilotes d'avions. Et souvent, tous les trois se donnent rendez-vous devant le hangar à avions .

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Fred le chanceux

Enzo Michelutti

Le crash

C'est l'histoire de Fred, un aviateur militaire Allemand de la patrouille d'Allemagne, qui teste un nouvel avion, le F117. C'est un bombardier furtif. La veille d'un meeting, au décollage, son F117 reste à cinquante mètres d'altitude. Fred ne se méfie pas. Ensuite tous les appareils électriques ne fonctionnent plus et l'avion accélère encore : mille kilomètres heure puis mille cinq-cent et enfin deux mille. Rendu à deux mille cent-soixante-quinze kilomètres heure, l'avion n'accélère plus mais redescend peu à peu. Au bout de deux mille deux-cents kilomètres heure, sa vitesse maximale, il est à trente-six mètres du sol. Il se rapproche de Paris, de la tour Eiffel. Cinq mirages décollent d’Orly pour intercepter le F117 de Fred, qui finit par s'écraser à soixante kilomètres de Lyon et à douze kilomètres de Saint-Etienne. Un des mirages finit par relever un bilan : « 14h27 le vendredi 7 juin 2006. Le F117

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avait à son bord 875 kg de bombes laser, 3 lanceurs de munitions tactiles, 3 missiles air-air, 3 missiles air-sol, une bombe nucléaire et un lanceur de plasma ». Les cinq mirages survolent le feu qu'ont provoqué les missiles air-air et air-sol. Le feu approche dangereusement de Saint-Etienne et un peu de Lyon. Les mirages finissent par retrouver le corps de Fred. Au bout de trois minutes ils repèrent aussi tous les missiles et les bombes sauf les missiles air-air et air-sol qui ont explosé. L'armée de l'air française et allemande pensent avoir perdu 75 millions d'euros parce qu’ils pensent que tous les missiles et toutes les bombes ont explosé. « Fred n'est pas mort », annoncent les pompiers. Il est aussitôt envoyé à l'hôpital de Saint-Étienne. L'hôpital

Fred se fait opérer d'urgence. Il a deux éclats d'obus dans la jambe et un bras cassé. Il est transféré à l'hôpital de Hambourg, sa ville natale. Comme l'hôpital est près de l'aérodrome, les patients on le droit de regarder le meeting de la fenêtre de leur chambre. Le lendemain, Fred rend visite à ses coéquipiers de patrouille et obtient un cadeau : « Fly simulator » version avion de chasse. Il les remercie et bavarde avec eux pendant deux longues heures. Le lendemain, guéri, il peut enfin quitter l'hôpital. Il part acheter un nouvel

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ordinateur pour que les graphismes soient mieux réussis. Il installe son jeu puis l'essaye. Il commence avec un petit avion puis avec un F117. Il essaye de refaire le décollage dans les même conditions que la dernière fois. Mais comme il n'a aucun indice sur l’origine de la panne, il pense que son avion était trop lourd et qu'il y a eu une coupure d'électricité. Mais ce n'est pas ça. Alors Fred croit à un sabotage. Il pense que quelqu'un a coupé les circuits électriques et la commande du réacteur. Mais ce n'est pas ça non plus. Il finit par se rendre compte que l'avion n'était pas très bien réglé. Alors il essaye sur son jeu et… Rapidement, il se rend à l'aérodrome et annonce à ses coéquipiers de patrouille la nouvelle. Ils essaient ce que leur avait dit leur copain. Et c'est bien ça, le moteur avait dû avoir une surchauffe qui a empêché le réacteur de monter. La coupure d'électricité était due à la surchauffe pour couronner le tout. Récompensé

Cinq semaines passent. Fred se fait enlever son plâtre et il doit se rendre à Paris pour une remise de prix. Il ne sait pas pourquoi. La remise des prix a lieu le 14 juillet sur les Champs Elysée. Fred s’y rend donc le jour de la fête nationale Française. Une surprise l'y attend : le Président de la République Française et le Chancelier d'Allemagne sont au rendez-vous. Fred obtient une médaille pour

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avoir survécu et avoir réussi à trouver d’où pouvait provenir la panne de son avion. Il y a eu le défilé des soldats, des chars et des avions. Il y a même eu un feu d'artifice puis enfin les patrouilles de France et d'Allemagne apparaissent. Les sept mirages 4 et les sept F117 exercent des figures. Juste après Fred dit : « Il faut toujours être prudent, à pied, en vélo, en voiture et dans tous les moyens de transport ». Un mois plus tard Fred essaye à nouveau de voler avec un petit avion de voltige puis avec un mirage et enfin avec un Alfa jet. Le 6 novembre 2006, c'est le meeting de Berlin et Fred y participera avec un mirage 2000. Il continuera sa carrière de pilote pendant encore de nombreuses années et, étant devenu célèbre, il gagnera beaucoup d'argent.

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St Jacques de la Lande

Tanguy Payoux

1ère Partie : 1939

À St Jacques, sur la piste de l’aéroport, Tom, Jean-Philippe et George s’entraînent en avion. Tom, vingt-deux ans, cheveux blonds, des yeux bleus, de taille moyenne, un gabarit moyen : pilote. Jean-Philippe, vingt-cinq ans, crâne rasé, des yeux marron, taille moyenne, gros gabarit : pilote. Et George, vingt et un ans, long cheveux blonds, les yeux verts, taille un peu en dessous de la moyenne, moyen gabarit : pilote en formation. La base de Saint-Jacques accueille dix-sept pilotes dont cinq pilotes mécaniciens. A Saint-Jacques, il y a l’école. D’un côté du bâtiment, l’espace filles et de l’autre l’espace garçons. Devant l’établissement, il y a des maisons qui continuent jusqu’à l’église. La plupart sont habitées par des employés de la base et leurs enfants vont à l’école.

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Retour à la base. Tom est en train de réviser son cours de vol. Il y a plusieurs nouveaux avions de chasse qui ont été achetés par la Base : Trois avions de chasse chargés en missiles et roquettes, quatre avions (G-416) de chasse sauf qu’ils ne sont chargés ni en roquettes ni en missiles mais ils ont des mitraillettes. Tom conduit des avions chargés en missiles et roquettes, George, lui, prend un avion de chasse G-416 (les avions pour les débutants). 2ème partie : Les pilotes en formation

Pour former des pilotes, il faut au moins six à sept mois et il ne peut pas y avoir plus de deux pilotes en formation dans les six à sept mois. Aussi, chaque journée d’entraînement ne prend pas moins de cinq heures de travail à terre et environ une heure trente en vol. Pendant l’année 1939, les Allemands étaient énervés après la défaite de la première guerre mondiale. Un fameux jour du 9 mai 1939, les Allemands attaquent le Nord-Pas de Calais, ils bombardent et attaquent avec des chars. Le 4 juillet, ils attaquent cette fois Paris et sont repoussés de justesse. Ils attaquent de plus en plus les pays voisins. Les français demandent à toutes les bases aériennes de prendre garde aux bombes.

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Heureusement pour la base, il y a environ deux mois à attendre avant les bombardements. Quand les allemands attaquent, ils le font avec des bombardiers et non des avions de chasse, du coup ils peuvent éviter le bombardement. Deux mois plus tard, les allemands sont en route. Les pilotes de St Jacques sont dix-neuf et maintenant ils sont prêts. Leur armement est maximum. Quand le bombardement commence, les allemands ont environ une bonne trentaine d’avions. Les avions de St Jacques de la Lande sont au contact des bombardiers. 3 2 1…… la bataille dans le ciel commence. Les Allemands étonnés sortent les mitrailleuses mais pas le temps, déjà cinq bombardiers se sont écrasés. Les bombardiers attaquent et éliminent trois avions de St Jacques. Les avions éliminent encore huit bombardiers mais Jean-Philippe est touché, il doit se poser. Les Allemands battent en retraite, mais le bombardement a détruit les trois-quarts de la base et des alentours. Il y a de nombreuses personnes qui ont péri. 3ème Partie Le personnel de la base qui n’a pas été blessé décide d’aller aider les habitants du bourg à déblayer les gravats des maisons bombardées.

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Des ambulances de la Croix Rouge avec à l’intérieur des infirmières s’occupent des morts et des blessés parmi la population. Trois ans plus tard, un nouveau bombardement arrive, mais cette fois, des deux cotés, il y a plus d’avions. Il y a environ cinquante avions Allemands et trente et un exactement du coté de St Jacques. Les Allemands ne préférant pas perdre d’autres bombardiers ont pris cinq avions de chasse. Les radios françaises indiquent que les Allemands attaqueront Saint-Jacques en bombardier et avec quelques avions de chasse. Les avions de chasse français sont mieux équipés que les avions de chasse allemands. Un par un, ils décollent de la piste dans le ciel au-dessus de Rennes. Les Allemands voient les avions de Saint-Jacques. Cette fois les Allemands sont prêts, le combat dans le ciel commence, les avions allemands descendent très vite sept avions de Saint-Jacques. Les Français ripostent et descendent dix bombardiers et quatre avions de chasse. Les bombardiers accélèrent et arrivent sur Saint-Jacques mais les avions ripostent et descendent treize bombardiers et le dernier avion de chasse allemands. Mais les Allemands ne se laissent pas faire et abattent neuf avions. Un pilote réussit à s’éjecter, il s’agit de George.

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Les Allemands ensuite battent en retraite mais ils ont détruit la moitié de l’école et une trentaine de maisons. Comme il y a trois ans, la Croix Rouge vient secourir les blessés. Tom va aider les secouristes et rencontre Carey. En la regardant, il tombe sous le charme. Carey a vingt-quatre ans, elle est brune, ses yeux sont verts. Carey demande à Tom : - Pourquoi aidez-vous ces personnes ? - Parce que je suis de la base, répond Tom. Et

vous, d’où êtes vous ? - Je suis de Saint-Jacques. Parce que, quand on

doit intervenir dans des lieux très éloignés, on va à l’aéroport.

Sur ces paroles, Tom réfléchit et dit : - Carey, si l’on partait tous les deux au Maroc pour

fuir la guerre ?

- Oui, je veux partir avec toi ! répond Carey.

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La Lettre

Loan Laurent Le 19 octobre 1945

Papa, maman

Je vous écris en ce jour car je suis parti en guerre l'année dernière et je voulais avoir de vos nouvelles. Dans cette lettre je tiens à vous raconter mon histoire. 1 Mai 1943 : Ce jour-là, je décollais de Londres vers l'Allemagne pour la bombarder. 5 Mai 1943 : En arrivant à la frontière, une balle perça mon moteur et plusieurs litres de kérosène coulèrent dans l'air. J'ai dû alors me poser en catastrophe près d'une ferme. Pendant ces secondes interminables j'ai fermé les yeux en priant, non pas pour être sauvé mais pour que la France gagne cette terrible guerre.

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6 Mai 1943 : J'ai été pendant plusieurs heures dans le coma. Un berger résistant avait entendu mon atterrissage. Il était présent à mon réveil. Il me regardait tristement et me dit qu'il avait appelé des médecins pour m'enlever des éclats de métal, et qu'ils arriveraient sous vingt-quatre heures. Mr. ROGMANOFF, le berger, m'hébergea alors dans sa bergerie. Cette nuit-là, je dormis avec ses moutons. Avant de repartir avec les médecins, il me donna de l'argent pour payer mon opération. 9 Mai 1943 : J'arrivai à l'hôpital de Copenhague, la capitale du Danemark. Plusieurs heures plus-tard, je me faisais opérer. J'avais un peu peur, mais tout s'est bien passé. 10 Mai 1943 : Je devais attendre une semaine avant d'avoir une autorisation de sortie. 21 Mai 1943 : Je sortis de cet hôpital. J’étais sauvé. 22 Mai 1943 : Je pris le bateau puis le car pour Varsovie. J'allais voir oncle François. Mais en arrivant, plus rien ! Le stress montait dans mes veines. 24 Mai 1943 : Alors que mon amour de piloter s'était envolé, je lus un article dans « Les Actus de Varso » :

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« Si vous voulez les sauver, contactez-nous au 19.63.24.06.99 ». Cet article était si intéressant que mes pensées me guidèrent vers l'aéroport. 31 Mai 1943 : Je peux enfin voler en toute liberté ! 2 Juin 1943 : J'avais trouvé une chambre chez l’habitant. Il fallut que j’attende mais un mois plus tard, je repartais pour ma destination d’origine : Londres. 5 Juillet 1943 : Je décollai à nouveau de Londres. La peur commençait à revenir alors que le brouillard était en train de descendre. 7 Juillet 1943 : J'arrivai près de l'Allemagne, bien décidé cette fois à ne pas me laisser faire. 8 Juillet 1943 : Berlin... Bbb...erlin. La capitale des nazis où oncle François avait dû être emmené. Je ne sais pas pourquoi mais, ce jour-là, je ne contournai pas l'Allemagne ; je ne contrôlais plus mes gestes. 12 Juillet 1943 : J'arrivai à Londres, la capitale des nobles. 13 Juillet 1943 : Je me promenais dans les rues, et tout le monde me regardait. Je pense que c'était mes vêtements. Mais un clochard, comme moi, se

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promener dans une ville pareille… Non ! Non ! il fallait que je parte d'ici. Oui ! 14 Juillet 1943 : C'est la fête de la Bastille, en France, mais pas le temps de penser à ça. 15 Juillet 1943 : Je décidai de partir en « Escose ». J'ai peut-être fait une erreur d'orthographe ! 18 Juillet 1943 : J'arrivai à Edinburgh où j'habite encore. La vie y est tranquille et paisible. 29 Juillet 1943 : J'emménageai dans un nouvel appartement. 3 Août 1943 : Je découvris une de mes boulangeries préférées : « The Scotland bread ».

Et voilà mon histoire !

Je vous aime !

Alexandre GRÖVESNEK

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Les deux pilotes

Théo Ronceray

Juin 1994. Deux pilotes se lancent un défi : faire le tour de la France en avion. Ils se disent qu'ils feront escale dans certaines villes pour goûter aux spécialités régionales et j'espère qu'ils ne feront pas escale à Strasbourg car je déteste les saucisses. Ah mince ! J'ai oublié de vous les présenter : l’un c'est Jean-Philipe, un mec simple, et l'autre c'est Mickael Jackson, non je vous assure, ce n’est pas le chanteur, c'est mon cousin ! Bon, je commence à raconter l'histoire sinon vous allez me gronder. Donc nos deux héros, Jean-Philippe et Mickael, s'apprêtent à commencer leur tour de France, en avion bien sûr, pas en vélo, ils sont trop flemmards pour ça. Ca y est, ils sont partis. Youpi ! Bon je me calme sinon je vais exploser. Nos deux héros sont déjà près de leur première escale (Quoi, déjà ?!?). Mince quel étourdi ! Je ne vous ai pas dit d'où ils sont partis ! Bon, je vais vous le dire, ils sont partis de Paris. Leur première escale est Rennes

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(Oh non, pas la galette saucisse !). Cette escale se passe très bien pour nos deux héros mais pas pour moi. Pendant qu'ils se régalaient, moi je ne faisais que vomir - mais je ne préfère pas tout raconter en détail. Leur deuxième escale à Nantes se passe très bien aussi car ce qu'ils goûtent est très bon. Je ne me souviens plus de quoi il s'agit mais ce n’est pas grave. A Bordeaux, lors de leur troisième escale, ils boivent beaucoup de vin et même tellement qu’ils deviennent saouls. Mais heureusement ce n'est pas trop grave, ils peuvent quand même piloter. Lors de leur quatrième escale à Marseille, tout se passe bien. Là encore je ne me souviens plus du nom, mais là aussi je crois que c'est bon ou bien mauvais, mais ce n’est pas très utile de le savoir. Pendant leur avant-dernière escale, à Lyon (pas l'animal, bien sûr), ils goûtent au saucisson (ouf, même si saucisson ressemble à saucisse, j'arriverai à le digérer). Maintenant nous voici à la dernière escale, à Strasbourg (Oh non ! Pas les saucisses !). Bon, cette fois-ci je vais tout vous raconter en détail. Donc Jean-Philipe et Mickael vont dans un restaurant pour goûter à la spécialité (les saucisses). Mickel goûte le premier, « paf » un pétard éclate ! Jean-Philipe, le mec simple, ne voit rien mais il entend. Il se dit que ce sont sûrement des gosses qui font des farces. Il goûte à son tour, « repaf », un autre pétard éclate ! Ils se regardent et crient en chœur : « chips ». Puis ils durent aller à l'hopital, pour soigner leurs blessures : plus de dent,

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cheveux arrachés et la liste est longue. Une semaine plus tard, guéris, ils repartent pour Paris. Bon, c'est fini mais on s'est quand même bien amusés les copains, non ? Allez, je leur dis un dernier mot : bravo !

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Un grand aviateur

Quentin Guinebault Le rêve

Tout a commencé un jour quand un garçon nommé Jackie est rentré en cm2. Il avait dix ans. Son maître, qui s’appelait Nicolas, dit :

- En mai nous irons à l’aéroport et à l’aéroclub en juin.

Toute l’année, 9 mois à peu près, Jackie y pensa. Arrivé en février, il ne restait plus qu’un mois. Il l’avait raconté à toute sa famille, à ses grand parents, ses parents, ses tantes, ses oncles et à sa sœur Pauline. Quand mai arriva, la classe alla à l’aéroport. Jackie vit plein d’avions, des airbus mais aussi des avions plus anciens. Axel, le directeur de l’aéroport, lui montra l’alphabet aéronautique (A = alpha, B = bravo, C =Charlie, D = delta, …). Puis il lui apprit des mots et des adjectifs sur l’aviation : internationale, nationale, aviation, aérogare, aéroclub.

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Jackie se disait que quand il aurait 15 ans, il ferait du planeur et qu’à 25 ans, il serait pilote. Il sera un pilote d’airbus ou de Boeing. Un jour, une aventure qu’il n’attendait pas arriva. Le rêve est brisé

Quand il était à l’aéroport, il avait vu un avion

s’écraser alors à ce moment précis le rêve se brisa. Il n’avait plus envie d’être aviateur. Il ne voulait pas que ça lui arrive. Il ne voulait pas mourir . Toute la classe était autour de l’avion mais il ne voyait rien parce qu’il y avait la police, les pompiers et les ambulances. Il a tout raconté à sa famille et surtout à ses parents. Son père, qui était aviateur, dit :

- Ca va passer. - Oouais, ouais, répondit sa sœur.

Et Jackie s’enfuit, désespéré par ce qu’ il avait vu. A l’école tout le monde en parlait, il y en avait même qui disaient qu’il était mort, mais Jackie savait que c’était pas vrai. En classe la maitresse disait qu’il était vivant. Il alla à l’hôpital pour voir sa grand-mère quand il vit l’aviateur. L’aviateur dit : - Tiens, c’est toi l’enfant qui voulait être aviateur. - Non, plus maintenant, le rêve est brisé ! répondit

Jackie. - Petit, ne perds pas espoir.

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- Vous avez raison, je vais essayer. - Bon, je dois y aller. Mais j’espère qu’on te

reverra au meeting, dit l’aviateur. Le meeting

Il le dit à ses parents. Ils voulurent bien qu’il aille à ce meeting. Arrivé sur place, Jackie courait partout. Il vit plein d’avions. Les patrouilles, Française, Italienne, Espagnole et Américaine. Il vit aussi des maquettes d’avions, comme celles de Lindbergh, de Saint-Exupéry, de Louis Blériot et de Roland Garros. Comme son père était aviateur, il put visiter la tour de contrôle. De là-haut on voyait toute la piste, l’aéroclub, l’aérogare, le parking et tous les avions. Après il redescendit et il observa les loopings, les vols acrobatiques. Il vit l’armée française et l’aéronautique navale des porte-avions et des bombardiers. Il apprit les métiers de l’aéroport : agent de parking, pilote, copilote, stewards et douanier. Il vit des avions décoller, atterrir et le survoler. Il vit un film sur les dirigeables et sur les Airbus. Ce jour là, il fit son baptême de l’air et, vu qu’il habitait à Bordeaux, il vit la mer. Avec l’hydravion, il amerrit sur l’océan pour enfin revenir au meeting. Puis c’était fini. Les retrouvailles

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Un jour, Jackie revit l’aviateur mais celui-ci n’était plus aviateur. Au début, il ne l’avait pas reconnu et un peu plus tard si. Ils se parlèrent longtemps. Jackie raconta qu’il allait bientôt être aviateur. L’aviateur lui dit que c’était bien. Ensuite il lui donna son avion qui était d’un beau rouge avec écrit « Airbus » dessus. Cet avion lui avait servi dans plein d’aventures et de mésaventures et il était fier de le lui donner.

Jackie raconta à ses parents qu’il avait revu l’aviateur et qu’il lui avait donné son avion. Le lendemain, il alla avec son père à l’aéroport voir l’avion. A côté il y avait un cadeau : c’était une maquette de l’aéroport de Bordeaux. Un grand aviateur Dans le futur Jackie devint un grand aviateur comme Saint-exupéry, Lindbergh et Roland Garros.

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Photographies

Ces photos ont été réalisées à partir d’appareils photographiques fabriqués en carton par

les élèves (les sténopés). Les tirages ont été réalisés dans des

laboratoires aménagés sur place. Elles illustrent une vision du « Ciel dans la

ville » dans deux quartiers de Saint-Jacques de la Lande.

Ensuite, les élèves ont mis en poèmes certaines photographies.

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L’église de Saint-Jacques Bourg

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Devant le 197a, le blockhaus derrière l’école Eugène Pottier

Une silhouette qui fait peur Des enfants adossés au malheur Dans ce monde sans couleur Voici les alentours du bunker

Nous sommes seules toutes les trois Un fantôme sur les côtés dédoublé

Nous suit depuis des mois Je me rappelle ce jour comme si c’était hier

Sur la 197 allée des chênes verts Dans cette clairière, il y avait beaucoup de lumière

Et sur cette image, je me voyais comme dans un mirage

Je vois trois copines Elles sourient toutes

Mais un fantôme gâche la photo Des amies au blockhaus

Rêver de voler


Une autre à l’écart Regardant le jour grandir

Mais chaque jour guettant la nature Elles aspirent à l’air pur

Nous sommes contre un mur L’objectif nous regarde

La photo est en train de s’enregistrer Mais il y a quelqu’un sur le côté

Elle ne veut pas s’en aller Je voulais lui crier de partir Mais je ne pouvais pas lui dire J’étais complètement tétanisée

Maintenant tout est fini Nous pouvons nous enfuir

J’espère que nous reviendrons bientôt Impressionner cette photo

Sous le blockhaus

Les trois filles sont sombres Mais le numéro reste

Eclairé par le ciel lumineux

Je vois un triste paysage Plein d’herbes et d’arbres Ce paysage est sombre Il y a une silhouette

C’est une fille !

Un esprit règne Mais personne ne le sait Nous voulons la paix

Mais personne ne le sait

Rêver de voler


Le porche près des jardins suspendus de Camille Claudel

Le secret de ce chemin Est simplement urbain. Le danger de cette allée Désertique et ensablée

N'est pas simple mais enlisé Je ne peux plus penser

A ce paradis de plus en plus éloigné.

Une allée centrée pour un bâtiment noir abimé et détruit par le vent.

Une cour discrète, sombre et vide pour m'emprisonner, infiniment.

Rêver de voler


Cette allée ensoleillée Me rappelle la liberté

Derrière, peut-être ... l'océan. Une maison enfermée Qui ne peut pas rêver Une végétation ensablée

Pour une allée emprisonnée.

Un chemin solitaire parmi cette végétation libre. Un vide comme naturel autour d'une entrée ensablée. Derrière une construction oubliée, simplement effacée.

Dans le trou noir, un peu ensoleillé, je marchai dans l'allée. Nous rêvions que le noir se calme, s'envole, se vide.

Tout est triste et maussade Désertique et ensablé Je suis désespérée

Dans ce chemin grisé.

Dans cet endroit triste et maussade La végétation des immeubles est attristée, enfermée

L'ennui vient de la solitude des personnes.

Des immeubles immobiles De la végétation naturelle

Une allée ensablée Une entrée ensoleillée

Je suis enfermé emprisonné

Endiablé attristé.

Rêver de voler


Le vent transparent et vif S'envole dans le trou noir

Du bâtiment grisé.

Le ciel dans sa tristesse A des nuages vifs

Dans l'allée ensoleillée Nous encadrons les arbres Et nous transportons le ciel

Transformé et grisé Au paradis.

Une végétation immobile pensait invariablement

à un chemin vide.

Je me sens désespérée Sombre et immobile Derrière ma fenêtre Un peu ensoleillée

Je me suis abandonnée Lentement et tristement.

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Dans la cour du collège

Un enfant timide Qui sourit tendrement

Il regarde le ciel Et s’imagine... Etudier.

Dans le collège, tout était sombre On voyait des collégiens

Assis sur un muret Ils étaient seuls Et tout était vide

Sur cette allée, je me demande où sont passés les autres élèves Nous sommes trois à regarder et à imaginer

Malheureusement que nous sommes seuls dans le noir.

Rêver de voler


Dans cette allée Vide et transformée Des arbres dénudés

Des trottoirs déchirés Il ne reste que cette image Encadrée dans ce musée.

Sur les carrés du collège C’est triste et ennuyant

J’imagine un collège lumineux Qui sourit.

Des collégiens d’un regard mou Attendent seuls sur le trottoir

Ils sont peut-être en train d’étudier En train d’imaginer

Ou en train de penser Espérons que leur journée sera ensoleillée Pour que leurs visages remplis de tristesse

Soit plein de joie et d’amusement.

Un enfant joue, seul Il se pose et il étudie

Au loin, des collégiens parlent Il les regarde et se demande des tas de choses

Pourquoi suis-je là ? Pourquoi je n’irais pas avec eux ? Ils ne m’aiment peut-être pas !

Je pars, et la prochaine fois je ne subirais pas ça !

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Les immeubles face au collège

Un paysage mort que je laisse m'envahir

La peur entre mes bras qui ne cesse ne m'assombrir Des rafales de vent qui m'empêchent de m'inspirer

Laissant mon esprit sans couleur et enfermé Ce terrain vague est infranchissable

Même dans l'irréel, on est dans l'impossible.

Un oiseau inexistant Qui est inconscient

Je lui parle doucement Pour le revoir dans longtemps

Je le revois là-bas Il me parle tout bas

Je me demande alors : - D'où vient-il ?

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Une ville où se trouve des places vides et malaimées Des places inhabitées d’une tristesse intouchable

Je pense à pleurer, défiguré par une mort remplie de graviers sombres.

Un immeuble de béton inhabité Un arbre spacieux et malaimé Un ciel de nuages décolorés Tout est triste et délaissé.

Sur cette place inhabitée Je n'arrive pas à prendre place Je me demande où est passé

toute cette végétation.

Ce paysage qui a deux immeubles avec des fenêtres sombres Est mort et vide.

Le terrain sans joie Que les hommes ont dérobé à la nature

Me rappelle la mort La mort qui guide mon chemin

La mort qui a détruit mon royaume Un désert sombre qui est sinistre sans bruit ni personne Des arbres nus et seuls où aucun oiseau ne s'installe Un immeuble bétonné, insolite où je n'habite pas.

Les feuilles des arbres sont imaginées, irréelles

Ecrasées sur la terre qui disparait peu à peu à la verticale La tige qui est défigurée dans l'herbe est polluée à la mort Elle attend dans la nature les rafales de lumière du soleil.

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L’allée aux pots

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L’Aire Libre

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Mise au vert dans la cour du collège

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Le vieux four

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Bandes dessinées

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Séverine Grasland

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Hannah Tabarnoust

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Carla Meunier

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Valentine Chirokoff

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Lewis Neveu

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Emmie Gabillard

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Vyria Cagnart

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Loan Laurent

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Ma maman hôtesse de l'air

Eva Guibert

Un jour je suis née. Un jour mon père m'a quittée. Et ma mère m'a élevée seule.

Quand j'avais quatre ans ma mère passa un

baptême de l'air. Elle adorait voler dans les airs...... Comme elle ne travaillait pas, elle reprit ses études pour devenir hôtesse de l'air, en me laissant seule chez ma nourrice. Elle fit des études pendant deux ans à Paris. En passant de la crèche à la maternelle, garderie, maternelle, garderie... J'en avais marre, je voulais voir ma maman ! ! ! !

Quand ses études furent achevées, exactement le 31 mai 1991 alors que j'avais six ans, ma maman m'a parlé comme le jour où pépé Noé est mort, c'est à dire strictement. Elle me demanda si je voulais voyager, goûter au plaisir de découvrir les pays du monde entier. Moi bien sûr j'ai dit « oui » mais en fille modèle je lui demandai :

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- Mais et mes devoirs là dedans ? - Tu prendras des cours par correspondance,

m’expliqua t-elle . - Oh alors oui ! répondis-je avec enthousiasme. Trois mois plus tard je quittai les cours...

« L'avion St Jacques-Brest va décoller dans

dix minutes. »

C'était la première fois que j'allais dans un aéroport. Une dame parlait dans un micro, il y avait la sécurité parking, les hôtesses au sol et plein d'autres métiers très intéressants...

Une hôtesse au sol a pesé notre valise puis l’a faite rouler sur un tapis avant de la mettre dans un tunnel noir. Ma maman m'a présentée au pilote et copilote avant de passer sous un portique. Les agents de sûreté m'ont pris mon sac et ma ceinture, j'étais heureuse comme ma mère. Et voici mon premier vol ! ! ! !

Dans l'avion, ma maman m'a installée à côté d'elle, dans des sièges très bizarres comparés à ceux des autres passagers, qui étaient assis dans des sièges en cuir. Ma maman m'a dit qu'on servait les premières classes. Quand l'avion eut décollé, ma maman et sa copine firent des gestes avec les mains

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pour indiquer les sorties de secours, comment mettre les gilets de sauvetage et les masques à oxygène. Elle expliquait tout ça en français et en anglais. Décidément j'adore l'avion... 18 ans plus tard...

Je savais tous les gestes, les langues, les

paroles et même servir les jus de fruits sans les renverser sur les passagers. J'adorais mon métier.

Un jour… Je n'aurais pas dû laisser seule ma maman mais je voulais rester à New York avec mon copain et ce jour là je m'en suis voulue... Dès mon retour, je suis allée pleurer sur la tombe de mon père et je lui ai parlé en disant :

- Maintenant tu es content, tu es avec maman ! Je pleurais et criais de douleur sur la tombe.

Avant de rentrer chez moi, je passai à l'aéroport pour annoncer le décès de ma mère. En passant devant la cafétéria de l'aérogare, je vis une femme de dos qui lui ressemblait étrangement. Elle était en train de boire un café. Je m'approchai, elle se retourna : c'était ma maman. Nous tombâmes dans les bras l'une et l'autre et c'est là qu'elle me dit : - Je ne pourrais jamais partir sans toi.

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On s'est mises à rire. La vie était à nouveau très belle ! On est rentrées tranquillement à la maison ensemble... - Allez, fonce au lit maintenant ! Il est tard.

Demain je continuerai de te raconter les histoires de mamie Colette. Bonne nuit mon ange volant...

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L’héritage

Maël Perrier

Je n’en croyais pas mes yeux ! A moi, Cornelius Cash, pauvre fermier, on offrait un avion, hérité d’un oncle inconnu à ce jour. Un véritable avion de ligne, d’une contenance de vingt passagers, aux ailes noires et rouges, au fuselage gris et à l’intérieur jaune ! Je n’en avais pas l’usage ; je ne savais pas quoi en faire. Pour oublier mes problèmes j’allais me balader en ville. Je vis une affiche qui promettait « Apprenez à piloter pour seulement 100 francs » ; ça tombait bien, hier j’avais vendu la récolte de la saison et j’avais cent-vingt francs en poche. J’ai couru à toute vitesse vers le bureau d’inscription, le ventre noué par le stress. J’y étais ! On me dit que j’ai de la chance, que les pilotes sont rares en 2008 dans les petites compagnies. Le formateur pose des questions sur l’aviation :

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- En quelle année le premier avion a-t-il volé ? Qu’est-ce qu’un biplan ?

Je ne savais rien de tout ça. Je suis rentré chez moi déprimé. Minable ! Je me mis à étudier tout ce que je pouvais trouver sur le sujet et j’y retournai. Finalement on m’accepta et on m’apprit à piloter. Je revendis la ferme à un voisin et cherchai du travail. Dans un journal spécialisé, je tombai sur une annonce « cherche pilote ». Je fonçai et on me prit sur le champ parce que j’avais mon propre avion.

Aujourd’hui c’était le départ pour un trajet d’essai, seul dans l’avion. Le grand voyage commençait. Je décollais en direction de San Diego. Tout se passait bien jusqu’à ce que l’aile prenne feu. L’altimètre descendit à toute vitesse. Je réussis à me poser en catastrophe, à éteindre le feu et à réparer. Je décidais alors de repartir. Je survolais maintenant l’océan. Nouveau problème ; sans doute à cause du détour que j’avais dû faire, la jauge d’essence baissait dangereusement. Le réservoir était à sec. J’allais tomber dans la mer. J’avais juste le temps de sauter avec le parachute de secours. Je vis l’avion s’écraser sur une île. Je gagnais l’île à la nage et je l’explorais. Je ne voyais personne. Il y régnait un silence de mort. Je récupérais des morceaux de l’avion et j’en fis un radeau, mais il coula !

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Je refis le tour de l’île, cherchant une idée quand je tombai soudain sur un autre naufragé. C’était un mécanicien qui s’était « scratché » lui aussi sur cette île. Après de longues discussions, nous nous mîmes d’accord pour récupérer des pièces sur l’épave de son avion et les mettre sur le mien pour essayer de le reconstituer. Finalement nous réussîmes. Nous repartîmes vers Los Angeles, la ville de la côte la plus proche pour finir les réparations. Des gangs tentèrent de nous capturer pour voler l’avion mais nous réussîmes à nous échapper et à repartir. Nous dûmes faire une nouvelle escale à Londres à cause d’un bruit dans la soute. Là, nous découvrîmes, derrière un panneau, un manuscrit, intitulé « Mon avion , par Saladin Cash ». C’était le nom de mon oncle. En lisant le récit de ses aventures je découvris que c’était un héros. Il était sûr que son avion était indestructible, qu’il le protégerait et que ce serait grâce à lui qu’il pourrait se sortir de toutes ces histoires.

Lorsque j’eus fini le livre, je le remis soigneusement en place en faisant, dans ma tête, la promesse à mon oncle de toujours garder son avion. Je rentrai à la maison, mais je savais que je volerais bientôt vers de nouvelles aventures.

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Histoire d’aviation

Quentin Bigot Ca y est, enfin. Je viens d’obtenir le droit de

voler pour la première fois de ma vie au-dessus du continent asiatique. Je n’ai pas de mots pour décrire ma joie, ce bonheur qui vient vers moi d’un seul coup m’enchante. Mais d’abord, il faut que je vous résume mon histoire. Nous sommes le 19 février, moi Tod Winslaw, je m’apprête à partir pour sauver mon ami, perdu au fin fond de l’Asie. Ce même ami devait partir pour une expédition d’une semaine : aujourd’hui ça fait six mois que je l’attends.

Au début je me suis dit que ce n’était rien

mais j’ai commencé à m’inquiéter dès lors que je ne reçus aucune lettre de sa part. Et aujourd’hui je vais partir pour aller le sauver ; enfin, s’il est en danger. Rien est sûr, mais en attendant je vais dormir car j’ai besoin de repos avant mon départ.

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Premier jour de voyage

le jour de mon départ je suis tout excité mais

j’ai aussi peur : peur de m’écraser et de mourir dans d’atroces souffrances mais je dois y aller, pour mon ami. Je me rends à l’aéroport, je pars pour 3 jour, je pense que ce sera suffisant avec les nouvelles technologies. Je fais les quelques réglages avant le départ et je mets le moteur en route. Mon avion glisse sur la piste et prend son envol dans le ciel, plein de nuages ce jour là. Je roule très vite, 200 km/h à une très bonne altitude de 300m. Je reçois les infos météorologique de l’aéroport de Roissy : « De parfaites conditions pour voler tranquillement » . Je vole à la lisière de l’Asie et je décide de m’arrêter pour dormir car la nuit commence à tomber. Je me pose difficilement car je n’ai pas trouvé de pistes assez longues pour mon avion. Je marche quelques heures pour trouver un village et lui demander l’asile pour la nuit. C’est ce que je fis et le chef du village m’accueillit comme son fils.

Deuxième jour du voyage

Je suis reparti pour des heures de voyages, la température est plus chaude 39° et dans l’avion il fait aussi chaud que dans un four. Maintenant je n’ai plus peur : je suis devenu confiant mais en avion ; il ne faut pas trop être confiant car ça pourrait nous

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jouer des tours. Je continu ma route à 15° vers l’est. Il me reste encore quelques kilomètres avant de pouvoir aller enquêter dans le village de la disparition de mon ami. La chaleur me donne tellement mal à la tête que j’ai failli me poser pour prendre un aspirine mais je prends mon courage à deux mains et je réussis à aller jusqu’au village qui avait accueilli mon copain. Rendu là-bas, je prends tout de suite un aspirine et je commence à enquêter. Apparemment, il serait reparti il y a deux jours vers le sud pour enquêter dans une pyramide abandonnée. C’est apparemment là que se fit sa disparition. Serait-ce un accident d’avion, ou un accident dans cette pyramide de malheur ? Bref, cela ne m’explique pas pourquoi il ne m’écrivait pas. Demain je pars en direction de cette pyramide pour continuer à avoir espoir de retrouver enfin un jour mon ami. Je crois que mon voyage durera plus longtemps que prévu. Troisième jour du voyage

Me voila près pour moi aussi mener une expédition. Sauf que celle-ci je n’aurais jamais voulu la faire. Il est 11h00, je quitte le village de résidence de mon ami pour partir en direction de la pyramide. Je vole quelques minutes lorsque j’aperçois une sorte de fumée venant de la forêt que je survolais. Je tente de me poser mais je ne trouve une piste qu’à cinquante mètres plus loin. J’accours

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pour voir ce que c’est : Il s’agit mon ami, là allongé sur le sol, à bout de souffle. Je lui demande : « Homer, ça va ? - Tod…,c’est bien toi ? - Oui, c’est bien moi ! - Mais tu arrives trop tard, je vais mourir et tu ne

pourras rien faire. - Ne dis pas ça, tu sais très bien que tu vas t’en

sortir. - Non, cette fois ci je n’aurais pas la chance de

survivre. Ca fait déjà deux jours que je suis à terre, sans rien manger et à bout de force : C’est la fin pour moi !

- Homer noooooooooon !!!! >>

Je n’ai rien pu faire ce jour là. Je suis allé prévenir son village de sa mort et je suis rentré tranquillement chez moi, en pleurant son absence. Je ne pus m’empêcher de dire que s’il n’avait pas pris l’avion ce jour là, il serait encore en vie, à mes côtés.

Aujourd’hui j’ai décidé de suivre sa voie :

L’archéologie. En l’honneur de mon meilleur ami : HOMER.

Rêver de voler


Pourquoi ai-je pris un planeur ?

Marie Gastineau Aujourd’hui, c’est la première fois ! Je vais

enfin monter dans un planeur. C’était mon rêve et il se réalise. Voler dans les airs sans moteur, ça va être génial ! Là, on va partir. Je monte, je mets ma ceinture, je regarde le paysage et ça y est, on décolle. Nous sommes déjà à cent pieds, c’est génial, l’avion va bientôt nous lâcher 3, 2, 1, 0 … Et voilà, il nous a lâché ! C’est étrange, il n’y a pas de bruit, nous entendons les mouches voler. Et là, BAM ! Un gros bruit débarque et nous commençons à descendre, descendre, nous perdons de l’altitude et boum, on s’explose sur le sol. Une aile est en feu et juste à coté de nous, boum ! Un avion s’explose au sol. Nous nous sommes sans doute accrochés puisque lui aussi a une aile en feu. Comme le feu commence à se propager dans l’avion, je sors du planeur et autour, il n’y a que des arbres, des arbres et de l’eau. Rien d’autre ! C’est étrange, il n’y a pas d’autre passager, ni même les pilotes. Je suis le seul survivant. Apparemment, je suis sur une île. Il y a

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plein d’arbres qui ensemble forment une forêt. C’est très joli, mais je ne sais pas où je suis, quelle île ? Je crois que je vais mourir sans eau potable ni nourriture. Il y a peut-être des fruits, mais pour combien de temps ? Je ne survivrai pas. Au secours ! Aidez- moi ! Je ne sais même pas pourquoi je crie, personne ne m’entend mais bon, ça me soulage tellement, que même s’il n’y a personne, je m’en contre fiche. Pourquoi ai-je pris un planeur aujourd’hui ? Si je n’en n’avais pas pris je ne serais pas là aujourd’hui. C’est la première fois que je prends un planeur et comme par hasard, il s’écrase. Je n’ai pas de chance dans ma vie mais là, c’est le bouquet ! Soudain j’entends : « Ouh, ouh, il y a quelqu’un ? ». Je me retourne et je vois une personne toute sale avec des habits déchirés. Elle me dit : - Bonjour ! Que viens-tu faire dans cet endroit

sinistre ? - Je pilotais un planeur quand un avion nous a

percuté. Nous nous sommes donc écrasés sur le sol et apparemment, je suis le seul survivant. Qui es-tu ? Et pourquoi es-tu là ?

- Moi, je suis Antoine de Saint-Exupéry ! Tu n’as jamais entendu parler de moi ? Je suis assez célèbre, j’ai disparu pendant la seconde guerre mondiale. Mon avion s’est écrasé et après, personne ne m’a retrouvé donc ils m’ont déclaré disparu alors que comme tu le vois, j’étais sur cette île.

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- Je n’ai jamais entendu parler de toi. Et sinon, il y a de quoi manger ?

- Oui bien sûr, pas pour trente mille personnes, mais il y a de quoi boire et manger. Par contre ce n’est peut-être pas de l’eau potable, mais comme je ne suis pas encore mort, je pense qu’elle est buvable.

- D’accord, alors si tu le veux bien je m’installerai avec toi. Si tu as un logement et de la place pour moi.

- Ca te convient ? - Et si tu veux le matin j’irais chercher le petit

déjeuner dans les avions, il devrait y rester de la nourriture, ça te va ?

- Oui, parfaitement. Deux mois plus tard, des touristes en bateau

passèrent pour visiter l’île et virent le seul rescapé du planeur. Il rentra chez lui, retrouva sa famille, raconta son histoire avec Antoine de Saint-Exupéry. Mais sa famille ne le crut pas et l’envoya donc en hôpital psychiatrique.

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Un rêve qui se termine en drame

Steven Yang Apprentissage pour devenir pilote d’avion

Il était une fois une petite fille d’origine coréenne, âgée de neuf ans. Elle se prénommait May-Lee, et avait un rêve en tête. Ce rêve était d’apprendre à piloter des avions. En fait, cette ambition lui a été transmise par son grand-père, Hong-Ten, qui était à l’époque lui-même pilote d’avion.

Alors, un beau jour d’été, May-Lee demanda à son grand-père si celui-ci pouvait lui apprendre à piloter. Sans aucun problème, il accepta de suite et emmena donc sa petite fille à l’aéroclub de Saint-Jacques de la Lande. Arrivés là-bas, May-Lee était si excitée et si impatiente de monter dans l’avion qu’elle sautillait dans tous les sens. En effet, son rêve allait devenir réalité.

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Une fois installés dans l’avion et prêts à décoller, Hong-Ten dit à la tour : « Ici, Fox Charlie Fox Delta, est-ce que vous me recevez ? Puis-je décoller ? » Et la tour lui répondit : « Oui, Fox Charlie Fox Delta, vous pouvez décoller. »

Ainsi, Hong-Ten et May-Lee s’en allèrent dans le ciel et volèrent comme des oiseaux. La petite fille était si joyeuse, son visage s’illuminait quand son papy faisait des loopings car cela lui donnait plein de sensations. Alors, elle demanda à son grand-père : « dis papy, est-ce que je peux faire aussi des loopings ? Peux-tu m’apprendre ? » Et celui-ci lui répondit : « Oui bien sûr, sans problème ! Regarde bien comment je fais et suis-moi ! » Au bout d’une demi-heure d’apprentissage, ils redescendirent sur terre et May-Lee était très satisfaite de cette première expérience.

Alors, le lendemain matin, sans l’autorisation de Hong-Ten, elle est partie toute seule à l’aéroclub pour voler de nouveau. Et quand le grand-père s’est réveillé, plus de May-Lee à l’horizon ! Mais où était-elle passée ?... Le voyage de la mort

En fait, la première initiation au pilotage

d’avion s’est tellement bien déroulée que May-Lee a

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voulu recommencer toute seule cette fois-ci sans l’aide de personne. Alors, sans l’accord de quiconque, la petite fille est montée dans l’avion et est partie ainsi faire des loopings dans le ciel. Elle était vraiment inconsciente du danger qu’elle encourait. Cependant, elle était si heureuse de pouvoir piloter toute seule cet engin.

Mais May-Lee n’a pas de chance car ce jour-là, il ne faisait pas beau. En effet, la météo annonçait du brouillard et de la tempête. Alors, après s’être bien amusée en l’air, la petite fille décida d’atterrir mais comme le vent soufflait très fort et qu’elle n’y voyait rien à cause du brouillard, elle a alors perdu le contrôle de l’avion et ne pouvait plus rien faire par manque d’expérience.

Alors, l’avion a fini par s’écraser en pleine nature et la pauvre May-Lee est décédée sur le coup. Mais comment Hong-Ten va-t-il réagir en apprenant cette mauvaise nouvelle et que va-t-il devenir sans sa petite fille ?... Hong-Ten et May-Lee se retrouvent dans le ciel pour la vie

Quand l’accident s’est produit, Hong-Ten ne savait toujours pas où était passée May-Lee. Il la chercha partout dans la maison, ensuite, dans le

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jardin mais pas de May-Lee en vue. Alors, il commença à s’inquiéter et à se demander où elle pouvait bien être. Donc, Il décida de partir à sa recherche.

D’abord, il se rendit chez la meilleure copine de May-Lee mais celle-ci ne l’avait pas vu. Alors, Hong-Ten se souvint subitement que la première expérience dans l’avion avait plu à sa petite fille et donc qu’elle pouvait être retournée à l’aéroclub. Il décida donc d’aller là-bas pour voir si elle y était et en arrivant sur place, l’avion qu’il avait piloté avec May-Lee un jour auparavant avait disparu. Alors, tout affolé, il s’imaginait le pire. Il est parti demander des renseignements à la tour de contrôle mais personne n’avait remarqué quoi que ce soit.

Alors, désespéré, Hong-Ten rentra à la maison. Avant d’avertir la police de la disparition de sa petite fille, il alluma la télévision et là par hasard, il tomba sur une nouvelle atroce. Il apprit par les informations qu’un avion s’était écrasé il y eut quelques heures aux alentours de Saint-Jacques de la Lande et que le corps d’un enfant avait été retrouvé carbonisé. Il fit alors le rapprochement avec May-Lee et là, le pauvre Hong-Ten fit une crise cardiaque et mourut sur le coup.

Quelle tragédie !... Le grand-père et la petite fille se retrouvèrent ainsi ensemble dans le ciel pour toujours.

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Mon rêve enfin réalisé

Neïla Djermoune

Aujourd'hui, Nathan est allé avec sa famille

visiter la Tour. Arrivé tout en haut, au sommet de la tour Eiffel, Nathan s'est approché de la vitre et il a regardé en bas. Il a eu très peur, ses genoux tremblaient et il s'est senti tomber, tomber... tout en bas. Nathan a le vertige depuis l’âge de cinq ans quand il est monté en avion avec son oncle Frédéric et qu’ils ont eu un accident. Depuis ce jour il n’ose plus aller en hauteur. Quand il va en hauteur il repense à cet accident et pourtant il rêve d'être pilote. Nathan avait une statuette envoyée par son oncle Frédéric du Brésil. Il décida de l'appeler « Fonceur ». Dans un livret qui était accroché à la statuette, était écrit : « L'homme qui avait inspiré cette statuette avait piloté des avions de guerre en Europe pendant la seconde guerre mondiale et qu’il a battu sept avions Allemands, quatre au-dessus du territoire Français et trois en Allemagne ». Nathan commença à parler avec Fonceur. - Ecoute, j'ai vu des trucs durs aujourd'hui. J'ai

eu la peur de ma vie quand je me suis rendu

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compte à quel point j'étais haut quand j'étais au sommet de la tour Eiffel.

- Mon bonhomme, si on a un tant soit peu de jugeote, on a forcement le vertige, c'est naturel, répondit Fonceur .

- Comment je vais pouvoir devenir pilote d'avion si j'ai le vertige ? demanda Nathan.

- Tu n'as que neuf ans, dit Fonceur. Peut-être que ça te passera ? Les semaines de juillet passèrent lentement et

Nathan finit par oublier la tour Eiffel. Un jour, au mois d'aout Nathan partit avec son ami Bruno visiter le nouveau bureau de son père. La montée en ascenseur lui rappela la tour Eiffel. Arrivé tout en haut Nathan regarda en bas et il se sentit tomber, tomber... Il recula vivement. Quand il est arriva à la maison il trouva une lettre de son oncle Frédéric qui disait : « je t'attends au grand champ de l'allée 197a, une surprise t-y attend ».

Le lendemain Nathan se réveilla tôt, il alla avec son ami Bruno au rendez-vous donné par son oncle. Arrivé au champ il trouva son oncle qui parlait avec un vieille homme et à coté se trouvait un grand cockpit. Après les retrouvailles son oncle lui demanda s’il voulait faire un tour : - Vraiment, répondit Nathan . - Oui pourquoi pas ? Après cette aventure Nathan n'oubliera jamais ce jour...

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Mon premier vol

Jason Lodens

Il était minuit, la cloche sonnait. Ce jour là je

revenais de la Fac et nous avions fait un cours sur L'Aviation. Ce cours m'avait beaucoup marqué, car j'ai toujours voulu faire aviateur. Mais ma mère n'a jamais voulu que je le fasse comme si c'était trop dangereux ! Mais moi je savais que ce métier était fait pour moi.

Le lendemain même je vis un avion dans le ciel. Cet avion splendide me rappela mon père qui était champion de France en concours de looping. Mais hélas mon père partit en voyage près du Congo et ne revint pas. Depuis ce jour, personne ne sait où il se trouve, mais moi, je le retrouverais... Une semaine plus tard...

Ce jour là en sortant de la Fac je vis un facteur déposer une lettre dans ma boite, ce qui est très rare. J'arrivai en marchant jusqu'à chez moi, puis, en rentrant ma mère me cria :

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« Tomis ! Tu as du courrier ! - Hein ? Quoi ? Moi ? Du courrier ? - Ben oui tu crois que je mens ? - Non maman pas du tout, j'arrive.

Sur la lettre je lus « De l'Aéroport de Paris dessiné à Tomis Seras ». A ce moment là je fis un bond de joie comme je n'en avais jamais fait. La lettre me disait que j'étais invité à un test de pilote d'avion. Je partis pour un voyage jusqu'à Paris la Capitale de l'Aviation. J'arrivai à destination après une heure de voyage. Enfin arrivé je regardai tout autour de moi, c'était comme un rêve. Je marchai jusqu'à ma destination, l'Aéroport ! Je vis beaucoup de gens partir, courir, s'amuser, mais je ne vis personne m'attendre. Je marchais, déçu, puis tout d'un coup, une personne cria : - Tomis ? Tomis Seras ? Je suis Joël Mituis, je

suis votre destinataire. Je vous ai vu pendant votre cours vous aviez l'air intéressé, c'est vrai, non ?

- Ben oui, bien sur, je rêve de voler dans les airs. Mais je sais que ce ne sera jamais possible...

- Et bien figure toi que si c'est possible car tu as un très grand potentiel .

Je le regardais avec attention pendant qu'il m'amenait chez lui pour me loger. Quelques mois plus tard j'étais un professionnel... Je décidais de me présenter au Grand Concours

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celui que mon père avait gagné. C'était un hommage à lui rendre. Je m’inscrivis sous le nom de « Voltigeur ». Je fis des loopings, des voltiges et plein d'autres choses effroyables mais en même temps extraordinaires. Je gagnai le concours et je donnai l'argent à ma mère.

Ce premier vol m'a comment vous dire... C'est

comme si voler dans un rêve !

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L'aviation et l'action

Lewis Neveu La disparition de Harry

Tout commence ainsi, un jeune garçon nommé

Harry Golf allait recevoir son diplôme d'aviateur. C’est son père Eric Golf qui les donnait. Ils les appelaient par leurs prénoms : - Benjamin Bingo. Dix minutes plus tard il dit : - Jean Belhoudi. Harry son fils dit à Eric : - Mais pourquoi tu m'as donné le diplôme ? - Parce que tu ne sais pas piloter. - Si je sais, c'est juste que je ne sais pas atterrir. - Oui, mais c'est le plus important d'atterrir,

c'est pour toi que je fais ça, ce n’est pas pour t'embêter, mais si tu fais un voyage tu t'entraîneras en te posant.

Harry dit en chuchotant : - Tu vas voir, je vais me venger.

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Un soir, il prit l'avion de son ami Charly Grogogo, il dit : - Salut mec ! j'ai besoin de ton avion, peux-tu me

le prêter ? - Pas de problème, par contre tu me le rends

mardi, sinon je dis tout à ton père. Il lui donna les clefs et Harry pilota l'avion.

Le décollage était un petit peu brutal mais il s'y fait, il alla dans les nuages, il vit un aigle, il voulut atterrir mais il perdit le contrôle du véhicule. Mais il reprit rapidement le contrôle pour la première fois. Mais l'aigle qu'il avait vu était très méchant. Il tapa dans l'avion, et cassa les vitres. Harry manqua d’oxygène, il ne pouvait plus respirer. Il tomba en piqué et ne voyait plus rien parce que le vent l'aveuglait. Il s’éjecta et sauta sans son parachute n'importe où. A la recherche d'Harry

Son père regardait les informations, la télé

disait : - Un enfant nommé Harry Golf a disparu, aucune

nouvelle de lui depuis trois jours. Son père s'exclama : - Mais c'est pas possible, Il partit regarder dans sa chambre, mais Harry n'était pas là. Il alla voir son meilleur copain Charly qui avoua tout à son père qui partit tout de suite à sa recherche avec son avion de chasse :

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- Delta deux delta alfa, vous me recevez ? - Ici la tour de contrôle, bien reçu j'écoute. - Il y a une grande tornade, je ne vois rien ni

personne dans mon radar. Ah si ! maintenant il y a quelque chose qui approche.

Il croyait que c'était un avion de chasse mais c'était l'aigle méchant, il fonça dans l'avion d'Eric et il dut sauter en parachute. En arrivant dans un marrais, il vit un avion tout neuf avec seulement quelques éraflures.

La recherche et le retour d'Harry et d'Eric

Eric vit cet avion superbe :

- Un avion, je vais pouvoir me tirer d'ici. Il prit l'avion et vit une lettre, l'ouvrit et la lut.

« Alexandre Amial, 30 ans, 5 juin 1990 je vous salue J'ai conçu cet avion pour que quelqu'un s'en

serve et sauve sa peau. Il date d'un peu près quarante ans, peut-être plus car si vous lisez cette lettre je suis sûrement mort.

L'avion marche avec l'énergie solaire, il avance un peu grâce à de l'essence, il vole mais pas très haut mais c'est déjà ça.

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Il y a deux bidons d'essence dans le coffre, un parachute et du lait et du pain, mais c'est peut-être périmé, je ne l'espère pas.

L'avion peut faire trente kilomètres, jusqu'à la base de la Royal Air force. »

Eric prit l'avion et décolla, il vit quelqu'un

sur son écran radar, mais il n'avait plus d'essence, il atterrit et rentra dans une grotte. Surprise il vit son fils Harry, il avait une jambe cassé et un oeil crevé. Eric dit : - Tu es sauvé, viens on s'en va, je vais prendre les

deux bidons d'essence du coffre et on part.

Le voyage interminable Ils s'envolèrent, mais ils n'avaient de

l’essence que pour faire cinq kilomètres. Eric dit : - Tour de contrôle, delta deux delta alfa, vous me

recevez ! Mais pas de réponse. Alors Harry dit : - La base la plus proche est celle de chine. - Oui, mais on n’a plus d'essence, j'espère qu'il

vont nous accueillir. - Oui, j'espère vraiment. Ils tentèrent leur chance, ils étaient si proche de la base aérienne de chine. Eric dit : - Je vais atterrir, avec les lumières, ils nous

verront mieux. Les chinois les ont accueillis et leur ont dit :

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- On va vous ramener chez vous, et vous pourrez mener une vie simple, toi Harry on va te transporter dans une chaise roulante.

Harry eu la chance d'être le premier

handicapé à piloter un avion airbus, pour son retour chez lui.

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A cause d'un tour du monde

Cyriac Lepoittevin

Myk est un aviateur très bon, il s'est lancé un

défi : faire le tour du monde en moins de 04h08 min et 42 s pour battre son record du monde de l'année dernière. Il se prépare et monte dans son « Big Air » avec Math son copilote depuis dix-sept ans. Les deux aviateurs s’installent dans leur avion. Ils mettent les gaz. Ca y est ils décollent, ils ont franchi cinq fois le mur du son, six fois maintenant. 1h15 plus tard, Math dit à Myk : - On va devoir passer au dessus de la France et de

leur terrible Alpha Jet. - Je ne vais pas passer par leur base secrète

7358109. - Tourne 13° vers la droite heu non vers la gauche. - Trop tard j'arrive sur leur base NON !!!!!!!! Les

Alpha-Jet arrivent il faut les semer. - A gauche à droite fonce à droite heu non vers la

gauche fait des tonneau tourne tire, tire c'est bon on les a semé.

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Le tour du monde fini, il rentre et persuade le président de faire un bombardement en France.

- Mais monsieur on les a semé avec tous nos hommes on peut les battre.

- Non ! répond le président. - Mais vous vous souvenez quand ils ont tué le

chef. Le président accepte et dit aux hommes qu'ils vont devoir faire la guerre. Quelques jour plus tard, Myk, Math et des centaines de pilotes incroyablement bons rentrent dans leurs Big-Air. Ils décollent tous avec des milliards d'essence dans leur avion. Ca fait comme des oiseaux dans le ciel en V sauf qu'ils vont beaucoup plus vite. Arrivés en France le bombardement commence. Cinq cents bombardiers lâchent leurs bombes, des milliards de gens meurent. Les militaires prennent leur arme et essaye de tirer sur les Big-Air. Deux-cents Big-Air sur cinq-cents meurent. Les trois-cents restant bombardent tout. Les Français montent dans leur Alpha-jet contre les trois-cents Big-Air. Ils sont maintenant dans le sud de la France au-dessus des Montagnes. Ils ne sont plus que cent-cinquante Big-Air contre cent-cinquante Alpha-Jet. De nombreux avions des deux pays se crashent dans les montagnes. La guerre est sans merci. - Un deux, un deux.

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- On a plus de munitions et la radio ne fonctionne plus.

Il ne reste plus que un Alpha-Jet. Myk et Sam ont appris une ruse quand ils étaient plus petits. Ils se mettent derrière une montagne. L'Alpha-Jet fonce sur eux. - Ils tirent, monte… - Ouf, il s'est écrasé dans la montagne. Myk et Sam rentrent à la base. - Tous nos homme sont morts général. - Ne vous inquiétez pas j'en ai prévu d'autres, Myk et Sam regardent les informations des pays étrangers. « Des aviateurs prénommés Sam et Myk ont détruit Paris et tout le sud de la France. Une revanche est annoncée le 5 mai 1995. « - Cachez-vous, partez c'est urgent. Le 7 mai environ trois cents avions les bombardent. Myket Sam bondissent dans le leur. - Mince on a plus de munitions. - Va au nord. - D'accord.

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2h00 plus tard il reste encore des avions et un seul de nos alliés, Il n'a plus que cinq munitions et une bombe. Tous s'assemblent. - Nos alliés ont descendu trois avions. - Jack est mort. - On doit partir, il en reste dix. Soudain il voit le général dans une mongolfière. Une mitraillette à la main il mitraille tous les avions. - Non Le général meurt, Le dernier avion se prend la mongolfière. - OH ! général êtes-vous vraiment là ? - Bah ! oui. - Alors c'était un passant avec une arme. - Mais il vous ressemblait beaucoup. - Je sais c'était mon frère jumeaux il a fait

beaucoup de prison. - Au fait on a gagné. - On a gagné ! yahoo ! woopy !

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Calvyn

Awa Fall Mes débuts

Moi, Calvyn deux ans déjà et fan d'aviation. Je suis né le vingt et un aout 1983 à l'ile de la Réunion. Né d'un père copilote et d'une hôtesse de l'air. Mon grand père était agent de parking à l'aéroport. Je restais avec lui, pendant que mes parents travaillaient. Depuis que je suis jeune j'adore les avions, et tout ce qui les concerne. Je voyage beaucoup à travers des pays tous plus fascinant les uns que les autres. Dès la troisième j'avait su que je serais pilote, mais je me demandais, comment ? Où ? De quel avion ? Je demandais conseil à mon conseiller d'orientation au collège, et je recherchais toutes les compétences pour être pilote sur Internet, mais aussi je demandais à mes amis. Ils avaient tous des avis différents et étaient très partagés mais cela ne me dérangeait pas. Mes parents me soutenaient beaucoup, et même si je

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n'étais pas toujours premier de ma classe. Pour mes seize ans, mes parents m’avaient offert mon premier vol dans un avion de chasse. C'était une des plus belles choses de ma vie. Je crois que si je ne deviens pas pilote je travaillerais dans une fabrique d'avion.

Mon rêve commence

Un an plus tard je rentre dans une école de jeunes pilotes. On est treize. Treize jeunes qui tous rêvent de devenir pilote Moi, je me suis orienté pour être pilote dans une compagnie très riche mais pour cela il me fallait encore quatre années d'évaluations, de concours pour enfin obtenir mes diplômes. La chance de réaliser mon rêve se rapprochait de plus en plus.

Jour après jour, nuit après nuit mon rêve se réalisa si bien que deux ans plus tard j'obtins mon brevet de pilote.

J’étais si heureux que je n'en dormais plus. Pour mes dix-neuf ans mes parents m’offrirent un voyage à N-Y (New-York) pour aller voir un meeting.

Mes premiers jours de travail, dans ma nouvelle entreprise étaient très difficiles et aussi très tristes car mon père était mort dans un crash d'avion. Un accident très violent mais ma mère survécut.

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Une vie sans souci

Depuis que j’étais dans la vie active, je travaillais dans cette agence comme pilote. Un jour mon patron me proposa d’acheter la compagnie qu’il voulait vendre. Je dit oui tout de suite. Deux semaines plus tard l’agence était à moi. Les affaires marchaient plutôt bien même si je l'avoue le travail n’était pas facile. Il y a eu des coups durs, comme quand un avion de notre compagnie s'était écrasé à Barcelone. Cela m'avait tant rappelé le décès de mon père. Après un an de travail dans la boîte, ma mère mourut d'un cancer du poumon. Sa mort me marqua d'une façon terrible. Un an après cela, je me mariai avec une hôtesse de l'air qui travaillait chez nos concurrents. C’était le vingt et un août 2007, c'était une fête grandiose mais aussi magique.

Nous avons eu deux adorables enfants : Paul et Leyla. Mais un rêvait d'être astronaute et l'autre de devenir top model. Mais cela ne dérangeait ni moi ni ma femme. Au contraire nous étions heureux qu'il fassent ce qu'ils avaient envie de faire. Mais cela ne nous a pas empêché d'apprendre à nos enfants de tas de choses sur les avions .

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L'aviatrice

Emmie Gabillard Le rêve

Julie était une jeune fille qui détesteait l'aviation. Un jour, alors qu’ elle se promenait elle vit un avion faire des figures et elle dit :

- Ouah ! C'est extraordinaire. Je crois que j'ai eu tort de détester l'aviation ! Bon je vais chercher Sarha.

En arrivant devant chez son amie elle se demanda si elle allait lui dire qu'elle voulait devenir aviatrice. Mais elle frappa à la porte. La mère de son amie ouvrit la porte : - Bonjour, dit Julie. - Bonjour, entre Sarha c'est Julie. - J'arrive, dit Sarha. - Elle descendit. - Salut, dit Sarha. - Salut, répondit Julie. - Maman, je peux sortir ? demanda Sarha.

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- Oui ! Si tu rentres à 18h. - Ok. A tout à l'heure. - Je dois te dire quelque chose, dit Julie. - Quoi ? répondit Sarha. - Je voudrais devenir aviatrice. - QUOI ? Tu vas avoir trop la honte. - Je sais. - Mince, j'ai oublié que je pouvais pas. Salut. - A plus ! La honte Le lundi elle alla à l'école. - Salut, dit Julie à Sarha. - Je ne te parle plus après ce que tu m'as dit hier,

parce que maintenant tu as la honte. La récré du matin ne finit pas vite pour Julie.

Enfin ça sonna. En arrivant dans la classe la maitresse dit que les enfants devaient dire ce qu'ils voulaient faire plus tard. Un enfant voulait être bûcheron, une autre danseuse, il y en a même un qui voulait être un clown. Alors elle demanda a Julie ce qu' elle voulait faire plus tard : - …Aviatrice, répond Julie. Alors tout le monde se moqua d' elle. - Arrêtez de rire, dit alors la maitresse, ce n'est

pas drôle. Aller sortez ! A la récré tout le monde se moqua d'elle. - Tu veux devenir aviatrice ha ! ha ! ha !

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- Hoooouuuu ! - On rentre, dit la maitresse. - Elle veut devenir aviatrice c'est la honte. - Bon le prochain qui se moque de Julie je lui donne

une punition à faire signer par ses parents, dit la maitresse.

- Tu as trop la honte. - Alex ! tu as une punition. « Je ne me moque pas

de mes camarades vingt fois à faire signer par tes parents pour lundi prochain », dit la maitresse.

Devenue aviatrice

Le soir, elle alla où elle avait vu l'avion et là l'homme regardait un avion voler. Julie toute timide dit tout ce qui c’était depuis qu'elle avait vu l'homme voler alors il lui demanda : - Tu veux que je t'aide à devenir aviatrice ? - Ho oui. - Déjà tu as quel âge ? - J'ai dix ans. - D’accord, bon ça va être difficile alors Viens. Ils arrivèrent à côté d' une machine. - Monte, dit l'homme. - Au fait comment vous vous appelez ? - Je m'appelle Philippe et toi ? - Moi c'est Julie. - Allez monte.

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Quand elle fut installée Philipe mit la machine en marche. - Ça va tourner alors tu vas essayer de te

remettre en place avec les manettes devant toi, dit Philipe.

- D’accord, répond Julie. Une heure plus tard l'exercice était terminé. - Merci, dit Julie, au revoir. - Au revoir, répond Philippe. Dix ans plus tard, devenue une adulte de vingt ans Julie était encore entrainée par Philippe. Maintenant Julie connaissait bien Philippe alors elle lui faisait confiance quand ils étaient en avion.

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Moi et mon plus beau rêve

Jean-Lou Le Costaouec

A St Jacques de la Lande, près de l’aéroport j’ai vu quand j’étais tout petit, mon premier avion, il était bleu, blanc et rouge comme le drapeau de la France.

Ce jour là, il y avait beaucoup d’avions dans les airs, certains faisaient des loopings, d’autres atterrissaient, décollaient et parfois les plus beaux avions laissaient tomber des fumigènes ; des pilotes s’entraînaient, puis sautaient avec des parachutes. C’était chouette d’observer ce beau spectacle avec des milliers de spectateurs.

Moi, je rêvais de monter dans un avion militaire ou un avion de guerre. Une hôtesse de l’air me demanda si je voulais m’envoler très haut dans les airs. J’étais heureux et très fier. J’étais assis à côté du pilote de ligne. Ce qui me surprenait juste c’était les voix de la tour de contrôle ; je ne

Rêver de voler


comprenais pas la conversation entre le pilote et la personne qui parlait dans la tour.

J’ai été très surpris quand l’avion a commencé à décoller, j’étais un peu stressé, mais aussi content. Une fois perché au dessus, de la ville, je voyais tout minuscule, des petites voitures, des petites maisons, des petites personnes. C’était bizarre.

Au bout de quinze minutes, nous avons fait un immense tour dans le ciel et dans les nuages. J’aurais eu envie de toucher les nuages mais c’était impossible et la température était très faible. Il y avait de la buée sur les vitres.

Dix minutes plus tard le pilote m’a proposé d’atterrir, je voulais à la fois redescendre mais j’avais aussi envie de rester encore un peu plus longtemps dans cet avion pour lui tenir compagnie, je voulais continuer à parler avec lui de tous ces boutons et de toutes ces manettes incompréhensibles.

Je lui posais plein de questions et lui m’expliquait et me répondait pour que je comprenne mieux tout ce bazar.

A l’atterrissage, je me sentis mieux et plus rassuré. J’avais réalisé mon rêve préféré dans ce joli avion bleu, blanc et rouge.

Rêver de voler


Deux minutes avant mon arrivée, je voyais

tout en grand : la ville, les maisons, les voitures, les personnes et ma famille qui m’attendaient en levant les bras pour applaudir le pilote. Le lendemain, j’étais surpris d’être dans le journal avec le pilote et son avion.

Quel bonheur et quel beau souvenir !

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Jordan 20 ans

Emilie Kalala Désolé maman

- Maman, maman ! Je vais à mon cours d'aviation ! - D'accord,,, mais fait attention! - Oui maman Je pose une délicate bise sur la joue de ma mère. Ah ! Euh ! Je m'appelle Jordan Saoul, j'ai vingt ans je vis avec mes parents et ma petite sœur à Los Angeles. Holly, elle a cinq ans. Oh là là ! cinq ans c'est bien embêtant. - Tu vas où Jordan ? Tu vas où ? Je veux venir moi

je veux venir ! - Non Holly papa m'attends bisouuuuuuus !

Je pars prendre le bus pour enfin voler. Enfin j'arrive, bizarre, tout à coup j'ai mal au cœur comme si on m'avait planté avec un couteau. Je descends et Lily (assistante de mon père) viens en

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pleurant m’annoncer que mon père est mort dans un accident avec un autre élève : un crash !

Je reste bouche bée. Cette nouvelle me coupe le souffle et je rentre chez seul pour la première fois. J'annonce la nouvelle à ma mère. Elle va dans sa chambre et éclate en sanglot. Ma sœur arrive : - Salut la « compa », que se passe t'il ? J’explique à Holly que papa dormira pour toujours et qu’il ne reviendra pas parce qu'il est très fatigué. Puis je vois qu'elle commence à s'attrister puis des larmes jaillissent de ses beaux yeux bleus. Oui elle pleure ! - Papa. Pourquoi papa. Je l'aimais moi. Snif ! non

c'est pas possible ! - Ne t'en fais pas ce n'est pas de ta faute ! Je la câline, elle monte dans sa chambre et moi aussi car je suis un peu fatigué.

Pendant cette nuit je me dis que je devrais arrêter l'aviation mais je trouve que ma mère a assez souffert quand mon frère est mort alors que nous l'aimions tant.

Non je ne veux pas

Lily et ma mère ont longtemps discuté et Lily

veut que je continue. A vrai dire ma mère aussi car c'est mon rêve d'enfance donc il faudrait que je

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continue, mais moi tout cela m'inquiète la mort de mon père, de mon frère et après ? Moi ? Non car ma mère a assez souffert. Je vais aller respirer un peu je ne me sens pas très bien.

Je sors et je vois les avions voler. Il y a des loopings et un avion qui fonce vers le sol et puis qui se relève d'un coup. Ouah ! Mon père me disait qu’un jour je serais comme eux.

Si je continue non je ne veux pas. Non ce n'est pas possible ! Oh là là !

Je rentre chez moi. Pendant la nuit je les admire. C'est si beau les avions qui font des loopings et moi qui pourrais être dedans. Non non, non ! Le lendemain je me sens un peu mieux. Je passe la plupart de mon temps avec Lily. Je crois que je suis amou… non même si elle est aussi jeune que moi ça n'est pas possible. Oh attendez j'ai des connaissances en avion regardez :

« alpha, bravo, Charlie, delta, écho, foxtrot, golf, hôtel, india, juliet, kilo, lima, Mike, november, oscar, papa, Québec, Roméo, sierra, tango, uniform, Victor, whisky, x-ray, yankee, zulu, ahhhhhhhhh j'ai bien appris mes leçons. »

Je rêve j'éclate de rire tout seul. Bon je crois que je vais continuer à faire de l'aviation. Tout cela me fait rire je suis amoureux de… de… de… de l'aviation et… de… Lily aussi. Comment lui avouer tout ça, c'est quand même l'assistante de mon père. Je pourrais quand même la séduire, mais revenons à l'aviation. Je vais continuer à faire de l'aviation tout

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ces loopings m'ont drôlement étonné et si je continue à faire de l'aviation, je pourrais peut-être être comme eux. Je vais aller voir ma mère et Lily et leur dire que je continue. - Maman, Lily je continue à faire de l'aviation - C'est bien mon fils, tu as pris la bonne décision. - Je peux te parler une seconde ? - Ils arrivent dans la chambre et Lily m'avoue

qu'elle est amoureuse de moi. - Je lui avoue que moi aussi elle me sourit...

Maman, tu l'acceptes ? - Lily Jordan ! 0ù êtes vous ? - On arrive ! En s’approchant, ma mère nous regarde curieusement. - Maman je l'aime, lançais-je. Elle sourit et elle se met à rigoler en disant : - Ah ! mon fils tu ne changeras jamais. - Maman ! - Bon alors c'est pour quand le mariage ? - Ha ! ha ! ha ! - Bientôt, je pense, car on se connait depuis

longtemps.

Je crois que je vais aller faire un tour d'avion avec ma femme enfin on peut dire cela comme ça je pense oui bien sûr que l'on peut dire ça bon maintenant il faut réfléchir à la date. C'est

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absolument cela disons le mois prochain. Pas de problème on était toujours aussi pressé. Une semaine après

Il faut se dépêcher c'est bientôt l'heure de partir au mariage. Quand j'arrive, tout le monde est prêt. Le prêtre fait le discours habituel. Etc. - Mon chéri j'ai un cadeau pour toi on a tous mis

nos économies même le prêtre. Le prêtre me fait un oui de la tête. Je sors. - Oh ! Un avion mais c'est super ! ! - M... me... mer... merci... je ne sais pas... quoi....

dire. Mais moi aussi j'ai un cadeau. - Un petit collier fait d'or je l'ai acheté pour Toi. Elle me remercie. Ah l'amour !

Quelques années plus tard...

J'ai maintenant vingt-cinq ans. Je suis

toujours avec ma fiancée chez ma mère. Oui elle a son appartement avec son chien. Elle est heureuse, très heureuse avec ma petite sœur. Avec ma femme on a des jumelles et encore des filles. Elles ont même grandi et sont devenues si belles en cinq ans qu’elles font déjà grandes filles.

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Les larmes ne changent pas

Valentine Chirokoff Une larme et après !

Je ne commencerais pas cette histoire par

« Il était une fois » mais seulement par un mot « Lili ». A cette époque j'étais une petite fille de dix ans tellement passionnée par l'aviation que j'aurais pu conduire un mirage les yeux fermés. Et oui ! J'étais forte et je le savais. D'ailleurs, je voulais devenir pilote et voler toujours plus haut. J'étais capable de le faire, j'en étais sûr, mais malheureusement, les autres n'étaient pas de cet avis. Je le savais depuis le jour où Mr Myer, mon professeur, expliqua : - Aujourd'hui nous allons faire un travail un peu

spécial. Je veux que sur une feuille vous écriviez ce que vous voudriez faire plus tard comme travail et pourquoi ?

Un brouhaha parcoura la classe. On entendait un peu partout des oui ! Des extra ! Et des youpi !

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C’est vrai que ça changeait des exercices de math ! Je pris une feuille et je commençai à écrire. Je jetai un rapide coup d’œil sur la feuille de ma voisine et ce que je découvris fut pathétique : elle voulait devenir top model. Ce n’est pas un vrai métier ça ! Mais moi je savais ce que je voulais faire : PILOTE !

Je le savais depuis le jour de mes six ans où j'avais vu un oiseau voler et je m'étais dit que moi aussi j'adorerais voler et traverser les nuages. Alors, j'ai commencé à étudier les avions et, au bout d'un certain temps je connaissais par cœur tous les livres d'aviation de la bibliothèque. A ce moment le professeur commença à ramasser les copies et je vis l'étonnement sur son visage quand il vit la mienne.

Une larme de honte

- Lili ! Qu'est ce que c'est que cette blague, dit

Mr Myer. Explique toi ! - Et bien c'est simple ! répondis-je. Je veux

devenir pilote ! Je vis les yeux de mon professeur

s'écarquiller encore plus. - Et tu crois vraiment que toi Lili tu vas y arriver ?

A ce moment précis toute la classe, Mr Myer y compris éclata de rire, tout le monde se moquait de moi sauf Matt, mon meilleur ami, qui se retenait, mais je voyais bien qu'il pensait la même chose que

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les autres. Une larme perlait au coin de mon oeil, mais il ne fallait pas pleurer, il fallait être forte et ne jamais montrer sa faiblesse, alors à la sonnerie je fis calmement mon cartable et je partis.

Quand je vis que personne ne me suivait, je courus aussi vite que je le pouvais, aussi loin que je le pouvais. Je courus jusqu'à ce que mes pieds me fassent horriblement mal. Là je m’assis sur un banc et je me mis à pleurer. A ce moment là, une main se posa sur mon épaule. Instinctivement je tournai le tête et je vis une petite grand-mère rondelette. J'aurais pu m'enfuir mais son sourire était tellement doux que je n'en eus pas la force. Elle s'assit à côté de moi et dit : - Qu'est ce qu'une jolie jeune fille comme toi fait

assise sur un banc au lieu d'aller jouer avec ses amis ?

Ma mère m'a toujours dit de ne jamais parler aux inconnus. Mais elle avait l'air si gentille et si fragile que je décidai de lui raconter mes malheurs. Elle prit un mouchoir et essuya une larme qui coulait au coin de mon oeil, une larme de honte. Même pas une larme.

- Tu sais moi je suis sûre que tu peux y arriver,

m'annonça la veille femme. Je dirai même que tu es meilleure que Rolland Garros.

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J'éclatai de rire et quand je pus enfin parler je demandai : - Mais comment vous appelez-vous ? - Je m'appelle Madame Rose. - Rose comme la fleur ? Dis-je. - Oui c'était la fleur préférée de mon mari. Il

m'en offrait toujours avant. A cet instant je compris pourquoi Mme Rose

disait « avant ». Son mari était sans doute mort. - Vous êtes la première personne qui ait confiance

en moi. Personne ne m'avait cru auparavant. - Tu peux me tutoyer tu sais, répondit Mme Rose. - Vous… Heu je veux dire tu pourrais m'aider à

devenir pilote ? A ce moment, je vis un sourire apparaître sur son visage et je pus lire un oui sur ses lèvres. Après ça je passais le reste de la journée avec Mme Rose. Elle me parla de son passé et j'appris qu'elle aussi avait été incomprise. Puis après m'avoir raconté tout ses souvenirs elle dit : - Il est temps de t'entrainer maintenant ! Une dernière larme pour Mme Rose

Je vous ai raconté mon passé alors maintenant passons au présent. Je suis toujours Lili mais cette fois j'ai quelque chose de mieux : JE SUIS DEVENU PILOTE !!! Là je suis en plein vol et c'est merveilleux. On voit tout d'ici les nuages, les

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oiseaux, l'océan. Je ne m'en lasserais jamais. Ici je suis libre de mes mouvements et il n'y à personne pour me juger. Ha! Voilà la piste accrochez vos ceinture sa va secouer ! J'approchai doucement de la piste et je commençai à atterrir. L'avion tremblait tellement ! Une sensation à vous couper le souffle !

D'un pas assuré je sortis de l'avion et j’enlevai mon casque. De l'air frais enfin ! Je regardai ma montre et oh non ! 16h35. Matt m'avait donné rendez-vous chez nous à 16h30 ! Même en voiture je n'y serais pas avant 16h50. Je courus jusqu'à ma voiture et je mis les gaz ! Vite petite voiture je suis déjà en retard ! Je vois l'appartement. J'essaye de me garer. Ho non ! Il n'y a plus une seule place de libre. Tant pis, j'irai au parking souterrain. Je montai les escalier en courant et sonnai à la porte. Le corps de Matt apparut dans l'ouverture de la porte. - Enfin c'est pas trop tout sa fait une demi heure

que je t'attends. - Désolé j'ai fait aussi vite que j'ai pu bon c'est

quoi l'urgence ? - L'hôpital a appelé une certaine Madame Rose est

souffrante. - Ho non je file ! Je filai à l'hôpital. Ce n'était pas possible, pas Madame Rose elle ne pouvait pas m'abandonner.

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- S'il vous plaît. Je cherche Madame Rose, dis-je à un infirmier.

- Chambre 320. - Merci, criais-je en courant. Tous ces nombres se bousculaient dans ma tête : 312, 314, 316, 318,…320. Je toquai à la porte et un léger « entrer » se fit entendre. Je poussai la porte et je vis, allongé sur un lit une vieille femme. Une vieille femme que je n'aurais pu reconnaître. Elle avait toujours son doux sourire mais elle paraissait si fragile que je n'osais la toucher sous peine de la casser. Je m'assis à côté d'elle et elle me murmura à l'oreille. - Mais que fait une jolie jeune comme toi assise à

côté d'une vieille femme au lieu d'aller jouer avec ses amis ?

- Mais je suis avec une amie. Une amie qui m'est très chère.

Une larme coula au coin de son oeil et je pus lire un « merci » sur ses lèvres. Je fondis en larmes, elle était morte.

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Raphaël l’aviateur

Océane Bouchet

C'est Raphaël un jour. Il voulait décoller,

aussi il demanda à la tour de contrôle s’il pouvait décoller. Mais il ne se rappelait pas qu’il n'avait pas passé le permis de pilote. - Bonjour, ici l'avion « fox, oscar, golf, 45 » puis-

je décoller ? - Bonjour « fox, oscar, golf, 45 » ici la tour de

contrôle. Je répétais ma demande : - Bonjour ici « fox, oscar, golf, 45 » puis-je

décoller ? - NON ! dit la tour de contrôle. - Pourquoi ? - vous n'avez pas l'autorisation de décoller, parce

que vous n'avez pas le permis de pilote. Vous devez passer un permis d'avion pour décoller.

C'est vrai je n'avais pas le permis. J’avais essayé de le passer. Je devais le passer.

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Mais je ne l’avais pas passé parce que je n’avais pas envie. Certains pensais que j’avais peur du vide ? Mais non, Raphaël n'avait pas peur du vide. Il avait peur de s’écraser. La tour répondit :

- vous n’allez pas vous écraser Raphaël, Vous aurez un prof avec vous pour vous guider.

- Mais pourquoi mon frère qui voulait devenir pilote s’est écrasé ?

- AH bon ! Oui mais ce n’est pas pareil, vos profs ont eu leur permis de pilote.

Quelques heures plus tard, il rentra chez lui et il alla dormir. Le lendemain il alla marcher sur la plage, ensuite il mangea au restaurent de l'aviation. Tout le monde y parlait d’aviation. Tout à coup il cria :

- J'en ai mare que vous parliez d'aviation. Et il partit du restaurant pour rejoindre sa mère. Il lui dit qu’il allait s’inscrire au brevet de pilotage. Sa mère n’avait pas envie qu’il meure. Aussi le lendemain il lui était impossible de démarrer sa voiture.

- Qu’a-t-elle encore cette voiture ? J’en ai marre. Bon je vais aller à pied.

Il tomba. - Oh non ! Pourquoi ça n’arrive qu'à moi et à

personne d’autre. Il ne me reste plus qu'à aller à vélo.

Au moment de prendre son vélo, il se rendit compte qu’on lui avait volé ses roues.

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Il décida alors de faire son inscription sur son ordinateur, mais un virus l’empêcha de s’inscrire.

- Maman c'est toi qui fait ça ? - Oui ! Je ne veux pas que tu passes ton

permis. Raphaël décida de voler un autre avion. Il partit au Maroc pour ne plus revenir.

Il y trouva une femme et se maria. Sa mère se demandait où il était. Elle lui écrivit plein de lettres mais il ne répondit pas. Dans sa dernière lettre elle lui écrivit : « Tu me manques. Où es-tu ? Je m'inquiète pour toi. » Son fils déchira sa lettre et la mis à la poubelle. Sa mère s’inquiétait parce qu’elle avait peur qu'il se soit écrasé comme son frère. Sa femme s'appelait Shara. Ils avaient eu trois enfants : Yanis, Ines, Hamed. Shara ne voulait pas deux garçons et une fille elle voulait deux garçons et deux filles, mais Raphaël a dit que c'était bon on en avait trois ça suffisait. Raphaël et shara étaient très riches. Ils vivaient dans une grande ville. Un jour la mère de Raphaël arriva. Elle frappa à la porte et c'était Yanis qui ouvrit la porte :

- Ton père est là ? - Papa, il y a quelqu'un pour toi ! - Merci mon fils.

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- Bonjour mon fils tu vas bien ? - Oui comme tu vois j'ai fait ma vie avec shara

une marocaine. - Pf ! Avec une Marocaine ! Je ne veux plus te

voir jamais, dit sa mère.

Alors sa mère s'en alla pour toujours. Depuis ce jour sa mère pleurait tout le temps. Ensuite Shara demanda à Raphaël pourquoi sa mère avait dit ça.

- Peut-être qu'elle n'aime pas les marocaines ? - Oui mais elle est raciste. Et je n' aime pas

ma mère parce qu’elle est méchante. Après ils mangèrent et ils allèrent se coucher. Mais tout à coup quelqu'un frappa à la porte : c’était la mère de Raphaël. Raphaël ouvrit la porte.

- Je t'ai dit de ne plus jamais revenir. Alors Sarah qui était descendue, lui dit de partir de sa maison. Aussitôt sa mère se suicida avec un couteau de cuisine. Ensuite Raphaël appela la police…

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Cruelle destinée

Lucie Bellier Bonjour je m'appelle Thomas j'ai 20 ans, je

veux devenir pilote pour sauver mon pays de la guerre, bon je n'ai pas le temps de vous parler je dois apprendre mon alphabet d'aviation pour voler :

A : alfa, B : bravo, C : Charlie, D : delta, E : écho, F : fox, G : golf, H : hôtel, I : india, J : Juliette, K : kilo, L : lima, M : Mike, N : november, O : oscar, P : papa, Q : Québec, R : Roméo, S : sierra, T : tango, U : uniform, V : Victor, W : whisky, X-RAY, Y : yankee, Z : zulu.

- Bonjour Jacques, y a t-il un avion de libre ?

demande Thomas à son chef. - Oui, répond son chef. L'avion de chasse cent-

soixante-neuf est disponible. - Merci ! dit Thomas. - J'ai tout vérifié tu peux y aller ! - Wwoouuppii ! C'est super ! J'espère que je vais

pouvoir devenir pilote avec ce que je fais ?

Rêver de voler


- Allô ici la tour de contrôle vous pouvez atterrir et ils vont vous dire si vous aller obtenir votre diplôme. Attention dégagez de la piste j'atterris.

- Jacques, Jacques dit Thomas vous m'avez vu voler ?

- Oui, je vous ai vu voler pourquoi ? - Est ce que je vais obtenir mon diplôme ? - Ho ! oui après ce que tu as fait et appris, je crois

bien que tu es l'un des meilleurs pilotes en ce moment.

- Merci Jacques, je vous adore, à demain !

Bonne nouvelle - Papa, maman ! J'ai une bonne nouvelle. J'ai

obtenu mon diplôme et demain je retourne m'entrainer pour aller faire la guerre.

- Tu vas aller faire la guerre ? Disent ses parents étonnés.

- Bah oui ! - Mais tu n'as que vingt ans ! Dit sa mère en

pleurant. - Ne pleure pas maman ça va aller. Le lendemain il partit.

Suspense

Quand il rentra chez lui il cria : - Papa, maman il y a quelqu'un ?

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Comme ça ne répondait pas, il commença à paniquer. Il commença à faire des recherche dans le quartier.

La ferme est fermée, au cimetière la grille fais cinq mètres de haut. Il fouilla partout : aucune trace. Quelques instants après il dit d’un air triste : - Les allemands, ils ont sûrement dû les enlever ! Il décida de retourner au club cette nuit et de voler un avion. Il profita que tout le monde dormait pour prendre l'avion de chasse numéro 169. Personne ne se réveilla pour remarquer son départ.

Ensuite il se rendit en Allemagne où il survola le camp de concentration où ses parents devaient être. Il voulut se poser, mais avec tous ces gardes qui surveillaient le camp c’ était impossible.

Après s’être posé, il commença à faire des recherches mais il entendit des pas qui le suivaient. Il paniqua et regarda partout mais il ne voyait rien. Cette personne essayait de faire comme lui, s’approcher du camp du concentration. Il se sentait perdu au beau milieu de cette forêt.

En surveillant le camp il vit ses parents porter quatre kilos de farine. Il y avait un garde avec eux.

Thomas voulut partir en courant chercher de l’aide mais c’était presque trop tard le garde avait une hache dans la main… Thomas cria de toutes ses forces : - Nnnnnnnnoooooooooooonnnnnnnnnnnnn ! - Pourquoi mes parents ?

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Il remonta dans son avion en pleurant. Celui-ci ne voulut pas démarrer. Le moteur devait être cassé. Il jetait toutes les minutes des regards à travers la fenêtre du cockpit pour essayer de voir encore une fois l’ombre de ses parents sur le sol.

Mais comme la journée n'était pas finie il décida de chercher comment s'enfuir sans se faire voir.

Il vit une petite cabane couverte de paille. A l’intérieur il y avait des outils (marteau, hache, scie...). Il se demanda à quoi ça pouvait bien servir pour l’aider à réparer son avion.

Il avait déjà une idée mais il ne voulait pas en parler. C'était bien de trop triste ! Il était en train de regarder ses parents morts.

Il commençait à se faire tard mais ce qu’il ne savait pas c'est qu’il était suivi par des Allemands. Il retourna dans son avion, où il se coucha. Il entendait au loin des voix de personnes qui rigolaient. Il se disait que ça devait être sûrement la fatigue mais c'était les Allemands qui étaient en train d'allumer la bombe pour bombarder l'avion et lui avec ! Il les entendit dire :

- 1, 2, 3, lâchez la bombe ! L'avion explosa. Il mourut… c’était la fin.

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Le défi

Félix Gouesnard

Un jour de pluie un pilote se lance un défi. Il doit construire un avion qui pourrait porter un milliard de passagers. Lui, c'est Robert, pilote depuis soixante-dix ans. Moi c'est Jean Pascal de spaghetti. Non mon père n'a pas inventé les spaghettis même s’il les adore ce qui n’est pas mon cas. Il m’a demandé de l'aide (Et ouais je suis un king). J'ai accepté car je suis sympa. On s'est lancé dans la construction et six mois après on avait fini Je passe les jurons et les débilités diverses. On a eu du mal mais c'est réussi pour l'instant. On est monté à l’intérieur et on a remarqué que Robert avait oublié de mettre les sièges. Après tout ce travail acharnés notre engin était enfin fini.

Il appela l'aéroport de Las Végas pour leur présenter le chef d’œuvre. Le chef était impressionnant mais très sympa il nous donna un million de dollars de prime plus cinq mille dollars pour prendre du personnel. On prit trois-cents

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hôtesses de l'air, deux-cents stewards, vingt-trois pilotes plus nous deux et cent-cinquante techniciens. On avait assez de places pour mettre trois millions de bagages et les trois-cents hommes pour les porter. Cet avion est un vrai palace de cinq étoiles. On l'a préparé pour le décollage et il est parti. Le problème arriva quand l'avion a percuté jusqu'au moteur un oiseau qui volait gracieusement. Maintenant il vole gracieusement au paradis (quelle tragédie !). Mais revenons à notre histoire. Alors à cause de cette oiseau l'avion a perdu l'un de nos 32 réacteurs sur les soixante-quatre en tout. L'avion se mit à pencher petit à petit vers la gauche.

On envoya tous les techniciens réparer l'irréparable. La nouvelle arriva vite c'était la panique générale il y en a même qui racontait une histoires de malédiction sur lui depuis cinquante-deux générations et d'autres trucs vaudous à la noix, même si certaines personnes y croient. La suite de l'aventure ne fut pas meilleure. J’avais l’impression d’avoir engagé des idiots. Trois sont tombés en voulant réparer la panne et cinq sont restés accrochés à l'aile parce qu'il avaient peur du vide ! la galère. Bon sinon trois heures après c'était pire il était 16 h et qu'y a t-il à 16 h : la fin de la sieste et tous les gosses se sont mis à crier donc je suis allé moi-même réparer la panne. Il faut toujours garder l'atout pour la fin. Je me suis avancé courageusement quand on s'est mis à nous tirer

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dessus d'en bas. Je me suis rappelé d'une chose que m'avait dite mon filleul Félix :

- Tonton il ne faut jamais survoler une zone de tir militaire c’est dangereux ils risquent de te tirer dessus sans le vouloir et là c'est la casse et le cimetière assuré. Je pris ma radio et je dis à Robert de barrer rapidement à gauche toute. Il se dépêcha de faire ce que je lui avait demandé et il sortit de la zone de tir mais ce n'était pas fini il restait mon travail et il n'y avait que moi pour réussir cette mission. Je m'y suis mis et tout d'un coup je ne vis plus les couleurs. C'était plutôt dur de devoir couper un fil vert sans voir la couleur mais ce fut facile et je dis aux passagers que c'était fait exprès pour voir leurs réactions : - Et ils t'ont cru tonton ? - Oui Félix. - Et votre avion ? - Il a été détruit. - C'était une belle histoire tonton. Je l'adore.

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Mon rêve

Nelson Carvalho

Depuis que j'étais petit, je rêvais d'être pilote d'avion, de faire des loopings, d'être connu. Chaque soir j'allais observer les avions atterrir même s’il neigeait. J'habitais tout près de l'aéroport de Saint Jacques. Aujourd’hui, j'ai réalisé mon rêve de toujours, je pilote un A380, je vais de Paris à New-York, je transporte environ 400 passagers américains et 50 français. Tout le monde semblait fatigué sauf moi. L'avion allait décoller vers New-York dans trente minutes. Il était exactement midi et demie, l'avion chauffait ses quatre moteurs. Dans peu de temps mon rêve allait se réaliser, mon rêve de toujours.

Je laissais ma famille et je partais pour deux jours. Un long voyage m'attendait. Ça y est l'avion se mettait en piste. J’annonçais donc aux passagers :

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- Bonjour à tous, je suis le commandant, je m'appelle Nelson, nous allons à New York, restez tranquille et faites un bon voyage.

C'était un voyage paisible mais tout à coup, en regardant le radar et je vis des avions de chasse qui nous rattrapaient. Ils essayaient de nous attaquer mais moi je m'écartais d'eux. Je lançai un message aux passagers : - Restez calme, ce n'est rien, je contrôle la

situation. Ce n'était pas vrai, je ne contrôlais plus du tout la situation. Je ne voulais pas que quelqu'un perde sa vie à cause de moi. Tout le monde criait de peur. Quand j'ai regardé les avions, j'ai remarqué que c’étaient des terroristes, les plus cruels bandits de la planète. Ils avaient de petits engins pour voler aussi vite et aussi haut qu'un A380. Ils atterrirent sur l'avion avec leurs engins et ceux qui les pilotaient partirent Je pensais qu'ils allaient mettre une bombe sur mon avion mais non, ils firent pire que ça : ils percèrent un gros trou dans les réservoirs de carburant. On perdait beaucoup trop de carburant, on ne réussirait jamais à arriver dans un aéroport assez grand pour que l'A380 puisse atterrir. Tout le monde paniquait. Je contactai rapidement l'aéroport le plus près et ils me dirent de voler le

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plus bas possible, de lâcher les bagages et d'essayer de planer. Je pensai atterrir au Brésil, dans l'aéroport le plus proche. Quand j’eus l'idée d'atterrir en pilote automatique, il y eut une panne, l'avion perdit de l'énergie et du carburant. On va tous mourir pensait-t-on ? Soudain les brésiliens eurent l'idée d'envoyer des avions pour mettre du carburant dans mon A380. Cinq minutes plus tard, je voyais l'aéroport, on avait réussi. Quand nous atterrîmes, plein de policiers et de véhicules d'urgence se précipitèrent vers l’appareil. On était sauvé.

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L'Aéroport

Emeline Aréthuse

Maëva habite dans une maison à Paris, près d'un aéroport. Elle adore les avions et a une passion tout particulière pour tout ce qui touche à l'aviation. Le jour de son anniversaire, ses parents lui offrent un baptême de l'air. Maëva est toute contente car enfin elle va pouvoir poser toutes les questions qui lui passent par la tête.

Le samedi arrive et Maëva attend avec impatience que le pilote vienne la chercher. Il arrive et prend Maëva. Il l'emmène vers le petit avion et lui montre comment il est fabriqué, tous les boutons qui s'y trouvent. Maëva est éblouie de voir toutes les commandes d'un avion. Le pilote l'installe devant et lui explique qu'il faut prendre de la vitesse sur la piste afin de décoller et faire le baptême de l'air. Maëva est toute contente d'être dans le ciel. Elle s'aperçoit que de tout en haut, les gens paraissent tout petits. Mais le paysage reste très joli. L'avion atterrit et Maëva pourra raconter son samedi à ses camarades car elle sait que le lundi, les CM2

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viennent dans sa classe, pour travailler. Le thème choisi entre les deux classes est : l'aviation. Maëva va, le premier jour, travailler sur les parties d'un avion : la gouverne de direction, les ailerons, la gouverne de profondeur et tous les noms que l'on peut donner à un avion. Le deuxième jour on va faire une couverture pour pouvoir commencer un livre. Le troisième jour, on va aller faire des photos, ce que l'on appelle des prises de vue. Le quatrième jour, on fait des poèmes qui doivent avoir un rapport avec les pompiers et on nous enregistre pour avoir les voix.

Maëva avait un peu peur mais ça s'est bien passé et elle peut renter chez elle en pensant aux formidables journées qu'elle avait passées. Le thème sur l'aviation lui plu énormément et elle sait que, plus tard elle en fera son métier, et peut-être même pilote de ligne. Elle peut raconter sa passion à sa famille et ses amis et eux la comprennent et l'écoutent. Dommage que l'année se termine car parler de sa passion avec d'autres élèves a été très enrichissant pour elle.

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Les hommes malhonnêtes

Yann Koublanou

Charly vingt et un ans, habite à Paris. Il reçoit une lettre sur laquelle était écrit : « Cher Charly delta, voulez-vous tester le tout nouvel avion qui peut voler cent millions de kilomètres sans s'arrêter. C’est le « C.D.12 ». Vous devez relier Paris à Tananarive en trois jours. Si vous arriver à faire le trajet vous gagnerez la somme de cinq cent milles euros. De toute façon vous avez quatre-vingt pour cent de chance réussir. Vous serez suivi tout le trajet par deux hélicoptères. » Charly n'était que pilote depuis une à peine une année mais il avait aussi beaucoup besoin d’argent. Comme ses deux parents était morts il accepta et signa des papiers sans trop regarder. De toute façon il était un peu obligé d'accepter sinon il deviendrait S.D.F. Il se prépara pour ce voyage. On lui expliqua un peu les commandes de l’avion. Il n’y avait que cinq commandes en plus.

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Le départ

Ca ne prit qu’une demie heure. Il partit donc à 14 heures 30. Une foule attendait son départ et il y avait les deux hélicoptères comme prévu. Le début du voyage se passe bien, il commence à s’habituer aux commandes. Le soir il arrive à Alicante, il commence déjà par être fatigué. Le deuxième jour il arrive a Gao. Trois jours après il arrive à Quelimane. Là, il doit prendre des médicaments pour ne pas s'endormir. Une heure après il va beaucoup mieux, mais il se rend compte qu'il a perdu le pari car s'était impossible d'arriver en trois jours. Cela faisait déjà cinq jours et il n'avait pas encore fait la moitié du parcours. Enfin il arrive à Gao, il ne gagnera pas l'argent ! Ca fait une semaine qu'il vole il se rend compte que l'avion n'a plus beaucoup de carburant. Il commence donc à ralentir. Il prévient les deux hélicoptères, ils lui disent que c’est normal et qu'il ne doit plus avoir beaucoup de carburant. Il voit une base pour les avions et comme il n’a vraiment plus beaucoup de carburant, il atterrit. Il ne peut pas prévenir les hélicoptères car son signal radio est coupé.

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Il avait bien fait d'atterrir car ces hommes l’auraient peut être emmené à la mort. Il va a la base et raconte son aventure... Les hommes de la base réparent son avion et lui mettent du carburant, il en profite pour dormir et se reposer. Il décide de revenir chez lui avec l'avion et de partir dans deux jours. Deux jours plus tard il repart chez lui. Le treizième jour il est à Broken-hill. Son signal radio n'est toujours pas réparé. Il se dit que les hommes de la base étaient sûrement associés avec les autres. Arrivé plus loin, il a une fuite dans son réservoir. Heureusement il aperçoit une petite île. Il atterrit sur l île. Il commence par regarder s'il y a des gens. Elle semble complètement déserte. Pourtant il trouve quatre personnes sur l'île. Il doit manger que des noix de coco percées. Sauvé de justesse

Les personnes de l'île l’informent qu'il y a un paquebot qui passe un an sur deux. Il devrait passer dans trois jours. Le deuxième jour il se sent vraiment pas bien il doit boire de l'eau salée. Le troisième jour le paquebot n'est pas arrivé. Il commence vraiment à désespérer. Il essaie de trouver une solution pour réparer son avion, mais il ne trouve rien.

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Les jours passent...

Trois semaines plus tard il voit le paquebot qui arrive enfin.. Il lui demande de s'arrêter. Le navire fait descendre une barque avec un homme qui rame. Il se rend compte que ce bateau est venu pour lui. C’'était son meilleur ami Nicolas qui avait envoyé un avion et un bateau à sa recherche. Il raconte à son ami l’histoire avec les hommes qui avaient voulu le tuer. Deux jours plus tard il est de retour à Paris. Charly porte plainte contre les hommes. Malheureusement ces bandits ne vont pas en prison parce qu’il n’y a pas de preuve. Il demande à son ami de témoigner contre les hommes. Celui-ci accepte. Cette fois, ils vont en prison. Il continue donc ses études de pilote et plus tard il gagne beaucoup d'argent. Il fait en même temps un deuxième métier : policier. Un jour il rencontre les hommes qui avaient voulu le tuer. Ils avaient fait d'autres meurtres et leur entreprise était encore plus grande. Il les dénonça et ils furent condamnés encore à deux ans de prison.

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Quel cauchemar !

Ilyes Moustaoui

«John, John lève toi». Ludo remua sont co-équipier . « Il est 7h30 tu dois aller au Meeting Aérien de St Jacques de la Lande ». Dans le hangar il prépara la fumée de son X35, la couleur de la fumée faisait du bleu, du blanc, du rouge car c'était la couleur du drapeau français. En montant dans son avion, mais juste avant de décoller, il vit son mécanicien arriver en courant et lui dire : - John ! John ! - Oui, Qu'est ce qu'il y a ? - Tu n'as plus de kérosène ! John était très déçu il retourna dans son hangar et laissa les mécaniciens s’occuper de son engin. Son voyage commençait mal. Quelques heures plus tard il put enfin décoller en toute sécurité.

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Arrivé en France il se trompa de piste et d'Aéroport. Il atterrit à Roissy ! Quel malheur ! Deux heures plus tard il repartait enfin pour St Jacques de la Lande. Quand il arriva, à St Jacques de la Lande, il était intimidé car c'était le seul anglais. Le meeting commença. Au moment de la dispersion les quatorze avions se crashèrent sur le sol sauf John qui était le quinzième pilote. Il dut atterrir en catastrophe après le crash. Le mécanicien lui demanda :

- Angoissé pour tes amis ? - Oui, je suis très inquiet ! Répondit John.

Un médecin entra sous le hangar. Sa mine était déconfite et son regard triste. Il annonça à John que tous ses amis étaient morts.

- Heuh ! Ils sont morts ? Tous ? - Euh ! Oui, toutes mes condoléances.

John s'effondra par terre en pleurant. Le médecin essaya de le consoler mais ça ne marchait pas. Quelques jours plus tard il repartit avec son avion en Angleterre. Sur son chemin il aperçut qu'il était sur le chemin du triangle des Bermudes. « Encore un Malheur ! » se dit-il. Un groupe de mouettes

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foncèrent sur son avion. Tous les oiseaux s'écrasèrent sur les vitres. Elles résistèrent car elles étaient en double vitrage. Aussi il réussit à s'en sortir encore une fois. Il continua son vol tranquillement. Tout à coup il aperçut au loin de gros nuages sombres. Il essaya de les éviter mais il n’avait aucune issue. Obligé de passer là dedans il alluma ses phares pour y voir un peu plus clair. Mais soudain il entendit des bombardements. Il perdit son calme et paniqua. Il se demanda d'où ils venaient.

Une fois sorti de ce gros nuage noir il aperçut quatre bombardiers qui fonçaient vers lui en lui tirant des balles. John paniqua encore plus. Il essaya d'esquiver les rafales. Impossible ! Des balles transpercèrent l'aileron arrière de son avion. Il perdit le contrôle de son engin. A cause des turbulences il se cogna contre le bouton qui permettait d'activer le pilote automatique. Il s’assomma mais comme l'avion était perturbé à cause de l'aileron arrière l'itinéraire demandé se modifia. Le pilotage automatique était complètement « chamboulé ». L'avion se dirigea droit vers l'Irak qui était en guerre en ce moment. Dès qu’il entra dans le pays, il fut directement bombardé par des lance-roquettes et des mitrailleuses, mais John était armé aussi. Son avion était équipé pour son voyage au cas où il se ferait attaquer comme c'était le cas maintenant. Il avait oublié tout ça à cause du

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choc dans l'avion. Heureusement il y pensa vite ! Il utilisa quatre missiles air-air, deux pour les lance-roquettes et deux pour les mitrailleuses. Il réussit à détruire l’ennemi.

John continua la route vers l’Angleterre mais son avion avait toujours son problème avec l'aileron arrière. Il aurait vraiment du mal à atterrir sur la piste en Angleterre. Arrivé à destination la piste était occupée avec un autre avion. Le choc fut violent. Et la ... « John ! John ! Réveille toi tu dois aller au Meeting Aérien à St Jacques de la Lande ! » « Oui, ça va je suis réveillé. Je vais me préparer. Mais je viens de faire un cauchemar horrible ! »

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Les Auteurs

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Classe de 6ème B ARETHUSE Emeline BIGOT Quentin BOURDONNAY Chloë CERQUEIRA DE CARVALHO Nelson DELAHAYE Angélique DJERMOUNE Neïla DUTEIL Dylan FORQUIGNON Léna GASTINEAU Marie GOUESNARD Félix GUIBERT Eva HEINRY Paco KOCIN Beritan LE COSTAOUEC Jean-Lou LEPROUST Eléonore LODENS Jason PERRIER-GRASLAND Maël RENE Howel RONCERAY Théo SENGUL Cihan SOUIDI Steven TUKUDIAU-MANGINDO Bénie YANG Wilfried

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Classe de CM2 BELLIER Lucie BOUCHET Océane BOURDET Malvyn CAGNIART Vyria CHIROKOFF Valentine FALL Awa FRIN Oriane GABILLARD Emmie GRASLAND Séverine GUINEBAULT Quentin KALALA EmiLIe KOUBLANOU Yann LAURENT Loan LECOURSONNAIS Mael LEPOITTEVIN-DUBOST Cyriac MEUNIER Carla MICHELUTTI Enzo MOUSTAOUI Ilyes NEVEU Léwis PAYOUX Tanguy PODER Marion TABARNOUST Hannah YANG Steven

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Le projet

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Contexte

Dans le cadre de l’anniversaire des 75 ans

de l’aéroclub de St Jacques, Alexandre Koutchevsky, artiste qui était en résidence à l’Aire Libre à proposé un atelier d’écriture avec les CM2 et les 6ème. Ce travail s'inscrivait dans la logique des relations entre l'Aire Libre et les établissements scolaires avec cette envie d'offrir une ouverture culturelle aux enfants du quartier et de la ville.

Cette année cette ouverture s'est traduite par une extension auprès des 6ème du collège de secteur, faisant suite au travail en partenariat mené entre M. Kérichard, M. Faure et Mme Lelièvre autour de la lecture depuis maintenant 3 ans. Les adultes du projet

- M. Faure David, Professeur de français

de la classe de 6ème B du collège Jean-Moulin

- M. Kérichard Serge, Professeur des CM2 de l'école Eugène Pottier

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- Mme Lelièvre Chantal, Documentaliste du collège

- Mme Favier Julie, Documentaliste au Collège Jean-Moulin

- M. Lerestif Philippe, Professeur d'Arts Plastiques au Collège

- M. Koutchevsky Alexandre, Auteur,

Metteur en scène et dramaturge. Membre de la compagnie « Lumière d'août »

- Mme Dault Maryse, chargée des relations

publique à l'Aire Libre

Objectifs Axe Académique Parcours :

- Assurer la maîtrise des savoirs fondamentaux par tous les élèves (lecture-écriture)

- Développer des actions favorisant les liaisons inter cycles et inter degrés

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Axe Académique Responsabilisation : - Développer le sens des responsabilités - Développer l’accès à l’autonomie - Favoriser la construction de l’estime de

soi Objectifs spécifiques

Dans le cadre de la liaison CM2-6ème préparer l’entrée au collège des CM2. Rencontrer des professeurs. Venir travailler au collège, découvrir les personnes, un fonctionnement :

- Le CDI - La vie scolaire - La maison des 6ème

Lecture : découvrir des œuvres littéraires en rapport avec l’aviation ou le ciel. Ecriture : atelier d’écriture avec l’artiste en vue d’une publication. Ecriture au travers des livres (cahier de lecteur, critique de livres) sur le site Internet de la classe. Création d'un carnet de vol qui corresponde à un carnet de lecteur et dans lequel se mêleront textes, impressions générales, impressions sur les livres, productions plastiques.

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Arts visuels : travail autour de l’image et la photographie. Fabrication de sténopés. Photographier « le ciel dans la ville » à Saint Jacques de la Lande. Mise en valeur des différentes images par rapport au travail du professeur d'arts plastiques. TICE : Utiliser un traitement de texte Echanger via une messagerie Internet Utiliser le forum de lecture et échanger sur les livres lus. Travail autour de la critique de livres.

http://aeroclips.over-blog.com

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Année scolaire 2007-2008

6ème C Collège Jean Moulin Cm2 Ecole Eugène Pottier

Edité en juin 2008

En 120 ex. SARL Identic Cesson Sévigné

Notre partenaire

Saint Jacques de la Lande

Avec le soutien financier de

Documents

RÊVER DE VOLER - ecole.eugene.pottier.free.frecole.eugene.pottier.free.fr/iconito/docs/documents/livre_rever_de... · Mais en fait, Ce n'était qu'un rêve. Rêver de voler - 18